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Pour mémoire, ITW de L. Marti pour Le Point du 06/11/2007
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté tribune officielle
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Pour mémoire, ITW de L. Marti pour Le Point du 06/11/2007
06/11/2007 N°1838 Le Point
Interview Laurent Marti* - « Je mise sur une montée en Top 14 d'ici à trois ans. »
Voilà quelques mois, Laurent Marti a pris la présidence de l'unique club de
rugby professionnel en Gironde. Rencontre avec le nouvel homme fort de
l'ovalie bordelaise.
Propos recueillis par Pascal Mateo
Pour le Stade bordelais et le Cercle athlétique Bordeaux-Bègles-Gironde, la
saison 2006-2007 fut celle de la fusion. Comment la nouvelle entité
ainsi créée, baptisée Union SB-CABBG, aborde-t-elle la saison 2007-2008
? Sera-t-elle celle de la progression ? C'est en tout cas l'ambition
affichée par son nouveau président, le Toulousain Laurent Marti. Cet
homme d'affaires de 40 ans a pris les rênes du club en juin, y
investissant 500 000 euros sur ses deniers personnels.
Le Point : Qu'est-ce qui vous a amené à prendre la présidence du club phare du rugby bordelais ?
Laurent Marti :
Tout simplement, la passion du rugby ! J'ai joué à Bergerac, puis un an
au Stade toulousain. J'ai même pratiqué ce sport jusqu'à 30 ans,
parallèlement à mes activités professionnelles. Mais, depuis dix ans,
le rugby me manquait. Comme je suis incapable d'être entraîneur, j'ai
fait le choix de devenir dirigeant. Et le challenge bordelais me
passionnait !
Quels sont les changements que vous avez apportés au club ?
Ladécision de jouer tous nos matchs à domicile au stade André-Moga, à
Bègles, était prise avant mon arrivée et je l'ai validée : joueurs et
supporters ont besoin de s'identifier à un lieu. Nous avons en outre
construit huit nouvelles loges et mis en place un chapiteau, afin de
pouvoir recevoir nos partenaires à l'issue des matchs. Désormais, il
nous faut travailler au renforcement de notre structure commerciale.
L'Union est affublée d'un nom bien peu porteur en termes de communication...
Ce patronyme ne satisfait personne, mais j'ai fait le choix de le
conserver une saison supplémentaire. Il était délicat pour moi de le
changer dès mon arrivée. Mais je sais pertinemment que, si nous avons
un nom, il nous faut désormais nous faire un prénom.
Cette Union est issue de deux clubs aux identités radicalement différentes. Comment allez-vous vous en accommoder ?
Tout en respectant le passé glorieux du Stade bordelais et du CABBG, il faut
désormais nous projeter vers l'avenir. Si dirigeants et joueurs se
montrent solidaires, ambitieux et fiers de leurs couleurs, les
supporters s'identifieront à ce club et auront envie de nous soutenir.
Idem pour les partenaires économiques.
Le tissu économique bordelais est-il suffisamment étoffé pour subvenir aux besoins d'un club comme le vôtre ?
Nous ne pouvons pas nous réfugier derrière cette excuse : des villes bien
plus petites que Bordeaux ont une équipe en Top 14, en particulier Dax
et Auch. Je suis certain que le tissu économique local est suffisant
pour parvenir à constituer le budget d'un club ambitieux. Bordeaux est
une ville dynamique et une capitale de région ! Et il existe ici une
vraie culture de rugby. Les Bordelais sont d'ailleurs frustrés de ne
pas avoir une équipe de rugby dans l'élite. C'est à nous de donner
l'envie de nous rejoindre aux partenaires économiques, mais aussi aux
décideurs politiques et aux supporters. Mais cela passe par des
résultats sportifs.
Quelles sont vos ambitions sportives à court et moyen terme ?
J'ai dû les réviser à la baisse ! A mon arrivée ici, je pensais que nous
pourrions envisager une 8e place dès cette année. Aujourd'hui, je pense
plus raisonnable de viser entre la 8e et la 12e place, car le niveau de
la Pro D2 est très relevé. Certains clubs ont un budget trois fois
supérieur au nôtre, qui est de 3,8 millions d'euros. Néanmoins, je mise
sur une montée en Top 14 d'ici à trois ans et j'espère que, dans cinq
ans, nous aurons une équipe compétitive au plus haut niveau.
A défaut d'avoir été une réussite sportive française, la Coupe du monde
de rugby a connu un réel succès public. A-t-elle eu des conséquences
positives sur l'Union ?
Cette compétition n'a pas activé la vente de nos abonnements.
Elle a même noyé toutes nos actions
promotionnelles et pesé sur le portefeuille de nos partenaires
potentiels. Mais grâce à l'engouement populaire qu'elle a suscité, il y
a forcément des gens qui vont aller voir des matchs de rugby dès cette
saison. Et j'espère qu'ils se tourneront vers la Pro D2 !
Interview Laurent Marti* - « Je mise sur une montée en Top 14 d'ici à trois ans. »
Voilà quelques mois, Laurent Marti a pris la présidence de l'unique club de
rugby professionnel en Gironde. Rencontre avec le nouvel homme fort de
l'ovalie bordelaise.
Propos recueillis par Pascal Mateo
Pour le Stade bordelais et le Cercle athlétique Bordeaux-Bègles-Gironde, la
saison 2006-2007 fut celle de la fusion. Comment la nouvelle entité
ainsi créée, baptisée Union SB-CABBG, aborde-t-elle la saison 2007-2008
? Sera-t-elle celle de la progression ? C'est en tout cas l'ambition
affichée par son nouveau président, le Toulousain Laurent Marti. Cet
homme d'affaires de 40 ans a pris les rênes du club en juin, y
investissant 500 000 euros sur ses deniers personnels.
Le Point : Qu'est-ce qui vous a amené à prendre la présidence du club phare du rugby bordelais ?
Laurent Marti :
Tout simplement, la passion du rugby ! J'ai joué à Bergerac, puis un an
au Stade toulousain. J'ai même pratiqué ce sport jusqu'à 30 ans,
parallèlement à mes activités professionnelles. Mais, depuis dix ans,
le rugby me manquait. Comme je suis incapable d'être entraîneur, j'ai
fait le choix de devenir dirigeant. Et le challenge bordelais me
passionnait !
Quels sont les changements que vous avez apportés au club ?
Ladécision de jouer tous nos matchs à domicile au stade André-Moga, à
Bègles, était prise avant mon arrivée et je l'ai validée : joueurs et
supporters ont besoin de s'identifier à un lieu. Nous avons en outre
construit huit nouvelles loges et mis en place un chapiteau, afin de
pouvoir recevoir nos partenaires à l'issue des matchs. Désormais, il
nous faut travailler au renforcement de notre structure commerciale.
L'Union est affublée d'un nom bien peu porteur en termes de communication...
Ce patronyme ne satisfait personne, mais j'ai fait le choix de le
conserver une saison supplémentaire. Il était délicat pour moi de le
changer dès mon arrivée. Mais je sais pertinemment que, si nous avons
un nom, il nous faut désormais nous faire un prénom.
Cette Union est issue de deux clubs aux identités radicalement différentes. Comment allez-vous vous en accommoder ?
Tout en respectant le passé glorieux du Stade bordelais et du CABBG, il faut
désormais nous projeter vers l'avenir. Si dirigeants et joueurs se
montrent solidaires, ambitieux et fiers de leurs couleurs, les
supporters s'identifieront à ce club et auront envie de nous soutenir.
Idem pour les partenaires économiques.
Le tissu économique bordelais est-il suffisamment étoffé pour subvenir aux besoins d'un club comme le vôtre ?
Nous ne pouvons pas nous réfugier derrière cette excuse : des villes bien
plus petites que Bordeaux ont une équipe en Top 14, en particulier Dax
et Auch. Je suis certain que le tissu économique local est suffisant
pour parvenir à constituer le budget d'un club ambitieux. Bordeaux est
une ville dynamique et une capitale de région ! Et il existe ici une
vraie culture de rugby. Les Bordelais sont d'ailleurs frustrés de ne
pas avoir une équipe de rugby dans l'élite. C'est à nous de donner
l'envie de nous rejoindre aux partenaires économiques, mais aussi aux
décideurs politiques et aux supporters. Mais cela passe par des
résultats sportifs.
Quelles sont vos ambitions sportives à court et moyen terme ?
J'ai dû les réviser à la baisse ! A mon arrivée ici, je pensais que nous
pourrions envisager une 8e place dès cette année. Aujourd'hui, je pense
plus raisonnable de viser entre la 8e et la 12e place, car le niveau de
la Pro D2 est très relevé. Certains clubs ont un budget trois fois
supérieur au nôtre, qui est de 3,8 millions d'euros. Néanmoins, je mise
sur une montée en Top 14 d'ici à trois ans et j'espère que, dans cinq
ans, nous aurons une équipe compétitive au plus haut niveau.
A défaut d'avoir été une réussite sportive française, la Coupe du monde
de rugby a connu un réel succès public. A-t-elle eu des conséquences
positives sur l'Union ?
Cette compétition n'a pas activé la vente de nos abonnements.
Elle a même noyé toutes nos actions
promotionnelles et pesé sur le portefeuille de nos partenaires
potentiels. Mais grâce à l'engouement populaire qu'elle a suscité, il y
a forcément des gens qui vont aller voir des matchs de rugby dès cette
saison. Et j'espère qu'ils se tourneront vers la Pro D2 !
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