OLIVIER BROUZET

lolo Sam 25 Oct 2008 - 16:31

Orange-VoD: Olivier Brouzet en commentateur

Olivier Brouzet commentera dans les conditions du direct l'affiche de chaque journée de RUGBY TOP 14 Orange, retransmise en différé sur orange.fr 48 heures après sa diffusion. La TV d'Orange proposera en accès gratuit (contre 6 Euros par mois pour l'affiche) un résumé des 7 rencontres du week-end.

24/10/2008
par LNR.FR

Plus d'infos sur: www.orange.fr

[url][/url]http://www.lnr.fr/

**patrick** Sam 25 Oct 2008 - 23:48

Orange futur sponsor de l'Union scratch

Oh mince, il l'est déjà Embarassed

**Scalp** Lun 21 Déc 2020 - 16:19

https://www.sudouest.fr/2020/12/21/ubb-olivier-brouzet-sur-le-depart-8215140-773.php

UBB : Olivier Brouzet sur le départ

Par Yoan Leshauriès

En poste depuis 2007, l’ex-international français (48 ans) va quitter ses fonctions de directeur du développement de l’Union Bordeaux-Bègles pour se consacrer à un nouveau projet.

Après 14 années passées au service de l’Union Bordeaux-Bègles, Olivier Brouzet quittera le club girondin le 31 décembre prochain pour se consacrer à un nouveau projet personnel.

"Au bout du chemin"

« Ça fait bientôt 14 années que je suis au club, je suis arrivé avec Laurent Marti (le président) lorsqu’il y avait tout à faire et tout à construire. On a bien avancé. Si j’avais envie de vivre une autre aventure, j’ai ressenti qu’il était temps de le faire. C’est une réflexion que j’ai depuis plus d’un an. J’en ai parlé à Laurent (Marti), je lui ai dit que j’arrivais au bout du chemin. À 48 ans, je vais essayer de me lancer dans un nouveau projet ».

Après avoir mis un terme à sa carrière de joueur en 2005 au Stade Français, l’ex-deuxième ligne du XV de France (72 sélections) avait rejoint l’UBB en 2007 en tant que directeur du développement.

Aux côtés du président Laurent Marti, il aura été un fer de lance de l’évolution du club girondin, de la Pro D2 au Top 14, à travers la recherche de partenaires, le passage de Moga à Chaban-Delmas, l’organisation des matchs et l’accueil du public, la création du Ceva Campus (nouveau centre d’entraînement), entre autres…

"Travail de l’ombre"

« Il a fait un travail remarquable, le travail de l’ombre comme il en avait l’habitude quand il était joueur, souligne Laurent Marti. C’est quelqu’un qui a énormément compté dans la construction de l’UBB. Si ça brille aujourd’hui, c’est parce qu’au début, il y a eu des mecs comme lui qui ont vraiment mouillé la chemise ».

L’UBB voit donc partir une de ses figures historiques qui a beaucoup œuvré en coulisses.

En raison des difficultés financières liées au contexte sanitaire, le club girondin n’engagera personne pour succéder à Olivier Brouzet mais répartira ses tâches au sein du personnel administratif.

**patrick** Lun 21 Déc 2020 - 16:32

Olivier aura en effet était un des piliers de l'organisation mais aussi de l'opérationnel à l'UBB et ceci dès le début où on en était à l'époque du système D. Compte tenu de la diversité des taches qu'il assurait, il est probable que le mieux soit en effet que cses collègues en place reprennent ses attributions, quitte à ce que quand les finances seront moins contraintes, l'équipe s'agrandisse dans les domaines à conforter ou développer, il y a encore tant à faire ... Comme beaucoup de joueurs et dirigeants passés au club depuis 2006, il aura permis au club de grandir et on espère de continuer à le faire :clap:

Merci Olivier et bonne route pour la suite Wink

**le radis** Lun 21 Déc 2020 - 17:02

Ouep Patrick pas mieux; :clap:

bonne continuation à Mr Rotulator.

**Big'Ben** Lun 21 Déc 2020 - 17:04

Le jour que je redoute le plus sera celui de la succession de L. Marti. Un pilier du club s'en va mais nul doute que le flambeau sera repris en interne par ses collègues qui fourniront un très bon travail aussi.

**krahknardz** Lun 21 Déc 2020 - 22:46

Je dis une connerie ou il était déjà évoqué son éloignement de la dirigeance du club l'hiver dernier, en particulier avec le recrutement du gars des Girondins? Entretemps la Covid est passé par là et a tout chamboulé, mais j'avais compris ça.

léopold Mar 22 Déc 2020 - 7:20

Oui mais avec la crise l'ancien des Girondins est parti ce qui n'enléve rien au fait qu'Olivier va concrétiser son projet personnel.

**krahknardz** Mar 22 Déc 2020 - 10:23

léopold a écrit:Oui mais avec la crise l'ancien des Girondins est parti ce qui n'enléve rien au fait qu'Olivier va concrétiser son projet personnel.

Oui bien sûr, ce que j'avais compris est que ce type était venu justement pour substituer Brouzet parce qu'il allait partir concrétiser un projet perso

Vince33 Mar 22 Déc 2020 - 11:23

Olivier "rotulator" Brouzet a accompagné le projet de Laurent Marti depuis le début , et mème sans ètre trop rémunéré au début .
Il organisait d'ailleurs des stages et des réunions de motivations avec Ibanez en parallèle.

Après son job qui consiste à s'occuper des hospitalités , de l'accueil du public , des recherches de sponsor n'a plus trop de sens avec l'absence de public dans les stades .

Bon vent à toi Olivier

**Scalp** Sam 26 Déc 2020 - 12:32

https://www.sudouest.fr/2020/12/24/rugby-j-arrivais-au-bout-du-chemin-avec-l-ubb-dit-olivier-brouzet-8225335-4564.php

Rugby : "J’arrivais au bout du chemin avec l’UBB", dit Olivier Brouzet

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Olivier Brouzet : « On est partis d’une feuille blanche ».

Crédit photo : Claude Petit

SudOuest

Par Yoan Leshauriès

Après 14 années passées à l’Union Bordeaux-Bègles au poste de directeur du développement, Olivier Brouzet (48 ans) quittera le club le 31 décembre. Interview.

Sa grande carcasse (2,04 m) ne passe pas inaperçue du côté de Moga ou dans les travées de Chaban. Durant sa carrière de joueur (1990–2005), en deuxième ligne, Olivier Brouzet (48 ans) ne rechignait déjà pas à la tâche. En 2007, l’ex-international français (71 sélections) avait débuté « une deuxième vie » en rejoignant l’Union Bordeaux-Bègles en tant que directeur du développement. « Je suis arrivé avec Laurent Marti (le président) lorsqu’il y avait tout à faire, tout à construire. On a bien avancé », observe-t-il aujourd’hui.

Recherche de partenaires, communication, changement de stade, organisation des matchs, accueil du public… « Olivier a fait un travail remarquable, le travail de l’ombre comme il en avait l’habitude quand il était joueur, souligne Laurent Marti. C’est quelqu’un qui a énormément compté dans la construction de l’UBB. Si ça brille aujourd’hui, c’est parce qu’au début, il y a eu des mecs comme lui qui ont vraiment mouillé la chemise ». Après 14 années au service de l’UBB, Olivier Brouzet quittera le club le 31 décembre.

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« Sud Ouest ». Pourquoi quittez-vous l’Union Bordeaux-Bègles ?

Olivier Brouzet. Après toutes ces années, j’avais envie de vivre une autre aventure et j’ai senti que c’était le moment. C’est une réflexion que je menais depuis un peu plus d’un an. J’en ai parlé à Laurent (Marti) il y a quelques mois, je lui ai dit que j’arrivais au bout du chemin avec l’UBB. Il l’a tout à fait compris. À 48 ans, je vais me lancer dans un nouveau projet mais je ne veux pas trop en dire pour l’instant.

"Humainement, j’ai vécu une super aventure"

Après votre carrière de joueur, vous dites que c’était votre « deuxième vie ». Que vous a-t-elle apporté ?

J’ai eu la chance de pouvoir continuer à évoluer dans un milieu que je maîtrisais pour avoir connu quelques clubs dans ma carrière (Grenoble, CABBG, Northampton, Clermont, Stade Français). J’ai pu mettre en pratique ce que j’avais appris à l’université. Humainement, j’ai vécu une super aventure avec des gens de qualité, avec la confiance totale d’un président, ce qui est un vrai luxe dans le travail.

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Quel souvenir gardez-vous de votre arrivée en 2007 dans ce qui s’appelait alors l’USB-CABBG ?

Laurent (Marti) s’apprêtait à reprendre le club qui était au fond de la Pro D2, très mal financièrement. Quelqu’un nous a présenté. Il m’a demandé si je voulais l’accompagner dans cette aventure. Moi, j’étais consultant dans divers domaines. C’était une belle opportunité de revenir dans mon ancien club. Autant je ne suis pas attiré par le terrain, autant j’affectionne tout ce qui touche à l’organisation, l’événementiel. On est parti d’une feuille blanche. Les moyens étaient limités, nous étions juste 5 personnes dans les bureaux. On touchait un peu à tout : commercial, marketing, communication, billetterie… C’était très formateur. On a essayé de faire revenir les gens au stade, recréer une dynamique. C’est parti de la création d’une bodega, de l’aménagement des loges…

"Le soir de la montée, j’ai vite pris la bagnole…"

En 2008, le club est devenu l’« UBB » et la montée en Top 14 est arrivée en 2011. Comment avez-vous dû vous adapter ?

Le soir de la montée, j’ai vite pris la bagnole, on avait décidé d’organiser une paella géante pour nos supporters, je suis parti à la hâte pour m’occuper de ça. C’est vrai que cette montée est arrivée très vite, c’était tellement inespéré… En Top 14, il y a des contraintes techniques : il a fallu équiper le stade, embaucher un peu…

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Le passage de Moga à Chaban a encore accéléré les choses…

Ça a réveillé encore plus de Bordelais et de Girondins autour du club. On a eu la chance d’avoir l’aide des Girondins de Bordeaux au départ, car c’était un vrai métier de gérer un stade comme celui-là. Quand on s’est senti assez solides, on a pris les choses en main tout seuls. Ce monument du sport français, c’était un merveilleux cadeau, un vrai privilège.

"Chaban, c’est le prochain gros chantier"

Le dernier gros chantier a été la création du nouveau centre d’entraînement…

Avant ça, on a fait du neuf avec du vieux, il y avait des préfabriqués, des chapiteaux… Ça forge aussi le caractère. Mais une fois que le Ceva est sorti de terre, ça a facilité les choses, ça a permis de réunir le sportif et l’administratif sous le même toit. Le Ceva fait office d’exemple, beaucoup de clubs, tous sports confondus, viennent le visiter pour s’en inspirer. On est très fiers de ça.

Que reste-t-il à faire ?

Chaban, c’est le prochain grand chantier. Il faut qu’on puisse accueillir les différentes populations dans les meilleures conditions. On a déjà commencé certains travaux de rénovation. Il faudra quelques années.

Ils ont marqué Olivier Brouzet

Le joueur

« Matthew Clarkin (2010–2016) était un vrai leader, un vrai bon mec. Pour moi, il est le joueur phare des années UBB. Les Talebula, Avei, Adams, Chalmers, Rey et Connor ont bien entendu aussi marqué le club mais Matthew restera le joueur que j’appréciais bien ».

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Le manager

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« Le manager qui m’a le plus marqué, c’est Raphaël (Ibanez), parce que c’est un ami. C’était sa première expérience à ce poste, il est quand même resté 5 ans (2012–2017), ce qui est pas mal. On n’est pas allés au bout des choses avec lui mais c’est pour moi un bon compagnon de route. »

La victoire

« J’en ai deux en tête. Il y a le premier gros match de Top 14 à Chaban face à Bayonne (2011, 18–6). On peut dire que le pari était réussi. Après, c’est la demi-finale de Pro D2 à Grenoble (2011, 19–12). Ça avait pour moi une connotation particulière puisque c’était face à mon club d’origine ».

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La défaite

« La pénalité manquée de Lionel Beauxis à Toulouse (23–22, 2015), ça a été dévastateur. On avait l’opportunité de se qualifier pour la première fois. C’est terrible. Lionel est un bon mec mais son job, c’est de passer ce coup de pied. Depuis, on attend toujours la qualification en Top 14. »

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**patrick** Sam 26 Déc 2020 - 12:46

La dernière photo est terrible. Passer cette pénalité aurait surement déclenché pas mal de choses et l'UBB aurait peut-être concrétisé ses espoirs depuis ... concrétisations que nous attendons toujours mad2

**Scalp** Sam 26 Déc 2020 - 12:54

patrick a écrit:La dernière photo est terrible. Passer cette pénalité aurait surement déclenché pas mal de choses et l'UBB aurait peut-être concrétisé ses espoirs depuis ... concrétisations que nous attendons toujours

Un petit coup de pied facile, ça tient à peu de chose et ça aurait sûrement complètement changé le visage de l'UBB, mais on ne saura jamais....

**patrick** Sam 26 Déc 2020 - 13:13

La photo m'avait suffit, là la vidéo vient de tuer mon Samedi. Scalp, je ne te dis pas Merci

**Scalp** Sam 26 Déc 2020 - 13:17

patrick a écrit:La photo m'avait suffit, là la vidéo vient de tuer mon Samedi. Scalp, je ne te dis pas Merci

Il faut regarder son histoire en face..., et puis de toute façon, quand on aura vaincu notre signe indien cette saison, tu verras, ça ira beaucoup mieux Wink

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