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Cyril Cazeaux
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Cyril Cazeaux
Apparition de Cyril sur le site officiel de l'UBB : http://www.ubbrugby.com/ubb/actualite/5720-cyril-cazeaux-le-travail-porte-ses-fruits.html
Cyril a naturellement de la puissance, gagner en mobilité et osé sont probablement ses perspectives d'évolution.
Cyril a naturellement de la puissance, gagner en mobilité et osé sont probablement ses perspectives d'évolution.
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Re: Cyril Cazeaux
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Re: Cyril Cazeaux
Le Damien Larrieu qui était passé chez nous il y a 2 ou 3 saisons ?!
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Switch- Centre de presse
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Re: Cyril Cazeaux
Switch a écrit:Le Damien Larrieu qui était passé chez nous il y a 2 ou 3 saisons ?!
Tout à fait ...
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Cyril Cazeaux
SO :
Union Bordeaux-Bègles : Cazeaux, c’est du solide
A La Une Rugby
Publié le 13/01/2017 à 8h42. Mis à jour à 12h38 par Yoan Leshauriès.
Profitant des blessures à son poste, le deuxième ligne de 21 ans n’a manqué qu’un seul match de l’UBB cette saison. Il devrait être encore titulaire face à Clermont dimanche (14 heures) en Champions Cup
C’est ce qui s’appelle un apprentissage en accéléré. Cet été, Cyril Cazeaux devait sans doute espérer finir la saison avec six ou sept titularisations avec l’Union Bordeaux-Bègles. Mais à la mi-janvier, le jeune deuxième ligne de 21 ans en compte déjà onze (toutes compétitions confondues) et devrait honorer sa douzième, dimanche (14 heures) à Chaban-Delmas, face à Clermont en Champions Cup. « Il n’y a pas mieux que le terrain pour apprendre, confie celui qui est encore sous contrat Espoirs. Je sais que je progresse plus vite que ce que j’aurais pu espérer normalement. C’est bien pour moi. »
Après ses treize apparitions avec les pros la saison dernière (10 en Top 14, 3 en Champions Cup) l’athlétique numéro 5 (1,95 m, 107 kg) a profité des blessures qui ont décimé l’UBB en deuxième ligne (Berend Botha, Johan Aliouat, Jandre Marais) pour s’installer au poste. Depuis sa toute première titularisation en Top 14, fin août, sur le terrain de Toulouse, le Landais a pris de l’épaisseur dans les rangs girondins. Il a été présent sur toutes les feuilles de match en championnat et n’a été ménagé par le staff que pour le déplacement à Exeter, en Coupe d’Europe. « Vu que j’enchaîne les matchs, je prends plus d’assurance dans le jeu, je me sens mieux dans l’équipe, c’est plus facile », explique l’intéressé, qui est aussi bien plus à l’aise qu’il y a quelques mois dans l’exercice des conférences de presse.
Confiant pour la suite
Arrivé l’an dernier sur la pointe des pieds en provenance de Dax avec 9 matchs de Pro D2 au compteur, Cyril Cazeaux a vite tracé son sillon. Si sa marge de progression est encore grande, le deuxième ligne ne triche pas et donne tout sur le terrain. Les stigmates sur son visage après le dernier match à Montpellier en témoignent.
Encore en apprentissage, il peut compter sur les cadres de l’équipe qui l’épaulent, et a une référence toute trouvée parmi ses coéquipiers. « Je m’identifie beaucoup à Jandre Marais, confie-t-il. Je regardais tout ce qu’il faisait et j’essayais de faire comme lui à chaque fois. Pour moi, c’est le joueur modèle à qui je veux ressembler le plus possible ».
En attendant le retour de son mentor sud-africain, prévu pour la fin du mois (lésion musculaire au mollet), après trois mois d’absence, Cyril Cazeaux a hâte de regoûter à la victoire avec l’UBB. « Notre mois de décembre n’est pas satisfaisant mais je pense qu’on va retrouver le jeu qui était le nôtre et ces victoires qui vont nous faire du bien. On est satisfait de notre match à Montpellier, le point de bonus est le minimum, vu le match qu’on a fait. On aurait très bien pu gagner. Ce match contre Clermont va être décisif. Si on fait un gros match, on va se relancer. »
Union Bordeaux-Bègles : Cazeaux, c’est du solide
A La Une Rugby
Publié le 13/01/2017 à 8h42. Mis à jour à 12h38 par Yoan Leshauriès.
Profitant des blessures à son poste, le deuxième ligne de 21 ans n’a manqué qu’un seul match de l’UBB cette saison. Il devrait être encore titulaire face à Clermont dimanche (14 heures) en Champions Cup
C’est ce qui s’appelle un apprentissage en accéléré. Cet été, Cyril Cazeaux devait sans doute espérer finir la saison avec six ou sept titularisations avec l’Union Bordeaux-Bègles. Mais à la mi-janvier, le jeune deuxième ligne de 21 ans en compte déjà onze (toutes compétitions confondues) et devrait honorer sa douzième, dimanche (14 heures) à Chaban-Delmas, face à Clermont en Champions Cup. « Il n’y a pas mieux que le terrain pour apprendre, confie celui qui est encore sous contrat Espoirs. Je sais que je progresse plus vite que ce que j’aurais pu espérer normalement. C’est bien pour moi. »
Après ses treize apparitions avec les pros la saison dernière (10 en Top 14, 3 en Champions Cup) l’athlétique numéro 5 (1,95 m, 107 kg) a profité des blessures qui ont décimé l’UBB en deuxième ligne (Berend Botha, Johan Aliouat, Jandre Marais) pour s’installer au poste. Depuis sa toute première titularisation en Top 14, fin août, sur le terrain de Toulouse, le Landais a pris de l’épaisseur dans les rangs girondins. Il a été présent sur toutes les feuilles de match en championnat et n’a été ménagé par le staff que pour le déplacement à Exeter, en Coupe d’Europe. « Vu que j’enchaîne les matchs, je prends plus d’assurance dans le jeu, je me sens mieux dans l’équipe, c’est plus facile », explique l’intéressé, qui est aussi bien plus à l’aise qu’il y a quelques mois dans l’exercice des conférences de presse.
Confiant pour la suite
Arrivé l’an dernier sur la pointe des pieds en provenance de Dax avec 9 matchs de Pro D2 au compteur, Cyril Cazeaux a vite tracé son sillon. Si sa marge de progression est encore grande, le deuxième ligne ne triche pas et donne tout sur le terrain. Les stigmates sur son visage après le dernier match à Montpellier en témoignent.
Encore en apprentissage, il peut compter sur les cadres de l’équipe qui l’épaulent, et a une référence toute trouvée parmi ses coéquipiers. « Je m’identifie beaucoup à Jandre Marais, confie-t-il. Je regardais tout ce qu’il faisait et j’essayais de faire comme lui à chaque fois. Pour moi, c’est le joueur modèle à qui je veux ressembler le plus possible ».
En attendant le retour de son mentor sud-africain, prévu pour la fin du mois (lésion musculaire au mollet), après trois mois d’absence, Cyril Cazeaux a hâte de regoûter à la victoire avec l’UBB. « Notre mois de décembre n’est pas satisfaisant mais je pense qu’on va retrouver le jeu qui était le nôtre et ces victoires qui vont nous faire du bien. On est satisfait de notre match à Montpellier, le point de bonus est le minimum, vu le match qu’on a fait. On aurait très bien pu gagner. Ce match contre Clermont va être décisif. Si on fait un gros match, on va se relancer. »
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Re: Cyril Cazeaux
Comme quoi y'a pas de mystère, quand on donne leur chance aux jeunes, ca vaut le coup. Et ca montre aussi que y'a pas besoin d'aller de l'autre côté du globe pour trouver un bon joueur
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Switch- Centre de presse
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Re: Cyril Cazeaux
un petit interview sympa de cyril
http://www.lerepublicain.net/top-14-ubb-cyril-cazeaux-la-confirmation-d-un-grand-espoir_72809/
http://www.lerepublicain.net/top-14-ubb-cyril-cazeaux-la-confirmation-d-un-grand-espoir_72809/
marchal- Centre de presse
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Re: Cyril Cazeaux
Il me semble qu'on n'avait pas vu cet article...
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Cyril-cazeaux-la-part-sombre-de-bordeaux-begles/1068856
Cyril Cazeaux, la part sombre de Bordeaux-Bègles
C'est le genre d'homme qu'aime forcément Christophe Urios. « Un mec solide, fiable, résume le technicien girondin. Un gros travailleur qui ne va jamais pavoiser et donnera toujours tout pour son club. Il vient d'ailleurs de prolonger son contrat de trois saisons. »
Non, Cyril Cazeaux n'a pas encore validé le prolongement. « Mais ça ne saurait tarder, c'est juste une question de détails », sourit-il. À Lyon, samedi dernier, il a distillé seize plaquages et son activité incessante, au combat, dans les tâches obscures, résume ce qu'il est profondément, un joueur de devoir, « un besogneux » comme dit Urios. « Besogneux, ça n'a rien de péjoratif, assure le deuxième-ligne, au contraire. Je baigne dans ce registre-là depuis la ProD2, mes années à Dax, et j'essaie maintenant de faire mon job, de donner satisfaction à Christophe qui nous répète sans cesse l'importance du cinq de devant. »
C'est d'ailleurs tout le paradoxe de cette UBB séduisante et entraînante, qui aime jouer, déplacer le ballon, courir et s'immiscer dans le moindre des intervalles, mais qui ne négligera jamais l'essentiel. « L'ADN de Bordeaux, c'est le beau jeu, résume Cazeaux. Mais les trois-quarts savent évidemment ce qu'ils nous doivent. » Christophe Urios va même encore plus loin lorsqu'il précise que « c'est agréable d'être taxé d'équipe qui joue bien, mais ça ne tient pas forcément sur la dureté et la longueur d'une saison de Top 14 ».
« C'est un vrai 5. Il enchaîne les gros matches, et on a besoin de gars comme lui » - Christophe Urios
Autrement dit, il faut aussi des Cazeaux, la part sombre d'une UBB aguicheuse. « C'est un vrai 5, complimente Urios, pas un gros gabarit, pas un massif, mais très fort sur les bases, la touche, les mêlées. Il a besoin de faire des progrès ballon en mains, mais il enchaîne les gros matches, et on a besoin de gars comme lui. »
Surtout face à Clermont, tournant véritable de ce début de saison. Cyril Cazeaux n'a aucune inquiétude sur l'engagement que lui et ses camarades sauront opposer au vice-champion de France. « On a peut-être perdu à Lyon, indique-t-il, mais l'état d'esprit n'est jamais trompeur. Il y a de la confiance dans l'équipe, personne ne s'est mis à douter après ce premier revers, et on ne va rien changer dans nos systèmes et nos façons de faire, mais simplement procéder à quelques ajustements. »
Au club depuis 2015, Cyril Cazeaux apprécie ces trois premiers mois au contact de Christophe Urios. « Il ne nous connaît pas encore tous bien, explique-t-il, mais il a déjà posé sa patte. Le groupe fonctionne bien, les recrues sont dans le même état d'esprit que les joueurs plus anciens, et je me sens bien dans ce que le club est en train de construire. Maintenant, je sais aussi, et Christophe nous l'a beaucoup répété, qu'on nous jugera quand on aura un coup de moins bien. C'est notre plus gros chantier : être régulier sur toute une saison. »
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Cyril-cazeaux-la-part-sombre-de-bordeaux-begles/1068856
Cyril Cazeaux, la part sombre de Bordeaux-Bègles
C'est le genre d'homme qu'aime forcément Christophe Urios. « Un mec solide, fiable, résume le technicien girondin. Un gros travailleur qui ne va jamais pavoiser et donnera toujours tout pour son club. Il vient d'ailleurs de prolonger son contrat de trois saisons. »
Non, Cyril Cazeaux n'a pas encore validé le prolongement. « Mais ça ne saurait tarder, c'est juste une question de détails », sourit-il. À Lyon, samedi dernier, il a distillé seize plaquages et son activité incessante, au combat, dans les tâches obscures, résume ce qu'il est profondément, un joueur de devoir, « un besogneux » comme dit Urios. « Besogneux, ça n'a rien de péjoratif, assure le deuxième-ligne, au contraire. Je baigne dans ce registre-là depuis la ProD2, mes années à Dax, et j'essaie maintenant de faire mon job, de donner satisfaction à Christophe qui nous répète sans cesse l'importance du cinq de devant. »
C'est d'ailleurs tout le paradoxe de cette UBB séduisante et entraînante, qui aime jouer, déplacer le ballon, courir et s'immiscer dans le moindre des intervalles, mais qui ne négligera jamais l'essentiel. « L'ADN de Bordeaux, c'est le beau jeu, résume Cazeaux. Mais les trois-quarts savent évidemment ce qu'ils nous doivent. » Christophe Urios va même encore plus loin lorsqu'il précise que « c'est agréable d'être taxé d'équipe qui joue bien, mais ça ne tient pas forcément sur la dureté et la longueur d'une saison de Top 14 ».
« C'est un vrai 5. Il enchaîne les gros matches, et on a besoin de gars comme lui » - Christophe Urios
Autrement dit, il faut aussi des Cazeaux, la part sombre d'une UBB aguicheuse. « C'est un vrai 5, complimente Urios, pas un gros gabarit, pas un massif, mais très fort sur les bases, la touche, les mêlées. Il a besoin de faire des progrès ballon en mains, mais il enchaîne les gros matches, et on a besoin de gars comme lui. »
Surtout face à Clermont, tournant véritable de ce début de saison. Cyril Cazeaux n'a aucune inquiétude sur l'engagement que lui et ses camarades sauront opposer au vice-champion de France. « On a peut-être perdu à Lyon, indique-t-il, mais l'état d'esprit n'est jamais trompeur. Il y a de la confiance dans l'équipe, personne ne s'est mis à douter après ce premier revers, et on ne va rien changer dans nos systèmes et nos façons de faire, mais simplement procéder à quelques ajustements. »
Au club depuis 2015, Cyril Cazeaux apprécie ces trois premiers mois au contact de Christophe Urios. « Il ne nous connaît pas encore tous bien, explique-t-il, mais il a déjà posé sa patte. Le groupe fonctionne bien, les recrues sont dans le même état d'esprit que les joueurs plus anciens, et je me sens bien dans ce que le club est en train de construire. Maintenant, je sais aussi, et Christophe nous l'a beaucoup répété, qu'on nous jugera quand on aura un coup de moins bien. C'est notre plus gros chantier : être régulier sur toute une saison. »
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Cyril Cazeaux
https://www.ubbrugby.com/actualites/7160-100e-cape-pour-cyril-cazeaux.html
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Re: Cyril Cazeaux
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Cyril-cazeaux-appele-en-equipe-de-france-j-etais-un-peu-sur-le-cul/1096695#xtor=RSS-1
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Re: Cyril Cazeaux
Moi franchement, je suis un peu sur le cul aussi, parce-que l'année dernière, je n'aurai jamais cru, ne serait-ce qu'un seul instant, qu'il puisse prétendre à l'EDF. Systématiquement il avait un carton par match quasiment. Il s'est beaucoup amélioré sur ce point là mais fait encore trop de fautes (14 depuis le début de la saison). Mais il a très nettement progressé, c'est un des joueurs qui a énormément évolué, tout comme Roumat ces 2 dernières saisons.
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Re: Cyril Cazeaux
https://www.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2018-2019/xv-de-france-cyril-cazeaux-bordeaux-sans-bruit_sto7602280/story.shtml
Cazeaux, sans bruit
Par Jean-Yves Saint-Céran
Le jeune 2e ligne de l'UBB, a pris cette année, une nouvelle dimension. Au point de faire partie de la liste des 42 joueurs retenus pour préparer le Tournoi des Six Nations 2020. Une belle récompense pour ce jeune joueur si discret mais diablement efficace.
Et hop ! Deuxième ligne Cyril Cazeaux. Voila, le jeune joueur de l'UBB sélectionné pour le stage de préparation de l'équipe de France. Cela peut constituer une surprise, mais les progrès de l'avant landais sont significatifs cette année. D'ailleurs, il a prolongé de 3 ans son contrat en octobre dernier. Voilà bien une preuve de la confiance que l'UBB accorde à son 2e ligne. Cyril Cazeaux ne fait pas dans le clinquant ou le spectaculaire. Pourtant depuis son arrivée au club girondin, en 2015, le Landais n'a fait que progresser.
Et à 24 ans, il a franchi la barre des 100 matchs sous les couleurs de l'UBB, dont 87 en Top 14. Sacrée performance pour un jeune joueur, surtout à un poste qui traditionnellement, demande de la maturité. "Cela se passe bien avec Christophe" explique-t-il. "J'ai vite adhéré au projet". Et cela lui vaut de former avec l'ex international australien Kane Douglas, la paire ayant le plus joué depuis le début de la saison.
La concurrence n'est pas des moindres avec Jandre Marais, Alexandre Flanquart, Kane Douglas donc et le jeune Adrien Vigne. Mais cela ne semble pas déranger le gaillard : "On a un effectif complet avec des internationaux, du beau monde. C'est ce qui me plaît. Cela me permet de rester au pic de ma forme". Cyril Cazeaux, si discret et agréable dans la vie courante est un "besogneux" comme l'a qualifié Christophe Urios dans L'Équipe. Et ça, il aime depuis toujours : plaquer, soutenir, gratter, sauter. Il est devenu un des meilleurs plaqueurs du club, n'a reçu qu'1 seul carton, jaune contre Toulon. Laurent Marti avait repéré cet international moins de 20 ans à Dax et l'avait fait venir à l'Union.
Le gaillard avait débuté à Saint-Paul les Dax, club présidé par son père à l'époque, avant de franchir l'Adour et rejoindre l'US Dax. A l'UBB, avec une régularité métronomique, Cyril a réussi à gagner sa place, profitant des blessures des uns, s'affirmant toujours un peu plus dans ce rôle ingrat auprès de tous les entraîneurs de l'Union. Ibanez, Brunel, Teague, Worsley ont tous fait confiance à ce joli gabarit, lui offrant plus de 20 apparitions chaque saison. Et cela malgré la concurrence de sacrés gaillards plus expérimentés.
" Je me sens au top de ma forme"
La confiance du staff, une panoplie plus élargie, notamment en touche, où il continue à s'améliorer, Cyril Cazeaux réalise certainement son meilleur début de saison. "J'ai la chance que Christophe me fasse confiance, je m'entends bien avec Kane (NDLR : Douglas) et puis je n'ai pas eu de blessures" modère-t-il. Ses performances ne sont pas passées inaperçues pour le staff du XV de France qui l'avait reçu et l'a finalement choisi parmi les 42. "Franchement, je n'y croyais pas quand j'ai reçu l'appel mercredi. Tour le monde m'en parlait, mais je n'y pensais pas. Je suis très heureux. Après le plus dur reste à faire. C'est très bien d'y mettre un pied. Encore faut-il y rester. Il me reste beaucoup de travail à faire."
Ce premier passage dans le groupe France démontre la valeur du jeune 2e ligne. Il retrouvera le maillot bleu, du moins à l'entraînement, 5 ans après avoir porté celui des moins de 20 ans. Celui qui avait reçu le surnom de "Gaston" de la part d'un kiné en raison de son port d'épaule, à son arrivée, a trouvé son rythme, et un peu plus d'agressivité, chose demandée par le staff : "Même si je n'ai que 24 ans, je me sens au top de ma forme". Sans bruit, le joueur apporte sa pierre à l'édifice des avants, bataillant ferme dans les rucks et les mauls, sans l'ouvrir, ni faire le spectacle, mais diablement efficace.
Mis au repos contre Bayonne, Christophe Urios devrait le titulariser contre Edimbourg, pour ce qui constituera la finale de poule, en Challenge Cup. Avec Cyril Cazeaux, il peut-être sûr que la valeur combat ne sera pas négligée.
Cazeaux, sans bruit
Par Jean-Yves Saint-Céran
Le jeune 2e ligne de l'UBB, a pris cette année, une nouvelle dimension. Au point de faire partie de la liste des 42 joueurs retenus pour préparer le Tournoi des Six Nations 2020. Une belle récompense pour ce jeune joueur si discret mais diablement efficace.
Et hop ! Deuxième ligne Cyril Cazeaux. Voila, le jeune joueur de l'UBB sélectionné pour le stage de préparation de l'équipe de France. Cela peut constituer une surprise, mais les progrès de l'avant landais sont significatifs cette année. D'ailleurs, il a prolongé de 3 ans son contrat en octobre dernier. Voilà bien une preuve de la confiance que l'UBB accorde à son 2e ligne. Cyril Cazeaux ne fait pas dans le clinquant ou le spectaculaire. Pourtant depuis son arrivée au club girondin, en 2015, le Landais n'a fait que progresser.
Et à 24 ans, il a franchi la barre des 100 matchs sous les couleurs de l'UBB, dont 87 en Top 14. Sacrée performance pour un jeune joueur, surtout à un poste qui traditionnellement, demande de la maturité. "Cela se passe bien avec Christophe" explique-t-il. "J'ai vite adhéré au projet". Et cela lui vaut de former avec l'ex international australien Kane Douglas, la paire ayant le plus joué depuis le début de la saison.
La concurrence n'est pas des moindres avec Jandre Marais, Alexandre Flanquart, Kane Douglas donc et le jeune Adrien Vigne. Mais cela ne semble pas déranger le gaillard : "On a un effectif complet avec des internationaux, du beau monde. C'est ce qui me plaît. Cela me permet de rester au pic de ma forme". Cyril Cazeaux, si discret et agréable dans la vie courante est un "besogneux" comme l'a qualifié Christophe Urios dans L'Équipe. Et ça, il aime depuis toujours : plaquer, soutenir, gratter, sauter. Il est devenu un des meilleurs plaqueurs du club, n'a reçu qu'1 seul carton, jaune contre Toulon. Laurent Marti avait repéré cet international moins de 20 ans à Dax et l'avait fait venir à l'Union.
Le gaillard avait débuté à Saint-Paul les Dax, club présidé par son père à l'époque, avant de franchir l'Adour et rejoindre l'US Dax. A l'UBB, avec une régularité métronomique, Cyril a réussi à gagner sa place, profitant des blessures des uns, s'affirmant toujours un peu plus dans ce rôle ingrat auprès de tous les entraîneurs de l'Union. Ibanez, Brunel, Teague, Worsley ont tous fait confiance à ce joli gabarit, lui offrant plus de 20 apparitions chaque saison. Et cela malgré la concurrence de sacrés gaillards plus expérimentés.
" Je me sens au top de ma forme"
La confiance du staff, une panoplie plus élargie, notamment en touche, où il continue à s'améliorer, Cyril Cazeaux réalise certainement son meilleur début de saison. "J'ai la chance que Christophe me fasse confiance, je m'entends bien avec Kane (NDLR : Douglas) et puis je n'ai pas eu de blessures" modère-t-il. Ses performances ne sont pas passées inaperçues pour le staff du XV de France qui l'avait reçu et l'a finalement choisi parmi les 42. "Franchement, je n'y croyais pas quand j'ai reçu l'appel mercredi. Tour le monde m'en parlait, mais je n'y pensais pas. Je suis très heureux. Après le plus dur reste à faire. C'est très bien d'y mettre un pied. Encore faut-il y rester. Il me reste beaucoup de travail à faire."
Ce premier passage dans le groupe France démontre la valeur du jeune 2e ligne. Il retrouvera le maillot bleu, du moins à l'entraînement, 5 ans après avoir porté celui des moins de 20 ans. Celui qui avait reçu le surnom de "Gaston" de la part d'un kiné en raison de son port d'épaule, à son arrivée, a trouvé son rythme, et un peu plus d'agressivité, chose demandée par le staff : "Même si je n'ai que 24 ans, je me sens au top de ma forme". Sans bruit, le joueur apporte sa pierre à l'édifice des avants, bataillant ferme dans les rucks et les mauls, sans l'ouvrir, ni faire le spectacle, mais diablement efficace.
Mis au repos contre Bayonne, Christophe Urios devrait le titulariser contre Edimbourg, pour ce qui constituera la finale de poule, en Challenge Cup. Avec Cyril Cazeaux, il peut-être sûr que la valeur combat ne sera pas négligée.
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Re: Cyril Cazeaux
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Re: Cyril Cazeaux
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2020-2021/top-14-cyril-cazeaux-le-deuxieme-ligne-qui-monte_sto8137267/story.shtml
Cyril Cazeaux , le deuxième ligne qui monte
Par Jérôme Prevot via Midi Olympique
TOP 14 - Le joueur de l'UBB multiplie les bons matchs en 2020-21. Il est devenu l'un des hommes de base du collectif bordelais. Il nous a livré quelques confidences.
Il est arrivé en 2015 à l'UBB en provenance de Dax avec qui il avait goûté au Pro D2. Depuis, il a joué 122 matchs avec le maillot bordeaux avec un peu plus d'assurance chaque année, jusqu'à décrocher une sélection en 2020. Contre le Stade Français (victoire 44-6), il a livré une prestation « quatre étoiles ». Il nous a fait part de ses réflexions en début de semaine.
Cyril, on a l'impression que vous traversez une sacrée bonne période...
Oui, c'est sur. Je me sens en forme personnellement, mais tout le monde peut le faire quand il est porté par un tel collectif. Actuellement, avec l'UBB nous arrivons à produire du bon rugby, nous avons confiance en nous et en fait, tout le monde fait des gros matchs.
La semaine passée, on a beaucoup parlé à juste titre de Ben Botica qui a inscrit 27 points. Les observateurs vous ont remarqué, c'est vrai, mais votre nom a été moins cité. Est-ce frustrant de jouer deuxième ligne ?
Non, j'ai toujours joué à ce poste. Il implique des tâches ingrates, je le sais. Mais je prends du plaisir à les faire. C'est un peu frustrant sans doute de n'être apprécié que par des spécialistes, mais ça toujours été comme ça. On est moins mis en avant que d'autres joueurs comme des demis d'ouverture, mais on sait qu'on est aussi important que les joueurs qui brillent. Justement, pour qu'ils brillent, on doit faire notre boulot et au final je suis content pour eux.
Sur un terrain, dans quoi prenez-vous votre pied ?
Dans le jeu d'avant, de duels, de contacts ; le fait de prendre le pas sur l'adversaire pour mettre l'équipe dans l'avancée.
Etes-vous plutôt un numéro 4 ou un numéro 5 ? Christophe Urios semble vous considérer davantage comme un numéro 5...
Je n'ai pas de préférence. Je joue aux deux postes. Normalement, le 5 est censé être plus pousseur, le 4 plus coureur. Mais je me sens entre les deux, je suis un peu un bâtard.
Depuis l'automne dernier, vous êtes international...
Oui, j'ai joué contre l'Italie en Autumn Nations Cup. C'était un moment énorme, un souvenir qui restera gravé dans ma vie. Et c'est vrai, j'ai été un peu déçu de ne pas être reconvoqué, mais ce n'est pas une fin en soi. J'espère pouvoir y regoûter un jour, mais le plus important c'est que je me sente très bien à l'UBB. Je ne suis pas focalisé sur un retour chez les Bleus, je ne suis pas obsédé par mon cas individuel, car ce serait la meilleure façon de se « perdre les chèvres » et de faire un mauvais match.
Comment expliquer la période faste que traverse actuellement l'UBB ?
Les victoires qui s'enchaînent rendent tout plus facile. Le discours de Christophe Urios nous met à l'aise aussi. La victoire vient facilement. En plus, on sort de victoires contre des grosses équipes, des concurrents directs, mais ça s'est joué parfois à rien, il ne faut pas l'oublier. Peut-être que nous avons actuellement une forme de confiance qui nous conduit à bien gérer les fins de match. Voilà la différence.
Retrouvez-vous les sensations de la saison 2019-2020 qui vous voyait caracoler en tête du Top 14 avant l'arrêt du championnat ?
Oui, c'est un peu pareil. Nous n'avons aucun doute en nous. On sait qu'on peut le faire et du coup, on arrive à le faire.
Vous êtes là depuis longtemps maintenant, on vous a vu peu à peu grimper dans la hiérarchie.
Je suis arrivé ici à 19 ans, j'ai grappillé du jeu à droite à gauche, puis j'ai commencé à jouer un petit peu plus chaque année. J'ai engrangé de la maturité, il en faut à ce poste, j''arrive désormais dans la tranche d'âge, après 25 ans, où je commence à prendre plaisir dans tout ce que je fais.
Vous surnomme-t-on toujours Gaston ?
Toujours, et ça ne changera pas. Un de nos kinésithérapeutes m'a surnommé comme ça, car je me tenais les épaules en avant comme Gaston Lagaffe et c'est resté. Mais depuis j'ai travaillé pour me redresser.
Cyril Cazeaux , le deuxième ligne qui monte
Par Jérôme Prevot via Midi Olympique
TOP 14 - Le joueur de l'UBB multiplie les bons matchs en 2020-21. Il est devenu l'un des hommes de base du collectif bordelais. Il nous a livré quelques confidences.
Il est arrivé en 2015 à l'UBB en provenance de Dax avec qui il avait goûté au Pro D2. Depuis, il a joué 122 matchs avec le maillot bordeaux avec un peu plus d'assurance chaque année, jusqu'à décrocher une sélection en 2020. Contre le Stade Français (victoire 44-6), il a livré une prestation « quatre étoiles ». Il nous a fait part de ses réflexions en début de semaine.
Cyril, on a l'impression que vous traversez une sacrée bonne période...
Oui, c'est sur. Je me sens en forme personnellement, mais tout le monde peut le faire quand il est porté par un tel collectif. Actuellement, avec l'UBB nous arrivons à produire du bon rugby, nous avons confiance en nous et en fait, tout le monde fait des gros matchs.
La semaine passée, on a beaucoup parlé à juste titre de Ben Botica qui a inscrit 27 points. Les observateurs vous ont remarqué, c'est vrai, mais votre nom a été moins cité. Est-ce frustrant de jouer deuxième ligne ?
Non, j'ai toujours joué à ce poste. Il implique des tâches ingrates, je le sais. Mais je prends du plaisir à les faire. C'est un peu frustrant sans doute de n'être apprécié que par des spécialistes, mais ça toujours été comme ça. On est moins mis en avant que d'autres joueurs comme des demis d'ouverture, mais on sait qu'on est aussi important que les joueurs qui brillent. Justement, pour qu'ils brillent, on doit faire notre boulot et au final je suis content pour eux.
Sur un terrain, dans quoi prenez-vous votre pied ?
Dans le jeu d'avant, de duels, de contacts ; le fait de prendre le pas sur l'adversaire pour mettre l'équipe dans l'avancée.
Etes-vous plutôt un numéro 4 ou un numéro 5 ? Christophe Urios semble vous considérer davantage comme un numéro 5...
Je n'ai pas de préférence. Je joue aux deux postes. Normalement, le 5 est censé être plus pousseur, le 4 plus coureur. Mais je me sens entre les deux, je suis un peu un bâtard.
Depuis l'automne dernier, vous êtes international...
Oui, j'ai joué contre l'Italie en Autumn Nations Cup. C'était un moment énorme, un souvenir qui restera gravé dans ma vie. Et c'est vrai, j'ai été un peu déçu de ne pas être reconvoqué, mais ce n'est pas une fin en soi. J'espère pouvoir y regoûter un jour, mais le plus important c'est que je me sente très bien à l'UBB. Je ne suis pas focalisé sur un retour chez les Bleus, je ne suis pas obsédé par mon cas individuel, car ce serait la meilleure façon de se « perdre les chèvres » et de faire un mauvais match.
Comment expliquer la période faste que traverse actuellement l'UBB ?
Les victoires qui s'enchaînent rendent tout plus facile. Le discours de Christophe Urios nous met à l'aise aussi. La victoire vient facilement. En plus, on sort de victoires contre des grosses équipes, des concurrents directs, mais ça s'est joué parfois à rien, il ne faut pas l'oublier. Peut-être que nous avons actuellement une forme de confiance qui nous conduit à bien gérer les fins de match. Voilà la différence.
Retrouvez-vous les sensations de la saison 2019-2020 qui vous voyait caracoler en tête du Top 14 avant l'arrêt du championnat ?
Oui, c'est un peu pareil. Nous n'avons aucun doute en nous. On sait qu'on peut le faire et du coup, on arrive à le faire.
Vous êtes là depuis longtemps maintenant, on vous a vu peu à peu grimper dans la hiérarchie.
Je suis arrivé ici à 19 ans, j'ai grappillé du jeu à droite à gauche, puis j'ai commencé à jouer un petit peu plus chaque année. J'ai engrangé de la maturité, il en faut à ce poste, j''arrive désormais dans la tranche d'âge, après 25 ans, où je commence à prendre plaisir dans tout ce que je fais.
Vous surnomme-t-on toujours Gaston ?
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Re: Cyril Cazeaux
Ça lui va bien la maturité à Cyril, c'est vraiment un bon mec, avec le sens du collectif et cette capacité à l'abnégation, sans aucun problème d'égo. Un joueur ultra précieux dans le collectif, qui joue de mieux en mieux, de plus en plus juste, qui prend une autre dimension. Seul inconvénient, il faudra s'attendre parfois à devoir se passer de lui, comme Jalibert, Woki, Paiva et bientôt Buros...
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Re: Cyril Cazeaux
C'est vraiment dommage, il était sur une super dynamique, un peu comme Woki.
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Re: Cyril Cazeaux
Merde !!!
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Re: Cyril Cazeaux
Bon rétablissement Cyril !
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Re: Cyril Cazeaux
Bon rétablissement à C Cazeaux.
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Re: Cyril Cazeaux
Bon rétablissement Cyril, compliqué cette blessure apparemment!
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Re: Cyril Cazeaux
Bon rétablissement Cyril ; ça me sidère toujours ces opérations ratées
Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Cyril Cazeaux
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