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Tournoi des 6 Nations 2023
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Attendons de voir, il aura peut-être sa chance pendant le tournoi... Du moins je l'espère. Ce serait cruel pour lui, s'il y a bien un poste de numéro 3 à prendre pour la cpm 2023, c'est bien lui qui a le plus de chance.
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Chez-les-bleus-des-appeles-deja-eprouves/1375285
Chez les Bleus, des appelés déjà éprouvés
Comme prévu, le sélectionneur des Bleus Fabien Galthié n'a pas versé dans l'originalité pour composer sa liste des 42 joueurs conviés à la préparation du prochain Tournoi des Six Nations. Les seules surprises sont venues des forfaits de Cameron Woki et Maxime Lucu
C'était attendu : il n'y aura pas beaucoup de nouvelles têtes en équipe de France à Capbreton (Landes), lundi prochain, pour débuter le stage de préparation au prochain Tournoi des Six Nations (4 février - 18 mars).
Les 42 joueurs que Fabien Galthié et son encadrement ont choisis n'ont certes pas tous porté le maillot des Bleus, mais ils ont presque tous fait partie au moins une fois de ces groupes élargis réunis en amont du Tournoi ou des tests de novembre ou de juillet.
Seul le jeune ailier bordelais Louis Bielle-Biarrey (19 ans), préféré à un Gabin Villière qui ne reprendra la compétition que la semaine prochaine avec Toulon après sa blessure au péroné, découvrira les joies d'un stage en sélection. Il faut dire que le temps n'est plus aux découvertes.
Les Bleus attaquent désormais une longue ligne droite qui les mènera jusqu'à la Coupe du monde en France dans moins de huit mois (8 septembre - 28 octobre). Ils ont donc besoin de se resserrer, de muscler leur expérience collective et de se rassurer autour d'un projet de jeu qu'ils potassent pour la plupart depuis trois ans.
Des joueurs à plus de 1 000 minutes de jeu
De fait, les surprises de cette fameuse liste des 42 communiquée hier en fin d'après-midi par la FFR venaient davantage des absents que des présents. Deux joueurs du groupe premium manquent à l'appel, tous deux blessés le week-end dernier en Coupe des champions. Le deuxième-ligne du Racing 92 Cameron Woki, le plus sévèrement atteint (fracture du scaphoïde), n'échappera pas à une opération qui devrait le tenir éloigné des terrains pendant près de deux mois. Pour lui, le Tournoi est terminé avant même d'avoir commencé.
Pour le demi de mêlée Maxime Lucu, suppléant d'Antoine Dupont, c'est beaucoup moins grave. Le Bordelais souffre d'une entorse à une cheville qui ne devrait pas le priver trop longtemps des Bleus. Mais il ne faut pas compter sur lui avant la troisième journée, face à l'Écosse (26 février). Ces deux derniers blessés s'ajoutent à quelques autres, tels Jonathan Danty (genou), Peato Mauvaka (phalange), Arthur Vincent (genou), Jean-Baptiste Gros (radius), Pierre Bourgarit (genou), Baptiste Couilloud (hernie cervicale), Florian Verhaeghe (épaule), Killian Geraci (ménisque) et donc Gabin Villière (péroné). Une dizaine d'internationaux sur le tapis à ce stade de la saison, ça fait beaucoup, bien sûr, et ça relance immanquablement le sempiternel débat sur le temps de jeu des Bleus.
Cros est de retour
Jouent-ils trop ? Par rapport à certaines concurrences, comme l'Irlande, c'est une certitude. Prenez la troisième ligne tricolore titulaire lors de la tournée d'automne : Grégory Alldritt (1 162 minutes), Anthony Jelonch (1 066) et Charles Ollivon (1 030) ont déjà tous dépassé le millier de minutes passées sur un terrain. À titre de comparaison, c'est presque l'équivalent de quatre matches de plus que le flanker irlandais Josh van der Flier (787 minutes), élu meilleur joueur du monde en 2022.
Prenez encore Antoine Dupont. Malgré sa suspension de deux matches à l'automne (pour un plaquage en l'air sur Cheslin Kolbe contre l'Afrique du Sud, 30-26, le 12 novembre) et la gestion relativement sage de son club du Stade Toulousain (qui s'est passé de ses services à Montpellier en octobre et à Clermont en janvier, en Top 14), le stratège des Bleus en est déjà à 1038 minutes sur le pré. Ce qui est pratiquement le double du temps de jeu actuel de ses homologues anglais Jack van Poortvliet (661 minutes) et irlandais Jamison Gibson-Park (436 minutes).
Dépasser les 2 000 minutes de temps de jeu par saison pour un international est une hérésie
Les Anglais, eux, naviguent dans des zones équivalentes à celles des Tricolores avec un quinze type qui émarge déjà 816 minutes de moyenne cette saison pour 863 côté Français (voir par ailleurs).
Le surmenage est un sujet d'inquiétude constant pour Thibault Giroud. Depuis des années, le directeur de la performance du quinze de France répète que dépasser les 2 000 minutes de temps de jeu par saison pour un international est une hérésie.
À part ça ? L'encadrement tricolore ne s'est pas laissé attendrir par les louables performances récentes du pilier droit Dorian Aldegheri (Toulouse), du troisième-ligne Alexandre Roumat (Toulouse) ou de l'arrière Anthony Bouthier (Montpellier), preuve encore que la politique de l'homme en forme n'était plus franchement la priorité du moment.
En revanche Galthié a rappelé François Cros, pourtant absent des pelouses depuis quatre mois (genou). Le flanker toulousain ne reprendra la compétition que dimanche, face au Munster, en Coupe des champions. Mais il pourrait aussi être remis à disposition de son club en cours de stage à Capbreton pour disputer le faux doublon face à Montpellier (29 janvier) et retrouver un peu de rythme. Comme son partenaire arrière Thomas Ramos, d'ailleurs, qui n'a plus rejoué depuis la mi-décembre à cause de sa suspension de 5 matches pour deux mauvais gestes face à Sale. Eux, au moins, seront frais.[/b]
Chez les Bleus, des appelés déjà éprouvés
Comme prévu, le sélectionneur des Bleus Fabien Galthié n'a pas versé dans l'originalité pour composer sa liste des 42 joueurs conviés à la préparation du prochain Tournoi des Six Nations. Les seules surprises sont venues des forfaits de Cameron Woki et Maxime Lucu
C'était attendu : il n'y aura pas beaucoup de nouvelles têtes en équipe de France à Capbreton (Landes), lundi prochain, pour débuter le stage de préparation au prochain Tournoi des Six Nations (4 février - 18 mars).
Les 42 joueurs que Fabien Galthié et son encadrement ont choisis n'ont certes pas tous porté le maillot des Bleus, mais ils ont presque tous fait partie au moins une fois de ces groupes élargis réunis en amont du Tournoi ou des tests de novembre ou de juillet.
Seul le jeune ailier bordelais Louis Bielle-Biarrey (19 ans), préféré à un Gabin Villière qui ne reprendra la compétition que la semaine prochaine avec Toulon après sa blessure au péroné, découvrira les joies d'un stage en sélection. Il faut dire que le temps n'est plus aux découvertes.
Les Bleus attaquent désormais une longue ligne droite qui les mènera jusqu'à la Coupe du monde en France dans moins de huit mois (8 septembre - 28 octobre). Ils ont donc besoin de se resserrer, de muscler leur expérience collective et de se rassurer autour d'un projet de jeu qu'ils potassent pour la plupart depuis trois ans.
Des joueurs à plus de 1 000 minutes de jeu
De fait, les surprises de cette fameuse liste des 42 communiquée hier en fin d'après-midi par la FFR venaient davantage des absents que des présents. Deux joueurs du groupe premium manquent à l'appel, tous deux blessés le week-end dernier en Coupe des champions. Le deuxième-ligne du Racing 92 Cameron Woki, le plus sévèrement atteint (fracture du scaphoïde), n'échappera pas à une opération qui devrait le tenir éloigné des terrains pendant près de deux mois. Pour lui, le Tournoi est terminé avant même d'avoir commencé.
Pour le demi de mêlée Maxime Lucu, suppléant d'Antoine Dupont, c'est beaucoup moins grave. Le Bordelais souffre d'une entorse à une cheville qui ne devrait pas le priver trop longtemps des Bleus. Mais il ne faut pas compter sur lui avant la troisième journée, face à l'Écosse (26 février). Ces deux derniers blessés s'ajoutent à quelques autres, tels Jonathan Danty (genou), Peato Mauvaka (phalange), Arthur Vincent (genou), Jean-Baptiste Gros (radius), Pierre Bourgarit (genou), Baptiste Couilloud (hernie cervicale), Florian Verhaeghe (épaule), Killian Geraci (ménisque) et donc Gabin Villière (péroné). Une dizaine d'internationaux sur le tapis à ce stade de la saison, ça fait beaucoup, bien sûr, et ça relance immanquablement le sempiternel débat sur le temps de jeu des Bleus.
Cros est de retour
Jouent-ils trop ? Par rapport à certaines concurrences, comme l'Irlande, c'est une certitude. Prenez la troisième ligne tricolore titulaire lors de la tournée d'automne : Grégory Alldritt (1 162 minutes), Anthony Jelonch (1 066) et Charles Ollivon (1 030) ont déjà tous dépassé le millier de minutes passées sur un terrain. À titre de comparaison, c'est presque l'équivalent de quatre matches de plus que le flanker irlandais Josh van der Flier (787 minutes), élu meilleur joueur du monde en 2022.
Prenez encore Antoine Dupont. Malgré sa suspension de deux matches à l'automne (pour un plaquage en l'air sur Cheslin Kolbe contre l'Afrique du Sud, 30-26, le 12 novembre) et la gestion relativement sage de son club du Stade Toulousain (qui s'est passé de ses services à Montpellier en octobre et à Clermont en janvier, en Top 14), le stratège des Bleus en est déjà à 1038 minutes sur le pré. Ce qui est pratiquement le double du temps de jeu actuel de ses homologues anglais Jack van Poortvliet (661 minutes) et irlandais Jamison Gibson-Park (436 minutes).
Dépasser les 2 000 minutes de temps de jeu par saison pour un international est une hérésie
Les Anglais, eux, naviguent dans des zones équivalentes à celles des Tricolores avec un quinze type qui émarge déjà 816 minutes de moyenne cette saison pour 863 côté Français (voir par ailleurs).
Le surmenage est un sujet d'inquiétude constant pour Thibault Giroud. Depuis des années, le directeur de la performance du quinze de France répète que dépasser les 2 000 minutes de temps de jeu par saison pour un international est une hérésie.
À part ça ? L'encadrement tricolore ne s'est pas laissé attendrir par les louables performances récentes du pilier droit Dorian Aldegheri (Toulouse), du troisième-ligne Alexandre Roumat (Toulouse) ou de l'arrière Anthony Bouthier (Montpellier), preuve encore que la politique de l'homme en forme n'était plus franchement la priorité du moment.
En revanche Galthié a rappelé François Cros, pourtant absent des pelouses depuis quatre mois (genou). Le flanker toulousain ne reprendra la compétition que dimanche, face au Munster, en Coupe des champions. Mais il pourrait aussi être remis à disposition de son club en cours de stage à Capbreton pour disputer le faux doublon face à Montpellier (29 janvier) et retrouver un peu de rythme. Comme son partenaire arrière Thomas Ramos, d'ailleurs, qui n'a plus rejoué depuis la mi-décembre à cause de sa suspension de 5 matches pour deux mauvais gestes face à Sale. Eux, au moins, seront frais.[/b]
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/tournoi-des-six-nations-xv-de-france-les-absences-soulevent-un-petit-vent-de-jeunesse-13710017.php
Tournoi des Six-Nations. XV de France : les absences soulèvent un petit vent de jeunesse
Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr
Confronté à de nombreux forfaits, Fabien Galthié a été contraint d’appeler huit néophytes, dont sept dans les seules lignes arrière, pour préparer le Tournoi
La publication d’une liste à un peu moins de huit mois de la Coupe du monde (8 octobre - 28 octobre) n’est jamais un moment anodin. Et on ne peut nier que les 42 joueurs retenus par Fabien Galthié pour disputer le Tournoi (4 février - 18 mars) ont fatalement passé une première étape importante en direction de cette ligne d’horizon. Mais alors que les Bleus abordent une épreuve avec l’ambition de rééditer les performances leur ayant permis de réaliser le Grand Chelem en 2022, il est bien difficile de ne pas pondérer les choix du sélectionneur à la lumière du nombre des absents.
Oh bien sûr, la plupart des principaux cadres sont bien au rendez-vous (Dupont, Alldritt, Marchand, Willemse, Baille, Ollivon, Ntamack, Fickou…). On peut également relever que, contrairement à l’ailier Gabin Villière, le droitier Uini Atonio, donné un tant incertain, et le troisième ligne François Cros, qui n’a pas encore repris avec Toulouse, ont composté leur billet pour Capbreton où le XV de France se préparera (22 janvier - 3 février) avant son déplacement en Italie.
Woki, la tuile
Une évidence se dessine cependant : le réservoir de 50 éléments sur lequel le staff tricolore a travaillé n’a pas été de trop pour compenser l’accumulation des forfaits. Aux absences de Peato Mauvaka (doigt), Pierre Bourgarit (genou), Jean-Baptiste Gros (fracture du radius) ou encore Jonathan Danty (genou), sont venues s’ajouter ce mardi celles de Cameron Woki (poignet) et Maxime Lucu (cheville). La tuile est sévère. Elle entame une nouvelle fois le potentiel tricolore. Le demi de mêlée de l’UBB, touché sur le terrain des Sharks samedi, sera indisponible six semaines environ.
Son ancien coéquipier bordelais, qui a imposé son envergure en poste 4, émargea au rang des incontournables en dépit d’un début de saison (au mieux) anonyme avec le Racing. Mais l’opération qu’il va subir suite à une fracture du scaphoïde contractée contre les Harlequins va également le tenir éloigné des terrains entre six et huit semaines. Un délai qui ne lui offre qu’un maigre espoir de retour pour la fin du Tournoi…
Il serait naïf de penser que ces absences n’auront pas fragilisé les certitudes tricolores
Invité à réagir à cette situation tendue la semaine dernière, Fabien Galthié avait tenté de relativiser : « C’était déjà le cas lors de la tournée de novembre. On doit faire avec des ressources qui ont moins joué, mais qu’on suit de près. » À la lecture de la liste qu’il a composée, dans laquelle apparaissent 11 Toulousains, dont les deux arrières Melvyn Jaminet et Thomas Ramos qui vont se livrer une lutte de haut vol pour une place de titulaire, le sélectionneur n’a probablement pas changé d’avis.
Des jeunes et un revenant
Si elle comporte huit « non capés », les surprises ne sont pas si nombreuses que cela. Hormis le jeune ailier ou arrière de l’UBB Louis Bielle-Biarrey, tous les joueurs convoqués ont à un moment ou à un autre fréquenté l’univers de la sélection par le biais des groupes élargis. C’est le cas des centres Julien Delbouis (Stade Français) et Emilien Gailleton (Pau), des numéros 9 Léo Coly (Montpellier) et Nolan Le Garrec (Racing 92) ou encore de l’ailier Ethan Dumortier (Lyon), l’actuel meilleur marqueur du Top 14 ( 8 ).
Cette litanie de noms, qui matérialise le petit vent de jeunesse rafraîchissant les lignes arrière tricolores, ne doit pas occulter une autre curiosité : la présence du troisième ligne de Montpellier Yacouba Camara, un revenant très performant depuis le début de la saison, qui n’est plus apparu en bleu depuis la Coupe du monde 2019.
Tenant du titre, porté par une série record de 13 victoires consécutives, le XV de France abordera ce Tournoi avec un visage très différent de celui qu’il présentait en 2022. Même si un élément tel que Jonathan Danty ne désespère pas de retrouver la sélection avant la fin de la compétition, il serait naïf de penser que ses certitudes n’ont pas été fragilisées par ces défections. Déjà confronté à pareille problématique par le passé, Fabien Galthié avait réussi à compenser les absences par la solidité de sa méthodologie et de son système. Est-ce que ce sera encore suffisant cette fois ?
Tournoi des Six-Nations. XV de France : les absences soulèvent un petit vent de jeunesse
Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr
Confronté à de nombreux forfaits, Fabien Galthié a été contraint d’appeler huit néophytes, dont sept dans les seules lignes arrière, pour préparer le Tournoi
La publication d’une liste à un peu moins de huit mois de la Coupe du monde (8 octobre - 28 octobre) n’est jamais un moment anodin. Et on ne peut nier que les 42 joueurs retenus par Fabien Galthié pour disputer le Tournoi (4 février - 18 mars) ont fatalement passé une première étape importante en direction de cette ligne d’horizon. Mais alors que les Bleus abordent une épreuve avec l’ambition de rééditer les performances leur ayant permis de réaliser le Grand Chelem en 2022, il est bien difficile de ne pas pondérer les choix du sélectionneur à la lumière du nombre des absents.
Oh bien sûr, la plupart des principaux cadres sont bien au rendez-vous (Dupont, Alldritt, Marchand, Willemse, Baille, Ollivon, Ntamack, Fickou…). On peut également relever que, contrairement à l’ailier Gabin Villière, le droitier Uini Atonio, donné un tant incertain, et le troisième ligne François Cros, qui n’a pas encore repris avec Toulouse, ont composté leur billet pour Capbreton où le XV de France se préparera (22 janvier - 3 février) avant son déplacement en Italie.
Woki, la tuile
Une évidence se dessine cependant : le réservoir de 50 éléments sur lequel le staff tricolore a travaillé n’a pas été de trop pour compenser l’accumulation des forfaits. Aux absences de Peato Mauvaka (doigt), Pierre Bourgarit (genou), Jean-Baptiste Gros (fracture du radius) ou encore Jonathan Danty (genou), sont venues s’ajouter ce mardi celles de Cameron Woki (poignet) et Maxime Lucu (cheville). La tuile est sévère. Elle entame une nouvelle fois le potentiel tricolore. Le demi de mêlée de l’UBB, touché sur le terrain des Sharks samedi, sera indisponible six semaines environ.
Son ancien coéquipier bordelais, qui a imposé son envergure en poste 4, émargea au rang des incontournables en dépit d’un début de saison (au mieux) anonyme avec le Racing. Mais l’opération qu’il va subir suite à une fracture du scaphoïde contractée contre les Harlequins va également le tenir éloigné des terrains entre six et huit semaines. Un délai qui ne lui offre qu’un maigre espoir de retour pour la fin du Tournoi…
Il serait naïf de penser que ces absences n’auront pas fragilisé les certitudes tricolores
Invité à réagir à cette situation tendue la semaine dernière, Fabien Galthié avait tenté de relativiser : « C’était déjà le cas lors de la tournée de novembre. On doit faire avec des ressources qui ont moins joué, mais qu’on suit de près. » À la lecture de la liste qu’il a composée, dans laquelle apparaissent 11 Toulousains, dont les deux arrières Melvyn Jaminet et Thomas Ramos qui vont se livrer une lutte de haut vol pour une place de titulaire, le sélectionneur n’a probablement pas changé d’avis.
Des jeunes et un revenant
Si elle comporte huit « non capés », les surprises ne sont pas si nombreuses que cela. Hormis le jeune ailier ou arrière de l’UBB Louis Bielle-Biarrey, tous les joueurs convoqués ont à un moment ou à un autre fréquenté l’univers de la sélection par le biais des groupes élargis. C’est le cas des centres Julien Delbouis (Stade Français) et Emilien Gailleton (Pau), des numéros 9 Léo Coly (Montpellier) et Nolan Le Garrec (Racing 92) ou encore de l’ailier Ethan Dumortier (Lyon), l’actuel meilleur marqueur du Top 14 ( 8 ).
Cette litanie de noms, qui matérialise le petit vent de jeunesse rafraîchissant les lignes arrière tricolores, ne doit pas occulter une autre curiosité : la présence du troisième ligne de Montpellier Yacouba Camara, un revenant très performant depuis le début de la saison, qui n’est plus apparu en bleu depuis la Coupe du monde 2019.
Tenant du titre, porté par une série record de 13 victoires consécutives, le XV de France abordera ce Tournoi avec un visage très différent de celui qu’il présentait en 2022. Même si un élément tel que Jonathan Danty ne désespère pas de retrouver la sélection avant la fin de la compétition, il serait naïf de penser que ses certitudes n’ont pas été fragilisées par ces défections. Déjà confronté à pareille problématique par le passé, Fabien Galthié avait réussi à compenser les absences par la solidité de sa méthodologie et de son système. Est-ce que ce sera encore suffisant cette fois ?
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/A-l-arriere-en-equipe-de-france-le-debat-est-ouvert-entre-thomas-ramos-et-melvyn-jaminet/1375247
À l'arrière en équipe de France, le débat est ouvert entre Thomas Ramos et Melvyn Jaminet
En l'absence de Melvyn Jaminet, blessé, Thomas Ramos avait marqué des points lors de la tournée des Bleus en novembre. Avec le retour du premier, la question de la concurrence va-t-elle se poser pendant le Tournoi des Six nations ?
Romain Bergogne
Thomas Ramos a longtemps attendu sa chance et il ne l'a pas loupée lors des tests de novembre. Melvyn Jaminet forfait (cheville gauche), le coéquipier de ce dernier à Toulouse et habituel intermittent en équipe de France a enfilé le costume bleu floqué du numéro 15 avec brio.
Titulaire à l'arrière en équipe de France depuis la tournée d'été en Australie qui l'avait révélé en juillet 2021, Melvyn Jaminet a-t-il perdu gros dans l'affaire ? Pas si sûr... Mais Fabien Galthié et son staff vont bien devoir trancher, dessinant une tendance claire (et définitive ?) en vue de la Coupe du monde.
Jaminet relancé, Ramos coupé dans son élan
En 15, en 10, à Toulouse, en équipe de France... Thomas Ramos a sorti une première partie de saison impeccable. Jusqu'à ce carton rouge en fin de match contre Sale le 18 décembre (45-19). Coup de tête plus soupçon de « fourchette », Ramos a pris cinq semaines de suspension (les sanctions respectives de quatre et cinq semaines se sont superposées).
Il sera autorisé à rejouer la semaine prochaine, soit au début du stage de préparation au Tournoi, prévu à Capbreton (Landes) à partir de dimanche. Une si longue absence peut-elle lui être défavorable ? « Thomas Ramos a répondu présent (en novembre), affirmait Fabien Galthié la semaine dernière. Là, il est suspendu pour un geste répréhensible qu'il paie cher. Un grand joueur de rugby doit se maîtriser. »
Melvyn Jaminet est, lui, revenu de blessure le 23 décembre face à Castres (22-18) et il enchaîne les titularisations depuis, en l'absence de Ramos. Idéal pour reprendre du rythme en vue du Tournoi. « Il est bien revenu, estime l'ancien ailier/arrière Cédric Heymans, aujourd'hui consultant pour Canal +. Il a peut-être senti qu'il avait le feu aux fesses et après un ou deux matches pour s'y remettre, c'est propre, il alterne bien, il est en jambes... Et comme Ramos n'a pas joué ces dernières semaines, ça peut compter dans le choix du staff, sur l'aspect physique. »
Le projet de jeu des Bleus influencera le choix
Le choix entre Jaminet et Ramos pose aussi indirectement la question de l'évolution (ou non) du projet de jeu de l'équipe de France, après une tournée de novembre qui a montré les limites de la dépossession. Ce système, parfois poussé à l'extrême en 2022 - 32,5 coups de pied par match en moyenne, 43 contre le Japon lors du dernier test de novembre -, suppose un gros coup de pompe pour gagner la bataille de l'occupation et laisser l'équipe adverse dans son camp pour mieux la contrer. La longueur au pied de Melvyn Jaminet, louée par le staff, joue alors clairement en sa faveur.
Mais si les Bleus tendent vers plus de possession, ne vaut-il pas mieux favoriser un profil de numéro 10 bis et de relanceur aiguisé comme celui de Thomas Ramos ? « Il a pour lui cette polyvalence, il est familier avec ce rôle d'arrière qui vient se placer en deuxième 10 et maîtrise les deux postes, souligne Pépito Elhorga, ancien arrière des Bleus (17 sélections). Il sait s'adapter aux situations offensives, peut-être un peu plus que Melvyn (Jaminet), qui reste quand même très tranchant et à l'aise balle en main. »
La puissance de Jaminet au pied est aussi utile pour passer des pénalités longue distance. Ce à quoi les partisans de Ramos peuvent rétorquer une réussite de 83,3 % en novembre (20/24), contre 70 % pour Jaminet dans le Tournoi 2022 (21/30). Ce qui est certain, dans ce choix de riche, c'est que l'équipe de France aura un buteur fiable et un arrière solide dans le domaine aérien.
Une autre certitude se dégage : avec un banc en 6-2, Maxime Lucu (ou un autre demi de mêlée si ce dernier n'est pas remis pour le début du Tournoi) et Matthieu Jalibert comme trois-quarts, et Sekou Macalou pour dépanner si besoin sur une aile - tendance qui s'est clairement observée en novembre -, le malheureux élu sera très probablement hors feuille de match.
Le programme des Bleus au Tournoi des Six nations
Dimanche 5 février : Italie-France (16 heures)
Samedi 11 février : Irlande-France (15 h 15)
Dimanche 26 février : France-Écosse (16 heures)
Samedi 11 mars : Angleterre-France (17 h 45)
Samedi 18 mars : France-pays de Galles (15 h 45)
À l'arrière en équipe de France, le débat est ouvert entre Thomas Ramos et Melvyn Jaminet
En l'absence de Melvyn Jaminet, blessé, Thomas Ramos avait marqué des points lors de la tournée des Bleus en novembre. Avec le retour du premier, la question de la concurrence va-t-elle se poser pendant le Tournoi des Six nations ?
Romain Bergogne
Thomas Ramos a longtemps attendu sa chance et il ne l'a pas loupée lors des tests de novembre. Melvyn Jaminet forfait (cheville gauche), le coéquipier de ce dernier à Toulouse et habituel intermittent en équipe de France a enfilé le costume bleu floqué du numéro 15 avec brio.
Titulaire à l'arrière en équipe de France depuis la tournée d'été en Australie qui l'avait révélé en juillet 2021, Melvyn Jaminet a-t-il perdu gros dans l'affaire ? Pas si sûr... Mais Fabien Galthié et son staff vont bien devoir trancher, dessinant une tendance claire (et définitive ?) en vue de la Coupe du monde.
Jaminet relancé, Ramos coupé dans son élan
En 15, en 10, à Toulouse, en équipe de France... Thomas Ramos a sorti une première partie de saison impeccable. Jusqu'à ce carton rouge en fin de match contre Sale le 18 décembre (45-19). Coup de tête plus soupçon de « fourchette », Ramos a pris cinq semaines de suspension (les sanctions respectives de quatre et cinq semaines se sont superposées).
Il sera autorisé à rejouer la semaine prochaine, soit au début du stage de préparation au Tournoi, prévu à Capbreton (Landes) à partir de dimanche. Une si longue absence peut-elle lui être défavorable ? « Thomas Ramos a répondu présent (en novembre), affirmait Fabien Galthié la semaine dernière. Là, il est suspendu pour un geste répréhensible qu'il paie cher. Un grand joueur de rugby doit se maîtriser. »
Melvyn Jaminet est, lui, revenu de blessure le 23 décembre face à Castres (22-18) et il enchaîne les titularisations depuis, en l'absence de Ramos. Idéal pour reprendre du rythme en vue du Tournoi. « Il est bien revenu, estime l'ancien ailier/arrière Cédric Heymans, aujourd'hui consultant pour Canal +. Il a peut-être senti qu'il avait le feu aux fesses et après un ou deux matches pour s'y remettre, c'est propre, il alterne bien, il est en jambes... Et comme Ramos n'a pas joué ces dernières semaines, ça peut compter dans le choix du staff, sur l'aspect physique. »
Le projet de jeu des Bleus influencera le choix
Le choix entre Jaminet et Ramos pose aussi indirectement la question de l'évolution (ou non) du projet de jeu de l'équipe de France, après une tournée de novembre qui a montré les limites de la dépossession. Ce système, parfois poussé à l'extrême en 2022 - 32,5 coups de pied par match en moyenne, 43 contre le Japon lors du dernier test de novembre -, suppose un gros coup de pompe pour gagner la bataille de l'occupation et laisser l'équipe adverse dans son camp pour mieux la contrer. La longueur au pied de Melvyn Jaminet, louée par le staff, joue alors clairement en sa faveur.
Mais si les Bleus tendent vers plus de possession, ne vaut-il pas mieux favoriser un profil de numéro 10 bis et de relanceur aiguisé comme celui de Thomas Ramos ? « Il a pour lui cette polyvalence, il est familier avec ce rôle d'arrière qui vient se placer en deuxième 10 et maîtrise les deux postes, souligne Pépito Elhorga, ancien arrière des Bleus (17 sélections). Il sait s'adapter aux situations offensives, peut-être un peu plus que Melvyn (Jaminet), qui reste quand même très tranchant et à l'aise balle en main. »
La puissance de Jaminet au pied est aussi utile pour passer des pénalités longue distance. Ce à quoi les partisans de Ramos peuvent rétorquer une réussite de 83,3 % en novembre (20/24), contre 70 % pour Jaminet dans le Tournoi 2022 (21/30). Ce qui est certain, dans ce choix de riche, c'est que l'équipe de France aura un buteur fiable et un arrière solide dans le domaine aérien.
Une autre certitude se dégage : avec un banc en 6-2, Maxime Lucu (ou un autre demi de mêlée si ce dernier n'est pas remis pour le début du Tournoi) et Matthieu Jalibert comme trois-quarts, et Sekou Macalou pour dépanner si besoin sur une aile - tendance qui s'est clairement observée en novembre -, le malheureux élu sera très probablement hors feuille de match.
Le programme des Bleus au Tournoi des Six nations
Dimanche 5 février : Italie-France (16 heures)
Samedi 11 février : Irlande-France (15 h 15)
Dimanche 26 février : France-Écosse (16 heures)
Samedi 11 mars : Angleterre-France (17 h 45)
Samedi 18 mars : France-pays de Galles (15 h 45)
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Sous entendu, il n’y en a pas en 10.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
le radis a écrit:Sous entendu, il n’y en a pas en 10.
Ça..., avec Galthié, on a bien compris que même sur une jambe, NTK est le numéro 1 indéboulonnable...
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
15 DE FRANCE. Baptiste Couilloud a-t-il définitivement dit adieu à la Coupe du Monde ?
https://www.lerugbynistere.fr/news/15-de-france-baptiste-couilloud-a-t-il-definitivement-dit-adieu-a-la-coupe-du-monde-1801231003.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Ok Doc, on est d'accord sur Baptiste, je n'ai pas assez vu jouer Le Garrec, je te fais confiance :)Dr. Gregory Bouse a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:grospaquet31 a écrit:Je pense sue certains joueurs ne reviendront pas en EDF quelles que soient leurs performances tant que ce staff sera en place.
Clairement Baptiste ne rentre pas dans le moule. Il n’y a pas de scandale car il n’est pas dans la forme de sa vie. Mais je pense que le staff préfère les demi de mêlée plus disciplinés sur l’application du plan de jeu.
Baptiste a été tellement discipliné qu'il en avait presque perdu son fond de jeu: un 9 attaquant, avec grosse science du jeu offensif.
Pour moi, il reste le meilleur dans l'animation offensive, les choix de jeu, la lucidité et ses grosses qualités techniques.
Dans la même veine, j'aime beaucoup Le Garrec et j'espère qu'il sera sur le banc au détriment de Coly, plus sobre mais ave aussi de belles qualités individuelles.
Le Garrec-Jalibert, c'est de la bombe.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
XV de France - Fabien Galthié : "On se présente comme des prédateurs" au 6 Nations
https://www.rugbyrama.fr/2023/01/20/xv-de-france-fabien-galthie-on-se-presente-comme-des-predateurs-au-6-nations-10937990.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
6 Nations 2023 - France, Angleterre, Irlande... Tous les groupes du Tournoi des 6 Nations
https://www.rugbyrama.fr/2023/01/20/6-nations-2023-france-angleterre-irlande-tous-les-groupes-du-tournoi-des-6-nations-10934778.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
https://www.midi-olympique.fr/2022/12/18/international-eddie-jones-bien-joue-galthie-les-francais-sont-devenus-capables-de-jouer-a-langlaise-10876882.php
International - Eddie Jones : « Bien joué, Galthié ! Les Français sont devenus capables de jouer à l’anglaise »
Début décembre, l’Australien Eddie Jones était débarqué de l’équipe nationale anglaise et n’avait pas pris la parole, depuis. Pour nous, il brise aujourd’hui le silence, évoque ses dernières heures en tant que sélectionneur, évoque ses réussites, retrace ses erreurs et parle de Pierre-Henry Broncan, Marc Dal Maso ou Clive Woodward…
Qu’avez-vous fait depuis le jour où vous avez quitté l’équipe d’Angleterre, début décembre ?
Il y avait sept ans que je vivais ici, à Pennyhill (dans la grande banlieue londonienne, N.D.L.R.). Déjà, mon épouse m’a dit : "Quelle est la prochaine étape, Eddie ?" J’ai réfléchi puis je me suis mis à rassembler toutes mes affaires, à faire du tri… […] Nous avons quitté l’Angleterre vendredi pour rejoindre le Japon, d’où ma femme est originaire. Là-bas, j’ai retrouvé l’équipe de Suntory, pour laquelle je suis consultant depuis une dizaine d’années.
Avez-vous quelque peu coupé avec le rugby ?
Jamais… J’en dévore même tous les jours. Vous savez, j’ai eu la chance de recevoir quelques offres intéressantes, depuis mon licenciement. Alors j’essaie modestement d’analyser le jeu de ces équipes-là…
Quelles équipes, au juste ?
Il est trop tôt pour en parler, camarade. Je suis toujours en réflexion.
Mais comment vous sentez-vous ? Triste ? Abattu ? En colère ?
Je suis à la fois déçu et philosophe, par rapport à ce qu’il s’est passé. Déçu parce que je n’ai pas pu aller au bout de ma mission. Philosophe parce que j’ai toujours su qu’après la finale de la dernière Coupe du monde, les temps deviendraient rapidement plus durs…
Pour quelle raison ?
En 2019, nous étions vice-champions du monde, soit la meilleure équipe de la planète derrière les Springboks. Même si la sélection anglaise était alors plutôt jeune, il m’a fallu la reconstruire en partie et en parallèle, les attentes des gens étaient devenues bien plus grandes qu’à mon arrivée, et c’est normal. Si j’avais pu traverser cette dernière période difficile en vainqueur, je sais que j’aurais réussi, ensuite. Mais j’ai perdu…
Et on vous a demandé de quitter la Fédération anglaise…
Oui et je peux comprendre. Mais j’ai tout donné, jusqu’au bout. Et je me dis aussi que si le rugby européen a tellement progressé ces dernières années, si le paysage de ce sport a radicalement changé, j’y ai aussi contribué.
Quand avez-vous appris que votre contrat était terminé ?
Juste avant que nous affrontions la Nouvelle-Zélande, en novembre dernier (22-22), j’ai eu un meeting avec les plus hauts dirigeants de la Fédération. J’ai senti, ce jour-là, que l’ambiance était bizarre… Ils n’étaient pas comme d’habitude, avec moi… Derrière ça, les médias britanniques sont devenus de plus en plus critiques. J’ai alors compris que la fin était proche.
Vous rappelez-vous de votre dernier jour, en tant que sélectionneur national ? Que vous a-t-on dit ?
Quand un coach dit à un joueur qu’il est viré, le joueur vous dira qu’il ne s’en souvient pas. Pour un coach comme moi, c’est pareil, il ne se souvient pas de ce moment où on lui dit qu’il ne va plus entraîner.
Que vous manque-t-il, aujourd’hui ?
Les interactions avec les joueurs, bien sûr ! Croyez-moi ou pas, mais ils étaient devenus comme une deuxième famille pour moi. Mais je ne suis pas fini. Je rebondirai, bientôt.
Vous avez gagné trois tournois des 6 Nations, réalisé un grand chelem en 2016 et hissé le XV de la Rose en finale de la Coupe du monde. Néanmoins, avez-vous commis quelques erreurs au fil de votre mandat ?
On fait toujours des erreurs. Si aujourd’hui, je pouvais remonter le temps, je changerais peut-être certains de mes critères de sélection.
Que voulez-vous dire ?
2021 a été une très mauvaise année pour nous. Les Saracens venaient d’être rétrogradés en deuxième division (pour avoir dépassé le plafond du salary cap, N.D.L.R.). Comme vous le savez probablement, le XV d’Angleterre était alors essentiellement formé par les joueurs des Sarries. Le problème, c’est que leur niveau a considérablement baissé, en deuxième division et que les performances de notre équipe nationale s’en sont immédiatement ressenties. J’aurais donc dû changer mon fusil d’épaule, cette année-là… Et je le regrette… C’est l’erreur que j’ai faite.
En clair ?
J’aurais dû démarrer la reconstruction de l’équipe plus tôt que je ne l’ai fait. C’est vraiment la chose à laquelle j’ai vraiment réfléchi depuis.
Aviez-vous un plan pour remporter la Coupe du monde en France ? Et si oui, quel était-il ?
Disons qu’à l’automne prochain, les candidats au titre devront être capables de produire deux types de rugby : un rugby offensif pour les matchs de poule, histoire d’emmagasiner le plus de points possible et de gagner en confiance ; et à partir des demi-finales, sur des terrains plus lourds, il faudra jouer le rugby des Springboks, assis sur une conquête parfaite, un jeu au pied efficace, une défense agressive. J’étais en train de préparer mes joueurs à ces deux types de rugby.
On vous suit.
Ces dernières années, nous n’étions plus capables de pratiquer le jeu traditionnel anglais, fait de mauls pénétrants et d’occupation au pied. L’ironie de l’histoire, c’est que les Français, historiquement portés vers un jeu dynamique et ouvert, sont de leur côté devenus capables de jouer à l’anglaise quand c’est nécessaire. Bien joué, Galthié !
Avez-vous parfois été trop durs avec vos joueurs ? Nos confrères britanniques évoquaient sur la fin "un règne de la terreur" en sélection…
Je ne suis pas d’accord. J’étais certainement trop dur avec les joueurs il y a vingt ans, quand j’ai démarré avec les Wallabies. Mais j’ai beaucoup évolué dans mon management, au fil des ans. Je pense même que j’ai été trop gentil avec les joueurs, ces dernières années…
Pourquoi Clive Woodward, le sélectionneur de l’épopée anglaise de 2003, a-t-il été si dur avec vous ?
Je ne sais pas pourquoi il ne m’aime pas… De mon côté, je pense juste qu’il est un homme triste. […] Quand Steve Hansen (double champion du monde avec les All Blacks en 2011 et 2015, N.D.L.R.) a cessé d’entraîner la sélection néo-zélandaise, il ne s’est ensuite que très rarement exprimé sur les matchs des All Blacks. Il n’a même jamais critiqué Ian Foster (son successeur, N.D.L.R.). Mais ils ne sont pas tous comme lui…
Et votre ancien arrière Mike Brown, alors ? Pourquoi vous a-t-il lui aussi critiqué ?
C’est la vie d’un coach. Je fais des choix qui ont rendu certains joueurs heureux, d’autres frustrés. Je n’y peux rien.
Avez-vous reçu des messages de soutien de la part d’autres sélectionneurs ?
J’en ai reçu quelques-uns, oui. Il existe encore beaucoup de bienveillance entre les entraîneurs, et c’est une très bonne chose.
Vous vous êtes accroché jusqu’au bout à votre poste de sélectionneur. Il paraît que vous avez même demandé à Marc Dal Maso de vous rejoindre en Angleterre, juste avant votre licenciement. C’est vrai ?
Oui ! Parce que la mêlée anglaise était alors en souffrance et que dans ma carrière d’entraîneur, je n’avais jamais vu quelqu’un changer le visage d’une mêlée comme l’a fait Marc Dal Maso avec celle du Japon, quand j’en étais le sélectionneur. À douze mois de la Coupe du monde, on a fait un match amical qu’on a perdu 32-5. Notre mêlée avait été pulvérisée, mes deux piliers gauches avaient pris des cartons jaunes. En dix mois, il avait fait de nous une mêlée solide. Il a une grande éthique de travail, et prend la mêlée comme un art. Le jour où on a dominé la mêlée géorgienne, juste avant que ne débute le Mondial 2015, je me suis dit : "Ce mec est vraiment excellent".
Que vous a-t-il répondu, lorsque vous lui avez demandé de vous rejoindre ?
Tous les deux, on a une relation "je t’aime moi non plus". Il est un passionné, un artiste de la mêlée. Mais je le voulais avec moi et de son côté, il trouvait l’idée séduisante.
Qu’est-ce qui restera votre plus beau souvenir à la tête du XV d’Angleterre, ces sept dernières années ?
La demi-finale de Coupe du monde contre les All Blacks, en 2019. Nous avions fait le match parfait, ce jour-là. Nous avions gagné les duels, dominé en conquête et développé un rugby superbe. Il y avait de la puissance, de la vitesse, de l’agressivité et de l’imagination. J’étais si fier d’eux, ce jour-là.
Récemment, le manager de Castres Pierre-Henry Broncan nous disait que vous pourriez peut-être devenir consultant au CO. Est-ce vrai ?
(il s’esclaffe) Il a dit ça ? J’admire Pierre. C’est un super jeune entraîneur. Je passerai le voir à Castres en janvier, je pense. Enfin, s’il fait moins froid…
Aimeriez-vous entraîner une grosse équipe du Top 14, un jour ?
Êtes-vous capable de me greffer un cerveau français, d’abord ?
Non… Que voulez-vous dire ?
Pour entraîner une équipe, il faut parler son langage. Le rugby est un jeu d’émotions. Un coach doit pouvoir les transmettre à ses joueurs sans passer par un traducteur. Je vais vous dire : j’ai entraîné les Brave Blossoms pendant quatre ans mais je parle très mal le japonais. Je parle si mal que mon épouse ne me laisse pas parler à notre chien en Japonais. Mais j’ai quelques bases. Des bases que je n’aurai jamais en français… Ce ne serait pas une bonne situation.
Stuart Lancaster, votre prédécesseur à la tête de l’équipe d’Angleterre, va pourtant entraîner le Racing 92 la saison prochaine sans pour autant parler notre langue…
Il ferait mieux de l’apprendre vite, alors…
Les médias australiens annoncent que vous entraînerez les Wallabies après la Coupe du monde en France. Est-ce une option ?
En ce moment, tout est une option ! (rires) Le mois prochain, je déciderai.
Auriez-vous le droit d’être consultant pour une autre équipe que celle d’Angleterre, pendant le Mondial français ? Ou alors, une clause dans votre ancien contrat vous l’interdit-elle ?
Non, il n’y a aucune clause par rapport à ça. Et si on me fait une telle proposition, je l’étudierai avec attention.
Avez-vous pu rencontrer Didier Deschamps, le sélectionneur français ? Vous aviez ce désir, il y a quelques mois…
Non. Il était OK sur le principe mais nous n’avons pas encore trouvé de créneau. Deschamps a fait un boulot formidable ces dernières années et tous les entraîneurs du monde auraient quelque chose à apprendre de lui. J’ai donc voulu le rencontrer, comme j’avais souhaité rencontrer Pep Guadiola (entraîneur de Manchester City, N. DL.R.) il y a quelques années. Ça se fera peut-être, un jour…
Avez-vous suivi le Mondial de football au Qatar ?
Bien sûr, oui. C’est d’ailleurs très curieux comme le football de haut niveau ressemble, sous certains aspects, au rugby international : aux abords de la soixantième minute, le jeu se brise et soudain, c’est le chaos. Seuls les plus forts y survivent.
Marc Duzan
International - Eddie Jones : « Bien joué, Galthié ! Les Français sont devenus capables de jouer à l’anglaise »
Début décembre, l’Australien Eddie Jones était débarqué de l’équipe nationale anglaise et n’avait pas pris la parole, depuis. Pour nous, il brise aujourd’hui le silence, évoque ses dernières heures en tant que sélectionneur, évoque ses réussites, retrace ses erreurs et parle de Pierre-Henry Broncan, Marc Dal Maso ou Clive Woodward…
Qu’avez-vous fait depuis le jour où vous avez quitté l’équipe d’Angleterre, début décembre ?
Il y avait sept ans que je vivais ici, à Pennyhill (dans la grande banlieue londonienne, N.D.L.R.). Déjà, mon épouse m’a dit : "Quelle est la prochaine étape, Eddie ?" J’ai réfléchi puis je me suis mis à rassembler toutes mes affaires, à faire du tri… […] Nous avons quitté l’Angleterre vendredi pour rejoindre le Japon, d’où ma femme est originaire. Là-bas, j’ai retrouvé l’équipe de Suntory, pour laquelle je suis consultant depuis une dizaine d’années.
Avez-vous quelque peu coupé avec le rugby ?
Jamais… J’en dévore même tous les jours. Vous savez, j’ai eu la chance de recevoir quelques offres intéressantes, depuis mon licenciement. Alors j’essaie modestement d’analyser le jeu de ces équipes-là…
Quelles équipes, au juste ?
Il est trop tôt pour en parler, camarade. Je suis toujours en réflexion.
Mais comment vous sentez-vous ? Triste ? Abattu ? En colère ?
Je suis à la fois déçu et philosophe, par rapport à ce qu’il s’est passé. Déçu parce que je n’ai pas pu aller au bout de ma mission. Philosophe parce que j’ai toujours su qu’après la finale de la dernière Coupe du monde, les temps deviendraient rapidement plus durs…
Pour quelle raison ?
En 2019, nous étions vice-champions du monde, soit la meilleure équipe de la planète derrière les Springboks. Même si la sélection anglaise était alors plutôt jeune, il m’a fallu la reconstruire en partie et en parallèle, les attentes des gens étaient devenues bien plus grandes qu’à mon arrivée, et c’est normal. Si j’avais pu traverser cette dernière période difficile en vainqueur, je sais que j’aurais réussi, ensuite. Mais j’ai perdu…
Et on vous a demandé de quitter la Fédération anglaise…
Oui et je peux comprendre. Mais j’ai tout donné, jusqu’au bout. Et je me dis aussi que si le rugby européen a tellement progressé ces dernières années, si le paysage de ce sport a radicalement changé, j’y ai aussi contribué.
Quand avez-vous appris que votre contrat était terminé ?
Juste avant que nous affrontions la Nouvelle-Zélande, en novembre dernier (22-22), j’ai eu un meeting avec les plus hauts dirigeants de la Fédération. J’ai senti, ce jour-là, que l’ambiance était bizarre… Ils n’étaient pas comme d’habitude, avec moi… Derrière ça, les médias britanniques sont devenus de plus en plus critiques. J’ai alors compris que la fin était proche.
Vous rappelez-vous de votre dernier jour, en tant que sélectionneur national ? Que vous a-t-on dit ?
Quand un coach dit à un joueur qu’il est viré, le joueur vous dira qu’il ne s’en souvient pas. Pour un coach comme moi, c’est pareil, il ne se souvient pas de ce moment où on lui dit qu’il ne va plus entraîner.
Que vous manque-t-il, aujourd’hui ?
Les interactions avec les joueurs, bien sûr ! Croyez-moi ou pas, mais ils étaient devenus comme une deuxième famille pour moi. Mais je ne suis pas fini. Je rebondirai, bientôt.
Vous avez gagné trois tournois des 6 Nations, réalisé un grand chelem en 2016 et hissé le XV de la Rose en finale de la Coupe du monde. Néanmoins, avez-vous commis quelques erreurs au fil de votre mandat ?
On fait toujours des erreurs. Si aujourd’hui, je pouvais remonter le temps, je changerais peut-être certains de mes critères de sélection.
Que voulez-vous dire ?
2021 a été une très mauvaise année pour nous. Les Saracens venaient d’être rétrogradés en deuxième division (pour avoir dépassé le plafond du salary cap, N.D.L.R.). Comme vous le savez probablement, le XV d’Angleterre était alors essentiellement formé par les joueurs des Sarries. Le problème, c’est que leur niveau a considérablement baissé, en deuxième division et que les performances de notre équipe nationale s’en sont immédiatement ressenties. J’aurais donc dû changer mon fusil d’épaule, cette année-là… Et je le regrette… C’est l’erreur que j’ai faite.
En clair ?
J’aurais dû démarrer la reconstruction de l’équipe plus tôt que je ne l’ai fait. C’est vraiment la chose à laquelle j’ai vraiment réfléchi depuis.
Aviez-vous un plan pour remporter la Coupe du monde en France ? Et si oui, quel était-il ?
Disons qu’à l’automne prochain, les candidats au titre devront être capables de produire deux types de rugby : un rugby offensif pour les matchs de poule, histoire d’emmagasiner le plus de points possible et de gagner en confiance ; et à partir des demi-finales, sur des terrains plus lourds, il faudra jouer le rugby des Springboks, assis sur une conquête parfaite, un jeu au pied efficace, une défense agressive. J’étais en train de préparer mes joueurs à ces deux types de rugby.
On vous suit.
Ces dernières années, nous n’étions plus capables de pratiquer le jeu traditionnel anglais, fait de mauls pénétrants et d’occupation au pied. L’ironie de l’histoire, c’est que les Français, historiquement portés vers un jeu dynamique et ouvert, sont de leur côté devenus capables de jouer à l’anglaise quand c’est nécessaire. Bien joué, Galthié !
Avez-vous parfois été trop durs avec vos joueurs ? Nos confrères britanniques évoquaient sur la fin "un règne de la terreur" en sélection…
Je ne suis pas d’accord. J’étais certainement trop dur avec les joueurs il y a vingt ans, quand j’ai démarré avec les Wallabies. Mais j’ai beaucoup évolué dans mon management, au fil des ans. Je pense même que j’ai été trop gentil avec les joueurs, ces dernières années…
Pourquoi Clive Woodward, le sélectionneur de l’épopée anglaise de 2003, a-t-il été si dur avec vous ?
Je ne sais pas pourquoi il ne m’aime pas… De mon côté, je pense juste qu’il est un homme triste. […] Quand Steve Hansen (double champion du monde avec les All Blacks en 2011 et 2015, N.D.L.R.) a cessé d’entraîner la sélection néo-zélandaise, il ne s’est ensuite que très rarement exprimé sur les matchs des All Blacks. Il n’a même jamais critiqué Ian Foster (son successeur, N.D.L.R.). Mais ils ne sont pas tous comme lui…
Et votre ancien arrière Mike Brown, alors ? Pourquoi vous a-t-il lui aussi critiqué ?
C’est la vie d’un coach. Je fais des choix qui ont rendu certains joueurs heureux, d’autres frustrés. Je n’y peux rien.
Avez-vous reçu des messages de soutien de la part d’autres sélectionneurs ?
J’en ai reçu quelques-uns, oui. Il existe encore beaucoup de bienveillance entre les entraîneurs, et c’est une très bonne chose.
Vous vous êtes accroché jusqu’au bout à votre poste de sélectionneur. Il paraît que vous avez même demandé à Marc Dal Maso de vous rejoindre en Angleterre, juste avant votre licenciement. C’est vrai ?
Oui ! Parce que la mêlée anglaise était alors en souffrance et que dans ma carrière d’entraîneur, je n’avais jamais vu quelqu’un changer le visage d’une mêlée comme l’a fait Marc Dal Maso avec celle du Japon, quand j’en étais le sélectionneur. À douze mois de la Coupe du monde, on a fait un match amical qu’on a perdu 32-5. Notre mêlée avait été pulvérisée, mes deux piliers gauches avaient pris des cartons jaunes. En dix mois, il avait fait de nous une mêlée solide. Il a une grande éthique de travail, et prend la mêlée comme un art. Le jour où on a dominé la mêlée géorgienne, juste avant que ne débute le Mondial 2015, je me suis dit : "Ce mec est vraiment excellent".
Que vous a-t-il répondu, lorsque vous lui avez demandé de vous rejoindre ?
Tous les deux, on a une relation "je t’aime moi non plus". Il est un passionné, un artiste de la mêlée. Mais je le voulais avec moi et de son côté, il trouvait l’idée séduisante.
Qu’est-ce qui restera votre plus beau souvenir à la tête du XV d’Angleterre, ces sept dernières années ?
La demi-finale de Coupe du monde contre les All Blacks, en 2019. Nous avions fait le match parfait, ce jour-là. Nous avions gagné les duels, dominé en conquête et développé un rugby superbe. Il y avait de la puissance, de la vitesse, de l’agressivité et de l’imagination. J’étais si fier d’eux, ce jour-là.
Récemment, le manager de Castres Pierre-Henry Broncan nous disait que vous pourriez peut-être devenir consultant au CO. Est-ce vrai ?
(il s’esclaffe) Il a dit ça ? J’admire Pierre. C’est un super jeune entraîneur. Je passerai le voir à Castres en janvier, je pense. Enfin, s’il fait moins froid…
Aimeriez-vous entraîner une grosse équipe du Top 14, un jour ?
Êtes-vous capable de me greffer un cerveau français, d’abord ?
Non… Que voulez-vous dire ?
Pour entraîner une équipe, il faut parler son langage. Le rugby est un jeu d’émotions. Un coach doit pouvoir les transmettre à ses joueurs sans passer par un traducteur. Je vais vous dire : j’ai entraîné les Brave Blossoms pendant quatre ans mais je parle très mal le japonais. Je parle si mal que mon épouse ne me laisse pas parler à notre chien en Japonais. Mais j’ai quelques bases. Des bases que je n’aurai jamais en français… Ce ne serait pas une bonne situation.
Stuart Lancaster, votre prédécesseur à la tête de l’équipe d’Angleterre, va pourtant entraîner le Racing 92 la saison prochaine sans pour autant parler notre langue…
Il ferait mieux de l’apprendre vite, alors…
Les médias australiens annoncent que vous entraînerez les Wallabies après la Coupe du monde en France. Est-ce une option ?
En ce moment, tout est une option ! (rires) Le mois prochain, je déciderai.
Auriez-vous le droit d’être consultant pour une autre équipe que celle d’Angleterre, pendant le Mondial français ? Ou alors, une clause dans votre ancien contrat vous l’interdit-elle ?
Non, il n’y a aucune clause par rapport à ça. Et si on me fait une telle proposition, je l’étudierai avec attention.
Avez-vous pu rencontrer Didier Deschamps, le sélectionneur français ? Vous aviez ce désir, il y a quelques mois…
Non. Il était OK sur le principe mais nous n’avons pas encore trouvé de créneau. Deschamps a fait un boulot formidable ces dernières années et tous les entraîneurs du monde auraient quelque chose à apprendre de lui. J’ai donc voulu le rencontrer, comme j’avais souhaité rencontrer Pep Guadiola (entraîneur de Manchester City, N. DL.R.) il y a quelques années. Ça se fera peut-être, un jour…
Avez-vous suivi le Mondial de football au Qatar ?
Bien sûr, oui. C’est d’ailleurs très curieux comme le football de haut niveau ressemble, sous certains aspects, au rugby international : aux abords de la soixantième minute, le jeu se brise et soudain, c’est le chaos. Seuls les plus forts y survivent.
Marc Duzan
Dernière édition par Scalp le Ven 20 Jan 2023 - 12:44, édité 1 fois
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
ITW un peu vieille, mais je l'avais loupé à l'époque...
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Je viens de consulter à nouveau la liste pour le tournoi, et je ne vois toujours pas Roumat. C’est ballot ça , le lobbying intense de la presse autoproclamée spécialisé du rugby n’avait pas toutes les bonnes infos. C’est pas faute d’avoir patiemment instillé toutes les grandes qualités du fils de . L’hiver approche by by Roumat .
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
densnewzealand a écrit:Je viens de consulter à nouveau la liste pour le tournoi, et je ne vois toujours pas Roumat. C’est ballot ça , le lobbying intense de la presse autoproclamée spécialisé du rugby n’avait pas toutes les bonnes infos. C’est pas faute d’avoir patiemment instillé toutes les grandes qualités du fils de . L’hiver approche by by Roumat .
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Bé alors Scalp, c'est pas sérieux…Scalp a écrit:ITW un peu vieille, mais je l'avais loupé à l'époque...
Bon merci quand même
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biscouette a écrit:Bé alors Scalp, c'est pas sérieux…Scalp a écrit:ITW un peu vieille, mais je l'avais loupé à l'époque...
Bon merci quand même
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Dr. Gregory Bouse a écrit:densnewzealand a écrit:Je viens de consulter à nouveau la liste pour le tournoi, et je ne vois toujours pas Roumat. C’est ballot ça , le lobbying intense de la presse autoproclamée spécialisé du rugby n’avait pas toutes les bonnes infos. C’est pas faute d’avoir patiemment instillé toutes les grandes qualités du fils de . L’hiver approche by by Roumat .
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Ça se pourrait bien..., Roumat restera un excellent joueur de club, quand il en a envie. Chez nous, je veux bien qu'avec Urios ça ne collait pas, mais il a quand même pas mal procrastiné...
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Scalp a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:densnewzealand a écrit:Je viens de consulter à nouveau la liste pour le tournoi, et je ne vois toujours pas Roumat. C’est ballot ça , le lobbying intense de la presse autoproclamée spécialisé du rugby n’avait pas toutes les bonnes infos. C’est pas faute d’avoir patiemment instillé toutes les grandes qualités du fils de . L’hiver approche by by Roumat .
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
patrick a écrit:Scalp a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:densnewzealand a écrit:Je viens de consulter à nouveau la liste pour le tournoi, et je ne vois toujours pas Roumat. C’est ballot ça , le lobbying intense de la presse autoproclamée spécialisé du rugby n’avait pas toutes les bonnes infos. C’est pas faute d’avoir patiemment instillé toutes les grandes qualités du fils de . L’hiver approche by by Roumat .
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Dr. Gregory Bouse a écrit:patrick a écrit:Scalp a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:densnewzealand a écrit:Je viens de consulter à nouveau la liste pour le tournoi, et je ne vois toujours pas Roumat. C’est ballot ça , le lobbying intense de la presse autoproclamée spécialisé du rugby n’avait pas toutes les bonnes infos. C’est pas faute d’avoir patiemment instillé toutes les grandes qualités du fils de . L’hiver approche by by Roumat .
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Peut-être aurait-il fait un bon golfeur
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Dr. Gregory Bouse a écrit:patrick a écrit:Scalp a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:densnewzealand a écrit:Je viens de consulter à nouveau la liste pour le tournoi, et je ne vois toujours pas Roumat. C’est ballot ça , le lobbying intense de la presse autoproclamée spécialisé du rugby n’avait pas toutes les bonnes infos. C’est pas faute d’avoir patiemment instillé toutes les grandes qualités du fils de . L’hiver approche by by Roumat .
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On pourrait penser qu’il t’a fait une crasse pour être autant en boucle…
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
6 Nations 2023 - Des blessures en pagaille pour l'Angleterre, Courtney Lawes et George McGuigan incertains
https://www.rugbyrama.fr/2023/01/23/6-nations-2023-des-blessures-en-pagaille-pour-langleterre-courtney-lawes-et-george-mcguigan-incertains-10945441.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Roberto Miopalmo a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:patrick a écrit:Scalp a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:densnewzealand a écrit:Je viens de consulter à nouveau la liste pour le tournoi, et je ne vois toujours pas Roumat. C’est ballot ça , le lobbying intense de la presse autoproclamée spécialisé du rugby n’avait pas toutes les bonnes infos. C’est pas faute d’avoir patiemment instillé toutes les grandes qualités du fils de . L’hiver approche by by Roumat .
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On pourrait penser qu’il t’a fait une crasse pour être autant en boucle…
tu dois confondre avec un autre: je n'ai jamais été en boucle contre Roumat (pas plus qu'un autre d'ailleurs) et comme je déteste le comique de répétition...
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