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Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
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Scalp- Team modo
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Humeur : Positif avant tout
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
24 essais en trois matchs aujourd'hui ça a joué de tous les côtés...beau rugby de printemps.
Espérons que nous saurons nous mettre au diapason demain...bonne nuit à nos guerriers
Espérons que nous saurons nous mettre au diapason demain...bonne nuit à nos guerriers
sudiste- Unioniste de la première heure
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Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/ubb-bristol-nouvelle-reunion-de-famille-pour-les-lam-en-champions-cup-1894265.php
UBB – Bristol : nouvelle réunion de famille pour les Lam en Champions Cup
Ben Lam, l’ailier de l’UBB, va croiser la route de son oncle Pat Lam, manager de Bristol, pour la deuxième fois cette saison. Crédit photo : Laurent Theillet et Bristol Rugby
Par Yoan Leshauriès (avec A. D.) - y.leshauries@sudouest.fr
Entre Ben Lam, l’ailier néo-zélandais de Bordeaux-Bègles, et son oncle Pat, le manager de Bristol, existent un profond respect et une admiration mutuelle. Ils se retrouveront ce dimanche (16 heures) à Chaban-Delmas en 8e de finale de Champions Cup
Quand il a débarqué à l’Union Bordeaux-Bègles l’été dernier, Ben Lam (29 ans) ne s’attendait pas à croiser la route de tonton Pat (52 ans), le manager de Bristol. Pour sa toute première saison en Europe, l’ailier néo-zélandais se prépare finalement à une deuxième réunion de famille ce dimanche (16 heures) à Chaban-Delmas en 8e de finale de Champions Cup. « Je n’en attendais pas tant, c’est quelque chose de très spécial », sourit-il.
En septembre dernier, le neveu et l’oncle avaient fini bras dessus, bras dessous, prenant la pose photo sur la pelouse de l’Ashton Gate de Bristol, après une demi-finale de Challenge Cup épique entre les Bears et l’UBB qui avait tourné à l’avantage du club anglais en prolongation (37-20). « Ça fait toujours plaisir de retrouver un membre de la famille qui était à l’autre bout du monde depuis si longtemps, explique Ben Lam. Depuis qu’il est parti de Nouvelle-Zélande, nous ne nous sommes pas beaucoup vus. Je suis très proche de son fils aîné, nous passions beaucoup de temps ensemble jusqu’à mon départ pour l’Europe ».
Pat, le modèle
Dans la famille Lam, Pat fait vraiment figure de héros. « Ça a été le premier à jouer pour les Samoa et les All Blacks », souligne Ben, lui aussi fier de ses racines et parlant samoan. Venant tout juste de naître, il n’a pas pu assister aux exploits de son oncle, quart de finaliste de la Coupe du monde 1991 avec les Samoa. Et il n’avait qu’un an lorsque le troisième ligne centre a porté le maillot des All Blacks lors d’un match non-officiel en Australie en 1992. Mais depuis, il connaît bien sa carrière de joueur marquée par 32 sélections (22 fois capitaine), trois Coupes du monde au compteur (1991, 1995, 1999) et une Coupe d’Europe avec Northampton (2000).
Pat Lam, vainqueur de la Coupe d’Europe en 2000 avec Northampton. Crédit photo : AFP
« C’était un joueur dur, fort dans les contacts, résume Ben. Il aimait déjà le jeu rapide à l’époque et c’est le jeu qu’il prône aujourd’hui en tant que coach ».
« Au Saint Peter’s College, il y a le nom de Ben avec ses records. Des gens pensent que c’est moi » (Pat Lam)
De son côté, Pat Lam éprouve aussi une grande fierté au regard du parcours de son neveu. « En tant qu’oncle, j’ai été très heureux de voir Ben passer les caps et s’affirmer comme joueur. Dès le départ, c’était un super athlète. C’était un sprinteur dans l’équipe de l’école. Il a battu tous les records. Au Saint Peter’s College, où j’étais allé moi aussi, il y a son nom avec les records. C’est très bien parce qu’il y a des gens qui pensent que c’est moi », s’amuse-t-il.
« Pat m’a donné ma première chance dans le rugby pro. Il était dur mais juste » (Ben Lam)
Ben Lam n’oublie pas ce qu’il doit à son oncle. « Il m’a donné ma première chance dans le rugby pro », souligne l’ailier, en référence à son premier match de Super Rugby. C’était en 2012 avec les Auckland Blues dirigés par Pat Lam, face aux Stormers de Bryan Habana. « Quand tu joues ton tout premier match face au meilleur ailier du monde, c’est plutôt un bon marche-pied, juge Ben Lam. Pat était dur mais juste. Il mettait beaucoup de pression aux joueurs mais c’était de la bonne pression. Sans pression, tu ne peux pas être performant. À Bristol, il est le même aujourd’hui. Quand tu es jeune, tu as envie de jouer très vite mais tu n’as pas conscience de tout ce que tu dois faire autour : la récupération, les réunions vidéos, l’entraînement… Pat m’a fait prendre conscience de tout ça. »
Ben Lam (à gauche) lors de son premier match de Super Rugby en 2012 avec les Blues face aux Stormers de Bryan Habana. Crédit photo : AFP
Sur un air de revanche
Pat Lam a rejoint l’Europe et a passé quatre saisons (2013-2017) à la tête du Connacht avec qui il a remporté le Pro 12 (2016). Depuis 2017, il est à la tête des Bristol Bears avec qui il a remporté la Challenge Cup (2020) et occupe actuellement la première place de Premiership avec un avance de 12 points sur le deuxième (Exeter).
Ben Lam a quant à lui bifurqué vers la sélection néo-zélandaise à 7 avec qui il s’est révélé (84 sélections, 54 essais) et a remporté les World Rugby Sevens Series en 2013 et 2014.
Ben Lam en 2013 avec la sélection néo-zélandaise à 7 face aux Fidji aux Sevens World Series à Las Vegas. Crédit photo : AFP
En 2017, il a rejoint les Hurricanes où il s’est imposé l’année suivante avec 16 essais en 18 matchs. « J’ai été avec Ben comme avec les autres jeunes joueurs, témoigne Pat Lam. On les guide, on les aide mais au bout du compte, ce sont eux qui doivent faire le boulot. Ben n’aurait jamais eu cette opportunité à Bordeaux s’il n’avait pas travaillé et réalisé de belles choses avec les Hurricanes. Il lui est arrivé d’avoir des périodes plus difficiles mais il a toujours su les surmonter. C’est un athlète mais c’est aussi un compétiteur. J’ai hâte de le revoir à Bordeaux ! »
Après s’être fait barrer la route de la finale de Challenge Cup par l’équipe de son oncle en septembre, Ben Lam compte bien prendre sa revanche avec l’Union Bordeaux-Bègles et décrocher son ticket pour un quart de finale de Champions Cup. Le vainqueur deviendra-t-il le roi de la famille ? « Non, il le restera dans tous les cas, répond Ben. Moi, je pourrais juste lui rappeler que je l’ai battu. Et quoi qu’il arrive, on se retrouvera avec plaisir après le match ».
Ben Lam lors de la victoire de l’UBB face aux Dragons ( 47-8 ) en décembre. Crédit photo : Guillaume Bonnaud / Sud Ouest
UBB – Bristol : nouvelle réunion de famille pour les Lam en Champions Cup
Ben Lam, l’ailier de l’UBB, va croiser la route de son oncle Pat Lam, manager de Bristol, pour la deuxième fois cette saison. Crédit photo : Laurent Theillet et Bristol Rugby
Par Yoan Leshauriès (avec A. D.) - y.leshauries@sudouest.fr
Entre Ben Lam, l’ailier néo-zélandais de Bordeaux-Bègles, et son oncle Pat, le manager de Bristol, existent un profond respect et une admiration mutuelle. Ils se retrouveront ce dimanche (16 heures) à Chaban-Delmas en 8e de finale de Champions Cup
Quand il a débarqué à l’Union Bordeaux-Bègles l’été dernier, Ben Lam (29 ans) ne s’attendait pas à croiser la route de tonton Pat (52 ans), le manager de Bristol. Pour sa toute première saison en Europe, l’ailier néo-zélandais se prépare finalement à une deuxième réunion de famille ce dimanche (16 heures) à Chaban-Delmas en 8e de finale de Champions Cup. « Je n’en attendais pas tant, c’est quelque chose de très spécial », sourit-il.
En septembre dernier, le neveu et l’oncle avaient fini bras dessus, bras dessous, prenant la pose photo sur la pelouse de l’Ashton Gate de Bristol, après une demi-finale de Challenge Cup épique entre les Bears et l’UBB qui avait tourné à l’avantage du club anglais en prolongation (37-20). « Ça fait toujours plaisir de retrouver un membre de la famille qui était à l’autre bout du monde depuis si longtemps, explique Ben Lam. Depuis qu’il est parti de Nouvelle-Zélande, nous ne nous sommes pas beaucoup vus. Je suis très proche de son fils aîné, nous passions beaucoup de temps ensemble jusqu’à mon départ pour l’Europe ».
Pat, le modèle
Dans la famille Lam, Pat fait vraiment figure de héros. « Ça a été le premier à jouer pour les Samoa et les All Blacks », souligne Ben, lui aussi fier de ses racines et parlant samoan. Venant tout juste de naître, il n’a pas pu assister aux exploits de son oncle, quart de finaliste de la Coupe du monde 1991 avec les Samoa. Et il n’avait qu’un an lorsque le troisième ligne centre a porté le maillot des All Blacks lors d’un match non-officiel en Australie en 1992. Mais depuis, il connaît bien sa carrière de joueur marquée par 32 sélections (22 fois capitaine), trois Coupes du monde au compteur (1991, 1995, 1999) et une Coupe d’Europe avec Northampton (2000).
Pat Lam, vainqueur de la Coupe d’Europe en 2000 avec Northampton. Crédit photo : AFP
« C’était un joueur dur, fort dans les contacts, résume Ben. Il aimait déjà le jeu rapide à l’époque et c’est le jeu qu’il prône aujourd’hui en tant que coach ».
« Au Saint Peter’s College, il y a le nom de Ben avec ses records. Des gens pensent que c’est moi » (Pat Lam)
De son côté, Pat Lam éprouve aussi une grande fierté au regard du parcours de son neveu. « En tant qu’oncle, j’ai été très heureux de voir Ben passer les caps et s’affirmer comme joueur. Dès le départ, c’était un super athlète. C’était un sprinteur dans l’équipe de l’école. Il a battu tous les records. Au Saint Peter’s College, où j’étais allé moi aussi, il y a son nom avec les records. C’est très bien parce qu’il y a des gens qui pensent que c’est moi », s’amuse-t-il.
« Pat m’a donné ma première chance dans le rugby pro. Il était dur mais juste » (Ben Lam)
Ben Lam n’oublie pas ce qu’il doit à son oncle. « Il m’a donné ma première chance dans le rugby pro », souligne l’ailier, en référence à son premier match de Super Rugby. C’était en 2012 avec les Auckland Blues dirigés par Pat Lam, face aux Stormers de Bryan Habana. « Quand tu joues ton tout premier match face au meilleur ailier du monde, c’est plutôt un bon marche-pied, juge Ben Lam. Pat était dur mais juste. Il mettait beaucoup de pression aux joueurs mais c’était de la bonne pression. Sans pression, tu ne peux pas être performant. À Bristol, il est le même aujourd’hui. Quand tu es jeune, tu as envie de jouer très vite mais tu n’as pas conscience de tout ce que tu dois faire autour : la récupération, les réunions vidéos, l’entraînement… Pat m’a fait prendre conscience de tout ça. »
Ben Lam (à gauche) lors de son premier match de Super Rugby en 2012 avec les Blues face aux Stormers de Bryan Habana. Crédit photo : AFP
Sur un air de revanche
Pat Lam a rejoint l’Europe et a passé quatre saisons (2013-2017) à la tête du Connacht avec qui il a remporté le Pro 12 (2016). Depuis 2017, il est à la tête des Bristol Bears avec qui il a remporté la Challenge Cup (2020) et occupe actuellement la première place de Premiership avec un avance de 12 points sur le deuxième (Exeter).
Ben Lam a quant à lui bifurqué vers la sélection néo-zélandaise à 7 avec qui il s’est révélé (84 sélections, 54 essais) et a remporté les World Rugby Sevens Series en 2013 et 2014.
Ben Lam en 2013 avec la sélection néo-zélandaise à 7 face aux Fidji aux Sevens World Series à Las Vegas. Crédit photo : AFP
En 2017, il a rejoint les Hurricanes où il s’est imposé l’année suivante avec 16 essais en 18 matchs. « J’ai été avec Ben comme avec les autres jeunes joueurs, témoigne Pat Lam. On les guide, on les aide mais au bout du compte, ce sont eux qui doivent faire le boulot. Ben n’aurait jamais eu cette opportunité à Bordeaux s’il n’avait pas travaillé et réalisé de belles choses avec les Hurricanes. Il lui est arrivé d’avoir des périodes plus difficiles mais il a toujours su les surmonter. C’est un athlète mais c’est aussi un compétiteur. J’ai hâte de le revoir à Bordeaux ! »
Après s’être fait barrer la route de la finale de Challenge Cup par l’équipe de son oncle en septembre, Ben Lam compte bien prendre sa revanche avec l’Union Bordeaux-Bègles et décrocher son ticket pour un quart de finale de Champions Cup. Le vainqueur deviendra-t-il le roi de la famille ? « Non, il le restera dans tous les cas, répond Ben. Moi, je pourrais juste lui rappeler que je l’ai battu. Et quoi qu’il arrive, on se retrouvera avec plaisir après le match ».
Ben Lam lors de la victoire de l’UBB face aux Dragons ( 47-8 ) en décembre. Crédit photo : Guillaume Bonnaud / Sud Ouest
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Champions Cup : réaction attendue pour le Racing 92 et l'UBB
https://sport24.lefigaro.fr/rugby/coupes-d-europe2/actualites/champions-cup-reaction-attendue-pour-le-racing-92-et-l-ubb-1039245
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Champions Cup - UBB : Matthieu Jalibert veut "écrire l'histoire du club"
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/champions-cup-ubb-matthieu-jalibert-veut-ecrire-l-histoire-du-club-1617466243
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Jour J. Allez l’UBB ! On peut le faire !
SympathyForTheDevil- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Jour historique pour notre club, j'espère qu'on suivra la voie de Clermont et Toulouse On veut une orgie de jeu !
FrenchKick- J'aime l'Union à la folie
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Humeur : Tant que l'ubb gagne tout va bien :)
Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/champions-cup-l-ubb-a-la-hauteur-du-rendez-vous-face-a-bristol-1936463.php
Champions Cup : l’UBB à la hauteur du rendez-vous face à Bristol ?
Jalibert de retour à l’ouverture, Moefana à l’aile. Crédit photo : Guillaume Bonnaud / Sud Ouest
Par Yoan Leshauriès
Pour son premier 8e de finale de Champions Cup, le club girondin est attendu au tournant, une semaine après la claque reçue face à La Rochelle
Jusqu’à la saison dernière, c’est le genre de rendez-vous que l’Union Bordeaux-Bègles avait l’habitude de regarder à la télé. En septembre dernier, le club girondin a cassé un plafond de verre en participant à ses toutes premières phases finales de Challenge Cup : victorieux face à Édimbourg en quarts, il est tombé les armes à la main à Bristol en demies au terme des prolongations (37-20).
Ce dimanche à Chaban-Delmas, l’UBB passe un cran au-dessus : un 8e de finale de Champions Cup face à ces mêmes Anglais de Bristol. « C’est un grand événement pour le club et notre groupe, souligne le demi d’ouverture Matthieu Jalibert. Quand j’ai commencé à jouer en pro avec Bordeaux, c’était pour ces moments-là, écrire l’histoire du club et pouvoir jouer ce genre de match ».
« Vaincre ou mourir »
Après leurs deux victoires à Northampton (16-12) et face aux Dragons (47-8 ) en décembre, les hommes de Christophe Urios se sont offert le droit de jouer un 8e de finale à domicile. « À partir de maintenant, c’est vaincre ou mourir ! lance le manager. Je considérais que l’objectif était atteint avec la qualification. Mais quand tu t’engages dans une compétition et que tu as de surcroît des matchs à la maison, l’objectif, c’est d’aller le plus loin possible » Car en cas de victoire, l’UBB recevrait le vainqueur du match Racing 92 - Edimbourg le week-end prochain en quart de finale.
Pour intégrer le grand huit, il faudra écarter Bristol, leader incontesté de Premiership, emmené par Semi Radradra, la bombe fidjienne, qui fera son retour en Gironde ce dimanche.
« En demi-finale de Challenge Cup, on leur avait posé des problèmes, se souvient Christophe Urios. L’idée, c’est de s’inspirer de ça, et d’y apporter la touche du mois d’avril. »
Une semaine après la claque reçue à domicile face à La Rochelle (11-26), l’UBB est attendue au tournant. « Il n’y a que la victoire qui l’effacera et ça ne l’effacera pas de ma mémoire, j’ai honte, peste encore le manager. J’ai besoin de retrouver de la confiance dans mon groupe ». « On a été très vexés, confie le capitaine Jefferson Poirot. Il faut prendre nos responsabilités. » Les Girondins veulent montrer qu’ils sont présents sur les grands rendez-vous.
Champions Cup : l’UBB à la hauteur du rendez-vous face à Bristol ?
Jalibert de retour à l’ouverture, Moefana à l’aile. Crédit photo : Guillaume Bonnaud / Sud Ouest
Par Yoan Leshauriès
Pour son premier 8e de finale de Champions Cup, le club girondin est attendu au tournant, une semaine après la claque reçue face à La Rochelle
Jusqu’à la saison dernière, c’est le genre de rendez-vous que l’Union Bordeaux-Bègles avait l’habitude de regarder à la télé. En septembre dernier, le club girondin a cassé un plafond de verre en participant à ses toutes premières phases finales de Challenge Cup : victorieux face à Édimbourg en quarts, il est tombé les armes à la main à Bristol en demies au terme des prolongations (37-20).
Ce dimanche à Chaban-Delmas, l’UBB passe un cran au-dessus : un 8e de finale de Champions Cup face à ces mêmes Anglais de Bristol. « C’est un grand événement pour le club et notre groupe, souligne le demi d’ouverture Matthieu Jalibert. Quand j’ai commencé à jouer en pro avec Bordeaux, c’était pour ces moments-là, écrire l’histoire du club et pouvoir jouer ce genre de match ».
« Vaincre ou mourir »
Après leurs deux victoires à Northampton (16-12) et face aux Dragons (47-8 ) en décembre, les hommes de Christophe Urios se sont offert le droit de jouer un 8e de finale à domicile. « À partir de maintenant, c’est vaincre ou mourir ! lance le manager. Je considérais que l’objectif était atteint avec la qualification. Mais quand tu t’engages dans une compétition et que tu as de surcroît des matchs à la maison, l’objectif, c’est d’aller le plus loin possible » Car en cas de victoire, l’UBB recevrait le vainqueur du match Racing 92 - Edimbourg le week-end prochain en quart de finale.
Pour intégrer le grand huit, il faudra écarter Bristol, leader incontesté de Premiership, emmené par Semi Radradra, la bombe fidjienne, qui fera son retour en Gironde ce dimanche.
« En demi-finale de Challenge Cup, on leur avait posé des problèmes, se souvient Christophe Urios. L’idée, c’est de s’inspirer de ça, et d’y apporter la touche du mois d’avril. »
Une semaine après la claque reçue à domicile face à La Rochelle (11-26), l’UBB est attendue au tournant. « Il n’y a que la victoire qui l’effacera et ça ne l’effacera pas de ma mémoire, j’ai honte, peste encore le manager. J’ai besoin de retrouver de la confiance dans mon groupe ». « On a été très vexés, confie le capitaine Jefferson Poirot. Il faut prendre nos responsabilités. » Les Girondins veulent montrer qu’ils sont présents sur les grands rendez-vous.
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Retrouvailles attendues entre l’UBB et Bristol
https://www.rugbyrama.fr/rugby/champions-cup/2020-2021/champions-cup-les-retrouvailles-attendues-entre-lubb-et-bristol_sto8204233/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/champions-cup/2020-2021/champions-cup-les-retrouvailles-attendues-entre-lubb-et-bristol_sto8204233/story.shtml
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-heure-de-la-revanche-contre-bristol-pour-bordeaux-begles-en-coupe-d-europe/1239049
L'heure de la revanche contre Bristol pour Bordeaux-Bègles en Coupe d'Europe
Après son naufrage contre La Rochelle le week-end dernier, l'UBB retrouve Bristol et son armada offensive qui l'avait privé de finale en challenge fin septembre.
Le 25 septembre dernier, les Bordelais avaient craqué lors des prolongations (37-20) et avaient laissé Bristol et Semi Radradra (ballon en mains) rejoindre la finale du Challenge Européen. (A. Fosker/Presse Sports)
Hamid Imakhoukhene, à Bordeaux 04 avril 2021 à 00h05
Vous connaissez le scénario d'UBB-La Rochelle il y a huit jours ? Le héros, Levani Botia, le centre fidjien des Maritimes, y martyrisait la défense girondine à-tout-va (11-26). À Chaban, on n'a pas du tout aimé le film de ce non-match, mais alors pas du tout. Et l'idée que le Bordeaux-Bègles-Bristol du jour soit un remake de l'histoire, avec un autre centre fidjien, Semi Radradra, dans le rôle-phare du facteur X, n'a pas traversé les esprits à l'heure des retrouvailles.
Lundi, dans un climat tendu au centre d'entraînement béglais, il a davantage été question de réaction que de lamentation. « Il nous a bien mis face à nos responsabilités », résumaient les joueurs au sujet de l'intervention du manageur, lors de ce huis-clos de reprise. Christophe Urios, lui, n'a pas souhaité s'étendre sur la teneur de son discours : « C'est important que ça reste entre eux et moi »
Une double revanche en vue
Mais, huit jours après l'épisode rochelais en Top 14, six mois après l'élimination en demi-finale du Challenge Européen à Bristol (37-20), le technicien bordelais sait à quel point il faudra un grand Bordeaux pour prendre une double revanche. Sur soi-même et sur les Anglais. Car Bristol (6 victoires et 1 nul lors des 7 derniers matches) marche sur l'eau en Championnat. Leaders avec 12 points d'avance sur son dauphin, Exeter, les « ours » présentent la deuxième attaque et la deuxième défense de la compétition d'outre-Manche.
« C'est une équipe qui aime tenir et porter le ballon »
Fred Charrier, l'entraîneur en charge des trois-quarts de l'UBB
Jamais ils n'y ont fini une rencontre en ayant inscrit moins de deux essais... Et sur les 51 marqués en 14 matches, (3,6 de moyenne) 22, soit 43% l'ont été sur terrain adverse !
Lors de ses trois derniers déplacements (London Irish, Worcester, Northampton), Bristol a ainsi inscrit 4 essais à chaque fois... De quoi faire peur ? « Non parce que des essais, ils en prennent aussi », note à juste titre Fred Charrier, l'entraîneur en charge des trois-quarts de l'UBB. C'est vrai que Bristol présente une moyenne de 2 essais encaissés par match.
Un match ouvert
Et même privé de son ailier argentin, Santiago Cordero, meilleur marqueur de la compétition (4 essais en 2 matches), l'Union, 4e attaque du Top 14 au nombre des essais (53 en 20 matches) possèdent de sérieux arguments individuels (Jalibert, Lam, Buros, Moefana), en termes de vitesse notamment.
C'est donc un match très ouvert et aéré, marqué par de longues séquences et de nombreux duels, tant derrière que devant, qui se prépare. Comme lors du choc de septembre dernier outre-Manche, finalement remporté 4 essais à 2 par les Anglais au terme d'une prolongation haletante.
« C'est une équipe qui aime tenir et porter le ballon, jouer les 1 contre 1, résume Charrier. Outre Semi (Radradra), ils ont beaucoup d'autres joueurs de duels (Piutau, Leiua, Morahan, Hugues). Ils aiment déplacer le ballon et les adversaires, il faut donc se préparer à de longues séquences défensives, à être patients et disciplinés, organisés sur la largeur. »
Et si Bristol perd le ballon, alors, il y aura des coups à jouer pour l'Union sur les « turn-over ». Comme ce fut le cas à la fin de l'été dernier...
L'heure de la revanche contre Bristol pour Bordeaux-Bègles en Coupe d'Europe
Après son naufrage contre La Rochelle le week-end dernier, l'UBB retrouve Bristol et son armada offensive qui l'avait privé de finale en challenge fin septembre.
Le 25 septembre dernier, les Bordelais avaient craqué lors des prolongations (37-20) et avaient laissé Bristol et Semi Radradra (ballon en mains) rejoindre la finale du Challenge Européen. (A. Fosker/Presse Sports)
Hamid Imakhoukhene, à Bordeaux 04 avril 2021 à 00h05
Vous connaissez le scénario d'UBB-La Rochelle il y a huit jours ? Le héros, Levani Botia, le centre fidjien des Maritimes, y martyrisait la défense girondine à-tout-va (11-26). À Chaban, on n'a pas du tout aimé le film de ce non-match, mais alors pas du tout. Et l'idée que le Bordeaux-Bègles-Bristol du jour soit un remake de l'histoire, avec un autre centre fidjien, Semi Radradra, dans le rôle-phare du facteur X, n'a pas traversé les esprits à l'heure des retrouvailles.
Lundi, dans un climat tendu au centre d'entraînement béglais, il a davantage été question de réaction que de lamentation. « Il nous a bien mis face à nos responsabilités », résumaient les joueurs au sujet de l'intervention du manageur, lors de ce huis-clos de reprise. Christophe Urios, lui, n'a pas souhaité s'étendre sur la teneur de son discours : « C'est important que ça reste entre eux et moi »
Une double revanche en vue
Mais, huit jours après l'épisode rochelais en Top 14, six mois après l'élimination en demi-finale du Challenge Européen à Bristol (37-20), le technicien bordelais sait à quel point il faudra un grand Bordeaux pour prendre une double revanche. Sur soi-même et sur les Anglais. Car Bristol (6 victoires et 1 nul lors des 7 derniers matches) marche sur l'eau en Championnat. Leaders avec 12 points d'avance sur son dauphin, Exeter, les « ours » présentent la deuxième attaque et la deuxième défense de la compétition d'outre-Manche.
« C'est une équipe qui aime tenir et porter le ballon »
Fred Charrier, l'entraîneur en charge des trois-quarts de l'UBB
Jamais ils n'y ont fini une rencontre en ayant inscrit moins de deux essais... Et sur les 51 marqués en 14 matches, (3,6 de moyenne) 22, soit 43% l'ont été sur terrain adverse !
Lors de ses trois derniers déplacements (London Irish, Worcester, Northampton), Bristol a ainsi inscrit 4 essais à chaque fois... De quoi faire peur ? « Non parce que des essais, ils en prennent aussi », note à juste titre Fred Charrier, l'entraîneur en charge des trois-quarts de l'UBB. C'est vrai que Bristol présente une moyenne de 2 essais encaissés par match.
Un match ouvert
Et même privé de son ailier argentin, Santiago Cordero, meilleur marqueur de la compétition (4 essais en 2 matches), l'Union, 4e attaque du Top 14 au nombre des essais (53 en 20 matches) possèdent de sérieux arguments individuels (Jalibert, Lam, Buros, Moefana), en termes de vitesse notamment.
C'est donc un match très ouvert et aéré, marqué par de longues séquences et de nombreux duels, tant derrière que devant, qui se prépare. Comme lors du choc de septembre dernier outre-Manche, finalement remporté 4 essais à 2 par les Anglais au terme d'une prolongation haletante.
« C'est une équipe qui aime tenir et porter le ballon, jouer les 1 contre 1, résume Charrier. Outre Semi (Radradra), ils ont beaucoup d'autres joueurs de duels (Piutau, Leiua, Morahan, Hugues). Ils aiment déplacer le ballon et les adversaires, il faut donc se préparer à de longues séquences défensives, à être patients et disciplinés, organisés sur la largeur. »
Et si Bristol perd le ballon, alors, il y aura des coups à jouer pour l'Union sur les « turn-over ». Comme ce fut le cas à la fin de l'été dernier...
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Scalp- Team modo
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
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marchal- Centre de presse
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Première calzone pour Maynadier!
romojito33- Orga
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Que de pénalités contre nous... déjà 3 en 5mn...
Et voila essai pour Bristol!
Et voila essai pour Bristol!
romojito33- Orga
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
On va pas souffrir. Ça va etre vitre règlé
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le drop c'est l' éjaculation précoce de l'attaque
flavio33- Orga
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
On survit pour le moment...
romojito33- Orga
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Hallucinante action de l’arbitre: l’epaule va direct au cou de lamerat, rien! Jalibert plaque normalement, penalité! Honteux!
romojito33- Orga
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
La blague de l ecossais. D ou plaquage haut de jaja?? 3pt gratos
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flavio33- Orga
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Saisissez le ballon avant le rebond la!!!!
romojito33- Orga
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Non mais trop de fautes bêtes la à l’image de Maynadier...
romojito33- Orga
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Localisation : paris
Date d'inscription : 29/09/2013
Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Maynadierromojito33 a écrit:Non mais trop de fautes bêtes la à l’image de Maynadier...
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le drop c'est l' éjaculation précoce de l'attaque
flavio33- Orga
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Date d'inscription : 26/10/2015
Age : 37
Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Je me demande toujours ce quon trouve a Maynadier. Toujours aussi nul.
Dommage on fait souvent le mauvais choix derriere. On ne fait pas la derniere passe, on garde le ballon et on se tue nos actions.
Va falloir se sortir les doigts dans cette 2ieme mi-temps parce que franchement je m’attendais a vraiment autre chose en terme de reaction du match contre SR.
Dommage on fait souvent le mauvais choix derriere. On ne fait pas la derniere passe, on garde le ballon et on se tue nos actions.
Va falloir se sortir les doigts dans cette 2ieme mi-temps parce que franchement je m’attendais a vraiment autre chose en terme de reaction du match contre SR.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : toulouse
Date d'inscription : 31/08/2015
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Il y a des choses intéressantes, malgré notre indiscipline ; il va falloir concrétiser ça en 2nde mi-temps. Buros excellent comme d’habitude, je ne me souviens pas d’un match complètement raté de sa part cette saison.
SympathyForTheDevil- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe d'Europe - 8ème de finale : UBB / Bristol
Vu le nombre de qualifiés francais, j’ai peur que l’arbitre nous la mette a l’envers en 2ieme mi-temps.
On verra bien...deja le placage a l’epaule sur Lamerat non sanctionné.
Pour Matthieu il ne fait pas un placage haut...mais un talonnage a la main..ct pelanite de toute facon
On verra bien...deja le placage a l’epaule sur Lamerat non sanctionné.
Pour Matthieu il ne fait pas un placage haut...mais un talonnage a la main..ct pelanite de toute facon
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : toulouse
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