17ème journée - BEZIERS / UNION

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La saison est et sera encore longue. Surtout pour les supporters. Si jamais il en restait quelques uns en fait... :supporter:

En gros, on a juste pas le niveau. On attend le changement à chaque rencontre, le déclic qui enclenchera enfin la seconde mais on reste éternellement coincé en première. Béziers n'est sûrement pas à sa place. Nous un peu plus...calés aux alentours de l'antépénultième position...


Une pensée pour tous ceux qui ont subi la tempête de plein fouet.
Paraît que dans les Landes, c'est pas joli à voir...

En ouvrant le site rugbyrama je vois Pro D2 "trois victoires à l'extérieur" (sur les résultats de 4 matchs)....je clique fébrile et là patatra nous ne sommes pas dans le lot

Avec les résultats de Tarbes le bonus de Narbonne et le nul de Colomiers disons que nous perdons encore un peu de terrain .... c'est triste mais tant que nous resterons dans cette situation, loin de l'objectif affiché je refuserai de dépenser 12 euros pour serrer les fesses 80 minutes

Faut dire qu'en ce moment le rugby commence à me gonfler.....un 3-3 entre Toulouse et Bath en coupe d'Europe présenté comme le haut niveau ................et avec ces milliers de pins à terre sur lesquelles mes belles palombes ne se poseront plus jamais je n'ai pas le moral et la force de trouver de excuses à nos joueurs et à leurs entraineurs

Et oui Nico un vrai temps de Finistére,et dire qu'il y en a qui se grille en Floride.
Pour Béziers si tu vas sur leur site,leur équipe nous a dominé devant en melée et touche,leur jeu au pieds est nul ainsi que l'organisation collective.
C'est un petit Béziers que nous avons affronté dans un match inodore, incolore et sans aucune saveur.
Pour eux c'est la Fédérale qui les attend et je dis qu'il y a pas de quoi pavoiser.

toujours le meme probleme ...............le staff va encore s'en sortir par une pirouette et des explications plus que douteuses mais à aucun moment ne se remettra en question. Ne pourrait on pas faire tourner l'effectif et mettre du sang neuf,ou alors allons nous avoir le même scenario que l'an dernier:"ils"iront chercher au dernier moment ceux qui ont permis à l'equipe de s'en sortir honorablement et qui ont été les" GRANDS "absents des feuilles de match de cette bien triste saison!!!!!!!!!! une pensée aussi pour cette region saccagée

« On aurait obtenu un meilleur résultat si on avait remporté nos duels offensifs et défensifs »

Signé ? La Palice.....non....Laporte !!!

Bref reste sans doute à trouver des gens efficaces, capables de le faire comprendre au joueurs

Tout cela n'est vraiment pas très professionnel.
De plus SO ne parle que de nous en ce moment et donne une magnifique image très mièvre,sur un ton de bonhomie voire sympathique l'article sur notre brave Fonfon et sur le séjour forcé à Béziers auraient pu servir à mettre en valeur le club.
Là on dépeint une ambiance de collégiens désoeuvrés,un professionnalisme très limite qui semble établir un lien de cause à effet avec un résultat sportif très médiocre.
Il aurait mieux valu que ce brave journaliste ne soit pas bloqué dans le même hôtel que nos gars.
Tout cela manque de mental.
En regard la surmediatisation de nos footeux est bien organisée et va conduire a la mobilisation de tout les efforts pour disposer d'une grosse équipe à Bordeaux.
Et les moyens iront là où le vent apporte de la valeur ajoutée.
Pour moi,l'avenir me parait très sombre.
Et le résultat sportif la dedans?
Aurillac ne peut être lâché,la manière qui fait défaut depuis le début a intérêt à être au rendez vous,sinon l'impact TV encore une fois ira à l'encontre de notre intérêt.
Allez UBB

Le plus désespérant est de lire partout que ça a été un "petit match" .....Que faut-il donc comme motivation aux joueurs si celle de se mettre définitivement à l'abri de la relégation ne suffit pas ?????????? il n'y aura pas 36 milles occasions ....

Je le redis il flotte comme un parfum de résignation sur cette saison. C'est inacceptable car le classement de cette saison est déterminant pour l'avenir du club, son image, son besoin de conquérir (ou retenir ) des supporters et des investisseurs, pour l'avenir des joueurs également , de l'équipe une et DES ESPOIRS !!!

Et quid du plaisir de jouer au rugby et de venir le regarder quand il est jouer sans cesse la peur au ventre, petits bras pour petits calculs....

C'est épuisant de le répeter de le rabacher encore ....Alors on se resaissit et on essaie de créer une dynamique sur la durée pour ENFIN aligner plus de 2 victoires d'affilée

RUGBY PRO D2 17E JOURNÉE, BÉZIERS - BORDEAUX-BÈGLES. Les Girondins, battus dans l'Hérault (18-12), ont connu un week-end à rallonge. Récit
La galère de l'Union - Auteur : Laurent bonamy l.bonamy@sudouest.com

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Si Ferrères et l'Union ont été épargnés par la tempête, ils en ont subi les conséquences. (photo PQR)

Et dire qu'au départ, les Bordelais devaient effectuer le déplacement à Béziers dans la journée ! Ils ont finalement passé près de trois jours dans l'Hérault. Le responsable financier du club doit faire la grimace. Deux nuits d'hôtel pour une délégation de 35 personnes. Les petits-déjeuners, les repas du midi, plusieurs collations, les dîners. Et les extras. Heureusement, les joueurs de l'Union Bordeaux-Bègles ne sont pas les Lyonnais du président Aulas et ne descendent pas dans les Novotel. Ils se sont contentés d'un Ibis 2 étoiles, « avec un bon prix pour la chambre », glisse en clin d'oeil l'un des membres de la délégation.

Mise en place

Tout avait pourtant bien débuté. Vendredi, après cinq heures de bus, les Bordelais arrivent, vers 18 h 30, à leur hôtel de Béziers-Est, à quelques encablures du stade de la Méditerranée. Là, le briefing est signé Frédéric Garcia. Le coach des avants ne tourne pas autour du pot : « J'attends de vous un match de chiens. Béziers n'est pas une petite équipe. Vous ne savez pas ce qui va vous attendre. Si on ne répond pas au combat, on sera ridicule. » La mise en place se tient dans le coquet stade de Villeneuve-lès-Béziers, club de 1re Série avec des infrastructures de Fédérale 2. Au minimum. Tiens, le vent commence à se lever. Pourtant, ici, ça n'a rien d'exceptionnel. Sur le bord de la touche, certains joueurs de Villeneuve observent attentivement l'entraînement des pros dont Éric Vaquerin, le fils de...

Tous ceux présents sur la main courante ont le temps de rejouer les Bègles - Béziers et surtout de rappeler le formidable palmarès du club rouge et bleu. Parmi eux, Jean-Paul Galonnier, le sémillant maire de cette commune de 3 800 âmes, avec sa belle place entourée de palmiers et sa magnifique mairie. Le premier magistrat est déçu. Les Bordelais doivent rentrer et ne pourront pas partager le verre de l'amitié. Le guet-apens est évité. Il y a match samedi. Pour les pros, c'est dodo.

Pendant la nuit, Sylvain Changeat, malade, est emmené aux urgences par le manager « Fonfon » Miralles. Rien de grave. Il devrait pouvoir tenir sa place samedi. Au cas où, Jean-Marie Ledan a été rappelé de Bordeaux. Il sera finalement 24e. Aïe. Samedi, 10 heures. Pendant que Frédéric Garcia dissèque le jeu biterrois vidéo à l'appui, les rafales de vent se multiplient. C'est l'heure ensuite du réveil matinal. Direction le petit stade Gayonne, à Béziers même. Mais la météo s'est considérablement dégradée. Le ballon s'envole comme une balle de ping-pong. Les joueurs sont réduits à un « toucher ». Mieux vaut rentrer à l'hôtel plus vite que prévu. Problème : le chauffeur est parti faire le plein de gasoil. Plus de vingt minutes d'attente. Patience, patience.

Les premières nouvelles arrivent de Gironde. Chacun se renseigne pour savoir si son logement a tenu le coup. Ah, on apprend que les loges à l'anglaise du stade André-Moga et la bodega couverte ont énormément souffert après la tempête. 13 h 30, le préfet de l'Hérault interdit tout déplacement de population jusqu'à 18 heures. Le département n'est qu'en vigilance orange, mais il ne veut prendre aucun risque. Le match sera remis au dimanche (15 heures). Sauf qu'aucun document officiel ne l'atteste. Et l'arbitre de la rencontre, Laurent Sclafer, présent également à l'Ibis de Béziers-Est, attend un fax de René Hourquet, le patron des arbitres. Qui n'arrivera jamais.

Incertitude

Du coup, le staff et les joueurs sont de nouveau plongés dans l'incertitude. Jouera, jouera pas ? Le rendez-vous est fixé à 15 h 40. Ils se préparent à aller au stade une grosse heure plus tard. Juste à côté de la salle Paul-Riquet 2 réservée à l'Union, se trouve une réunion au sommet de dames venues profiter d'une journée portes ouvertes de scrapbooking et senteurs. À des années-lumière de la Pro D2.

Le vent ne faiblit pas dehors et le report est confirmé autour de 16 h 30. Fin du flou artistique. C'est à ce moment-là que 35 touristes d'un âge certain franchissent les portes de l'Ibis, apeurés. Après des vacances sur la Côte d'Azur, leur car doit faire une halte forcée. Ces « naufragés de l'autoroute » devaient se rendre à Toulouse, Agen, Bordeaux ou Limoges.

Le restant de la journée, le groupe de l'Union est confiné dans l'hôtel. Autour, c'est morne plaine. Poker pour les uns, musique, télé ou jeux vidéo pour les autres, les minutes défilent lentement.

Extinction des feux pas trop tard. Il y a match dimanche. Le lendemain (NDLR : hier), le programme de la journée est plus traditionnel avec «petit déj' » réveil musculaire, déjeuner, le cérémonial du strapping, la causerie et le départ pour le stade à 13 h 25. Le temps est superbe. Le calme après la tempête. Grand soleil. Pas de vent. Le retour à Bordeaux, encore plus long après la défaite, était prévu vers minuit. Si tout va bien.



Ben oui, il y aurait surement eu le moyen de profiter de ces temps morts pour refaire de la vidéo, répéter nos lancers en touche, etc. Ont aurait du les prendre au poker et à la console, sûr qu'on leu aurait mis la pâtée.
On a beau se moquer des footeux, mais dans les mêmes circonstances, je me rappelle des Girondins qui bloqués dans leur hôtel avaient réussi à créer un esprit commando et gagné à l'extérieur. On n'en est malheureusement pas encore là !

RUGBY PRO D2 17E JOURNÉE, BEZIERS - BORDEAUX-BÈGLES. Les joueurs de l'Union ne se sont pas rassurés hier dans ce duel de bas de tableau
Fermé à double tour - Auteur : LAURENT BONAMY l.bonamy@sudouest.com

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De rares occasions et des tentatives vaines pour l'Union, face à une bonne défense biterroise.()

Le temps était superbe hier après-midi sur la pelouse du stade de la Méditerranée. Les joueurs de l'Union, confinés dans leur hôtel depuis vendredi soir après le passage de la tempête et qui n'ont pu jouer samedi, ont dû s'adapter aux nouvelles conditions météo. Grand soleil. Ciel bleu, pas un nuage. Et surtout pas de vent.

La rencontre était capitale pour Béziers, toujours relégable malgré sa victoire. Les Bordelais espéraient l'emporter pour se rapprocher du milieu de tableau. Mais ils devront encore regarder dans le rétroviseur. Leur défaite d'hier, conjuguée au nul de Colomiers samedi, ne les met pas à l'abri. Le match a été complètement fermé. Énormément de jeu au pied, de l'occupation et zéro occasion d'essai. Comme d'ailleurs à l'aller en Gironde où le buteur Duvallet - et Ferrères - avaient fait mieux que Pochelu : 24-12. L'ouvreur héraultais a réalisé hier un sans-faute (6/6). Son équipe a réussi son entame et s'est montrée extrêmement réaliste.

Dominés

« En première mi-temps, nous sommes battus sur l'impact physique et l'engagement, avance Patrick Laporte, le responsable des arrières. On se fait dominer ». L'Union souffre en conquête, notamment dans l'alignement. Les Bordelais n'obtiennent qu'une seule pénalité en leur faveur avant la pause. « Pour moi, l'arbitrage n'a pas été à la hauteur, glisse le président Laurent Marti. Ce qui n'excusera pas notre faible match et notre faible niveau ».

Les hommes de Garcia et Laporte se heurtent également à la défense rouge et bleu qui ne veut rien lâcher. À la pause, l'UBB compte neuf points de retard et joue la seconde mi-temps avec le soleil dans les yeux. L'Union montre alors quelques volontés offensives. « On a laissé les Bordelais s'installer dans la partie à cause de notre mauvais jeu au pied, indique l'entraîneur biterrois Jean-François Beltran. Ils étaient bien en place et nous ont inquiétés. Avec nos formes de jeu un peu primaires, on les a confortés dans l'idée qu'ils pouvaient gagner ».

Revenus à 15-9 à vingt minutes de la fin, les Bordelais n'ont pas eu les ressources pour renverser la vapeur. « On aurait obtenu un meilleur résultat si on avait remporté nos duels offensifs et défensifs, raconte Patrick Laporte. Et puis l'écart s'est creusé trop vite. C'était difficile de revenir ». Les partenaires de Monzeglio ont toutefois arraché le point de bonus défensif, à la dernière seconde, sur une pénalité de Lagarde, après une cravate de Feaunati sur Ferrères.

Pour se consoler, les Bordelais pourraient se dire que depuis le début 2009 ils ont toujours marqué quelque chose : sept points au cours des trois derniers matchs. Mais leur prestation montre que l'équipe doute encore. « Nous sommes finalement à notre place, reconnaît Laporte. On a vraiment un sentiment d'inachevé après une telle rencontre. On n'a pas fait ce qu'il faut pour gagner ». En plus d'un week-end à rallonge, les Bordelais ramènent encore trois blessés (1). L'infirmerie commence à se remplir. Dimanche prochain, ils auront un nouveau défi à relever, avec la réception d'Aurillac, qui a été corrigé hier chez lui face à Tarbes.

(1) Filo souffre du genou, Gouagout des cervicales et Gaultier de l'épaule.


Pas sûr que L. Marti apprécie longtemps. le coup de gueule du début d'année n'a semble t'il pas été totalement retenu ...

et que dire des commentaires d'apres match........................

A LA SORTIE DES VESTIAIRES APRES BEZIERS
écrit le 26 Janvier 2009

Laurent MARTI, Président
Petit match, c'était un petit match entre deux petites équipes très timorées par l'enjeu, deux équipes qui doutent, qui étaient sur ce match de même niveau, le fait de jouer à domicile a fait la différence.

Brice MONZEGLIO, 3ème ligne centre capitaine.
Encore une leçon de plus pour nous, je crois qu'on s'endort encore, pendant la première mi-temps on fait la sieste (il est 3 heures, il fait chaud, on sort de 2 jours d'hotel), l'équipe n'était pas du tout dans le match, on se fait prendre par une équipe qui a le couteau sous la gorge, et qui met tout ce qu'elle a, on sort à la pause avec 12 – 03 , on n'est pas bien du tout. Je félicite quand même les joueurs pour être aller chercher ce point de bonus, mais qui ne nous suffit pas pour l'ambition que nous avions en début d'année, et ça la ternit un peu. On va continuer à travailler et surtout ça fait une leçon de plus à apprendre.

Pierre GAONA, talonneur.
On va déjà retenir le point de bonus pris à l'extérieur, deux sorties et deux points de bonus défensifs, on va se contenter de ça malgré que l'on aurait pu faire beaucoup mieux, mais ça comptera à la fin. Si on pouvait gagner nos matches à la maison et avoir le bonus défensif à l'extérieur, alors en fin de saison on ne sera pas loin de nos ambitions de début d'année.

Pascal ANCELIN, ¾ centre
Déçu car on espérait faire un meilleur match que ça, on a un peu souffert aujourd'hui, on voulait revenir avec la victoire, on revient juste avec le bonus défensif, c'est déjà pas mal. On s'étaient dit d'autres choses, et c'est dommage après la belle victoire contre Bourg en Bresse. On a été opposé à une équipe complètement différente, et on a fait beaucoup trop de faute pour gagner le match aujourd'hui.

Julien GAULTIER, ¾ centre.
L'essentiel était de ne pas rentrer bredouille, on ramène un point, heureusement. Au niveau du jeu on a été en première mi-temps déficient dans la conquête en mêlées et en touches, ce qui nous a empêchés de faire notre jeu. Après en deuxième mi-temps on a réussi à s'en sortir, on a été plus agressif, et on arrache le bonus défensif.

si on se plait dans la mediocrité alors tout vas bien, nous sommes bien a notre place

aux escuses a la

L'Union se complique encore la vie

Les Bordelo-Béglais étaient pourtant prévenus. Qualifié de « tournant de la saison » par leur président, leur déplacement à Béziers (15e), hier, devait leur permettre d'éviter à coup sûr la bataille pour le maintien, et de regagner le ventre mou de la Pro D2. Mais ils avaient besoin pour cela d'une victoire, huit jours après leur démonstration face à Bourg-en-Bresse, la lanterne rouge. Or sur le terrain gras du stade de la Méditerranée, c'est le premier relégable qui a fait la loi (18-12), au terme d'un match dénué du moindre essai.

Les hommes de Patrick Laporte et Frédéric Garcia ne se sont jamais remis d'une entame de rencontre catastrophique, puisqu'ils étaient menés 12-0 après une demi-heure de jeu. Au final, ils ont tout de même empoché un point de bonus, comme lors de leurs deux précédentes sorties. Mais après cette 17e journée, la huitième place, objectif affiché en début de saison, est encore loin : Aurillac, qui l'occupe, les devance de neuf longueurs. ■R. B.


... it's a long way from home

Vidéos amateurs à dispo sur http://fr.youtube.com/user/lecambe avec la pénalité du bonus



Des sifflets alors que le match est gagné, trop sportif le public bitérrois.

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