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SO : ITW vérité de Marc Delpoux
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AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté tribune ... des sélectionneurs
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SO : ITW vérité de Marc Delpoux
http://www.sudouest.com/gironde/sports/rugby/article/886047/mil/5781919.html
RUGBY PRO D2 (23E JOURNÉE), AVANT AIX - UNION. En cinq mois et quinze matches, Marc Delpoux, patron sportif, a posé sa marque. Le manageur pose son regard sur l'équipe, la situation du club, la sienne, avant une semaine cruciale
« Pau peut être notre finale »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Marc Delpoux : « Le plus embêtant dans ces situations, c'est pour les préparateurs physiques, autres membres du staff, administratifs ». (photo philippe taris)
« Sud Ouest ».
Comment vivez-vous la situation actuelle ?
Marc Delpoux. Comme tout le monde, j'attends la décision du 13 mars de Laurent Marti avec de l'inquiétude, par rapport à mon avenir personnel et celui du club. Quand on travaille pour un projet, on s'y attache et cette incertitude est difficile à vivre. Le paradoxe est que, dans le même temps, on a le devoir de s'investir sur le présent et la saison prochaine comme si de rien n'était. Je connaissais, en signant, la déception et la frustration du président par rapport au peu de retour. J'ai donc été tout sauf surpris de sa démarche. Je la trouve honnête et claire. Soit on vient nous aider et on continue ensemble, soit tout le monde rentre chez soi. Nous, le sportif, notre rôle est de l'aider en faisant le maximum.
Vous découvrez le contexte bordelais.
Il vous a étonné ?
Il ne faut pas avoir les pieds dedans pour comprendre que si un club comme Bordeaux végète en Pro D2, c'est qu'il n'y a pas un rassemblement général autour. Pourquoi ? Je ne sais pas. J'entends ce qui se dit, je vois que certains sponsors qui étaient avec Bègles ne sont plus là, que d'autres du Stade Bordelais non plus. Je trouve cela dommage mais ce n'est pas à moi de juger qui donne assez d'argent ou pas.
Et quel regard portez-vous sur le club ?
Il y a une histoire, un stade, une équipe administrative qui fait du bon boulot, un centre de formation qui compte quatre internationaux jeunes, une salle de musculation de qualité. En terme de structures, la chose qui manque selon moi serait une aire d'entraînement supplémentaire pour reposer les terrains et éviter leur état actuel. Après, pour pouvoir passer un palier, on en revient au budget. Avoir de l'argent ne suffit pas pour réussir, il faut aussi faire les bons choix. Mais il faut en avoir pour avancer.
Vous regrettez que le rugby en soit arrivé à cette équation ?
Non. Il va dans le bon sens : il y a un championnat lisible, 14 000 personnes dans les stades quand il y en avait 2 000 quand je jouais, le niveau n'a plus rien à voir, en Top 14 comme en Pro D2. Il faut vivre avec son temps et Bordeaux a les moyens de le faire. Je suis de Narbonne, une ville moyenne, sans beaucoup d'industries et je sais qu'il est difficile pour eux, comme pour Albi ou Mont-de-Marsan, de trouver les ressources pour monter un budget de 12 ou 13 millions d'euros et vivre en Top 14. À Bordeaux, elles existent.
Vous avez connu une situation proche avec Calvisano l'an passé.
Cette expérience vous sert-elle aujourd'hui ?
Complètement. Même si c'était pire. Ici, dans quinze jours, il y aura une décision ferme et on dira aux joueurs si on les garde ou pas. La saison passée, nous avons joué une demi-finale sans savoir si, le lundi, le club continuait. J'avais des internationaux italiens et des étrangers qui se demandaient ce qu'ils allaient devenir. Mais le plus embêtant dans ces situations, c'est pour les préparateurs physiques, autres membres du staff, administratifs.
Quel discours tenez-vous aux joueurs ?
On ne leur a jamais menti et on les tient informés. Aujourd'hui, je les trouve presque trop concernés : humainement et sportivement, ce qu'ils font depuis quinze jours est remarquable. Le match de samedi (NDLR : demain) est d'une importance incroyable : si on arrive à gagner à Aix, alors on jouera un match éliminatoire contre Pau le 13 mars, dans un stade qui pourrait être plein, avec une dramaturgie accentuée par l'annonce du président. Ce serait notre finale.
Vous êtes arrivé alors que l'équipe était relégable.
Pensiez-vous alors pouvoir en être là en mars ?
On n'était pas dans cette logique. On voulait travailler pour relancer une dynamique sportive. Si on a réussi, c'est un tout. Bien sûr, chaque entraîneur amène sa touche personnelle. Mais il y avait déjà un travail accompli et le président a joué son rôle. Quand je lui ai demandé un deuxième ligne, quand j'ai souhaité un ouvreur plus expérimenté pour laisser le temps à Raphaël Lagarde et Camille Lopez de s'aguerrir, quand il a fallu réagir au départ d'Anthony Elliott ou maintenant à la blessure de Mathieu Gouagout, il a toujours fait le nécessaire. Après, mon rôle est de travailler intelligemment avec le staff. On ne s'est pas choisis, ça aurait pu mal se passer, mais chacun a su trouver son équilibre.
En terme de jeu, êtes-vous satisfait du travail accompli ?
J'ai re-regardé l'autre jour la finale gagnée avec Calvisano. J'ai trouvé pas mal de points communs entre les deux équipes, dans les lancements, le jeu de récupération, les relances. L'expérience que j'avais du Top 14 et de l'Italie me faisait dire qu'il fallait être plus précis sur l'organisation défensive et offensive : donner plus de repères pour chaque temps de jeu. Si j'ai apporté quelque chose, c'est peut-être cela.
Et qu'est-ce qu'il vous manque encore ?
Le gros point noir, c'est la touche. On rate trop de lancers. En défense, en discipline, nous tenons sous la pression mais tant qu'on n'aura pas stabilisé la conquête, ce sera compliqué à l'extérieur. En revanche, si on ajoute cela et un meilleur jeu au pied tactique à nos qualités, ça doit pouvoir le faire.
Vous pensez avoir la possibilité de taper à la porte du Top 14 la saison prochaine si l'histoire continue ?
Non, ce serait aller trop vite, même si on fera tout pour s'en rapprocher. Aujourd'hui, on vaut entre la 5e et la 8e place. Monter en Top 14, c'est deux ou trois paliers au-dessus. Pour prétendre à cela dès l'an prochain, il faudrait avoir beaucoup, beaucoup d'argent et refonder l'effectif. Personne ne veut ça. La base pour un projet à 2-3 ans, on l'a, à condition que ces garçons aient envie de rester. J'entends beaucoup de gens qui reprochent au club d'avoir laissé partir Benjamin Fall. Mais c'est lui qui a voulu s'en aller ! Aujourd'hui, si on veut garder les Machenaud, Lagarde, Chollon, Desmaison et nos meilleurs joueurs arrivés de l'extérieur, il faut leur offrir un projet qui peut les amener en Top 14 dans 2-3 ans. Si, comme je l'ai entendu, il faut repartir avec un budget à la baisse avec la perspective de végéter à la 12-13e place, ils voudront partir. C'est logique.
Où en êtes-vous par rapport à la saison prochaine ?
On sait que certains ont des contacts mais rien n'a été signé officiellement. Après, nous avons 2-3 joueurs qui attendent que notre situation s'améliore pour s'engager. On n'est pas à l'abri mais ils nous ont promis d'attendre le 15 mars.
Personnellement, si Laurent Marti ne reste pas, partirez-vous dans tous les cas ?
On m'a donné ici un poste à responsabilités auquel j'aspire, un projet qui me plaît. On en a déjà parlé avec Laurent Marti et si je peux continuer, j'en serai fier. Après, s'il s'en va et que quelqu'un arrive avec des moyens, un projet ambitieux, souhaite me garder, pourquoi pas. Mais ce ne sera pas dans n'importe quelles conditions : je suis loin de ma famille alors si je reste, cela ne peut être que pour un objectif sportif intéressant et en gagnant bien ma vie.
Auteur : Propos recueillis par nicolas le gardien
n.legardien@sudouest.com

RUGBY PRO D2 (23E JOURNÉE), AVANT AIX - UNION. En cinq mois et quinze matches, Marc Delpoux, patron sportif, a posé sa marque. Le manageur pose son regard sur l'équipe, la situation du club, la sienne, avant une semaine cruciale
« Pau peut être notre finale »
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Marc Delpoux : « Le plus embêtant dans ces situations, c'est pour les préparateurs physiques, autres membres du staff, administratifs ». (photo philippe taris)
« Sud Ouest ».
Comment vivez-vous la situation actuelle ?
Marc Delpoux. Comme tout le monde, j'attends la décision du 13 mars de Laurent Marti avec de l'inquiétude, par rapport à mon avenir personnel et celui du club. Quand on travaille pour un projet, on s'y attache et cette incertitude est difficile à vivre. Le paradoxe est que, dans le même temps, on a le devoir de s'investir sur le présent et la saison prochaine comme si de rien n'était. Je connaissais, en signant, la déception et la frustration du président par rapport au peu de retour. J'ai donc été tout sauf surpris de sa démarche. Je la trouve honnête et claire. Soit on vient nous aider et on continue ensemble, soit tout le monde rentre chez soi. Nous, le sportif, notre rôle est de l'aider en faisant le maximum.
Vous découvrez le contexte bordelais.
Il vous a étonné ?
Il ne faut pas avoir les pieds dedans pour comprendre que si un club comme Bordeaux végète en Pro D2, c'est qu'il n'y a pas un rassemblement général autour. Pourquoi ? Je ne sais pas. J'entends ce qui se dit, je vois que certains sponsors qui étaient avec Bègles ne sont plus là, que d'autres du Stade Bordelais non plus. Je trouve cela dommage mais ce n'est pas à moi de juger qui donne assez d'argent ou pas.
Et quel regard portez-vous sur le club ?
Il y a une histoire, un stade, une équipe administrative qui fait du bon boulot, un centre de formation qui compte quatre internationaux jeunes, une salle de musculation de qualité. En terme de structures, la chose qui manque selon moi serait une aire d'entraînement supplémentaire pour reposer les terrains et éviter leur état actuel. Après, pour pouvoir passer un palier, on en revient au budget. Avoir de l'argent ne suffit pas pour réussir, il faut aussi faire les bons choix. Mais il faut en avoir pour avancer.
Vous regrettez que le rugby en soit arrivé à cette équation ?
Non. Il va dans le bon sens : il y a un championnat lisible, 14 000 personnes dans les stades quand il y en avait 2 000 quand je jouais, le niveau n'a plus rien à voir, en Top 14 comme en Pro D2. Il faut vivre avec son temps et Bordeaux a les moyens de le faire. Je suis de Narbonne, une ville moyenne, sans beaucoup d'industries et je sais qu'il est difficile pour eux, comme pour Albi ou Mont-de-Marsan, de trouver les ressources pour monter un budget de 12 ou 13 millions d'euros et vivre en Top 14. À Bordeaux, elles existent.
Vous avez connu une situation proche avec Calvisano l'an passé.
Cette expérience vous sert-elle aujourd'hui ?
Complètement. Même si c'était pire. Ici, dans quinze jours, il y aura une décision ferme et on dira aux joueurs si on les garde ou pas. La saison passée, nous avons joué une demi-finale sans savoir si, le lundi, le club continuait. J'avais des internationaux italiens et des étrangers qui se demandaient ce qu'ils allaient devenir. Mais le plus embêtant dans ces situations, c'est pour les préparateurs physiques, autres membres du staff, administratifs.
Quel discours tenez-vous aux joueurs ?
On ne leur a jamais menti et on les tient informés. Aujourd'hui, je les trouve presque trop concernés : humainement et sportivement, ce qu'ils font depuis quinze jours est remarquable. Le match de samedi (NDLR : demain) est d'une importance incroyable : si on arrive à gagner à Aix, alors on jouera un match éliminatoire contre Pau le 13 mars, dans un stade qui pourrait être plein, avec une dramaturgie accentuée par l'annonce du président. Ce serait notre finale.
Vous êtes arrivé alors que l'équipe était relégable.
Pensiez-vous alors pouvoir en être là en mars ?
On n'était pas dans cette logique. On voulait travailler pour relancer une dynamique sportive. Si on a réussi, c'est un tout. Bien sûr, chaque entraîneur amène sa touche personnelle. Mais il y avait déjà un travail accompli et le président a joué son rôle. Quand je lui ai demandé un deuxième ligne, quand j'ai souhaité un ouvreur plus expérimenté pour laisser le temps à Raphaël Lagarde et Camille Lopez de s'aguerrir, quand il a fallu réagir au départ d'Anthony Elliott ou maintenant à la blessure de Mathieu Gouagout, il a toujours fait le nécessaire. Après, mon rôle est de travailler intelligemment avec le staff. On ne s'est pas choisis, ça aurait pu mal se passer, mais chacun a su trouver son équilibre.
En terme de jeu, êtes-vous satisfait du travail accompli ?
J'ai re-regardé l'autre jour la finale gagnée avec Calvisano. J'ai trouvé pas mal de points communs entre les deux équipes, dans les lancements, le jeu de récupération, les relances. L'expérience que j'avais du Top 14 et de l'Italie me faisait dire qu'il fallait être plus précis sur l'organisation défensive et offensive : donner plus de repères pour chaque temps de jeu. Si j'ai apporté quelque chose, c'est peut-être cela.
Et qu'est-ce qu'il vous manque encore ?
Le gros point noir, c'est la touche. On rate trop de lancers. En défense, en discipline, nous tenons sous la pression mais tant qu'on n'aura pas stabilisé la conquête, ce sera compliqué à l'extérieur. En revanche, si on ajoute cela et un meilleur jeu au pied tactique à nos qualités, ça doit pouvoir le faire.
Vous pensez avoir la possibilité de taper à la porte du Top 14 la saison prochaine si l'histoire continue ?
Non, ce serait aller trop vite, même si on fera tout pour s'en rapprocher. Aujourd'hui, on vaut entre la 5e et la 8e place. Monter en Top 14, c'est deux ou trois paliers au-dessus. Pour prétendre à cela dès l'an prochain, il faudrait avoir beaucoup, beaucoup d'argent et refonder l'effectif. Personne ne veut ça. La base pour un projet à 2-3 ans, on l'a, à condition que ces garçons aient envie de rester. J'entends beaucoup de gens qui reprochent au club d'avoir laissé partir Benjamin Fall. Mais c'est lui qui a voulu s'en aller ! Aujourd'hui, si on veut garder les Machenaud, Lagarde, Chollon, Desmaison et nos meilleurs joueurs arrivés de l'extérieur, il faut leur offrir un projet qui peut les amener en Top 14 dans 2-3 ans. Si, comme je l'ai entendu, il faut repartir avec un budget à la baisse avec la perspective de végéter à la 12-13e place, ils voudront partir. C'est logique.
Où en êtes-vous par rapport à la saison prochaine ?
On sait que certains ont des contacts mais rien n'a été signé officiellement. Après, nous avons 2-3 joueurs qui attendent que notre situation s'améliore pour s'engager. On n'est pas à l'abri mais ils nous ont promis d'attendre le 15 mars.
Personnellement, si Laurent Marti ne reste pas, partirez-vous dans tous les cas ?
On m'a donné ici un poste à responsabilités auquel j'aspire, un projet qui me plaît. On en a déjà parlé avec Laurent Marti et si je peux continuer, j'en serai fier. Après, s'il s'en va et que quelqu'un arrive avec des moyens, un projet ambitieux, souhaite me garder, pourquoi pas. Mais ce ne sera pas dans n'importe quelles conditions : je suis loin de ma famille alors si je reste, cela ne peut être que pour un objectif sportif intéressant et en gagnant bien ma vie.
Auteur : Propos recueillis par nicolas le gardien
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Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Re: SO : ITW vérité de Marc Delpoux
putain que ces résponsables me plaisent
et certains voudraient tout foutre en l'air 



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« Patere ut Vinceres !!! » « Souffrir pour Vaincre !!! ». L'esprit champion n'est pas qu'une histoire de talent, mais aussi d'âme et de coeur. Il n'y aurait pas de victoires s'il n'y avait pas, par instants, des chutes, des défaites, des tentations de ployer les genoux.

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