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XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
Les Bleues l'emportent avec le bonus offensif face au Pays de Galles dans le Tournoi fémin
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Les-bleues-l-emportent-avec-le-bonus-offensif-face-au-pays-de-galles-dans-le-tournoi-feminin/1392911
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
6 Nations féminin - "On a les armes pour faire un hold-up !" : Les Françaises confiantes pour Twickenham
https://www.rugbyrama.fr/2023/04/25/6-nations-feminin-on-a-les-armes-pour-faire-un-hold-up-les-francaises-confiantes-pour-twickenham-11157658.php
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Re: XV de France féminin
VI Nations (F) : Les affluences ? "C’est énorme pour le rugby féminin", s’emballe Trémoulière
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tournoi-des-6-nations/vi-nations-f-les-affluences-c-est-enorme-pour-le-rugby-feminin-s-emballe-tremouliere_VN-202304260537.html
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Re: XV de France féminin
Rugby. Jessy Trémoulière, dernier match en Bleue : "Je ne veux pas me gâcher ces instants"
https://actu.fr/sports/rugby/pro/rugby-jessy-tremouliere-dernier-match-en-bleue-je-ne-veux-pas-me-gacher-ces-instants_59231934.html
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
Scalp a écrit:
https://twitter.com/FranceRugby/status/1651250524153364482?s=20
Déçu de ne pas voir ménager d'entrée
nadoloubb- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
nadoloubb a écrit:Scalp a écrit:
https://twitter.com/FranceRugby/status/1651250524153364482?s=20
Déçu de ne pas voir ménager d'entrée
Réserve de puissance pour la dernière partie du match, mais elle va sûrement renter assez tôt, on se fait souvent user par le pack anglais...
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Re: XV de France féminin
David Ortiz, co-sélectionneur des Bleues, avant Angleterre-France : « Un match historique »
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/David-ortiz-co-selectionneur-des-bleues-avant-angleterre-france-un-match-historique/1393600
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Re: XV de France féminin
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le-quinze-du-xv-de-france-face-a-l-angleterre-analyse-par-celine-ferer/1393699
Le quinze des Bleues face à l'Angleterre analysé par Céline Ferer
L'ancienne capitaine du quinze de France Céline Ferer, retirée des terrains à l'issue de la dernière Coupe du monde cet automne, dresse le portrait des Bleues qui débuteront la « finale » du Tournoi des Six Nations ce samedi à Twickenham. Avec tendresse et légèreté.
Adrien Corée
1. Yllana Brosseau (Bobigny, 22 ans, 9 sélections) : « Un fort potentiel »
« C'est une belle surprise. Elle s'envoie vraiment fort sur ces derniers matches. C'est une joueuse à fort potentiel. Elle est très discrète dans la vie de tous les jours, mais quand tu discutes avec elle, comme toutes les jeunes, elle est hyper-sympa, souriante. »
2. Agathe Sochat (Bordeaux, 27 ans, 46 sélections) : « Motivée par sa petite fille »
« Agathe est mon ancienne "coloc". Elle s'est installée clairement à son poste, c'est la "talon" incontournable du quinze de France. C'est une bosseuse. Elle cherche à travailler, à comprendre. C'est une joueuse d'expérience dans ce groupe. Aujourd'hui avec sa petite fille (née le 30 mars), elle a une motivation supplémentaire pour se relever d'un plaquage avec sa petite fille. Ça la porte encore plus. »
3. Rose Bernadou (Montpellier, 23 ans, 12 sélections) : « Un petit rayon de soleil »
« "Rosie", c'est le "smile". Elle rigole tout le temps, elle est top, c'est un petit rayon de soleil dans le groupe. Elle a eu des moments difficiles, des blessures. Le fait de ne pas jouer, ce n'est pas simple à accepter. C'est une joueuse très puissante, il faut qu'elle ait confiance en elle. Ballon en main, elle fait mal à l'adversaire. »
4. Manaé Feleu (Grenoble, 23 ans, 8 sélections) : « Mon petit poulain ! »
« Manaé, c'est mon petit poulain, c'est ma préférée ! J'étais déçue qu'elle ait eu une petite blessure. Tant mieux qu'elle ait pu revenir et qu'elle ait cette occasion de finir ce Tournoi. C'est une grande joueuse en devenir. Et dans la mentalité, c'est vraiment quelqu'un d'extraordinaire, je l'aime beaucoup. »
5. Audrey Forlani (Blagnac, 31 ans, 61 sélections) : « Une bosseuse épanouie »
« "Fofo" est fidèle à elle-même. Elle fait son taf, dans l'ombre. C'est une bosseuse et je la trouve épanouie. Le capitanat a pu la remettre en confiance par rapport à son rugby parce qu'elle a vécu un moment difficile en n'étant pas sélectionnée pour la Coupe du monde. C'est quelqu'un avec qui tu peux partir à la guerre sans problème. »
6. Axelle Berthoumieu (Blagnac, 22 ans, 11 sélections) : « Un sacré numéro »
« "Aque", c'est un sacré numéro ! C'est une petite hyper puissante, dans un profil un peu différent de ce qu'on avait l'habitude de voir en troisième ligne. Ça s'y file. D'ailleurs, on remarque quelques cicatrices sur son visage. Elle met la tête là où d'autres ne mettent pas les mains. »
7. Gaëlle Hermet (Toulouse, 26 ans, 54 sélections) : « Des grands talents d'ailière ! »
« Au-delà de son ancien rôle de capitaine, "Gagou" est une des filles les plus expérimentées devant. Elle sait comment préparer et aborder les matches de haut niveau. Elle a toujours été présente. Ces derniers temps, elle nous a montré ses grands talents d'ailière (rire). J'espère qu'elle va faire un aussi bon match que face aux Galloises. »
8. Charlotte Escudero (Blagnac, 22 ans, 11 sélections) : « Toujours à déconner »
« "Cha" fait plaisir à voir. Elle prend une dimension incroyable. Dans la vie, c'est une "pec", toujours à déconner. Donc quand on la voit aussi sérieuse sur le terrain, c'est presque bizarre ! C'est une joueuse de ballon, une plaqueuse, qui lifte super bien en touche, qui peut sauter aussi. Elle est hyper-complète. Il faut avoir une joueuse comme ça dans l'équipe. »
Ferer sur Ortiz et Mignot : « Des acharnés du travail »
« Ce sont des acharnés du travail. Ils ont leur projet en route qui fonctionne plutôt bien, qui colle bien à la peau des joueuses. Le groupe vit bien à travers leurs entraîneurs. C'est hyper-important d'instaurer un bon climat, une bonne ambiance, de pouvoir partager des choses au-delà du rugby, on est des humains avant tout. Je pense qu'ils ont su trouver le juste milieu. L'expérience de la Coupe du monde leur a sûrement servi d'approche pour les situer. » A. Co.
9. Pauline Bourdon (Toulouse, 27 ans, 48 sélections) : « C'est la fougue »
« Je la connais très bien parce que je serai sa témoin de mariage ! "Paupol", c'est la fougue, tant dans la vie que sur le terrain. Pour le coup, c'est une vraie 9. Quand tu la croises hors du terrain, tu sais qu'elle joue à la mêlée. C'est une joueuse hyper-complète. Il faut vraiment avoir une "Paupol" dans sa vie. »
10. Jessy Trémoulière (Romagnat, 30 ans, 77 sélections) : « Franc du collier »
« La "Jess", c'est la daronne, tout simplement. Au début, tu peux te dire qu'elle s'en fout de tout. Mais quand tu la connais, elle est fantastique. C'est une nana hyper-simple. C'est "Jess" quoi, c'est franc du collier, elle aime se marrer, ne se prend pas la tête. Elle a de l'expérience, tant dans le rugby que dans la vie. Avoir une fille comme ça sur le terrain, ce n'est pas de trop. »
11. Mélissande Llorens (Blagnac, 20 ans, 9 sélections) : « Une super finisseuse »
« "Méli", c'est une des plus jeunes. À l'image de "Cyssou" (Cyrielle Banet), elle a montré sur les derniers matches qu'elle était une super finisseuse. Elle est hyper-rapide, c'est un gros talent. Quand tu l'alignes elle et Cissou sur les ailes, tu sais qu'à partir du moment où elles vont toucher le ballon, il va se passer quelque chose. »
12. Gabrielle Vernier (Blagnac, 25 ans, 36 sélections) : « Elle porte la ligne de trois-quarts »
« "Gaby" a pris une dimension énorme. Sur le plan défensif, on la connaissait pour ses plaquages dévastateurs. Mais là, elle a pris une dimension offensive qui fait plaisir. Au-delà de sa technique, de ses chisteras, elle a vraiment une vision du jeu beaucoup plus mature. On sent qu'elle porte la ligne de trois-quarts. »
13. Marine Ménager (Montpellier, 26 ans, 40 sélections) : « Un profil hyper-puissant »
« Marine, c'est la puissance avant tout. Des fois, elle met des culs dont nous, les avants, sommes presque jalouses. Elle a un profil hyper-puissant qu'on n'a pas trop derrière. Il vaut mieux l'avoir dans son équipe quand elle est lancée balle en main. »
14. Cyrielle Banet (Montpellier, 28 ans, 25 sélections) : « Un super raffut »
« "Cyssou" est une sacrée finisseuse. Tu as l'impression qu'il ne reste que 20 cm entre la touche et la défenseuse, mais elle passe quand même. Avec son super raffut que j'ai pris plus d'une fois à l'entraînement, je sais de quoi je parle ! »
15. Émilie Boulard (Blagnac, 23 ans, 22 sélections) : « La grande tige »
« La petite "Mimi", c'est la grande tige ! Elle a besoin de se remettre en confiance. On l'a vu faire des gros matches. J'ai des souvenirs où elle traversait le terrain. C'est une joueuse plutôt discrète dans la vie de tous les jours. Mais quand tu viens un petit peu la chercher, ce n'est pas la dernière non plus. »
Le quinze des Bleues face à l'Angleterre analysé par Céline Ferer
L'ancienne capitaine du quinze de France Céline Ferer, retirée des terrains à l'issue de la dernière Coupe du monde cet automne, dresse le portrait des Bleues qui débuteront la « finale » du Tournoi des Six Nations ce samedi à Twickenham. Avec tendresse et légèreté.
Adrien Corée
1. Yllana Brosseau (Bobigny, 22 ans, 9 sélections) : « Un fort potentiel »
« C'est une belle surprise. Elle s'envoie vraiment fort sur ces derniers matches. C'est une joueuse à fort potentiel. Elle est très discrète dans la vie de tous les jours, mais quand tu discutes avec elle, comme toutes les jeunes, elle est hyper-sympa, souriante. »
2. Agathe Sochat (Bordeaux, 27 ans, 46 sélections) : « Motivée par sa petite fille »
« Agathe est mon ancienne "coloc". Elle s'est installée clairement à son poste, c'est la "talon" incontournable du quinze de France. C'est une bosseuse. Elle cherche à travailler, à comprendre. C'est une joueuse d'expérience dans ce groupe. Aujourd'hui avec sa petite fille (née le 30 mars), elle a une motivation supplémentaire pour se relever d'un plaquage avec sa petite fille. Ça la porte encore plus. »
3. Rose Bernadou (Montpellier, 23 ans, 12 sélections) : « Un petit rayon de soleil »
« "Rosie", c'est le "smile". Elle rigole tout le temps, elle est top, c'est un petit rayon de soleil dans le groupe. Elle a eu des moments difficiles, des blessures. Le fait de ne pas jouer, ce n'est pas simple à accepter. C'est une joueuse très puissante, il faut qu'elle ait confiance en elle. Ballon en main, elle fait mal à l'adversaire. »
4. Manaé Feleu (Grenoble, 23 ans, 8 sélections) : « Mon petit poulain ! »
« Manaé, c'est mon petit poulain, c'est ma préférée ! J'étais déçue qu'elle ait eu une petite blessure. Tant mieux qu'elle ait pu revenir et qu'elle ait cette occasion de finir ce Tournoi. C'est une grande joueuse en devenir. Et dans la mentalité, c'est vraiment quelqu'un d'extraordinaire, je l'aime beaucoup. »
5. Audrey Forlani (Blagnac, 31 ans, 61 sélections) : « Une bosseuse épanouie »
« "Fofo" est fidèle à elle-même. Elle fait son taf, dans l'ombre. C'est une bosseuse et je la trouve épanouie. Le capitanat a pu la remettre en confiance par rapport à son rugby parce qu'elle a vécu un moment difficile en n'étant pas sélectionnée pour la Coupe du monde. C'est quelqu'un avec qui tu peux partir à la guerre sans problème. »
6. Axelle Berthoumieu (Blagnac, 22 ans, 11 sélections) : « Un sacré numéro »
« "Aque", c'est un sacré numéro ! C'est une petite hyper puissante, dans un profil un peu différent de ce qu'on avait l'habitude de voir en troisième ligne. Ça s'y file. D'ailleurs, on remarque quelques cicatrices sur son visage. Elle met la tête là où d'autres ne mettent pas les mains. »
7. Gaëlle Hermet (Toulouse, 26 ans, 54 sélections) : « Des grands talents d'ailière ! »
« Au-delà de son ancien rôle de capitaine, "Gagou" est une des filles les plus expérimentées devant. Elle sait comment préparer et aborder les matches de haut niveau. Elle a toujours été présente. Ces derniers temps, elle nous a montré ses grands talents d'ailière (rire). J'espère qu'elle va faire un aussi bon match que face aux Galloises. »
8. Charlotte Escudero (Blagnac, 22 ans, 11 sélections) : « Toujours à déconner »
« "Cha" fait plaisir à voir. Elle prend une dimension incroyable. Dans la vie, c'est une "pec", toujours à déconner. Donc quand on la voit aussi sérieuse sur le terrain, c'est presque bizarre ! C'est une joueuse de ballon, une plaqueuse, qui lifte super bien en touche, qui peut sauter aussi. Elle est hyper-complète. Il faut avoir une joueuse comme ça dans l'équipe. »
Ferer sur Ortiz et Mignot : « Des acharnés du travail »
« Ce sont des acharnés du travail. Ils ont leur projet en route qui fonctionne plutôt bien, qui colle bien à la peau des joueuses. Le groupe vit bien à travers leurs entraîneurs. C'est hyper-important d'instaurer un bon climat, une bonne ambiance, de pouvoir partager des choses au-delà du rugby, on est des humains avant tout. Je pense qu'ils ont su trouver le juste milieu. L'expérience de la Coupe du monde leur a sûrement servi d'approche pour les situer. » A. Co.
9. Pauline Bourdon (Toulouse, 27 ans, 48 sélections) : « C'est la fougue »
« Je la connais très bien parce que je serai sa témoin de mariage ! "Paupol", c'est la fougue, tant dans la vie que sur le terrain. Pour le coup, c'est une vraie 9. Quand tu la croises hors du terrain, tu sais qu'elle joue à la mêlée. C'est une joueuse hyper-complète. Il faut vraiment avoir une "Paupol" dans sa vie. »
10. Jessy Trémoulière (Romagnat, 30 ans, 77 sélections) : « Franc du collier »
« La "Jess", c'est la daronne, tout simplement. Au début, tu peux te dire qu'elle s'en fout de tout. Mais quand tu la connais, elle est fantastique. C'est une nana hyper-simple. C'est "Jess" quoi, c'est franc du collier, elle aime se marrer, ne se prend pas la tête. Elle a de l'expérience, tant dans le rugby que dans la vie. Avoir une fille comme ça sur le terrain, ce n'est pas de trop. »
11. Mélissande Llorens (Blagnac, 20 ans, 9 sélections) : « Une super finisseuse »
« "Méli", c'est une des plus jeunes. À l'image de "Cyssou" (Cyrielle Banet), elle a montré sur les derniers matches qu'elle était une super finisseuse. Elle est hyper-rapide, c'est un gros talent. Quand tu l'alignes elle et Cissou sur les ailes, tu sais qu'à partir du moment où elles vont toucher le ballon, il va se passer quelque chose. »
12. Gabrielle Vernier (Blagnac, 25 ans, 36 sélections) : « Elle porte la ligne de trois-quarts »
« "Gaby" a pris une dimension énorme. Sur le plan défensif, on la connaissait pour ses plaquages dévastateurs. Mais là, elle a pris une dimension offensive qui fait plaisir. Au-delà de sa technique, de ses chisteras, elle a vraiment une vision du jeu beaucoup plus mature. On sent qu'elle porte la ligne de trois-quarts. »
13. Marine Ménager (Montpellier, 26 ans, 40 sélections) : « Un profil hyper-puissant »
« Marine, c'est la puissance avant tout. Des fois, elle met des culs dont nous, les avants, sommes presque jalouses. Elle a un profil hyper-puissant qu'on n'a pas trop derrière. Il vaut mieux l'avoir dans son équipe quand elle est lancée balle en main. »
14. Cyrielle Banet (Montpellier, 28 ans, 25 sélections) : « Un super raffut »
« "Cyssou" est une sacrée finisseuse. Tu as l'impression qu'il ne reste que 20 cm entre la touche et la défenseuse, mais elle passe quand même. Avec son super raffut que j'ai pris plus d'une fois à l'entraînement, je sais de quoi je parle ! »
15. Émilie Boulard (Blagnac, 23 ans, 22 sélections) : « La grande tige »
« La petite "Mimi", c'est la grande tige ! Elle a besoin de se remettre en confiance. On l'a vu faire des gros matches. J'ai des souvenirs où elle traversait le terrain. C'est une joueuse plutôt discrète dans la vie de tous les jours. Mais quand tu viens un petit peu la chercher, ce n'est pas la dernière non plus. »
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Re: XV de France féminin
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Penible-chambreuse-marlie-packer-l-anglaise-qui-enerve-les-bleues/1393839
Pénible, chambreuse : Marlie Packer, l'Anglaise qui énerve les Bleues
Inépuisable casse-pieds sur un terrain, la capitaine anglaise Marlie Packer s'est imposée comme la principale tourmenteuse des Françaises, par le jeu comme par la parole. Elle sera face aux Bleues dimanche (14 heures), pour la « finale » du Tournoi des Six Nations.

Clara Joyeux et Marlie Packer, lors du Tournoi des Six Nations 2022. (N. Luttiau /L'Equipe)
Adrien Corée
Avec Marlie Packer, il y a le visible et l'invisible. Ce qui saute aux yeux de tous, c'est son impressionnant abattage sur un terrain. La massive troisième-ligne de l'Angleterre (92 sélections) est passée maîtresse dans l'art du grattage. Et l'impact physique qu'elle impose sur la ligne d'avantage, illustré par ses six essais depuis le début du Tournoi, incarne à la perfection la domination mondiale des Red Roses dans le secteur porteur de la démolition en règle. Voilà pour le rugby pur.
Provocations et célébrations surjouées
Mais Marlie Packer (33 ans), c'est aussi tout ce qui ne se voit pas. Ou plutôt ne s'entend pas. De l'aveu des Françaises, qui n'ont que trop l'habitude de la croiser, la nouvelle capitaine anglaise est la souveraine au royaume des pénibles. Provocations, célébrations surjouées et mots doux composent le joyeux cocktail préparé par Mrs. Packer.
« Elle a ce côté agaçant, qui est clairement volontaire »
Agathe Sochat, talonneuse des Bleues
« On la voit beaucoup s'exprimer mais les téléspectateurs ne perçoivent pas forcément ce que nous pouvons entendre sur le terrain, sourit la talonneuse des Bleues, Agathe Sochat. Elle a ce côté agaçant, qui est clairement volontaire. Elle essaye de jouer avec les nerfs de ses adversaires. » Le cours d'anglais gratuit dispensé par Packer n'est, à force, plus une surprise, mais il constitue toujours un défi supplémentaire à relever. « Les filles expérimentées qui ont déjà joué plusieurs Crunchs nous en ont parlé, confie la jeune ailière Mélissande Llorens. On sait que les Anglaises aiment bien piquer, être dans la provocation. »
« Ce n'est pas une attaque personnelle contre l'adversaire »
Marlie Packer
Packer elle-même reconnaît volontiers ce penchant pour l'exubérance, mais assure ne cibler personne. « Je parle beaucoup sur le terrain, c'est vrai, mais c'est pour me motiver et emmener l'équipe avec moi, plaide-t-elle sur un ton si courtois qu'on peine à reconnaître le démon qui sévit sur le terrain. Ce n'est pas une attaque personnelle contre l'adversaire. En fait, c'est juste comme ça que je fonctionne. J'ai besoin de ça, de cette confiance, et de l'infuser à mes coéquipières. Il faut célébrer toutes les petites victoires dans un match. C'est ma façon d'agir et ma façon d'être sur le terrain. »
Sochat abonde : « Ça fait partie du personnage. Les Anglaises ne parlent pas forcément mal mais elles mettent la pression par la parole. Même entre elles, quand elles s'encouragent, on dirait qu'elles s'engueulent ! Ça peut déranger ou énerver les premières fois. On a juste envie qu'elles se taisent, quoi ! »
« Quand Marlie Packer parle, j'ai juste envie de lui mettre un gros plaquage ! »
Agathe Sochat
Les Bleues savent déjà qu'elles auront deux guerres à mener de front, et la bataille mentale ne sera pas forcément la plus facile à remporter. La jeune deuxième-ligne Maëlle Picut, pas retenue dans les 23 pour le Crunch de dimanche après-midi, a déjà affronté Packer dans le Championnat anglais : « Tu sais qu'elle va se comporter comme ça, tu sais à quoi t'attendre. Il faut juste ignorer et rester dans le match. »
« Pour les Anglaises, le chambrage est culturel, elles essaient toujours de nous perturber, c'est le jeu, s'amuse presque Romane Ménager. Ça fait des années que c'est comme ça, ça ne changera pas. Elles seront meilleures que nous à ce petit jeu-là, donc il ne faut pas trop y rentrer. Bien sûr, ça peut être agaçant, mais ça peut aussi nous galvaniser encore plus. »
Les Bleues peuvent-elles alors renverser la botte secrète de l'Angleterre contre elle-même ? Sochat et ses coéquipières puiseraient bien dans les provocations adverses l'énergie nécessaire pour salir enfin l'immaculé maillot blanc. « Quand Marlie Packer parle, j'ai juste envie de lui mettre un gros plaquage !, rigole la talonneuse. Et je suis convaincue que, si on lui gratte un ballon, ça ne lui plaira pas. Bien moins que des mots. » Peut-être alors que la bande à Packer se taira une bonne fois pour toutes.
Pénible, chambreuse : Marlie Packer, l'Anglaise qui énerve les Bleues
Inépuisable casse-pieds sur un terrain, la capitaine anglaise Marlie Packer s'est imposée comme la principale tourmenteuse des Françaises, par le jeu comme par la parole. Elle sera face aux Bleues dimanche (14 heures), pour la « finale » du Tournoi des Six Nations.

Clara Joyeux et Marlie Packer, lors du Tournoi des Six Nations 2022. (N. Luttiau /L'Equipe)
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Avec Marlie Packer, il y a le visible et l'invisible. Ce qui saute aux yeux de tous, c'est son impressionnant abattage sur un terrain. La massive troisième-ligne de l'Angleterre (92 sélections) est passée maîtresse dans l'art du grattage. Et l'impact physique qu'elle impose sur la ligne d'avantage, illustré par ses six essais depuis le début du Tournoi, incarne à la perfection la domination mondiale des Red Roses dans le secteur porteur de la démolition en règle. Voilà pour le rugby pur.
Provocations et célébrations surjouées
Mais Marlie Packer (33 ans), c'est aussi tout ce qui ne se voit pas. Ou plutôt ne s'entend pas. De l'aveu des Françaises, qui n'ont que trop l'habitude de la croiser, la nouvelle capitaine anglaise est la souveraine au royaume des pénibles. Provocations, célébrations surjouées et mots doux composent le joyeux cocktail préparé par Mrs. Packer.
« Elle a ce côté agaçant, qui est clairement volontaire »
Agathe Sochat, talonneuse des Bleues
« On la voit beaucoup s'exprimer mais les téléspectateurs ne perçoivent pas forcément ce que nous pouvons entendre sur le terrain, sourit la talonneuse des Bleues, Agathe Sochat. Elle a ce côté agaçant, qui est clairement volontaire. Elle essaye de jouer avec les nerfs de ses adversaires. » Le cours d'anglais gratuit dispensé par Packer n'est, à force, plus une surprise, mais il constitue toujours un défi supplémentaire à relever. « Les filles expérimentées qui ont déjà joué plusieurs Crunchs nous en ont parlé, confie la jeune ailière Mélissande Llorens. On sait que les Anglaises aiment bien piquer, être dans la provocation. »
« Ce n'est pas une attaque personnelle contre l'adversaire »
Marlie Packer
Packer elle-même reconnaît volontiers ce penchant pour l'exubérance, mais assure ne cibler personne. « Je parle beaucoup sur le terrain, c'est vrai, mais c'est pour me motiver et emmener l'équipe avec moi, plaide-t-elle sur un ton si courtois qu'on peine à reconnaître le démon qui sévit sur le terrain. Ce n'est pas une attaque personnelle contre l'adversaire. En fait, c'est juste comme ça que je fonctionne. J'ai besoin de ça, de cette confiance, et de l'infuser à mes coéquipières. Il faut célébrer toutes les petites victoires dans un match. C'est ma façon d'agir et ma façon d'être sur le terrain. »
Sochat abonde : « Ça fait partie du personnage. Les Anglaises ne parlent pas forcément mal mais elles mettent la pression par la parole. Même entre elles, quand elles s'encouragent, on dirait qu'elles s'engueulent ! Ça peut déranger ou énerver les premières fois. On a juste envie qu'elles se taisent, quoi ! »
« Quand Marlie Packer parle, j'ai juste envie de lui mettre un gros plaquage ! »
Agathe Sochat
Les Bleues savent déjà qu'elles auront deux guerres à mener de front, et la bataille mentale ne sera pas forcément la plus facile à remporter. La jeune deuxième-ligne Maëlle Picut, pas retenue dans les 23 pour le Crunch de dimanche après-midi, a déjà affronté Packer dans le Championnat anglais : « Tu sais qu'elle va se comporter comme ça, tu sais à quoi t'attendre. Il faut juste ignorer et rester dans le match. »
« Pour les Anglaises, le chambrage est culturel, elles essaient toujours de nous perturber, c'est le jeu, s'amuse presque Romane Ménager. Ça fait des années que c'est comme ça, ça ne changera pas. Elles seront meilleures que nous à ce petit jeu-là, donc il ne faut pas trop y rentrer. Bien sûr, ça peut être agaçant, mais ça peut aussi nous galvaniser encore plus. »
Les Bleues peuvent-elles alors renverser la botte secrète de l'Angleterre contre elle-même ? Sochat et ses coéquipières puiseraient bien dans les provocations adverses l'énergie nécessaire pour salir enfin l'immaculé maillot blanc. « Quand Marlie Packer parle, j'ai juste envie de lui mettre un gros plaquage !, rigole la talonneuse. Et je suis convaincue que, si on lui gratte un ballon, ça ne lui plaira pas. Bien moins que des mots. » Peut-être alors que la bande à Packer se taira une bonne fois pour toutes.
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
Vidéo. Tournoi des Six-Nations féminin : 3 raisons de ne pas manquer Angleterre-France
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/video-tournoi-des-six-nations-feminin-3-raisons-de-ne-pas-manquer-angleterre-france-14944080.php
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/video-tournoi-des-six-nations-feminin-3-raisons-de-ne-pas-manquer-angleterre-france-14944080.php
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Re: XV de France féminin
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Les-bleues-en-quete-d-un-grand-chelem-a-twickenham-contre-l-angleterre/1393900
Les Bleues en quête d'un Grand Chelem à Twickenham contre l'Angleterre
Dans le somptueux décor de Twickenham garni par plus de 50 000 spectateurs, les Bleues ont une jolie occasion de décrocher le Grand Chelem tout en stoppant l'embarrassante série de onze défaites de rang face à l'Angleterre.
Adrien Corée, à Londres
Si la vengeance est un plat qui se mange froid, alors le Crunch dans lequel s'apprêtent à croquer les Bleues sort tout droit du congélo. Cela fait bien longtemps que l'on ne peut plus parler de revanche quand l'équipe de France s'avance face à l'Angleterre, tant les occasions se sont présentées sans que le coq ne parvienne à piétiner la rose. Mais ce qu'il y a de bien avec les élans rebelles, quand ils sont nourris par un sentiment constant de vexation, c'est qu'ils ne périment jamais vraiment.
Cette semaine, assises sur leur matelas confortable de quatre victoires en autant de rencontres depuis le début du Tournoi, les Françaises ont préféré retenir cette série-là plutôt que le mauvais feuilleton anglais en onze épisodes qu'elles subissent depuis plus de quatre ans. « On n'a pas du tout parlé de ça, assure la patronne, Jessy Trémoulière. Le passé, c'est le passé. On a une page blanche, un groupe en construction. »« On ouvre un nouveau chapitre, ajoute le cosélectionneur David Ortiz pour filer la métaphore. Cette série n'est pas la nôtre. On écrit notre histoire depuis un mois. Ce qui nous intéresse, c'est notre nouveau projet. »
La jeunesse, qui prend peu à peu le pouvoir dans l'équipe, estime ainsi de pas avoir de passif avec les Red Roses et ne voit pas forcément de compte à régler puisque la facture est parvenue à la génération précédente. « Pour nous, il n'y a pas tant de rivalité que ça, avance la numéro 8 Charlotte Escudero (22 ans). On est un nouveau groupe, on découvre ce que c'est. »« Je n'ai pas de passé avec les Anglaises », abonde la toute jeune ailière Mélissande Llorens (20 ans).
Cordialité de façade
Derrière cette cordialité de façade, on ne s'enlèvera pas l'idée de la tête que ces Bleues en ont gros, qu'elles se sont certainement dit, dans leur QG de Marcoussis, que l'on peut perdre onze fois contre l'Angleterre, mais pas douze. Et que braquer Twickenham le jour du record mondial d'affluence pour un match de rugby féminin, ça ressemble au coup parfait, celui qui fait oublier les ratés précédents et vous accroche une jolie médaille au plastron.
Pas besoin d'un triomphe d'ailleurs, encore moins d'affoler le tableau d'affichage d'un provocateur 10-53, comme les joueurs de Fabien Galthié en mars. Les Bleues se contenteraient volontiers d'un 3-0 préhistorique, sur un drop de Trémoulière, tiens ! Pour que l'histoire célèbre dans le même élan le début d'une nouvelle ère pour le rugby féminin français et la retraite internationale de la plus illustre de ses représentantes.
« La Duchesse » appelle d'ailleurs ses coéquipières à bomber le torse : « Il ne faut pas se dire que les Anglaises sont des monstres, ce sont des personnes comme nous. On n'a pas à les envier. Nous avons aussi d'énormes qualités dans cette équipe de France. »« Aujourd'hui, on est des clientes sérieuses, c'est sûr, affirmait Gaëlle Mignot, la co-sélectionneuse après le succès grenoblois face aux Galloises dimanche dernier (39-14). Le message qu'on envoie aux autres équipes, c'est qu'on ne lâchera rien, même dans les moments difficiles. »
Et si God save the King, He knows aussi qu'il y en aura, des « moments difficiles », cet après-midi pour les Bleues, face à l'équipe la plus violente sur la scène mondiale. Depuis le début du Tournoi, les Red Roses ont tyrannisé leurs adversaires avec plus de cruauté encore que les Tricolores. La preuve : le 48-0 infligé à l'Irlande chez elle le week-end passé fait figure de plus « mauvais » résultat pour l'Angleterre dans une compétition où elle a déjà planté 39 essais en 4 matches... « Le défi est annoncé depuis le début, c'est une finale, il n'y a plus de questions à se poser, souffle l'expérimentée troisième-ligne, Gaëlle Hermet. Ça va se jouer au mental. »
« Ce match est une étape importante de notre parcours »
David Ortiz, cosélectionneur
Quand il retraversera la Manche samedi soir après la rencontre, ce quinze de France, qui a amorcé sa nouvelle ère sous la direction de son duo de sélectionneurs, ne sera plus tout à fait le même. Reste à savoir quel chemin il aura emprunté. « Ce match est une étape importante de notre parcours », consent Ortiz. « La prochaine Coupe du monde se déroulera en Angleterre (en 2025). On va vivre en quelque sorte une répétition de ce qui pourrait se passer dans deux ans, complète Mignot. Affronter les Anglaises, c'est toujours important dans la construction d'un projet. Ce match arrive au bon moment on va dire (sourire). »
Une victoire face aux vice-championnes du monde aurait ainsi le double avantage d'offrir leur premier titre aux Bleues depuis 2018, tout en leur ouvrant un petit peu plus grand les portes de la notoriété dans un pays qui s'apprête à accueillir le Mondial masculin (8 septembre-28 octobre) et ne demande qu'à s'enthousiasmer pour ce ballon qui ne tourne pas rond. Londres semble tout indiqué pour que les Françaises parlent enfin aux Français.
Les Bleues en quête d'un Grand Chelem à Twickenham contre l'Angleterre
Dans le somptueux décor de Twickenham garni par plus de 50 000 spectateurs, les Bleues ont une jolie occasion de décrocher le Grand Chelem tout en stoppant l'embarrassante série de onze défaites de rang face à l'Angleterre.
Adrien Corée, à Londres
Si la vengeance est un plat qui se mange froid, alors le Crunch dans lequel s'apprêtent à croquer les Bleues sort tout droit du congélo. Cela fait bien longtemps que l'on ne peut plus parler de revanche quand l'équipe de France s'avance face à l'Angleterre, tant les occasions se sont présentées sans que le coq ne parvienne à piétiner la rose. Mais ce qu'il y a de bien avec les élans rebelles, quand ils sont nourris par un sentiment constant de vexation, c'est qu'ils ne périment jamais vraiment.
Cette semaine, assises sur leur matelas confortable de quatre victoires en autant de rencontres depuis le début du Tournoi, les Françaises ont préféré retenir cette série-là plutôt que le mauvais feuilleton anglais en onze épisodes qu'elles subissent depuis plus de quatre ans. « On n'a pas du tout parlé de ça, assure la patronne, Jessy Trémoulière. Le passé, c'est le passé. On a une page blanche, un groupe en construction. »« On ouvre un nouveau chapitre, ajoute le cosélectionneur David Ortiz pour filer la métaphore. Cette série n'est pas la nôtre. On écrit notre histoire depuis un mois. Ce qui nous intéresse, c'est notre nouveau projet. »
La jeunesse, qui prend peu à peu le pouvoir dans l'équipe, estime ainsi de pas avoir de passif avec les Red Roses et ne voit pas forcément de compte à régler puisque la facture est parvenue à la génération précédente. « Pour nous, il n'y a pas tant de rivalité que ça, avance la numéro 8 Charlotte Escudero (22 ans). On est un nouveau groupe, on découvre ce que c'est. »« Je n'ai pas de passé avec les Anglaises », abonde la toute jeune ailière Mélissande Llorens (20 ans).
Cordialité de façade
Derrière cette cordialité de façade, on ne s'enlèvera pas l'idée de la tête que ces Bleues en ont gros, qu'elles se sont certainement dit, dans leur QG de Marcoussis, que l'on peut perdre onze fois contre l'Angleterre, mais pas douze. Et que braquer Twickenham le jour du record mondial d'affluence pour un match de rugby féminin, ça ressemble au coup parfait, celui qui fait oublier les ratés précédents et vous accroche une jolie médaille au plastron.
Pas besoin d'un triomphe d'ailleurs, encore moins d'affoler le tableau d'affichage d'un provocateur 10-53, comme les joueurs de Fabien Galthié en mars. Les Bleues se contenteraient volontiers d'un 3-0 préhistorique, sur un drop de Trémoulière, tiens ! Pour que l'histoire célèbre dans le même élan le début d'une nouvelle ère pour le rugby féminin français et la retraite internationale de la plus illustre de ses représentantes.
« La Duchesse » appelle d'ailleurs ses coéquipières à bomber le torse : « Il ne faut pas se dire que les Anglaises sont des monstres, ce sont des personnes comme nous. On n'a pas à les envier. Nous avons aussi d'énormes qualités dans cette équipe de France. »« Aujourd'hui, on est des clientes sérieuses, c'est sûr, affirmait Gaëlle Mignot, la co-sélectionneuse après le succès grenoblois face aux Galloises dimanche dernier (39-14). Le message qu'on envoie aux autres équipes, c'est qu'on ne lâchera rien, même dans les moments difficiles. »
Et si God save the King, He knows aussi qu'il y en aura, des « moments difficiles », cet après-midi pour les Bleues, face à l'équipe la plus violente sur la scène mondiale. Depuis le début du Tournoi, les Red Roses ont tyrannisé leurs adversaires avec plus de cruauté encore que les Tricolores. La preuve : le 48-0 infligé à l'Irlande chez elle le week-end passé fait figure de plus « mauvais » résultat pour l'Angleterre dans une compétition où elle a déjà planté 39 essais en 4 matches... « Le défi est annoncé depuis le début, c'est une finale, il n'y a plus de questions à se poser, souffle l'expérimentée troisième-ligne, Gaëlle Hermet. Ça va se jouer au mental. »
« Ce match est une étape importante de notre parcours »
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Quand il retraversera la Manche samedi soir après la rencontre, ce quinze de France, qui a amorcé sa nouvelle ère sous la direction de son duo de sélectionneurs, ne sera plus tout à fait le même. Reste à savoir quel chemin il aura emprunté. « Ce match est une étape importante de notre parcours », consent Ortiz. « La prochaine Coupe du monde se déroulera en Angleterre (en 2025). On va vivre en quelque sorte une répétition de ce qui pourrait se passer dans deux ans, complète Mignot. Affronter les Anglaises, c'est toujours important dans la construction d'un projet. Ce match arrive au bon moment on va dire (sourire). »
Une victoire face aux vice-championnes du monde aurait ainsi le double avantage d'offrir leur premier titre aux Bleues depuis 2018, tout en leur ouvrant un petit peu plus grand les portes de la notoriété dans un pays qui s'apprête à accueillir le Mondial masculin (8 septembre-28 octobre) et ne demande qu'à s'enthousiasmer pour ce ballon qui ne tourne pas rond. Londres semble tout indiqué pour que les Françaises parlent enfin aux Français.
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
Mi-temps cauchemardesque, dont on ne relèvera pas
, les Anglaises sont plus fortes que nous, ce n'est pas une surprise, mais quand on commet autant d'imprécisions, de passes et de placages loupées, on donne le bâton pour se faire battre..., cruel, mais mérité, on est inexistant cet après-midi. Les Anglais ont de quoi se consoler de la branlée historique des hommes, ils ont la meilleure équipe féminine européenne et sûrement mondiale.

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