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Ian Kitwanga
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Ian Kitwanga
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Ian Kitwanga
https://www.lerugbynistere.fr/news/il-a-fait-son-premier-match-en-top-14-decouvrez-ian-kitwanga-la-derniere-trouvaille-bordelaise-1012201742.php
Il a fait son premier match en Top 14 : découvrez Ian Kitwanga, la dernière trouvaille bordelaise
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Le jeune bordelais s'envole dans les airs pour son premier essai en Top 14.
Tout nouveau en Top 14, le deuxième ou troisième ligne Ian Kitwanga a tout pour devenir une surprise de l'effectif bordelais.
Passé les critiques, ces périodes de doublons interminables comme l’a connu le calendrier durant cette Autumn Nations Cup permet aussi de faire des heureux. En l’occurence de faire découvrir l’équipe professionnelle et le Top 14 à des jeunes éléments seulement habitués aux joutes du groupe Espoirs en temps normal. C’est le cas de Ian Kitwanga, annoncé comme une terreur avec le centre de formation de l’UBB mais qui, depuis son arrivée à l’été 2019, n’avait connu l'équipe première que pour une petite feuille de match en Challenge Européen l’an passé. Jusqu’à ses débuts en Top 14 sous la tunique bordelaise du côté de Montpellier voilà 10 jours.
Et quels débuts ! Entré juste avant l’heure de jeu vêtu de son immense maillot floqué du numéro 19, le deuxième ou troisième ligne de 21 ans n’eut besoin que de 7 petites minutes pour inscrire son premier essai en pro. Au soutien extérieur de Rémi Lamerat en bout de ligne, l’ancien joueur de la Western Province, bien servi d’un offload par ce dernier, n’avait plus cas plonger et étaler son énorme carcasse dans l’en-but du GGL Stadium. Dans la foulée et après un exploit de Ben Lam, les Girondins s’imposaient d’un cheveu face au MHR (22 à 23), l’un des cadors annoncé du championnat. What else ?
Parcours atypique
Pourtant, le parcours du nouveau colosse bordelais (2m01 pour 122kg) n’a rien eu, lui, d’aussi facile. Né sur les bords de l’équateur, au Congo-Brazzaville, Kitwanga a ensuite battu le fer en Afrique du Sud - proche du Cap - sans jamais obtenir la nationalité de son pays d’adoption ni représenté ses équipes jeunes, donc. Déçu, cela lui a néanmoins donné des idées lors de son arrivée dans l’Hexagone voilà un an et demi. “J’ai vécu plus de 11 ans en Afrique du Sud, j’ai fait une demande de passeport, mais le Ministère de l’Intérieur n’a pas voulu me le donner, expliquait le principal intéressé en juin dernier lors d’une invitation sur un live Instagram de l’UBB. […] En France, il faut passer trois ans dans un centre de formation professionnel avant d’être compté comme JIFF. Ça veut dire que l’on ne compte plus comme un joueur étranger mais comme un joueur français. C’est ce que je veux faire."
Ce qui signifie qu’il sera considéré comme tel à la fin de son contrat du côté de Chaban en 2022. De quoi envisager une suite dans l’Hexagone ? Si rien n’est encore acté, il y a en effet de quoi le penser. Et c’est tout bon pour Bordeaux. Car mine de rien, son jeune talent n’était pas n’importe dans la nation arc-en-ciel. Passé par le Parkland College avant de rejoindre les U19 de la Western Province (principal vivier des Stormers en Super Rugby), le double-mètre de Kitwanga ne passait pas inaperçu au milieu des meilleurs jeunes du pays. De part son gabarit impressionnant, déjà, mais également sa grande mobilité et son habileté ballon en main. Des qualités naturelles qui lui permettaient alors de survoler le championnat des provinces sud-africaines jeune. Domination dans les airs, percussions intéressantes la gonfle calée sous le bras gauche, plaquages remuants, tout y passait. Non sans rappeler - pour les plus calés - le profil hybride d’un autre immigré sud-af’ originaire d’Afrique Centrale, un certain Daniel Adongo (ancien avant des Bulls passé par l’ITM Cup puis le football américain et la NFL ensuite). Un énergumène que les recruteurs de l’UBB n’avait alors pas laissé passé à la vue de ses compilations « Highlights » sur Youtube.
Et son adaptation à la France, alors ? “Je dirais que c’est assez différent, admettait Kitwanga pour son nouveau club il y a quelques mois. En Afrique du Sud, le rugby est plus fait de courses et d’évitement, alors qu’ici c’est plus physique, mais je pense que c’est parce que c’est plus resserré et parce qu’il fait plus froid. C’est plus plusieurs séquences d’avants puis viennent les arrières, alors qu’en Afrique du Sud, on passe plus rapidement le ballon aux arrières […] J’avais plus de courses à faire à cause de mon changement de poste. Mais je dirais que la préparation physique est plus ou moins la même. C’est même parfois plus simple qu’en Afrique du Sud“.
Si son intégration s’est faite progressivement et que le colosse de 21 ans a dû beaucoup travailler son jeu sans ballon notamment, force est de constater qu’il a également joliment progressé depuis son arrivée en Europe. Après avoir perdu 4 kilos (de 122 à 118) pour pouvoir être utilisé un cran plus bas dans le pack, cela semble désormais porter ses fruits. Sur l’action de son essai face à Montpellier, on le vit notamment balayer le terrain et être le premier soutien de ses partenaires à l’opposé de la touche initiale, avant de rester dans le couloir des 15 mètres sur le renversement afin d’apporter une option supplémentaire en bout de ligne. Avec la réussite énoncée plus haut.
Reste maintenant à entretenir la flamme allumée contre Montpellier et de jouer des coudes pour perdurer au milieu d'un pack béglais ultra-concurrentiel. Mais au vu de ses aptitudes exceptionnelles et de sa marge de progression tout aussi grande, Kitwanga semble n’avoir rien d’un éventuel feu de paille.
Il a fait son premier match en Top 14 : découvrez Ian Kitwanga, la dernière trouvaille bordelaise
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Le jeune bordelais s'envole dans les airs pour son premier essai en Top 14.
Tout nouveau en Top 14, le deuxième ou troisième ligne Ian Kitwanga a tout pour devenir une surprise de l'effectif bordelais.
Passé les critiques, ces périodes de doublons interminables comme l’a connu le calendrier durant cette Autumn Nations Cup permet aussi de faire des heureux. En l’occurence de faire découvrir l’équipe professionnelle et le Top 14 à des jeunes éléments seulement habitués aux joutes du groupe Espoirs en temps normal. C’est le cas de Ian Kitwanga, annoncé comme une terreur avec le centre de formation de l’UBB mais qui, depuis son arrivée à l’été 2019, n’avait connu l'équipe première que pour une petite feuille de match en Challenge Européen l’an passé. Jusqu’à ses débuts en Top 14 sous la tunique bordelaise du côté de Montpellier voilà 10 jours.
Et quels débuts ! Entré juste avant l’heure de jeu vêtu de son immense maillot floqué du numéro 19, le deuxième ou troisième ligne de 21 ans n’eut besoin que de 7 petites minutes pour inscrire son premier essai en pro. Au soutien extérieur de Rémi Lamerat en bout de ligne, l’ancien joueur de la Western Province, bien servi d’un offload par ce dernier, n’avait plus cas plonger et étaler son énorme carcasse dans l’en-but du GGL Stadium. Dans la foulée et après un exploit de Ben Lam, les Girondins s’imposaient d’un cheveu face au MHR (22 à 23), l’un des cadors annoncé du championnat. What else ?
Parcours atypique
Pourtant, le parcours du nouveau colosse bordelais (2m01 pour 122kg) n’a rien eu, lui, d’aussi facile. Né sur les bords de l’équateur, au Congo-Brazzaville, Kitwanga a ensuite battu le fer en Afrique du Sud - proche du Cap - sans jamais obtenir la nationalité de son pays d’adoption ni représenté ses équipes jeunes, donc. Déçu, cela lui a néanmoins donné des idées lors de son arrivée dans l’Hexagone voilà un an et demi. “J’ai vécu plus de 11 ans en Afrique du Sud, j’ai fait une demande de passeport, mais le Ministère de l’Intérieur n’a pas voulu me le donner, expliquait le principal intéressé en juin dernier lors d’une invitation sur un live Instagram de l’UBB. […] En France, il faut passer trois ans dans un centre de formation professionnel avant d’être compté comme JIFF. Ça veut dire que l’on ne compte plus comme un joueur étranger mais comme un joueur français. C’est ce que je veux faire."
Ce qui signifie qu’il sera considéré comme tel à la fin de son contrat du côté de Chaban en 2022. De quoi envisager une suite dans l’Hexagone ? Si rien n’est encore acté, il y a en effet de quoi le penser. Et c’est tout bon pour Bordeaux. Car mine de rien, son jeune talent n’était pas n’importe dans la nation arc-en-ciel. Passé par le Parkland College avant de rejoindre les U19 de la Western Province (principal vivier des Stormers en Super Rugby), le double-mètre de Kitwanga ne passait pas inaperçu au milieu des meilleurs jeunes du pays. De part son gabarit impressionnant, déjà, mais également sa grande mobilité et son habileté ballon en main. Des qualités naturelles qui lui permettaient alors de survoler le championnat des provinces sud-africaines jeune. Domination dans les airs, percussions intéressantes la gonfle calée sous le bras gauche, plaquages remuants, tout y passait. Non sans rappeler - pour les plus calés - le profil hybride d’un autre immigré sud-af’ originaire d’Afrique Centrale, un certain Daniel Adongo (ancien avant des Bulls passé par l’ITM Cup puis le football américain et la NFL ensuite). Un énergumène que les recruteurs de l’UBB n’avait alors pas laissé passé à la vue de ses compilations « Highlights » sur Youtube.
Et son adaptation à la France, alors ? “Je dirais que c’est assez différent, admettait Kitwanga pour son nouveau club il y a quelques mois. En Afrique du Sud, le rugby est plus fait de courses et d’évitement, alors qu’ici c’est plus physique, mais je pense que c’est parce que c’est plus resserré et parce qu’il fait plus froid. C’est plus plusieurs séquences d’avants puis viennent les arrières, alors qu’en Afrique du Sud, on passe plus rapidement le ballon aux arrières […] J’avais plus de courses à faire à cause de mon changement de poste. Mais je dirais que la préparation physique est plus ou moins la même. C’est même parfois plus simple qu’en Afrique du Sud“.
Si son intégration s’est faite progressivement et que le colosse de 21 ans a dû beaucoup travailler son jeu sans ballon notamment, force est de constater qu’il a également joliment progressé depuis son arrivée en Europe. Après avoir perdu 4 kilos (de 122 à 118) pour pouvoir être utilisé un cran plus bas dans le pack, cela semble désormais porter ses fruits. Sur l’action de son essai face à Montpellier, on le vit notamment balayer le terrain et être le premier soutien de ses partenaires à l’opposé de la touche initiale, avant de rester dans le couloir des 15 mètres sur le renversement afin d’apporter une option supplémentaire en bout de ligne. Avec la réussite énoncée plus haut.
Reste maintenant à entretenir la flamme allumée contre Montpellier et de jouer des coudes pour perdurer au milieu d'un pack béglais ultra-concurrentiel. Mais au vu de ses aptitudes exceptionnelles et de sa marge de progression tout aussi grande, Kitwanga semble n’avoir rien d’un éventuel feu de paille.
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Scalp- Team modo
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Humeur : Positif avant tout
Age : 56
Re: Ian Kitwanga
Bon, on apprend donc quil sera jiff a la fin de son contrat.
J’espère quil aura du temps de jeu consequent. Il faut voir ce quil a dans le ventre.
J’espère quil aura du temps de jeu consequent. Il faut voir ce quil a dans le ventre.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Ian Kitwanga
grospaquet31 a écrit:Bon, on apprend donc quil sera jiff a la fin de son contrat.
J’espère quil aura du temps de jeu consequent. Il faut voir ce quil a dans le ventre.
On va le voir, surtout si on ne cherche pas de joker à Gorgadze...
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Scalp- Team modo
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Humeur : Positif avant tout
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Re: Ian Kitwanga
On le verra s'il s'améliore sur le placage et le ruck, et surtout s'il parvient à monter le curseur de la dureté et de la hargne, lui le pour l'instant non jiff.

le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Ian Kitwanga
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Scalp- Team modo
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Re: Ian Kitwanga
Bien sympa !
Merci Scalp.
Merci Scalp.

le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
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