CéKIKéNéLà

Les polonais : un sauvetage ; genre Narvik et Dunkerque; ici en Aquitaine.

Voilà ce que j'ai écrit plus haut en précisant, plus tard, qu'ils venaient de Saint Nazaire.

J'ai............................................................... pas !

J'hésite entre :
Jean-Louis Azarete - pilier droit
Jean Iraçabal - pilier gauche
Didier Dospital - pilier droit
André Darrieussecq - pilier gauche
Michel Celaya - pilier gauche ou 2e ou 3e ligne aile

En grattant du côté des autres indices, maintenant qu'on a des Polonais qui arrivaient de St Nazaire, j'espère bien qu'on va trouvé ta réponse.
Je laisserai la mains aux autres forumers, étant absent cet après-midi.
Bon courage pour la suite, et n'oubliez pas d'aider Clermont

Je pense avoir.... mais faut que je creuse encore !

Didier ???? Ce serait pas plutôt Pierre

PaG33 a écrit:J'hésite entre :
Jean-Louis Azarete - pilier droit
Jean Iraçabal - pilier gauche
Didier Dospital - pilier droit
André Darrieussecq - pilier gauche
Michel Celaya - pilier gauche ou 2e ou 3e ligne aile

NON

patrick a écrit:Didier ???? Ce serait pas plutôt Pierre

Pierre en lieu et place de Didier pour DOSPITAL : réponse de Patrick enregistrée mais, c'est NON.

Et l'église avec son 14 qui fait de la maçonnerie!

Serait ce Saint-Jean de Luz où se maria Louis XiV (le 14 ) et dont une porte de l'église fut alors murée ... et dont André Darrieussecq est l'enfant.
Pilier du Saint Jean de Luz Olympique Rugby, il compte une sélection dans l'équipe de France lors du Tournoi des cinq nations 1973 (wikipédia).
Mis à part son homonyme Marie Darrieussecq dont je n'ai pas lu un seul bouquin, jamais entendu parlé

Bonne réponse de Patrick pour Sait jean de luz.

Notre gars a le même surnom qu'un général devenu maréchal (pas un polonais)

Évacuation de l'armée polonaise par la mer en juin 1940

Quelques semaines après l'invasion de la France par l'Allemagne, Saint-Jean-de-Luz a été le théâtre d'évènements dramatiques. Les soldats polonais qui n'avaient pu s'embarquer pour l'Angleterre à Saint-Nazaire affluaient sur la plage et le quai du port de pêche où les gros navires ne pouvaient accoster. Les paquebots M/S Batory et M/S Sobieski durent jeter l'ancre dans la rade. Des pêcheurs volontaires firent la navette entre la côte et chacun de ces deux gros bateaux. La mer était forte, les bateaux de pêche avaient des difficultés pour s'approcher de l'échelle de coupé et permettre aux hommes qui voulaient s'embarquer d'y accéder sans tomber à l'eau. Les femmes et les enfants étaient aidés par les marinsNote 2.Des diplomates et des fonctionnaires du ministère polonais des Affaires Étrangères, s’étaient également embarqués sur ces navires ainsi que des Français qui avaient entendu l’appel du général de Gaulle quelques jours plus tôt, le 18 juin. On connaît en détail les différents mouvements de ces paquebots grâce aux livres de bord qui ont pu être conservés15. Le M/S Sobieski qui se trouvait à l'embouchure de la Gironde dans la journée du 20 juin est arrivé en rade de Saint-Jean-de-Luz dans la nuit du 20 au 21. L'embarquement a aussitôt commencé. Quant au M/S Batory, il se trouvait le 21 juin à 7 heures du matin à l'embouchure de l'Adour et commençait à manœuvrer pour entrer dans le port de Bayonne sans jeter l'ancre. Mais sur la recommandation d'un officier de liaison britannique, il a mis le cap sur Saint-Jean-de-Luz où étaient regroupés les unités polonaises et des réfugiés civils. C’est sur le M/S Batory que s’est embarqué Maurice Schumann16.Le mauvais temps et un ciel bas ont certainement éloigné le spectre d'une attaque de la Luftwaffe et évité la catastrophe qui avait fait quelques jours plus tôt, le 17 juin, à Saint-Nazaire, de très nombreuses victimes sur le paquebot britannique Lancastria où s'étaient embarqués des soldats et des civils du Royaume-Uni.

Alors!

Saint-Jean-de-Luz connut son heure de gloire lorsque, à l'issue du traité des Pyrénées conclu quelques mois plus tôt (7 novembre 1659) par Mazarin, Louis XIV vint y épouser Marie-Thérèse d'Autriche infante d'Espagne le 9 juin 1660. La porte de l'église Saint-Jean-Baptiste, franchie à sa sortie de l'église par le couple royal fut murée 3 ans après la cérémonie, quoique l'inscription gravée dans le mur donne à croire que la condamnation de la porte a été réalisée juste après le mariage.

Et alors!

Chez nous les 14 sont pas maçon,talon oui à la rigueur, les 14 sont les intellos, dixit l'ancien entraîneur des juniors de Bègles.
J'ai envie de déconner une fois de plus, ça fait du bien avant de supporter les Auvergnats.
Après un grand cocorico toute la semaine les Rochelais se sont vautrés au pays des santons. ::plA Commode Louis XIII, Laurent Vergé, pilier international qui fini sa carrière sur le bassin.
Notre dame des passes ( celles de l'entrée au bassin, pour les autres voir madame Lulu)
Le "Sharky" voilier Polonais secouru et sauvé un jour de camphre dans les passes par le canot du Ferret et le Dragon de la protection civile basé à Cazaux.
Allez les SNS.
Voila qui répond au problème, toutefois je doute qu'une solution aussi simple ai été envisagée par Enzo, dont les énigmes nécessite de posséder en préalable d'un prix Nobel.
N'empêche que je les aime bien elles m'en font baver des ronds de chapeau.
Allez Enzo

Travaillez sur : "toi qui ne voulait pas t'aligner, te voilà bien parcellé" vous savez notre maréchal disposant du même surnom que notre garçon.

Chez nous les 14 sont pas maçon,talon oui à la rigueur. Prémonitoire!

Alors, ce 14 là, Louis, n'a t'il pas fait Versailles.

Et notre gars, il est donné sur un site comme entrepreneur de travaux publics.

Et le maréchal, il en a fait des travaux.

La réponse :

Jean-Louis Ugartemendia. C’est un ancien joueur de rugby à XV, qui a joué avec l'équipe de France et le Saint-Jean-de-Luz olympique rugby, évoluant au poste de talonneur (1,75 m pour 74 kg). Son surnom TITO.

Déchainez-vous!

Trop tard

Je connaissais la charade à tiroir....
Enzo vient d'inventer l'indice à tiroir............

Quelques explications et un examen de conscience.

Gamin, je regarde un match du tournoi à la télé et Roger Couderc annonce dès la composition des équipes que le talon Ugartemendia de Saint Jean de Luz serait nommé par son surnom. Durant tous le match, ce talon est son copain, lui donnant tous les honneurs. J'ai compris plus tard que Roger savait te vendre du pâté de campagne pour du foie gras.
J'ai gardé en moi ce Tito que Roger m'avait invité à sublimer.

Pour le coup de l'église de Saint Jean de Luz, ce sont des souvenirs de l'école primaire. A mon époque, le coup de la porte condamnée faisait partie du résumé à apprendre.

Les polonais : je ne sais plus. une plaque commémorative, une émission d'Arte tard le soir, un article dans le sud-ouest lors de la venue d'un consul dans le coin : je ne sais plus. J'avais envie de vous faire partager le courage des Luziens qui ont sauvé ces hommes.

Examen de conscience : c'est vous qui avez gagné. Le jeu porte sur la ville de naissance et TITO est né à Bayonne. Certes, j'ai indiqué sa ville en pensant son club mais c'est au dénouement final que j'ai réalisé que j'avais pu induire en erreur certains d'entres vous. J'ai très mal posé la colle.
A vouloir jouer avec les faux appels dont je raffole, je me suis fait piéger par le règlement.

-Voici pourquoi, j'écris "déchainez-vous"-

Alors, je ne peux que vous demandez d'accepter mes excuses les plus sincères.
J'avais 3 trucs sur St Jean de Luz et j'ai trop vite voulu les placer dans une colle.

enzo a écrit:
Alors, je ne peux que vous demandez d'accepter mes excuses les plus sincères.
J'avais 3 trucs sur St Jean de Luz et j'ai trop vite voulu les placer dans une colle.

J'avoue m'y être quelque peu englué.... dans ta colle....
Si de plus, sincères sont les excuses, d'accepter je me dois...!
Grande est ma mansuétude ... va en paix Enzo !

............

2 paters et 3 AVE, sur ton chemin de Damas, pardon de Brive, et aussi une victoire à la clé que tu te chargera de garantir, voila ta punition.
Pour Tito je connaissais mais pas le reste, et ma foi j'ai eu plaisir à découvrir.
Allez tu peux remettre le couvert!!!

Aller, un petit avant de partir, là vous soufflerez pas dans le ballon, il suffira de dérouler comme ce joueur qui nous fit rêver plusieurs dizaines de fois.Un homme simple, fidèle en club et aussi à la charnière, et pourtant il aurait pu comme son "lointain" ancêtre rechercher l'Eldorado,il ne fit pas, peut être la crainte de la colère de dieu, il le toucha du doigt lors d'un beau feu d'artifice le jour de notre fête nationale, là bas au bout du monde, au pays du long nuage blanc où il fut de la fête et rentra dans la légende lui aussi.
Fils d'un village "ordinaire", bien de chez nous, une église, un château, une place ombragée et puis de belles montagnes, bref un lieu où il fait bon se retirer loin des clameurs des stades.
Ah souvenir!!!
Le gars, le village et toute autre chose que vous trouverez bon de préciser.

j'ai mais je suis puni

Ne reste pas dans ton coin, petit Enzo!!!
Bien sur tu prétends avoir toi même péché alors que nul ne ressentait le besoin de t'accuser.
Cette auto flagélation ne te convient vraiment pas, toi qui nous qui nous a habitué à des interventions enjouées,allez l'important c'est de participer!!!

Pour ceux qui aurait oublié ce jour et la voix de notre bon Roger (et de son fidèle Bala)

Merci Patrick de nous rappeler ce grand moment plein d'émotions.

Je crois que ce 'est le dernier match de rugby que j'ai regardé avant mon accident.
Un abrutis (et sans le A derrière) a coupé un virage et m'a chargé de face, j'étais sur 2 roues.
Très esquinté, le genoux droit coupé en deux en pleine articulation, je n'ai jamais plus rejoué.
J'ai mis 3 ans avant d'accepter de regarder un match, moi qui n'avait jamais été remplaçant.
Enfin, c'est loin tout ça et maintenant je prends même du plaisir à regarder les autres jouer et les encourager.
Faut tourner la page ...!
Même si le Professeur Geneste au Tripode a fait un miracle, puisque j'ai encore mes 2 jambes et je m'en sert (comme je peux, mais ça ne se voit pas) !