Re: Premiership

S.K.I.T.O Mer 12 Juil 2023 - 21:46

Dr. Gregory Bouse a écrit:
le radis a écrit:La proD2 anglaise ...
https://www.telegraph.co.uk/rugby-union/2023/07/12/rfu-told-championship-clubs-on-brink/

L'article est destiné aux abonnés. Tu l'es ?

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https://12ft.io/www.telegraph.co.uk/rugby-union/2023/07/12/rfu-told-championship-clubs-on-brink/

**sudiste** Mer 12 Juil 2023 - 23:35

Que nous puissions être un référence pour les anglais ...surtout en matière de rugby ...qui l'eut cru ? think

**Dr. Gregory Bouse** Mer 12 Juil 2023 - 23:39

S.K.I.T.O.c.m.f a écrit:
Dr. Gregory Bouse a écrit:
le radis a écrit:La proD2 anglaise ...
https://www.telegraph.co.uk/rugby-union/2023/07/12/rfu-told-championship-clubs-on-brink/

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**Scalp** Jeu 13 Juil 2023 - 7:51

Super ton astuce S.K.I.T.O.c.m. Wink

Je mets le texte de l'article traduit en français :

La RFU dit aux clubs de Championship qu'ils sont au bord du gouffre et qu'ils ne pourront pas remplir le deuxième niveau sans aide

Exclusif : Le président Simon Halliday craint que la réduction du financement risque d'entraîner une déconnexion définitive entre le jeu professionnel et le jeu communautaire en Angleterre.
Par Daniel Schofield, Correspondant adjoint de la Rugby Union 12 juillet 2023 - 3:01pm

La Rugby Football Union a été avertie que les clubs de Championship ont été laissés au bord du gouffre par des réductions de financement qui menacent l'avenir du deuxième niveau, selon le nouveau président de la ligue, Simon Halliday.

La RFU et la Premiership Rugby veulent lancer une "Premiership 2" rebaptisée, construite sur un modèle de franchise qui pourrait inclure les Wasps, Worcester et London Irish, pour la saison 2025-26, mais M. Halliday a averti qu'il pourrait ne pas y avoir assez de clubs participants pour remplir la division après une réduction de financement d'environ 80 pour cent. En 2020, les équipes de Championship ont vu leur financement passer de 600 000 £ à 288 000 £, avant d'être ramené à environ 160 000 £, une mesure Covid-19 censée être temporaire mais qui s'est rapidement enracinée. Une fois les frais d'assurance et de déplacement déduits, la plupart des clubs n'auront guère plus de 50 000 livres, ce qui explique que plusieurs équipes aient renoncé à un programme à temps plein et que d'autres envisagent de faire de même.

"Il n'est plus possible de faire du sur place", a déclaré M. Halliday au Telegraph Sport. "Il n'y a plus de chemin à parcourir car les clubs sont au bord du gouffre. Il faut s'inquiéter de la façon dont certains clubs ont pu se débrouiller seuls, sans aucune aide. Ce ne sont pas des clubs mal gérés, en aucun cas, mais ils doivent savoir pourquoi ils continuent à investir de l'argent. Si vous ne vous occupez pas d'eux, vous créez la déconnexion ultime entre le jeu professionnel et le jeu communautaire et je ne pense pas que vous puissiez jamais la rétablir".

L'ancien centre de l'équipe d'Angleterre, Halliday, a porté de nombreuses casquettes dans l'administration du rugby, ayant siégé pendant huit ans au conseil de la RFU et ayant passé six ans en tant que président de l'European Professional Club Rugby. Pendant des années, l'Angleterre et ses clubs ont réussi à s'en sortir grâce au simple poids du nombre, en dépit du système plutôt qu'à cause de lui.

Le point culminant d'une campagne incroyable de @JerseyRedsRugby

#ChampRugby pic.twitter.com/yOa3tdaglz
- Championship Rugby (@Champrugby) 29 avril 2023

Mais avec trois clubs de Premiership qui ont mordu la poussière au cours des 12 derniers mois et une équipe nationale peu performante, le message de Halliday est clair : collaborez ou laissez-vous distancer par vos rivaux.

"Je me souviens m'être assis dans une pièce en 2015 avec le responsable du rugby irlandais, son directeur commercial, le directeur de la performance et les responsables des quatre provinces", a déclaré Halliday. C'est l'année où l'Irlande a perdu en quart de finale de la Coupe du monde et où aucune de ses provinces n'a atteint les quarts de finale européens. Je me souviens que Mick Dawson, le directeur général du Leinster, m'a dit : "Ne vous inquiétez pas pour nous, nous allons nous en sortir. Nous sommes en train de tout construire par le biais des académies et des universités". Il était clair que tout le monde était sur la même longueur d'onde et je suis parti en sachant qu'ils allaient s'en sortir.

"La France a mis de l'ordre dans ses affaires il y a longtemps. L'Angleterre a mis beaucoup plus de temps à adopter cette approche collective. Nous n'avons pas cherché à changer. Nous avons laissé passer beaucoup plus de temps et maintenant nous sommes en train de rattraper le temps perdu".

La défaite 52-31 de l'Angleterre contre la France en demi-finale du Championnat des moins de 20 ans en est la preuve, après une défaite 42-7 contre les mêmes adversaires lors du Tournoi des Six Nations des moins de 20 ans. Tout aussi remarquable que le score des Six Nations est le fait que les joueurs anglais n'ont fait que sept apparitions dans l'élite pour leurs clubs, contre 108 pour la France. "C'est le résultat d'une absence de stratégie", explique Halliday. "Ironiquement, j'ai participé à la mise en place du système académique il y a de nombreuses années et il n'était pas censé être une salle d'attente où l'on garde indéfiniment les sacs de plaquage.

Nous sommes juste à côté de London Irish, mais personne ne nous a appelés".

C'est là que le Championnat peut jouer un rôle essentiel en offrant du temps de jeu à des jeunes qui, autrement, se défoulent à l'entraînement. "Nous sommes là et prêts à aider", a déclaré Halliday. "Nous devons montrer que nous faisons partie de la filière et que nous contribuons à ce que les jeunes joueurs aient du temps de jeu et fassent leurs preuves.

Theo Dan en est un parfait exemple : il a commencé la saison à Ampthill, prêté par les Saracens, et la termine comme l'un des trois talonneurs de première ligne de l'équipe d'entraînement de l'Angleterre pour la Coupe du monde, dont plus de la moitié ont joué en Championship à un moment ou à un autre de leur carrière. "Le sentiment est que pour les clubs, sur une période de plusieurs années - et cela a été dit par la direction de la RFU - notre contribution au parcours a été accessoire", a déclaré Halliday. "Ils ont fait le travail nécessaire pour démontrer que ce n'est pas le cas, mais je trouve navrant que ce groupe de clubs doive faire ses preuves alors que leur valeur est évidente.

En tant que conseiller stratégique d'Ealing Trailfinders, M. Halliday a pu constater de visu à quel point la RFU peut paraître lointaine. "Nous sommes juste à côté de London Irish et personne n'a appelé Ealing pour lui demander comment nous pouvions aider les jeunes joueurs de leur académie, ce que je trouve incroyable.

Les clubs de Championship se voient imposer des décisions".

Le principal point d'achoppement est le critère des normes minimales qui régit l'éligibilité des clubs à la promotion en Premiership. La saison dernière, seul Doncaster, qui a terminé sixième, aurait atteint ce seuil. Dans le cas d'Ealing, il faudrait soit obtenir un permis de construire dans l'un des arrondissements londoniens à la croissance la plus rapide, soit envisager un partage de terrain pour accéder à un barrage contre l'équipe la plus basse de la Premiership la saison prochaine. "Le groundshare est un moyen rapide de briser votre modèle de revenus. Regardez les London Irish. Le partage du terrain les a ruinés, entre autres choses. Nous sommes d'accord pour dire qu'il faut un ensemble de normes, mais il s'agit de savoir comment les établir pour permettre aux clubs de se développer. L'entrée moyenne de Newcastle est d'environ 5 000 personnes. Il faut veiller à ne pas faire de ces critères des barrières. Lorsque nous établissons ces règles au sommet concernant l'accès à la Premiership à partir de la Premiership 2, il faut déterminer quelles sont les passerelles, car sinon cela [le cloisonnement] se réalise de lui-même.

M. Halliday tient à souligner que toute augmentation du financement serait subordonnée à la réalisation d'objectifs tels que le nombre de joueurs qualifiés pour l'Angleterre. Le championnat veut jouer son rôle, mais il a surtout besoin de faire entendre le point de vue de ses clubs. "Nous avons besoin d'une véritable consultation sur le nouvel accord sur le jeu professionnel, sinon il ne sera tout simplement pas couronné de succès. La consultation, ce n'est pas un débriefing occasionnel. C'est cela : Qu'en pensez-vous ? Êtes-vous d'accord ? Et si vous n'êtes pas d'accord, pourquoi pas ? Et ce n'est pas le cas", a déclaré M. Halliday. "C'est là que les clubs de Championship se sentent lésés, et ce avant mon arrivée, parce qu'ils n'ont pas l'occasion de donner leur avis. Ils se voient imposer des décisions. On ne peut pas dicter une solution à un tiers. Il faut être ouvert d'esprit et respecter leur point de vue.

"Par exemple, le conseil d'administration de Jersey pose ouvertement la question de savoir pourquoi il continue à investir s'il ne reçoit aucun soutien de la part de l'instance dirigeante, et ce de la part des champions de l'année dernière. Nous avons besoin de clarté. Les investisseurs ont besoin de clarté. Les joueurs ont besoin de clarté. Les supporters ont besoin de clarté. Nous n'avons plus le temps de continuer à nous opposer. Nous ne pouvons pas nous permettre de nous tromper dans les prochains mois, c'est aussi important que cela".

S.K.I.T.O Jeu 13 Juil 2023 - 12:09

Scalp a écrit:Super ton astuce S.K.I.T.O.c.m.

De mémoire ça ne fonctionne pas sur les (pseudos) articles du midol, mais sur sud ouest, oui. C'est à tester au cas par cas.

tire-bouchon Jeu 13 Juil 2023 - 19:08

S.K.I.T.O.c.m.f a écrit:
Scalp a écrit:Super ton astuce S.K.I.T.O.c.m.

De mémoire ça ne fonctionne pas sur les (pseudos) articles du midol, mais sur sud ouest, oui. C'est à tester au cas par cas.

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