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Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
C'est bien pour Anthony un bon club.
Ils vont se maintenir en Top14.
J'espére qu'il y aura sa chance.
Voila un garçon au format du Rugby de Haut niveau,physique, pas maladroit, bonne pénétration,un garçon agréable.
Bonne chance.
Ils vont se maintenir en Top14.
J'espére qu'il y aura sa chance.
Voila un garçon au format du Rugby de Haut niveau,physique, pas maladroit, bonne pénétration,un garçon agréable.
Bonne chance.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
https://twitter.com/yleshauries/status/994273950422241286?s=21 Bonsoir quelqu’un a l article entier merci
Adrien- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
SO : https://www.sudouest.fr/2018/05/09/union-bordeaux-begles-laurent-marti-fais-son-mea-culpa-5043283-773.php
Union Bordeaux-Bègles : Laurent Marti fait son "mea culpa"
Le président de l’UBB se confie pour la première fois depuis la fin de la saison qui a vu terminer son club à la 10e place du Top 14. Pour "Sud Ouest", il dresse le bilan et se projette sur la saison prochaine.
"Sud Ouest". L’adjectif décevant est-il celui qui caractérise le bilan de la saison de l’UBB ?
Laurent Marti. Oui et non. On a décrété que l’UBB devait absolument être dans le top 6. Oui, on veut y rentrer, c’est un objectif. Mais on ne peut pas dire que c’est décevant de ne pas y être quand on compare les forces en présence. Cette saison, nous avions encore la 9e ou 10e masse salariale du Top 14. On ne surperforme plus, c’est vrai. On a souvent surperformé par rapport à notre masse salariale, c’est un peu l’histoire de l’UBB. On a aussi fait deux fois 7e et depuis deux ans, on régresse au niveau du classement. Mais quand on a fini 7e, il n’y avait pas Lyon, Pau, La Rochelle, trois clubs qui nous ont rattrapé puis doublé.
Vous étiez pourtant dans les clous jusqu’à décembre, avant de chuter…
Oui, c’est récurrent. Mon sentiment, c’est qu’on est peut-être en sur-régime en début de saison. On se prépare un petit mieux, comme les équipes de deuxième partie de tableau, alors que les équipes de la première partie démarrent un peu plus au ralenti et programment un peu plus les phases finales. On peut aussi se poser la question du staff mais comme c’est arrivé avec des staffs différents et des joueurs différents, c’est peut-être simplement lié aux forces dont on dispose.
L’UBB est la plus mauvaise équipe de la phase retour. Le départ de Jacques Brunel constitue-t-il l’explication principale à cet effondrement ?
Je ne crois pas. C’est l’une des raisons mais pas la raison principale. Il y a eu toute une série d’éléments : l’accumulation de la fatigue, les blessés, les sélectionnés, une image de l’équipe qui a été mauvaise… Les changements que l’on a commencés à opérer avec Rory (Teague, le manager) ont été plus ou moins bien perçus, la communication de Rory n’a pas été bonne au début. Moi, j’ai mal contrôlé la chose et c’est un peu grave car j’ai de l’expérience.
Comprenez-vous que cela puisse susciter des doutes sur la capacité de Rory Teague à fédérer et à manager ?
Oui, bien sûr. Rory est un jeune manager qui a eu la chance d’avoir l’expérience du haut niveau mais pas pendant hyper longtemps. Mais il a la chance de connaître les deux cultures, française et anglaise, et je crois qu’il fait partie des managers à haut potentiel technique. Il est Anglais, et je me suis aussi aperçu qu’il y avait encore parfois des relents « franchouillards » un peu arriéristes, mais bon, il faut vivre avec. Et les résultats n’ont pas suivi, donc forcément, il y a eu des doutes. Mais ça fait partie de la vie. Quand les gens démarrent, on a toujours des doutes.
Plus que les saisons passées, on a perçu une forme de mal-être à l’intérieur du groupe. Il y a eu le départ de Goujon, le fait qu’on ait fait comprendre à Rey et Maynadier qu’on ne comptait plus vraiment sur eux… Quel est votre ressenti par rapport à ça ?
Il y a un peu d’injustice mais là aussi, je pense que nous avons mal maîtrisé la communication. Ce qui s’est passé à l’UBB cette année se passe globalement dans tous les clubs. Il y a chaque année des périodes où les joueurs déçoivent. Les présidents et les entraîneurs en parlent, en discutent avec l’agent, et ça ne sort part forcément. Mais là, c’est sorti. Et dès que ça sort, on ne plus arrêter la machine. Les rumeurs s’emballent, ça revient dans le groupe et ça le déstabilise.
Les départs d’Avei, Chalmers, Loustau (préparateur physique) ne referment-ils pas un gros chapitre de l’histoire de l’UBB ?
Oui. Dans les historiques, il ne reste plus que Julien Rey et Blair Connor. Mais ça fait partie de la vie d’un club.
Avez-vous senti qu’il était temps de passer à autre chose ?
Oui mais pas forcément au niveau des joueurs. Là, on parle d’usure du temps, d’évolution… Sur la culture, en revanche, j’en suis persuadé. Je l’ai compris il y a trois ans. Il y a des évolutions dans ce Top 14, dans les méthodes de travail, dans la manière de fonctionner à l’intérieur d’un club. J’ai pris des décisions difficiles mais je n’ai pas su mettre en place ce qui était nécessaire pour que ça aille mieux tout de suite. J’avais vu juste car on n’a pas su évoluer assez rapidement. Et d’autres clubs nous ont doublés. On est passé de 7e à 10e, sans forcément régresser mais en stagnant.
Auriez-vous pu éviter le malaise, la crispation ?
Oui. Si Jacques (Brunel) étais resté, il y aurait quand même eu des changements et je pense qu’on ne serait pas tombé dans la même dramaturgie. J’ai mal contrôlé le truc.
N’avez-vous pas peur d’avoir abîmé un peu l’image de l’UBB cette saison et entamé son capital sympathie ?
On ne fait que s’adapter. Il y a eu une mauvaise communication autour des adaptations que l’on faisait. Mais c’est paradoxal. On entend qu’il y a trop d’étrangers, qu’il faut faire jouer les jeunes joueurs français. Cette année, on a eu le courage de ne pas continuer avec Hugh Chalmers, de trouver une solution pour Ole Avei, ça nous a été reproché. Alors que c’est l’année où nous sommes le club qui a lancé le plus de jeunes joueurs français (NDLR : 10 joueurs ont découvert le Top 14 avec l’UBB cette saison). On a toujours l’impression que quoi qu’on fasse, on sera critiqué. Je ne veux pas que l’état d’esprit du club change et il ne va pas changer. On ne peut pas entrer dans le top 6 sans s’adapter.
Vous confiez les rênes du club à un staff qui a peu d’expérience, sans vécu commun. Avez-vous des craintes ou êtes-vous plutôt enthousiaste ?
Je suis plutôt enthousiaste. Mais je fais mon mea culpa. J’ai beaucoup réfléchi à ce qui s’était passé ces dernières années et je me suis rendu compte que j’avais commis une grosse erreur, j’ai eu tendance à fabriquer les staffs et à faire moi-même les mariages. Le rôle du président est de choisir son manager et de demander au manager de constituer son staff. Et ça ne s’est jamais passé comme ça à l’UBB. C’est la raison pour laquelle j’ai dit à Rory : « Tu vas choisir l’entraîneur des avants. Bien évidemment, je veux rencontrer cette personne. Mais il faut que ce soit un homme à toi, en qui tu aies une entière confiance et avec qui tu as envie de travailler ». Alors que jusqu’à maintenant, j’avais plutôt tendance à faire ma propre sélection et ensuite, présenter la personne au manager en place. Je lui faisais comprendre que j’aimerais bien que ce soit lui parce que j’y crois beaucoup. Et ça, ça a été une grosse connerie de ma part.
Votre erreur a été d’être un hyper-président ?
Oui. Enfin, pas sur tout. Mais sur ça, ça a été une erreur.
Cela a-t-il aussi été le cas concernant le recrutement ?
Je ne pense pas que cela a été le point faible de l’UBB. Aujourd’hui, les deux têtes d’affiche du recrutement de l’UBB sont Radradra et Tamanivalu. Ce sont deux mecs que je suis depuis longtemps, qui ont eu des offres… Je crois que le recrutement a été la force de l’UBB au fil des ans.
Pensez-vous que ces stars qui vont arriver vont avoir immédiatement un rôle moteur ?
J’ai enfin le sentiment qu’on va se présenter sur la ligne de départ avec un moteur un peu plus puissant et cette fois, pas beaucoup moins puissant que nos concurrents de la 4e à la 10e place. On a cette fois de vrais arguments. Je pensais qu’on n’avait pas assez d’armes pour le top 6 cette saison, les faits m’ont donné raison. En revanche, la saison prochaine, on aura beaucoup plus d’armes pour pouvoir espérer.
L’UBB termine la saison avec la 2e meilleure moyenne de Jiff (après le Racing). La saison prochaine, cela risque d’être plus compliqué à ce niveau…
Ca sera un peu plus dur, oui. Dans l’équipe type, il y a un peu plus d’étrangers. Mais ça va tourner, on sera dans les clous.
Est-ce une bonne chose pour l’UBB d’avoir des internationaux français ou est-ce un poids pour le club ?
C’est un poids pour le club. C’est une situation hyper paradoxale. On en retire beaucoup de fierté et on envoie un message important au public, aux partenaires, aux autres joueurs qui ont envie de venir à l’UBB. Mais il ne faut pas faire de langue de bois. Quand tu as plus ou moins 5 internationaux absents, sans compter les moins de 20 ans… L’UBB n’était pas prête à ça. Le meilleur exemple est Clermont qui est passé du titre à une 9e place et une élimination en Coupe d’Europe. C’est un club qui a eu aussi des blessés et de nombreux sélectionnés. Nous aussi ça nous a porté tort. D’ailleurs, combien Pau, Lyon, Castres ont-ils donné d’internationaux cette année ? Très peu.
Sur le plan financier, l’UBB n’a pas bouclé son budget à l’équilibre…
On va avoir une perte de l’ordre de 700 000 euros cette année et malheureusement beaucoup plus l’année prochaine sur le prévisionnel. Mais c’est une décision personnelle. Je me suis pas mal interrogé suite à ces deux dernières saisons, et ce, dès octobre-novembre. Je me suis demandé si je devais préparer une sortie progressive dès maintenant car j’estimais que je ne pouvais pas aller plus loin. Mais nous avons bien ramé pendant dix ans, on a posé les bases de ce club… Donc je me dis que c’est quand même dommage de ne pas tenter le gros coup, en recrutant du lourd. Sinon, on aurait pu répéter la même histoire chaque année.
Comme au poker, vous faites « tapis » ?
Je m’amuse à dire « all in » (rires). Non, je le dis avec beaucoup d’humilité : j’ai investi beaucoup d’argent dans ce club, ce n’est pas raisonnable. Mais je n’ai jamais mis en danger ma famille, mon entreprise, et encore moins le club. Je sais ce que je fais. L’année précédant la montée, j’avais dit qu’il fallait que j’arrête. On avait reçu l’aide supplémentaire de certains sponsors. Je m’étais posé la question de savoir si j’en profitais pour réduire le trou à venir où si je réinvestissais cet argent pour bâtir une meilleure équipe, dans l’espoir de décoller. Ca avait fonctionné. Cette fois, je ne sais pas si ça marchera mais c’et un peu la même idée. Il faut investir plus fort pour espérer franchir un cap.
Vous risqueriez-vous à dire que l’UBB sera dans les 6 la saison prochaine ?
Non. Rory (Teague) l’a dit à sa première interview (rires)… On aura d’arguments pour se mêler à la lutte mais il y a 11 clubs qui seront autant et mieux armés. Il va falloir bien bosser. Agen a fait une bonne saison, Perpignan va être difficile à battre. Chaque année, il y a des surprises, des mini-accidents industriels, comme à Brive. Et c’est aussi ce qui m’a poussé à investir davantage la saison prochaine. Car attention, la marge de manœuvre pour rester en Top 14 est de plus en plus étroite. Si on n’investit pas, si on ne se renforce pas, un jour, on peut y passer. Et ça, pour moi, ça serait très difficile à vivre. Je préfère arriver au stade de me dire : « J’ai fait ce que je pouvais, ne tombons pas dans la débilité, passons la main », plutôt que de retourner en Pro D2. Ca serait terrible de se dire qu’après tout ce boulot, le club revienne là où tu l’as pris.
Vous envisagez de passer la main ?
Non. Aujourd’hui, j’ai la foi, j’ai la passion !
Union Bordeaux-Bègles : Laurent Marti fait son "mea culpa"
Le président de l’UBB se confie pour la première fois depuis la fin de la saison qui a vu terminer son club à la 10e place du Top 14. Pour "Sud Ouest", il dresse le bilan et se projette sur la saison prochaine.
"Sud Ouest". L’adjectif décevant est-il celui qui caractérise le bilan de la saison de l’UBB ?
Laurent Marti. Oui et non. On a décrété que l’UBB devait absolument être dans le top 6. Oui, on veut y rentrer, c’est un objectif. Mais on ne peut pas dire que c’est décevant de ne pas y être quand on compare les forces en présence. Cette saison, nous avions encore la 9e ou 10e masse salariale du Top 14. On ne surperforme plus, c’est vrai. On a souvent surperformé par rapport à notre masse salariale, c’est un peu l’histoire de l’UBB. On a aussi fait deux fois 7e et depuis deux ans, on régresse au niveau du classement. Mais quand on a fini 7e, il n’y avait pas Lyon, Pau, La Rochelle, trois clubs qui nous ont rattrapé puis doublé.
Vous étiez pourtant dans les clous jusqu’à décembre, avant de chuter…
Oui, c’est récurrent. Mon sentiment, c’est qu’on est peut-être en sur-régime en début de saison. On se prépare un petit mieux, comme les équipes de deuxième partie de tableau, alors que les équipes de la première partie démarrent un peu plus au ralenti et programment un peu plus les phases finales. On peut aussi se poser la question du staff mais comme c’est arrivé avec des staffs différents et des joueurs différents, c’est peut-être simplement lié aux forces dont on dispose.
L’UBB est la plus mauvaise équipe de la phase retour. Le départ de Jacques Brunel constitue-t-il l’explication principale à cet effondrement ?
Je ne crois pas. C’est l’une des raisons mais pas la raison principale. Il y a eu toute une série d’éléments : l’accumulation de la fatigue, les blessés, les sélectionnés, une image de l’équipe qui a été mauvaise… Les changements que l’on a commencés à opérer avec Rory (Teague, le manager) ont été plus ou moins bien perçus, la communication de Rory n’a pas été bonne au début. Moi, j’ai mal contrôlé la chose et c’est un peu grave car j’ai de l’expérience.
Comprenez-vous que cela puisse susciter des doutes sur la capacité de Rory Teague à fédérer et à manager ?
Oui, bien sûr. Rory est un jeune manager qui a eu la chance d’avoir l’expérience du haut niveau mais pas pendant hyper longtemps. Mais il a la chance de connaître les deux cultures, française et anglaise, et je crois qu’il fait partie des managers à haut potentiel technique. Il est Anglais, et je me suis aussi aperçu qu’il y avait encore parfois des relents « franchouillards » un peu arriéristes, mais bon, il faut vivre avec. Et les résultats n’ont pas suivi, donc forcément, il y a eu des doutes. Mais ça fait partie de la vie. Quand les gens démarrent, on a toujours des doutes.
Plus que les saisons passées, on a perçu une forme de mal-être à l’intérieur du groupe. Il y a eu le départ de Goujon, le fait qu’on ait fait comprendre à Rey et Maynadier qu’on ne comptait plus vraiment sur eux… Quel est votre ressenti par rapport à ça ?
Il y a un peu d’injustice mais là aussi, je pense que nous avons mal maîtrisé la communication. Ce qui s’est passé à l’UBB cette année se passe globalement dans tous les clubs. Il y a chaque année des périodes où les joueurs déçoivent. Les présidents et les entraîneurs en parlent, en discutent avec l’agent, et ça ne sort part forcément. Mais là, c’est sorti. Et dès que ça sort, on ne plus arrêter la machine. Les rumeurs s’emballent, ça revient dans le groupe et ça le déstabilise.
Les départs d’Avei, Chalmers, Loustau (préparateur physique) ne referment-ils pas un gros chapitre de l’histoire de l’UBB ?
Oui. Dans les historiques, il ne reste plus que Julien Rey et Blair Connor. Mais ça fait partie de la vie d’un club.
Avez-vous senti qu’il était temps de passer à autre chose ?
Oui mais pas forcément au niveau des joueurs. Là, on parle d’usure du temps, d’évolution… Sur la culture, en revanche, j’en suis persuadé. Je l’ai compris il y a trois ans. Il y a des évolutions dans ce Top 14, dans les méthodes de travail, dans la manière de fonctionner à l’intérieur d’un club. J’ai pris des décisions difficiles mais je n’ai pas su mettre en place ce qui était nécessaire pour que ça aille mieux tout de suite. J’avais vu juste car on n’a pas su évoluer assez rapidement. Et d’autres clubs nous ont doublés. On est passé de 7e à 10e, sans forcément régresser mais en stagnant.
Auriez-vous pu éviter le malaise, la crispation ?
Oui. Si Jacques (Brunel) étais resté, il y aurait quand même eu des changements et je pense qu’on ne serait pas tombé dans la même dramaturgie. J’ai mal contrôlé le truc.
N’avez-vous pas peur d’avoir abîmé un peu l’image de l’UBB cette saison et entamé son capital sympathie ?
On ne fait que s’adapter. Il y a eu une mauvaise communication autour des adaptations que l’on faisait. Mais c’est paradoxal. On entend qu’il y a trop d’étrangers, qu’il faut faire jouer les jeunes joueurs français. Cette année, on a eu le courage de ne pas continuer avec Hugh Chalmers, de trouver une solution pour Ole Avei, ça nous a été reproché. Alors que c’est l’année où nous sommes le club qui a lancé le plus de jeunes joueurs français (NDLR : 10 joueurs ont découvert le Top 14 avec l’UBB cette saison). On a toujours l’impression que quoi qu’on fasse, on sera critiqué. Je ne veux pas que l’état d’esprit du club change et il ne va pas changer. On ne peut pas entrer dans le top 6 sans s’adapter.
Vous confiez les rênes du club à un staff qui a peu d’expérience, sans vécu commun. Avez-vous des craintes ou êtes-vous plutôt enthousiaste ?
Je suis plutôt enthousiaste. Mais je fais mon mea culpa. J’ai beaucoup réfléchi à ce qui s’était passé ces dernières années et je me suis rendu compte que j’avais commis une grosse erreur, j’ai eu tendance à fabriquer les staffs et à faire moi-même les mariages. Le rôle du président est de choisir son manager et de demander au manager de constituer son staff. Et ça ne s’est jamais passé comme ça à l’UBB. C’est la raison pour laquelle j’ai dit à Rory : « Tu vas choisir l’entraîneur des avants. Bien évidemment, je veux rencontrer cette personne. Mais il faut que ce soit un homme à toi, en qui tu aies une entière confiance et avec qui tu as envie de travailler ». Alors que jusqu’à maintenant, j’avais plutôt tendance à faire ma propre sélection et ensuite, présenter la personne au manager en place. Je lui faisais comprendre que j’aimerais bien que ce soit lui parce que j’y crois beaucoup. Et ça, ça a été une grosse connerie de ma part.
Votre erreur a été d’être un hyper-président ?
Oui. Enfin, pas sur tout. Mais sur ça, ça a été une erreur.
Cela a-t-il aussi été le cas concernant le recrutement ?
Je ne pense pas que cela a été le point faible de l’UBB. Aujourd’hui, les deux têtes d’affiche du recrutement de l’UBB sont Radradra et Tamanivalu. Ce sont deux mecs que je suis depuis longtemps, qui ont eu des offres… Je crois que le recrutement a été la force de l’UBB au fil des ans.
Pensez-vous que ces stars qui vont arriver vont avoir immédiatement un rôle moteur ?
J’ai enfin le sentiment qu’on va se présenter sur la ligne de départ avec un moteur un peu plus puissant et cette fois, pas beaucoup moins puissant que nos concurrents de la 4e à la 10e place. On a cette fois de vrais arguments. Je pensais qu’on n’avait pas assez d’armes pour le top 6 cette saison, les faits m’ont donné raison. En revanche, la saison prochaine, on aura beaucoup plus d’armes pour pouvoir espérer.
L’UBB termine la saison avec la 2e meilleure moyenne de Jiff (après le Racing). La saison prochaine, cela risque d’être plus compliqué à ce niveau…
Ca sera un peu plus dur, oui. Dans l’équipe type, il y a un peu plus d’étrangers. Mais ça va tourner, on sera dans les clous.
Est-ce une bonne chose pour l’UBB d’avoir des internationaux français ou est-ce un poids pour le club ?
C’est un poids pour le club. C’est une situation hyper paradoxale. On en retire beaucoup de fierté et on envoie un message important au public, aux partenaires, aux autres joueurs qui ont envie de venir à l’UBB. Mais il ne faut pas faire de langue de bois. Quand tu as plus ou moins 5 internationaux absents, sans compter les moins de 20 ans… L’UBB n’était pas prête à ça. Le meilleur exemple est Clermont qui est passé du titre à une 9e place et une élimination en Coupe d’Europe. C’est un club qui a eu aussi des blessés et de nombreux sélectionnés. Nous aussi ça nous a porté tort. D’ailleurs, combien Pau, Lyon, Castres ont-ils donné d’internationaux cette année ? Très peu.
Sur le plan financier, l’UBB n’a pas bouclé son budget à l’équilibre…
On va avoir une perte de l’ordre de 700 000 euros cette année et malheureusement beaucoup plus l’année prochaine sur le prévisionnel. Mais c’est une décision personnelle. Je me suis pas mal interrogé suite à ces deux dernières saisons, et ce, dès octobre-novembre. Je me suis demandé si je devais préparer une sortie progressive dès maintenant car j’estimais que je ne pouvais pas aller plus loin. Mais nous avons bien ramé pendant dix ans, on a posé les bases de ce club… Donc je me dis que c’est quand même dommage de ne pas tenter le gros coup, en recrutant du lourd. Sinon, on aurait pu répéter la même histoire chaque année.
Comme au poker, vous faites « tapis » ?
Je m’amuse à dire « all in » (rires). Non, je le dis avec beaucoup d’humilité : j’ai investi beaucoup d’argent dans ce club, ce n’est pas raisonnable. Mais je n’ai jamais mis en danger ma famille, mon entreprise, et encore moins le club. Je sais ce que je fais. L’année précédant la montée, j’avais dit qu’il fallait que j’arrête. On avait reçu l’aide supplémentaire de certains sponsors. Je m’étais posé la question de savoir si j’en profitais pour réduire le trou à venir où si je réinvestissais cet argent pour bâtir une meilleure équipe, dans l’espoir de décoller. Ca avait fonctionné. Cette fois, je ne sais pas si ça marchera mais c’et un peu la même idée. Il faut investir plus fort pour espérer franchir un cap.
Vous risqueriez-vous à dire que l’UBB sera dans les 6 la saison prochaine ?
Non. Rory (Teague) l’a dit à sa première interview (rires)… On aura d’arguments pour se mêler à la lutte mais il y a 11 clubs qui seront autant et mieux armés. Il va falloir bien bosser. Agen a fait une bonne saison, Perpignan va être difficile à battre. Chaque année, il y a des surprises, des mini-accidents industriels, comme à Brive. Et c’est aussi ce qui m’a poussé à investir davantage la saison prochaine. Car attention, la marge de manœuvre pour rester en Top 14 est de plus en plus étroite. Si on n’investit pas, si on ne se renforce pas, un jour, on peut y passer. Et ça, pour moi, ça serait très difficile à vivre. Je préfère arriver au stade de me dire : « J’ai fait ce que je pouvais, ne tombons pas dans la débilité, passons la main », plutôt que de retourner en Pro D2. Ca serait terrible de se dire qu’après tout ce boulot, le club revienne là où tu l’as pris.
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libournais33500- J'aime l'Union passionnément
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sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Ce mec est génial...il y a vraiment peu de gens de ce niveau intellectuel et social capables de reconnaître leurs torts de cette façon et sans y accoler une excuse bidon.
On a vraiment de la chance de l’avoir comme président.
En revanche, je ne suis pas plus rassuré sur la saison prochaine
On a vraiment de la chance de l’avoir comme président.
En revanche, je ne suis pas plus rassuré sur la saison prochaine
gael33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2017-2018/la-rochelle-colazzo-garbajosa-qui-va-sauter_sto6747874/story.shtml
Du rififi chez nos voisins Je veux bien remplacer RT par Collazo
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Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
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Humeur : Fonction de l'UBB
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Singer a prolongé jusqu'en 2021 au BO
C'est pas ça mais le bousin il tourne au ralenti niveau dernière recrue potentielle
C'est pas ça mais le bousin il tourne au ralenti niveau dernière recrue potentielle
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kaze33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Je reste dubitatif sur l'excuse du budget si l'on considère que l'ASM et le SF sont dans les 3 plus gros budgets et que LR, Pau et évidemment Castres étaient derrière nous cette saison.
L'UBB ne superforme pas plus que certains de ses concurrents et depuis 2 saisons c'est carrément l'inverse sur ce critère.
Cette saison la différence de budget entre l'UBB et le Racing par exemple est insignifiante et les résultats incomparables.
Enfin quand nous avions fini 7eme nous étions peu ou prou raccord avec notre classement budgétaire.
Comme quoi l'argent ne fait pas tout et c'est très bien et nos problèmes sont ailleurs.
Pour moi il faut arrêter de ressasser cette excuse qui cache depuis trop longtemps notre complexe d'infériorité et qui empêche d'imposer cette rigueur, cette excellence, ce professionalisme qui nous font défaut.
Malgré les blessures et autres aléas de la saison baisser les bras si tôt sans comprendre qu'au delà de notre propre échec trop tôt accepté nos résultats influent sur l'avenir des autres clubs en compétition est inacceptable.
C'est avant tout ce manque d'amour propre, de respect du club de ses supporters mais également de ses concurrents qui marque notre saison d'une analyse très négative
L'UBB ne superforme pas plus que certains de ses concurrents et depuis 2 saisons c'est carrément l'inverse sur ce critère.
Cette saison la différence de budget entre l'UBB et le Racing par exemple est insignifiante et les résultats incomparables.
Enfin quand nous avions fini 7eme nous étions peu ou prou raccord avec notre classement budgétaire.
Comme quoi l'argent ne fait pas tout et c'est très bien et nos problèmes sont ailleurs.
Pour moi il faut arrêter de ressasser cette excuse qui cache depuis trop longtemps notre complexe d'infériorité et qui empêche d'imposer cette rigueur, cette excellence, ce professionalisme qui nous font défaut.
Malgré les blessures et autres aléas de la saison baisser les bras si tôt sans comprendre qu'au delà de notre propre échec trop tôt accepté nos résultats influent sur l'avenir des autres clubs en compétition est inacceptable.
C'est avant tout ce manque d'amour propre, de respect du club de ses supporters mais également de ses concurrents qui marque notre saison d'une analyse très négative
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
sudiste a écrit:Je reste dubitatif sur l'excuse du budget si l'on considère que l'ASM et le SF sont dans les 3 plus gros budgets et que LR, Pau et évidemment Castres étaient derrière nous cette saison.
L'UBB ne superforme pas plus que certains de ses concurrents et depuis 2 saisons c'est carrément l'inverse sur ce critère.
Cette saison la différence de budget entre l'UBB et le Racing par exemple est insignifiante et les résultats incomparables.
Enfin quand nous avions fini 7eme nous étions peu ou prou raccord avec notre classement budgétaire.
Comme quoi l'argent ne fait pas tout et c'est très bien et nos problèmes sont ailleurs.
Pour moi il faut arrêter de ressasser cette excuse qui cache depuis trop longtemps notre complexe d'infériorité et qui empêche d'imposer cette rigueur, cette excellence, ce professionalisme qui nous font défaut.
Malgré les blessures et autres aléas de la saison baisser les bras si tôt sans comprendre qu'au delà de notre propre échec trop tôt accepté nos résultats influent sur l'avenir des autres clubs en compétition est inacceptable.
C'est avant tout ce manque d'amour propre, de respect du club de ses supporters mais également de ses concurrents qui marque notre saison d'une analyse très négative
Quand on parle budget, il faudrait mieux parler de masse salariale parce que budget cela ne veut pas dire grand chose. Ces deux dernières années, il faut rajouter les investissements comme la salle de musculation à Moga avec le financement du terrain synthétique ainsi que les aménagements de Chaban.
Cette année il faut rajouter le centre d'entrainement et ses équipements. Cela ne tombe pas du ciel et cet argent est forcément inclus dans LE BUDGET...
L'année prochaine la masse salariale augmentera, le président LM l'a affirmé mais le budget lui ne progressera pas...
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
+ 1 avec Jaja il faut regarder la masse salariale ( déclarée ou officielle)le budget en soi n'a pas de signification.
Très bonne nouvelle pour A Vermont
Alors comme cela le bousin il tourne pas beaucoup Kaze et je note que tu n' y fais pas grand chose !
Un pilier droit des Wasps est libéré (à l'instar de pas mal d'autres joueurs) il s'appelle Paul Doran-Jones. Il a été international anglais mais en voyant sa fiche ne joue pas beaucoup depuis pas mal d'années
Je remets une piécette sur Alex Brown le droitier de l'USAP qui est en fin de contrat et qui est négociation (avec l'USAP) pour une prolongation. Il avait été titulaire avec Exeter à Chaban il y a 2 saisons.
Très bonne nouvelle pour A Vermont
Alors comme cela le bousin il tourne pas beaucoup Kaze et je note que tu n' y fais pas grand chose !
Un pilier droit des Wasps est libéré (à l'instar de pas mal d'autres joueurs) il s'appelle Paul Doran-Jones. Il a été international anglais mais en voyant sa fiche ne joue pas beaucoup depuis pas mal d'années
Je remets une piécette sur Alex Brown le droitier de l'USAP qui est en fin de contrat et qui est négociation (avec l'USAP) pour une prolongation. Il avait été titulaire avec Exeter à Chaban il y a 2 saisons.
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Ok pour la masse salariale ... mais la nôtre est-elle si inférieure à celles de LR, Pau, Castres, Toulouse, Lyon ?
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
tout est dit dans l'interview. Marti m'a souvent agace a toujours se cacher derrière la masse salariale, mais il a raison. C'est une réalité statistique. Sur la durée, ce sont les plus riches qui finissent devant. Il y aura tjrs un petit pour faire un exploit et un gros qui connaiyra une saison de merde. Mais dans l'absolu, cette réalité est implacable. Plus t'as de ronds, plus tu as des bons joueurs en nombre conséquent: tu mets de la concurrence, tu fais tourner, tu fais reposer etc...les clubs comme nous comme tu tires sur Cobilas, sur Marais, sur Jones etc... c'est finalement assez basique.
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
On va pas refaire le débat ni paraphraser ce que dit L Marti dans cette interview.
Notre masse salariale est significativement inférieure (sans commune mesure jusqu'à cette année incluse)avec le ST, elle est depuis la saison dernière dans les mêmes proportions que le CO qui a depuis pas mal d'années la 6/7eme masse salariale de Top 14, la SP qui a fait en un rien de temps à l'instar du LOU un grand rattrapage.
La seule équipe qui a un retard (pour la saison dernière) en terme de masse salariale est La Rochelle qui est la seule équipe à surpeformer de manière significative (comme nous avions pu le faire lors de nos 3/4 premières saisons alors que nous étions entre la plus petite et la 11/12ème masse salariale)
La saison prochaine prochaine on devrait tourner autour des 9.5/ 10 M d'€. Le bon financier est considérable.
Pour info, l'USAP qui monte devrait avoir une masse salariale de 5/5.3 M d'€.
Maintenant c'est aux joueurs au staff de hisser le club au plus haut.
Notre masse salariale est significativement inférieure (sans commune mesure jusqu'à cette année incluse)avec le ST, elle est depuis la saison dernière dans les mêmes proportions que le CO qui a depuis pas mal d'années la 6/7eme masse salariale de Top 14, la SP qui a fait en un rien de temps à l'instar du LOU un grand rattrapage.
La seule équipe qui a un retard (pour la saison dernière) en terme de masse salariale est La Rochelle qui est la seule équipe à surpeformer de manière significative (comme nous avions pu le faire lors de nos 3/4 premières saisons alors que nous étions entre la plus petite et la 11/12ème masse salariale)
La saison prochaine prochaine on devrait tourner autour des 9.5/ 10 M d'€. Le bon financier est considérable.
Pour info, l'USAP qui monte devrait avoir une masse salariale de 5/5.3 M d'€.
Maintenant c'est aux joueurs au staff de hisser le club au plus haut.
le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Collazzo qui quitte La Rochelle.
Pour rappel,il avait prolongé avec Garbajosa (et l'entraîneur géorgien de la touche) en novembre dernier jusqu'en 2022 (le contrat initial portait jusqu'en 2020) !
Pour rappel,il avait prolongé avec Garbajosa (et l'entraîneur géorgien de la touche) en novembre dernier jusqu'en 2022 (le contrat initial portait jusqu'en 2020) !
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Il y a anguille sous...roche, du côté de La Rochelle
On annonçait le départ de Garbojosa suite à des rumeurs conjugales, et finalement c'est Collazo qui part. Lui qui était encore il y a quelques mois encensé est aujourd'hui foutu à la porte. Vive la sport pro !
Dommage qu'on se soit précipité à signer RT jusqu'à 2020 ou 2021 Un Collazo aurait fait du bien à l'UBB, avec un tempérament peut-être similaire à RT mais avec certainement plus de vécu, d'expérience et de légitimité
Si la rumeur Urios se confirme, ca ferait deux techniciens encore récemment renommés sur le départ
On annonçait le départ de Garbojosa suite à des rumeurs conjugales, et finalement c'est Collazo qui part. Lui qui était encore il y a quelques mois encensé est aujourd'hui foutu à la porte. Vive la sport pro !
Dommage qu'on se soit précipité à signer RT jusqu'à 2020 ou 2021 Un Collazo aurait fait du bien à l'UBB, avec un tempérament peut-être similaire à RT mais avec certainement plus de vécu, d'expérience et de légitimité
Si la rumeur Urios se confirme, ca ferait deux techniciens encore récemment renommés sur le départ
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Switch a écrit:Il y a anguille sous...roche, du côté de La Rochelle
On annonçait le départ de Garbojosa suite à des rumeurs conjugales, et finalement c'est Collazo qui part. Lui qui était encore il y a quelques mois encensé est aujourd'hui foutu à la porte. Vive la sport pro !
Dommage qu'on se soit précipité à signer RT jusqu'à 2020 ou 2021 Un Collazo aurait fait du bien à l'UBB, avec un tempérament peut-être similaire à RT mais avec certainement plus de vécu, d'expérience et de légitimité
Si la rumeur Urios se confirme, ca ferait deux techniciens encore récemment renommés sur le départ
A part que le management à la Collazo a aussi montré ses limites
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kaze33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Je pense surtout que le costume de néo-favori était trop grand. Ils ont peut-être aussi mal géré la Champions Cup en voulant la jouer à fond sans en avoir (encore) les épaules. Et puis Collazo était en place depuis longtemps, c'est peut-être aussi la lassitude.
En tout cas, je ne suis pas inquiet pour lui. Il devrait vite et bien rebondir
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Des news de l'UBB dans le Midol ?
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
kaze33 a écrit:
A part que le management à la Collazo a aussi montré ses limites
Alors que celui de Teague pas encore
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Roberto Miopalmo a écrit: Il y aura tjrs un petit pour faire un exploit et un gros qui connaîtra une saison de merde...
Ce qui est chiant c'est que nous ne sommes jamais ni le gros, ni le ....petit !!!
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
sudiste a écrit:kaze33 a écrit:
A part que le management à la Collazo a aussi montré ses limites
Alors que celui de Teague pas encore
En a peine la moitié d'un championnat on voudrait déjà qu'il nous amène dans le 6 premiers.
Soyons patient, laissons lui une saison complète et attendons de voir les résultats avant de vouloir lui couper la tête, car je ne pense pas que beaucoup de manager prenant une équipe en milieu de saison et a qui il semble qu'on lui demande de faire le ménage et d'amener une certaine rigueur puisse faire mieux.
wait and see
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
https://www.sudouest.fr/2018/05/11/union-bordeaux-begles-radradra-avec-les-fidji-en-juin-5048397-773.php
Ils attendent tous de signer à l'UBB pour devenir internationaux ou quoi
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
On se rend compte dans cette interview que les départs prématurés de Brunel, d'Avei et la rupture de Chalmers ont permis de modérer le montant du déficit probablement de 300 /350 000 €. Ce n'est pas négligeable. De plus, la billetterie a tout de même chu d'au moins 7/8% cette année probablement au delà du prévisionnel initial.
D'une manière générale, au delà de 8/9 Md'€ de masse salariale, il n' y a pas un seul club de top 14 avec un modèle économique rentable. On joue au dessus de nos moyens à l'instar du foot français des années 80/90.
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le radis- Team modo
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Si Grenoble rate sa montée en Top14, on parle du recrutement par Perpignan de Hans Nkinsi solide 2ième latte et possible 3ième ligne, encore jeune perfectible, Jiff,de nationalité française,il fait toujours preuve sur le terrain d'une forte activité,puissant, mobile et adroit.
Déjà à Narbonne dans un XV déphasé il me faisait flipper.
S'il peut quitter les Alpes voilà un 5ième deuxième latte de caractére.
Nous avons éjecté Botha qui est bien revenu avec l'USAP, faudrait pas louper les bonnes occasion de renforcer la puissance du 8 de devant,on a besoin d'être efficace devant au proche de la ligne adverse.
Déjà à Narbonne dans un XV déphasé il me faisait flipper.
S'il peut quitter les Alpes voilà un 5ième deuxième latte de caractére.
Nous avons éjecté Botha qui est bien revenu avec l'USAP, faudrait pas louper les bonnes occasion de renforcer la puissance du 8 de devant,on a besoin d'être efficace devant au proche de la ligne adverse.
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
léopold a écrit:Si Grenoble rate sa montée en Top14, on parle du recrutement par Perpignan de Hans Nkinsi solide 2ième latte et possible 3ième ligne, encore jeune perfectible, Jiff,de nationalité française,il fait toujours preuve sur le terrain d'une forte activité,puissant, mobile et adroit.
Déjà à Narbonne dans un XV déphasé il me faisait flipper.
S'il peut quitter les Alpes voilà un 5ième deuxième latte de caractére.
Nous avons éjecté Botha qui est bien revenu avec l'USAP, faudrait pas louper les bonnes occasion de renforcer la puissance du 8 de devant,on a besoin d'être efficace devant au proche de la ligne adverse.
Ouais NKinsi m'avait fait forte impression à Narbonne
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Re: Prolongations, Signatures, Départs pour 2018/2019 ???
Très bon joueur nkinsi et surtout gros physique, une bien belle poutre
D ailleurs c est ce qui nous manque à mon avis avec les départs de Jaulhac et Botha, notre meilleur pousseur c'est Jandre mais c'est pas son point fort. On manque de puissance en deuxième ce qui complique grandement la bonne tenue de notre mêlée. Foutait un Nkinsi aux fesses de Ravai il va moins subir c est un fait et si c'est Cobilas devant on fend en deux le pack adverse...
En outre, Nkinsi a l avantage d être mobile malgré son gabarit ce qui en fait un atout indéniable quand il vient taper dans la défense adverse. Par contre, la qualité de ses mains est moyenne avec pas mal de ballons gaspillés.
D ailleurs c est ce qui nous manque à mon avis avec les départs de Jaulhac et Botha, notre meilleur pousseur c'est Jandre mais c'est pas son point fort. On manque de puissance en deuxième ce qui complique grandement la bonne tenue de notre mêlée. Foutait un Nkinsi aux fesses de Ravai il va moins subir c est un fait et si c'est Cobilas devant on fend en deux le pack adverse...
En outre, Nkinsi a l avantage d être mobile malgré son gabarit ce qui en fait un atout indéniable quand il vient taper dans la défense adverse. Par contre, la qualité de ses mains est moyenne avec pas mal de ballons gaspillés.
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