ProD2, ton univers impitoyable.

Midol

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Bien sûr nous commencerons par là (si tout va bien) pour savoir où nous serons l'an prochain.
Si néanmoins nous devions rester "au chaud" en ProD2, ce long article est pour nous.

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Est ce plus rose en haut ? Pas si sûr

Biarritz Olympique : Le club basque change de mains

https://www.xvovalie.com/biarritz-olympique-le-club-basque-change-de-mains/

Les supporters du CA Brive seront-ils aux abonnés absents ?

https://www.francebleu.fr/sports/rugby/les-supporters-du-ca-brive-seront-ils-aux-abonnes-absents-9284380

Le CNOSF confirme le retrait de 6 points à Grenoble en Pro D2

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Le-cnosf-confirme-le-retrait-de-6-points-a-grenoble-en-pro-d2/1426364

https://www.sudouest.fr/lot-et-garonne/agen/pro-d2-su-agen-bernard-goutta-je-me-sacrifie-pour-le-club-17995931.php
https://www.rugbyrama.fr/2024/01/02/pro-d2-bernard-goutta-agen-je-viendrai-voir-agen-biarritz-et-jinviterai-thion-yachvili-couzinet-et-harinordoquy-11673662.php

Grenoble en train d'ouvrir en deux Provence Rugby, bien content pour eux avec toutes les emmerdes qu'ils ont

kaze33 a écrit:Grenoble en train d'ouvrir en deux Provence Rugby, bien content pour eux avec toutes les emmerdes qu'ils ont

Quand les Grenoblois jouent aussi vite, c'est impressionnant. Le problème de cette équipe, c' est qu'elle est branchée sur courant alternatif d'un match sur l'autre.

sudouest.fr
Reprise du Biarritz Olympique : beaucoup de pistes et encore plus de flou
Laurent Zègre
5–6 minutes

Biarritz, ses plages, sa douceur de vivre, son club de rugby et son stade Aguilera aux tribunes lézardées. La carte postale n’est pas idyllique mais elle plaît malgré tout. La reprise du BO aiguise les appétits même si le dossier reste complexe. Depuis l’annonce du départ du propriétaire Louis-Vincent Gave, fin février dans « Sud Ouest », Jean-Baptiste Aldigé a mandaté la mairie de la Ville pour trouver des repreneurs. La piste irlandaise a été révélée dans nos colonnes. Elle est...

Biarritz, ses plages, sa douceur de vivre, son club de rugby et son stade Aguilera aux tribunes lézardées. La carte postale n’est pas idyllique mais elle plaît malgré tout. La reprise du BO aiguise les appétits même si le dossier reste complexe. Depuis l’annonce du départ du propriétaire Louis-Vincent Gave, fin février dans « Sud Ouest », Jean-Baptiste Aldigé a mandaté la mairie de la Ville pour trouver des repreneurs. La piste irlandaise a été révélée dans nos colonnes. Elle est toujours d’actualité. Qui se cache derrière ? « Des gens fortunés et fortement impliqués dans le rugby irlandais », nous indique un proche du dossier.

Depuis jeudi 28 mars, ils ont eu accès aux documents comptables. Jean-Baptiste Aldigé refusait de les transmettre tant que la mairie n’avait pas versé, par anticipation, les dernières traites du contrat de communication et d’une subvention municipale. Maider Arosteguy a accédé à la requête. Les 400 000 euros ont été virés sur le compte de la SASP, dont la trésorerie souffrait depuis le refus de Serge Blanco, à la tête de l’association amateur (BOra), de router la subvention du centre de formation (350 000 euros) vers l’entité professionnelle.
« Ce dossier est un bourbier »

D’après plusieurs de nos sources, les Irlandais ne sont pas encore revenus vers Maître Couleau, l’avocat de Jean-Baptiste Aldigé en charge du dossier. Leur conseil et celui de la mairie, tous deux basés à Paris, planchent sur les documents. Maider Arosteguy le confirme à « Sud Ouest » : « C’est un travail lourd. Il y a la reconstruction du stade dans le cadre strict de la loi, avec un financement essentiellement privé. » L’édile le jure, « c’est un projet très sérieux ». Elle indique également avoir une autre piste, « un repreneur français ». Une troisième rencontre est prévue « prochainement ». Ce n’est pas le plus offrant qui l’emportera : le Biarritz Olympique est gratuit. « On ne sera pas sans solution, assure-t-elle. Entre les amoureux du BO et une reprise municipale, comme à Béziers, en dernier recours, je ne suis pas inquiète. »

« Le BO est une entreprise privée et je n’ai pas mon mot à dire mais j’imagine mal des gens sérieux reprendre un club sans venir voir les décideurs publics »

D’autres candidats ont récemment montré leur intérêt. Selon nos informations, Edward Griffiths, ancien directeur général des Saracens, a pris contact avec Jean-Baptiste Aldigé à la mi-mars. L’Anglais, qui joue aujourd’hui le rôle de conseiller auprès de certains joueurs, comme l’international de Montpellier Billy Vunipola, représentait un groupe d’entrepreneurs passionnés de rugby et attentifs à la situation du BO, parmi lesquels Nigel Wray. L’ancien président des Saracens possède d’ailleurs une maison à Bidart. Edward Griffiths s’est également entretenu avec Maider Arosteguy, même si cette dernière ne le confirme pas. La piste serait aujourd’hui abandonnée. « Ce dossier est un bourbier », confie un intermédiaire.
Aldigé aura le dernier mot

Si Irlandais et Anglais se connaissent, une autre piste a également émergé dans l’entourage de Jean-Baptiste Aldigé. Elle provient de l’hémisphère sud. Un tandem néo-zélandais, à la tête d’un consortium qui avait fait une demande de licence en Super Rugby et également envisagé une franchise dans le championnat américain, aimerait s’entretenir avec la direction du BOPB, après avoir eu accès aux documents comptables. « Samuel Tuitupou et Tracy Atiga », confirme l’Agenais de 39 ans à « Sud Ouest », sans en dire plus sur les autres potentiels repreneurs.

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Toutes ces pistes ont-elles une chance d’aboutir ? Ou Jean-Baptiste Aldigé travaille-t-il dans son coin sur un autre dossier ? Le président du directoire n’a pas souhaité s’étendre davantage. Rien ne l’empêche. « Le BO est une entreprise privée et je n’ai pas mon mot à dire, indique Maider Arosteguy. Mais j’imagine mal des gens sérieux reprendre un club sans venir voir les décideurs publics. La mairie est le premier financeur du club derrière le propriétaire. Cela voudrait dire qu’il n’y a pas de projet de développement des infrastructures. » À ce stade, il est important de le rappeler : la décision finale appartient à Jean-Baptiste Aldigé, sur validation de Louis-Vincent Gave.

A priori 3 anciens joueurs auraient repris le club, les Gave en ont marre de mettre de l'argent dans le bastringue pour ne rien en sortir, ça me souvient quand Afflelou mettait de l'argent à Bayonne pour se faire insulter au stade.
Il vont rester entre eux, l'avenir dira s'ils en ont les moyens, manquent Martin pour gérer et Cap Gémini pour l'oseille au bon temps où les uns payaient et les autres en profitaient joyeusement.