Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir

Dans l'air du temps depuis quelques temps, il avait prévenu.
Le soucis ce n'est pas son départ, c'est surtout qui quoi et comment pour la suite ???

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http://www.sudouest.com/accueil/sports/rugby/article/858973/mil.html

Samedi 06 Février 2010

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RUGBY. Lors d'un conseil d'admnistration exceptionnel, réuni cet après-midi, Laurent Marti, président de l'Union Bordeaux-Bègles, a annoncé son départ en fin de saison

Union Bordeaux-Bègles : Le président Laurent Marti annonce son départ

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Laurent Marti, président de l'Union Bordeaux-Bègles (Photo Claude Petit)Lors d'un conseil d'admnistration exceptionnel, réuni cet après-midi, Laurent Marti, président de l'Union Bordeaux-Bègles, équipe de rugby de la Pro D2, a annoncé son départ en fin de saison, laissant toutefois une porte ouverte si un partenaire financier venait à son soutien "dans les deux à trois semaines."

Le Président de TexMex, arrivé il y a trois ans, équilibrera le budget avant de s'en aller.

Réaction : Noel Mamère, maire de Bègles : "Ma première réaction est d'être très malheureux car j'ai beaucoup d'estime pour lui. L'Union avait trouvé une personne très rigoureuse, motivée, intelligente. c'est un énorme coup dur pour le rugby en Gironde et dans l'agglomération bordelaise qui s'apprète à nouveau à traverser une période noire. Depuis 1991, le rugby ici ne parvient pas à trouver les parrainages privés financiers et je ne sais pas pourquoi Bayonne ou d'autres réussissent et pas la capitale aquitaine. On va encore pointer les collectivités mais on est arrivé à une exigence financière où on ne peut pas aller plus loin. C'est l'argent du contribuable et le rugby n'est pas la seule activité sportive. Ce qui est sûr est que la ville de Bègles continuera à soutenir le centre de formation et n'abandonne pas le projet de construction d'un stade de rugby dans l'agglomération bordelaise même s'il va en prendre un coup avec cette annonce. J'étais au courant de ses hésitations mais je ne savais pas qu'il avait tranché."

Auteur : Nicolas Le Gardien

PS Mr Mamere depuis 1991???
c'est qui le politique qui en permanence repete que le rugby pro a bordeaux ne peut vivre sans Bégles; et bien maintenant trouver en des investisseurs Mr Mamere
quelle est belle cette UNION

http://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2009-2010/ubb-marti-sur-le-depart_sto2212321/flashnews.shtml

UBB: Marti sur le départ
Le président de Bordeaux-Bègles, Laurent Marti, a annoncé samedi son départ du club à l'issue de la saison, notamment "pour raisons financières" et manque d'implication des collectivités locales.

Cette décision a été annoncée avant la réception par Bordeaux-Bègles, actuellement 8e de Pro D2, de Tarbes pour le compte de la 20e journée.

Laurent Marti, chef d'entreprise toulousain nommé à la tête de l'Union Bordeaux-Bègles en 2007, a expliqué qu'il se retirait "car obligé financièrement à titre personnel". "Je ne peux pas mettre en l'air 22 ans de travail, j'ai une famille, des salariés. La mort dans l'?me, je suis obligé d'arrêter", a-t-il déclaré.

Pour motiver son choix, cet ancien trois-quart centre qui a évolué à Bergerac et en Reichel à Toulouse a pointé du doigt "le micro-climat des affaires qui est affolant à Bordeaux" et les collectivités locales qui l'ont peu soutenu depuis son arrivée. "A Bordeaux, le sport, on ne lui accorde pas beaucoup d'importance", a-t-il ajouté. "Tout le monde m'explique qu'on ne peut pas faire mieux, moi je ne peux pas faire plus", a indiqué le dirigeant girondin qui assurera financièrement l'avenir du club jusqu'au 30 juin prochain. "S'il y a des repreneurs, il faut qu'ils se manifestent vite pour la pérennité du club", a-t-il conclu.

bordelais a écrit:"C'est un énorme coup dur pour le rugby en Gironde et dans l'agglomération bordelaise qui s'apprète à nouveau à traverser une période noire."

C'est optimiste ça...

nico a écrit:

bordelais a écrit:"C'est un énorme coup dur pour le rugby en Gironde et dans l'agglomération bordelaise qui s'apprète à nouveau à traverser une période noire."

C'est optimiste ça...

ce n'est pas de moi mais de Mamere qui recolte ce qu'il a seme depuis longtemps:
a trop tirer sur la corde pour tout garder dans son "secteur" politico financier envers et contre tous et bien la corde elle casse
c'est tout con mais c'est la verite

Pas d'inquiétude, j'avais noté qu'il s'agissait de monsieur Mamère...

Toujours est-il qu'on a mis un pied dans la mouise...

Cette annonce attendue fait passer la victoire de ce soir au second plan
Je pense que Marti à raison de claquer la porte..demain tout le monde va pleurer sur cette annonce, les politiques les premiers se renvoyant la balle mais qui depuis des années sont incapables de se sortir le doigt du c...
L'interêt collectif passe TOUJOURS après leurs petits calculs égocentriques minables
L'image qu'ils donnent de Bordeaux, de l'agglomération est pathétique : un panier de crabes de petits gris sans envergure, sans vision, incapable de sortir du "petit périmètre" se réduisant à leur "chasse gardée" ...

Mamère, Juppé, Feltesse, Rousset tous dans le même sac !!! des minables qui ne méritent que des "fourchettes" .....quant au suiveurs du monde économique c'est pas mieux.

Et qu'on ne vienne pas me faire chier après ça avec les 300 millions à foutre dans un grand stade pour des footeux millliardaires qui demain viendront peut être quémander l'aumone après leur rétrogradation en ligue 2



Merci Mr Marti pour votre ambition non payée en retour ...même si votre aventure en refroidira sans doute plus d'un....je ne vais pas me géner pour dire tout le bien que je pense à tous ceux qui ont brasser du vent en vous laissent seul en première ligne...les élections servent au moins à ça

Et moi qui pensais que rien ne devait sortir avant demain. Pour faire la promo de notre club, y a pas grand monde, mais alors si ça commence à sentir le sang, les requins se précipitent. Le soir même avec de grossières fautes d'orthographe ("conseil d'administration exceptionnelle" et "le maigre de bègles" corrigées depuis) liées à la précipitation, on a droit à un méga article alors que pas un mot n'est écrit sur la victoire sportive de ce soir. C'est triste, vraiment très triste.

Voici l'intégralité de l'article à 22h22

RUGBY. Lors d'un conseil d'admnistration exceptionnel, réuni cet après-midi, Laurent Marti, président de l'Union Bordeaux-Bègles, a annoncé son départ en fin de saison
Union Bordeaux-Bègles : Le président Laurent Marti annonce son départ [+INTERVIEW]

Une ambiance d'enterrement. Devant tout le conseil d'administration du club, réuni dans l'après-midi, Laurent Marti, qui n'avait mis dans la confidence que deux ou trois intimes et devait annoncer la nouvelle aux joueurs après la rencontre contre Tarbes (18 h 30), a annoncé son départ de la présidence de l'Union Bordeaux Bègles en fin de saison.

"Jusqu'au bout, j'ai attendu mais j'ai reçu un dernier coup de fil il y a une heure (a priori de la mairie bordelaise, NDLR) pas positif."

Arrivé il y a trois ans à la tête de la fusion entre le CABBG et le Stade Bordelais, le PDG de l'entreprise toulousaine TexMex, originaire de Bergerac et joueur en Reichel au Stade Toulousain, s'était donné trois saisons pour faire monter le club, sans toutefois jouer au mécène.

Obligé de mettre une nouvelle fois la main à son portefeuille personnel pour boucler le budget et ne voyant rien venir, il a donc tiré un constat d'impossibilité de grandir. Se laissant toutefois la porte ouverte si un partenaire important se déclarer dans les trois semaines, soit à temps pour préparer la saison prochaine.
Interview

Pourquoi cette décision ?

Laurent Marti : Pour des raisons purement financières. On a récupéré le club avec un tout petit budget il y a trois ans, on l'a augmenté mais nous avons des ressources très faibles, les plus faibles de Top 14 et Pro D2 si je retire ce que j'apporte. C'est dramatique et la mort dans l'âme que j'abandonne ce projet de construire une grande équipe à Bordeaux. On a fait tout ce qu'on a pu, reconstituer une équipe sportivement parlant, avec un groupe qui se construit, une dynamique très positive et des pistes de recrutement ambitieuses et performantes car des joueurs s'intéressaient désormais à notre projet. C'est beaucoup de chemin parcouru mais ca me coute beaucoup trop cher personnellement. J'ai fait des sacrifices professionnels, familiaux, financiers mais cela arrive à des sommes indécentes en contradiction avec mon éducation. Le bilan n'est pas aussi bon que j'aurais aimé mais il est n'est pas négatif. Je très frustré et malheureux de voir que j'ai laissé passer des informations sur cette décision depuis un an et demi sans que cela n'ait ému plus que cela les décideurs. Aujourd'hui, on devait la vérité aux joueurs qui se sont engagés sur mon nom et mon projet ainsi qu'aux 50 salariés qui vivent autour du club. Et cela va permettre de recevoir d'éventuels repreneurs. Aujourd'hui, il n'y a pas de pistes sérieuses mais peut-être que cette annonce va en réveiller.

Comment expliquez-vous la difficulté d'attirer les partenaires privés ?

Laurent Marti : Ce que je constate est que l'histoire se répète depuis 15 ans: les présidents se succèdent mais le constat est le même. Si le problème venait de moi, qu'on travaille mal commercialement, il va bientôt être résolu. Aujourd'hui, je constate que dans la capitale aquitaine, on trouve autant de ressources qu'à Lannemezan. Et que, même avec mon apport, on est au niveau de Tarbes et Colomiers. Vu le contexte, je ne vois qu'une issue pour le rugby ici: un mécène aux moyens gigantesques, largement supérieurs aux miens et désireux de s'investir sur plusieurs années. Mais il n'y en a pas beaucoup.

Vous avez prévenu les collectivités ?

Laurent Marti : Oui, dans la semaine. Ce que je vois est que Bordeaux est je pense la ville la plus en crise car rien n'est possible. Je ne juge pas, j'entends ce qu'on me dit. J'ai analysé, on ne peut faire mieux mais moi je ne peux pas faire plus non donc j'arrête et il faudra trouver d'autres solutions. Je trouve que le microclimat des affaires ici est affolant.

Vous devrez à nouveau mettre de l'argent personnel pour boucler le budget.

Laurent Marti : Oui. J'assumerai les dépenses engagées et mon éducation fait que je laisserai place nette. J'arrive à des sommes indécentes pour moi alors que pourtant on a toujours fait attention.

Vous vous laissez une porte ouverte si un partenaire arrive pour vous soutenir ?

Laurent Marti : Bien sûr. Je crois toujours au projet d'un grand club à Bordeaux. C'est une erreur monumentale de ne pas croire au lien social et à l'apport économique que cela pourrait apporter. On l'a montré en attirant 20 158 personnes au stade Chaban-Delmas contre Agen. Je suis frustré de tous ces sacrifices pour au final pas grand chose, j'arrête la mort dans l'âme seulement parce que je suis obligé financièrement. Alors si on trouve une solution, oui, mais dans les deux trois semaines car les joueurs doivent avoir de la visibilité maintenant et tout reconstruire en mai serait un suicide. Après, je n'oublie pas que tout n'est pas perdu sportivement et je vais expliquer aux joueurs qu'il faut qu'on termine la saison tous ensemble, en donnant au maximum. Les 220 partenaires, les 4000 spectateurs qui viennent au stade le méritent.


[REACTIONS] Noël Mamère : "C'est un énorme coup dur pour le rugby en Gironde"

Noel Mamère, maire de Bègles : "Ma première réaction est d'être très malheureux car j'ai beaucoup d'estime pour lui. L'Union avait trouvé une personne très rigoureuse, motivée, intelligente. C'est un énorme coup dur pour le rugby en Gironde et dans l'agglomération bordelaise qui s'apprête à nouveau à traverser une période noire. Depuis 1991, le rugby ici ne parvient pas à trouver les parrainages privés financiers et je ne sais pas pourquoi Bayonne ou d'autres réussissent et pas la capitale aquitaine. On va encore pointer les collectivités mais on est arrivé à une exigence financière où on ne peut pas aller plus loin. C'est l'argent du contribuable et le rugby n'est pas la seule activité sportive. Ce qui est sûr est que la ville de Bègles continuera à soutenir le centre de formation et n'abandonne pas le projet de construction d'un stade de rugby dans l'agglomération bordelaise même s'il va en prendre un coup avec cette annonce. J'étais au courant de ses hésitations mais je ne savais pas qu'il avait tranché."

Christian Bagate, président du CA Bègles somnisports et président du Comité Côte d'argent : "D'abord humainement, c'est un déchirement car Laurent (Marti) est quelqu'un d'une grande qualité qui s'est énormément démené. En tant que président du CA Bègles, je suis très triste car on a toujours été derrière lui. Le rugby en Côte d'Argent risque lui de se trouver privé d'une locomotive. L'avenir
? Je ne sais pas. Comme Laurent (Marti), je garde un petit espoir que cela puisse faire bouger un partenaire d'ici 15 jours-3 semaines..."

Arielle Piazza, adjointe aux sports à la mairie de Bordeaux : "C'est une nouvelle qui fait mal. La mairie prend acte. Je suis personnellement désolée pour Laurent Marti qui s'est beaucoup investi, a accompli un travail sportif de qualité comme le montre cette saison où il y a plus de haut que de bas. C'est dommage qu'il soit contraint d'arrêter aujourd'hui. Monsieur Juppé a tenu ses engagements, a multiplié les contacts pour essayer d'étoffer le groupe des partenaires. Aujourd'hui, la question de l'avenir du rugby professionnel à Bordeaux est clairement posée. Mais je pense que l'Union ne doit pas baisser les bras et je suis sûr que ses actionnaires continueront à se battre."
Auteur : Nicolas Le Gardien

Hypothèse: pas de repreneur pour la saison suivante.

Ça donne quoi? On plie les gaules et basta?

J'oubliais : BRAVO A SUD OUEST POUR SA REACTIVITE !!!! après avoir considéré le rugby bordelais comme la cinquième roue du carossse vous êtes en première ligne pour signer le registre de condoléances .

Je mets un définitif à ce journal qui a réussi à me faire aimer le DEPECHE DU MIDI

FAIRE CETTE PUTAIN D'UNION POUR EN ARRIVER LA !!!!

Mais bordel ils sont où tout ceux qui nous on vendu cette option comme la seule issue pour sauver le rugby de haut niveau à Bordeaux !!!

N'oubliez pas de réagir sur le site de SUD OUEST qui se réveille alors que le cadavre est presque froid

Pareil que Sudiste. Honte à nos politiques qui font semblant de ne pas comprendre. Tant qu'il n'y a pas de paillettes, ça ne les interessent pas. Par contre, si ça commence à sentir la caméra de télévision et le people, alors là oui on les trouve aux premières loges et très prompts à orienter voire solliciter des aides pour les starlettes.
Le budget de l'Union c'est bien moins qu'un an de salaire donné à Y. Gourcuff, mais bon, être pris en photo à côté du playboy, c'est vachement mieux pour l'image d'après le conseiller en communication. Les politiques vont nous dire que les collectivités ne peuvent pas faire plus. Mais on ne leur demande rien aux collectivités. Par contre les industriels qu'elles financent et qui vont sponsoriser d'autres clubs parfois loin de leur terre, qu'elles ne me disent pas qu'elles ne peuvent pas les "sensibiliser". Le budget du tramway c'est combien, le budget du pont, c'est combien bacalan bastide, le budget de l'eau et de l'énergie c'est combien, le budget de l'immobilier social c'est combien, etc. Messieurs les gros pardessus, vous me faites pleurer.

Très mauvaise nouvelle, il est possible que L Marti cherche à provoquer un electrochoc au sein des milieux politico-économiques de l'agglomération bordelaise.

C Discount participe peut il faire plus ? B Magrez a financé la salle de muscu ; ira t-il plus loin ?

Coté politique, la mairie de Bordeaux donne 500000 euros soit 10% du budget ce qui n'est pas rien, en revanche on ne voit jamais Accoceberry à Musard .....La mairie de Bègles donne aussi ....selon ses moyens.

En revanche la CUB, la région et surtout le conseil général ne donnent rien ou pas grand chose.

Ca http://www.sudouest.com/gironde/sports/article/858973/mil.html à 23h05

Patrick
Gradignan
le 06/02/2010 à 23h05
Moi aussi je suis en colêre contre ces politiques qui n'ont rien réellement fait pour que ce beau projet d'Union aboutisse alors qu'ils sont capables d'en faire beaucoup dans d'autres circonstances. Moi aussi je suis en colère contre les industriels qui viennent se servir dans notre agglomération et qui exclusivement attirés par les sirènes de la renommée ne contribuent pas à la pluralité de sa vie sportive et culturelle (le rugby n'est il pas à la coisée de ces deux thème). Moi aussi je suis en colère contre les "amoureux" du rugby qui soit sont trop attachés à leur chapelle soit attendent des jours glorieux avant de venir soutenir le club fédératif de l'agglomération bordelaise. Et pour finir moi aussi je suis en colère contre nos médias locaux (à peu d'exception près) qui vendraient leur ame pour une interview d'un remplaçant des girondins mais qui ne parlent pas voire peu du seul club de rugby professionnel de leur territoire. Vous l'aurez compris, je suis en colère. Allez l'Union !

c'est moi.

Dans mon panier de crabes je rajoute Bagate et Piazza , le premier pour se contenter depuis des années d'un comité ronronant alors qu'il pourrait être ambitieux ....un mou sans envergure planqué bien au chaud à la fédé .
La seconde parce qu'elle ne pipe rien au rugby seulement capable de certifier que Juppé a "tenu ses engagements" ...certes et alors ou nous ont-ils mené ?

Parce que contrairement à ce que dit Vince la mairie c'est pas 500.000 euros , je ne suis même pas sûr que ce soit la moitié

Quant à l'électrochoc attendu je doute fort qu'il ait lieu ....mis a part la torture je vois pas ce qui pourrait faire bouger ce microcosme flasque comme un puding à la gelée de menthe

Royal, même France 3 s'y met avec une vidéo de la conf http://aquitaine.france3.fr/sport/D%C3%A9mission-du-pr%C3%A9sident-de-l-Union-Bordeaux-B%C3%A8gles-60870380.html

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Allez je vous quitte la mort dans l'âme ....je vais m'inventer une nouvelle passion : le curling , c'est moins stressant

Bref pour me rassurer je me dis qu'il y a pire quand même...comme être supporter du PSG par exemple j'imagine même pas la souffrance ....

http://www.sudouest.com/accueil/sports/rugby/article/859145/mil/5685689.html

BORDEAUX-BÈGLES - TARBES. Le président Laurent Marti quittera le club en fin de saison, sauf si un partenaire providentiel était trouvé au cours des trois prochaines semaines. L'avenir devient très flou
La victoire et le noir

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L'Union tient pourtant la route sur le terrain. (PHOTO Stephane lartigue)

Pour ne pas parasiter la venue de Tarbes, le président de l'Union Laurent Marti avait décidé de ne pas répondre cette semaine aux bruits de plus en plus pressants. Ils annonçaient, dans le pire des cas, son départ en fin de saison. Le Périgourdin les a confirmés hier. Au conseil d'administration, d'abord, réuni en fin d'après-midi, aux journalistes ensuite. Puis aux joueurs, après leur succès. « Aujourd'hui, on est malheureux, répondait Henri-Pierre Vermis, un des « historiques » du groupe. Car on ne sait pas ce qu'on va devenir. » « Les joueurs vont partir en vacances, doivent avoir de la visibilité pour rebondir. Je leur devais la vérité, lançait Laurent Marti. À eux et aux 50 salariés qui vivent autour du club. »

De la soirée d'hier, on retiendra donc deux choses. La première est que l'Union possède aujourd'hui un groupe qui a une nouvelle fois montré une grosse solidité défensive (un essai encaissé en cinq matches), un volume de jeu indéniable ne demandant qu'à être bonifié. La seconde est qu'il pourrait ne pas avoir l'occasion de grandir en l'état la saison prochaine. « J'ai laissé passer des informations sur ma décision depuis un an et demi, sans que cela n'ait ému les décideurs, explique Laurent Marti. Aujourd'hui, c'est la mort dans l'âme que je renonce. »

Une seule porte ouverte

À vrai dire, dans l'agglomération, tout le monde espérait (et pensait) que l'ancien Reichel du Stade Toulousain bluffait. Et qu'il blufferait encore hier, pour un dernier ultimatum. Il ne l'a pas fait, ne laissant qu'une seule porte ouverte : un partenaire providentiel dans les deux ou trois semaines. « Car reconstruire en mai, ce serait un suicide. C'est aujourd'hui que se prépare la saison (quinze joueurs sont en fin de contrat, des recrues potentielles étaient en attente de réponse, NDLR). »

Arrivé en 2007 avec un engagement de trois ans et un investissement dans le capital de 500 000 euros, le PDG de l'entreprise TexMex, dans la banlieue toulousaine, avait affirmé une grande ambition mais aussi son souhait d'être un leader et non un mécène. Obligé de mettre la main à son portefeuille personnel pour boucler le budget (le 9e de Pro D2 avec 4,2 millions d'euros) chaque saison, il a décidé de rendre les armes. « Je suis obligé financièrement. Je suis arrivé à des sommes indécentes, qui ne sont pas en adéquation avec mon éducation. »

L'objet de son courroux : l'absence de soutien malgré ses efforts (table ronde et ouverture du capital l'an passé, match à Chaban-Delmas en octobre). « Nous sommes dans l'agglomération bordelaise, et, outre mon apport, nous avons les ressources les plus faibles de Top 14 et de Pro D2 avec Lannemezan. »

Trouver d'autres solutions

Jusqu'au dernier moment, il aurait pourtant attendu un coup de téléphone de la mairie bordelaise, après avoir joint Alain Juppé dans la semaine. Il l'a reçu, sans élément nouveau et pointant un manque d'implication des collectivités. « Bordeaux est je pense la ville la plus en crise car rien n'est possible. Je ne juge pas, j'ai entendu les réponses. On ne peut faire mieux, moi je ne peux pas donner plus donc j'arrête et il faudra trouver d'autres solutions. Je trouve que le microclimat des affaires ici est affolant. »

Une nouvelle fois, le rugby bordelais se retrouve donc dans le flou. À la recherche d'un repreneur qui investirait à son tour dans un club que Laurent Marti laissera « sain » et lui permettrait de repartir en Pro D2. « Aujourd'hui, la question de l'avenir du rugby professionnel à Bordeaux se pose », pointe Arielle Piazza, adjointe au sport de la capitale aquitaine. Malheureusement, voilà dix ans que ça dure. Pour un retour à (presque) la case départ.
Auteur : NICOLAS LE GARDIEN
n.legardien@sudouest.com

On ne peut pas penser que dans notre région il n'y a pas de GROS sponsors qui ne puissent aider notre club.Je ne suis pas loin de penser qu'il y a une "cabale" sur notre rugby et que le mot est passé pour empêcher le développement de notre club en gironde......

« Aujourd'hui, la question de l'avenir du rugby professionnel à Bordeaux se pose », pointe Arielle Piazza


Ce ne sont pas des questions qu'il faut se poser MAIS DES REPONSES QU'IL FAUT APPORTER !!!! mais anticiper ça les politiques ils savent plus faire ..

Ma question à moi c'est : MAIS QUE FOUT ACCO

... et Simon, Laporte, Moscato, etc., enfin tout ceux qui sans le piédestal qu'a été le club ne seraient pas grand chose.

Comment font les clubs de top 14 comme Brive,Albi,Bayonne par exemple ,pour avoir plus de pognon que nous ?ce sont des petites villes sans gros bassin d'emploi donc d'entreprises....alors que nous:la région phare du vin , l'aéronautique et j'en passe .......................que faut il faire ?????

patrick a écrit:... et Simon, Laporte, Moscato, etc., enfin tout ceux qui sans le piédestal qu'a été le club ne seraient pas grand chose.

Oui mais eux ne sont pas conseillers municipaux à Bordeaux, mème si Simon l'aurait voulu puisqu'il était sur la liste de Rousset.

Les seuls politiques à avoir un peu oeuvré sont Juppé et Mamère, pour la CUB cela n'est pas dans ses attributions, pour la région il y a deux clubs de Top 14 et 4 autres de Prod2 ;ce que je ne comprends vraiment pas c'est le conseil général qui ne soutient absolument pas l'Union et qui met également des batons dans les roues au projet de grand stade.

Du coté du privé de gros entrepreneurs bordelais ( Pichet et Afflelou ) sponsorisent l'Aviron .
Le problème de Laurent Marti c'est qu'il est à la fois le président et le plus gros sponsor, il a une famille et une entreprise à Toulouse.