Top 14 - 20ème journée : UBB / Agen

Pour emboiter le pas de Leo,c'est par le jeu que l'UBB s'en sortira;le match doit etre engagé en mettant du volume et en developpant le jeu qui a deja etouffé les toulonnais.Si par contre on se contente de jouer dans le petit perimetre en esperant scorer sur les fautes de l'adversaire,ce sera alors peine perdue car le match sans prise de risque sera favorable aux agenais dotés d'un buteur qui enquille.
A l'inverse si les beglais sont performants en conquete,les agenais seront emportés par la furia locale soutenue de plus par 25000 supporters,c'est a ce prix que le bonus offensif sera atteint car ce dernier doit etre l'objectif visé,en effet une victoire sans BO ne permettrait pas de liberer l'equipe pour les joutes futures.

"I had a nightmare "...Rofes entrait en jeu et alors que nous menions confortablement après 5 touches contrées nous perdions le match d'un point
Sans déconner j'aime pas forcément sortir un joueur du lot mais je crois que Fabien a un passif qui pour un pro doit se payer un jour.
Alors même si Delboubes est bléssé (d'ou encore une fois l'interêt de mettre les meilleurs au "repos) pourquoi ne pas avoir retenu Toetu pour conserver Forbes en talon remplaçant là où il est largement plus utile

et hop, deux places de moins, virage nord

bonjour
si DELBOUBES ne peut jouer , IL faudrait que FORBES SOIt titulaire a gauche , qu'il sorte vers la 50eme minutes et remplacer par POIROT ? ET COMME CELA , il pourait suppler AVEI SI nécessaire .
m'avez vous bien compris ?
ALLEZ L'UNION

Sudiste, envisage l'hyptohèse que si Rofes devait entrer sur le terrain, Forbes pourrait malgré tout être désigné lanceur/

Radis 1 - Sudiste 0

http://www.sudouest.fr/2013/03/01/les-compagnons-de-galere-981136-773.php

http://www.sudouest.fr/2013/03/01/le-guerrier-a-rendez-vous-981173-773.php

Nous avons en effet connu Laporte lanceur en touche ...et comment ...mais cette époque est révolue depuis longtemps. Je veux bien voir Rofes lancer des ballons au lanceur en touche Maintenant s'il doit jouer qu'il me fasse mentir et je ferai sans soucis mon mea culpa

Switch a écrit:Sur le site de réservation du FCGB, il ne reste plus que 2149 places disponibles, soit pour le moment environ 32 500 personnes de prévues

La capacité maximale de Chaban-Delmas est justement de 32 000 places et des broutilles, donc le total n'est pas encore atteint ;-).

Wikipedia affiche 34 000 places, mais comme souvent, ce petit malin n'est pas à jour. Les 34 000 places dont on parle sont probablement en rapport à la capacité du Parc Lescure avant les travaux effectués pour la Coupe du Monde 98 et la suppression des places debout en virages.

J'ai en tous cas hâte de voir si les 2500 dernières places seront vendues. Pour ceux qui n'ont jamais connu le Stade à guichets fermés, je peux vous dire que ça envoie. Autant il peut être tristounet quand il est clairsemé autant c'est un stade magnifique quand il est plein comme un oeuf.

le radis a écrit:Sudiste, envisage l'hyptohèse que si Rofes devait entrer sur le terrain, Forbes pourrait malgré tout être désigné lanceur/

Si Forbes est sur le terrain à l'entrée de Rofes c'est bien que ce dernier remplace Avei au talon...or c'est là que je veux voir jouer Forbes !!!

la capacité maxi de Chaban actuelle est bien de 34 400 places assises (il fleurtait avec les 40 000 du temps des places debout avant la coupe de foot 98)

le stade sera plein, l'ambiance sera chaude et la bière fraiche !

et en attendant, pour ceux qui n'ont pas vu cette séquence, voici un petit cadeau afin de patienter :
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=WTMcNfs366c

oui, c'est de l’hémisphère sud, mais c'est une mise en condition pour samedi soir

Flow a écrit:

Switch a écrit:Sur le site de réservation du FCGB, il ne reste plus que 2149 places disponibles, soit pour le moment environ 32 500 personnes de prévues

La capacité maximale de Chaban-Delmas est justement de 32 000 places et des broutilles, donc le total n'est pas encore atteint ;-).

Wikipedia affiche 34 000 places, mais comme souvent, ce petit malin n'est pas à jour. Les 34 000 places dont on parle sont probablement en rapport à la capacité du Parc Lescure avant les travaux effectués pour la Coupe du Monde 98 et la suppression des places debout en virages.

J'ai en tous cas hâte de voir si les 2500 dernières places seront vendues. Pour ceux qui n'ont jamais connu le Stade à guichets fermés, je peux vous dire que ça envoie. Autant il peut être tristounet quand il est clairsemé autant c'est un stade magnifique quand il est plein comme un oeuf.

moi j'ais connu le parc de Lescure avec plus de 38 OOO spectateurs avec un match retour GIRONDINS-JUVENTUS , avec bsps de spectateurs rugbymans

Soyons patient,pour Delboulbes ou pas.
Il est clair que s'il peut le gars sera au rendez vous,il a un gros mental et puis jouer contre les voisins du quartier c'est une occasion qui ne se refuse guère.
Et puis c'est pour demain et quelque soit le groupe possible, un seul objectif, la gagne.
Allez Union.

DONC j'ais trouvé le record de spectateurs : GIRONDINS DE BORDEAUX - JUVENTUS DE TURIN en 1985 = 40 211 spectateurs
j'y étais avec des collègues du rugby , on était serré comme dans une immense mélée

DODO974 a écrit:DONC j'ais trouvé le record de spectateurs : GIRONDINS DE BORDEAUX - JUVENTUS DE TURIN en 1985 = 40 211 spectateurs
j'y étais avec des collègues du rugby , on était serré comme dans une immense mélée

Nous sommes en Avril 1985 et les Girondins de Bordeaux s’apprêtent à disputer leur première demi-finale de coupe européenne, la belle, la Coupe des Clubs Champions, face aux italiens de la Juventus. Bordeaux, champion de France en titre (et sur le point de s’adjuger un second championnat de rang) vit sa plus belle période, celle des années Bez. Cette rencontre entre les Girondins et les Bianconeri est un peu un match France-Italie. D’un côté, une équipe bordelaise qui rappelle grandement l’effectif qui composait la France vainqueur du Championnat d’Europe 1984 ; de l’autre une équipe bianconera comprenant de nombreux internationaux Champions du Monde en 1982 avec la Nazionale. La différence notable, c’est que le maître à jouer de la France n’est autre que le Maestro de la Juventus, Michel Platini.

Dés le match aller, la Juventus prend le devant dans la confrontation, frappant un gros coup sur la tête de leur adversaire transalpin. 3-0, ni plus ni moins, dans un Stadio Comunale tout acquis à la cause des juventini. C’est tout d’abord Boniek (28ème) qui va ouvrir le score pour la Juventus avant que Briaschi ne marque le second but (68ème), un but entaché d’une faute que l’arbitre ne voit pas. Quelques instants plus tard, c’est Platoche qui clôture la marque (71ème) réduisant à néant les espoirs des marines et blanc. A l’issue de la rencontre, la presse estimera que la défaite revenait en partie à l’entraîneur girondin, Aimé Jacquet, coupable selon elle de ne pas avoir voulu mettre en place un marquage individuel sur Platini et titrera le lendemain en Une de L’Equipe « La Juve, c’est autre chose », mettant en avant la différence de niveau entre les deux formations.

Quinze jours plus tard, le 25 Avril 1985, les bordelais, piqués au vif par les critiques de la presse, rentrent sur le terrain comme des morts de faim, jouant leur vatout. Devant un Stade Lescure qui affiche comble (40211 spectateurs, record d’affluence encore de nos jours), les joueurs au scapulaire bousculent les turinois comme jamais. Dés la 25ème minute, c’est l’attaquant allemand Dieter Müller qui ouvre le score, profitant d’un bon travail sur le côté de Bernard Lacombe. Les bordelais exercent une domination de tous les instants sur le milieu de terrain bianconero complètement dépassé, mais les joueurs de la Vieille Dame, fidèles à leur habitude, jouent à merveille en défense, sans s’affoler, à l’italienne serait-on poussé de dire. A onze minutes du terme de la rencontre, alors que tout semble indiquer une élimination girondine, Battiston récupère le ballon à trente mètres des buts transalpins et effectue une frappe fulgurante qui trompe Bodini, le gardien bianconero. A 2-0, les italiens sont au bord de la rupture et il s’en faut de peu pour que les bordelais n’égalisent : alors que nous sommes dans les arrêts de jeu, Tigana aux six mètres réussit une reprise que le gardien turinois prend en plein nez avant de frapper la barre transversale et de finir en corner. Ce sera le dernier frisson bianconero de la rencontre, Platini reconnaissant après le match que si Tigana avait raté sa reprise, le ballon serait certainement entré au fond des filets et qu’il aurait été dur pour les turinois de tenir la baraque pendant les prolongations.

L’amertume est forte côté français mais les joueurs sortent la tête haute, satisfaits d’être passés tout près de l’exploit. Du côté de la Juventus, on est passé tout près de la catastrophe, celle-ci se produira le 29 Mai 1985, en finale avec le drame du Heysel que la victoire face à Liverpool (1-0) n’atténuera pas.

J'y étais aussi, mais debout en pesage tribune de face coté virage sud...

Les normes de sécurité ont dû changer depuis, notamment la mise en place du fossé.
Pour Bx / Milan, c'était plein avec seulement 32 500.
si on est 33 000, ce sera déjà très bien pour une rencontre de Top 14, peu de club (en France) peuvent se permettre une telle affluence.

Damier-Muzard a écrit:

DODO974 a écrit:DONC j'ais trouvé le record de spectateurs : GIRONDINS DE BORDEAUX - JUVENTUS DE TURIN en 1985 = 40 211 spectateurs
j'y étais avec des collègues du rugby , on était serré comme dans une immense mélée

Nous sommes en Avril 1985 et les Girondins de Bordeaux s’apprêtent à disputer leur première demi-finale de coupe européenne, la belle, la Coupe des Clubs Champions, face aux italiens de la Juventus. Bordeaux, champion de France en titre (et sur le point de s’adjuger un second championnat de rang) vit sa plus belle période, celle des années Bez. Cette rencontre entre les Girondins et les Bianconeri est un peu un match France-Italie. D’un côté, une équipe bordelaise qui rappelle grandement l’effectif qui composait la France vainqueur du Championnat d’Europe 1984 ; de l’autre une équipe bianconera comprenant de nombreux internationaux Champions du Monde en 1982 avec la Nazionale. La différence notable, c’est que le maître à jouer de la France n’est autre que le Maestro de la Juventus, Michel Platini.

Dés le match aller, la Juventus prend le devant dans la confrontation, frappant un gros coup sur la tête de leur adversaire transalpin. 3-0, ni plus ni moins, dans un Stadio Comunale tout acquis à la cause des juventini. C’est tout d’abord Boniek (28ème) qui va ouvrir le score pour la Juventus avant que Briaschi ne marque le second but (68ème), un but entaché d’une faute que l’arbitre ne voit pas. Quelques instants plus tard, c’est Platoche qui clôture la marque (71ème) réduisant à néant les espoirs des marines et blanc. A l’issue de la rencontre, la presse estimera que la défaite revenait en partie à l’entraîneur girondin, Aimé Jacquet, coupable selon elle de ne pas avoir voulu mettre en place un marquage individuel sur Platini et titrera le lendemain en Une de L’Equipe « La Juve, c’est autre chose », mettant en avant la différence de niveau entre les deux formations.

Quinze jours plus tard, le 25 Avril 1985, les bordelais, piqués au vif par les critiques de la presse, rentrent sur le terrain comme des morts de faim, jouant leur vatout. Devant un Stade Lescure qui affiche comble (40211 spectateurs, record d’affluence encore de nos jours), les joueurs au scapulaire bousculent les turinois comme jamais. Dés la 25ème minute, c’est l’attaquant allemand Dieter Müller qui ouvre le score, profitant d’un bon travail sur le côté de Bernard Lacombe. Les bordelais exercent une domination de tous les instants sur le milieu de terrain bianconero complètement dépassé, mais les joueurs de la Vieille Dame, fidèles à leur habitude, jouent à merveille en défense, sans s’affoler, à l’italienne serait-on poussé de dire. A onze minutes du terme de la rencontre, alors que tout semble indiquer une élimination girondine, Battiston récupère le ballon à trente mètres des buts transalpins et effectue une frappe fulgurante qui trompe Bodini, le gardien bianconero. A 2-0, les italiens sont au bord de la rupture et il s’en faut de peu pour que les bordelais n’égalisent : alors que nous sommes dans les arrêts de jeu, Tigana aux six mètres réussit une reprise que le gardien turinois prend en plein nez avant de frapper la barre transversale et de finir en corner. Ce sera le dernier frisson bianconero de la rencontre, Platini reconnaissant après le match que si Tigana avait raté sa reprise, le ballon serait certainement entré au fond des filets et qu’il aurait été dur pour les turinois de tenir la baraque pendant les prolongations.

L’amertume est forte côté français mais les joueurs sortent la tête haute, satisfaits d’être passés tout près de l’exploit. Du côté de la Juventus, on est passé tout près de la catastrophe, celle-ci se produira le 29 Mai 1985, en finale avec le drame du Heysel que la victoire face à Liverpool (1-0) n’atténuera pas.

J'y étais aussi, mais debout en pesage tribune de face coté virage sud...

je ne devait pas etre loin de toi , car j'etais au niveau des populaires sur la piste de vélo , dans le virage et cote tribune présidentielle , on tenaient debout sans glisser , car calé par les personnes devant , et c'est vrais qu'au niveau sécuritée , cela ne devait pas etre le top

Kryss a écrit:Les normes de sécurité ont dû changer depuis, notamment la mise en place du fossé.
Pour Bx / Milan, c'était plein avec seulement 32 500.
si on est 33 000, ce sera déjà très bien pour une rencontre de Top 14, peu de club (en France) peuvent se permettre une telle affluence.

ce qui veut dire qu' il y as la plce pour du rugby de haut niveau a BORDEAUX

http://www.sudouest.fr/2013/03/01/union-bordeaux-begles-delboulbes-partant-contre-agen-tisseau-titulaire-981902-4564.php



Arrêté jeudi pour une petite élongation à la cuisse, Laurent Delboulbes s'est testé ce vendredi matin puis a participé normalement à la mise en place. Sauf alerte de dernière minute, il tiendra bien sa place face à Agen (samedi à 18 h 30 stade Chaban-Delmas).

Le XV titulaire sera très proche de celui vainqueur de Toulon (41-0) il y a trois semaines avec toutefois deux changements tactiques : François Tisseau a été préféré au coup d'envoi à Cameron Treloar aux côtés d'Adam Jaulhac en deuxième ligne et le staff a opté pour la fougue de Blair Connor d'entrée à l'aile et l'expérience (et la polyvalence) de Rafaël Carballo pour la fin de rencontre. Comme attendu, Nicolas Sanchez prend lui place sur le banc en lieu et place de Lachie Munro (blessé).

L'équipe : Reihana - Talebula, Le Bourhis, Rey, Connor - (o) Lopez, (m) Adams ? Madaule, Clarkin (cap), Purll - Jaulhac, Tisseau - Florea, Avei, Delboulbes. Remplaçants : Forbes, Poirot, Treloar, Chalmers, Seron, Sanchez, Carballo, Leupolu. En réserve : Rofes, Labbé, Brousse. Absents : Saubusse, Denêtre, Munro, Larrieu (blessés), Boutemane, Toetu, Decamps, Chauveau, Navickas, Kitshoff, Gibouin, Serin, Mailei, Vasuinubu, Brana, Domvo (choix).


Donc Laurent Delboubès joue

Donc l'ami Fabien Rofes ne lancera pas de pizza

DODO974 a écrit:

Damier-Muzard a écrit:

DODO974 a écrit:DONC j'ais trouvé le record de spectateurs : GIRONDINS DE BORDEAUX - JUVENTUS DE TURIN en 1985 = 40 211 spectateurs
j'y étais avec des collègues du rugby , on était serré comme dans une immense mélée

Nous sommes en Avril 1985 et les Girondins de Bordeaux s’apprêtent à disputer leur première demi-finale de coupe européenne, la belle, la Coupe des Clubs Champions, face aux italiens de la Juventus. Bordeaux, champion de France en titre (et sur le point de s’adjuger un second championnat de rang) vit sa plus belle période, celle des années Bez. Cette rencontre entre les Girondins et les Bianconeri est un peu un match France-Italie. D’un côté, une équipe bordelaise qui rappelle grandement l’effectif qui composait la France vainqueur du Championnat d’Europe 1984 ; de l’autre une équipe bianconera comprenant de nombreux internationaux Champions du Monde en 1982 avec la Nazionale. La différence notable, c’est que le maître à jouer de la France n’est autre que le Maestro de la Juventus, Michel Platini.

Dés le match aller, la Juventus prend le devant dans la confrontation, frappant un gros coup sur la tête de leur adversaire transalpin. 3-0, ni plus ni moins, dans un Stadio Comunale tout acquis à la cause des juventini. C’est tout d’abord Boniek (28ème) qui va ouvrir le score pour la Juventus avant que Briaschi ne marque le second but (68ème), un but entaché d’une faute que l’arbitre ne voit pas. Quelques instants plus tard, c’est Platoche qui clôture la marque (71ème) réduisant à néant les espoirs des marines et blanc. A l’issue de la rencontre, la presse estimera que la défaite revenait en partie à l’entraîneur girondin, Aimé Jacquet, coupable selon elle de ne pas avoir voulu mettre en place un marquage individuel sur Platini et titrera le lendemain en Une de L’Equipe « La Juve, c’est autre chose », mettant en avant la différence de niveau entre les deux formations.

Quinze jours plus tard, le 25 Avril 1985, les bordelais, piqués au vif par les critiques de la presse, rentrent sur le terrain comme des morts de faim, jouant leur vatout. Devant un Stade Lescure qui affiche comble (40211 spectateurs, record d’affluence encore de nos jours), les joueurs au scapulaire bousculent les turinois comme jamais. Dés la 25ème minute, c’est l’attaquant allemand Dieter Müller qui ouvre le score, profitant d’un bon travail sur le côté de Bernard Lacombe. Les bordelais exercent une domination de tous les instants sur le milieu de terrain bianconero complètement dépassé, mais les joueurs de la Vieille Dame, fidèles à leur habitude, jouent à merveille en défense, sans s’affoler, à l’italienne serait-on poussé de dire. A onze minutes du terme de la rencontre, alors que tout semble indiquer une élimination girondine, Battiston récupère le ballon à trente mètres des buts transalpins et effectue une frappe fulgurante qui trompe Bodini, le gardien bianconero. A 2-0, les italiens sont au bord de la rupture et il s’en faut de peu pour que les bordelais n’égalisent : alors que nous sommes dans les arrêts de jeu, Tigana aux six mètres réussit une reprise que le gardien turinois prend en plein nez avant de frapper la barre transversale et de finir en corner. Ce sera le dernier frisson bianconero de la rencontre, Platini reconnaissant après le match que si Tigana avait raté sa reprise, le ballon serait certainement entré au fond des filets et qu’il aurait été dur pour les turinois de tenir la baraque pendant les prolongations.

L’amertume est forte côté français mais les joueurs sortent la tête haute, satisfaits d’être passés tout près de l’exploit. Du côté de la Juventus, on est passé tout près de la catastrophe, celle-ci se produira le 29 Mai 1985, en finale avec le drame du Heysel que la victoire face à Liverpool (1-0) n’atténuera pas.

J'y étais aussi, mais debout en pesage tribune de face coté virage sud...

je ne devait pas etre loin de toi , car j'etais au niveau des populaires sur la piste de vélo , dans le virage et cote tribune présidentielle , on tenaient debout sans glisser , car calé par les personnes devant , et c'est vrais qu'au niveau sécuritée , cela ne devait pas etre le top

J'y étais aussi debout en virage sud.
Nous avons bien vu le but de Battiston et me raté de Tigana.

on seras tous d'accord je pense , mais c'est la meilleure 2QUIPE du moment , vus les blessés , et les meilleurs remplaçants aussi
j'aime bien l'attelage TISSEAU JAULHAC et on as assez de preneurs de balles en touches avec PURLL MADAULE ET CLARKIN et TREOLAR ET CHALMERS en remplaçants donc cela se profile bien
ALLEZ L'UBB

Vince33 a écrit:

DODO974 a écrit:

Damier-Muzard a écrit:

DODO974 a écrit:DONC j'ais trouvé le record de spectateurs : GIRONDINS DE BORDEAUX - JUVENTUS DE TURIN en 1985 = 40 211 spectateurs
j'y étais avec des collègues du rugby , on était serré comme dans une immense mélée

Nous sommes en Avril 1985 et les Girondins de Bordeaux s’apprêtent à disputer leur première demi-finale de coupe européenne, la belle, la Coupe des Clubs Champions, face aux italiens de la Juventus. Bordeaux, champion de France en titre (et sur le point de s’adjuger un second championnat de rang) vit sa plus belle période, celle des années Bez. Cette rencontre entre les Girondins et les Bianconeri est un peu un match France-Italie. D’un côté, une équipe bordelaise qui rappelle grandement l’effectif qui composait la France vainqueur du Championnat d’Europe 1984 ; de l’autre une équipe bianconera comprenant de nombreux internationaux Champions du Monde en 1982 avec la Nazionale. La différence notable, c’est que le maître à jouer de la France n’est autre que le Maestro de la Juventus, Michel Platini.

Dés le match aller, la Juventus prend le devant dans la confrontation, frappant un gros coup sur la tête de leur adversaire transalpin. 3-0, ni plus ni moins, dans un Stadio Comunale tout acquis à la cause des juventini. C’est tout d’abord Boniek (28ème) qui va ouvrir le score pour la Juventus avant que Briaschi ne marque le second but (68ème), un but entaché d’une faute que l’arbitre ne voit pas. Quelques instants plus tard, c’est Platoche qui clôture la marque (71ème) réduisant à néant les espoirs des marines et blanc. A l’issue de la rencontre, la presse estimera que la défaite revenait en partie à l’entraîneur girondin, Aimé Jacquet, coupable selon elle de ne pas avoir voulu mettre en place un marquage individuel sur Platini et titrera le lendemain en Une de L’Equipe « La Juve, c’est autre chose », mettant en avant la différence de niveau entre les deux formations.

Quinze jours plus tard, le 25 Avril 1985, les bordelais, piqués au vif par les critiques de la presse, rentrent sur le terrain comme des morts de faim, jouant leur vatout. Devant un Stade Lescure qui affiche comble (40211 spectateurs, record d’affluence encore de nos jours), les joueurs au scapulaire bousculent les turinois comme jamais. Dés la 25ème minute, c’est l’attaquant allemand Dieter Müller qui ouvre le score, profitant d’un bon travail sur le côté de Bernard Lacombe. Les bordelais exercent une domination de tous les instants sur le milieu de terrain bianconero complètement dépassé, mais les joueurs de la Vieille Dame, fidèles à leur habitude, jouent à merveille en défense, sans s’affoler, à l’italienne serait-on poussé de dire. A onze minutes du terme de la rencontre, alors que tout semble indiquer une élimination girondine, Battiston récupère le ballon à trente mètres des buts transalpins et effectue une frappe fulgurante qui trompe Bodini, le gardien bianconero. A 2-0, les italiens sont au bord de la rupture et il s’en faut de peu pour que les bordelais n’égalisent : alors que nous sommes dans les arrêts de jeu, Tigana aux six mètres réussit une reprise que le gardien turinois prend en plein nez avant de frapper la barre transversale et de finir en corner. Ce sera le dernier frisson bianconero de la rencontre, Platini reconnaissant après le match que si Tigana avait raté sa reprise, le ballon serait certainement entré au fond des filets et qu’il aurait été dur pour les turinois de tenir la baraque pendant les prolongations.

L’amertume est forte côté français mais les joueurs sortent la tête haute, satisfaits d’être passés tout près de l’exploit. Du côté de la Juventus, on est passé tout près de la catastrophe, celle-ci se produira le 29 Mai 1985, en finale avec le drame du Heysel que la victoire face à Liverpool (1-0) n’atténuera pas.

J'y étais aussi, mais debout en pesage tribune de face coté virage sud...

je ne devait pas etre loin de toi , car j'etais au niveau des populaires sur la piste de vélo , dans le virage et cote tribune présidentielle , on tenaient debout sans glisser , car calé par les personnes devant , et c'est vrais qu'au niveau sécuritée , cela ne devait pas etre le top

J'y étais aussi debout en virage sud.
Nous avons bien vu le but de Battiston et me raté de Tigana.

pareil c'était viRage SUD , donc juste a coté de toi , au fait , j'avais 19 Ans et etais avec des potes de mon équipes ; le cm FLOIRAC

Le XV agenais : http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2012-2013/agen-tuitavake-au-centre-face-a-bordeaux-begles_sto3645563/story.shtml

Le XV de départ: Seymour ; Vaka, Tuitavake, Roux, Coux ; (o) Lagarde, (m) Balès ; Giraud, Fono, Monribot ; Skeate, Fa'aoso ; Muller, Narjissi, Nnomo.

Remplaçants: Telefoni, Schwalger, Lozada, Vaquin, Lorée, Petre, Barnard, Garcia.


Narjissi bien titulaire. Ca n'a quand même rien à voir avec le SUA de l'an dernier (Badenhorst, Machenaud, Dulin...).
Il faudra surveiller Seymour qui me semble vraiment bon (du peu que j'ai vu). Balès est un peu à l'image de Lopez, alternant le bon et le mauvais. Sera t-il dans un bon jour ?
Au niveau du pack, même si ca reste costaud c'est quand même un peu plus light, notamment sans Fonua. Skeate est apparemment assez performant en touche, alors à surveiller. La première ligne c'est du teigneux, attention au biscottes.

Je ne serai pas étonné de voir une altercation Tisseau-Narjissi

Assez équilibré, même si je pense que nous aurons l'avantage à la mêlée et la touche, ce qui serait l'idéal pour installer notre jeu et (dans un premier temps du moins) jouer petit bras en prenant toutes les pénalités qui se présentent !

Duracuir a écrit:la capacité maxi de Chaban actuelle est bien de 34 400 places assises (il fleurtait avec les 40 000 du temps des places debout avant la coupe de foot 98)

Le site officiel annonce bien 32 500 en norme UEFA (34 200 de capacité), c'est donc ce chiffre qu'il faut retenir. De toute manière, il ne reste aucune place de libre lorsqu'il est à guichets fermés, et le nombre annoncé est bien de 32 500 à chaque coup (c'est la différence avec le Parc Lescure lorsque l'on pouvait être debout en virage chose interdite désormais). Mais ça devrait le faire pour le combler demain.

Damier-Muzard a écrit: blah blah blah foot

Ah ben te v'là, toi ?
Ça fait plaisir !

Bon, bodéga, samedi, etc. ?

Amenez drapeaux , banderoles , écharpes ,bonnets tout ce que vous avez en bordeaux et blanc!
Du visuel pour les joueurs!
C'est demain!!!!!!