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Evolution des budgets - SO du 17/02/08
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté tribune officielle
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Evolution des budgets - SO du 17/02/08
http://www.sudouest.com/accueil/sports/rugby/article/505333/mil/4185176.html
RUGBY, TOP 14 ET PRO D2. Confrontés à des difficultés pour tenir leurs engagements, de nombreux clubs de rugby du Top 14 et de la Pro D2 envisagent de réduire leur budget la saison prochaine
Dérapages et grand écart - Auteur : Arnaud David a.david@sudouest.com
Depuis plusieurs semaines, le rugby français envoie des signaux contradictoires sur sa santé financière. D'un côté quelques nantis - Toulouse, le Stade Français, Clermont, Brive, le Racing Métro -, comme imperméables à la crise, se disputent à prix d'or les internationaux français ou anglais sur le marché des transferts. De l'autre, ceux, de plus en plus nombreux qui commencent à évoquer leurs difficultés à boucler leur budget 2008-2009 et envisagent pour la première fois depuis dix ans, de le réduire la saison prochaine. « La tendance générale est que les clubs sont à la peine. De nombreuses recettes sponsoring ne sont pas tenues », confirme Patrick Wolff, chargé du dossier au comité directeur de la Ligue.
Dimanche soir, tous les clubs ont envoyé à la Direction nationale d'aide et de contrôle de gestion (DNACG), leurs états financiers au 31 décembre. Pendant dix jours, les experts vont les éplucher avant de préparer une synthèse puis décider avec le comité directeur de la LNR, de la politique à suivre. Faire preuve de souplesse, autoriser les clubs en difficulté à puiser dans leurs fonds de réserve (10 % du budget) ou se montrer intransigeant et prononcer des rétrogradations administratives pour ceux qui n'auront pas réussi à tenir leurs engagements.
Doit-on changer la règle ?
« Il est pour nous impossible aujourd'hui d'anticiper sur ce que sera notre ligne de conduite, affirme un responsable de la DNACG. Si cinq clubs sont dans le rouge, doit-on changer la règle alors que vingt-cinq seront parvenus à rester dans les clous ? Nous avons suivi avec attention tous les dossiers chauds - Auch, Montauban - et nous n'avons, à cette heure, pas de raison de redouter une rétrogradation. Mais il est évident qu'au printemps, nous nous montrerons très vigilants sur les renouvellements de contrats et que nous ne nous contenterons plus de promesses d'hypothétiques sponsors. »
Comme le montre l'enquête effectuée auprès des clubs de notre région, nombreux sont les clubs qui redoutent le désengagement de partenaires, venus notamment des secteurs de l'automobile ou de l'immobilier ainsi qu'une réduction notable des subventions accordées par les collectivités. Pour y faire face, certains songent à réduire le nombre de joueurs sous contrat de 33 à 28 au sein de leur effectif. « Le paramètre d'ajustement, c'est malheureusement la masse salariale », regrette Patrick Wolff.
En bout de chaîne, se profile donc le risque du chômage pour un nombre important de joueurs de moindre renom. « Mais je ne suis pas alarmé, assure Sylvain Deroeux, le président de Provale, le syndicat des joueurs. Il faudra toujours une trentaine de joueurs pour faire une saison et cela peut inciter les clubs à puiser dans leurs centres de formation plutôt que de recruter des joueurs étrangers. »
Un modèle à redéfinir
Et Deroeux de prendre le contre-pied de l'opinion dominante en soulignant les côtés positifs de la conjoncture. « Ca n'est pas la crise du CAC 40 qui a placé Montpellier, Montauban ou Auch dans l'embarras mais une succession de conneries dans leur gestion. Peut être que les difficultés actuelles vont obliger les présidents à revoir leur approche en termes de rémunération. »
À la Ligue, on réfléchit à redéfinir le modèle économique qui a permis au rugby professionnel de se développer. À partir de jeudi, une commission planchera sur ce dossier, avec des axes de travail très précis. Faut-il renforcer des moyens d'investigation de la DNACG et limiter la masse salariale des clubs ? Doit-on repenser la politique de reversement la LNR, fixer une taille critique en terme d'environnement économique des clubs ? Car l'un des enjeux majeurs est aussi de réduire l'écart financier grandissant entre les ténors du championnat et les autres pour en accroître l'attractivité.
Les clubs de la région préfèrent jouer la prudence
Biarritz (Top 14)
Le budget actuel (13 millions) n'augmentera pas, mais sera conditionné par une qualification ou non à la H Cup. Les résultats moyens ont refroidi certains partenaires qui hésitent à renouveler leurs contrats. Du côté des joueurs, une baisse des salaires a été demandée en novembre. Les étrangers ont refusé. Le club s'est séparé de Dellape, Willemse, Delmas (coach) et Marco (préparateur physique). La saison prochaine, 27 contrats seront signés avec l'intégration de plusieurs espoirs. Des gros salaires (Cronje, Vahafolau, Fa'Afili) ne seront pas renouvelés.
Bayonne (Top 14)
L'Aviron devrait réduire son budget actuel (11,2 millions) de 10 à 15 % la saison prochaine et passer de 33 à 28 contrats joueurs. L'engagement d'Alain Afflelou (1,2 million d'euros par an) n'est pas remis en cause. Comme 50 % des 450 partenaires de l'Aviron dont les contrats courrent jusqu'en 2010.
Dax (Top 14)
Cette saison, le président Ponteins associé à ses deux fils, devrait déjà laisser entre 200 000 et 300 000 euros sur les 850 000 qu'il avait provisionnés (de sa poche) en caution d'un budget de 7,85 millions d'euros. Cet épisode incite les dirigeants dacquois à la prudence pour la saison prochaine. Ils ont ainsi annoncé un budget de 7 millions d'euros pour 2009-2010 « pour ne pas mettre le club en danger ». Aucun partenaire ne s'est encore désengagé « mais il n'est pas exclu que certains d'entre eux connaissent des difficultés plus tard », reconnaît Gilbert Ponteins.
Mont-de-Marsan (Top 14)
En cas de maintien en Top 14, le budget de 4,5 millions d'euros n'augmentera pas. En cas de descente, il sera évidemment revu à la baisse.
Auch (Pro D2)
Le club gersois vient de frôler le dépôt de bilan en janvier. Il a revu son budget à la baisse en cours de saison, passant de 3,6 millions d'euros de budget à 3,2. Pour la saison prochaine, le prévisionnel chute carrément à 2,2 millions d'euros. Les contrats seront donc réduits à la baisse sur leur montant comme sur leur quantité.
Pau (Pro D2)
La saison prochaine, les Palois passeront de 6 millions d'euros cette saison à 5,8 en 2009-2010. « En attendant une meilleure lisibilité des effets de la crise, nous avons demandé au staff d'anticiper une diminution de la masse salariale d'environ 10 % et d'en tenir compte dans le recrutement », résume Yannick Legarrères, vice-président en charge des finances.
La Rochelle (Pro D2)
Grâce à un sponsoring basé sur la multitude des moyens et petits partenaires (plus de 400), le Stade Rochelais va bien. Il pourrait même dépasser son budget initial de 6,3 millions d'euros pour 2008-2009 et atteindre les 6,5 millions. En cas de montée en Top 14 la saison prochaine, La Rochelle comptera sur la prime de la Ligue (300 000 euros et les droits TV, 700 000 euros) pour viser un budget de 8 millions d'euros. S'il reste en Pro D2, le club maritime espère se maintenir à 6,5 millions.
Bordeaux-Bègles (Pro D2)
Le club ne fera pas de folies. Son budget, 4,5 millions d'euros cette saison, sera au mieux équivalent en 2009-2010, voire légèrement inférieur. « Avant la crise, on avait déjà du mal à développer le partenariat privé », admet le président Laurent Marti. « Heureusement, je sais pouvoir compter sur le soutien total et important de la mairie de Bordeaux. C'est une sécurité. »
Agen (Pro D2)
Si le président Alain Tingaud refuse de dévoiler des chiffres pour la saison prochaine, il se veut optimiste malgré tout. Que le SUA évolue en Pro D2 ou Top 14, le budget sera égal ou légèrement supérieur aux 6,3 millions d'euros de cette saison. Du côté des contrats pros, Agen ne prévoit pas de secousse.
RUGBY, TOP 14 ET PRO D2. Confrontés à des difficultés pour tenir leurs engagements, de nombreux clubs de rugby du Top 14 et de la Pro D2 envisagent de réduire leur budget la saison prochaine
Dérapages et grand écart - Auteur : Arnaud David a.david@sudouest.com
Depuis plusieurs semaines, le rugby français envoie des signaux contradictoires sur sa santé financière. D'un côté quelques nantis - Toulouse, le Stade Français, Clermont, Brive, le Racing Métro -, comme imperméables à la crise, se disputent à prix d'or les internationaux français ou anglais sur le marché des transferts. De l'autre, ceux, de plus en plus nombreux qui commencent à évoquer leurs difficultés à boucler leur budget 2008-2009 et envisagent pour la première fois depuis dix ans, de le réduire la saison prochaine. « La tendance générale est que les clubs sont à la peine. De nombreuses recettes sponsoring ne sont pas tenues », confirme Patrick Wolff, chargé du dossier au comité directeur de la Ligue.
Dimanche soir, tous les clubs ont envoyé à la Direction nationale d'aide et de contrôle de gestion (DNACG), leurs états financiers au 31 décembre. Pendant dix jours, les experts vont les éplucher avant de préparer une synthèse puis décider avec le comité directeur de la LNR, de la politique à suivre. Faire preuve de souplesse, autoriser les clubs en difficulté à puiser dans leurs fonds de réserve (10 % du budget) ou se montrer intransigeant et prononcer des rétrogradations administratives pour ceux qui n'auront pas réussi à tenir leurs engagements.
Doit-on changer la règle ?
« Il est pour nous impossible aujourd'hui d'anticiper sur ce que sera notre ligne de conduite, affirme un responsable de la DNACG. Si cinq clubs sont dans le rouge, doit-on changer la règle alors que vingt-cinq seront parvenus à rester dans les clous ? Nous avons suivi avec attention tous les dossiers chauds - Auch, Montauban - et nous n'avons, à cette heure, pas de raison de redouter une rétrogradation. Mais il est évident qu'au printemps, nous nous montrerons très vigilants sur les renouvellements de contrats et que nous ne nous contenterons plus de promesses d'hypothétiques sponsors. »
Comme le montre l'enquête effectuée auprès des clubs de notre région, nombreux sont les clubs qui redoutent le désengagement de partenaires, venus notamment des secteurs de l'automobile ou de l'immobilier ainsi qu'une réduction notable des subventions accordées par les collectivités. Pour y faire face, certains songent à réduire le nombre de joueurs sous contrat de 33 à 28 au sein de leur effectif. « Le paramètre d'ajustement, c'est malheureusement la masse salariale », regrette Patrick Wolff.
En bout de chaîne, se profile donc le risque du chômage pour un nombre important de joueurs de moindre renom. « Mais je ne suis pas alarmé, assure Sylvain Deroeux, le président de Provale, le syndicat des joueurs. Il faudra toujours une trentaine de joueurs pour faire une saison et cela peut inciter les clubs à puiser dans leurs centres de formation plutôt que de recruter des joueurs étrangers. »
Un modèle à redéfinir
Et Deroeux de prendre le contre-pied de l'opinion dominante en soulignant les côtés positifs de la conjoncture. « Ca n'est pas la crise du CAC 40 qui a placé Montpellier, Montauban ou Auch dans l'embarras mais une succession de conneries dans leur gestion. Peut être que les difficultés actuelles vont obliger les présidents à revoir leur approche en termes de rémunération. »
À la Ligue, on réfléchit à redéfinir le modèle économique qui a permis au rugby professionnel de se développer. À partir de jeudi, une commission planchera sur ce dossier, avec des axes de travail très précis. Faut-il renforcer des moyens d'investigation de la DNACG et limiter la masse salariale des clubs ? Doit-on repenser la politique de reversement la LNR, fixer une taille critique en terme d'environnement économique des clubs ? Car l'un des enjeux majeurs est aussi de réduire l'écart financier grandissant entre les ténors du championnat et les autres pour en accroître l'attractivité.
Les clubs de la région préfèrent jouer la prudence
Biarritz (Top 14)
Le budget actuel (13 millions) n'augmentera pas, mais sera conditionné par une qualification ou non à la H Cup. Les résultats moyens ont refroidi certains partenaires qui hésitent à renouveler leurs contrats. Du côté des joueurs, une baisse des salaires a été demandée en novembre. Les étrangers ont refusé. Le club s'est séparé de Dellape, Willemse, Delmas (coach) et Marco (préparateur physique). La saison prochaine, 27 contrats seront signés avec l'intégration de plusieurs espoirs. Des gros salaires (Cronje, Vahafolau, Fa'Afili) ne seront pas renouvelés.
Bayonne (Top 14)
L'Aviron devrait réduire son budget actuel (11,2 millions) de 10 à 15 % la saison prochaine et passer de 33 à 28 contrats joueurs. L'engagement d'Alain Afflelou (1,2 million d'euros par an) n'est pas remis en cause. Comme 50 % des 450 partenaires de l'Aviron dont les contrats courrent jusqu'en 2010.
Dax (Top 14)
Cette saison, le président Ponteins associé à ses deux fils, devrait déjà laisser entre 200 000 et 300 000 euros sur les 850 000 qu'il avait provisionnés (de sa poche) en caution d'un budget de 7,85 millions d'euros. Cet épisode incite les dirigeants dacquois à la prudence pour la saison prochaine. Ils ont ainsi annoncé un budget de 7 millions d'euros pour 2009-2010 « pour ne pas mettre le club en danger ». Aucun partenaire ne s'est encore désengagé « mais il n'est pas exclu que certains d'entre eux connaissent des difficultés plus tard », reconnaît Gilbert Ponteins.
Mont-de-Marsan (Top 14)
En cas de maintien en Top 14, le budget de 4,5 millions d'euros n'augmentera pas. En cas de descente, il sera évidemment revu à la baisse.
Auch (Pro D2)
Le club gersois vient de frôler le dépôt de bilan en janvier. Il a revu son budget à la baisse en cours de saison, passant de 3,6 millions d'euros de budget à 3,2. Pour la saison prochaine, le prévisionnel chute carrément à 2,2 millions d'euros. Les contrats seront donc réduits à la baisse sur leur montant comme sur leur quantité.
Pau (Pro D2)
La saison prochaine, les Palois passeront de 6 millions d'euros cette saison à 5,8 en 2009-2010. « En attendant une meilleure lisibilité des effets de la crise, nous avons demandé au staff d'anticiper une diminution de la masse salariale d'environ 10 % et d'en tenir compte dans le recrutement », résume Yannick Legarrères, vice-président en charge des finances.
La Rochelle (Pro D2)
Grâce à un sponsoring basé sur la multitude des moyens et petits partenaires (plus de 400), le Stade Rochelais va bien. Il pourrait même dépasser son budget initial de 6,3 millions d'euros pour 2008-2009 et atteindre les 6,5 millions. En cas de montée en Top 14 la saison prochaine, La Rochelle comptera sur la prime de la Ligue (300 000 euros et les droits TV, 700 000 euros) pour viser un budget de 8 millions d'euros. S'il reste en Pro D2, le club maritime espère se maintenir à 6,5 millions.
Bordeaux-Bègles (Pro D2)
Le club ne fera pas de folies. Son budget, 4,5 millions d'euros cette saison, sera au mieux équivalent en 2009-2010, voire légèrement inférieur. « Avant la crise, on avait déjà du mal à développer le partenariat privé », admet le président Laurent Marti. « Heureusement, je sais pouvoir compter sur le soutien total et important de la mairie de Bordeaux. C'est une sécurité. »
Agen (Pro D2)
Si le président Alain Tingaud refuse de dévoiler des chiffres pour la saison prochaine, il se veut optimiste malgré tout. Que le SUA évolue en Pro D2 ou Top 14, le budget sera égal ou légèrement supérieur aux 6,3 millions d'euros de cette saison. Du côté des contrats pros, Agen ne prévoit pas de secousse.
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