Derniers sujets
» XV de France (partie en cours)par SCOTTISH15 Aujourd'hui à 8:52
» Musique !!!
par Scalp Aujourd'hui à 3:44
» UBB: Prolongations signatures Départs Saison 2025/2026
par Scalp Aujourd'hui à 0:54
» Podcast de l'UBB : En Bord Terrain
par Scalp Ven 8 Nov 2024 - 21:58
» Transferts (Autres clubs)
par S.K.I.T.O Ven 8 Nov 2024 - 16:57
» Mafia Cassoulet - Publireportages
par Dr. Gregory Bouse Ven 8 Nov 2024 - 16:38
» Noel McNamara
par biscouette Jeu 7 Nov 2024 - 0:34
» Que deviennent nos anciens joueurs ?
par Dr. Gregory Bouse Mer 6 Nov 2024 - 18:53
» Le rugby et son évolution
par Scalp Mer 6 Nov 2024 - 17:33
» Nans Ducuing
par Scalp Mer 6 Nov 2024 - 17:28
» Autres sports
par biscouette Mer 6 Nov 2024 - 14:53
» Matthieu Jalibert
par Scalp Mer 6 Nov 2024 - 10:46
» Jean-Baptiste Dubié
par Scalp Mar 5 Nov 2024 - 18:51
» UBB sevens
par Scalp Mar 5 Nov 2024 - 18:50
» Les Lionnes 2024-2025
par Scalp Mar 5 Nov 2024 - 18:31
» 9ᵉ journée : Clermont / UBB
par biscouette Mar 5 Nov 2024 - 16:53
» Nicolas Depoortere
par biscouette Mar 5 Nov 2024 - 16:29
» Temo Matiu
par biscouette Mar 5 Nov 2024 - 16:26
» Podcast : Les UBBistes
par Scalp Mar 5 Nov 2024 - 14:39
» Damian Penaud
par marchal Mar 5 Nov 2024 - 13:22
» Autres Clubs
par marchal Mar 5 Nov 2024 - 13:17
» Autres joueurs
par marchal Mar 5 Nov 2024 - 13:10
» Le Pognon et le Rugby
par Big'Ben Mar 5 Nov 2024 - 12:42
» 11ᵉ journée : UBB / MHR
par Scalp Mar 5 Nov 2024 - 12:41
» Tevita Tatafu
par Scalp Mar 5 Nov 2024 - 10:35
» Louis Bielle-Biarrey
par Scalp Lun 4 Nov 2024 - 18:42
» Top14 : autres matchs
par Scalp Lun 4 Nov 2024 - 17:03
» 10ᵉ journée : Vannes / UBB
par Scalp Lun 4 Nov 2024 - 14:32
» Adam Coleman
par Txalaparte Dim 3 Nov 2024 - 10:55
» Sipili Falatea
par biscouette Ven 1 Nov 2024 - 20:56
Tournoi des 6 Nations 2024
+49
kaze33
Aspe
Ubbrugby
Tuhrah
LIONS'XV
ced33
LaRuine33
SCOTTISH15
Gebx
latine
Rvnrv
Vévé64
Bilou33
jean33270
Lawrence the Hammer
biscouette
Dauby
Jacques 33
Ubb91
coach2rugby
Vince33
Tothor
DODO974
Etchetera
Ante33
nadoloubb
Bordelais exilé ds le 31
le radis
Thony
Ribouldingue
zizou46
Charles_ubb
Tomuel
igziabeher
sudiste
Switch
Yatangaki
marchal
krahknardz
S.K.I.T.O
grospaquet31
tire-bouchon
SEB34
Big'Ben
densnewzealand
Roberto Miopalmo
léopold
Dr. Gregory Bouse
Scalp
53 participants
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté terrain :: Equipes de France
Page 38 sur 40
Page 38 sur 40 • 1 ... 20 ... 37, 38, 39, 40
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Nanard est loin d'être responsable' de tout, ses prédécesseurs qui étaient surtout préoccupé de s'en mettre plein les poches avec un stade à eux en priorité étaient Camou, Blanco, en tête des escrocs, il faut remonter à Lapasset pour trouver un président correct.On a vu ce qu'il sont devenus lorsqu'il n'est plus possible de disposer de l'argent des autres.
Quand je vois un Dourthe critiquer tout et son contraire, il oublie le scandale des billets du stade de France, dont on ne parle plus.
Oui Laporte a viré vite fait un Novés complétement dépassé et qui avait fait plus que son temps, son tort c'est d'avoir pris Galthier et sa clique d'incapables.
Après comment les grands clubs ont ils mis un Bouscatel en tête de la ligue????
Quand je vois un Dourthe critiquer tout et son contraire, il oublie le scandale des billets du stade de France, dont on ne parle plus.
Oui Laporte a viré vite fait un Novés complétement dépassé et qui avait fait plus que son temps, son tort c'est d'avoir pris Galthier et sa clique d'incapables.
Après comment les grands clubs ont ils mis un Bouscatel en tête de la ligue????
léopold- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 9910
Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
léopold a écrit:Nanard est loin d'être responsable' de tout, ses prédécesseurs qui étaient surtout préoccupé de s'en mettre plein les poches avec un stade à eux en priorité étaient Camou, Blanco, en tête des escrocs, il faut remonter à Lapasset pour trouver un président correct.On a vu ce qu'il sont devenus lorsqu'il n'est plus possible de disposer de l'argent des autres.
Quand je vois un Dourthe critiquer tout et son contraire, il oublie le scandale des billets du stade de France, dont on ne parle plus.
Oui Laporte a viré vite fait un Novés complétement dépassé et qui avait fait plus que son temps, son tort c'est d'avoir pris Galthier et sa clique d'incapables.
Après comment les grands clubs ont ils mis un Bouscatel en tête de la ligue????
Nanard est bien connu pour être une personne totalement désintéressée, il n'a jamais trempé dans aucunes affaires louches ou autres magouilles, Altrad pourrait le confirmer, Nanard, c'est Eliot Ness dans les incorruptibles
On peut penser ce qu'on veut de Grill, mais au moins ce n'est pas un corrompu. Mais ce n'est pas grave, par les temps qui courent, il y en a qui pense qu'il faut des margoulins aux manettes pour réussir, et qu'avec Laporte, on aurait gagné la coupe du monde
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Nanard que je n'aime pas, a bouffé jeune de la vache enragée, arrivé au_ CABBG il vivait dans une chambre prêtée par un copain à Bégles sur un matelas par terre avec 2 cagots d'orange vides comme table de chevet.
On peut comprendre qu'il ait eu envie de réussir en utilisant tout les moyens, un peu comme Altrad qui n'est pas né avec une ceuillére en argent dans la bouche.
Pour Grill on verra plus tard, c'est là après que tout se révéle, de quoi se plaint il, il était bien placé pour savoir ce qu'il allait trouver, rien ne l'obligeait à vouloir le pouvoir, depuis qu'il est là, à part pleurer il a fait quoi, il sert à quoi,ils ont gâché une bonne génération et ne sont pas pour grand chose dans celle qui s'annonce bonne, c'est le fruit du travail des clubs.
Je ne sais pas si nous aurions mieux fini cette coupe du monde, mais ce que je sais c'est que Laporte aurait mis en demeure Galthier et ses copains de se bouger le cul.
On peut comprendre qu'il ait eu envie de réussir en utilisant tout les moyens, un peu comme Altrad qui n'est pas né avec une ceuillére en argent dans la bouche.
Pour Grill on verra plus tard, c'est là après que tout se révéle, de quoi se plaint il, il était bien placé pour savoir ce qu'il allait trouver, rien ne l'obligeait à vouloir le pouvoir, depuis qu'il est là, à part pleurer il a fait quoi, il sert à quoi,ils ont gâché une bonne génération et ne sont pas pour grand chose dans celle qui s'annonce bonne, c'est le fruit du travail des clubs.
Je ne sais pas si nous aurions mieux fini cette coupe du monde, mais ce que je sais c'est que Laporte aurait mis en demeure Galthier et ses copains de se bouger le cul.
léopold- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 9910
Localisation : A Musard derrière les espoirs
Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
léopold a écrit:Nanard que je n'aime pas, a bouffé jeune de la vache enragée, arrivé au_ CABBG il vivait dans une chambre prêtée par un copain à Bégles sur un matelas par terre avec 2 cagots d'orange vides comme table de chevet.
On peut comprendre qu'il ait eu envie de réussir en utilisant tout les moyens, un peu comme Altrad qui n'est pas né avec une ceuillére en argent dans la bouche.
Pour Grill on verra plus tard, c'est là après que tout se révéle, de quoi se plaint il, il était bien placé pour savoir ce qu'il allait trouver, rien ne l'obligeait à vouloir le pouvoir, depuis qu'il est là, à part pleurer il a fait quoi, il sert à quoi,ils ont gâché une bonne génération et ne sont pas pour grand chose dans celle qui s'annonce bonne, c'est le fruit du travail des clubs.
Je ne sais pas si nous aurions mieux fini cette coupe du monde, mais ce que je sais c'est que Laporte aurait mis en demeure Galthier et ses copains de se bouger le cul.
Des margoulins, il y en a qui sont issus de toutes les couches de la société, l'origine sociale n'est en aucun cas une excuse, encore heureux qu'on peut réussir sans tricher ou voler comme on respire. Je prends un exemple au hasard, Laurent Marti, il a commencé en créant une boite de briquet publicitaire, j'en connais un autre, c'était avec des pin's…
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Euh quand on démarre en sport on bouffe de la vache enragée tous les jours. On loge dans des cagibis, on compte tout ses sous pour les déplacements. , bref ça ne conduit sûrement pas à être un margoulin plus tard. Que Laporte ait eu des qualités de meneurs d’homme on est d’accord, pour le reste la justice est passée.Scalp a écrit:léopold a écrit:Nanard que je n'aime pas, a bouffé jeune de la vache enragée, arrivé au_ CABBG il vivait dans une chambre prêtée par un copain à Bégles sur un matelas par terre avec 2 cagots d'orange vides comme table de chevet.
On peut comprendre qu'il ait eu envie de réussir en utilisant tout les moyens, un peu comme Altrad qui n'est pas né avec une ceuillére en argent dans la bouche.
Pour Grill on verra plus tard, c'est là après que tout se révéle, de quoi se plaint il, il était bien placé pour savoir ce qu'il allait trouver, rien ne l'obligeait à vouloir le pouvoir, depuis qu'il est là, à part pleurer il a fait quoi, il sert à quoi,ils ont gâché une bonne génération et ne sont pas pour grand chose dans celle qui s'annonce bonne, c'est le fruit du travail des clubs.
Je ne sais pas si nous aurions mieux fini cette coupe du monde, mais ce que je sais c'est que Laporte aurait mis en demeure Galthier et ses copains de se bouger le cul.
Des margoulins, il y en a qui sont issus de toutes les couches de la société, l'origine sociale n'est en aucun cas une excuse, encore heureux qu'on peut réussir sans tricher ou voler comme on respire. Je prends un exemple au hasard, Laurent Marti, il a commencé en créant une boite de briquet publicitaire, j'en connais un autre, c'était avec des pin's…
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 4457
Localisation : sud langonnais
Date d'inscription : 14/01/2017
Humeur : variable
Age : 61
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
densnewzealand a écrit:Euh quand on démarre en sport on bouffe de la vache enragée tous les jours. On loge dans des cagibis, on compte tout ses sous pour les déplacements. , bref ça ne conduit sûrement pas à être un margoulin plus tard. Que Laporte ait eu des qualités de meneurs d’homme on est d’accord, pour le reste la justice est passée.Scalp a écrit:léopold a écrit:Nanard que je n'aime pas, a bouffé jeune de la vache enragée, arrivé au_ CABBG il vivait dans une chambre prêtée par un copain à Bégles sur un matelas par terre avec 2 cagots d'orange vides comme table de chevet.
On peut comprendre qu'il ait eu envie de réussir en utilisant tout les moyens, un peu comme Altrad qui n'est pas né avec une ceuillére en argent dans la bouche.
Pour Grill on verra plus tard, c'est là après que tout se révéle, de quoi se plaint il, il était bien placé pour savoir ce qu'il allait trouver, rien ne l'obligeait à vouloir le pouvoir, depuis qu'il est là, à part pleurer il a fait quoi, il sert à quoi,ils ont gâché une bonne génération et ne sont pas pour grand chose dans celle qui s'annonce bonne, c'est le fruit du travail des clubs.
Je ne sais pas si nous aurions mieux fini cette coupe du monde, mais ce que je sais c'est que Laporte aurait mis en demeure Galthier et ses copains de se bouger le cul.
Des margoulins, il y en a qui sont issus de toutes les couches de la société, l'origine sociale n'est en aucun cas une excuse, encore heureux qu'on peut réussir sans tricher ou voler comme on respire. Je prends un exemple au hasard, Laurent Marti, il a commencé en créant une boite de briquet publicitaire, j'en connais un autre, c'était avec des pin's…
Exactement !
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Vidéo. XV de France - "En termes de mentalité, le XV de France revient 10 ans en arrière"
https://www.rugbyrama.fr/2024/02/28/video-xv-de-france-en-terme-de-mentalite-le-xv-de-france-revient-10-ans-en-arriere-11792929.php
Les mouches changent d'âne
https://www.rugbyrama.fr/2024/02/28/video-xv-de-france-en-terme-de-mentalite-le-xv-de-france-revient-10-ans-en-arriere-11792929.php
Les mouches changent d'âne
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Chez-les-bleus-les-absents-n-ont-pas-toujours-tort/1451323
Chez les Bleus, les absents n'ont pas toujours tort
Si l'absence d'Antoine Dupont pèse lourd, l'équipe de France est également amputée de nombreux cadres à des postes stratégiques. Ce qui explique aussi ses difficultés actuelles.
Maxime Raulin
« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé... » Cette célèbre citation tirée d'un poème d'Alphonse de Lamartine ne sied pas à l'équipe de France. Ce serait trop réducteur, et même trop facile, d'imputer la dégringolade tricolore à la seule absence du demi de mêlée Antoine Dupont. Comme évoqué dans nos colonnes hier, elle pèse, forcément, mais pas que...
« Dupont (France 7), plus Alldritt (cuisse), plus Ntamack (genou), plus Marchand (remplaçant), plus Flament (pied) et aussi ton deuxième-ligne pousseur que tu cherches encore, ça fait, mine de rien, un tiers de l'équipe type », soulignait notre consultant Jean-Baptiste Élissalde.
Face à l'Italie dimanche dernier (13-13), le numéro 8 Grégory Alldritt, victime d'une plaie à la cuisse lors de la victoire en Écosse (douze points de suture), était lui aussi absent. Mais le nouveau capitaine des Bleus sera sur pied pour le déplacement au pays de Galles (dimanche 10 mars, 16 heures). Si l'ex-demi de mêlée international (35 sélections) cite Julien Marchand, c'est que le talonneur, trois fois remplaçant depuis le début du Tournoi, n'a pas retrouvé son meilleur niveau. Blessé en début de Coupe du monde (ischio-jambiers), le Toulousain a mis quatre mois pour retrouver la compétition, juste avant le début du Tournoi. Il est encore en rodage.
Dans le même temps, son suppléant Peato Mauvaka est moins flamboyant que durant le Mondial. Thibaud Flament traîne, lui, une blessure à un pied depuis mi-décembre. Il devrait retrouver la compétition ce week-end avec le Stade Toulousain en Top 14. Le deuxième-ligne, véritable décathlonien, capable d'enchaîner une multitude de tâches durant 80 minutes, était devenu une pièce maîtresse des Bleus depuis deux ans.
Meafou espéré ce week-end... et pour Cardiff
On pourrait facilement ajouter à cette liste des absents qui comptent Anthony Jelonch, victime d'une rupture du ligament croisé du genou droit le 21 janvier, dont l'abattage et la rudesse manquent aux Bleus. Sans oublier que l'attelage Flament-Meafou, estampillé Stade Toulousain, était attendu avec impatience par le staff des Bleus en deuxième ligne. Mais Emmanuel Meafou, le colosse d'origine australienne (2,03 m, 145 kg), s'est blessé au genou droit le week-end suivant sa première convocation.
À la place, il a fallu bricoler avec Paul Willemse, suspendu quatre semaines après son carton rouge contre l'Irlande à Marseille, Cameron Woki et Paul Gabrillagues. Seule satisfaction : les performances remarquées du phénomène Posolo Tuilagi (19 ans). Le retour sur le pré de Meafou est lui aussi espéré ce week-end. Si c'est le cas, le staff des Bleus serait tenté de convoquer la paire Flament-Meafou pour le déplacement à Cardiff.
L'ombre de Ntamack
Dernière absence de marque, et pas des moindres, celle de Romain Ntamack, opéré d'une rupture du ligament croisé du genou gauche juste avant la Coupe du monde. À la suite de la défaite inaugurale face à l'Irlande début février (17-38), l'ombre de l'ouvreur toulousain, numéro 1 dans la hiérarchie, avait déjà flotté. Notamment au regard des failles défensives de Matthieu Jalibert.
Force est de constater que malgré tout son talent, le demi d'ouverture de l'UBB (33 sélections) n'a pas profité de l'absence de son concurrent pour s'imposer chez les Bleus. Pour ne rien arranger à ses affaires, Jalibert s'est blessé au genou gauche après trente minutes de jeu face à l'Italie. Il sera absent au moins six semaines et son Tournoi est terminé.
Quand on connaît l'importance de Ntamack dans l'esprit de Fabien Galthié, on imagine facilement que le Toulousain retrouvera sa tunique floquée du numéro 10 à l'automne prochain (réceptions du Japon, de la Nouvelle-Zélande et de l'Argentine). On se souvient des images du sélectionneur, les larmes aux yeux et des trémolos dans la voix, annoncer le forfait de « NTK » pour la Coupe du monde. Pour Galthié, perdre Ntamack était aussi préjudiciable, voire plus, que de perdre Dupont. C'est dire...
Chez les Bleus, les absents n'ont pas toujours tort
Si l'absence d'Antoine Dupont pèse lourd, l'équipe de France est également amputée de nombreux cadres à des postes stratégiques. Ce qui explique aussi ses difficultés actuelles.
Maxime Raulin
« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé... » Cette célèbre citation tirée d'un poème d'Alphonse de Lamartine ne sied pas à l'équipe de France. Ce serait trop réducteur, et même trop facile, d'imputer la dégringolade tricolore à la seule absence du demi de mêlée Antoine Dupont. Comme évoqué dans nos colonnes hier, elle pèse, forcément, mais pas que...
« Dupont (France 7), plus Alldritt (cuisse), plus Ntamack (genou), plus Marchand (remplaçant), plus Flament (pied) et aussi ton deuxième-ligne pousseur que tu cherches encore, ça fait, mine de rien, un tiers de l'équipe type », soulignait notre consultant Jean-Baptiste Élissalde.
Face à l'Italie dimanche dernier (13-13), le numéro 8 Grégory Alldritt, victime d'une plaie à la cuisse lors de la victoire en Écosse (douze points de suture), était lui aussi absent. Mais le nouveau capitaine des Bleus sera sur pied pour le déplacement au pays de Galles (dimanche 10 mars, 16 heures). Si l'ex-demi de mêlée international (35 sélections) cite Julien Marchand, c'est que le talonneur, trois fois remplaçant depuis le début du Tournoi, n'a pas retrouvé son meilleur niveau. Blessé en début de Coupe du monde (ischio-jambiers), le Toulousain a mis quatre mois pour retrouver la compétition, juste avant le début du Tournoi. Il est encore en rodage.
Dans le même temps, son suppléant Peato Mauvaka est moins flamboyant que durant le Mondial. Thibaud Flament traîne, lui, une blessure à un pied depuis mi-décembre. Il devrait retrouver la compétition ce week-end avec le Stade Toulousain en Top 14. Le deuxième-ligne, véritable décathlonien, capable d'enchaîner une multitude de tâches durant 80 minutes, était devenu une pièce maîtresse des Bleus depuis deux ans.
Meafou espéré ce week-end... et pour Cardiff
On pourrait facilement ajouter à cette liste des absents qui comptent Anthony Jelonch, victime d'une rupture du ligament croisé du genou droit le 21 janvier, dont l'abattage et la rudesse manquent aux Bleus. Sans oublier que l'attelage Flament-Meafou, estampillé Stade Toulousain, était attendu avec impatience par le staff des Bleus en deuxième ligne. Mais Emmanuel Meafou, le colosse d'origine australienne (2,03 m, 145 kg), s'est blessé au genou droit le week-end suivant sa première convocation.
À la place, il a fallu bricoler avec Paul Willemse, suspendu quatre semaines après son carton rouge contre l'Irlande à Marseille, Cameron Woki et Paul Gabrillagues. Seule satisfaction : les performances remarquées du phénomène Posolo Tuilagi (19 ans). Le retour sur le pré de Meafou est lui aussi espéré ce week-end. Si c'est le cas, le staff des Bleus serait tenté de convoquer la paire Flament-Meafou pour le déplacement à Cardiff.
L'ombre de Ntamack
Dernière absence de marque, et pas des moindres, celle de Romain Ntamack, opéré d'une rupture du ligament croisé du genou gauche juste avant la Coupe du monde. À la suite de la défaite inaugurale face à l'Irlande début février (17-38), l'ombre de l'ouvreur toulousain, numéro 1 dans la hiérarchie, avait déjà flotté. Notamment au regard des failles défensives de Matthieu Jalibert.
Force est de constater que malgré tout son talent, le demi d'ouverture de l'UBB (33 sélections) n'a pas profité de l'absence de son concurrent pour s'imposer chez les Bleus. Pour ne rien arranger à ses affaires, Jalibert s'est blessé au genou gauche après trente minutes de jeu face à l'Italie. Il sera absent au moins six semaines et son Tournoi est terminé.
Quand on connaît l'importance de Ntamack dans l'esprit de Fabien Galthié, on imagine facilement que le Toulousain retrouvera sa tunique floquée du numéro 10 à l'automne prochain (réceptions du Japon, de la Nouvelle-Zélande et de l'Argentine). On se souvient des images du sélectionneur, les larmes aux yeux et des trémolos dans la voix, annoncer le forfait de « NTK » pour la Coupe du monde. Pour Galthié, perdre Ntamack était aussi préjudiciable, voire plus, que de perdre Dupont. C'est dire...
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Fabien-galthie-a-t-il-ete-trop-conservateur-depuis-le-debut-du-tournoi/1451310
Fabien Galthié, le sélectionneur des Bleus, a-t-il été trop conservateur depuis le début du Tournoi ?
Beaucoup regrettent que le sélectionneur français Fabien Galthié n'ait pas profité de ce premier Tournoi d'un nouveau cycle pour renouveler davantage ses compositions d'équipe, autrement que sous la contrainte. Ce débat est tout sauf binaire.
Frédéric Bernès
Fabien Galthié n'est pas Nikos Aliagas ni Denis Brogniart. C'est lui qui nous l'a rappelé avant France-Italie (13-13), en répondant à une question tournant autour de sa supposée réticence à lancer certains jeunes dans ce Tournoi de cicatrisation (par exemple titulariser Le Garrec, Gailleton, Depoortere...).
« On entend ceux qui disent qu'il faudrait changer, précisait-il vendredi dernier. Mais le rugby, ce n'est pas la Star Academy, ce n'est pas Koh-Lanta. Certains ont 40, 60 ou 80 sélections (...), ils ont droit d'être moins forts individuellement. On pourrait d'ailleurs s'amuser à regarder l'effet des turnovers massifs. Ce n'est pas ce en quoi on croit. Mais le turnover se fait quand même, doucement. Paul Boudehent commence (parce que Grégory Alldritt était sur le carreau pour l'Italie), Posolo Tuilagi aussi. Deux nouvelles titularisations, ce n'est pas rien. Pour le reste, c'est la méritocratie. »
Dimanche soir, après le nul contre l'Italie, le sujet est revenu sur la table du sélectionneur : « Sur les hommes, ça bouge quand même. Entre la composition du quart de finale du Mondial et aujourd'hui (contre l'Italie), ça a bougé, en raison des circonstances. Ce qui prédomine dans notre façon de travailler, c'est la cohérence et on va continuer comme ça. »
Dans le choix des hommes, nous avons unanimement reconnu à Galthié le mérite d'avoir tourné le dos aux politiques de sélection inspirées par l'air du temps, le sens du vent ou une paire d'essais en Top 14 le week-end d'avant. Toute la question est de savoir si la redescente, physique et mentale, après l'élimination en quarts de finale de la Coupe du monde (29-28 face à l'Afrique du Sud) aurait dû inciter, dès ce Tournoi, le staff à anticiper et amplifier certaines rotations.
Galthié prisonnier de son discours ?
À écouter Galthié ces derniers jours, il n'a jamais envisagé de prendre ce chemin. Tout comme il s'est toujours dit convaincu que les mêmes profils de joueurs pouvaient aussi bien convenir à la dépossession (2020-2022) qu'à la repossession (2023). Certains voient de l'entêtement dans ce que lui appelle cohérence. Et se demandent si Galthié n'est pas devenu prisonnier de son propre discours, à partir du moment où il a annoncé avant le Tournoi « ambitionner d'emmener 80-90 % de ces joueurs (ceux de la Coupe du monde 2023) au Mondial en 2027. »
Il le disait déjà en novembre lorsqu'il parlait de l'apogée programmé de son groupe pour le Mondial 2027, « puisqu'on est partis en 2020 d'un groupe à 24 ans et 8 sélections en moyenne, qu'il se situait à 27 ans et 33 sélections contre l'Afrique du Sud en 2023 et qu'on peut espérer qu'il soit à 31 ans et 60 sélections au prochain Mondial. »
En raisonnant ainsi, Galthié se coupe-t-il d'une autre réalité ? Pour ce Tournoi, il avait prévu de lancer Emmanuel Meafou (blessé) et il a lancé Posolo Tuilagi. Il a aussi donné ses premières sélections à Nolann Le Garrec, Alexandre Roumat et Esteban Abadie. Aurait-il dû aller plus loin, sans attendre que les circonstances (blessures, cartons rouges ou bifurcation à 7 de Dupont) décident pour lui ?
Le coeur du débat concerne les 10-20 % de joueurs dont la présence à la prochaine Coupe du monde soulève dès aujourd'hui un point d'interrogation, parce que les années passent et qu'ils ont beaucoup tiré sur la corde. Certains anciens membres du staff des Bleus auraient trouvé judicieux de laisser souffler « des garçons comme Baille, Romain Taofifenua, Atonio, Danty, Fickou ».
Le besoin de régénération a-t-il été sous-estimé chez certains cadres ? Ou pas évalué aussi précisément qu'avant ? C'est une vraie question. On peut aussi supposer que Galthié qui, contrairement à son confrère irlandais Andy Farrell, devait intégrer deux nouveaux adjoints (Patrick Arlettaz et Laurent Sempéré), ait voulu se rassurer, et les rassurer, en n'ajoutant pas trop d'inédit d'un coup.
Le Tournoi n'est pas un tremplin
En choisissant « la continuité » comme piste d'atterrissage et de redécollage, il s'assure aussi le soutien de voix qui comptent et qui sauront lui témoigner en retour. Pendant ce Tournoi des Six Nations, Gaël Fickou et Charles Ollivon ont déjà exprimé leur reconnaissance au sélectionneur.
« Fabien était adjoint au Mondial 2019 et il n'avait pas hésité à attaquer son mandat au Tournoi 2020 sans Médard, Huget, Picamoles, Lopez, Lauret, Slimani, rappelle un manager de Top 14. Sans doute a-t-il cru que, pour repartir de l'avant en gagnant ce Tournoi, il fallait innover le moins possible. Les Irlandais non plus n'ont pas innové mais leurs joueurs sont bien moins usés par leur Championnat. »
Depuis sa prise de fonction, Galthié a dissocié deux temps : celui de l'équipe premium (tournée de novembre et Tournoi) et celui des « découvertes » (tournée d'été). Cela n'a pas empêché l'émergence de talents durables. Il a rarement utilisé le Tournoi comme un tremplin et il serait très étonnant qu'il s'y essaye maintenant, alors que le contexte est à la sinistrose et que cette équipe navigue sans boussole.
En tirant ce fil, on peut imaginer que pour remplacer Jonathan Danty (suspendu) et Matthieu Jalibert (blessé) à Cardiff dans onze jours, le sélectionneur s'orienterait plus naturellement vers le repositionnement de Thomas Ramos à l'ouverture (plutôt que Gibert ou Hastoy), le rappel de Melvyn Jaminet à l'arrière (plutôt que Barré) et le retour à la paire Moefana-Fickou (cinq associations communes dont le match d'ouverture du Mondial remporté contre les All Blacks), plus crédible que l'arrivée de Nicolas Depoortere, Émilien Gailleton ou un autre.
Fabien Galthié, le sélectionneur des Bleus, a-t-il été trop conservateur depuis le début du Tournoi ?
Beaucoup regrettent que le sélectionneur français Fabien Galthié n'ait pas profité de ce premier Tournoi d'un nouveau cycle pour renouveler davantage ses compositions d'équipe, autrement que sous la contrainte. Ce débat est tout sauf binaire.
Frédéric Bernès
Fabien Galthié n'est pas Nikos Aliagas ni Denis Brogniart. C'est lui qui nous l'a rappelé avant France-Italie (13-13), en répondant à une question tournant autour de sa supposée réticence à lancer certains jeunes dans ce Tournoi de cicatrisation (par exemple titulariser Le Garrec, Gailleton, Depoortere...).
« On entend ceux qui disent qu'il faudrait changer, précisait-il vendredi dernier. Mais le rugby, ce n'est pas la Star Academy, ce n'est pas Koh-Lanta. Certains ont 40, 60 ou 80 sélections (...), ils ont droit d'être moins forts individuellement. On pourrait d'ailleurs s'amuser à regarder l'effet des turnovers massifs. Ce n'est pas ce en quoi on croit. Mais le turnover se fait quand même, doucement. Paul Boudehent commence (parce que Grégory Alldritt était sur le carreau pour l'Italie), Posolo Tuilagi aussi. Deux nouvelles titularisations, ce n'est pas rien. Pour le reste, c'est la méritocratie. »
Dimanche soir, après le nul contre l'Italie, le sujet est revenu sur la table du sélectionneur : « Sur les hommes, ça bouge quand même. Entre la composition du quart de finale du Mondial et aujourd'hui (contre l'Italie), ça a bougé, en raison des circonstances. Ce qui prédomine dans notre façon de travailler, c'est la cohérence et on va continuer comme ça. »
Dans le choix des hommes, nous avons unanimement reconnu à Galthié le mérite d'avoir tourné le dos aux politiques de sélection inspirées par l'air du temps, le sens du vent ou une paire d'essais en Top 14 le week-end d'avant. Toute la question est de savoir si la redescente, physique et mentale, après l'élimination en quarts de finale de la Coupe du monde (29-28 face à l'Afrique du Sud) aurait dû inciter, dès ce Tournoi, le staff à anticiper et amplifier certaines rotations.
Galthié prisonnier de son discours ?
À écouter Galthié ces derniers jours, il n'a jamais envisagé de prendre ce chemin. Tout comme il s'est toujours dit convaincu que les mêmes profils de joueurs pouvaient aussi bien convenir à la dépossession (2020-2022) qu'à la repossession (2023). Certains voient de l'entêtement dans ce que lui appelle cohérence. Et se demandent si Galthié n'est pas devenu prisonnier de son propre discours, à partir du moment où il a annoncé avant le Tournoi « ambitionner d'emmener 80-90 % de ces joueurs (ceux de la Coupe du monde 2023) au Mondial en 2027. »
Il le disait déjà en novembre lorsqu'il parlait de l'apogée programmé de son groupe pour le Mondial 2027, « puisqu'on est partis en 2020 d'un groupe à 24 ans et 8 sélections en moyenne, qu'il se situait à 27 ans et 33 sélections contre l'Afrique du Sud en 2023 et qu'on peut espérer qu'il soit à 31 ans et 60 sélections au prochain Mondial. »
En raisonnant ainsi, Galthié se coupe-t-il d'une autre réalité ? Pour ce Tournoi, il avait prévu de lancer Emmanuel Meafou (blessé) et il a lancé Posolo Tuilagi. Il a aussi donné ses premières sélections à Nolann Le Garrec, Alexandre Roumat et Esteban Abadie. Aurait-il dû aller plus loin, sans attendre que les circonstances (blessures, cartons rouges ou bifurcation à 7 de Dupont) décident pour lui ?
Le coeur du débat concerne les 10-20 % de joueurs dont la présence à la prochaine Coupe du monde soulève dès aujourd'hui un point d'interrogation, parce que les années passent et qu'ils ont beaucoup tiré sur la corde. Certains anciens membres du staff des Bleus auraient trouvé judicieux de laisser souffler « des garçons comme Baille, Romain Taofifenua, Atonio, Danty, Fickou ».
Le besoin de régénération a-t-il été sous-estimé chez certains cadres ? Ou pas évalué aussi précisément qu'avant ? C'est une vraie question. On peut aussi supposer que Galthié qui, contrairement à son confrère irlandais Andy Farrell, devait intégrer deux nouveaux adjoints (Patrick Arlettaz et Laurent Sempéré), ait voulu se rassurer, et les rassurer, en n'ajoutant pas trop d'inédit d'un coup.
Le Tournoi n'est pas un tremplin
En choisissant « la continuité » comme piste d'atterrissage et de redécollage, il s'assure aussi le soutien de voix qui comptent et qui sauront lui témoigner en retour. Pendant ce Tournoi des Six Nations, Gaël Fickou et Charles Ollivon ont déjà exprimé leur reconnaissance au sélectionneur.
« Fabien était adjoint au Mondial 2019 et il n'avait pas hésité à attaquer son mandat au Tournoi 2020 sans Médard, Huget, Picamoles, Lopez, Lauret, Slimani, rappelle un manager de Top 14. Sans doute a-t-il cru que, pour repartir de l'avant en gagnant ce Tournoi, il fallait innover le moins possible. Les Irlandais non plus n'ont pas innové mais leurs joueurs sont bien moins usés par leur Championnat. »
Depuis sa prise de fonction, Galthié a dissocié deux temps : celui de l'équipe premium (tournée de novembre et Tournoi) et celui des « découvertes » (tournée d'été). Cela n'a pas empêché l'émergence de talents durables. Il a rarement utilisé le Tournoi comme un tremplin et il serait très étonnant qu'il s'y essaye maintenant, alors que le contexte est à la sinistrose et que cette équipe navigue sans boussole.
En tirant ce fil, on peut imaginer que pour remplacer Jonathan Danty (suspendu) et Matthieu Jalibert (blessé) à Cardiff dans onze jours, le sélectionneur s'orienterait plus naturellement vers le repositionnement de Thomas Ramos à l'ouverture (plutôt que Gibert ou Hastoy), le rappel de Melvyn Jaminet à l'arrière (plutôt que Barré) et le retour à la paire Moefana-Fickou (cinq associations communes dont le match d'ouverture du Mondial remporté contre les All Blacks), plus crédible que l'arrivée de Nicolas Depoortere, Émilien Gailleton ou un autre.
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Encore une fois, après j'arrête… Les génies de la presse qui continuent de viser MJ, etc. semblent avoir complètement oublié les 60 points contre l'Italie cet automne avec la même charnière que celle qui est vilipendée aujourd'hui, mais aussi les autres matchs de la Coupe du Monde, les différents matchs réalisés sans Dupont et Ntamack de ces 4 dernières années, les matchs avec pléthore de jeunes (comme ce match contre l'Angleterre à l'automne 2020, avec la charnière Couiloud / MJ, 1ère sélection de Yoram et d'autres jeunes, etc.).
Ça ne leur viendrait pas à l'idée que le pb est ailleurs ?
🥱🥱
Ça ne leur viendrait pas à l'idée que le pb est ailleurs ?
🥱🥱
_________________
« Si le seul outil que vous avez est un marteau, vous tendez à voir tout problème comme un clou. » Abraham Maslow
« You can't kill what you can't see. » The Last Poets
« Il est plus facile de tromper les gens, que de les convaincre qu’ils ont été trompés. » Mark Twain
biscouette- Centre de presse
- Nombre de messages : 3040
Localisation : Paris (et Bordeaux)
Date d'inscription : 08/01/2016
Humeur : « En ce moment, quand je vois les solutions aux problèmes, je me dis que juste le problème, c’est mieux. » Grégoire Quartier
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
XV de France - "Galthié doit être nerveux en ce moment" : Brian O'Driscoll assume ses critiques contre le sélectionneur des Bleus
https://www.rugbyrama.fr/2024/02/28/xv-de-france-galthie-doit-etre-nerveux-en-ce-moment-brian-odriscoll-assume-ses-critiques-contre-le-selectionneur-des-bleus-11793691.php
https://www.rugbyrama.fr/2024/02/28/xv-de-france-galthie-doit-etre-nerveux-en-ce-moment-brian-odriscoll-assume-ses-critiques-contre-le-selectionneur-des-bleus-11793691.php
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Chez-les-bleus-les-absents-n-ont-pas-toujours-tort/1451323
Chez les Bleus, les absents n'ont pas toujours tort
Si l'absence d'Antoine Dupont pèse lourd, l'équipe de France est également amputée de nombreux cadres à des postes stratégiques. Ce qui explique aussi ses difficultés actuelles.
Maxime Raulin
« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé... » Cette célèbre citation tirée d'un poème d'Alphonse de Lamartine ne sied pas à l'équipe de France. Ce serait trop réducteur, et même trop facile, d'imputer la dégringolade tricolore à la seule absence du demi de mêlée Antoine Dupont. Comme évoqué dans nos colonnes hier, elle pèse, forcément, mais pas que...
« Dupont (France 7), plus Alldritt (cuisse), plus Ntamack (genou), plus Marchand (remplaçant), plus Flament (pied) et aussi ton deuxième-ligne pousseur que tu cherches encore, ça fait, mine de rien, un tiers de l'équipe type », soulignait notre consultant Jean-Baptiste Élissalde.
Face à l'Italie dimanche dernier (13-13), le numéro 8 Grégory Alldritt, victime d'une plaie à la cuisse lors de la victoire en Écosse (douze points de suture), était lui aussi absent. Mais le nouveau capitaine des Bleus sera sur pied pour le déplacement au pays de Galles (dimanche 10 mars, 16 heures). Si l'ex-demi de mêlée international (35 sélections) cite Julien Marchand, c'est que le talonneur, trois fois remplaçant depuis le début du Tournoi, n'a pas retrouvé son meilleur niveau. Blessé en début de Coupe du monde (ischio-jambiers), le Toulousain a mis quatre mois pour retrouver la compétition, juste avant le début du Tournoi. Il est encore en rodage.
Dans le même temps, son suppléant Peato Mauvaka est moins flamboyant que durant le Mondial. Thibaud Flament traîne, lui, une blessure à un pied depuis mi-décembre. Il devrait retrouver la compétition ce week-end avec le Stade Toulousain en Top 14. Le deuxième-ligne, véritable décathlonien, capable d'enchaîner une multitude de tâches durant 80 minutes, était devenu une pièce maîtresse des Bleus depuis deux ans.
Meafou espéré ce week-end... et pour Cardiff
On pourrait facilement ajouter à cette liste des absents qui comptent Anthony Jelonch, victime d'une rupture du ligament croisé du genou droit le 21 janvier, dont l'abattage et la rudesse manquent aux Bleus. Sans oublier que l'attelage Flament-Meafou, estampillé Stade Toulousain, était attendu avec impatience par le staff des Bleus en deuxième ligne. Mais Emmanuel Meafou, le colosse d'origine australienne (2,03 m, 145 kg), s'est blessé au genou droit le week-end suivant sa première convocation.
À la place, il a fallu bricoler avec Paul Willemse, suspendu quatre semaines après son carton rouge contre l'Irlande à Marseille, Cameron Woki et Paul Gabrillagues. Seule satisfaction : les performances remarquées du phénomène Posolo Tuilagi (19 ans). Le retour sur le pré de Meafou est lui aussi espéré ce week-end. Si c'est le cas, le staff des Bleus serait tenté de convoquer la paire Flament-Meafou pour le déplacement à Cardiff.
L'ombre de Ntamack
Dernière absence de marque, et pas des moindres, celle de Romain Ntamack, opéré d'une rupture du ligament croisé du genou gauche juste avant la Coupe du monde. À la suite de la défaite inaugurale face à l'Irlande début février (17-38), l'ombre de l'ouvreur toulousain, numéro 1 dans la hiérarchie, avait déjà flotté. Notamment au regard des failles défensives de Matthieu Jalibert.
Force est de constater que malgré tout son talent, le demi d'ouverture de l'UBB (33 sélections) n'a pas profité de l'absence de son concurrent pour s'imposer chez les Bleus. Pour ne rien arranger à ses affaires, Jalibert s'est blessé au genou gauche après trente minutes de jeu face à l'Italie. Il sera absent au moins six semaines et son Tournoi est terminé.
Quand on connaît l'importance de Ntamack dans l'esprit de Fabien Galthié, on imagine facilement que le Toulousain retrouvera sa tunique floquée du numéro 10 à l'automne prochain (réceptions du Japon, de la Nouvelle-Zélande et de l'Argentine). On se souvient des images du sélectionneur, les larmes aux yeux et des trémolos dans la voix, annoncer le forfait de « NTK » pour la Coupe du monde. Pour Galthié, perdre Ntamack était aussi préjudiciable, voire plus, que de perdre Dupont. C'est dire...
Maxime Raulin devrait travailler à CNEWS, le média qui fait l'opinion...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 6462
Localisation : à l'arrière des taxis...
Date d'inscription : 17/02/2019
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Chez-les-bleus-les-absents-n-ont-pas-toujours-tort/1451323
Chez les Bleus, les absents n'ont pas toujours tort
Si l'absence d'Antoine Dupont pèse lourd, l'équipe de France est également amputée de nombreux cadres à des postes stratégiques. Ce qui explique aussi ses difficultés actuelles.
Maxime Raulin
« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé... » Cette célèbre citation tirée d'un poème d'Alphonse de Lamartine ne sied pas à l'équipe de France. Ce serait trop réducteur, et même trop facile, d'imputer la dégringolade tricolore à la seule absence du demi de mêlée Antoine Dupont. Comme évoqué dans nos colonnes hier, elle pèse, forcément, mais pas que...
« Dupont (France 7), plus Alldritt (cuisse), plus Ntamack (genou), plus Marchand (remplaçant), plus Flament (pied) et aussi ton deuxième-ligne pousseur que tu cherches encore, ça fait, mine de rien, un tiers de l'équipe type », soulignait notre consultant Jean-Baptiste Élissalde.
Face à l'Italie dimanche dernier (13-13), le numéro 8 Grégory Alldritt, victime d'une plaie à la cuisse lors de la victoire en Écosse (douze points de suture), était lui aussi absent. Mais le nouveau capitaine des Bleus sera sur pied pour le déplacement au pays de Galles (dimanche 10 mars, 16 heures). Si l'ex-demi de mêlée international (35 sélections) cite Julien Marchand, c'est que le talonneur, trois fois remplaçant depuis le début du Tournoi, n'a pas retrouvé son meilleur niveau. Blessé en début de Coupe du monde (ischio-jambiers), le Toulousain a mis quatre mois pour retrouver la compétition, juste avant le début du Tournoi. Il est encore en rodage.
Dans le même temps, son suppléant Peato Mauvaka est moins flamboyant que durant le Mondial. Thibaud Flament traîne, lui, une blessure à un pied depuis mi-décembre. Il devrait retrouver la compétition ce week-end avec le Stade Toulousain en Top 14. Le deuxième-ligne, véritable décathlonien, capable d'enchaîner une multitude de tâches durant 80 minutes, était devenu une pièce maîtresse des Bleus depuis deux ans.
Meafou espéré ce week-end... et pour Cardiff
On pourrait facilement ajouter à cette liste des absents qui comptent Anthony Jelonch, victime d'une rupture du ligament croisé du genou droit le 21 janvier, dont l'abattage et la rudesse manquent aux Bleus. Sans oublier que l'attelage Flament-Meafou, estampillé Stade Toulousain, était attendu avec impatience par le staff des Bleus en deuxième ligne. Mais Emmanuel Meafou, le colosse d'origine australienne (2,03 m, 145 kg), s'est blessé au genou droit le week-end suivant sa première convocation.
À la place, il a fallu bricoler avec Paul Willemse, suspendu quatre semaines après son carton rouge contre l'Irlande à Marseille, Cameron Woki et Paul Gabrillagues. Seule satisfaction : les performances remarquées du phénomène Posolo Tuilagi (19 ans). Le retour sur le pré de Meafou est lui aussi espéré ce week-end. Si c'est le cas, le staff des Bleus serait tenté de convoquer la paire Flament-Meafou pour le déplacement à Cardiff.
L'ombre de Ntamack
Dernière absence de marque, et pas des moindres, celle de Romain Ntamack, opéré d'une rupture du ligament croisé du genou gauche juste avant la Coupe du monde. À la suite de la défaite inaugurale face à l'Irlande début février (17-38), l'ombre de l'ouvreur toulousain, numéro 1 dans la hiérarchie, avait déjà flotté. Notamment au regard des failles défensives de Matthieu Jalibert.
Force est de constater que malgré tout son talent, le demi d'ouverture de l'UBB (33 sélections) n'a pas profité de l'absence de son concurrent pour s'imposer chez les Bleus. Pour ne rien arranger à ses affaires, Jalibert s'est blessé au genou gauche après trente minutes de jeu face à l'Italie. Il sera absent au moins six semaines et son Tournoi est terminé.
Quand on connaît l'importance de Ntamack dans l'esprit de Fabien Galthié, on imagine facilement que le Toulousain retrouvera sa tunique floquée du numéro 10 à l'automne prochain (réceptions du Japon, de la Nouvelle-Zélande et de l'Argentine). On se souvient des images du sélectionneur, les larmes aux yeux et des trémolos dans la voix, annoncer le forfait de « NTK » pour la Coupe du monde. Pour Galthié, perdre Ntamack était aussi préjudiciable, voire plus, que de perdre Dupont. C'est dire...
Maxime Raulin devrait travailler à CNEWS, le média qui fait l'opinion...
Beurkkk
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
biscouette a écrit:Encore une fois, après j'arrête… Les génies de la presse qui continuent de viser MJ, etc. semblent avoir complètement oublié les 60 points contre l'Italie cet automne avec la même charnière que celle qui est vilipendée aujourd'hui, mais aussi les autres matchs de la Coupe du Monde, les différents matchs réalisés sans Dupont et Ntamack de ces 4 dernières années, les matchs avec pléthore de jeunes (comme ce match contre l'Angleterre à l'automne 2020, avec la charnière Couiloud / MJ, 1ère sélection de Yoram et d'autres jeunes, etc.).
Ça ne leur viendrait pas à l'idée que le pb est ailleurs ?
🥱🥱
Tu peux rajouter le match d'ouverture contre les Blacks...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 6462
Localisation : à l'arrière des taxis...
Date d'inscription : 17/02/2019
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Tu m'étonnes…Dr. Gregory Bouse a écrit:Maxime Raulin devrait travailler à CNEWS, le média qui fait l'opinion...
Et avec tout ça, ils sont en train de préparer une pression de dingue pour ceux qui arrivent, y compris Dupont et Ntk, mais à qui probablement tout sera pardonné… Car après avoir fait de leurs absences les principales causes de l'échec, ils ne seront pas capables de se remettre en question si les deux concernés en venaient à foirer complètement leurs matchs l'automne prochain.
_________________
« Si le seul outil que vous avez est un marteau, vous tendez à voir tout problème comme un clou. » Abraham Maslow
« You can't kill what you can't see. » The Last Poets
« Il est plus facile de tromper les gens, que de les convaincre qu’ils ont été trompés. » Mark Twain
biscouette- Centre de presse
- Nombre de messages : 3040
Localisation : Paris (et Bordeaux)
Date d'inscription : 08/01/2016
Humeur : « En ce moment, quand je vois les solutions aux problèmes, je me dis que juste le problème, c’est mieux. » Grégoire Quartier
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Oui oui, je l'incluais dans les autres matchs de la Coupe du Monde…Dr. Gregory Bouse a écrit:biscouette a écrit:Encore une fois, après j'arrête… Les génies de la presse qui continuent de viser MJ, etc. semblent avoir complètement oublié les 60 points contre l'Italie cet automne avec la même charnière que celle qui est vilipendée aujourd'hui, mais aussi les autres matchs de la Coupe du Monde, les différents matchs réalisés sans Dupont et Ntamack de ces 4 dernières années, les matchs avec pléthore de jeunes (comme ce match contre l'Angleterre à l'automne 2020, avec la charnière Couiloud / MJ, 1ère sélection de Yoram et d'autres jeunes, etc.).
Ça ne leur viendrait pas à l'idée que le pb est ailleurs ?
🥱🥱
Tu peux rajouter le match d'ouverture contre les Blacks...
Aucun journaliste n'a évoqué dernièrement ces matchs et notamment la partie que MJ a réalisée face aux AB…
_________________
« Si le seul outil que vous avez est un marteau, vous tendez à voir tout problème comme un clou. » Abraham Maslow
« You can't kill what you can't see. » The Last Poets
« Il est plus facile de tromper les gens, que de les convaincre qu’ils ont été trompés. » Mark Twain
biscouette- Centre de presse
- Nombre de messages : 3040
Localisation : Paris (et Bordeaux)
Date d'inscription : 08/01/2016
Humeur : « En ce moment, quand je vois les solutions aux problèmes, je me dis que juste le problème, c’est mieux. » Grégoire Quartier
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
biscouette a écrit:Oui oui, je l'incluais dans les autres matchs de la Coupe du Monde…Dr. Gregory Bouse a écrit:biscouette a écrit:Encore une fois, après j'arrête… Les génies de la presse qui continuent de viser MJ, etc. semblent avoir complètement oublié les 60 points contre l'Italie cet automne avec la même charnière que celle qui est vilipendée aujourd'hui, mais aussi les autres matchs de la Coupe du Monde, les différents matchs réalisés sans Dupont et Ntamack de ces 4 dernières années, les matchs avec pléthore de jeunes (comme ce match contre l'Angleterre à l'automne 2020, avec la charnière Couiloud / MJ, 1ère sélection de Yoram et d'autres jeunes, etc.).
Ça ne leur viendrait pas à l'idée que le pb est ailleurs ?
🥱🥱
Tu peux rajouter le match d'ouverture contre les Blacks...
Aucun journaliste n'a évoqué dernièrement ces matchs et notamment la partie que MJ a réalisée face aux AB…
1/ ce ne sont pas des journalistes
2/ "qui vaut abattre son chien l'accuse d'avoir la rage"...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 6462
Localisation : à l'arrière des taxis...
Date d'inscription : 17/02/2019
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
XV de France : Exit Lucu, la charnière que souhaitent Moscato et Charvet
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france-exit-lucu-la-charniere-que-souhaitent-moscato-et-charvet_VN-202402280693.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france-exit-lucu-la-charniere-que-souhaitent-moscato-et-charvet_VN-202402280693.html
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
D’accord avec Moscato…Max sur le banc jusqu’à la fin du tournoi et il nous revient tout frais
gael33- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 394
Localisation : Pessac
Date d'inscription : 07/06/2013
Age : 47
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Le jour où Galthié sera vraiment en danger, parce qu'il a encore de la marge, ce sera la curée…, on va attendre le retour de Dupont/NTK, et voir si Galthié arrive à se sortir de son trou.
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Les-verites-de-patrick-arlettaz-apres-le-debut-de-tournoi-complique-des-bleus/1451552
Les vérités de Patrick Arlettaz après le début de Tournoi compliqué des Bleus
Quatre jours après le match nul des Bleus contre l'Italie, le nouvel entraîneur de l'attaque a accepté de revenir sur un début de Tournoi compliqué. Il pointe un manque de fraîcheur physique et mentale chez les joueurs, sans exonérer les responsabilités du staff.
Romain Bergogne, à Saint-Hippolyte (Pyrénées-Orientales)
En ce milieu de semaine off pour les Bleus, Patrick Arlettaz nous a accueilli ce mercredi après-midi chez lui, dans sa chère Catalogne, où les rafales de tramontane étaient fidèles au rendez-vous. Ça souffle aussi fort autour de l'équipe de France après un début de Tournoi compliqué, que le match nul contre l'Italie dimanche dernier à Villeneuve-d'Ascq (13-13) n'a pas arrangé.
Le nouvel entraîneur de l'attaque des Bleus s'est replongé dans le match la veille au soir. En ressort surtout une frustration sur le manque d'efficacité en première période avec toutes ces occasions gâchées près de la ligne italienne, qui auraient pu changer la face du match. Arrivé dans le staff après la Coupe du monde, Arlettaz assume sa part de responsabilité dans les difficultés, mais se veut combatif pour la suite, espérant que ce passage compliqué permettra aux Bleus de revenir plus forts. Si possible à Cardiff dans dix jours.
Les difficultés dans le jeu
« Être plus rapide dans notre jeu sans ballon »
Animation offensive brouillonne, retards au soutien, difficultés de placements dans les structures de jeu, notamment les blocs d'avants... Le match contre l'Italie n'a pas rassuré, loin de là, sur des problèmes offensifs déjà visibles contre l'Irlande à Marseille (défaite 17-38) et lors de la victoire en Écosse (16-20). « Contre l'Italie, on est trop impatients près des lignes alors que le premier essai est bien construit, estime Patrick Arlettaz. Quand vous manquez de confiance, vous avez envie de très vite marquer, pour vous mettre à l'abri et vous libérer. Là, c'est l'effet casino : vous voulez gagner ce que vous avez perdu, mais vous vous précipitez et vous perdez le double, vous voulez vous rattraper et ainsi de suite... Sur les zones de marque, on a mis les choses à l'envers et ça a donné ce déchet, ce gâchis. »
La charnière Lucu-Jalibert et ses trois-quarts ont autant de responsabilités selon Arlettaz - « ils n'ont pas fait de très bons matches et nous, le staff, on n'a pas su les mettre dans les meilleures dispositions » - que des avants sans gaz - « si vous êtes le chef d'orchestre et que vous n'avez que des mauvais violons, le concert n'est pas super réussi ».
« On n'a pas changé le projet de jeu, on leur demande la même chose qu'avant mais on a du mal à très vite se mettre en place, analyse Arlettaz. Il manque devant ce dynamisme, cet enthousiasme pour être bien et vite placé et faire vivre notre animation. On est en retard et il faut éveiller tout le groupe sur la nécessité de faire les choses plus vite. Les joueurs doivent en prendre conscience, et dans le staff, on doit les aider pour faire en sorte que pendant les entraînements, on soit très clairs sur les attendus. On doit tous faire beaucoup mieux. On doit être plus rapides et plus actifs dans notre jeu sans ballon. Tout n'est pas à jeter : contre l'Italie, les choses avaient été faites dans l'ordre en première période pour les dominer. Vous ne passez pas 35 minutes dans leur camp italien par hasard. Maintenant, il faut trouver comment faire mieux pour marquer. »
La tête et les jambes
« Pas suffisamment de fraîcheur et de spontanéité »
Patrick Arlettaz associe les difficultés physiques et mentales des Bleus sur ce début de Tournoi : « Le mental joue sur le physique, et inversement. » Pour les cadres qui ont fini la saison de Top 14 fin juin, enchaîné sur une longue préparation de Coupe du monde puis de nombreux matches en bleu et en Top 14, le coup de mou physique semble humain, même si l'écart de tonus a surpris en interne contre l'Irlande.
« Certains joueurs ont été beaucoup sollicités, il faut une certaine fraîcheur pour enchaîner les tâches au très haut niveau et elle manque, c'est une réalité, poursuit le Catalan. Elle manque physiquement, ce qui peut expliquer ce petit retard dans tout ce qu'on fait, mais aussi mentalement. »
Arlettaz n'a pas vécu directement le traumatisme de l'élimination à domicile en quarts de finale de la Coupe du monde contre l'Afrique du Sud (28-29, le 15 octobre), il reconnaît avoir eu du mal à palper la gestion de cette déception avant le Tournoi. « Dans le jeu, on arrive à être cohérents mais on n'a pas suffisamment de fraîcheur et de spontanéité, avoue-t-il. Attention, cette équipe n'est pas malade mais on sent que le doute est notre plus gros ennemi. Si vous hésitez une demi-seconde, vous avez neuf chances sur dix de ne pas prendre la bonne décision à ce niveau. En ce moment, c'est ce qu'on fait. On a ces petites hésitations alors que les situations semblent claires d'en haut. Il faut retrouver de la confiance pour que ça redevienne naturel. Le staff, moi le premier, il faut que, pendant la semaine, on soit capables de mettre dans le contenu des séances ce petit plus qui va leur permettre de faire le bon choix en une demi-seconde, sans hésiter. L'équipe de France doit être plus forte que ça et on le sera sans doute. »
Sa situation
« Je ne suis pas abattu »
Nouveau membre du staff et responsable d'une attaque en difficulté (seulement cinq essais marqués depuis le début du Tournoi), Patrick Arlettaz n'a pas vécu des débuts rêvés en équipe de France. « Ce n'est jamais très agréable, reconnaît l'ancien manager de Perpignan. Mais je ne suis pas abattu. Je sais que ça passera par du travail. On a notre rôle à jouer, chacun, dans la construction d'une bonne dynamique et je me projette dans le travail pour la construire. Si on s'en sort, c'est que j'aurai eu un rôle là-dedans. La difficulté ne me fait pas peur, ça ne veut pas dire que je l'apprécie mais je veux m'en nourrir et la surpasser pour devenir plus fort. Peut-être qu'il faut d'ailleurs que toute l'équipe en passe par là, pour devenir plus forte. »
Sa voix rocailleuse et son ton parfois cash animeront avec la même énergie les prochaines séances d'entraînement à Marcoussis. « Là-dessus, je n'ai pas changé, en sourit Arlettaz. Je ne vais pas être trop différent parce que je suis en équipe de France. C'est une super expérience, les joueurs ont été merveilleux pour m'accueillir. Maintenant, on est dans la difficulté tous ensemble et on va s'en sortir tous ensemble. Moi, je ne les abandonnerai pas. »
La suite du Tournoi
« Sentir une amélioration sur les deux derniers matches »
Avec un déplacement au pays de Galles (le 10 mars) et la réception de l'Angleterre (16 mars) au menu, les Bleus s'attendent à deux matches compliqués pour conclure le Tournoi. « On a réussi à se remobiliser entre l'Irlande et l'Écosse, poursuit Arlettaz. Il va falloir le refaire entre l'Italie et le pays de Galles et ensuite conserver de la confiance pour l'Angleterre. On a un groupe très fort, compétiteur, solide face aux critiques, on l'a vu lors de la semaine de l'Écosse. On est bien conscients qu'on ne pourra pas retrouver de la fraîcheur en quinze jours mais on doit mieux faire les choses, mieux s'entraîner. Il faut qu'on sente une amélioration sur les deux matches qui arrivent pour se projeter vers une dynamique nouvelle et balayer ce passage difficile. »
Y a-t-il urgence à gagner ? « On l'a toujours en équipe de France, certifie Arlettaz. Et encore, ça ne suffit pas si on se fie aux commentaires après l'Écosse. On aura une semaine de préparation, il faut lancer une dynamique positive dès lundi pour qu'on ait un match avec un contenu intéressant au pays de Galles. Et si on a un contenu intéressant, on ne sera pas loin de la victoire. »
Le staff des Bleus a prévu de se réunir aujourd'hui pour dessiner le groupe qui préparera le voyage à Cardiff. Où il faudra faire sans l'ouvreur Matthieu Jalibert, blessé au genou gauche face à l'Italie, ni le centre Jonathan Danty, suspendu. L'arrière Thomas Ramos tient la corde pour passer à l'ouverture. Qui au poste de premier centre ? Qui à l'arrière ?
« On peut réfléchir à quelque chose qui amène un peu de qualité et de fraîcheur, sans rien révolutionner non plus, a répondu, énigmatique, Arlettaz. On a un choix ouvert de possibilités pour avoir une équipe performante au pays de Galles. » La stabilité parlerait pour Yoram Moefana au centre et Melvyn Jaminet à l'arrière. La nouveauté pour Émilien Gailleton (Pau) ou Nicolas Depoortere (Bordeaux-Bègles) au centre et Léo Barré (Stade Français) à l'arrière.
Les vérités de Patrick Arlettaz après le début de Tournoi compliqué des Bleus
Quatre jours après le match nul des Bleus contre l'Italie, le nouvel entraîneur de l'attaque a accepté de revenir sur un début de Tournoi compliqué. Il pointe un manque de fraîcheur physique et mentale chez les joueurs, sans exonérer les responsabilités du staff.
Romain Bergogne, à Saint-Hippolyte (Pyrénées-Orientales)
En ce milieu de semaine off pour les Bleus, Patrick Arlettaz nous a accueilli ce mercredi après-midi chez lui, dans sa chère Catalogne, où les rafales de tramontane étaient fidèles au rendez-vous. Ça souffle aussi fort autour de l'équipe de France après un début de Tournoi compliqué, que le match nul contre l'Italie dimanche dernier à Villeneuve-d'Ascq (13-13) n'a pas arrangé.
Le nouvel entraîneur de l'attaque des Bleus s'est replongé dans le match la veille au soir. En ressort surtout une frustration sur le manque d'efficacité en première période avec toutes ces occasions gâchées près de la ligne italienne, qui auraient pu changer la face du match. Arrivé dans le staff après la Coupe du monde, Arlettaz assume sa part de responsabilité dans les difficultés, mais se veut combatif pour la suite, espérant que ce passage compliqué permettra aux Bleus de revenir plus forts. Si possible à Cardiff dans dix jours.
Les difficultés dans le jeu
« Être plus rapide dans notre jeu sans ballon »
Animation offensive brouillonne, retards au soutien, difficultés de placements dans les structures de jeu, notamment les blocs d'avants... Le match contre l'Italie n'a pas rassuré, loin de là, sur des problèmes offensifs déjà visibles contre l'Irlande à Marseille (défaite 17-38) et lors de la victoire en Écosse (16-20). « Contre l'Italie, on est trop impatients près des lignes alors que le premier essai est bien construit, estime Patrick Arlettaz. Quand vous manquez de confiance, vous avez envie de très vite marquer, pour vous mettre à l'abri et vous libérer. Là, c'est l'effet casino : vous voulez gagner ce que vous avez perdu, mais vous vous précipitez et vous perdez le double, vous voulez vous rattraper et ainsi de suite... Sur les zones de marque, on a mis les choses à l'envers et ça a donné ce déchet, ce gâchis. »
La charnière Lucu-Jalibert et ses trois-quarts ont autant de responsabilités selon Arlettaz - « ils n'ont pas fait de très bons matches et nous, le staff, on n'a pas su les mettre dans les meilleures dispositions » - que des avants sans gaz - « si vous êtes le chef d'orchestre et que vous n'avez que des mauvais violons, le concert n'est pas super réussi ».
« On n'a pas changé le projet de jeu, on leur demande la même chose qu'avant mais on a du mal à très vite se mettre en place, analyse Arlettaz. Il manque devant ce dynamisme, cet enthousiasme pour être bien et vite placé et faire vivre notre animation. On est en retard et il faut éveiller tout le groupe sur la nécessité de faire les choses plus vite. Les joueurs doivent en prendre conscience, et dans le staff, on doit les aider pour faire en sorte que pendant les entraînements, on soit très clairs sur les attendus. On doit tous faire beaucoup mieux. On doit être plus rapides et plus actifs dans notre jeu sans ballon. Tout n'est pas à jeter : contre l'Italie, les choses avaient été faites dans l'ordre en première période pour les dominer. Vous ne passez pas 35 minutes dans leur camp italien par hasard. Maintenant, il faut trouver comment faire mieux pour marquer. »
La tête et les jambes
« Pas suffisamment de fraîcheur et de spontanéité »
Patrick Arlettaz associe les difficultés physiques et mentales des Bleus sur ce début de Tournoi : « Le mental joue sur le physique, et inversement. » Pour les cadres qui ont fini la saison de Top 14 fin juin, enchaîné sur une longue préparation de Coupe du monde puis de nombreux matches en bleu et en Top 14, le coup de mou physique semble humain, même si l'écart de tonus a surpris en interne contre l'Irlande.
« Certains joueurs ont été beaucoup sollicités, il faut une certaine fraîcheur pour enchaîner les tâches au très haut niveau et elle manque, c'est une réalité, poursuit le Catalan. Elle manque physiquement, ce qui peut expliquer ce petit retard dans tout ce qu'on fait, mais aussi mentalement. »
Arlettaz n'a pas vécu directement le traumatisme de l'élimination à domicile en quarts de finale de la Coupe du monde contre l'Afrique du Sud (28-29, le 15 octobre), il reconnaît avoir eu du mal à palper la gestion de cette déception avant le Tournoi. « Dans le jeu, on arrive à être cohérents mais on n'a pas suffisamment de fraîcheur et de spontanéité, avoue-t-il. Attention, cette équipe n'est pas malade mais on sent que le doute est notre plus gros ennemi. Si vous hésitez une demi-seconde, vous avez neuf chances sur dix de ne pas prendre la bonne décision à ce niveau. En ce moment, c'est ce qu'on fait. On a ces petites hésitations alors que les situations semblent claires d'en haut. Il faut retrouver de la confiance pour que ça redevienne naturel. Le staff, moi le premier, il faut que, pendant la semaine, on soit capables de mettre dans le contenu des séances ce petit plus qui va leur permettre de faire le bon choix en une demi-seconde, sans hésiter. L'équipe de France doit être plus forte que ça et on le sera sans doute. »
Sa situation
« Je ne suis pas abattu »
Nouveau membre du staff et responsable d'une attaque en difficulté (seulement cinq essais marqués depuis le début du Tournoi), Patrick Arlettaz n'a pas vécu des débuts rêvés en équipe de France. « Ce n'est jamais très agréable, reconnaît l'ancien manager de Perpignan. Mais je ne suis pas abattu. Je sais que ça passera par du travail. On a notre rôle à jouer, chacun, dans la construction d'une bonne dynamique et je me projette dans le travail pour la construire. Si on s'en sort, c'est que j'aurai eu un rôle là-dedans. La difficulté ne me fait pas peur, ça ne veut pas dire que je l'apprécie mais je veux m'en nourrir et la surpasser pour devenir plus fort. Peut-être qu'il faut d'ailleurs que toute l'équipe en passe par là, pour devenir plus forte. »
Sa voix rocailleuse et son ton parfois cash animeront avec la même énergie les prochaines séances d'entraînement à Marcoussis. « Là-dessus, je n'ai pas changé, en sourit Arlettaz. Je ne vais pas être trop différent parce que je suis en équipe de France. C'est une super expérience, les joueurs ont été merveilleux pour m'accueillir. Maintenant, on est dans la difficulté tous ensemble et on va s'en sortir tous ensemble. Moi, je ne les abandonnerai pas. »
La suite du Tournoi
« Sentir une amélioration sur les deux derniers matches »
Avec un déplacement au pays de Galles (le 10 mars) et la réception de l'Angleterre (16 mars) au menu, les Bleus s'attendent à deux matches compliqués pour conclure le Tournoi. « On a réussi à se remobiliser entre l'Irlande et l'Écosse, poursuit Arlettaz. Il va falloir le refaire entre l'Italie et le pays de Galles et ensuite conserver de la confiance pour l'Angleterre. On a un groupe très fort, compétiteur, solide face aux critiques, on l'a vu lors de la semaine de l'Écosse. On est bien conscients qu'on ne pourra pas retrouver de la fraîcheur en quinze jours mais on doit mieux faire les choses, mieux s'entraîner. Il faut qu'on sente une amélioration sur les deux matches qui arrivent pour se projeter vers une dynamique nouvelle et balayer ce passage difficile. »
Y a-t-il urgence à gagner ? « On l'a toujours en équipe de France, certifie Arlettaz. Et encore, ça ne suffit pas si on se fie aux commentaires après l'Écosse. On aura une semaine de préparation, il faut lancer une dynamique positive dès lundi pour qu'on ait un match avec un contenu intéressant au pays de Galles. Et si on a un contenu intéressant, on ne sera pas loin de la victoire. »
Le staff des Bleus a prévu de se réunir aujourd'hui pour dessiner le groupe qui préparera le voyage à Cardiff. Où il faudra faire sans l'ouvreur Matthieu Jalibert, blessé au genou gauche face à l'Italie, ni le centre Jonathan Danty, suspendu. L'arrière Thomas Ramos tient la corde pour passer à l'ouverture. Qui au poste de premier centre ? Qui à l'arrière ?
« On peut réfléchir à quelque chose qui amène un peu de qualité et de fraîcheur, sans rien révolutionner non plus, a répondu, énigmatique, Arlettaz. On a un choix ouvert de possibilités pour avoir une équipe performante au pays de Galles. » La stabilité parlerait pour Yoram Moefana au centre et Melvyn Jaminet à l'arrière. La nouveauté pour Émilien Gailleton (Pau) ou Nicolas Depoortere (Bordeaux-Bègles) au centre et Léo Barré (Stade Français) à l'arrière.
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
L'Irlande à l'aube d'une performance historique ? Vers un doublé inédit dans le 6 Nations 2024
https://www.lerugbynistere.fr/news/lirlande-a-laube-dune-performance-historique-vers-un-double-inedit-dans-le-6-nations-2024-2802241621.php
https://www.lerugbynistere.fr/news/lirlande-a-laube-dune-performance-historique-vers-un-double-inedit-dans-le-6-nations-2024-2802241621.php
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49514
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Scalp a écrit:
Quand tu joues centre et que tu es adoubé par O'Driscoll
zizou46- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 2282
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 04/09/2010
Age : 49
Re: Tournoi des 6 Nations 2024
« Si vous mettiez Joe Schmidt ou Andy Farrell… » ou Noel McNamara…Scalp a écrit:
Le jour où Galthié sera vraiment en danger, parce qu'il a encore de la marge, ce sera la curée…, on va attendre le retour de Dupont/NTK, et voir si Galthié arrive à se sortir de son trou.
Dernière édition par biscouette le Jeu 29 Fév 2024 - 18:36, édité 2 fois
biscouette- Centre de presse
- Nombre de messages : 3040
Localisation : Paris (et Bordeaux)
Date d'inscription : 08/01/2016
Humeur : « En ce moment, quand je vois les solutions aux problèmes, je me dis que juste le problème, c’est mieux. » Grégoire Quartier
Page 38 sur 40 • 1 ... 20 ... 37, 38, 39, 40
Sujets similaires
» Tournoi des 6 Nations U20 2024
» Tournoi des 6 Nations 2024
» Tournoi des 6 Nations U20 2025
» Tournoi 6 Nations 2023
» Tournoi des 6 Nations 2023
» Tournoi des 6 Nations 2024
» Tournoi des 6 Nations U20 2025
» Tournoi 6 Nations 2023
» Tournoi des 6 Nations 2023
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté terrain :: Equipes de France
Page 38 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum