CéKIKéNéLà

Je m'y colle.

Né dans un pays de gueules noires, il débuta, comme son père par le jeu à treize.
D'abord joueur de Toulouse, il arriva dans un club qui n'a plus sa grandeur d'antan.
Son petit nom est digne du fond des gaves : son style en est la conséquence.
Ses relances du fond du pré sont dignes de L'UBB.
Doté d'un petit gabarit, il finit sa carrière au pays des guitares.
DJOBI, DJOBA.

La cité et son nom, SVP.

Enzo a ouvert le carton.....

Je ne m'y colle pas ce soir.....
Léo.... vas y toi..!!!

A ++

La palette est très large !
Est-ce qu'on l'a vu sélectionné en bleu ?

Allons y pour Jack Cantoni né à Carmaux pays de mines.
Ailier et puis arrière déroutant au format de poche.
Joueur du Stade Toulousain, Béziers pour les lustres passés et finissant à Bédarieux.
Son physique était très proche de celui de notre Lolo et sa vaillance et sa relance aussi imprévisible.
Allez Lolo.

Dès que la chevelure est d'aplomb, Léo est performant : évitez les courants d'air!

La truite était son petit nom et ses relances permit à Béziers de gagner beaucoup de match dont une finale contre Toulon.

Il termina sa carrière à Bédarieux, ville, selon Olivier, où l'on trouve de très bonnes guitares.

Gamin, j'étais admiratif de ce joueur : CANTONI. Cantar, canté, Djobi, djoba, il chantait le rugby. Un style, quoi.

Léo, celle-ci était pour toi car je connais ton attachement à Carmaux et au Tarn en particulier : Tu n'a pas loupé cette occasion. En face des perches, bien gominé.....Pas un barbot le LEO.

Bon on va vous laisser entre-vous.

Rien n'empêchait les autres de saisir la balle au rebond.

enzo a écrit:Rien n'empêchait les autres de saisir la balle au rebond.

Moi sur le coup j'ai pas vu ta balle passer !

enzo a écrit:Rien n'empêchait les autres de saisir la balle au rebond.

bien entendu.... ...fan des feux de l'amour? c'est bien ça, on vous laisse entre vous

Bon : on vous laisse poser une colle - pour tous - Une chandelle quoi! et sans jeu de mots.

A vous lire mes chers amis de jeu.

Afin que tout le monde puisse jouer à arme égale, je vous propose le petit périmètre,le Rugby Girondin,et même mieux deux représentants des belles racines de notre Union.
Le point commun entre ces joueurs est qu'ils furent tout les deux affectés au tâches ingrates, ils le firent d'ailleurs avec une belle réussite reconnue par leurs pairs.Maitrisant chacun, la tête et le coeur qui forgent un mental de fer qui font que pour le bien de leur équipe, les garçons mettent la tête où beaucoup ne voudraient pas mettre les pieds.
Les mains et les pieds, ils en faisaient bon usage,des "figures" des "shérifs" , des "calibres", la seule allusion à leur noms faisait perdre beaucoup de moyens à leur adversaires.
Autre point commun des hommes de coeur, de brave type hors du terrain.

Aux faits:

-Le radis éxerça son talent à Musard de 1946 à 1960, foutu comme un as de pique, jamais malade, toujours touché jamais KO. Un gabarit désuet pour le poste, fréquent à cette époque, un " roupic" ou un "tit" disait on à Bègles. Son frangin lui a la même époque tenait les manettes de l'équipe, leur mère "marraine" pour tout les joueurs du cru, qui se retrouvaient avec les bourgeois Bordelais après spectacle pour des moment forts et canailles dans l'estaminet tenu par les frangins, situé au ventre de Bordeaux.
La famille fit longtemps dans la limonade, le petit Bordeaux, le pied de cochon et la tricandille, beau programme.
Sur que Ludo n'y adhérerait pas.

-Le fils du Lion, plus jeune, natif du pays cher à la pucelle, débuta dans un vieux club situé 500km plus au Sud à l'embouchure d'un fleuve, connu dans tout l'hexagone comme un lieu où Vulcain aurait pu exercer son talent.
Il passera chez les coujoux, puis chez notre lion avant de finir dans une de nos banlieue où il acheva sa carrière.
Aujourd'hui il y donne un coup de main, faisant profiter de son expérience afin de permettre au dit club de retrouver ses lustres d'antan.
Avec un tel parcours ayant servi dans des grandes maisons nous tenons là,un garçon peu ordinaire, un expert reconnu en gnons, orions, poires, fourchettes et autres moyens peu avouables, permettant de naviguer sans encombre.

Voila ce fut simple, un peu alambiqué je le concéde.
Bien sur les jeunes seront désavantagés.
Mais voila bien, un petit test, pour tous, qui nous prévalons de l'Union et des deux grands clubs fondateurs.

Les noms des deux drôles,( cherchez pas chez les médaillés, ils furent braves, préférant les tâches obscures aux distinctions nationales auxquelles ils auraient pu prétendre) .

Pfffffff.........!
Hé ho.... j'suis pas né dans les années 20... les 30 non plus d'ailleurs...!
Pour le radis, je tente un truc tout de même.... un Moga... Alphonse peut être...?
C'est chaud ton affaire mon bon Léo...!

Ben là c'est copieux....prend du plaisir qui disait l'autre...Léo tu nous tortures ou alors c'est une punition

Camiste a écrit:Ben là c'est copieux....prend du plaisir qui disait l'autre...Léo tu nous tortures ou alors c'est une punition

Les deux... il en a ras le bol qu'on trouve ses énigmes...
Il vient de sortir de la cave et de l'oubli de vieux bouquins ou brochures d'époque plein de poussière...

Simple les gars, suffit de lire.
Pour le radis on trouve tout y compris ses photos en pleine action sur le pré et derrière le comptoir dans le livre sorti pour le centenaire du CAB ( Du CAB au CABBG) auquel le regretté Jean François Mézergues a collaboré et que tout adepte de l'Union devrait avoir à son chevet, car on peut parfois savoir où l'on va quand on sait d'où on vient.
Pour le lion il est né en 1944, et devait sévir au Bouscat dans les années 70, pas vieux tout ça,allez je vous aide il a fini à Mérignac.
On ne peut pas être plus clair.

Je suis hors-jeu car j'ai le livre donc la réponse....depuis longtemps.

Fair play, je laisse jouer mes petits camarades

PS : prenez de temps en temps des tickets de bourriche dont les tunes servent à nos jeunes. Parfois la chance vous permet de gagner cet ouvrage.

PS 2 : quand je gagne du rouge, 1 coup sur 2 je ne retire pas mon lot.

léopold a écrit:Simple les gars, suffit de lire.
Pour le radis on trouve tout y compris ses photos en pleine action sur le pré et derrière le comptoir dans le livre sorti pour le centenaire du CAB ( Du CAB au CABBG) auquel le regretté Jean François Mézergues a collaboré et que tout adepte de l'Union devrait avoir à son chevet, car on peut parfois savoir où l'on va quand on sait d'où on vient.
Pour le lion il est né en 1944, et devait sévir au Bouscat dans les années 70, pas vieux tout ça,allez je vous aide il a fini à Mérignac.
On ne peut pas être plus clair.

Lien de parenté avec Mollat, Léo? Ou alors tu as des actions dans cette librairie? Dis, tu nous le prêtes ton joli livre.

Pas chez Mollat car cette corporation avec Internet est aussi appelée à disparaitre.
Je me fend d'un indice le dernier en ce qui concerne le radis et peut être aussi le Lion.
-Dans ces années là et bien après, le radis et son frangin sous la tutelle de maman, tenait le El Tobo,estaminet, cave à vin, située dans le quartier vivant de Bordeaux, les Capucins. Voisin des Moga,dans son bar, se retrouvait tout le Rugby de l'agglomération, chacun laissant à l'entrée la rivalité entre les clubs, seul le Rugby régnait en maitre jour et nuit.
Autour de cette belle jeunesse, on trouvait bien sur le quota des Capus, c'était avant Brienne il y avait du monde,les canons se vidaient vite.Pour clore le tableau, Chaban et quelques autres s'invitaient, les bourgeois n'étaient pas en reste et leurs jolies femmes animaient de belle partie de "pince fesse" pendant que leur mâle jouaient la tournée au Jacquet.
Etudiant le jour, fort des halles la nuit j'ai connu cette ambiance unique, que le Bougnat plus tard essaya de perpétuer et qui aujourd'hui n'a pas son équivalent. Nous vivons une époque moderne qui pense avoir gagné en efficacité ce qu'elle à perdu en convivialité.
-Pour le lion son paronyme est synonyme d'un bon cépage qui permet bien au Cabernet de s'affirmer dans nos Bordeaux.

Notre gars du stade Bordelais, du cabernet et du sauvignon = un nectar Australien

Enzo cesse d'envoyer des collègues sur une fausse piste,il ni a pas de lion en Australie, sauf peut être au Zoo de Sydney!!!

...... ....... ........ ...!!!

Pas de quoi!!!

Cher Léo....
Je n'ai pas le livre dont tu parles et que tout un chacun devrait posséder, c'est sur....!
Donc le radis...
Quant au lion, j'en ai vu tout plein mais aucun d'entre eux n'avait de rapport avec le tien....

Désolé....... j'abdique !!!!

Ce livre, cette "bible" est bien en vente chez Mollat... du moins l'y ai-je vu (et lu) un jour

Il est encore possible d'en acquérir au CABBG.
Compte tenu de votre handicap voila donc le résultat des course.

-Pour le Radis, Roland Baudorre deuxième ligne rugueux du CAB de 1946 à 1960 et son frére Robert qui fut manager de la même équipe de 1943 à 1965.Le menton en galoche, véritable piège à baffe, les chaussettes en bas tant ses
cheville était fine, d'un gabarit qui lui vaudrait aujourd'hui de jouer 3/4 aile, il était un rude client et ne déparait pas des gaillards de l'époque,Mogas, Geneste, Marrens etc....
Garçon charmant dans son antre des Capucins, véritable état major du Rugby Girondin où se faisait le monde.
-Pour le Lion,Joél Merlaud né en 1944 à Orléans d'un gabarit plus actuel,1,88m pour 96kg, il était un deuxième latte redouté.
Formé chez les "forgerons" du Boucau,il rejoint à Brive une belle pléiade où il se taillera la réputation d'un joueur redoutable.Il rejoindra le SBUC de la belle époque,celle des Lacroutz, Laudouar, Forts etc...
Il finira à Mérignac où il donne un coup de main en tout bien tout honneur celui là pour le renouveau du club.
On peut le croiser à Moga les jours de grande marée.
Ouf.

Ouais.... enchanté d'avoir fait connaissance avec ta potagère aux mollets de grenouille, grand distributeur de baffes....!
Quant au tarzan du stade bordelais je le connais autant que j'ai pu connaitre l'arrière grand-mère de la grand-mère de mon grand-père... que je n'ai pas connu, vu qu'il est parti avant que j'arrive.... c'est pour dire !!!

Mais c'était une belle histoire que tu nous as contée là.... si, si j'insiste !
T'es gentil, pour la prochaine, tu laisses ton bouquin sur le chevet de ton plumard....!!