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ITW de P. Camou 04/2009
3 participants
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté tribune officielle
Page 1 sur 1
ITW de P. Camou 04/2009
http://www.sudouest.com/accueil/sports/rugby/article/568264/mil/4436135.html
PIERRE CAMOU. Équipe de France, provinces, relations avec la Ligue : le nouveau président de la Fédération française de rugby s'explique
« Construire dans la durée »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
« Tout le monde est pour l'équipe de France, du moment que son club est premier... » (photo claude petit)
« Sud Ouest ».
Quel est votre regard sur le bilan du XV de France, qui, en deux saisons, a dégringolé à la 8e place du classement mondial ?
Pierre Camou. Étions-nous premiers avant ? Non, nous étions sixièmes. Ce n'est pas une dégringolade. Je pense que l'équipe de France n'est que le reflet du championnat français. En 2001, il devait y avoir 18 % de joueurs étrangers dans les contrats professionnels. Aujourd'hui, on en est à 46 %. Et je ne parle que des contrats, pas du nombre de joueurs qui débutent les rencontres. La Ligue a compris le danger pour elle-même et, in fine, pour l'équipe de France. De plus, dans l'hémisphère Sud, il y a 25 % des joueurs du Super 14 qui ont moins de 20 ans. On n'en a pas 10 % en France, alors qu'on a récemment gagné le tournoi international des moins de 20 ans. Où sont-ils, ces joueurs ? C'est sûr que l'équipe de France n'est que le reflet de ce qui se passe autour d'elle.
Avez-vous eu, au cours du dernier Tournoi des VI Nations, le sentiment d'une progression du sélectionneur Marc Lièvremont ?
Oui. Marc a peut-être un défaut qui, pour moi, n'en est pas un : c'est qu'il dit ce qu'il ressent. Il n'a d'ailleurs pas besoin de le dire, puisqu'on le lit dans ses yeux. Quand il exprime son ressenti, c'est parfois considéré comme de la faiblesse, parfois comme de l'arrogance. Dans la communication, il y a un équilibre à trouver. D'autres ont déjà fait cette expérience, avant de fermer les portes. Il grandit, il apprend. Le plus important, c'est le projet de jeu. Il faut de la stabilité et avoir un objectif. Si j'ai un reproche éventuellement à faire, c'est, par moments, d'avoir cédé et de ne pas être resté dans une stabilité complète. C'est le seul.
Quand Pierre Berbizier déplore que le XV de France soit « un laboratoire expérimental », comment réagissez-vous ?
En France, quand on veut commencer à travailler, il faut bac + 6 et quatre ans d'expérience. Alors quand est-ce qu'on les fait ces quatre ans ? Nous avons eu des entraîneurs expérimentés en équipe de France. Et a-t-on gagné une Coupe du monde ? A-t-on gagné tous les Tournois ? Et est-ce qu'être un grand entraîneur, c'est gagner un titre parce qu'on a la crème des joueurs - qu'il faut, je le concède, faire jouer ensemble - ou est-ce que c'est faire progresser un groupe humain ?
Avez-vous songé à faire appel à d'autres entraîneurs pour épauler le staff des Bleus ?
En rugby, « épauler », ça finit souvent par « coup d'épaule ».
Parmi vos priorités, il y a la volonté de remettre le XV de France au centre du rugby français.
Vos relations avec la Ligue vont-elles vous le permettre ?
Mes relations avec Pierre-Yves Revol (NDLR : le nouveau président de la Ligue Nationale de Rugby) devraient le permettre, à condition que les clubs de la Ligue partagent cette volonté. Parce que tout le monde est pour l'équipe de France, du moment que son club est le premier... L'équipe de France est le moteur du rugby français, pas seulement deux ou trois clubs. Le maillot du XV de France ne peut pas être le paillasson des intérêts particuliers.
La France semble isolée sur les questions de calendrier, malgré l'accession de Bernard Lapasset à la tête de l'International Rugby Board ?
La France est isolée parce qu'elle est seule. Ce que la France souhaite, il faudrait que tout le monde l'accepte. Or les autres aussi ont leurs problèmes, et ils les règlent. Un exemple : on a fixé les dates des finales du championnat de France 2010 au 31 mai. Je ne vois pas comment je peux expliquer aux autres pays que notre finale doit avoir lieu le 6 juin, alors qu'on veut rajouter un barrage d'accession aux demi-finales. Il faut une cohérence intellectuelle, au-delà même du respect pour sa parole. Le fait que nous ayons une puissance économique nous confère des responsabilités envers les tiers. Sinon, on finit par jouer devant sa glace.
Vous avez évoqué l'idée de présenter des franchises en Coupe d'Europe...
Les coupes d'Europe sont un élément important, parce que c'est une compétition intermédiaire qui permet de confronter les joueurs avec le niveau international. J'arrive d'une région, Côte Basque-Landes, qui compte quatre clubs en Top 14. J'ai envie de trouver, avec eux, quelque chose pour construire un étage intermédiaire, pour que les clubs puissent continuer leur travail, sans s'épuiser dans une course internationale.
Quelles sont vos pistes ?
Les provinces, les franchises. Ce ne sera pas forcément à la Fédération de les faire. Toulouse, je ne sais pas si c'est une province, c'est du moins une sélection. C'est pareil pour Paris ou Perpignan. Mais des clubs de chez moi, et que j'adore, pourraient très bien jouer un championnat ouvert et être présents en Europe sous forme de provinces, en remplissant un stade. Cork et Limerick existent toujours, mais ça n'empêche pas qu'il y ait le Munster. Et le Munster, ce n'est pas trop mal, me semble-t-il.
Serez-vous un président de transition ou pensez-vous vous inscrire dans la durée ?
Je ne dirais pas que je suis un président de transition, sinon les poignards sortiraient tout de suite. Je veux construire dans la durée. Tous les projets que je porte, qui étaient peut-être en attente car il y avait la Coupe du monde et d'autres priorités, je les prends à bras-le-corps et ils sont faits pour durer, avec moi, puis après moi, avec un autre. Ce sont des sujets de fond. Il faut qu'on regarde à 20 ans et pas à la petite semaine. Certains, sont déjà actés. Dès l'an prochain dans tout le rugby fédéral, il faudra sur la feuille de match pour chaque équipe 15 joueurs licenciés depuis quatre ans à la FFR, dont cinq issus du club.
Un stade pour le rugby français ?
Un stade pour le rugby français ?
Avant d'entamer les négociations avec le consortium, Pierre Camou cherche une alternative au Stade de France.
La convention qui lie la FFR au consortium qui gère le Stade de France arrive à échéance en 2013 et dans les prochaines semaines, Pierre Camou va entrer dans la phase de renégociation de ce contrat qu'il juge vital pour l'avenir du rugby français.
« Je ne peux pas me passer de liberté et de moyens financiers, estime-t-il. Je faisais partie, avec Serge Blanco, de la commission "grand stade" présidée par Philippe Seguin : le stade est un élément essentiel pour l'obtention de ressources. C'est encore plus vrai pour le rugby que pour le football qui a la chance d'avoir des contrats de partenariat sans commune mesure avec nous. »
« Plus rentable »
Cet automne, le président de la FFR, mécontent de ce contrat, l'a fait examiner par le Conseil de la concurrence. « La convention a été signée dans un modèle économique qui date de 1995. On est en 2009. L'économie du rugby a explosé et les termes nous sont de plus en plus défavorables. Je ne suis pas libre, on nous bloque les invitations. Si je fais des places à 15 euros, elles me coûtent 30 euros. Il nous est arrivé de fermer les étages pour certains matches car ça n'était plus rentable. Ce sont des questions qu'il faut mettre à plat. »
Selon les estimations de la FFR, un contrat plus équitable pourrait générer 140 millions de recettes supplémentaires sur les dix ou quinze années à venir. « J'ai deux missions. L'une, de service public, est de développer le rugby. Mais j'ai aussi la charge des équipes de France. Et l'argent aide au dialogue social. »
Conscient de l'enjeu que représente le rugby, le consortium a assoupli les conditions de mise à disposition de l'enceinte de Saint-Denis. « Des efforts ont été faits, des efforts sont faits, pour permettre notamment à la France de postuler à l'organisation de la finale de la Coupe d'Europe 2010, reconnaît Pierre Camou. Mais je veux rester maître du spectacle que j'amène. »
Et le président de la FFR d'affirmer qu'il existe une alternative, celle pour le rugby français de construire son stade : « C'est un combat que nous avons en tête depuis longtemps : être propriétaire de notre stade. L'idée est toujours là, dans le cadre d'une autonomie. Pourquoi pas le Stade de France mais pourquoi pas notre stade ? »
Simple défi lancé au consortium ? Peut être pas. Hier, Pierre Camou n'a pas voulu nous en dire plus mais l'on sait que le site du stade de Bondoufle, situé dans l'Essonne, non loin du centre national de Marcoussis, a retenu l'attention de la Fédération. Un tel projet, s'il prend corps, risque de peser dans les négociations avec le consortium.
Auteur : Propos recueillis par LA rédaction sportive
Y a pas grand chose à redire. C'est vrai qu'une province Pays Basque ou Basco-Landaise, ça aurait de la gueule. A voir si Bayonne et Biarritz sont capables de s'entendre 4 ou 5 grands clubs (Toulouse, Clermont, Paris, Perpignan) plus 2 ou 3 provinces (Pays Basque, Languedoc, Rhone Alpes) pour représenter la France en Hcup, ça pourrait se tenir. il est peut être un peu prématuré de parler de Bordeaux ... et puis ça en vexerait :)
PIERRE CAMOU. Équipe de France, provinces, relations avec la Ligue : le nouveau président de la Fédération française de rugby s'explique
« Construire dans la durée »
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« Tout le monde est pour l'équipe de France, du moment que son club est premier... » (photo claude petit)
« Sud Ouest ».
Quel est votre regard sur le bilan du XV de France, qui, en deux saisons, a dégringolé à la 8e place du classement mondial ?
Pierre Camou. Étions-nous premiers avant ? Non, nous étions sixièmes. Ce n'est pas une dégringolade. Je pense que l'équipe de France n'est que le reflet du championnat français. En 2001, il devait y avoir 18 % de joueurs étrangers dans les contrats professionnels. Aujourd'hui, on en est à 46 %. Et je ne parle que des contrats, pas du nombre de joueurs qui débutent les rencontres. La Ligue a compris le danger pour elle-même et, in fine, pour l'équipe de France. De plus, dans l'hémisphère Sud, il y a 25 % des joueurs du Super 14 qui ont moins de 20 ans. On n'en a pas 10 % en France, alors qu'on a récemment gagné le tournoi international des moins de 20 ans. Où sont-ils, ces joueurs ? C'est sûr que l'équipe de France n'est que le reflet de ce qui se passe autour d'elle.
Avez-vous eu, au cours du dernier Tournoi des VI Nations, le sentiment d'une progression du sélectionneur Marc Lièvremont ?
Oui. Marc a peut-être un défaut qui, pour moi, n'en est pas un : c'est qu'il dit ce qu'il ressent. Il n'a d'ailleurs pas besoin de le dire, puisqu'on le lit dans ses yeux. Quand il exprime son ressenti, c'est parfois considéré comme de la faiblesse, parfois comme de l'arrogance. Dans la communication, il y a un équilibre à trouver. D'autres ont déjà fait cette expérience, avant de fermer les portes. Il grandit, il apprend. Le plus important, c'est le projet de jeu. Il faut de la stabilité et avoir un objectif. Si j'ai un reproche éventuellement à faire, c'est, par moments, d'avoir cédé et de ne pas être resté dans une stabilité complète. C'est le seul.
Quand Pierre Berbizier déplore que le XV de France soit « un laboratoire expérimental », comment réagissez-vous ?
En France, quand on veut commencer à travailler, il faut bac + 6 et quatre ans d'expérience. Alors quand est-ce qu'on les fait ces quatre ans ? Nous avons eu des entraîneurs expérimentés en équipe de France. Et a-t-on gagné une Coupe du monde ? A-t-on gagné tous les Tournois ? Et est-ce qu'être un grand entraîneur, c'est gagner un titre parce qu'on a la crème des joueurs - qu'il faut, je le concède, faire jouer ensemble - ou est-ce que c'est faire progresser un groupe humain ?
Avez-vous songé à faire appel à d'autres entraîneurs pour épauler le staff des Bleus ?
En rugby, « épauler », ça finit souvent par « coup d'épaule ».
Parmi vos priorités, il y a la volonté de remettre le XV de France au centre du rugby français.
Vos relations avec la Ligue vont-elles vous le permettre ?
Mes relations avec Pierre-Yves Revol (NDLR : le nouveau président de la Ligue Nationale de Rugby) devraient le permettre, à condition que les clubs de la Ligue partagent cette volonté. Parce que tout le monde est pour l'équipe de France, du moment que son club est le premier... L'équipe de France est le moteur du rugby français, pas seulement deux ou trois clubs. Le maillot du XV de France ne peut pas être le paillasson des intérêts particuliers.
La France semble isolée sur les questions de calendrier, malgré l'accession de Bernard Lapasset à la tête de l'International Rugby Board ?
La France est isolée parce qu'elle est seule. Ce que la France souhaite, il faudrait que tout le monde l'accepte. Or les autres aussi ont leurs problèmes, et ils les règlent. Un exemple : on a fixé les dates des finales du championnat de France 2010 au 31 mai. Je ne vois pas comment je peux expliquer aux autres pays que notre finale doit avoir lieu le 6 juin, alors qu'on veut rajouter un barrage d'accession aux demi-finales. Il faut une cohérence intellectuelle, au-delà même du respect pour sa parole. Le fait que nous ayons une puissance économique nous confère des responsabilités envers les tiers. Sinon, on finit par jouer devant sa glace.
Vous avez évoqué l'idée de présenter des franchises en Coupe d'Europe...
Les coupes d'Europe sont un élément important, parce que c'est une compétition intermédiaire qui permet de confronter les joueurs avec le niveau international. J'arrive d'une région, Côte Basque-Landes, qui compte quatre clubs en Top 14. J'ai envie de trouver, avec eux, quelque chose pour construire un étage intermédiaire, pour que les clubs puissent continuer leur travail, sans s'épuiser dans une course internationale.
Quelles sont vos pistes ?
Les provinces, les franchises. Ce ne sera pas forcément à la Fédération de les faire. Toulouse, je ne sais pas si c'est une province, c'est du moins une sélection. C'est pareil pour Paris ou Perpignan. Mais des clubs de chez moi, et que j'adore, pourraient très bien jouer un championnat ouvert et être présents en Europe sous forme de provinces, en remplissant un stade. Cork et Limerick existent toujours, mais ça n'empêche pas qu'il y ait le Munster. Et le Munster, ce n'est pas trop mal, me semble-t-il.
Serez-vous un président de transition ou pensez-vous vous inscrire dans la durée ?
Je ne dirais pas que je suis un président de transition, sinon les poignards sortiraient tout de suite. Je veux construire dans la durée. Tous les projets que je porte, qui étaient peut-être en attente car il y avait la Coupe du monde et d'autres priorités, je les prends à bras-le-corps et ils sont faits pour durer, avec moi, puis après moi, avec un autre. Ce sont des sujets de fond. Il faut qu'on regarde à 20 ans et pas à la petite semaine. Certains, sont déjà actés. Dès l'an prochain dans tout le rugby fédéral, il faudra sur la feuille de match pour chaque équipe 15 joueurs licenciés depuis quatre ans à la FFR, dont cinq issus du club.
Un stade pour le rugby français ?
Un stade pour le rugby français ?
Avant d'entamer les négociations avec le consortium, Pierre Camou cherche une alternative au Stade de France.
La convention qui lie la FFR au consortium qui gère le Stade de France arrive à échéance en 2013 et dans les prochaines semaines, Pierre Camou va entrer dans la phase de renégociation de ce contrat qu'il juge vital pour l'avenir du rugby français.
« Je ne peux pas me passer de liberté et de moyens financiers, estime-t-il. Je faisais partie, avec Serge Blanco, de la commission "grand stade" présidée par Philippe Seguin : le stade est un élément essentiel pour l'obtention de ressources. C'est encore plus vrai pour le rugby que pour le football qui a la chance d'avoir des contrats de partenariat sans commune mesure avec nous. »
« Plus rentable »
Cet automne, le président de la FFR, mécontent de ce contrat, l'a fait examiner par le Conseil de la concurrence. « La convention a été signée dans un modèle économique qui date de 1995. On est en 2009. L'économie du rugby a explosé et les termes nous sont de plus en plus défavorables. Je ne suis pas libre, on nous bloque les invitations. Si je fais des places à 15 euros, elles me coûtent 30 euros. Il nous est arrivé de fermer les étages pour certains matches car ça n'était plus rentable. Ce sont des questions qu'il faut mettre à plat. »
Selon les estimations de la FFR, un contrat plus équitable pourrait générer 140 millions de recettes supplémentaires sur les dix ou quinze années à venir. « J'ai deux missions. L'une, de service public, est de développer le rugby. Mais j'ai aussi la charge des équipes de France. Et l'argent aide au dialogue social. »
Conscient de l'enjeu que représente le rugby, le consortium a assoupli les conditions de mise à disposition de l'enceinte de Saint-Denis. « Des efforts ont été faits, des efforts sont faits, pour permettre notamment à la France de postuler à l'organisation de la finale de la Coupe d'Europe 2010, reconnaît Pierre Camou. Mais je veux rester maître du spectacle que j'amène. »
Et le président de la FFR d'affirmer qu'il existe une alternative, celle pour le rugby français de construire son stade : « C'est un combat que nous avons en tête depuis longtemps : être propriétaire de notre stade. L'idée est toujours là, dans le cadre d'une autonomie. Pourquoi pas le Stade de France mais pourquoi pas notre stade ? »
Simple défi lancé au consortium ? Peut être pas. Hier, Pierre Camou n'a pas voulu nous en dire plus mais l'on sait que le site du stade de Bondoufle, situé dans l'Essonne, non loin du centre national de Marcoussis, a retenu l'attention de la Fédération. Un tel projet, s'il prend corps, risque de peser dans les négociations avec le consortium.
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Y a pas grand chose à redire. C'est vrai qu'une province Pays Basque ou Basco-Landaise, ça aurait de la gueule. A voir si Bayonne et Biarritz sont capables de s'entendre 4 ou 5 grands clubs (Toulouse, Clermont, Paris, Perpignan) plus 2 ou 3 provinces (Pays Basque, Languedoc, Rhone Alpes) pour représenter la France en Hcup, ça pourrait se tenir. il est peut être un peu prématuré de parler de Bordeaux ... et puis ça en vexerait :)
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Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Re: ITW de P. Camou 04/2009
Autant, j'étais plutôt d'accord avec les propos de P. Camou et les tendances de la Ligue, autant la lecture du petit article sur la discrimination positive en ProD2 m'a fait bondir. Il estime en effet qu'il serait bon que les clubs montant en PROD2 (et notamment ceux des régions hors grand Sud Ouest) aient la certitude d'y rester pendant au moins 2 à 3 ans (pour s'y structurer) et ce, quel que soit leur classement en fin de saison. Il estime que tout le monde ne sera pas d'accord. Je pense qu'en effet il est assez lucide, en tout cas sur ce dernier point ...
D'une, ce serait la fin de tout esprit sportif. De deux, je pense qu'il n'a pas remarqué que sur 16 équipes de ProD2, 7 ne sont pas dans ce qu'on considère être le grand Sud-Ouest
D'une, ce serait la fin de tout esprit sportif. De deux, je pense qu'il n'a pas remarqué que sur 16 équipes de ProD2, 7 ne sont pas dans ce qu'on considère être le grand Sud-Ouest
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Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Re: ITW de P. Camou 04/2009
Quel besoin de tout changer?
Le bilan de EDF selon lui est pas plus mauvais qu'avant.
Le tri des clubs se fera par le fric de façon naturelle.
Son comité d'origine sera bien sur toujours le nombril du monde détenant toute les vérités et pouvoir de décision.
Marrant s'il devait appliquer la régle de contrainte d'origine aux clubs basque,combien de basque d'origine dans les deux clubs,ok on lui accorde les landes mais le Béarn et Armagnac Bigorre sont des antités.
Bordeaux pourquoi pas c'est la capitale de l'Aquitaine et qui contribue à sa richesse et son développement au dela de ce que reçoit le rugby Girondins.
Soyons égoîste ces gens là préchent pour leur paroisse,il y a le rugby et ceux qui l'aiment et aussi ceux qui en vivent largement.
Les temps sont durs pour tout le monde
Allez UBB
Le bilan de EDF selon lui est pas plus mauvais qu'avant.
Le tri des clubs se fera par le fric de façon naturelle.
Son comité d'origine sera bien sur toujours le nombril du monde détenant toute les vérités et pouvoir de décision.
Marrant s'il devait appliquer la régle de contrainte d'origine aux clubs basque,combien de basque d'origine dans les deux clubs,ok on lui accorde les landes mais le Béarn et Armagnac Bigorre sont des antités.
Bordeaux pourquoi pas c'est la capitale de l'Aquitaine et qui contribue à sa richesse et son développement au dela de ce que reçoit le rugby Girondins.
Soyons égoîste ces gens là préchent pour leur paroisse,il y a le rugby et ceux qui l'aiment et aussi ceux qui en vivent largement.
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