Re: Madosh Tambwe

**patrick** Jeu 4 Juil 2024 - 9:01

krahknardz a écrit:
densnewzealand a écrit:Comprends toujours pas ce départ …. Quand on veut on peut et la on a pas voulu . Décision prise trop tôt. Bon vent Madosh il s’est toujours passé quelque chose quand il jouait . Même un crochet, une accélération suffisait à me faire lever de ma place . Ciao !!

Dites les gars, faut arrêter de penser que le club est toujours le seul à décider si un joueur part ou reste. Madosh il a reçu un pont d'or de Montpellier, et le club n'a tout simplement pas pu s'aligner vu les caractéristiques et la concurrence au poste. C'est aussi simple que ça.

Idem pour Moustin

ced33 Jeu 4 Juil 2024 - 9:06

krahknardz a écrit:
densnewzealand a écrit:Comprends toujours pas ce départ …. Quand on veut on peut et la on a pas voulu . Décision prise trop tôt. Bon vent Madosh il s’est toujours passé quelque chose quand il jouait . Même un crochet, une accélération suffisait à me faire lever de ma place . Ciao !!

Dites les gars, faut arrêter de penser que le club est toujours le seul à décider si un joueur part ou reste. Madosh il a reçu un pont d'or de Montpellier, et le club n'a tout simplement pas pu s'aligner vu les caractéristiques et la concurrence au poste. C'est aussi simple que ça.

Il touchait 144000 par an à l'UBB....au MHR il touchera 192000...pas certain que ce soit le club qui n'aie pas voulu le garder

Roberto Miopalmo Jeu 4 Juil 2024 - 9:15

ced33 a écrit:
krahknardz a écrit:
densnewzealand a écrit:Comprends toujours pas ce départ …. Quand on veut on peut et la on a pas voulu . Décision prise trop tôt. Bon vent Madosh il s’est toujours passé quelque chose quand il jouait . Même un crochet, une accélération suffisait à me faire lever de ma place . Ciao !!

Dites les gars, faut arrêter de penser que le club est toujours le seul à décider si un joueur part ou reste. Madosh il a reçu un pont d'or de Montpellier, et le club n'a tout simplement pas pu s'aligner vu les caractéristiques et la concurrence au poste. C'est aussi simple que ça.

Il touchait 144000 par an à l'UBB....au MHR il touchera 192000...pas certain que ce soit le club qui n'aie pas voulu le garder

Et a priori un poste de n°1

**krahknardz** Jeu 4 Juil 2024 - 9:18

ced33 a écrit:
krahknardz a écrit:
densnewzealand a écrit:Comprends toujours pas ce départ …. Quand on veut on peut et la on a pas voulu . Décision prise trop tôt. Bon vent Madosh il s’est toujours passé quelque chose quand il jouait . Même un crochet, une accélération suffisait à me faire lever de ma place . Ciao !!

Dites les gars, faut arrêter de penser que le club est toujours le seul à décider si un joueur part ou reste. Madosh il a reçu un pont d'or de Montpellier, et le club n'a tout simplement pas pu s'aligner vu les caractéristiques et la concurrence au poste. C'est aussi simple que ça.

Il touchait 144000 par an à l'UBB....au MHR il touchera 192000...pas certain que ce soit le club qui n'aie pas voulu le garder

Comme dit. Le club a fait des efforts mais n'a pas un Altrad qui signe des chèques véreux derrière. Ou des entreprises qui font des contrats bidons comme certains autres clubs qui se la pètent.

**Scalp** Jeu 4 Juil 2024 - 9:52

patrick a écrit:
krahknardz a écrit:
densnewzealand a écrit:Comprends toujours pas ce départ …. Quand on veut on peut et la on a pas voulu . Décision prise trop tôt. Bon vent Madosh il s’est toujours passé quelque chose quand il jouait . Même un crochet, une accélération suffisait à me faire lever de ma place . Ciao !!

Dites les gars, faut arrêter de penser que le club est toujours le seul à décider si un joueur part ou reste. Madosh il a reçu un pont d'or de Montpellier, et le club n'a tout simplement pas pu s'aligner vu les caractéristiques et la concurrence au poste. C'est aussi simple que ça.

Idem pour Moustin

On est tous déçus, mais il y a en face de nous des concurrents qui savent attirer les joueurs avec des arguments sonnants et trébuchants. On ne peut pas faire n'importe quoi, autant on peut comprendre madosh, autant la déception est grande du côté de celle de Moustin. Mais maintenant les joueurs ont pris leurs décisions, il faut tourner la page !

**marchal** Mar 13 Aoû 2024 - 13:38

https://www.xvovalie.com/top-14-madosh-tambwe-impressionne-deja-a-montpellier/

**marchal** Jeu 3 Oct 2024 - 15:55

actu.fr
"Après ça, ma vie a changé..." : L'itinéraire hors du commun de Madosh Tambwe
RUGBY. Après avoir fait des ravages avec Bordeau, Madosh Tambwe espère continuer sous les couleurs de Montpellier. Il se livre à Actu Rugby sur son itinéraire hors du commun.

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Redoutable finisseur, Madosh Tambwe se livre sur son parcours auprès d'Actu Rugby de ses débuts en Afrique du Sud à son recrutement par Montpellier en Top 14.

Par Thomas Corbet Publié le 2 oct. 2024 à 11h54

Faisant partie des joueurs majeurs du recrutement du MHR, Madosh Tambwe a posé ses valises à Montpellier après deux saisons du côté de Bordeaux-Bègles. De sa naissance dans un contexte mouvementé à ses espoirs en Top 14, il s’est livré à Actu Rugby sur son itinéraire hors du commun.
Le parcours extraordinaire de Madosh Tambwe

Madosh Tambwe n’est pas un grand bavard, et il faut bien admettre que ses exploits ont assez largement parlé pour lui lors de ses deux premières saisons en France sous les couleurs de l’Union Bordeaux-Bègles. Où, de miettes, il s’est souvent fait des festins.

Mais ce n’est pas de ses performances qu’il s’agit au moment de le pousser à se livrer davantage. Plutôt d’un parcours de vie quelque peu improbable, démarré dans un contexte au mieux instable : il fait partie des derniers enfants nés au Zaïre.

C’est en effet le 12 mai 1997 à Kinshasa que Madosh Tambwe vient au monde, dans un paysage de transition politique qui a à terme vu le Zaïre prendre le nom de République Démocratique du Congo. Bien sûr, il ne garde pas de souvenirs du conflit. Il n’est, de toute façon, pas du genre à s’appesantir sur les douleurs du passé.
Déménagement en Afrique du Sud

En République Démocratique du Congo, Madosh Tambwe n’a pas vécu bien longtemps. Si peu, d’ailleurs, qu’il souffla sa première bougie du côté de Johannesburg où sa famille avait déménagé. Et même si l’Apartheid était finie depuis quelques années, tout ne fut pas rose pour lui.

« En Afrique du Sud, on a passé des moments difficiles, par rapport à l’histoire du pays. Mais ça va, ça va… Ce n’était pas la vie ou la mort pour moi. Ce n’était pas facile, mais je ne suis pas un mec qui parle trop de choses difficiles qui se sont passées dans ma vie. Parce que ça, c’est le passé. Ça m’a formé un peu, mais après tout, il y a aussi du positif. Il ne faut pas parler que de choses négatives dans la vie », souffle-t-il.

De son enfance, Madosh Tambwe n’en dira pas beaucoup plus. Par pudeur. Et parce qu’il n’est pas facile, et certainement pas obligatoire, de se livrer à un journaliste. Que ce soit sur la perte de sa mère à un jeune âge ou son adoption à 16 ans. Dans un léger sourire, il se contentera d’un simple constat : « Après ça, ma vie a changé un peu. Mais ça va. »
De l’athlétisme aux Bulls

L’année de ses 16 ans, c’est également celle qui correspond à ses premiers pas sur les terrains de rugby, sous l’impulsion de son grand frère. Car à la base, ses premières inclinations étaient ailleurs.

« Mon introduction au sport, c’était l’athlétisme. C’est ce que je voulais faire, et aussi un peu de foot. Mais c’était un peu dur le foot, en plus, tu dois être maigre », s’amuse-t-il. « C’est mon grand frère qui m’a conseillé le rugby, il pensait que c’était mieux pour moi ».

Le voilà donc lancé, crampons au pied, d’abord au niveau scolaire puis dans l’académie des Lions à Joburg, ce qui lui permit de participer à la fameuse Craven Week, une semaine de compétition entre joueurs de moins de 18 ans servant surtout de détection.

« L’année d’après, j’ai joué mon premier match en pro avec les Lions à 19 ans. C’est le plus beau souvenir de ma carrière parce que c’était contre l’équipe de Quade Cooper. À l’époque, on regardait toutes les vidéos de Quade Cooper sur YouTube, comment il faisait ses crochets et tout. Il faisait partie des plus grands joueurs du monde », se remémore le trois-quarts aile.

« Après l’échauffement, il m’a souhaité un bon match. Et après le match, on a échangé nos contacts et on a commencé notre amitié. Encore aujourd’hui on échange de temps en temps », sourit-il.

Des Lions, son parcours l’a mené à porter le maillot des Sharks pendant une saison, puis celui des Bulls deux ans. Mais jamais celui de l’Afrique du Sud… « Ça, c’est un autre sujet, je n’ai pas trop les mots », lâche-t-il sans vouloir en dire davantage. Puis vint la décision de s’envoler vers la France après une saison à tout de même 20 matchs tous en tant que titulaire et 8 essais en United Rugby Championship.
Madosh Tambwe avait fait parler sa vitesse pour marquer son premier essais avec Montpellier contre Lyon en Top 14.
Madosh Tambwe avait fait parler sa vitesse pour marquer son premier essais avec Montpellier contre Lyon en Top 14. (

Icon Sport)

« J’avais déjà passé 7 ans de ma carrière en Afrique du Sud. Dès qu’il y a eu une opportunité de partir, je me suis dit pourquoi pas. C’était un autre défi, l’occasion de découvrir une autre culture, de voyager. Parce qu’en Afrique du Sud, tu ne restes qu’en Afrique du Sud. Après le Covid, ce n’était plus la même chose », explique le bolide du MHR.
Facteur X de Bordeaux-Bègles à Montpellier

Dès ses premières rencontres dans la ligne de trois-quarts scintillante de l’UBB, Madosh Tambwe a marqué les esprits par ses appuis et sa vitesse. Pourtant, là encore, il n’a pas pu rester en place plus de deux saisons.

« Laurent Marti m’a dit qu’il ne me garderait pas. Il ne m’a pas dit pourquoi, on a laissé ça comme ça », tranche Tambwe. Visiblement déçu de la décision à l’époque, il reste « reconnaissant envers Bordeaux-Bègles » malgré la fin de l’histoire. Et se tourne résolument vers son avenir dans l’Hérault.

« Montpellier a passé quelques saisons difficiles. Mais ça m’excite de venir ici pour commencer un nouveau projet avec un club qui, je pense, dans quelques années, va faire de grandes choses. Parce que si on regarde aujourd’hui, le seul club autre que Toulouse qui a gagné le bouclier de Brennus ces dernières années, c’est Montpellier. À mon sens, signer au MHR après l’UBB, ce n’est pas rétrograder. On peut faire de grandes choses avec cet effectif », espère-t-il.

Et de conclure avec son regard neuf sur le vestiaire du MHR : « Oui, j’ai senti un peu de doute lors du match contre Lyon quand nous étions menés (défaite à domicile lors de la 1ère journée, ndlr). Mais on a parlé, comme un groupe. Des choses se sont dites que je ne peux pas répéter devant les médias, mais on a parlé. Je pense qu’on va commencer à faire de bons matchs. Ça ne manque pas grand chose pour changer nos résultats. »

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