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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
tire-bouchon a écrit:Switch a écrit:Scalp a écrit:
Je suis clairement pour une victoire du ST, mais je sens qu’on risque de subir une overdose de superlatifs
Je me dis qu'un jour, dans longtemps, on regardera derrière et on se dira "bordel, à l'époque le lobby que c'était, Toulouse !". Non parce que là ils en font plus que pour le PSG en Ligue des Champions ou que l'équipe de France de football, voire les JO ! C'est écoeurant.
PSG + Ligue des Champions ?
Y a comme une erreur !
Niveau résultat, certes
Scalp- Team modo
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Big'Ben a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Switch a écrit:Scalp a écrit:
Je suis clairement pour une victoire du ST, mais je sens qu’on risque de subir une overdose de superlatifs
Je me dis qu'un jour, dans longtemps, on regardera derrière et on se dira "bordel, à l'époque le lobby que c'était, Toulouse !". Non parce que là ils en font plus que pour le PSG en Ligue des Champions ou que l'équipe de France de football, voire les JO ! C'est écoeurant.
Moi ma couleur préférée c'est le bleu
Désolé mais ma tunique sera verte. Ne serait-ce que pour la continuité de ce club qui mériterait de gagner après 2 finales perdues d'affilée.
Puis je vous cache pas que j'en ai raz la casquette du ST. J'en fais une overdose, y a pas un match sans mentionner les toulousains moi ça me fait vomir à force.
C'est pourquoi je serai en bleu
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Big'Ben a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Switch a écrit:Scalp a écrit:
Je suis clairement pour une victoire du ST, mais je sens qu’on risque de subir une overdose de superlatifs
Je me dis qu'un jour, dans longtemps, on regardera derrière et on se dira "bordel, à l'époque le lobby que c'était, Toulouse !". Non parce que là ils en font plus que pour le PSG en Ligue des Champions ou que l'équipe de France de football, voire les JO ! C'est écoeurant.
Moi ma couleur préférée c'est le bleu
Désolé mais ma tunique sera verte. Ne serait-ce que pour la continuité de ce club qui mériterait de gagner après 2 finales perdues d'affilée.
Puis je vous cache pas que j'en ai raz la casquette du ST. J'en fais une overdose, y a pas un match sans mentionner les toulousains moi ça me fait vomir à force.
C'est pourquoi je serai en bleu
Certains supporters toulousains m'insupportent, leur lobby médiatique m'insupporte, mais pas leur jeu, quitte à avoir une locomotive pour le rugby hexagonal, je préfère mille fois les avoir eux, leur modèle économique et leur modèle sportif.
Je supporterai toujours les équipes Française en coupe d'Europe, avec des réserves concernant des clubs comme le MHR. Parce que fondamentalement, l'action d'Altrad, déjà condamné par la justice, n'apporte rien de bon dans le rugby. Il n'y a qu'à voir le recrutement de Laporte, c'est l'association d'un corrupteur et d'un corrompu.
Que le ST domine le rugby Français ne me dérange, ce sont les meilleurs défenseurs du Salary Cap, donc un des garants les plus puissants de la qualité de notre championnat. Après, j'espère bien qu'on va les challenger à l'avenir, que nous allons réussi à bâtir notre propre modèle UBB, qu'il va perdurer dans le temps et devienne une véritable institution.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Je plussoie à ton commentaire Scalp. Rien à ajouter. Pour une fois une équipe Française va affronter une franchise Irlandaise à armes égales. Mais pour cela il faut faire une saison régulière parfaite. Gérer son turn over, prendre de l’avance en championnat, pas de blessures à la fois en edf et en top 14. Bref il faut prier tous les we. Pendant ce temps les franchises Irlandaises, jouent la moitié des matchs , perdent à domicile sans risques de relégations, ou presque. Donc je supporterais Toulouse demain. Pour le reste c’est à dire le brouhaha qui s’ensuivra, je basculerais en mode avion.Scalp a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Big'Ben a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Switch a écrit:Scalp a écrit:
Je suis clairement pour une victoire du ST, mais je sens qu’on risque de subir une overdose de superlatifs
Je me dis qu'un jour, dans longtemps, on regardera derrière et on se dira "bordel, à l'époque le lobby que c'était, Toulouse !". Non parce que là ils en font plus que pour le PSG en Ligue des Champions ou que l'équipe de France de football, voire les JO ! C'est écoeurant.
Moi ma couleur préférée c'est le bleu
Désolé mais ma tunique sera verte. Ne serait-ce que pour la continuité de ce club qui mériterait de gagner après 2 finales perdues d'affilée.
Puis je vous cache pas que j'en ai raz la casquette du ST. J'en fais une overdose, y a pas un match sans mentionner les toulousains moi ça me fait vomir à force.
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Certains supporters toulousains m'insupportent, leur lobby médiatique m'insupporte, mais pas leur jeu, quitte à avoir une locomotive pour le rugby hexagonal, je préfère mille fois les avoir eux, leur modèle économique et leur modèle sportif.
Je supporterai toujours les équipes Française en coupe d'Europe, avec des réserves concernant des clubs comme le MHR. Parce que fondamentalement, l'action d'Altrad, déjà condamné par la justice, n'apporte rien de bon dans le rugby. Il n'y a qu'à voir le recrutement de Laporte, c'est l'association d'un corrupteur et d'un corrompu.
Que le ST domine le rugby Français ne me dérange, ce sont les meilleurs défenseurs du Salary Cap, donc un des garants les plus puissants de la qualité de notre championnat. Après, j'espère bien qu'on va les challenger à l'avenir, que nous allons réussi à bâtir notre propre modèle UBB, qu'il va perdurer dans le temps et devienne une véritable institution.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
densnewzealand a écrit:Je plussoie à ton commentaire Scalp. Rien à ajouter. Pour une fois une équipe Française va affronter une franchise Irlandaise à armes égales. Mais pour cela il faut faire une saison régulière parfaite. Gérer son turn over, prendre de l’avance en championnat, pas de blessures à la fois en edf et en top 14. Bref il faut prier tous les we. Pendant ce temps les franchises Irlandaises, jouent la moitié des matchs , perdent à domicile sans risques de relégations, ou presque. Donc je supporterais Toulouse demain. Pour le reste c’est à dire le brouhaha qui s’ensuivra, je basculerais en mode avion.Scalp a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Big'Ben a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Switch a écrit:Scalp a écrit:
Je suis clairement pour une victoire du ST, mais je sens qu’on risque de subir une overdose de superlatifs
Je me dis qu'un jour, dans longtemps, on regardera derrière et on se dira "bordel, à l'époque le lobby que c'était, Toulouse !". Non parce que là ils en font plus que pour le PSG en Ligue des Champions ou que l'équipe de France de football, voire les JO ! C'est écoeurant.
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Puis je vous cache pas que j'en ai raz la casquette du ST. J'en fais une overdose, y a pas un match sans mentionner les toulousains moi ça me fait vomir à force.
C'est pourquoi je serai en bleu
Certains supporters toulousains m'insupportent, leur lobby médiatique m'insupporte, mais pas leur jeu, quitte à avoir une locomotive pour le rugby hexagonal, je préfère mille fois les avoir eux, leur modèle économique et leur modèle sportif.
Je supporterai toujours les équipes Française en coupe d'Europe, avec des réserves concernant des clubs comme le MHR. Parce que fondamentalement, l'action d'Altrad, déjà condamné par la justice, n'apporte rien de bon dans le rugby. Il n'y a qu'à voir le recrutement de Laporte, c'est l'association d'un corrupteur et d'un corrompu.
Que le ST domine le rugby Français ne me dérange, ce sont les meilleurs défenseurs du Salary Cap, donc un des garants les plus puissants de la qualité de notre championnat. Après, j'espère bien qu'on va les challenger à l'avenir, que nous allons réussi à bâtir notre propre modèle UBB, qu'il va perdurer dans le temps et devienne une véritable institution.
comme on dit, il vaut mieux entendre ça que d'être sourd
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-oeil-d-elissalde-apres-le-sacre-de-toulouse-un-dupont-il-y-en-a-un-par-siecle/1470148
L'oeil d'Élissalde après le sacre de Toulouse : « Un Dupont, il y en a un par siècle »
Ancien international (35 sélections, vainqueur du tournoi en 2004 et 2006), Jean-Baptiste Élissalde a été ébloui par la performance d'Antoine Dupont en finale de Coupe des champions. Au point de se demander si un joueur aussi complet a déjà existé.
Jean-Baptiste Élissalde
« Rappelez-vous : le travail invisible, la force de l'habitude. Après la demi-finale contre les Harlequins (38-26), j'avais évoqué ici ces deux aspects pour expliquer le succès de Toulouse. Je les ressors aujourd'hui, car ils ont été de nouveau prépondérants dans la quête du sixième sacre en Champions Cup.
Au sujet de l'habitude, songez par exemple que les Toulousains ont marqué plus de points en prolongation que durant le temps réglementaire. Outre leur fraîcheur physique supérieure, cela souligne leur caractère de champions, leur capacité à ne pas s'affoler, à faire le geste juste dans les moments clés.
Côté Leinster, à l'inverse, durant cette prolongation, il y a eu une faute au sol lunaire de Caelan Doris, pourtant l'un des meilleurs joueurs du monde... Cela a sans doute un rapport avec le fait que Toulouse avait gagné ses sept dernières finales toutes compétitions confondues, alors que Leinster restait sur deux défaites de rang en Champions Cup. Au-delà de ça, voilà mes quelques réflexions au bout de cette finale improbable.
- Il y a un joueur comme Antoine Dupont par siècle, et encore. La certitude qui l'habitait durant cette finale, la manière dont il a pesé sur le match... Au pied, ç'a été une masterclass. Et si on lui avait mis un casque sur la tête, on aurait dit de lui qu'il est le meilleur troisième-ligne du monde. Je ne sais même pas si un joueur aussi complet a déjà existé.
- Toulouse avait décidé d'attaquer fortement les rucks adverses, et cela a empêché le Leinster de prendre de la vitesse. Mais la défense stadiste n'a pas été hermétique et ce sont certains gestes individuels qui ont été décisifs, notamment dans les rucks. Par exemple, quand Dupont, encore lui, revient sur 80 m pour piquer le ballon à Dan Sheehan, c'est un moment incroyable, qui booste autant le Stade qu'il met le Leinster groggy. Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster.
- L'essai de Matthis Lebel, en prolongation, correspond à la première fois du match où Toulouse a réussi à mettre en place sa chaîne de jeu favorite. Jordan Larmour défend mal sur le coup, mais c'est une erreur provoquée. Avant ça, les Toulousains ont eu du mal à créer du désordre, notamment parce que le jeu au pied adverse leur a donné peu de ballons de contre-attaques. Les Irlandais ont tapé des coups de pied contestables, c'est-à-dire pour avoir des duels à la retombée. Avec le peu de ballons de transitions qu'il a eu, le Stade a quand même été efficace puisqu'il est allé trois fois dans l'en-but, pour deux essais refusés.
- Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster, qui convertissait plus d'un tiers de ses touches dans cette zone en essai l'an passé. La pression défensive toulousaine y est pour beaucoup, mais j'ai trouvé aussi cette équipe fragile, imprécise. Cela dit, je ne crois pas qu'elle ait commis une erreur en allant en touche plutôt que de prendre les points au pied. D'abord, elle a tapé aux buts parfois. Ensuite, elle fait tout le temps ça, c'est sa culture. Comme c'est la culture de Toulouse de déplacer le ballon, ce qui a amené l'essai de Lebel.
On est d'accord, Dupont est un joueur hors normes, mais rien que pour ce titre, cet article mérite d'être rangé dans ce topic. Pourquoi pas le meilleur joueur depuis l'invention du rugby…
L'oeil d'Élissalde après le sacre de Toulouse : « Un Dupont, il y en a un par siècle »
Ancien international (35 sélections, vainqueur du tournoi en 2004 et 2006), Jean-Baptiste Élissalde a été ébloui par la performance d'Antoine Dupont en finale de Coupe des champions. Au point de se demander si un joueur aussi complet a déjà existé.
Jean-Baptiste Élissalde
« Rappelez-vous : le travail invisible, la force de l'habitude. Après la demi-finale contre les Harlequins (38-26), j'avais évoqué ici ces deux aspects pour expliquer le succès de Toulouse. Je les ressors aujourd'hui, car ils ont été de nouveau prépondérants dans la quête du sixième sacre en Champions Cup.
Au sujet de l'habitude, songez par exemple que les Toulousains ont marqué plus de points en prolongation que durant le temps réglementaire. Outre leur fraîcheur physique supérieure, cela souligne leur caractère de champions, leur capacité à ne pas s'affoler, à faire le geste juste dans les moments clés.
Côté Leinster, à l'inverse, durant cette prolongation, il y a eu une faute au sol lunaire de Caelan Doris, pourtant l'un des meilleurs joueurs du monde... Cela a sans doute un rapport avec le fait que Toulouse avait gagné ses sept dernières finales toutes compétitions confondues, alors que Leinster restait sur deux défaites de rang en Champions Cup. Au-delà de ça, voilà mes quelques réflexions au bout de cette finale improbable.
- Il y a un joueur comme Antoine Dupont par siècle, et encore. La certitude qui l'habitait durant cette finale, la manière dont il a pesé sur le match... Au pied, ç'a été une masterclass. Et si on lui avait mis un casque sur la tête, on aurait dit de lui qu'il est le meilleur troisième-ligne du monde. Je ne sais même pas si un joueur aussi complet a déjà existé.
- Toulouse avait décidé d'attaquer fortement les rucks adverses, et cela a empêché le Leinster de prendre de la vitesse. Mais la défense stadiste n'a pas été hermétique et ce sont certains gestes individuels qui ont été décisifs, notamment dans les rucks. Par exemple, quand Dupont, encore lui, revient sur 80 m pour piquer le ballon à Dan Sheehan, c'est un moment incroyable, qui booste autant le Stade qu'il met le Leinster groggy. Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster.
- L'essai de Matthis Lebel, en prolongation, correspond à la première fois du match où Toulouse a réussi à mettre en place sa chaîne de jeu favorite. Jordan Larmour défend mal sur le coup, mais c'est une erreur provoquée. Avant ça, les Toulousains ont eu du mal à créer du désordre, notamment parce que le jeu au pied adverse leur a donné peu de ballons de contre-attaques. Les Irlandais ont tapé des coups de pied contestables, c'est-à-dire pour avoir des duels à la retombée. Avec le peu de ballons de transitions qu'il a eu, le Stade a quand même été efficace puisqu'il est allé trois fois dans l'en-but, pour deux essais refusés.
- Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster, qui convertissait plus d'un tiers de ses touches dans cette zone en essai l'an passé. La pression défensive toulousaine y est pour beaucoup, mais j'ai trouvé aussi cette équipe fragile, imprécise. Cela dit, je ne crois pas qu'elle ait commis une erreur en allant en touche plutôt que de prendre les points au pied. D'abord, elle a tapé aux buts parfois. Ensuite, elle fait tout le temps ça, c'est sa culture. Comme c'est la culture de Toulouse de déplacer le ballon, ce qui a amené l'essai de Lebel.
On est d'accord, Dupont est un joueur hors normes, mais rien que pour ce titre, cet article mérite d'être rangé dans ce topic. Pourquoi pas le meilleur joueur depuis l'invention du rugby…
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-oeil-d-elissalde-apres-le-sacre-de-toulouse-un-dupont-il-y-en-a-un-par-siecle/1470148
L'oeil d'Élissalde après le sacre de Toulouse : « Un Dupont, il y en a un par siècle »
Ancien international (35 sélections, vainqueur du tournoi en 2004 et 2006), Jean-Baptiste Élissalde a été ébloui par la performance d'Antoine Dupont en finale de Coupe des champions. Au point de se demander si un joueur aussi complet a déjà existé.
Jean-Baptiste Élissalde
« Rappelez-vous : le travail invisible, la force de l'habitude. Après la demi-finale contre les Harlequins (38-26), j'avais évoqué ici ces deux aspects pour expliquer le succès de Toulouse. Je les ressors aujourd'hui, car ils ont été de nouveau prépondérants dans la quête du sixième sacre en Champions Cup.
Au sujet de l'habitude, songez par exemple que les Toulousains ont marqué plus de points en prolongation que durant le temps réglementaire. Outre leur fraîcheur physique supérieure, cela souligne leur caractère de champions, leur capacité à ne pas s'affoler, à faire le geste juste dans les moments clés.
Côté Leinster, à l'inverse, durant cette prolongation, il y a eu une faute au sol lunaire de Caelan Doris, pourtant l'un des meilleurs joueurs du monde... Cela a sans doute un rapport avec le fait que Toulouse avait gagné ses sept dernières finales toutes compétitions confondues, alors que Leinster restait sur deux défaites de rang en Champions Cup. Au-delà de ça, voilà mes quelques réflexions au bout de cette finale improbable.
- Il y a un joueur comme Antoine Dupont par siècle, et encore. La certitude qui l'habitait durant cette finale, la manière dont il a pesé sur le match... Au pied, ç'a été une masterclass. Et si on lui avait mis un casque sur la tête, on aurait dit de lui qu'il est le meilleur troisième-ligne du monde. Je ne sais même pas si un joueur aussi complet a déjà existé.
- Toulouse avait décidé d'attaquer fortement les rucks adverses, et cela a empêché le Leinster de prendre de la vitesse. Mais la défense stadiste n'a pas été hermétique et ce sont certains gestes individuels qui ont été décisifs, notamment dans les rucks. Par exemple, quand Dupont, encore lui, revient sur 80 m pour piquer le ballon à Dan Sheehan, c'est un moment incroyable, qui booste autant le Stade qu'il met le Leinster groggy. Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster.
- L'essai de Matthis Lebel, en prolongation, correspond à la première fois du match où Toulouse a réussi à mettre en place sa chaîne de jeu favorite. Jordan Larmour défend mal sur le coup, mais c'est une erreur provoquée. Avant ça, les Toulousains ont eu du mal à créer du désordre, notamment parce que le jeu au pied adverse leur a donné peu de ballons de contre-attaques. Les Irlandais ont tapé des coups de pied contestables, c'est-à-dire pour avoir des duels à la retombée. Avec le peu de ballons de transitions qu'il a eu, le Stade a quand même été efficace puisqu'il est allé trois fois dans l'en-but, pour deux essais refusés.
- Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster, qui convertissait plus d'un tiers de ses touches dans cette zone en essai l'an passé. La pression défensive toulousaine y est pour beaucoup, mais j'ai trouvé aussi cette équipe fragile, imprécise. Cela dit, je ne crois pas qu'elle ait commis une erreur en allant en touche plutôt que de prendre les points au pied. D'abord, elle a tapé aux buts parfois. Ensuite, elle fait tout le temps ça, c'est sa culture. Comme c'est la culture de Toulouse de déplacer le ballon, ce qui a amené l'essai de Lebel.
On est d'accord, Dupont est un joueur hors normes, mais rien que pour ce titre, cet article mérite d'être rangé dans ce topic. Pourquoi pas le meilleur joueur depuis l'invention du rugby…
On le sait, les prochains jours ce sera la course à l'échalotte du superlatif, de la lèche, du lobby, du brossage, du mouchoir...etc. Fermez les écoutilles et attendez que ça passe
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
VIDÉO. Attaquant en or, défenseur en diamant : Dupont a-t-il joué le meilleur match de sa vie face au Leinster ?
https://www.lerugbynistere.fr/videos/video-attaquant-en-or-defenseur-en-diamant-dupont-a-t-il-joue-le-meilleur-match-de-sa-vie-face-au-leinster-2605241141.php
Direct dans le bon topic
https://www.lerugbynistere.fr/videos/video-attaquant-en-or-defenseur-en-diamant-dupont-a-t-il-joue-le-meilleur-match-de-sa-vie-face-au-leinster-2605241141.php
Direct dans le bon topic
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Sa première mi temps est sauvée par son retour et son 50/22 , sinon j’ai vu pleins de mauvais choix. Après oui la deuxième mi temps et la prolongation sont abouties. Je l’ai vu meilleur perso. Mais bon .Switch a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-oeil-d-elissalde-apres-le-sacre-de-toulouse-un-dupont-il-y-en-a-un-par-siecle/1470148
L'oeil d'Élissalde après le sacre de Toulouse : « Un Dupont, il y en a un par siècle »
Ancien international (35 sélections, vainqueur du tournoi en 2004 et 2006), Jean-Baptiste Élissalde a été ébloui par la performance d'Antoine Dupont en finale de Coupe des champions. Au point de se demander si un joueur aussi complet a déjà existé.
Jean-Baptiste Élissalde
« Rappelez-vous : le travail invisible, la force de l'habitude. Après la demi-finale contre les Harlequins (38-26), j'avais évoqué ici ces deux aspects pour expliquer le succès de Toulouse. Je les ressors aujourd'hui, car ils ont été de nouveau prépondérants dans la quête du sixième sacre en Champions Cup.
Au sujet de l'habitude, songez par exemple que les Toulousains ont marqué plus de points en prolongation que durant le temps réglementaire. Outre leur fraîcheur physique supérieure, cela souligne leur caractère de champions, leur capacité à ne pas s'affoler, à faire le geste juste dans les moments clés.
Côté Leinster, à l'inverse, durant cette prolongation, il y a eu une faute au sol lunaire de Caelan Doris, pourtant l'un des meilleurs joueurs du monde... Cela a sans doute un rapport avec le fait que Toulouse avait gagné ses sept dernières finales toutes compétitions confondues, alors que Leinster restait sur deux défaites de rang en Champions Cup. Au-delà de ça, voilà mes quelques réflexions au bout de cette finale improbable.
- Il y a un joueur comme Antoine Dupont par siècle, et encore. La certitude qui l'habitait durant cette finale, la manière dont il a pesé sur le match... Au pied, ç'a été une masterclass. Et si on lui avait mis un casque sur la tête, on aurait dit de lui qu'il est le meilleur troisième-ligne du monde. Je ne sais même pas si un joueur aussi complet a déjà existé.
- Toulouse avait décidé d'attaquer fortement les rucks adverses, et cela a empêché le Leinster de prendre de la vitesse. Mais la défense stadiste n'a pas été hermétique et ce sont certains gestes individuels qui ont été décisifs, notamment dans les rucks. Par exemple, quand Dupont, encore lui, revient sur 80 m pour piquer le ballon à Dan Sheehan, c'est un moment incroyable, qui booste autant le Stade qu'il met le Leinster groggy. Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster.
- L'essai de Matthis Lebel, en prolongation, correspond à la première fois du match où Toulouse a réussi à mettre en place sa chaîne de jeu favorite. Jordan Larmour défend mal sur le coup, mais c'est une erreur provoquée. Avant ça, les Toulousains ont eu du mal à créer du désordre, notamment parce que le jeu au pied adverse leur a donné peu de ballons de contre-attaques. Les Irlandais ont tapé des coups de pied contestables, c'est-à-dire pour avoir des duels à la retombée. Avec le peu de ballons de transitions qu'il a eu, le Stade a quand même été efficace puisqu'il est allé trois fois dans l'en-but, pour deux essais refusés.
- Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster, qui convertissait plus d'un tiers de ses touches dans cette zone en essai l'an passé. La pression défensive toulousaine y est pour beaucoup, mais j'ai trouvé aussi cette équipe fragile, imprécise. Cela dit, je ne crois pas qu'elle ait commis une erreur en allant en touche plutôt que de prendre les points au pied. D'abord, elle a tapé aux buts parfois. Ensuite, elle fait tout le temps ça, c'est sa culture. Comme c'est la culture de Toulouse de déplacer le ballon, ce qui a amené l'essai de Lebel.
On est d'accord, Dupont est un joueur hors normes, mais rien que pour ce titre, cet article mérite d'être rangé dans ce topic. Pourquoi pas le meilleur joueur depuis l'invention du rugby…
On le sait, les prochains jours ce sera la course à l'échalotte du superlatif, de la lèche, du lobby, du brossage, du mouchoir...etc. Fermez les écoutilles et attendez que ça passe
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
densnewzealand a écrit:Sa première mi temps est sauvée par son retour et son 50/22 , sinon j’ai vu pleins de mauvais choix. Après oui la deuxième mi temps et la prolongation sont abouties. Je l’ai vu meilleur perso. Mais bon .Switch a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-oeil-d-elissalde-apres-le-sacre-de-toulouse-un-dupont-il-y-en-a-un-par-siecle/1470148
L'oeil d'Élissalde après le sacre de Toulouse : « Un Dupont, il y en a un par siècle »
Ancien international (35 sélections, vainqueur du tournoi en 2004 et 2006), Jean-Baptiste Élissalde a été ébloui par la performance d'Antoine Dupont en finale de Coupe des champions. Au point de se demander si un joueur aussi complet a déjà existé.
Jean-Baptiste Élissalde
« Rappelez-vous : le travail invisible, la force de l'habitude. Après la demi-finale contre les Harlequins (38-26), j'avais évoqué ici ces deux aspects pour expliquer le succès de Toulouse. Je les ressors aujourd'hui, car ils ont été de nouveau prépondérants dans la quête du sixième sacre en Champions Cup.
Au sujet de l'habitude, songez par exemple que les Toulousains ont marqué plus de points en prolongation que durant le temps réglementaire. Outre leur fraîcheur physique supérieure, cela souligne leur caractère de champions, leur capacité à ne pas s'affoler, à faire le geste juste dans les moments clés.
Côté Leinster, à l'inverse, durant cette prolongation, il y a eu une faute au sol lunaire de Caelan Doris, pourtant l'un des meilleurs joueurs du monde... Cela a sans doute un rapport avec le fait que Toulouse avait gagné ses sept dernières finales toutes compétitions confondues, alors que Leinster restait sur deux défaites de rang en Champions Cup. Au-delà de ça, voilà mes quelques réflexions au bout de cette finale improbable.
- Il y a un joueur comme Antoine Dupont par siècle, et encore. La certitude qui l'habitait durant cette finale, la manière dont il a pesé sur le match... Au pied, ç'a été une masterclass. Et si on lui avait mis un casque sur la tête, on aurait dit de lui qu'il est le meilleur troisième-ligne du monde. Je ne sais même pas si un joueur aussi complet a déjà existé.
- Toulouse avait décidé d'attaquer fortement les rucks adverses, et cela a empêché le Leinster de prendre de la vitesse. Mais la défense stadiste n'a pas été hermétique et ce sont certains gestes individuels qui ont été décisifs, notamment dans les rucks. Par exemple, quand Dupont, encore lui, revient sur 80 m pour piquer le ballon à Dan Sheehan, c'est un moment incroyable, qui booste autant le Stade qu'il met le Leinster groggy. Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster.
- L'essai de Matthis Lebel, en prolongation, correspond à la première fois du match où Toulouse a réussi à mettre en place sa chaîne de jeu favorite. Jordan Larmour défend mal sur le coup, mais c'est une erreur provoquée. Avant ça, les Toulousains ont eu du mal à créer du désordre, notamment parce que le jeu au pied adverse leur a donné peu de ballons de contre-attaques. Les Irlandais ont tapé des coups de pied contestables, c'est-à-dire pour avoir des duels à la retombée. Avec le peu de ballons de transitions qu'il a eu, le Stade a quand même été efficace puisqu'il est allé trois fois dans l'en-but, pour deux essais refusés.
- Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster, qui convertissait plus d'un tiers de ses touches dans cette zone en essai l'an passé. La pression défensive toulousaine y est pour beaucoup, mais j'ai trouvé aussi cette équipe fragile, imprécise. Cela dit, je ne crois pas qu'elle ait commis une erreur en allant en touche plutôt que de prendre les points au pied. D'abord, elle a tapé aux buts parfois. Ensuite, elle fait tout le temps ça, c'est sa culture. Comme c'est la culture de Toulouse de déplacer le ballon, ce qui a amené l'essai de Lebel.
On est d'accord, Dupont est un joueur hors normes, mais rien que pour ce titre, cet article mérite d'être rangé dans ce topic. Pourquoi pas le meilleur joueur depuis l'invention du rugby…
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
On n'est pas loin de la première place au classement, ça va être dur de surenchérir là-dessus trop fort ces Irlandais !
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
densnewzealand a écrit:Sa première mi temps est sauvée par son retour et son 50/22 , sinon j’ai vu pleins de mauvais choix. Après oui la deuxième mi temps et la prolongation sont abouties. Je l’ai vu meilleur perso. Mais bon .Switch a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-oeil-d-elissalde-apres-le-sacre-de-toulouse-un-dupont-il-y-en-a-un-par-siecle/1470148
L'oeil d'Élissalde après le sacre de Toulouse : « Un Dupont, il y en a un par siècle »
Ancien international (35 sélections, vainqueur du tournoi en 2004 et 2006), Jean-Baptiste Élissalde a été ébloui par la performance d'Antoine Dupont en finale de Coupe des champions. Au point de se demander si un joueur aussi complet a déjà existé.
Jean-Baptiste Élissalde
« Rappelez-vous : le travail invisible, la force de l'habitude. Après la demi-finale contre les Harlequins (38-26), j'avais évoqué ici ces deux aspects pour expliquer le succès de Toulouse. Je les ressors aujourd'hui, car ils ont été de nouveau prépondérants dans la quête du sixième sacre en Champions Cup.
Au sujet de l'habitude, songez par exemple que les Toulousains ont marqué plus de points en prolongation que durant le temps réglementaire. Outre leur fraîcheur physique supérieure, cela souligne leur caractère de champions, leur capacité à ne pas s'affoler, à faire le geste juste dans les moments clés.
Côté Leinster, à l'inverse, durant cette prolongation, il y a eu une faute au sol lunaire de Caelan Doris, pourtant l'un des meilleurs joueurs du monde... Cela a sans doute un rapport avec le fait que Toulouse avait gagné ses sept dernières finales toutes compétitions confondues, alors que Leinster restait sur deux défaites de rang en Champions Cup. Au-delà de ça, voilà mes quelques réflexions au bout de cette finale improbable.
- Il y a un joueur comme Antoine Dupont par siècle, et encore. La certitude qui l'habitait durant cette finale, la manière dont il a pesé sur le match... Au pied, ç'a été une masterclass. Et si on lui avait mis un casque sur la tête, on aurait dit de lui qu'il est le meilleur troisième-ligne du monde. Je ne sais même pas si un joueur aussi complet a déjà existé.
- Toulouse avait décidé d'attaquer fortement les rucks adverses, et cela a empêché le Leinster de prendre de la vitesse. Mais la défense stadiste n'a pas été hermétique et ce sont certains gestes individuels qui ont été décisifs, notamment dans les rucks. Par exemple, quand Dupont, encore lui, revient sur 80 m pour piquer le ballon à Dan Sheehan, c'est un moment incroyable, qui booste autant le Stade qu'il met le Leinster groggy. Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster.
- L'essai de Matthis Lebel, en prolongation, correspond à la première fois du match où Toulouse a réussi à mettre en place sa chaîne de jeu favorite. Jordan Larmour défend mal sur le coup, mais c'est une erreur provoquée. Avant ça, les Toulousains ont eu du mal à créer du désordre, notamment parce que le jeu au pied adverse leur a donné peu de ballons de contre-attaques. Les Irlandais ont tapé des coups de pied contestables, c'est-à-dire pour avoir des duels à la retombée. Avec le peu de ballons de transitions qu'il a eu, le Stade a quand même été efficace puisqu'il est allé trois fois dans l'en-but, pour deux essais refusés.
- Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster, qui convertissait plus d'un tiers de ses touches dans cette zone en essai l'an passé. La pression défensive toulousaine y est pour beaucoup, mais j'ai trouvé aussi cette équipe fragile, imprécise. Cela dit, je ne crois pas qu'elle ait commis une erreur en allant en touche plutôt que de prendre les points au pied. D'abord, elle a tapé aux buts parfois. Ensuite, elle fait tout le temps ça, c'est sa culture. Comme c'est la culture de Toulouse de déplacer le ballon, ce qui a amené l'essai de Lebel.
On est d'accord, Dupont est un joueur hors normes, mais rien que pour ce titre, cet article mérite d'être rangé dans ce topic. Pourquoi pas le meilleur joueur depuis l'invention du rugby…
On le sait, les prochains jours ce sera la course à l'échalotte du superlatif, de la lèche, du lobby, du brossage, du mouchoir...etc. Fermez les écoutilles et attendez que ça passe
J'en ai vus aussi quelqu'uns, notamment sur quelques ballons rapides en sortie de rucks...toujours cette hésitation coupable au moment de l'éjection pour savoir s'il veut jouer pour lui-même au ras ou s'il donne à son passeur de plat favori.
Quitte à faire étouffer de rage les insupporters toulousaings qui, de toute manière ne nous lisent pas, Galthié devrait titulariser Jalibert aux côtés de Dupont, je trouve que ce dernier développe un jeu plus équilibré, plus juste, plus efficace et plus dangereux quand Jaja est là.
Quand c'est Ntamack, il se sent obligé de prendre plus le jeu à son compte et de manière parfois très (trop) individuelle.
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Dr. Gregory Bouse a écrit:densnewzealand a écrit:Sa première mi temps est sauvée par son retour et son 50/22 , sinon j’ai vu pleins de mauvais choix. Après oui la deuxième mi temps et la prolongation sont abouties. Je l’ai vu meilleur perso. Mais bon .Switch a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-oeil-d-elissalde-apres-le-sacre-de-toulouse-un-dupont-il-y-en-a-un-par-siecle/1470148
L'oeil d'Élissalde après le sacre de Toulouse : « Un Dupont, il y en a un par siècle »
Ancien international (35 sélections, vainqueur du tournoi en 2004 et 2006), Jean-Baptiste Élissalde a été ébloui par la performance d'Antoine Dupont en finale de Coupe des champions. Au point de se demander si un joueur aussi complet a déjà existé.
Jean-Baptiste Élissalde
« Rappelez-vous : le travail invisible, la force de l'habitude. Après la demi-finale contre les Harlequins (38-26), j'avais évoqué ici ces deux aspects pour expliquer le succès de Toulouse. Je les ressors aujourd'hui, car ils ont été de nouveau prépondérants dans la quête du sixième sacre en Champions Cup.
Au sujet de l'habitude, songez par exemple que les Toulousains ont marqué plus de points en prolongation que durant le temps réglementaire. Outre leur fraîcheur physique supérieure, cela souligne leur caractère de champions, leur capacité à ne pas s'affoler, à faire le geste juste dans les moments clés.
Côté Leinster, à l'inverse, durant cette prolongation, il y a eu une faute au sol lunaire de Caelan Doris, pourtant l'un des meilleurs joueurs du monde... Cela a sans doute un rapport avec le fait que Toulouse avait gagné ses sept dernières finales toutes compétitions confondues, alors que Leinster restait sur deux défaites de rang en Champions Cup. Au-delà de ça, voilà mes quelques réflexions au bout de cette finale improbable.
- Il y a un joueur comme Antoine Dupont par siècle, et encore. La certitude qui l'habitait durant cette finale, la manière dont il a pesé sur le match... Au pied, ç'a été une masterclass. Et si on lui avait mis un casque sur la tête, on aurait dit de lui qu'il est le meilleur troisième-ligne du monde. Je ne sais même pas si un joueur aussi complet a déjà existé.
- Toulouse avait décidé d'attaquer fortement les rucks adverses, et cela a empêché le Leinster de prendre de la vitesse. Mais la défense stadiste n'a pas été hermétique et ce sont certains gestes individuels qui ont été décisifs, notamment dans les rucks. Par exemple, quand Dupont, encore lui, revient sur 80 m pour piquer le ballon à Dan Sheehan, c'est un moment incroyable, qui booste autant le Stade qu'il met le Leinster groggy. Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster.
- L'essai de Matthis Lebel, en prolongation, correspond à la première fois du match où Toulouse a réussi à mettre en place sa chaîne de jeu favorite. Jordan Larmour défend mal sur le coup, mais c'est une erreur provoquée. Avant ça, les Toulousains ont eu du mal à créer du désordre, notamment parce que le jeu au pied adverse leur a donné peu de ballons de contre-attaques. Les Irlandais ont tapé des coups de pied contestables, c'est-à-dire pour avoir des duels à la retombée. Avec le peu de ballons de transitions qu'il a eu, le Stade a quand même été efficace puisqu'il est allé trois fois dans l'en-but, pour deux essais refusés.
- Un essai inscrit pour une quinzaine d'entrées dans les 22 m toulousains, c'est incroyablement faible pour le Leinster, qui convertissait plus d'un tiers de ses touches dans cette zone en essai l'an passé. La pression défensive toulousaine y est pour beaucoup, mais j'ai trouvé aussi cette équipe fragile, imprécise. Cela dit, je ne crois pas qu'elle ait commis une erreur en allant en touche plutôt que de prendre les points au pied. D'abord, elle a tapé aux buts parfois. Ensuite, elle fait tout le temps ça, c'est sa culture. Comme c'est la culture de Toulouse de déplacer le ballon, ce qui a amené l'essai de Lebel.
On est d'accord, Dupont est un joueur hors normes, mais rien que pour ce titre, cet article mérite d'être rangé dans ce topic. Pourquoi pas le meilleur joueur depuis l'invention du rugby…
On le sait, les prochains jours ce sera la course à l'échalotte du superlatif, de la lèche, du lobby, du brossage, du mouchoir...etc. Fermez les écoutilles et attendez que ça passe
J'en ai vus aussi quelqu'uns, notamment sur quelques ballons rapides en sortie de rucks...toujours cette hésitation coupable au moment de l'éjection pour savoir s'il veut jouer pour lui-même au ras ou s'il donne à son passeur de plat favori.
Quitte à faire étouffer de rage les insupporters toulousaings qui, de toute manière ne nous lisent pas, Galthié devrait titulariser Jalibert aux côtés de Dupont, je trouve que ce dernier développe un jeu plus équilibré, plus juste, plus efficace et plus dangereux quand Jaja est là.
Quand c'est Ntamack, il se sent obligé de prendre plus le jeu à son compte et de manière parfois très (trop) individuelle.
Je poste ça dans ce topic, car je ne doute pas que cet analyste ( assez intéressant en temps normal ) est partisan.
Il se trouve qu'il a une analyse un peu différente de la tienne ( votre car je crois comprendre que ce point de vu est partagé ) Doc, sur le match de Dupont,et les raisons de l'animation moins brillante du leinster.
Dsl pour les non anglophones, c'est dans la langue de Shakespeare.
https://www.youtube.com/watch?v=bBjngD-4EEw
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Tothor- J'aime l'Union à la folie
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Dupont a été très tres fort, mais le staff toulousain est coupable de sa première mi-temps moyenasse.
On l'a vu manqué de rythme comme après un retour de blessure.
Il n'a pas assez joué avant ce match.
Dans son style de jeu, il est assez incroyable.
Ses faiblesses ne sont réellement pas des faiblesses, car elles restent à un niveau très élevées.
Je sais pas comment il finira sa carrière ,ni quand, mais il va falloir le ménager car à force de ferrailler il va vite s'user !!!
On l'a vu manqué de rythme comme après un retour de blessure.
Il n'a pas assez joué avant ce match.
Dans son style de jeu, il est assez incroyable.
Ses faiblesses ne sont réellement pas des faiblesses, car elles restent à un niveau très élevées.
Je sais pas comment il finira sa carrière ,ni quand, mais il va falloir le ménager car à force de ferrailler il va vite s'user !!!
coach2rugby- J'aime l'Union à la folie
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
coach2rugby a écrit:Dupont a été très tres fort, mais le staff toulousain est coupable de sa première mi-temps moyenasse.
On l'a vu manqué de rythme comme après un retour de blessure.
Il n'a pas assez joué avant ce match.
Dans son style de jeu, il est assez incroyable.
Ses faiblesses ne sont réellement pas des faiblesses, car elles restent à un niveau très élevées.
Je sais pas comment il finira sa carrière ,ni quand, mais il va falloir le ménager car à force de ferrailler il va vite s'user !!!
C'est assez vrai, on ne peut pas demander à un 9, d'être aussi un quatrième troisième ligne... Plaquages, grattages + sorties de camp, jeu au pied de pression, jeu au pied d'occupation...mais pas toujours dans le bon tempo pour faire jouer sa ligne de 3/4 même s'il est vrai que la défense irlandaise lui a mis la pression.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Petite stat intéressante donné par Virgil Lacombe en conf de presse aujourd'hui.
Sur 16joueurs de première lignes utilisés en T14,
14 " formés" au club ( comprendre arrivés au plus tard en espoir première année au club - j'ai pas la même définition de la formation perso )
Les 2 non " étrangers au club " N. Laulala et O. Francis
Au delà de " ça claque comme stat" , ça permet aussi d'expliquer l'effectif dans sa globalité.
Le CDF + la grille salariale en vigueur permettent de tirer vers le bas, ou a minima de freiner l'inflation, les salaires.
Là où des recrutements extérieurs induisent souvent de devoir faire une surenchère salariale pour débaucher le joueur où" l'enlever" a la concurrence.
Sur 16joueurs de première lignes utilisés en T14,
14 " formés" au club ( comprendre arrivés au plus tard en espoir première année au club - j'ai pas la même définition de la formation perso )
Les 2 non " étrangers au club " N. Laulala et O. Francis
Au delà de " ça claque comme stat" , ça permet aussi d'expliquer l'effectif dans sa globalité.
Le CDF + la grille salariale en vigueur permettent de tirer vers le bas, ou a minima de freiner l'inflation, les salaires.
Là où des recrutements extérieurs induisent souvent de devoir faire une surenchère salariale pour débaucher le joueur où" l'enlever" a la concurrence.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
https://www.rugbyrama.fr/2024/06/29/top-14-toulouse-bordeaux-begles-eparpilles-facon-puzzle-le-commentaire-general-de-la-finale-12048978.php
Top 14 – Toulouse – Bordeaux-Bègles. Eparpillés façon puzzle : le commentaire général de la finale
Par Marc Duzan
À bout de souffle et à court d’idées, l’Union Bordeaux-Bègles fut vendredi soir éparpillée façon puzzle par le croquemitaine rouge et noir. À Marseille, celui-ci a signé un deuxième doublé en quatre ans et conforté son hégémonie sur le championnat.
Les Bordelais voulaient entrer dans l’histoire. Ils l’ont fait pour de mauvaises raisons et, à l’instant de tourner le dos au Vélodrome, on se dit finalement que le seul Girondin ayant un jour vraiment réussi à Marseille n’est autre que Jean-Pierre Papin. Jamais, en deux siècles, une finale de Top 14 ne s’était donc conclue avec un tel écart au score. Jamais, dans l’ultime round du grand combat, un finaliste n’avait aplati neuf essais, contre zéro à son défouloir du jour. Ici, les mots font mal et à l’heure du défrief, sont comme autant de beignes portées au visage de cette équipe qui nous avait pourtant lancé de langoureuses œillades, tout au long de la saison. Si l’on est tant déçu, c’est que l’on avait voulu y croire, en fait, à cet ultime feu d’artifice. On avait voulu faire confiance aux romantiques de toute obédience qui, avant match, rappelaient non sans emphase qu’une finale ne consacre pas un contrôle continu ou qu’un élan de transcendance collective permettrait toujours à David de renverser Goliath. Et puis ? L’irrationalité du sport et la magie des phases finales se sont pris une porte en pleine courge… Au bout d’un quart d’heure, le langage corporel des Bordelo-Béglais ne trompait plus et, face à la muleta qu’agitait face à lui le torero rouge et noir, Maxime Lucu et ses camarades remuaient la tête en tous sens, ne sachant plus vraiment où défendre, ni comment attaquer…
C’est un rugby total, un rugby fatal qui a donc éparpillé les Bordelo-Béglais façon puzzle, à Marseille. « Très vite, disait Yannick Bru en conférence de presse, on a vu qu’on n’était pas invités. Très vite, on a perdu le bras de fer et derrière ça, on s’est fait casser le poignet sous la table. » Que le Stade toulousain, signataire vendredi soir d’un deuxième doublé en quatre ans, ait déroulé vendredi soir le chef d’oeuvre de sa saison est une certitude. Que leurs adversaires du jour aient totalement lâché le match à l’heure de jeu, en est une autre. « Mes joueurs sont en quête de records, soufflait Ugo Mola en fin de match. Ils veulent être les premiers partout. Mais ce qui me plaît, c’est le processus, le chemin et surtout, le contenu ». Ce qui lui plaît, aussi, c’est de pouvoir s’appuyer sur un gonze nommé Dupont et qui, auteur de deux essais sur cette pelouse où il avait perdu naguère une partie de sa pommette, s’échine à dissimuler derrière le patronyme le plus commun de l’Hexagone un talent qui n’a, à ce stade-là d’insolence, plus rien d’humain. Et d’aussi loin que l’on se souvienne, la seule « loi Dupont » qui aurait jamais dû voir le jour est celle-ci : toute équipe évoluant avec ledit « Toto » dans ses rangs devrait systématiquement débuter le match avec un handicap de quinze points…
Un coup de la mafia cassoulet
Dans vingt ans, on dira donc à nos mômes : « J’ai eu la chance de voir jouer Antoine Dupont ». Sans se rendre compte de singer les têtes blanches qui nous serinent aujourd’hui la même rengaine, mais à propos de Serge Blanco, Gareth Edwards ou Jonah Lomu, autant de gonzes qui n’ont pas fait qu’exceller dans leur discipline, mais ont transformé leur poste. On leur dira aussi qu’un funeste soir de juin, on eut le malheur d’assister à une cérémonie funéraire en prime time, à une finale qui n’en fut finalement pas une, pour n’avoir su délivrer à Marseille les émotions qu’elle suscite habituellement chez nous tous. La belle UBB, rincée par son barrage face au Racing puis vermoulue par les malabars du Stade français, n’avait tout simplement plus assez de souffle pour survivre à ce que lui offrit le champion d’Europe en titre, au Vélodrome. En ce sens, il faudrait être bien sot pour croire que Ludovic Cayre, l’homme du centre, en ait voulu un seul instant aux Girondins quand ceux-ci semblèrent en retard sur tous leurs soutiens.
Et comment évoquer un nouveau coup de Trafalgar de la mafia cassoulet conjointement ourdi par Bouscatel et Lacroix, quand le paquet d’avants bordelais fut à des lieues de la rugosité qu’exige ce genre de rendez-vous ? Sic transit gloria mundi*, mes drôles… Et pour avoir osé défier la meilleure équipe au monde – à l’heure où le Super Rugby bat de l’aile, il va de soi qu’un match Toulouse / Blues tournerait à l’avantage du champion de France- avec Matthieu Jalibert, Bordeaux a subi la colère divine et fut éparpillé façon puzzle, prouvant qu’au rugby, un blessé à la hauteur, c’est rare comme une tapineuse à son compte. Alors ? En attendant que les affres du temps ne rattrapent un jour cette génération toulousaine ou que la Ligue, ayant toujours craint qu’une hégémonie ne porte un jour atteinte à son modèle économique, lance sous nos latitudes un système de « draft » à l’américaine, l’Union Bordeaux-Bègles est désormais contrainte de vivre avec, sur le visage, cette immonde balafre…
Ainsi passe la gloire du monde *
Ils ont de l'humour au Midol, eux qui sont un des plus visibles et actifs maillons de la mafia cassoulet . C'est clair que la raclée d'hier ne souffre d'aucunes discussions, mais venir en quelque sorte chambrer sur la mafia cassoulet, ça m'a tout de suite fait penser à la scène finale d'Usual Suspect. "Le plus gros coup que le diable ait réussi, c'est de convaincre tout le monde qu'il n'existe pas" vu qu'on est dans les références cinématographique, allons-y…
Attention spoiler alert, pour ceux qui n'ont jamais vu ce film, qui mérite vraiment le visionnage
Top 14 – Toulouse – Bordeaux-Bègles. Eparpillés façon puzzle : le commentaire général de la finale
Par Marc Duzan
À bout de souffle et à court d’idées, l’Union Bordeaux-Bègles fut vendredi soir éparpillée façon puzzle par le croquemitaine rouge et noir. À Marseille, celui-ci a signé un deuxième doublé en quatre ans et conforté son hégémonie sur le championnat.
Les Bordelais voulaient entrer dans l’histoire. Ils l’ont fait pour de mauvaises raisons et, à l’instant de tourner le dos au Vélodrome, on se dit finalement que le seul Girondin ayant un jour vraiment réussi à Marseille n’est autre que Jean-Pierre Papin. Jamais, en deux siècles, une finale de Top 14 ne s’était donc conclue avec un tel écart au score. Jamais, dans l’ultime round du grand combat, un finaliste n’avait aplati neuf essais, contre zéro à son défouloir du jour. Ici, les mots font mal et à l’heure du défrief, sont comme autant de beignes portées au visage de cette équipe qui nous avait pourtant lancé de langoureuses œillades, tout au long de la saison. Si l’on est tant déçu, c’est que l’on avait voulu y croire, en fait, à cet ultime feu d’artifice. On avait voulu faire confiance aux romantiques de toute obédience qui, avant match, rappelaient non sans emphase qu’une finale ne consacre pas un contrôle continu ou qu’un élan de transcendance collective permettrait toujours à David de renverser Goliath. Et puis ? L’irrationalité du sport et la magie des phases finales se sont pris une porte en pleine courge… Au bout d’un quart d’heure, le langage corporel des Bordelo-Béglais ne trompait plus et, face à la muleta qu’agitait face à lui le torero rouge et noir, Maxime Lucu et ses camarades remuaient la tête en tous sens, ne sachant plus vraiment où défendre, ni comment attaquer…
C’est un rugby total, un rugby fatal qui a donc éparpillé les Bordelo-Béglais façon puzzle, à Marseille. « Très vite, disait Yannick Bru en conférence de presse, on a vu qu’on n’était pas invités. Très vite, on a perdu le bras de fer et derrière ça, on s’est fait casser le poignet sous la table. » Que le Stade toulousain, signataire vendredi soir d’un deuxième doublé en quatre ans, ait déroulé vendredi soir le chef d’oeuvre de sa saison est une certitude. Que leurs adversaires du jour aient totalement lâché le match à l’heure de jeu, en est une autre. « Mes joueurs sont en quête de records, soufflait Ugo Mola en fin de match. Ils veulent être les premiers partout. Mais ce qui me plaît, c’est le processus, le chemin et surtout, le contenu ». Ce qui lui plaît, aussi, c’est de pouvoir s’appuyer sur un gonze nommé Dupont et qui, auteur de deux essais sur cette pelouse où il avait perdu naguère une partie de sa pommette, s’échine à dissimuler derrière le patronyme le plus commun de l’Hexagone un talent qui n’a, à ce stade-là d’insolence, plus rien d’humain. Et d’aussi loin que l’on se souvienne, la seule « loi Dupont » qui aurait jamais dû voir le jour est celle-ci : toute équipe évoluant avec ledit « Toto » dans ses rangs devrait systématiquement débuter le match avec un handicap de quinze points…
Un coup de la mafia cassoulet
Dans vingt ans, on dira donc à nos mômes : « J’ai eu la chance de voir jouer Antoine Dupont ». Sans se rendre compte de singer les têtes blanches qui nous serinent aujourd’hui la même rengaine, mais à propos de Serge Blanco, Gareth Edwards ou Jonah Lomu, autant de gonzes qui n’ont pas fait qu’exceller dans leur discipline, mais ont transformé leur poste. On leur dira aussi qu’un funeste soir de juin, on eut le malheur d’assister à une cérémonie funéraire en prime time, à une finale qui n’en fut finalement pas une, pour n’avoir su délivrer à Marseille les émotions qu’elle suscite habituellement chez nous tous. La belle UBB, rincée par son barrage face au Racing puis vermoulue par les malabars du Stade français, n’avait tout simplement plus assez de souffle pour survivre à ce que lui offrit le champion d’Europe en titre, au Vélodrome. En ce sens, il faudrait être bien sot pour croire que Ludovic Cayre, l’homme du centre, en ait voulu un seul instant aux Girondins quand ceux-ci semblèrent en retard sur tous leurs soutiens.
Et comment évoquer un nouveau coup de Trafalgar de la mafia cassoulet conjointement ourdi par Bouscatel et Lacroix, quand le paquet d’avants bordelais fut à des lieues de la rugosité qu’exige ce genre de rendez-vous ? Sic transit gloria mundi*, mes drôles… Et pour avoir osé défier la meilleure équipe au monde – à l’heure où le Super Rugby bat de l’aile, il va de soi qu’un match Toulouse / Blues tournerait à l’avantage du champion de France- avec Matthieu Jalibert, Bordeaux a subi la colère divine et fut éparpillé façon puzzle, prouvant qu’au rugby, un blessé à la hauteur, c’est rare comme une tapineuse à son compte. Alors ? En attendant que les affres du temps ne rattrapent un jour cette génération toulousaine ou que la Ligue, ayant toujours craint qu’une hégémonie ne porte un jour atteinte à son modèle économique, lance sous nos latitudes un système de « draft » à l’américaine, l’Union Bordeaux-Bègles est désormais contrainte de vivre avec, sur le visage, cette immonde balafre…
Ainsi passe la gloire du monde *
Ils ont de l'humour au Midol, eux qui sont un des plus visibles et actifs maillons de la mafia cassoulet . C'est clair que la raclée d'hier ne souffre d'aucunes discussions, mais venir en quelque sorte chambrer sur la mafia cassoulet, ça m'a tout de suite fait penser à la scène finale d'Usual Suspect. "Le plus gros coup que le diable ait réussi, c'est de convaincre tout le monde qu'il n'existe pas" vu qu'on est dans les références cinématographique, allons-y…
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Scalp a écrit:...
Ils ont de l'humour au Midol, eux qui sont un des plus visibles et actifs maillons de la mafia cassoulet . C'est clair que la raclée d'hier ne souffre d'aucunes discussions, mais venir en quelque sorte chambrer sur la mafia cassoulet, ça m'a tout de suite fait penser à la scène finale d'Usual Suspect. "Le plus gros coup que le diable ait réussi, c'est de convaincre tout le monde qu'il n'existe pas" vu qu'on est dans les références cinématographique, allons-y…
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L'Eclair a écrit:Scalp a écrit:...
Ils ont de l'humour au Midol, eux qui sont un des plus visibles et actifs maillons de la mafia cassoulet . C'est clair que la raclée d'hier ne souffre d'aucunes discussions, mais venir en quelque sorte chambrer sur la mafia cassoulet, ça m'a tout de suite fait penser à la scène finale d'Usual Suspect. "Le plus gros coup que le diable ait réussi, c'est de convaincre tout le monde qu'il n'existe pas" vu qu'on est dans les références cinématographique, allons-y…
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Scalp a écrit:L'Eclair a écrit:Scalp a écrit:...
Ils ont de l'humour au Midol, eux qui sont un des plus visibles et actifs maillons de la mafia cassoulet . C'est clair que la raclée d'hier ne souffre d'aucunes discussions, mais venir en quelque sorte chambrer sur la mafia cassoulet, ça m'a tout de suite fait penser à la scène finale d'Usual Suspect. "Le plus gros coup que le diable ait réussi, c'est de convaincre tout le monde qu'il n'existe pas" vu qu'on est dans les références cinématographique, allons-y…
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Il y a longtemps depuis que la "selouse"n'y écrit plus que je n'achete plus ce torche bal, pourrait même pas servir dans la "cabane au fond du jardin" papier trop rêche propos au vitriol, trop irritant pour le commun des mortels.Arrêtez de vous faire du mal, revenez à "Bibi Fricotin" aux "Pieds Nickelés" bref à la vie simple.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
c'est surtout ce que RNT a noté qui est intéressant..."meilleur centre de sa génération", sous-entendu meilleur devant Depoortère bien sûr.
Ces Toulousains pour pas mal d'entre eux sont imbuvables.
Costes, c'est pas celui qui a pété un câble en conférence de presse ? en accusant les médias de complot ? sans déc ? on voit sa tronche dans tous les reportages du CRC, Costes, fils de ... Costes champion du monde, Costes en benjamin, Costes lors de sa première cuite, etc...
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Dr. Gregory Bouse a écrit:
c'est surtout ce que RNT a noté qui est intéressant..."meilleur centre de sa génération", sous-entendu meilleur devant Depoortère bien sûr.
Ces Toulousains pour pas mal d'entre eux sont imbuvables.
Costes, c'est pas celui qui a pété un câble en conférence de presse ? en accusant les médias de complot ? sans déc ? on voit sa tronche dans tous les reportages du CRC, Costes, fils de ... Costes champion du monde, Costes en benjamin, Costes lors de sa première cuite, etc...
Certains toulousains (pas tous !) montrent ce qu'ils sont réellement. C'est dans la victoire qu'on voit qui est grand, et qui est petit. Ces mecs font partie de la seconde catégorie. Moqueurs, irrespectueux, arrogants, ils confirment. Un jour viendra où le vent tournera, et on sera là.
Heureusement, tous les toulousains ne sont pas comme çà. J'ai aussi apprécié la sortie de Mola, pleine d'honnêteté. Décidément, ce mec commence à me faire changer d'avis sur lui. Rencontré aussi des supporters (toulousains mais pas que) qui sont réalistes sur ce match et ce score. On verra l'an prochain.
D'ici là, laissons les vainqueurs à leurs affaires. Prenons du recul, mais n'oublions pas. On reviendra.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Dr. Gregory Bouse a écrit:
c'est surtout ce que RNT a noté qui est intéressant..."meilleur centre de sa génération", sous-entendu meilleur devant Depoortère bien sûr.
Ces Toulousains pour pas mal d'entre eux sont imbuvables.
Costes, c'est pas celui qui a pété un câble en conférence de presse ? en accusant les médias de complot ? sans déc ? on voit sa tronche dans tous les reportages du CRC, Costes, fils de ... Costes champion du monde, Costes en benjamin, Costes lors de sa première cuite, etc...
Si, j’ai publié les articles du Figaro en parlant, nul trace dans les médias pro-Toulousain
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La palme d'or pour Rugbyrama qui met quand même un gars a 250 minutes de jeu et 2 points en position d'être le meilleur 10 du top 14 cette saison.
C'est quand même a mourrir de rire.
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Lawrence the Hammer- J'aime l'Union à la folie
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