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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Ligue Nationale de Rugby
Demi-finales du Top 14, dispositif JIFF... ce qu'il faut retenir du dernier comité directeur de la Ligue nationale de rugby
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/sports/demi-finales-du-top-14-dispositif-jiff-ce-qu-il-faut-retenir-du-dernier-comite-directeur-de-la-ligue-nationale-de-rugby_14340001/
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/sports/demi-finales-du-top-14-dispositif-jiff-ce-qu-il-faut-retenir-du-dernier-comite-directeur-de-la-ligue-nationale-de-rugby_14340001/
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Re: Ligue Nationale de Rugby
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/En-restructurant-son-arbitrage-le-rugby-francais-veut-susciter-des-vocations/1407105
En restructurant son arbitrage, le rugby français veut « susciter des vocations »
La LNR et la FFR, qui vont chacune investir un million d'euros, ont adopté un plan commun de relance de l'arbitrage pour mieux le structurer et le professionnaliser. C'était une priorité pour les présidents René Bouscatel et Florian Grill.
Jean-François Paturaud,
Pour bien saisir l'enjeu d'un sujet, il suffit parfois de compter le nombre d'interlocuteurs qui sont assis en face de vous. Pour annoncer et détailler en avant-première à L'Équipe« le plan de performance de l'arbitrage du secteur professionnel français », adopté par les deux institutions, ce n'est pas un, ni deux, ni même trois mais bien quatre dirigeants de la Ligue Nationale et de la Fédération française qui se sont déplacés sur la terrasse d'un hôtel de Toulon jeudi soir. D'un côté, l'homme fort de la Ligue René Bouscatel, accompagné de son directeur général Emmanuel Eschalier. Sur le banc voisin, Florian Grill, le nouveau président de la FFR, et à sa droite Jean-Marc Lhermet, son responsable du haut niveau et des officiels de match.
Car si le Top 14 et le quinze de France brillent aujourd'hui au niveau international, les arbitres français sont davantage à la peine. Seuls deux d'entre eux - Mathieu Raynal au centre et Pierre Brousset comme assistant - ont ainsi été retenus pour officier lors la Coupe du monde à la maison cet automne (8 septembre-28 octobre). Et ces dernières années, plusieurs figures reconnues ont préféré prendre leur retraite et poursuivre une nouvelle carrière au sein de staffs de clubs plutôt qu'avec un sifflet dans la bouche. Il fallait - enfin - réagir.
« Il était nécessaire et urgent de rentrer dans une discussion avec la fédération et la DTNA pour améliorer l'arbitrage et surtout le professionnaliser »
René Bouscatel, patron de la Ligue Nationale de Rugby
« Pour la LNR et surtout les présidents de clubs, il était nécessaire et urgent de rentrer dans une discussion avec la fédération et la DTNA (la Direction technique nationale de l'arbitrage) pour améliorer l'arbitrage et surtout le professionnaliser, explique d'entrée René Bouscatel. C'est un facteur extrêmement important dans le spectacle rugby et dans notre environnement. Il y a eu une professionnalisation des joueurs et il fallait que ça soit aussi le cas pour les arbitres. Nous en avons parlé avec la fédération. Et immédiatement, nous avons pu mettre en place un plan de performance. »
Il est axé sur quatre points clairement identifiés : d'abord structurer l'encadrement des arbitres (un maximum de 32 éléments) pour bénéficier d'une meilleure préparation, mieux les accompagner financièrement avec une revalorisation de leur rémunération, renforcer les échanges avec les clubs et par ailleurs mettre en place une gouvernance partagée FFR-LNR à travers un comité de pilotage. Du gagnant-gagnant pour tout le monde.
Ce projet coûtera 2 millions d'euros, répartis à parité entre la FFR et la LNR
« Ce plan était une priorité sur le haut niveau mais aussi à la base, complète Grill. Il faut travailler les deux conjointement. Avec la Ligue, on travaille la partie haut niveau pour justement que la France soit représentée comme elle l'a déjà été à l'international. Mais pour la faire émerger, il faut une base en nombre suffisant et qui soit formée. On élargit le sujet à l'ensemble des officiels des matches, y compris les représentants fédéraux. C'est un joli chantier, il est en tout cas majeur, de notre début de mandat. On l'a pris en cours de route et on a adhéré sur la partie qui concerne l'élite puisque ça nous apparaissait une évidence. »
Qui a forcément un prix. La saison prochaine, le financement de ce new-deal de l'arbitrage coûtera au total deux millions d'euros répartis à parité entre les deux entités. Et vu le contexte actuel, notamment les treize millions de déficit d'exploitation côté fédéral, ce n'est évidemment pas anodin. « On n'a pas tremblé sur ce dossier car c'est un sujet important et il faut le faire, souligne Grill. C'est un beau signe du travail en commun de la FFR et la LNR qu'il faut étendre sur plein d'autres domaines. »
L'idée est, comme pour le quinze de France, d'avancer sur les quatre années à venir. « Nous allons l'annoncer sur la première saison et nous verrons ensuite comment évoluer, souligne Bouscatel. C'était le moment. Nous avons eu les uns et les autres la volonté d'un plan progressif. Il faut susciter des vocations et que l'arbitrage français rayonne. Il manque actuellement un peu de vocations. »
« Je rêve qu'un jour une arbitre féminine soit en Top 14. Ça fait aussi partie des objectifs »
Florian Grill, président de la FFR
(Re) donner davantage envie de devenir arbitre (puis de le rester) via une communication positive, voilà en grande partie l'ambition de ce plan ambitieux sur le papier. « Jusqu'à présent ce n'était pas un métier, selon le patron de la Ligue. Nous avions malgré tout de bons arbitres, mais il faut améliorer leur nombre et la qualité par la préparation physique, le suivi et davantage de temps de préparation. Et j'espère qu'avec ce plan, nous verrons émerger de nouveaux arbitres à l'échelon amateur qui monteront ensuite au niveau professionnel. »
« À la fédé, on a 2 700 arbitres aujourd'hui, répond Grill. Si on voulait être serein, il faudrait en avoir 3 300 pour couvrir toutes les rencontres. Le fait de travailler le haut doit permettre de développer le bas. On a besoin d'avoir des têtes de gondole. » Aussi bien des hommes que des femmes. Grill toujours : « Je rêve qu'un jour une arbitre féminine soit en Top 14. Ça fait aussi partie des objectifs. Et je rêve aussi qu'on entende pas parler des arbitres, c'est le meilleur signal des matches réussis et ça voudrait dire que ce plan fonctionne. »
En restructurant son arbitrage, le rugby français veut « susciter des vocations »
La LNR et la FFR, qui vont chacune investir un million d'euros, ont adopté un plan commun de relance de l'arbitrage pour mieux le structurer et le professionnaliser. C'était une priorité pour les présidents René Bouscatel et Florian Grill.
Jean-François Paturaud,
Pour bien saisir l'enjeu d'un sujet, il suffit parfois de compter le nombre d'interlocuteurs qui sont assis en face de vous. Pour annoncer et détailler en avant-première à L'Équipe« le plan de performance de l'arbitrage du secteur professionnel français », adopté par les deux institutions, ce n'est pas un, ni deux, ni même trois mais bien quatre dirigeants de la Ligue Nationale et de la Fédération française qui se sont déplacés sur la terrasse d'un hôtel de Toulon jeudi soir. D'un côté, l'homme fort de la Ligue René Bouscatel, accompagné de son directeur général Emmanuel Eschalier. Sur le banc voisin, Florian Grill, le nouveau président de la FFR, et à sa droite Jean-Marc Lhermet, son responsable du haut niveau et des officiels de match.
Car si le Top 14 et le quinze de France brillent aujourd'hui au niveau international, les arbitres français sont davantage à la peine. Seuls deux d'entre eux - Mathieu Raynal au centre et Pierre Brousset comme assistant - ont ainsi été retenus pour officier lors la Coupe du monde à la maison cet automne (8 septembre-28 octobre). Et ces dernières années, plusieurs figures reconnues ont préféré prendre leur retraite et poursuivre une nouvelle carrière au sein de staffs de clubs plutôt qu'avec un sifflet dans la bouche. Il fallait - enfin - réagir.
« Il était nécessaire et urgent de rentrer dans une discussion avec la fédération et la DTNA pour améliorer l'arbitrage et surtout le professionnaliser »
René Bouscatel, patron de la Ligue Nationale de Rugby
« Pour la LNR et surtout les présidents de clubs, il était nécessaire et urgent de rentrer dans une discussion avec la fédération et la DTNA (la Direction technique nationale de l'arbitrage) pour améliorer l'arbitrage et surtout le professionnaliser, explique d'entrée René Bouscatel. C'est un facteur extrêmement important dans le spectacle rugby et dans notre environnement. Il y a eu une professionnalisation des joueurs et il fallait que ça soit aussi le cas pour les arbitres. Nous en avons parlé avec la fédération. Et immédiatement, nous avons pu mettre en place un plan de performance. »
Il est axé sur quatre points clairement identifiés : d'abord structurer l'encadrement des arbitres (un maximum de 32 éléments) pour bénéficier d'une meilleure préparation, mieux les accompagner financièrement avec une revalorisation de leur rémunération, renforcer les échanges avec les clubs et par ailleurs mettre en place une gouvernance partagée FFR-LNR à travers un comité de pilotage. Du gagnant-gagnant pour tout le monde.
Ce projet coûtera 2 millions d'euros, répartis à parité entre la FFR et la LNR
« Ce plan était une priorité sur le haut niveau mais aussi à la base, complète Grill. Il faut travailler les deux conjointement. Avec la Ligue, on travaille la partie haut niveau pour justement que la France soit représentée comme elle l'a déjà été à l'international. Mais pour la faire émerger, il faut une base en nombre suffisant et qui soit formée. On élargit le sujet à l'ensemble des officiels des matches, y compris les représentants fédéraux. C'est un joli chantier, il est en tout cas majeur, de notre début de mandat. On l'a pris en cours de route et on a adhéré sur la partie qui concerne l'élite puisque ça nous apparaissait une évidence. »
Qui a forcément un prix. La saison prochaine, le financement de ce new-deal de l'arbitrage coûtera au total deux millions d'euros répartis à parité entre les deux entités. Et vu le contexte actuel, notamment les treize millions de déficit d'exploitation côté fédéral, ce n'est évidemment pas anodin. « On n'a pas tremblé sur ce dossier car c'est un sujet important et il faut le faire, souligne Grill. C'est un beau signe du travail en commun de la FFR et la LNR qu'il faut étendre sur plein d'autres domaines. »
L'idée est, comme pour le quinze de France, d'avancer sur les quatre années à venir. « Nous allons l'annoncer sur la première saison et nous verrons ensuite comment évoluer, souligne Bouscatel. C'était le moment. Nous avons eu les uns et les autres la volonté d'un plan progressif. Il faut susciter des vocations et que l'arbitrage français rayonne. Il manque actuellement un peu de vocations. »
« Je rêve qu'un jour une arbitre féminine soit en Top 14. Ça fait aussi partie des objectifs »
Florian Grill, président de la FFR
(Re) donner davantage envie de devenir arbitre (puis de le rester) via une communication positive, voilà en grande partie l'ambition de ce plan ambitieux sur le papier. « Jusqu'à présent ce n'était pas un métier, selon le patron de la Ligue. Nous avions malgré tout de bons arbitres, mais il faut améliorer leur nombre et la qualité par la préparation physique, le suivi et davantage de temps de préparation. Et j'espère qu'avec ce plan, nous verrons émerger de nouveaux arbitres à l'échelon amateur qui monteront ensuite au niveau professionnel. »
« À la fédé, on a 2 700 arbitres aujourd'hui, répond Grill. Si on voulait être serein, il faudrait en avoir 3 300 pour couvrir toutes les rencontres. Le fait de travailler le haut doit permettre de développer le bas. On a besoin d'avoir des têtes de gondole. » Aussi bien des hommes que des femmes. Grill toujours : « Je rêve qu'un jour une arbitre féminine soit en Top 14. Ça fait aussi partie des objectifs. Et je rêve aussi qu'on entende pas parler des arbitres, c'est le meilleur signal des matches réussis et ça voudrait dire que ce plan fonctionne. »
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Re: Ligue Nationale de Rugby
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Ligue Nationale de Rugby
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le-plan-strategique-de-la-lnr-pour-2023-2027-mise-sur-la-continuite/1432685
Le plan stratégique de la LNR pour 2023-2027 mise sur la continuité
La Ligue nationale, associée à la Fédération, a présenté son plan stratégique pour la période 2023-2027 avec quelques nouveautés, mais surtout un mot d'ordre, la continuité, pour permettre au rugby français de rester un acteur majeur.
Adrien Corée
Avant de célébrer la Nuit du rugby à l'Olympia, les responsables du rugby français se sont donné rendez-vous hier matin au siège de la Ligue nationale de rugby à Paris, dans le XVIIe arrondissement, pour dévoiler le plan stratégique de l'institution jusqu'en 2027. L'occasion notamment pour René Bouscatel, le président de la LNR, et Jean-Marc Lhermet, le vice-président de la Fédération, d'affirmer une nouvelle fois « l'excellente relation » qui unit les deux organisations. Et de présenter les grands axes communs qui doivent permettre au rugby professionnel français de « s'inscrire durablement comme une référence mondiale ».
La mise à disposition des internationaux
Il semble loin le temps où la Fédération et les clubs ne parvenaient pas à s'entendre pour libérer les joueurs du quinze de France. Depuis la signature de la convention FFR/LNR en 2020, le sélectionneur Fabien Galthié dispose d'une marge de manoeuvre inédite, avec notamment 42 internationaux sous la main pour préparer les rencontres des Bleus.
Conservera-t-il ce luxe pour son second mandat ? « Le cadre de la convention est fixé et ne changera pas » jusqu'en 2027, a affirmé Bouscatel. Mais du côté des clubs, ça commence à grincer. Certains estiment que les efforts consentis en vue de la Coupe du monde à la maison ne devraient pas être normalisés ces quatre prochaines années.
Une réunion aura lieu en décembre, entre la Fédération, les présidents et les staffs des clubs du Top 14, afin de tirer le bilan de cette convention et d'y apporter éventuellement quelques ajustements. Fabien Galthié y dévoilera son nouveau projet (et peut-être une nouvelle flèche du temps).
« L'objectif n'est pas de réduire la voilure par rapport à l'équipe de France, a prévenu Lhermet. Au contraire, c'est essayer de continuer à travailler main dans la main en y mettant un maximum de moyens pour que cette équipe de France reste sur le toit du monde, de façon à viser beaucoup plus loin, et notamment le titre en 2027. Forcément, ça nécessite un engagement de toutes les structures derrière l'équipe de France. »
Le vice-président de la FFR a ajouté qu'il écoutait « toutes les remarques », reconnu que les résultats positifs des Bleus ces dernières saisons existaient aussi « grâce aux clubs qui ont permis ça », tout en affirmant que ces derniers devaient aussi entendre « ce dont le staff (des Bleus) a besoin pour franchir un cap ».
La Fédération a trouvé en Grégory Alldritt, présent lors de cette conférence, un avocat de poids. Le numéro 8 international, au repos jusqu'en janvier, a tiré un « bilan positif » de la convention : « C'est le succès d'une structure, ce fonctionnement a bien marché et il a besoin d'être de nouveau soutenu ces quatre prochaines années, qui seront encore plus difficiles. C'est une bonne nouvelle de continuer avec ce même format, de travailler à 42. Il ne faut pas remettre en question tout ce qui a été fait. »
La santé, grande priorité
Un large pan de la présentation de la LNR a porté sur la question de la santé des joueurs et des entraîneurs, aussi bien physique que mentale. Sylvain Blanchard, médecin du Racing, a répété la nécessité d'une « transversalité » entre les acteurs du rugby pour prévenir les risques et accompagner au mieux les blessures. Deux millions d'euros seront ainsi alloués au secteur médical, avec notamment le déploiement progressif d'un programme de prise en charge des risques psychosociaux.
« On a amorcé la chose avec une cellule psychologique pour accompagner plus d'une centaine de joueurs en détresse au moment du Covid, a rappelé Mathieu Giudicelli, directeur général de Provale, le syndicat des joueurs. Il faut aller encore plus loin, et se pencher sur le problème des addictions. »
« On n'a plus le temps de se régénérer, a témoigné Alldritt. Il faut qu'on arrive à trouver ce temps-là. Le gel du salary-cap (10,7 M€ jusqu'en 2027) est une bonne chose, pas pour que l'on touche de meilleurs salaires mais pour que les effectifs puissent être suffisamment étoffés, afin que tous les joueurs aient des périodes de repos nécessaires. »
L'arbitrage de plus en plus pro
LNR et FFR se sont engagées à financer un plan de performance de l'arbitrage à hauteur de 2 millions d'euros par saison jusqu'en 2027. Une bonne nouvelle pour Tual Trainini, arbitre en Top 14 et au niveau international : « C'est une marque de reconnaissance qui va dans le sens de la sécurisation de notre profession, qui va nous permettre d'oeuvrer dans l'excellence en travaillant sur les détails. » « Les arbitres ont été les laissés-pour-compte de la montée en puissance du professionnalisme », a reconnu Lhermet.
Ce plan de performance prévoit ainsi une revalorisation des rémunérations des arbitres, une meilleure communication avec les clubs via une plate-forme d'échanges. « Il a aussi pour objectif une meilleure structuration et une meilleure évaluation des arbitres. » Afin que les sifflets français, représentés par le seul Mathieu Raynal lors de la dernière Coupe du monde, retrouvent leur place au centre du terrain international.
Le plan stratégique de la LNR pour 2023-2027 mise sur la continuité
La Ligue nationale, associée à la Fédération, a présenté son plan stratégique pour la période 2023-2027 avec quelques nouveautés, mais surtout un mot d'ordre, la continuité, pour permettre au rugby français de rester un acteur majeur.
Adrien Corée
Avant de célébrer la Nuit du rugby à l'Olympia, les responsables du rugby français se sont donné rendez-vous hier matin au siège de la Ligue nationale de rugby à Paris, dans le XVIIe arrondissement, pour dévoiler le plan stratégique de l'institution jusqu'en 2027. L'occasion notamment pour René Bouscatel, le président de la LNR, et Jean-Marc Lhermet, le vice-président de la Fédération, d'affirmer une nouvelle fois « l'excellente relation » qui unit les deux organisations. Et de présenter les grands axes communs qui doivent permettre au rugby professionnel français de « s'inscrire durablement comme une référence mondiale ».
La mise à disposition des internationaux
Il semble loin le temps où la Fédération et les clubs ne parvenaient pas à s'entendre pour libérer les joueurs du quinze de France. Depuis la signature de la convention FFR/LNR en 2020, le sélectionneur Fabien Galthié dispose d'une marge de manoeuvre inédite, avec notamment 42 internationaux sous la main pour préparer les rencontres des Bleus.
Conservera-t-il ce luxe pour son second mandat ? « Le cadre de la convention est fixé et ne changera pas » jusqu'en 2027, a affirmé Bouscatel. Mais du côté des clubs, ça commence à grincer. Certains estiment que les efforts consentis en vue de la Coupe du monde à la maison ne devraient pas être normalisés ces quatre prochaines années.
Une réunion aura lieu en décembre, entre la Fédération, les présidents et les staffs des clubs du Top 14, afin de tirer le bilan de cette convention et d'y apporter éventuellement quelques ajustements. Fabien Galthié y dévoilera son nouveau projet (et peut-être une nouvelle flèche du temps).
« L'objectif n'est pas de réduire la voilure par rapport à l'équipe de France, a prévenu Lhermet. Au contraire, c'est essayer de continuer à travailler main dans la main en y mettant un maximum de moyens pour que cette équipe de France reste sur le toit du monde, de façon à viser beaucoup plus loin, et notamment le titre en 2027. Forcément, ça nécessite un engagement de toutes les structures derrière l'équipe de France. »
Le vice-président de la FFR a ajouté qu'il écoutait « toutes les remarques », reconnu que les résultats positifs des Bleus ces dernières saisons existaient aussi « grâce aux clubs qui ont permis ça », tout en affirmant que ces derniers devaient aussi entendre « ce dont le staff (des Bleus) a besoin pour franchir un cap ».
La Fédération a trouvé en Grégory Alldritt, présent lors de cette conférence, un avocat de poids. Le numéro 8 international, au repos jusqu'en janvier, a tiré un « bilan positif » de la convention : « C'est le succès d'une structure, ce fonctionnement a bien marché et il a besoin d'être de nouveau soutenu ces quatre prochaines années, qui seront encore plus difficiles. C'est une bonne nouvelle de continuer avec ce même format, de travailler à 42. Il ne faut pas remettre en question tout ce qui a été fait. »
La santé, grande priorité
Un large pan de la présentation de la LNR a porté sur la question de la santé des joueurs et des entraîneurs, aussi bien physique que mentale. Sylvain Blanchard, médecin du Racing, a répété la nécessité d'une « transversalité » entre les acteurs du rugby pour prévenir les risques et accompagner au mieux les blessures. Deux millions d'euros seront ainsi alloués au secteur médical, avec notamment le déploiement progressif d'un programme de prise en charge des risques psychosociaux.
« On a amorcé la chose avec une cellule psychologique pour accompagner plus d'une centaine de joueurs en détresse au moment du Covid, a rappelé Mathieu Giudicelli, directeur général de Provale, le syndicat des joueurs. Il faut aller encore plus loin, et se pencher sur le problème des addictions. »
« On n'a plus le temps de se régénérer, a témoigné Alldritt. Il faut qu'on arrive à trouver ce temps-là. Le gel du salary-cap (10,7 M€ jusqu'en 2027) est une bonne chose, pas pour que l'on touche de meilleurs salaires mais pour que les effectifs puissent être suffisamment étoffés, afin que tous les joueurs aient des périodes de repos nécessaires. »
L'arbitrage de plus en plus pro
LNR et FFR se sont engagées à financer un plan de performance de l'arbitrage à hauteur de 2 millions d'euros par saison jusqu'en 2027. Une bonne nouvelle pour Tual Trainini, arbitre en Top 14 et au niveau international : « C'est une marque de reconnaissance qui va dans le sens de la sécurisation de notre profession, qui va nous permettre d'oeuvrer dans l'excellence en travaillant sur les détails. » « Les arbitres ont été les laissés-pour-compte de la montée en puissance du professionnalisme », a reconnu Lhermet.
Ce plan de performance prévoit ainsi une revalorisation des rémunérations des arbitres, une meilleure communication avec les clubs via une plate-forme d'échanges. « Il a aussi pour objectif une meilleure structuration et une meilleure évaluation des arbitres. » Afin que les sifflets français, représentés par le seul Mathieu Raynal lors de la dernière Coupe du monde, retrouvent leur place au centre du terrain international.
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Re: Ligue Nationale de Rugby
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Yatangaki- J'aime l'Union à la folie
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Re: Ligue Nationale de Rugby
Information Midi Olympique - Droits télé : La LNR lance un appel d’offres et vise les 140 millions d’euros pour le Top 14 et la ProD2 !
https://www.rugbyrama.fr/2024/03/19/information-midi-olympique-droits-tele-la-lnr-lance-un-appel-doffres-et-vise-les-140-millions-deuros-pour-le-top-14-et-la-prod2-11835670.php
J ai pas l article par contre pour vous le partager entièrement...
https://www.rugbyrama.fr/2024/03/19/information-midi-olympique-droits-tele-la-lnr-lance-un-appel-doffres-et-vise-les-140-millions-deuros-pour-le-top-14-et-la-prod2-11835670.php
J ai pas l article par contre pour vous le partager entièrement...
Yatangaki- J'aime l'Union à la folie
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Re: Ligue Nationale de Rugby
https://www.rugbyrama.fr/2024/04/17/top-14-opinion-ils-nauraient-pas-un-pete-au-casque-a-la-ligue-11891198.php
Top 14 - Opinion. Ils n'auraient pas un pète au casque à la Ligue ?
Nicolas Zanardi
Il y a quelques mois, nous avons vu des joueurs comme Louis Bielle-Biarrey devoir changer de casque en raison de la couleur de ce dernier. Une règle mise en place par la LNR, et qui a de quoi faire grincer des dents...
Au royaume d’Ubu que constituent parfois les juridictions de la LNR, on n’en est plus à une aberration près. Logique, nous direz-vous : après, il n’est que ceux qui ne font rien qui ne se trompent jamais… Reste que cette saison, les caciques du rugby pro ont décidé de frapper fort en s’attaquant à un problème majeur.
On ne vous parle pas ici des commotions, du contrôle du salary cap, de la santé psychologique des joueurs ou du fléau des produits stupéfiants et/ou dopants, non ! C’est sur un sujet autrement plus grave qu’il s’agissait de légiférer en urgence, à savoir la couleur des équipements personnels portés par les joueurs. L’article 377 bis fut ainsi créé dans les Règlements Généraux cet automne, stipulant lors que "les équipements portés par les joueurs en complément de la tenue officielle du club, de type cuissards, collants et sous-maillot, casques ou autres protections apparentes, doivent être d’une couleur en harmonie avec les couleurs des équipements officiels du club et d’une seule et même couleur pour tous les joueurs qui en portent."
Police du goût, bonjour ! C’est ainsi que, le 11 octobre dernier, le club de Grenoble fut le premier officiellement sanctionné d’un avertissement (ouah !), comme pour mieux les punir du coup de gueule proféré par leur capitaine à l’encontre de cette ineptie. Eh bien, savez-vous quoi ? Ces infâmes salauds ont recommencé ! Lors du déplacement du FCG à Nevers, en effet, le deuxième ligne Lainault fut ainsi aperçu (cuistre ! ), avec un casque bleu nuit, tandis que ses coéquipiers Madeira et Blanc-Mappaz en portaient un noir. Quelle audace… C’est ainsi que, pour la deuxième fois cette saison, le FCG s’est encore vu convoquer par la commission de discipline, manifestement peu occupée.
Le pire, dans l’histoire ? Il est que cette règle obtuse n’est appliquée qu’en Top 14 et Pro D2, les joueurs se voyant libres de porter en Champions Cup ou au niveau international les casques de la couleur qu’ils souhaitent. On a ainsi vu, ce samedi, des casques dépareillés sur tous les quarts de finale de la Champions Cup. Et savez-vous quoi ? À notre grand étonnement, la qualité du jeu comme de l’arbitrage ne s’en est pas ressentie… Comme quoi, ceux qui ont un pète au casque ne sont pas toujours ceux que l‘on croit !
Top 14 - Opinion. Ils n'auraient pas un pète au casque à la Ligue ?
Nicolas Zanardi
Il y a quelques mois, nous avons vu des joueurs comme Louis Bielle-Biarrey devoir changer de casque en raison de la couleur de ce dernier. Une règle mise en place par la LNR, et qui a de quoi faire grincer des dents...
Au royaume d’Ubu que constituent parfois les juridictions de la LNR, on n’en est plus à une aberration près. Logique, nous direz-vous : après, il n’est que ceux qui ne font rien qui ne se trompent jamais… Reste que cette saison, les caciques du rugby pro ont décidé de frapper fort en s’attaquant à un problème majeur.
On ne vous parle pas ici des commotions, du contrôle du salary cap, de la santé psychologique des joueurs ou du fléau des produits stupéfiants et/ou dopants, non ! C’est sur un sujet autrement plus grave qu’il s’agissait de légiférer en urgence, à savoir la couleur des équipements personnels portés par les joueurs. L’article 377 bis fut ainsi créé dans les Règlements Généraux cet automne, stipulant lors que "les équipements portés par les joueurs en complément de la tenue officielle du club, de type cuissards, collants et sous-maillot, casques ou autres protections apparentes, doivent être d’une couleur en harmonie avec les couleurs des équipements officiels du club et d’une seule et même couleur pour tous les joueurs qui en portent."
Police du goût, bonjour ! C’est ainsi que, le 11 octobre dernier, le club de Grenoble fut le premier officiellement sanctionné d’un avertissement (ouah !), comme pour mieux les punir du coup de gueule proféré par leur capitaine à l’encontre de cette ineptie. Eh bien, savez-vous quoi ? Ces infâmes salauds ont recommencé ! Lors du déplacement du FCG à Nevers, en effet, le deuxième ligne Lainault fut ainsi aperçu (cuistre ! ), avec un casque bleu nuit, tandis que ses coéquipiers Madeira et Blanc-Mappaz en portaient un noir. Quelle audace… C’est ainsi que, pour la deuxième fois cette saison, le FCG s’est encore vu convoquer par la commission de discipline, manifestement peu occupée.
Le pire, dans l’histoire ? Il est que cette règle obtuse n’est appliquée qu’en Top 14 et Pro D2, les joueurs se voyant libres de porter en Champions Cup ou au niveau international les casques de la couleur qu’ils souhaitent. On a ainsi vu, ce samedi, des casques dépareillés sur tous les quarts de finale de la Champions Cup. Et savez-vous quoi ? À notre grand étonnement, la qualité du jeu comme de l’arbitrage ne s’en est pas ressentie… Comme quoi, ceux qui ont un pète au casque ne sont pas toujours ceux que l‘on croit !
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Re: Ligue Nationale de Rugby
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/L-affluence-des-stades-de-top-14-et-pro-d2-en-hausse/1462899
Le choix de la photo est remarquable...
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Re: Ligue Nationale de Rugby
le radis a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/L-affluence-des-stades-de-top-14-et-pro-d2-en-hausse/1462899
Le choix de la photo est remarquable...
J'ai mis un article similaire dans la rubrique "c'est beau, c'est Bordeaux" et la photo est plus parlante
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Re: Ligue Nationale de Rugby
le radis a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/L-affluence-des-stades-de-top-14-et-pro-d2-en-hausse/1462899
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Le stade Chaban-Delmas de l'Union Bordeaux Bègles est celui qui attire le plus de curieux avec plus de 27 000 spectateurs par match
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Re: Ligue Nationale de Rugby
Quotas de billets par clubs pour les demies, projet de Fabien Galthié : le DG de la LNR fait le point
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Quotas-de-billets-par-clubs-pour-les-demies-projet-de-fabien-galthie-le-dg-de-la-lnr-fait-le-point/1476103
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Re: Ligue Nationale de Rugby
Concernant le nombre de places aux supporters, il serait difficile de faire autrement aujourd'hui. Le budget et la trésorerie intègrent un stade quasi plein dès la fin de l'année précédente. S'ils agissent ce sera à la marge.
Pour avoir croisé après la demi à Sansé à l'entrée de la boite de nuit de bord de mer, Bouscatel descendre d'un van rutilant avec chauffeur Mercedes vitres teintées avec 4 jeunes perdreaux, on comprend tout du système politique actuel.
Pour avoir croisé après la demi à Sansé à l'entrée de la boite de nuit de bord de mer, Bouscatel descendre d'un van rutilant avec chauffeur Mercedes vitres teintées avec 4 jeunes perdreaux, on comprend tout du système politique actuel.
Scalp a écrit:Quotas de billets par clubs pour les demies, projet de Fabien Galthié : le DG de la LNR fait le point
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Quotas-de-billets-par-clubs-pour-les-demies-projet-de-fabien-galthie-le-dg-de-la-lnr-fait-le-point/1476103
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Re: Ligue Nationale de Rugby
https://www.varmatin.com/rugby/salary-cap-le-rct-ecope-dune-amende-de-500000-euros-931430
La Section spécialisée de la commission de discipline et des règlements afflige une amende de 500 000 € au RC Toulon !
"À la suite de l’instruction du dossier relatif à l’application du Salary Cap au titre de la saison 2022/2023, des observations formulées par le Rugby Club Toulonnais lors de l’audience du 22 mai 2024 et au regard de l’état de récidive du Club, la Section spécialisée « Salary Cap » de la Commission de discipline et des règlements a prononcé une amende de 500 000 euros à l’encontre du Rugby Club Toulonnais, au titre du manquement à l’obligation générale de transparence et de coopération", explique la LNR dans un communiqué.
"La décision est susceptible d’appel devant la Commission d’appel de la FFR dans un délai de 7 jours", ajoute la Ligue.
La Section spécialisée de la commission de discipline et des règlements afflige une amende de 500 000 € au RC Toulon !
"À la suite de l’instruction du dossier relatif à l’application du Salary Cap au titre de la saison 2022/2023, des observations formulées par le Rugby Club Toulonnais lors de l’audience du 22 mai 2024 et au regard de l’état de récidive du Club, la Section spécialisée « Salary Cap » de la Commission de discipline et des règlements a prononcé une amende de 500 000 euros à l’encontre du Rugby Club Toulonnais, au titre du manquement à l’obligation générale de transparence et de coopération", explique la LNR dans un communiqué.
"La décision est susceptible d’appel devant la Commission d’appel de la FFR dans un délai de 7 jours", ajoute la Ligue.
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Ligue Nationale de Rugby
Jaminet, affaire Jégou-Auradou, décès de Medhi Narjissi : René Bouscatel réagit après l'été noir
https://actu.fr/sports/rugby/pro/jaminet-affaire-jegou-auradou-deces-de-medhi-narjissi-rene-bouscatel-donne-son-avis_61553681.html
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Re: Ligue Nationale de Rugby
Huit clubs de Top 14 et Pro D2 convoqués devant la commission de discipline de la LNR pour chaussettes non conformes
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Huit-clubs-de-top-14-et-pro-d2-convoques-devant-la-commission-de-discipline-de-la-lnr-pour-chaussettes-non-conformes/1507194
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Huit-clubs-de-top-14-et-pro-d2-convoques-devant-la-commission-de-discipline-de-la-lnr-pour-chaussettes-non-conformes/1507194
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Re: Ligue Nationale de Rugby
Scalp a écrit:Huit clubs de Top 14 et Pro D2 convoqués devant la commission de discipline de la LNR pour chaussettes non conformes
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Huit-clubs-de-top-14-et-pro-d2-convoques-devant-la-commission-de-discipline-de-la-lnr-pour-chaussettes-non-conformes/1507194
C'est une affaire gravissime!! Le gain aérodynamique dû à la présence de chaussettes non-conformes s'apparente à un véritable doping technologique! La Ligue doit sévir impitoyablement et forcer les clubs coupables à adopter les chaussettes réglementaires de Bozo le clown....
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
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Scalp a écrit:Huit clubs de Top 14 et Pro D2 convoqués devant la commission de discipline de la LNR pour chaussettes non conformes
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Huit-clubs-de-top-14-et-pro-d2-convoques-devant-la-commission-de-discipline-de-la-lnr-pour-chaussettes-non-conformes/1507194
Franchement cette commission de discipline n'a rien d'autre à faire . Qu'est ce que cela peut faire de jouer avec un casque blanc rouge ou noir ou des chaussettes Il y a surement d'autres sujets plus sérieux à faire. On frise le ridicule !!!!
jean33270- J'aime l'Union passionnément
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Re: Ligue Nationale de Rugby
krahknardz a écrit:Scalp a écrit:Huit clubs de Top 14 et Pro D2 convoqués devant la commission de discipline de la LNR pour chaussettes non conformes
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Huit-clubs-de-top-14-et-pro-d2-convoques-devant-la-commission-de-discipline-de-la-lnr-pour-chaussettes-non-conformes/1507194
C'est une affaire gravissime!! Le gain aérodynamique dû à la présence de chaussettes non-conformes s'apparente à un véritable doping technologique! La Ligue doit sévir impitoyablement et forcer les clubs coupables à adopter les chaussettes réglementaires de Bozo le clown....
Par contre, on voit des gestes dangereux passer crème et ne pas être sanctionnés chaque semaine. La sécurité des joueurs, bon, c'est quand même moins important que l'aérodynamisme procuré par des chaussettes spatiales.
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