Champions Cup 2024-2025

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Bon pas mal de casses avec Perchaud, Cazeau, Bochaton out pour un petit moment + Gazzotti et Tatafu avec des pépins. Avec Matiu encore out pour une semaine ça laisse pas grand monde au centre. Rensburg commotionne et pas de retour pour Ducuing et Buros..

https://www.lerugbynistere.fr/news/champions-cup-stade-toulousain-stade-rochelais-la-france-vers-un-5e-sacre-consecutif-0412241440.php

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actu.fr
Champions Cup. Antoine Hastoy (La Rochelle) : "Nous avons envie de retrouver ce côté bulldozer..."
8–10 minutes

L'ouvreur Antoine Hastoy, au regard toujours lucide, reconnaît que La Rochelle est moins souveraine et maîtrise moins les choses dans le jeu, en raison d'une indiscipline globale.



Par Clément Mazella Publié le 3 déc. 2024 à 19h56

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Du côté du Macif Parc à La Rochelle, il n’y avait pas d’effusion de rires ou de sourires en ce début de semaine. La défaite à domicile contre Vannes le week-end dernier avait laissé un goût amer au sein de l’effectif rochelais. Celui-ci ne va pas avoir le temps de tergiverser avec le début de la Champions Cup, vendredi 6 décembre, à Bath, leader du championnat d’Angleterre. L’ouvreur Antoine Hastoy s’est posé quelques instants auprès d’Actu Rugby pour évoquer la situation actuelle et son cas personnel. Il avait des choses à dire…

Actu : Simple accident ou révélateur de quelque chose en sein de l'effectif cette défaite à domicile contre Vannes (14-23) ?

Antoine Hastoy : C'est surtout pas habituel pour nous. Ce n'est pas normal de faire une prestation comme ça devant notre public. Si on veut, on peut se trouver des excuses, mais en vrai ce n'est pas normal. Peut-être que ça va nous piquer pour le changement de compétition et pour le reste de la saison. Mais on a parlé ce lundi matin. On ne peut plus avoir ce même sentiment à la fin du match.
La Rochelle moins souveraine ?

Que s'est-il dit lundi matin lors des retrouvailles et de l'échange entre Ronan O'Gara et l'ensemble de l'effectif ?

A.H : Je pense surtout que chacun doit prendre ses responsabilités. C'est nous qui sommes sur le terrain. Les coachs, c'est ce qu'ils nous ont dit aussi. Mais les premiers sur le terrain, c'est nous.

Avez-vous la sensation que depuis que vous êtes arrivé à La Rochelle (été 2022, NDLR), c'est la première fois que cette équipe dégage moins de sérénité ? En Top 14, il y a eu des non-matchs à Bayonne (37-7), Montpellier (16-0), Vannes, un premier acte manqué à Castres...

A.H : Si nous regardons les matchs, bien sûr. Nous contrôlons bien moins les matchs qu'avant, et nous maîtrisons de ce fait moins notre sujet. L'année où je suis arrivé, je sentais vraiment que nous étions quasiment un bulldozer. Nous avons envie de retrouver ça, et notre souveraineté. Nous bossons pour. Ce qui est différent par rapport à l'an dernier, c'est que nous voyons quand même de meilleurs contenus. Mais il faut aussi admettre qu'il y a des matchs où nous chutons un peu. Tout notre début de saison, c'est irrégulier. Même des matchs que nous avons gagnés par 40 points, les 40 premières minutes, ce n'était pas les plus abouties non plus. Nous savons que c'est long une saison, et que nous n'allons pas être parfait tout le temps.

Qu'est-ce qui cloche dans votre groupe, alors que l'effectif n'a pas changé à l'intersaison ?

A.H : Honnêtement, je ne saurais pas le dire. Parce que c'est le contenu, des fois, qui n'est pas très bon. Et des fois, il est top. C'est ça qui est un peu particulier. Pour l'instant, je ne saurai pas vous dire. Je pense qu'il faut qu'on soit plus précis. Plus précis sur 80 minutes. C'est bateau à dire, mais des fois, nous faisons des enchaînements de fautes. Et c'est là, je pense, qu'avant, nous étions meilleurs. Nous n'enchaînions pas autant de fois d'erreurs. Ce qui pêche, c'est notre discipline en règle générale. Bien sûr, il y a les pénalités, etc. Mais notre discipline dans notre jeu aussi. Nous travaillons beaucoup là-dessus. Cela va venir. Je ne suis pas inquiet. Mais il faut que nous bossions.
Le début de la Champions Cup

Est-ce que ça ne tombe pas bien, finalement, l'arrivée de cette Coupe d'Europe pour tenter de retrouver ce qui a fait votre force ces dernières années ?

A.H : C'est facile de dire qu'il faut monter le curseur, mais ça va vous obliger à le faire en tout cas... Parce que c'est une compétition avec les plus gros. On va à Bath et on reçoit Bristol, soit les deux premiers du championnat anglais. Bristol l'an passé, c'était peut-être un tirage favorable, là ce n'est pas le meilleur. Mais c'est bien. Tant mieux je vais dire. Ça nous fait un challenge. Et on sait où on va.

Bath, Bristol, le Leinster et le Benetton : votre regard sur cette poule qui s'annonce très disputée ?

A.H : Le Benetton, c'est quasiment l'équipe d'Italie au complet. C'est clair qu'elle est dure cette poule. Il n'y a que 4 matchs, ce qui va nous obliger à démarrer fort pour espérer se qualifier. L'enchaînement Bath-Bristol sera costaud, mais c'est bien pour nous. Nous rentrons directement dans le bain, cela il nous faudra être bons. Avec seulement 4 matchs, il n'y a pas beaucoup de droits à l'erreur.

La bonne nouvelle, c'est qu'il n'y aura pas de déplacement en Afrique du Sud, au contraire de l'an passé (face aux Stormers, NDLR). N'est-ce pas ce match de poule (défaite 21-20) qui avait en partie plombé votre campagne européenne de l'an dernier ?

A.H : Je ne pense pas. Nous étions retournés là-bas pour le 8e de finale, et nous avions finalement pris notre revanche. Alors oui, cela nous avait contraint à un parcours délicat, qui s'est terminé par ce quart de finale au Leinster (défaite 40-13, NDLR). Nous avions mis du temps à nous mettre en place dans cette compétition, et il faut que nous changions cela pour cette édition.

Lors de la 3e journée, il y aura des retrouvailles avec le Leinster, encore une fois. L'an passé, vous aviez perdu deux fois, avec une gifle en quart de finale...

A.H : Honnêtement, bien sûr que ça fait mal. 40 points en quart de finale, vous imaginez ? Tu as envie juste de relever la tête. De les réaffronter, bien sûr. Mais tellement de choses se sont passées entre-temps. Pour l'instant, nous allons nous concentrer sur Bath. Bath-Bristol, ça va déjà être bien costaud. Et après, on verra pour le Leinster.
Pas toujours titulaire en ce début de saison, Antoine Hastoy n'a pas été appelé pour la tournée d'été du XV de France.
Pas toujours titulaire en ce début de saison, Antoine Hastoy n’a pas été appelé pour la tournée d’été du XV de France. (Icon Sport)
Son cas personnel

Quel regard portez-vous sur vos prestations en ce début de saison ?

A.H : Je dirais à l'image de l'équipe. C'est irrégulier, au final. Je n'ai pas toujours été titulaire, non plus (10 matchs joués, 6 fois titulaire, NDLR).

D'alterner autant pour vous, c'était prévu entre vous et le staff pour cette saison ?

A.H : C'est ce qui était prévu, oui, en ce début de saison. C'est une gestion comme elle est. Après, c'est le coach qui décide.

L'an dernier, vous aviez joué 32 matchs, et votre saison avait duré plus d'un an. Avez-vous totalement récupéré ?

A.H : L'intersaison m'a permis de récupérer de fou ! Ça m'a fait énormément de bien. Même mentalement. J'étais avec les Bleus en Argentine cet été, et c'était bien pour moi, ça s'est plutôt bien passé. J'étais content. J'avoue qu'une saison de 13 mois, ça n'arrive pas souvent. Mais des tournées d'été, j'en ai fait, donc ça ne m'a pas surpris d'avoir une saison à rallonge. Et puis la fin de saison avait été plutôt bonne pour moi, au niveau des prestations.

Malgré 2 matchs avec le XV de France joués en intégralité en Argentine, vous n'étiez pas dans la liste des 42 pour la tournée d'automne. Comme l'avez-vous accueilli ?

A.H : C'est un choix du sélectionneur. Fabien m'a prévenu. C'est comme ça. Je n'ai pas à être convaincu. C'est son choix.

Ne vous êtes pas dit que le train va peut-être partir sans vous ?

A.H : Là, honnêtement, le seul truc qui me pousse, c'est d'être bon avec mon club, de jouer. C'est le principal pour moi. Et d'être performant. En club, si t'es bon, tu fais partie des Bleus. Le train, en tout cas, je ne veux pas le laisser partir.

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sudouest.fr
Stade Rochelais : « Si on ne passe pas à autre chose, on ne gagnera pas », sait Jack Nowell avant de retrouver Bath
Benjamin Deudon
4–5 minutes

L’ailier anglais de La Rochelle vivra forcément un moment particulier vendredi, au Recreation Ground, non loin de chez lui et devant les membres de sa famille. Mais il espère surtout que son équipe montrera qu’elle vaut mieux que la défaite de Vannes

Quel est l’état d’esprit du groupe – et le vôtre – quelques jours après la défaite face à Vannes (14-23) ?

Il y a évidemment beaucoup de déception après notre performance de la semaine dernière. On ne veut jamais perdre, surtout pas à la maison ; le mérite en revient à Vannes, qui a été très bon, mais on veut être meilleurs en tant qu’équipe. Il n’y a donc pas de meilleur moment pour nous pousser à aller de l’avant cette saison qu’en commençant la Champions Cup avec un match difficile à Bath. On a parlé rapidement de notre dernier match mais on a très rapidement basculé. Les gars sont très enthousiastes à l’idée de commencer cette compétition.

Les leaders se sont-ils fait entendre ?

Oui. Très rapidement, lundi, il y a eu des conversations entre les coaches et les joueurs, aussi. ‘’ROG’’ (Ronan O’Gara) a parlé, bien sûr, mais je suis sûr que toute l’équipe partageait le même sentiment. C’est une grande déception mais on ne peut pas rester sur ça trop longtemps. On n’a pas fait de notre mieux, il y a eu des erreurs et notre attitude n’était pas correcte mais si on ne passe pas à autre chose, on ne gagnera pas. On veut utiliser ça pour faire de notre mieux contre Bath.

Est-ce l’occasion d’opérer un nouveau départ, cette compétition ?

Oui, le club a beaucoup d’histoire dans cette compétition. L’année dernière, on s’est laissés tomber en perdant chez le Leinster comme on l’a fait (40-13 en quart de finale, NDLR). On est une meilleure équipe désormais. C’est une nouvelle année, un nouveau départ, c’est ce qu’on a utilisé pour ce match, on doit avancer maintenant.

« Bath était un peu le Croque-mitaine pour Exeter quand j’étais plus jeune »

Avez-vous déjà vécu ce genre de période avec Exeter ?

Non, je ne crois pas.

Que pensez-vous des deux matchs à venir contre Bath puis Bristol, les deux leaders de Premiership ?

J’ai vraiment hâte de rentrer à la maison avec mon équipe et de jouer à Bath. J’ai beaucoup de famille qui viendra, ce sera cool. Bristol et Bath sont premier et deuxième de Premiership, oui, ils jouent très bien en ce moment, ce sont des équipes qui n’ont pas peur de jouer au ballon, peu importe où elles sont sur le terrain. Nous savons que nous devrons être à notre meilleur niveau face à elles, c’est ce dont on a parlé cette semaine. Quant à moi, personnellement, j’ai le sentiment que j’évolue avec certains des meilleurs joueurs du monde. Je sais qu’on est bien meilleurs que ce que nous avons montré. C’est une question de temps avant qu’on ne commence à jouer ensemble sur le terrain.

Est-ce un derby pour vous, qui venez des Cornouailles ?

Bath et Bristol font partie des équipes locales pour moi (sourire). Il y a un peu de rivalité entre Bath et nous, oui…

Quelles sont les forces de cette équipe ?

De nouveaux coachs sont arrivés ces dernières années, c’est une équipe qui travaille ensemble depuis longtemps et qui bénéficie du recrutement de joueurs de qualité, comme Finn Russell (le n°10 de l’Écosse, NDLR), Ben Spencer (demi de mêlée international, NDLR), qui a été capitaine quelques saisons. C’est une équipe qui sait comment jouer. Son pack est très bon, avec des garçons comme (le 3e ligne) Sam Underhill, certainement l’un des meilleurs défenseurs du monde (sourire). Il y a aussi Alfie Barbeary (le n°8, NDLR)… Il y a de la qualité à tous les postes. Un peu comme nous. Après avoir très bien joué en championnat ces dernières saisons, ils vont certainement vouloir en faire autant en Champions Cup, désormais.

Quels sont vos souvenirs face à eux ?

Ils sont très partagés. Bath était un peu le Croque-mitaine pour Exeter quand j’étais plus jeune. Nous n’avons commencé à gagner contre eux que dans la deuxième partie de ma carrière à Exeter. Le souvenir qui m’a plus le plus marqué est probablement la première fois que nous nous sommes imposés au « Rec » (le Recreation Ground, NDLR).
Bath - La Rochelle

Lieu Bath (Recreation Ground) Horaire Vendredi, à 21 heures (heure française) Arbitres M. Brace (IRL)

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sudouest.fr
Champions Cup : le Stade Toulousain d’Antoine Dupont connaît le prix de l’histoire
Arnaud David
5–7 minutes

Tenants de la Champions Cup, les Toulousains sont les premiers favoris à leur succession dans une épreuve qui autorise peu d’erreurs. Les Irlandais du Leinster finalistes malheureux des trois dernières éditions, seront de nouveau leurs premiers rivaux

Au Stade Toulousain, la génération Antoine Dupont n’a jamais fait mystère de son envie de marquer l’histoire du club. C’est un levier de motivation dont s’est servi Ugo Mola dans un passé pas si lointain. On se souvient de cette petite pique lancée à l’adresse de son groupe juste avant les demi-finales de la Champions Cup face aux Harlequins au printemps dernier. L’entraîneur toulousain avait questionné la place qu’occupait son équipe dans la légende des « Rouge et Noir », sous-entendant qu’elle ne figurait pas forcément au sommet.

Le demi de mêlée international et ses équipiers avaient réglé le débat en cinq semaines en décrochant d’abord le sixième titre « européen » du club à l’issue d’un duel épique avec le Leinster avant de balayer l’Union Bordeaux-Bègles en finale du Top 14 pour déposer un 23e bouclier de Brennus dans l’armoire à trophées d’Ernest-Wallon.
Cercle fermé

Au vu de son début de saison, il n’y a aucune raison de penser que cette génération est rassasiée. Si elle fonctionne toujours avec les mêmes ressorts, elle a probablement noté qu’on célébrera le 24 mai prochain à Cardiff le trentième lauréat de la compétition. Les premiers vainqueurs étaient toulousains. Didier Lacroix, l’actuel président, jouait troisième ligne aile, et Ugo Mola était entré à l’aile à la 69e minute d’une finale face à Cardiff (21-18) à l’Arms Park qui s’était étirée jusqu’en prolongation.

Si l’on s’autorise ce retour en arrière au moment de présenter cette nouvelle édition, c’est que le roman de l’épreuve est découpé en chapitres, en périodes d’hégémonie. Triplé du Leinster (2011, 2012, 2018), de Toulon (2013, 2014, 2015), des Saracens (2016, 2017, 2019), doublé du Stade Rochelais (2022, 2023). Comme si cette Champions Cup n’acceptait à son palmarès que les membres d’un cercle fermé (1).

Les Dublinois restent sur trois crève-cœurs en finale face aux Rochelais deux fois, puis contre les Toulousains

La certitude, c’est que cette compétition impose un certain niveau d’excellence et de la maturité. La « dynastie Toto », qui est aussi celle des Cros, Mauvaka, Ramos, Marchand, Baille, Flament, Cruz Mallía, Ahki, l’a remportée deux fois déjà (2021, 2024) en ayant compris les pièges de la formule. À l’heure des pronostics, elle est donc la première favorite à sa succession.

Qui peut la faire chuter ? Le Leinster bien sûr. Les Dublinois restent sur trois crève-cœurs en finale face aux Rochelais, deux fois, puis contre les Toulousains. Comme un cauchemar récurrent. On se souvient de la tristesse et des mots de l’entraîneur Leo Cullen au printemps dernier à Londres. « Tout le monde est dévasté. » Et de l’abattement de son capitaine Caelan Doris à ses côtés. « On tape à la porte de la victoire mais on n’y arrive pas. »

Mais lorsqu’on regarde la qualité d’un effectif renforcé par le centre des All Blacks Jordie Barrett et par le deuxième ligne des Springboks RG Snyman, rien ne dit que la porte ne s’ouvrira pas cette fois.
Faussement indolore

Qui pourrait troubler le jeu, se mettre en travers des ambitions de Toulouse et du Leinster ? Personne ne tire dans la même catégorie mais on peut dégager une grosse escouade d’outsiders. Chez les pensionnaires du Top 14, on citera l’Union Bordeaux-Bègles, quart de finaliste l’an passé. Si les Girondins règlent leurs problèmes en conquête, leur rugby très offensif se prête au format de la compétition. En raison de son passé, il est difficile d’écarter définitivement le Stade Rochelais. Mais Grégory Alldritt et ses camarades vont devoir retrouver au plus vite un peu du pétillant, de l’énergie collective.

Et les Anglais ? Frappé par la crise économique, leur championnat a été ramené de 13 à 10 clubs. Le calendrier a été allégé et les effectifs renforcés. L’an passé, Northampton et les Harlequins s’étaient hissés en demi-finales. Cette fois, c’est le trio Bath, Bristol Leicester qui a des arguments à faire valoir. Les Sud Africains ? Les Bulls et les Sharks peuvent faire dérailler un prétendant. Aller au bout ? C’est moins probable.

Car la formule exige de la régularité. Elle est faussement indolore en n’écartant que huit clubs sur vingt-quatre à l’issue de la première phase. Mais le chemin qui mène ensuite des huitièmes jusqu’à la finale est balisé par l’ordre de sortie de la phase de poules. L’an passé, le Stade Toulousain avait réalisé le score parfait (20/20) lors des quatre premiers matchs, suivi par le Leinster (19/20). C’est à ce prix qu’on marque l’histoire.

(1) Sur 29 éditions, cinq clubs seulement se sont imposés une seule fois : Brive (1997), Bath (1998), Ulster (1999), Northampton (2000), Exeter (2020).
La formule

Les 24 clubs sont répartis en quatre poules de six. Chaque club joue quatre matchs contre quatre adversaires différents, deux à domicile, deux à l’extérieur. Deux clubs d’un même pays ne se rencontrent pas. Les quatre meilleurs de chaque poule se qualifient pour les huitièmes. Ils sont classés de 1 à 16. Les quatre vainqueurs de poule sont classés de 1 à 4, les deuxièmes de 5 à 8 etc. Les clubs les mieux classés ont l’avantage du terrain en quarts de finale et en demi-finales.

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On fait quoi dans le rubrique "C'était mieux avant"

Il est vraiment temps que Scalp reprenne du service !!!

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sudouest.fr
Champions Cup : « Pas fier » de lui, le Stade Rochelais « doit montrer les crocs » à Bath
Benjamin Deudon
4–6 minutes

Battus sans gloire à Deflandre par Vannes, les Maritimes enchaînent six jours plus tard chez le leader du championnat anglais. Avec l’ambition de retrouver, ce vendredi, un peu de leur lustre passé

Si le site de l’EPCR, l’organisateur de la Champions Cup, présente, avant ce choc à Bath, le Stade Rochelais comme le « double tenant du titre », il y a longtemps que la bande de Grégory Alldritt, de retour ce vendredi, a fait le deuil de ce statut. Enfin, c’est relatif… « Il nous a fallu un an pour le comprendre, malheureusement », et un quart sévèrement perdu 40 à 13 à Dublin, face au Leinster. « Il nous avait montré qu’on se mentait un petit peu depuis le début de la saison, qu’on n’était pas prêts physiquement, techniquement. Pourtant, on le pensait. Ça nous a fait retomber les pieds sur terre. Grâce à ça, on a failli faire une belle fin de saison. »

Problème, quelques mois plus tard, La Rochelle a de nouveau sombré corps et biens contre Bayonne (37-7) le 12 octobre puis face au promu et dernier vannetais (14-23) le 30 novembre. « On avait tendance, notamment l’an dernier, à penser qu’avec Will (Skelton), Uini (Atonio), ‘UJ’ (Seuteni), ça allait se faire tout seul, parce qu’on l’avait fait par le passé. Non, il faut des actes, se bouger sur le terrain, tranche le troisième-ligne gersois. Notre groupe a énormément de qualités mais il doit montrer les crocs pour prouver qu’on peut gagner cette coupe. »
Hastoy hors groupe

En 2023-2024, le club à la caravelle n’avait eu besoin d’accélérer que sur quelques courtes périodes pour se qualifier en Champions Cup puis en Top 14. Cela n’a pas rendu service à sa régularité. En sera-t-il différemment cette fois ? Le revers à domicile contre Vannes a en tout cas précédé un geste fort, celui de se passer de l’ouvreur international Antoine Hastoy au Recreation Ground. Il n’était pourtant pas de la débâcle, mais Ronan O’Gara veut visiblement responsabiliser ses patrons.

« Ce n’est pas possible que certains jouent 35 matchs par an. Je dois être meilleur dans ma sélection »

« On n’a pas le choix ce week-end. Mais si on parle comme ça, on ouvre la porte à la possibilité de choisir nos matchs et ça, c’est fini, cingle le manager rochelais. ‘Greg’ l’a très bien dit, on doit tous monter nos standards. La Champions Cup a donné des émotions incroyables à tout le monde, on aimerait recommencer, mais ça ne veut pas dire que c’est prioritaire par rapport au Bouclier […] Il y a un appétit pour les matchs en Europe, mais à l’extérieur en Top 14, certains – c’est peut-être lié à mon coaching – pensent que le défi n’est pas assez bien. J’y ai beaucoup réfléchi après samedi. Je réfléchis vraiment toujours à quelle équipe aligner. Parce que ce n’est pas possible que certains jouent 35 matchs par an. Je dois être meilleur dans ma sélection. »

Histoire d’avoir une émulation aussi efficace que chez ses rivaux ? « On a un groupe très homogène, il faut que tout le monde le comprenne, que tous les joueurs aient en tête le lundi de vouloir être dans les 23, complète Alldritt. À nous de faire en sorte que ces deux matchs (à Bath puis face à Bristol, les leaders de Premiership, NDLR) lancent deux mois hyper importants, qui détermineront notre saison ». « On doit envoyer un message, dire qu’on est là pour gagner, pas juste pour perdre en 8e ou en quart. Tu peux presque déjà réserver tes vacances si tu ne gagnes pas en décembre et janvier », relaie Dillyn Leyds, qui inclut le championnat dans son raisonnement.
Résoudre durablement l’énigme

Alors qu’Alldritt répète « adorer » la Champions Cup, n’y a-t-il pas, pour rebondir sur les mots de « ROG », une certaine lassitude générale avec le marathon Top 14 ? « Non. On a la chance de jouer dans un Deflandre plein, avec une ambiance énorme, des supporters qui nous aiment. S’il y en a un qui est lassé de ça, il faut qu’il lève la main, qu’il change de club de suite ou qu’il arrête le rugby. Qu’il aille un peu dans les champs ou avec les ostréiculteurs, répond-il, le sourire ferme. J’espère que [Vannes] est une simple erreur de parcours. En tout cas, on n’est pas fiers. »

« Les contre-performances interviennent souvent face à des équipes qui ne sont pas dans le top 8 ou 10. Notre équipe n’a pas de règles, pas de respect pour les règles. On est une énigme… Le but, c’est de régler ça. Ce qu’on doit changer, c’est l’attitude. C’est facile de le faire ; l’important, c’est que ça soit durable », conclut O’Gara.

https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/champions-cup-toulouse-s-indigne-il-ne-comprend-pas-pourquoi-il-a-herite-d-une-poule-aussi-dure_61967596.html

marchal a écrit:https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/champions-cup-toulouse-s-indigne-il-ne-comprend-pas-pourquoi-il-a-herite-d-une-poule-aussi-dure_61967596.html

Ben, voyons...

Dr. Gregory Bouse a écrit:

marchal a écrit:https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/champions-cup-toulouse-s-indigne-il-ne-comprend-pas-pourquoi-il-a-herite-d-une-poule-aussi-dure_61967596.html

Ben, voyons...

On n'a qu'à les qualifier de suite pour la finale

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

marchal a écrit:https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/champions-cup-toulouse-s-indigne-il-ne-comprend-pas-pourquoi-il-a-herite-d-une-poule-aussi-dure_61967596.html

Ben, voyons...

On n'a qu'à les qualifier de suite pour la finale

Ou mieux: remettre directement la Coupe entre les mains de Toto Dupont, ce sera plus simple et les articles de presse sont déjà prêts.

Vous etes pas sympa, vous comprenez pas que c'est compliqué pour eux devoir se taper un voyage an AFS alors que nous on y a échappé vous etes dur il va falloir qu'il fasse un trail dans la brousse, ça daille

https://www.rugbyrama.fr/2024/12/06/champions-cup-gagner-la-competition-ne-donne-aucun-avantage-les-toulousains-circonspects-quant-a-la-composition-des-poules-de-champions-cup-12374603.php

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/coupe-d-europe/je-ne-comprends-pas-ramos-exaspere-par-le-format-de-la-champions-cup_AV-202412060661.html

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/coupe-d-europe/chamions-cup-qui-peut-concurrencer-le-stade-toulousain_AV-202412060656.html

https://www.rugbyrama.fr/2024/12/06/champions-cup-antoine-dupont-toulouse-on-ne-veut-pas-voir-une-autre-equipe-soulever-ce-trophee-a-notre-place-12374291.php

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/coupe-d-europe/champions-cup-le-stade-francais-fait-tourner-pour-affronter-le-munster-20241206

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

marchal a écrit:https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/champions-cup-toulouse-s-indigne-il-ne-comprend-pas-pourquoi-il-a-herite-d-une-poule-aussi-dure_61967596.html

Ben, voyons...

On n'a qu'à les qualifier de suite pour la finale

Ou mieux: remettre directement la Coupe entre les mains de Toto Dupont, ce sera plus simple et les articles de presse sont déjà prêts.

Vous allez vite en besogne... Blague a part, et sans remettre une pièce dans le bousin, vous comprennez comment sont construites les poules ?
Dans l'absolue, tout les club anglais/fr sont desavantagé, les club de l'URC n'ayant pas a se déplacer en af'sud.
Quand on sait:
- l'importance de faire un sans faute ( pour le tableau finale ),
- et l'incidence sur la gestion d'une saison que peut avoir un déplacement dans l'autre hemisphère...
Et vous ( bordelais ) comme les rochelais le savez mieux que nous ( toulouse ).

Bah ça donne un léger avantage a l'autre ogre de la compétition .. que s'appelerio "le Leinster".

D'un point de vu plus partisan, même si le titre est très "put@click", Ramos dit que lui et d'autres joueurs ( d'autre club ) ne comprennent pas comment sont faites les poules, et Mola lui se base aussi sur l'année dernière ou LR n'a pas été mieux lotis.
C'est quand même rare les compétitions ou il n'y pas de "ranking" donnant un léger avantage au tenant du titre.
Par contre j'entends totalement que ce soit frustrant pour les autres équipes en lice, de voir la meilleure équipe de la saison dernière, avantagée, alors qu'on peut légitimement penser qu'ils n'ont pas besoin de ça.
D'ou le trait d'esprit de Mola " ça n'a aucun intérêt de gagner "

et namaste

https://www.rugbypass.com/fr/news/ribbans-toulon-lan-dernier-on-a-ete-decevants/


actu.fr
"On a Mathieu Bastareaud pour nous rappeler le passé": ça chambre à Toulon en voyage en Afrique du Sud
6–7 minutes

RUGBY. L'ambiance est bonne du côté du RC Toulon en déplacement en Afrique du Sud pour la Champions Cup. Entre chambrages réglementaires et activités extra rugby exceptionnelles.

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L'ambiance est au beau fixe dans les rangs de Toulon avant de lancer la campagne de Champions Cup contre les Stormers en Afrique du Sud.
L’ambiance est au beau fixe dans les rangs de Toulon avant de lancer la campagne de Champions Cup contre les Stormers en Afrique du Sud. (Icon Sport)

Par Thomas Corbet Publié le 6 déc. 2024 à 15h28

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En voyage en Afrique du Sud pour la 1ère journée de Champions Cup, les joueurs de Toulon en ont profité, en dehors des entrainements, pour se mettre au vert lors de sorties exceptionnelles. Interrogé sur le glorieux passé du club, le demi de mêlée Baptiste Serin s’est permis un chambrage en règle à l’encontre de Mathieu Bastareaud.
Champions Cup : Baptiste Serin taquine Mathieu Bastareaud

Un glorieux passé est parfois lourd à porter. Et dieu sait que la gloire, le RC Toulon des années 2010 l’a connue. Un bouclier de Brennus, trois titres européens consécutifs. Sur la scène continentale, en si peu de temps, on ne peut guère trouver plus solide palmarès.

Interrogé sur le poids de cet héritage, Baptiste Serin prend pour sa part le sujet avec une rafraichissante légèreté : « Franchement, on n’y fait pas du tout attention, on n’en a même pas discuté entre nous. C’est le passé du club, on est au courant. Et puis on a Mathieu Bastareaud pour nous le rappeler ! »

Triple vainqueur de la Champions Cup, l’ancien centre devenu team manager demeure en effet une des âmes du club varois et reste un des derniers hommes présents pour porter ce flambeau. Avec Pierre Mignoni, évidemment, qui était des deux premiers titres.
Une nouvelle histoire à écrire

Si ce passé pas si lointain ravit les nostalgiques de la rade, le plus récent est en revanche un tantinet moins reluisant. L’année dernière, Toulon avait bouclé sa campagne de Champions Cup avec un zéro pointé.

« Je pense que, l’année dernière, on n’a pas eu de chance clairement, parce qu’on a fait quand même de gros matchs. Mais malheureusement, les dés ne sont jamais tombés pour nous, il y a eu des blessures, des faits de match, l’arbitrage, plein de choses qui ont été en notre défaveur. Mais maintenant c’est une nouvelle campagne et notre équipe s’est construite aussi l’année dernière avec ça », estime Serin.

Un bilan qui reste « dans un coin de la tête » des Varois, d’après Pierre Mignoni, qui lui aussi souhaite se tourner vers l’avenir après avoir évoqué les grandes années du RCT.

« C’est derrière nous, ça fait partie de l’héritage. Je crois que les joueurs sont concentrés sur vivre leur histoire eux-mêmes. C’est la première fois que le RCT vient ici en Afrique du Sud donc c’est assez historique. On a envie d’écrire notre propre histoire sur ce qui va arriver. C’est un événement plutôt différent d’il y a 10 ans. En tout cas, on est fiers de porter nos couleurs ici, dans ce beau pays », ajoute le manager.
En Afrique du Sud mais pas en vacances

Un déplacement en Afrique du Sud sur une courte semaine, voilà qui n’est pas un cadeau à moins de n’y venir que pour le tourisme. « Malheureusement », les Toulonnais ont un match à jouer qui sera déjà déterminant pour leur avenir en Champions Cup. Il a donc fallu s’adapter.

« Ce voyage n’était pas simple, on le savait, 24 heures de déplacement, les joueurs étaient au courant, on a essayé de ne pas trop le subir. On a pris 3 vols pour accéder à Port-Elizabeth. Beaucoup de récupération, beaucoup de stratégie sur le début de la semaine. Pour faire uniquement deux entraînements, dont un avec un peu d’intensité jeudi… Dans l’ensemble, je sens qu’on a plutôt bien digéré ce voyage », espère Pierre Mignoni.

Et quitte à y être, lui et ses hommes ont profité de l’opportunité de ce périple pour sortir encore davantage du cadre sportif en réalisant des activités qu’ils n’auront peut-être plus l’occasion de s’offrir.

Mathieu Bastareaud nous avait préparé beaucoup de choses hyper sympas. On est allés à la fondation de Siya Kolisi, on a fait un safari. On a quand même aussi des jeunes joueurs et même des joueurs plus anciens qui n'avaient jamais vécu ça. Et ça nous a permis de sortir du cadre, de prendre les choses un peu plus relax et de ne pas se dire "c'est un voyage qui est long, c'est éprouvant pour les organismes", etc. On a essayé de prendre cette semaine-là avec beaucoup de positif, de faire d'autres choses un peu à côté du rugby.

« Il y a eu beaucoup de cohésion, voire de dérision, sur cette semaine qui a renforcé encore les liens entre les joueurs, j’en suis sûr. On a passé des bons moments, on a fait des activités. Ce n’était pas du tout les vacances mais c’était important de switch off, switch on, comme on dit, et que les joueurs prennent beaucoup de plaisir à ne pas subir ce voyage. En tout cas, c’était notre philosophie, pour passer des bons moments et renforcer nos liens », explique l’ancien numéro 9.

« Je crois qu’on a, en tout cas sur cet objectif-là, bien réussi. Je suis très content de la semaine, du contenu de la semaine. Et j’ai le sentiment que les joueurs aussi », conclut-il.

En espérant pour les Varois que cette belle semaine se termine aussi bien qu’elle s’est déroulée.

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Tothor a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

marchal a écrit:https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/champions-cup-toulouse-s-indigne-il-ne-comprend-pas-pourquoi-il-a-herite-d-une-poule-aussi-dure_61967596.html

Ben, voyons...

On n'a qu'à les qualifier de suite pour la finale

Ou mieux: remettre directement la Coupe entre les mains de Toto Dupont, ce sera plus simple et les articles de presse sont déjà prêts.

Vous allez vite en besogne... Blague a part, et sans remettre une pièce dans le bousin, vous comprennez comment sont construites les poules ?
Dans l'absolue, tout les club anglais/fr sont desavantagé, les club de l'URC n'ayant pas a se déplacer en af'sud.
Quand on sait:
- l'importance de faire un sans faute ( pour le tableau finale ),
- et l'incidence sur la gestion d'une saison que peut avoir un déplacement dans l'autre hemisphère...
Et vous ( bordelais ) comme les rochelais le savez mieux que nous ( toulouse ).

Bah ça donne un léger avantage a l'autre ogre de la compétition .. que s'appelerio "le Leinster".

D'un point de vu plus partisan, même si le titre est très "put@click", Ramos dit que lui et d'autres joueurs ( d'autre club ) ne comprennent pas comment sont faites les poules, et Mola lui se base aussi sur l'année dernière ou LR n'a pas été mieux lotis.
C'est quand même rare les compétitions ou il n'y pas de "ranking" donnant un léger avantage au tenant du titre.
Par contre j'entends totalement que ce soit frustrant pour les autres équipes en lice, de voir la meilleure équipe de la saison dernière, avantagée, alors qu'on peut légitimement penser qu'ils n'ont pas besoin de ça.
D'ou le trait d'esprit de Mola " ça n'a aucun intérêt de gagner "

et namaste

C'est évident que le tirage au sort ne respecte pas un certain ranking lié aux performances de la saison passée.

Je suis assez d'accord qu'un double champion Top 14 et Coupe d'Europe, ce n'est pas le champion d'Italie... Trop facile en effet que le Leinster, sous le prétexte d'affronter des Sudafs en URC, soit dispensé de voyage pénible et de matches tout aussi pénibles contre ces mêmes franchises Sudafs...

Vu le peu de poids que pèse la délégation française dans les prises de décision du Rugby mondial, je me dis que nos clubs ne sont pas prêts d'être alignés sur la même ligne que les autres nations.

Cependant, Mola a été bien biberonné par Novès, il sait pleurnicher quand le besoin s'en fait sentir.

Tothor a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

marchal a écrit:https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/champions-cup-toulouse-s-indigne-il-ne-comprend-pas-pourquoi-il-a-herite-d-une-poule-aussi-dure_61967596.html

Ben, voyons...

On n'a qu'à les qualifier de suite pour la finale

Ou mieux: remettre directement la Coupe entre les mains de Toto Dupont, ce sera plus simple et les articles de presse sont déjà prêts.

Vous allez vite en besogne... Blague a part, et sans remettre une pièce dans le bousin, vous comprennez comment sont construites les poules ?
Dans l'absolue, tout les club anglais/fr sont desavantagé, les club de l'URC n'ayant pas a se déplacer en af'sud.
Quand on sait:
- l'importance de faire un sans faute ( pour le tableau finale ),
- et l'incidence sur la gestion d'une saison que peut avoir un déplacement dans l'autre hemisphère...
Et vous ( bordelais ) comme les rochelais le savez mieux que nous ( toulouse ).

Bah ça donne un léger avantage a l'autre ogre de la compétition .. que s'appelerio "le Leinster".

D'un point de vu plus partisan, même si le titre est très "put@click", Ramos dit que lui et d'autres joueurs ( d'autre club ) ne comprennent pas comment sont faites les poules, et Mola lui se base aussi sur l'année dernière ou LR n'a pas été mieux lotis.
C'est quand même rare les compétitions ou il n'y pas de "ranking" donnant un léger avantage au tenant du titre.
Par contre j'entends totalement que ce soit frustrant pour les autres équipes en lice, de voir la meilleure équipe de la saison dernière, avantagée, alors qu'on peut légitimement penser qu'ils n'ont pas besoin de ça.
D'ou le trait d'esprit de Mola " ça n'a aucun intérêt de gagner "

et namaste

Les ogres de la compétition sont ceux qui gagnent les finales, pas ceux qui les perdent...et le Leinster, c'est 3 ou 4 finale perdues successivement.

La majorité des supporters toulousains nous le répète à l'envi: c'est l'armoire à trophées qui compte et le nombre de titres qui s'y entassent...le reste ne vaut pas un pichet de cidre...

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Tothor a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

marchal a écrit:https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/champions-cup-toulouse-s-indigne-il-ne-comprend-pas-pourquoi-il-a-herite-d-une-poule-aussi-dure_61967596.html

Ben, voyons...

On n'a qu'à les qualifier de suite pour la finale

Ou mieux: remettre directement la Coupe entre les mains de Toto Dupont, ce sera plus simple et les articles de presse sont déjà prêts.

Vous allez vite en besogne... Blague a part, et sans remettre une pièce dans le bousin, vous comprennez comment sont construites les poules ?
Dans l'absolue, tout les club anglais/fr sont desavantagé, les club de l'URC n'ayant pas a se déplacer en af'sud.
Quand on sait:
- l'importance de faire un sans faute ( pour le tableau finale ),
- et l'incidence sur la gestion d'une saison que peut avoir un déplacement dans l'autre hemisphère...
Et vous ( bordelais ) comme les rochelais le savez mieux que nous ( toulouse ).

Bah ça donne un léger avantage a l'autre ogre de la compétition .. que s'appelerio "le Leinster".

D'un point de vu plus partisan, même si le titre est très "put@click", Ramos dit que lui et d'autres joueurs ( d'autre club ) ne comprennent pas comment sont faites les poules, et Mola lui se base aussi sur l'année dernière ou LR n'a pas été mieux lotis.
C'est quand même rare les compétitions ou il n'y pas de "ranking" donnant un léger avantage au tenant du titre.
Par contre j'entends totalement que ce soit frustrant pour les autres équipes en lice, de voir la meilleure équipe de la saison dernière, avantagée, alors qu'on peut légitimement penser qu'ils n'ont pas besoin de ça.
D'ou le trait d'esprit de Mola " ça n'a aucun intérêt de gagner "

et namaste

C'est évident que le tirage au sort ne respecte pas un certain ranking lié aux performances de la saison passée.

Je suis assez d'accord qu'un double champion Top 14 et Coupe d'Europe, ce n'est pas le champion d'Italie... Trop facile en effet que le Leinster, sous le prétexte d'affronter des Sudafs en URC, soit dispensé de voyage pénible et de matches tout aussi pénibles contre ces mêmes franchises Sudafs...

Vu le peu de poids que pèse la délégation française dans les prises de décision du Rugby mondial, je me dis que nos clubs ne sont pas prêts d'être alignés sur la même ligne que les autres nations.

Cependant, Mola a été bien biberonné par Novès, il sait pleurnicher quand le besoin s'en fait sentir.

Ça nous sommes d'accord et je n'ai pas assez de mauvaise foi pour venir te contredire sur ce point...

Mais je persiste à penser que dans le fond son propos n'est pas déconnant et si les choses venaient a bouger ( spoiler alerte j'y crois pas ), cela ne servirait pas que les intérêts du stade toulousain.

Bref bon match a vous, écartelez les anglois en place publique, qu'on puisse continuer notre mano a mano tranquillement dans le championnat domestique !

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Tothor a écrit:

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Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

marchal a écrit:https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/champions-cup-toulouse-s-indigne-il-ne-comprend-pas-pourquoi-il-a-herite-d-une-poule-aussi-dure_61967596.html

Ben, voyons...

On n'a qu'à les qualifier de suite pour la finale

Ou mieux: remettre directement la Coupe entre les mains de Toto Dupont, ce sera plus simple et les articles de presse sont déjà prêts.

Vous allez vite en besogne... Blague a part, et sans remettre une pièce dans le bousin, vous comprennez comment sont construites les poules ?
Dans l'absolue, tout les club anglais/fr sont desavantagé, les club de l'URC n'ayant pas a se déplacer en af'sud.
Quand on sait:
- l'importance de faire un sans faute ( pour le tableau finale ),
- et l'incidence sur la gestion d'une saison que peut avoir un déplacement dans l'autre hemisphère...
Et vous ( bordelais ) comme les rochelais le savez mieux que nous ( toulouse ).

Bah ça donne un léger avantage a l'autre ogre de la compétition .. que s'appelerio "le Leinster".

D'un point de vu plus partisan, même si le titre est très "put@click", Ramos dit que lui et d'autres joueurs ( d'autre club ) ne comprennent pas comment sont faites les poules, et Mola lui se base aussi sur l'année dernière ou LR n'a pas été mieux lotis.
C'est quand même rare les compétitions ou il n'y pas de "ranking" donnant un léger avantage au tenant du titre.
Par contre j'entends totalement que ce soit frustrant pour les autres équipes en lice, de voir la meilleure équipe de la saison dernière, avantagée, alors qu'on peut légitimement penser qu'ils n'ont pas besoin de ça.
D'ou le trait d'esprit de Mola " ça n'a aucun intérêt de gagner "

et namaste

Les ogres de la compétition sont ceux qui gagnent les finales, pas ceux qui les perdent...et le Leinster, c'est 3 ou 4 finale perdues successivement.

La majorité des supporters toulousains nous le répète à l'envi: c'est l'armoire à trophées qui compte et le nombre de  titres qui s'y entassent...le reste ne vaut pas un pichet de cidre...

Pour gagner des finales la première étapes du process ... C'est d'y arriver.

Et avec 3 ou 4 étoiles le Leinster de part sa régularité n'est pas a galvaudé.
Je crois que c'est le club le plus titré après Toulouse, alors je l'arme de méfiance et respect a leurs égards.
A Toulouse on a déjà payé pour apprendre ( avec eux :/ )

Si j'étais chauvin je rajouterai que comme c'est LEUR compétition, ils font partis des figure de proue.