19ème journée : Biarritz / UBB

déçus, je suis déçus

déjà bravo aux Biarrots qui ont jouer simple mais qui nous ont pris la ou sa fait mal (avec un très grand YACH bien sur)

ce qui me gonfle c'est que pour moi on a fait le plus mauvais match de la saison (je les ai tous vu a la maison, j’étais a AGEN BAYONNE ET DAX et le reste a la télé) , dans l'engagement mais surtout dans l'intelligence de jeu:

il vas falloir s'adapter a nos adversaires et arrêter de jouer a la baballe; on joue sur nos 22 nos 40 les 22 adverses et on est super lisibles donc très stérile, aucun petit coup de pieds par dessus alors que le BO en 1ère mi-temps a le soleil dans la tronche (j’étais derrière leur en-but)

autant notre jeu a pu surprendre en début de saison alors que nous avions super étudié les vidéos de nos adversaires mais il y a en face de grands pro et quand on voie le schéma simple et efficace des basques cet après midi, j’espère qu'il y a encore un pilote dans l'avion et je cherche qui est le leader de jeu

je souhaite surtout que cette défaite permette au gens de redescendre sur terre en réalisant que le seul objectif de la saison est le maintien et comme je le pense depuis le début de la saison ça vas ce jouer a 1 ou 2 points; je prie pour que les 3 points perdus au match aller ne nous soient pas fatale

et j’espère aussi que la défaite contre Montpellier n'a pas plomber les esprits

bon courage aux joueurs et a l'encadrement pour remettre la machine en marche avant, il faut toujours 8 points pour ne pas dépendre des résultats des autres et au vu de cette 19eme journée on a plus qu'un seul pieds en top 14

mais bon on y croit

http://www.sudouest.fr/2012/03/04/cette-fois-l-union-est-bien-dans-le-dur-649717-8.php

Par Nicolas Le Gardien

Cette fois, l'Union est bien dans le dur

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Rafael Carballo plaqué par Takudzwa Ngwenya. (photo L. D.)

« On a fait quelque chose de grand la saison passée. On va s'accrocher, se ressouder et on va à nouveau faire quelque chose de grand sur les sept derniers matches ». Adossé face aux micros, l'ouvreur Camille Lopez est monté au créneau. Elle « attendait » ce moment depuis le début de saison, cette fois, l'Union Bordeaux-Bègles y est pour de bon : dans le dur. Mais la déflagration est d'autant plus forte que son envie de victoire - ou au moins de bonus défensif - s'est transformée en troisième défaite consécutive, un score fleuve, 0 pointé, cinq unités de perdues sur la zone de relégation et du terrain concédé à tous ses rivaux.

Orange après Montpellier, l'alerte est passée au rouge. Alerte rouge ? « Il y a deux mois qu'on y est et qu'on le répète !, répond le manager Marc Delpoux. On n'a pas attendu de ramasser aujourd'hui (hier) pour connaître notre calendrier. Mais il ne faut pas s'énerver et rester dans notre logique. Notre logique, c'est celle des 25 premières minutes. Après, si on ne donne pas le ballon sur un 3 contre 1 (2e), si dès qu'ils ont fait des chandelles ils l'ont récupéré, ce n'est pas le jeu, c'est la qualité des uns et des autres. On va continuer. Par contre, en première mi-temps, on a joué 100 % des ballons dans notre camp : on est fou ! Il faut aussi savoir les faire reculer ».

Marti : « Je suis inquiet »

Une « erreur tactique » pointée par tous les intéressés. Sur le fond, avec (beaucoup) plus d'imprécision derrière et une fin de match de hourra-rugby, il y avait comme une impression de « remake » par rapport à Montpellier : de la solidité sur la conquête, des mouvements, mais un déficit à la conclusion devant la ligne adverse, et des points encaissés à chaque temps faible. « On savait qu'on était dans une série très difficile et elle n'est pas terminée, commentait le président Laurent Marti. Mais si je suis inquiet pour de bon aujourd'hui, c'est parce qu'on a pris une raclée et à cause de la manière. Les Biarrots nous ont pris où ils nous attendaient et on n'a pas été capable de trouver un plan B ». Oui, quelque chose a changé.

Union Bordeaux-Bègles · Sports · rugby · Laurent Marti

Peut-être va t'il falloir enlever la fleur qui bouche le canon du fusil et recommencer à vouloir tuer



http://www.sudouest.fr/2012/03/04/le-yachvili-olympique-649650-8.php

Par Éric BECQUET

Top 14 : le BO bat Bordeaux-Bègles avec un Yachvili olympique

En s'appuyant sur les bases et en laissant les clefs à Dimitri Yachvili, auteur de 25 points, le BO réussit une bonne opération pour le maintien avec le bonus offensif.

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Dimitri Yachili trouve ici l'ouverture entre Patrick Toetu et Gerard Fraser . (photo loïc dequier)

Il y a donc bien un Y dans Biarritz Olympique Pays Basque. Celui de Yachvili, Dimitri, détonateur et inspirateur d'un BO qui redevient un groupe conquérant sous son contrôle. « Je ne peux pas vous empêcher de dire qu'il y a une Yachvili dépendance, mais moi je suis surtout BO dépendant souligne le demi de mêlée. J'ai un poste à responsabilité et j'essaie de l'assumer du mieux possible. Mais si je marque des pénalités, c'est avant tout grâce au groupe, à l'équipe, parce qu'on est allé se les chercher ».

Hier après midi à Dax, dans le très champêtre stade Maurice-Boyau aux couleurs rouge et blanc, où la panne de chrono (maladresse du délégué) et les places éditées en trop ont mis encore un peu plus de piment au spectacle landais, les Basques ont sorti le manuel du parfait rugbyman. Et ont ainsi réussi à merveille leur première mi-temps. Ils se sont appuyés sur les fondamentaux et ont laissé les clés du collectif à leur stratège international, qui au final, a marqué 25 points, dont deux essais.

Le BO a pris le bonus offensif en mettant à mal une équipe de l'Union joueuse, trop joueuse peut-être, qui a souffert sous les chandelles et dans les regroupements. Un jeu simple et efficace des Biarrots, voire même très réaliste vu l'ampleur du score un peu lourd pour les Girondins. Ces derniers ont cherché la faille durant les vingt premières minutes, à gauche, à droite, mais se sont heurtés à un mur défensif impressionnant, rarement vu cette saison côté BO.

Auteur de deux essais...

Et finalement, alors que les Basques venaient de mettre les pieds pour la première fois de la partie dans les 22 mètres unionistes, après une chandelle de Peyrelongue, récupérée par Traille - admirable dans cet exercice hier - Heguy aplatissait à la fin du regroupement. « L'équipe a été très solidaire, notamment en première mi-temps où on a subi les attaques bordelaises et on n'a pas craqué. On a bien tenu physiquement et mentalement et on a réussi a marqué sur nos temps forts, ce qui nous a permis d'avoir un peu de stabilité. On a eu un état d'esprit irréprochable, c'est un gros point positif », commentait Dimitri Yachvili.

À partir de ce premier essai, l'Union va devenir un peu plus brouillonne, Clarkin se mettre à la faute (10-0) et Yachvili engranger les points. Une percée du jeune troisième ligne centre Tala Gray, très bon hier, va permettre au demi de mêlée de marquer son premier essai (17-0). L'Union persiste à jouer à la main, prend deux pénaltouches, mais en vain. La deuxième mi-temps va être pliée par… Yachvili, évidemment.

...et impliqué sur le troisième

Damien Traille a vu le match de son coéquipier de très près. « C'est un meneur d'hommes, de jeu, buteur. Avec lui, le jeu est beaucoup plus huilé. On le voit, son expérience du plus haut niveau fait qu'il sait prendre les bonnes décisions au bon moment. Il a une faculté de bouger les avants assez impressionnante, ils se mettent à son écoute et après, comme par hasard, on avance ».

Yachvili est impliqué dans le troisième essai biarrot (Gray aussi) conclu par Ngwenya, et, intercepte le ballon pour marquer le quatrième essai. L'essai de l'Union à la 72e est anecdotique. C'est résultat très positif d'un point de vue comptable pour un BO qui laisse la 13e place à Bayonne, défait au Racing. Mais il faudra que Dimitri Yachvili reste au chevet de son malade. Ce qui n'est pas sûr. « J'espère qu'ils (le staff des Bleus, NDLR) ne vont pas avoir la mauvaise idée de nous le reprendre pour le match de dimanche contre l'Angleterre, sourit Damien Traille. On serait très satisfait pour lui, mais pour nous ce serait plus dur. On espère l'avoir la semaine prochaine contre Brive parce que quand on voit l'importance qu'il a encore aujourd'hui… »

rugby · Biarritz Olympique · Sports · Top14

Et oui, nous avons de très bons joueurs, mais ça, nous ne l'avons pas en tout cas pas encore.

patrick a écrit:http://www.sudouest.fr/2012/03/04/cette-fois-l-union-est-bien-dans-le-dur-649717-8.php

Par Nicolas Le Gardien

Cette fois, l'Union est bien dans le dur

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Rafael Carballo plaqué par Takudzwa Ngwenya. (photo L. D.)

« On a fait quelque chose de grand la saison passée. On va s'accrocher, se ressouder et on va à nouveau faire quelque chose de grand sur les sept derniers matches ». Adossé face aux micros, l'ouvreur Camille Lopez est monté au créneau. Elle « attendait » ce moment depuis le début de saison, cette fois, l'Union Bordeaux-Bègles y est pour de bon : dans le dur. Mais la déflagration est d'autant plus forte que son envie de victoire - ou au moins de bonus défensif - s'est transformée en troisième défaite consécutive, un score fleuve, 0 pointé, cinq unités de perdues sur la zone de relégation et du terrain concédé à tous ses rivaux.

Orange après Montpellier, l'alerte est passée au rouge. Alerte rouge ? « Il y a deux mois qu'on y est et qu'on le répète !, répond le manager Marc Delpoux. On n'a pas attendu de ramasser aujourd'hui (hier) pour connaître notre calendrier. Mais il ne faut pas s'énerver et rester dans notre logique. Notre logique, c'est celle des 25 premières minutes. Après, si on ne donne pas le ballon sur un 3 contre 1 (2e), si dès qu'ils ont fait des chandelles ils l'ont récupéré, ce n'est pas le jeu, c'est la qualité des uns et des autres. On va continuer. Par contre, en première mi-temps, on a joué 100 % des ballons dans notre camp : on est fou ! Il faut aussi savoir les faire reculer ».

Marti : « Je suis inquiet »

Une « erreur tactique » pointée par tous les intéressés. Sur le fond, avec (beaucoup) plus d'imprécision derrière et une fin de match de hourra-rugby, il y avait comme une impression de « remake » par rapport à Montpellier : de la solidité sur la conquête, des mouvements, mais un déficit à la conclusion devant la ligne adverse, et des points encaissés à chaque temps faible. « On savait qu'on était dans une série très difficile et elle n'est pas terminée, commentait le président Laurent Marti. Mais si je suis inquiet pour de bon aujourd'hui, c'est parce qu'on a pris une raclée et à cause de la manière. Les Biarrots nous ont pris où ils nous attendaient et on n'a pas été capable de trouver un plan B ». Oui, quelque chose a changé.

Union Bordeaux-Bègles · Sports · rugby · Laurent Marti

Peut-être va t'il falloir enlever la fleur qui bouche le canon du fusil et recommencer à vouloir tuer

IL VA SURTOUT FALLOIR TROUVER 2 OUVREURS BUTEURS pour la saison prochaine qui soient capable de jouer, de faire jouer et de déplacer le jeu; voir d'avoir de bon replis défensif
et ceci même quand notre pack est bloquer a faire du travail de l'ombre dans les RUCKS et a défendre au près

COURAGE ET CONFIANCE

Pour Bruce c'était une béquille http://www.sudouest.fr/2012/03/04/union-bordeaux-begles-bequille-pour-reihana-649918-4564.php

http://www.sudouest.fr/2012/03/05/c-est-un-signal-d-alarme-650343-773.php

Par nicolas le gardien

C'est un signal d'alarme
Pendant que ses rivaux grappillaient des points pas forcément attendus, l'UBB a sombré (13-38) face à l'un d'entre eux. La voilà à un moment-clé.

A la bourse du maintien en Top 14, l'action Union Bordeaux-Bègles a subi un samedi noir. Une marge sur la zone rouge diminuée de 41 % en quatre-vingts minutes samedi à Dax (de 12 à 7 points), de 55 % en quatre-vingt-trois minutes même si on rajoute la terrible fin de match face à Montpellier (26-30) il y a quinze jours.

Si ce n'est pas encore un krach, sa situation s'est hautement fragilisée. Et c'est bien sûr l'ampleur de la défaite face à Biarritz (13-38) et la manière qui interpellent : si un revers face à un BO au pied du mur n'avait rien d'improbable, l'UBB pensait pouvoir rivaliser. La chute est dure, et le programme ne lui laissera aucune facilité.

1 Fallait-il une prise de conscience ?

« Il faut continuer à avoir peur » (le manager Marc Delpoux après la victoire sur Lyon, le 3 février), « en cas de défaite, on irait vers beaucoup de complications » (le même, avant la venue de Montpellier), « ce qui m'inquiète énormément est qu'on a une suite de sept matches très dangereuse » (le président Laurent Marti, au même moment). On en passe.

Il est difficile de reprocher à l'encadrement de ne pas avoir envoyé des messages sur le risque persistant malgré la situation favorable début février.

Ont-ils été entendus par leurs joueurs ? « Je le pense, répond Marc Delpoux. Aujourd'hui (samedi, NDLR), ils n'ont pas trouvé les solutions, mais on ne peut pas leur reprocher leur engagement. » Après celle de vacances et avec le retour de bonnes conditions météo, la semaine d'entraînement avait même été la plus intense depuis un mois. Inconsciemment, il n'est en revanche pas exclu que le matelas et les sorties positives aient entraîné une baisse de vigilance.

« J'espère que c'est la meilleure chose qui pouvait nous arriver, disait le capitaine Matthew Clarkin. Maintenant, il n'y a plus à penser à autre chose. On n'est plus à l'abri, pas mieux placés que les autres ; on est dans la bataille. Chaque match sera vital. Peut-être que c'est ce qu'il nous faut pour nous reconcentrer. »

Dans le vestiaire, à chaud, ses coéquipiers, fidèles au credo qui leur a réussi depuis deux ans, appelaient surtout à ne pas céder à la panique. « On est déçus, c'est sûr, mais il ne faut pas baisser la tête, disait le pilier Laurent Delboulbes. On va se dire les choses mardi, voir ce qui n'a pas été et repartir en avançant pour aller gagner au Racing vendredi. » « On est le dur mais je ne m'en fais pas pour le groupe. Il faut qu'on relativise et qu'on reparte », ajoutait Camille Lopez.

Si une prise de conscience était nécessaire, les éléments sont réunis. « Mais ils savent déjà qu'on est en danger, et ils savent comment on va s'en sortir », dit Marc Delpoux.

2 La question de l'adaptation

Les points faibles de l'UBB, plus ou moins comblés selon les sorties, sont connus : la défense au ras des rucks, les ballons hauts, l'utilisation (ou son absence) de jeu au pied d'occupation, un déficit dans la concrétisation des temps forts, pas aidé il est vrai par un arbitrage qui, globalement, n'est pas favorable aux équipes attaquantes.

Ceux-ci passent au second plan lorsque l'UBB impose ses atouts : le dynamisme, son jeu de déplacement, son organisation défensive sur la largeur, la touche, la conservation, l'engagement. Mais sont rédhibitoires dès qu'elle est contrée et tombe dans l'à-peu-près, ce qui a été le cas samedi après une entame performante et le premier essai biarrot (1), qui plus est face à une formation prenant confiance.

Pointant une différence de qualité sur les gestes décisifs samedi, Marc Delpoux râlait surtout contre le manque d'adaptation tactique de ses hommes pris à la gorge par la défense basque. Et qui avaient travaillé le tri des ballons jeudi matin à l'entraînement. « Le jeu, oui, et on va encore aller plus loin, car il nous a encore permis de se procurer des occasions. Mais pas dans notre camp quand l'adversaire nous y attend ! », disait le Narbonnais. « On n'a pas été assez précis, pointait Matthew Clarkin. On a failli tactiquement, on a joué trop de ballons chez nous, on les a trop souvent perdus et ça a fini en essais. »

Tous les intéressés évoquaient la nécessité de, sans renier sa force, savoir revenir à plus de simplicité quand le jeu le demande (et que l'alignement domine autant). « On ne passera pas si on n'est pas capables de s'adapter et d'être plus précis, poursuivait le capitaine. On va examiner cela à la vidéo, il faut qu'on trouve la recette. Qu'on décide tous ensemble de fixer un style de jeu plus efficace. » Après avoir réussi à améliorer l'organisation défensive, apporter plus de variété à leurs lancements offensifs, staff et joueurs sont devant un nouveau défi. Décisif.

(1) L'Union a toujours perdu après avoir encaissé le premier essai.

Avec un alignement pareil, il est vrai que n'obtenir qu'une seule bonne touche par match (deux les grands jours) est quand même assez ridicule. Heinie, Camille, Gérard, réveillez vous !

Ce matin j'ai le moral en berne (ma productivité devrait s'en ressentir )...car si nous étions tous prêts à accepter une défaite personne sans doute n'avait envisagé un scénario aussi défavorable : le BO pour Biarritz et des poursuivants que reprennent du terrain et surtout Bayonne et Lyon pour lesquels on aurait pu espérer qu'iles reviennent bredouille.
Résultat à + 11 et + 7 seulement sur les relégables nous dilapidons notre matelas de sécurité si comme prévu tout devait se jouer au point près
Même notre égalité avec Brive est une bien mauvaise chose en cas de départage au goal average particulier.
Très déçu par Castres également intraitable à domicile et qui se laisse surprendre par une équipe quasi condamnée....résultat le LOU reprend espoir et comme Brive nous ciblera comme la vicitime à mettre dans la charette.
Mais le plus préoccupant est que pour une fois nous envoyions l'équipe type pour ce déplacement pour lequel la victoire était clairement ciblée or tous les leaders ont étaient largement en deça de leur potentiel ?
Encore plus chiant il était écrit que le premier qui se détacherait au score gagnerait ce match....or une fois encore nous le perdons sur notre temps fort des 20 premières minutes ou encore une fois dominateurs nous restons stériles !!!

Pour (tenter de) te remettre, voici l'essai que notre énorme débauche d'énergie nous a permis d'inscrire


BIARRITZ UNION ESSAIS par ubbrugby

Il est bon, mais ce jour là trop rare.

Je suis peut-être trop optimiste mais même si on connait les limites et les carences de notre équipe, je continue à croire que c'était un accident. Accident dû à un relâchement général, surtout psychologique, après quelques jours de repos biens mérités. Depuis le début de la saison, les joueurs sont sous pression et le travail abattu est colossal, au vu de nos moyens, ne l'oublions surtout pas. Je me répète, mais cette "bouffe sur le coin du bec" nous rappelle à l'ordre, surtout en ce qui concerne la vigilance. Positivons et servons nous de cette "défaite référence" pour être encore plus mordant. Clarkin semble aussi aller dans ce sens. De plus et là je pense que c'est un point important pour la suite, la préparation de cette équipe est phénoménale car on ne compte pas énormément de blessés en opposition avec les efforts fournis par les uns et les autres, surtout au niveau des joueurs titulaires. On va encore "manger", mais peu importe, je fais confiance au staff et aux joueurs pour se sublimer de nouveau.

J'entends surtout "on leur enlève le bonus, on leur enlève le bonus ..." et ça me fait mal . Patrick tu remue le couteau dans la plaie ...pour une fois je ne vais pas demander la clé pour revoir ce match
Ne serait-ce pas le moment de reparler du Top 16...il a peut-être par tord l'ami Goze

"On leur enlève le bonus..." Etcheto? "on marque encore! on marque encore...." Etcheto!

Bouhhoouuuu, bouhoouuu je suis inconsolable offrir 5 points à cette équipe qui nous en avait volé 3
Le BO a accumulé 30% de ses points sur notre dos

Et oui nous aimons beaucoup le BO, lequel ne nous paye pas en retours de notre peine.
Ah les amours déçus.

Midol

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Cachez ces statistiques que je ne saurais voir !!!!!

bon finalement je regarderai bien de nouveau ce match...j'aime souffrir

http://fr.justin.tv/theliverugby0/b/310467013
http://fr.justin.tv/theliverugby0/b/310466859
code : thelive01903

tiens souffre, tu vas t'arracher le peu de cheveux que tu as sur le caillou.................

Bon je vais préserver mon système pileux pectoral....ça me gonfle ...et encore et toujours ces arbitres de touche bigleux avec un en avant confirmé (qui ne m'avait pas échappé) en Traille et Bosch sur le premier essai qui mine de rien nous fout dedans (selon la théorie qui veut que le premier marqueur serait vainqueur)...allez rien ne sert de ressasser pas plus la défaite que ce premier essai bouffé par Le Bourhis qui nous aurait fait gagner (selon la théorie qui veut...Etc etc)

NB : jeudi je vais péter du poulet

Extrait Interview Louis Nicollin ce week end.

Le FOOT en FAUX : Je trouve que le rugby nous emmerde à donner des leçons de morale et de valeur au foot à longueur d’année…

Louis Nicollin : Moi, je peux pas trop critiquer parce qu’on a dirigé l’ASB et le Montpellier Rugby. Je pense qu’à la Fédération, c’est des amateurs. J’en dirai pas plus… Quand on voit ce qu’il se passe, il y a une journée ce soir et demain, des internationaux qui sont pas pris pour les laisser à leurs clubs soi-disant parce qu’ils étaient blessés… Ca me fait rire ! C’est de la folie.


Cf: dimitri yachvili?

je voie pas pourquoi "s'arracher" les cheveux, autant contre Montpellier ont peut crier au scandale car la les points on les marques sauf que on en prend qu'y ne devraient pas être comptabilise
autant contre le BO on ne marque pas et on donne le bâton pour ce faire battre
en plus perdre a l’extérieur n'a rien de catastrophique, ce sont les 3 points perdu au match aller qui me font peur, espérons qu'on ne les regrette pas a la fin .................

Martin33 a écrit: Extrait Interview Louis Nicollin ce week end.

Le FOOT en FAUX : Je trouve que le rugby nous emmerde à donner des leçons de morale et de valeur au foot à longueur d’année…

Louis Nicollin : Moi, je peux pas trop critiquer parce qu’on a dirigé l’ASB et le Montpellier Rugby. Je pense qu’à la Fédération, c’est des amateurs. J’en dirai pas plus… Quand on voit ce qu’il se passe, il y a une journée ce soir et demain, des internationaux qui sont pas pris pour les laisser à leurs clubs soi-disant parce qu’ils étaient blessés… Ca me fait rire ! C’est de la folie.


Cf: dimitri yachvili?

Certainement, et certainement aussi que vu comment il a marché sur l'eau contre nous, le XV de Gaule serait peut-être encore dans le coup pour un Grand Chelem s'il avait joué en bleu ce dimanche.

Mais d'un autre côté, on ne peut pas reprocher (je trouve) à une équipe de faire jouer les joueurs qu'elle paie, surtout après avoir payé un si lourd tribu en absences à la Coupe du Monde de cet automne. Car c'est bien ce déséquilibre qui est de la folie et qui résume certaines confrontations à de la roulette russe. Tu tombes sur l'équipe privée de ses internationaux, c'est bonnard. Et si au contraire tu tombes dessus quinze jours après, ce n'est plus bonnard.

Pour en revenir à la question provoc initiale du journaliste, moi qui ne suis pas dans le fantasme moralisateur d'un rugby "intouchable" et idéalisé face aux sombres travers des autres sports (je ne supporte pas cette posture, et j'en ai croisé des sales cons sur les terrains avec qui t'as franchement pas envie de partager une bière à la fin du match), j'ai envie de dire qu'aucun autre sport crée autant d'inéquités dans son championnat majeur que le rugby.

Olivier a écrit:

Martin33 a écrit: Extrait Interview Louis Nicollin ce week end.

Le FOOT en FAUX : Je trouve que le rugby nous emmerde à donner des leçons de morale et de valeur au foot à longueur d’année…

Louis Nicollin : Moi, je peux pas trop critiquer parce qu’on a dirigé l’ASB et le Montpellier Rugby. Je pense qu’à la Fédération, c’est des amateurs. J’en dirai pas plus… Quand on voit ce qu’il se passe, il y a une journée ce soir et demain, des internationaux qui sont pas pris pour les laisser à leurs clubs soi-disant parce qu’ils étaient blessés… Ca me fait rire ! C’est de la folie.


Cf: dimitri yachvili?

Certainement, et certainement aussi que vu comment il a marché sur l'eau contre nous, le XV de Gaule serait peut-être encore dans le coup pour un Grand Chelem s'il avait joué en bleu ce dimanche.

Mais d'un autre côté, on ne peut pas reprocher (je trouve) à une équipe de faire jouer les joueurs qu'elle paie, surtout après avoir payé un si lourd tribu en absences à la Coupe du Monde de cet automne. Car c'est bien ce déséquilibre qui est de la folie et qui résume certaines confrontations à de la roulette russe. Tu tombes sur l'équipe privée de ses internationaux, c'est bonnard. Et si au contraire tu tombes dessus quinze jours après, ce n'est plus bonnard.

Pour en revenir à la question provoc initiale du journaliste, moi qui ne suis pas dans le fantasme moralisateur d'un rugby "intouchable" et idéalisé face aux sombres travers des autres sports (je ne supporte pas cette posture, et j'en ai croisé des sales cons sur les terrains avec qui t'as franchement pas envie de partager une bière à la fin du match), j'ai envie de dire qu'aucun autre sport crée autant d'inéquités dans son championnat majeur que le rugby.

de toute façon maintenant c'est fait, Yach a fais un grand match pour le BO alors autant qu'il y reste pour emmerder aussi Brive le LOU et Bayonne (ce qui serait au moins une bonne pour nous) , par contre je comprend que le cinéma de Blanco commence a irriter beaucoup de monde, son " il est sortit car il est blessé " après le match a DAX avec un jolie sourire, mais bon il connait le système et en joue, qui aurais fais différemment dans sa situation ??

Cet après midi, entrainements terrain spécialisés 3/4 et avants.
Les visages sont fermés, on sent que ce match a marqué les esprits.
Va t-on rebondir, l'avenir le dira?
Après sur le terrain, ça semble se débrider,à suivre.

léopold a écrit:Cet après midi, entrainements terrain spécialisés 3/4 et avants.
Les visages sont fermés, on sent que ce match a marqué les esprits.
Va t-on rebondir, l'avenir le dira?
Après sur le terrain, ça semble se débrider,à suivre.

En espérant qu'il aura marqué les esprits dans le bon sens...!
Qui s'occupe des avants ?

Delpoux et le jeune entraîneur du centre de formation qui vient en renfort pour la mêlée.

Interrogé par Sud Ouest, Serge Blanco dit avoir "d'autres chats à fouetter que de répondre à ces balivernes. Vous pouvez écrire ça : je les emm… "


Serge Blanco. (photo j.-D. chopin)

« Je ne suis pas concerné par les discussions de comptoir, ni par ce qui se dit sur des réseaux où l'on ne signe même pas ce qu'on écrit. J'ai d'autres chats à fouetter que de répondre à ces balivernes. Vous pouvez écrire ça : je les emm… » Voilà comment un Serge Blanco courroucé a balayé, lorsque nous l'avons joint par téléphone hier, le soupçon qui rampe d'ondes en toile au sujet de la non-sélection de Dimitri Yachvili pour les deux derniers matches du XV de France.

Le demi de mêlée international du Biarritz Olympique a débuté le Tournoi des Six Nations comme titulaire avant de quitter le XV de France le 9 février, pour cause de lumbago. Une fois guéri, début mars, il a brillamment repris la compétition avec son club pour deux succès décisifs dans la course au maintien en Top 14, contre Bordeaux-Bègles (38-13) et Brive (26-11). Or, à la même période, sans lui, le XV de France a perdu le Tournoi en enchaînant un nul contre l'Irlande (17-17) et une défaite face à l'Angleterre (22-24).

Il n'en a pas fallu plus pour que se développe un soupçon de « conflit d'intérêts » autour de Patrice Lagisquet, à la fois manager du BO et entraîneur du XV de France, et de Serge Blanco, président du club basque et homme d'influence dans le rugby français. Jusqu'à l'ancien sélectionneur tricolore Bernard Laporte, qui a déclaré hier à ce sujet sur l'antenne de RMC : « Je ne dis pas qu'il y a eu manipulation, mais de l'extérieur, ça semble louche. »

«Je ne suis pas sélectionneur»

Il y a eu, toutefois, une logique sportive au non-rappel du numéro 9 biarrot. En vue de la réception de l'Irlande, l'actuel sélectionneur Philippe Saint-André avait décidé de reconduire intégralement un groupe qui venait juste de s'imposer en Écosse (17-23), tandis que Yachvili n'avait pas encore repris l'entraînement. Puis, une semaine plus tard, au lendemain du nul face à l'Irlande, Philippe Saint-André avait reconnu ouvertement avoir eu « la tentation Yachvili », mais ne l'avait pas rappelé « par envie de voir jouer Julien Dupuy ». Qu'il avait aussitôt titularisé contre l'Angleterre.

Dans « Sud Ouest » mardi dernier, Julien Dupuy, demi de mêlée du Stade Français revenu en bleu pour pallier le forfait du Biarrot, avait d'ailleurs réagi : « Je n'aurais pas compris de quitter le groupe, puisque je n'ai pas fait de faute. » Ce n'est que sa contre-performance face aux Anglais qui a autorisé le retour de Dimitri Yachvili dans le groupe France. « Le Yach est parti blessé de l'équipe de France. À partir de là, il n'aurait pas été normal qu'un joueur (en l'occurrence Julien Dupuy, NDLR) soit viré avant d'avoir pu faire ses preuves. Le nouvel encadrement est en train de construire quelque chose. Et moi, je ne suis pas sélectionneur », conclut Serge Blanco.

Lagisquet : "ne pas tomber là-dedans"

Interrogé hier à Marcoussis sur la gestion du cas Yachvili, l'entraîneur du XV de France Patrice Lagisquet a rejoint son président biarrot, Serge Blanco : « Des polémiques autour de l'équipe de France, il y en a toujours eu, on ne va pas tomber là-dedans, a-t-il prévenu. Si ça avait été le cas, on ne l'aurait pas sélectionné dès le départ. On l'avait évoqué, d'ailleurs, car il revenait juste de blessure. Mais Julien Dupuy '' gazait'' bien à l'entraînement, il sait gérer le jeu, il a l'habitude de jouer avec Lionel Beauxis… Mais c'est vrai que du point de vue de l'entraîneur du BO, Biarritz a joué 14 matches sans Dimitri, son maître à jouer, à cause des matches internationaux. »

http://www.sudouest.fr/2012/03/14/yachvili-blanco-ne-repond-pas-aux-balivernes-658013-8.php