Top 14 - 3ᵉ journée : UBB / Castres

le radis a écrit:Et au figaro ?

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/top-14/non-m-maynadier-les-journalistes-ne-sont-pas-des-groupies-du-pianiste-20220914

le radis a écrit:Et au figaro ?

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/top-14/non-m-maynadier-les-journalistes-ne-sont-pas-des-groupies-du-pianiste-20220914

grospaquet31 a écrit:Merci Clement, ton plan se deroule comme prevu. Excellent contre feu. Mathieu a la paix maintenant

nadoloubb a écrit:

grospaquet31 a écrit:Merci Clement, ton plan se deroule comme prevu. Excellent contre feu. Mathieu a la paix maintenant

J'ai pensé à la même chose trop fort

Etchetera a écrit:
Je voulais revenir sur l'état de forme des uns et des autres. Un article récent de Sud-Ouest parlait de la forme étincelante de Dupont et de certains toulousains qui ont eu la chance d'être dispensé de la tournée de juin au Japon, contrairement à nos meilleurs joueurs qui l'ont faite cette tournée de m....et qui sont aujourd'hui moins fringants que si ils avaient bénéficié du même repos et de la même préparation que les autres.

Je pense que cela peut expliquer partiellement nos deux défaites.

Rajoutez y un essai valable refusé par match et le compte est bon:xD:  

Si on continue à marquer plus d'essais que l'adversaire, on va bien finir par en gagner des matchs!!!!

le radis a écrit:Et au figaro ?

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/top-14/non-m-maynadier-les-journalistes-ne-sont-pas-des-groupies-du-pianiste-20220914

Scalp a écrit:

nadoloubb a écrit:

grospaquet31 a écrit:Merci Clement, ton plan se deroule comme prevu. Excellent contre feu. Mathieu a la paix maintenant

J'ai pensé à la même chose trop fort

Nous en sommes à un stade ou tout ce que l'on pourra dire se retournera contre nous, on est dans le collimateur et on est une bonne cible, on ne peut pas dire que nous ayons bien géré notre communication, que ce soit le club, Marti, Urios, Jalibert..., il va falloir apprendre à ce niveau, il parait qu'on n'a rien à envier aux autres clubs en terme d'organisation et de structure, mais il y a encore du travail et on sait où il va falloir porter notre effort

Encore une fois, il n'y a qu'une réponse à apporter, gagner samedi et si possible, avec la manière !.

patrick a écrit:

Scalp a écrit:

nadoloubb a écrit:

grospaquet31 a écrit:Merci Clement, ton plan se deroule comme prevu. Excellent contre feu. Mathieu a la paix maintenant

J'ai pensé à la même chose trop fort

Nous en sommes à un stade ou tout ce que l'on pourra dire se retournera contre nous, on est dans le collimateur et on est une bonne cible, on ne peut pas dire que nous ayons bien géré notre communication, que ce soit le club, Marti, Urios, Jalibert..., il va falloir apprendre à ce niveau, il parait qu'on n'a rien à envier aux autres clubs en terme d'organisation et de structure, mais il y a encore du travail et on sait où il va falloir porter notre effort

Encore une fois, il n'y a qu'une réponse à apporter, gagner samedi et si possible, avec la manière !.

Oui, il semblerait même qu'on soit bien mieux organisé au niveau sportif et logistique. Par contre on a peut-être quelques manques par ailleurs, peut-être en raison d'efforts consentis assez modestes.

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/top-14/non-m-maynadier-les-journalistes-ne-sont-pas-des-groupies-du-pianiste-20220914
Non Monsieur Maynadier ! Les journalistes ne sont pas des groupies du pianiste

OPINION - Le talonneur de l'UBB s'est plaint que les journalistes «n'aident pas» son club. Comme si c'était leur rôle...

La saison vient à peine de commencer qu'on a déjà eu droit à une vieille rengaine. Un refrain éculé. «Méchants journalistes qui veulent nuire à la vie du club !» La sortie a cette fois été signée Clément Maynadier, le talonneur international de l'Union Bordeaux-Bègles qui s'est longuement épanché mardi en conférence de presse. Des propos rapportés par Midi Olympique . Le refrain est connu, c'est toujours le même... Les journalistes seraient responsables de tous les maux d'un club. « On est au début du championnat, on est à la deuxième journée, si on commence à se mettre le court-bouillon maintenant, on va se faire ch... les 24 journées qu'il va rester. Arrêtez d'écrire que l'UBB est en danger, arrêtez un peu. » Petit rappel, le club girondin a perdu ses deux premiers matches de la saison, à domicile contre Toulouse puis à Montpellier.

Les interrogations sur le retard à l'allumage du dernier demi-finaliste du Top 14 sont donc légitimes. L'attente est forte autour de l'UBB, le public se déplace en masse à Chaban-Delmas (meilleure affluence pour un club européen) et le club de Laurent Marti a, à l'évidence, franchi un cap ces dernières saisons. D'où une pression supplémentaire. C'est la rançon du succès. D'autant que le rugby a le vent en poupe à Bordeaux, au moment où le club de football de la ville connaît un gros passage à vide après avoir été relégué en deuxième division.

«Etre des journalistes de club»

Clément Maynadier va plus loin quand il lâche : « Vous écrivez pour écrire . Je vous le dis gentiment mais franchement ça me gonfle, parce que vous ne nous aidez pas. Je ne vous demande pas de mentir mais je vous demande juste de dire la vérité et d'être des journalistes de club. À Toulouse, ils aident Toulouse, à Brive, ils aident Brive, à La Rochelle, ils aident La Rochelle. Quand on perd...voilà, quand on gagne, ça ne va pas non plus. Je suis obligé de vous le dire. »

Alors, deux choses. Premièrement, les journalistes écrivent ce qu'ils veulent, selon leur ressenti et leur objectivité. Il ne faut pas confondre journalisme et communication. Avec le développement du professionnalisme, les clubs de rugby se sont dotés de service de communication grâce auxquels ils diffusent - sur leur site ou sur les réseaux sociaux - «la bonne parole». Celle qui ne froisse pas, qui va dans le sens du poil. Ce n'est pas ça, le journalisme. C'est de la com' !

Posture de la victime

Deuxièmement, le talonneur de l'UBB avance carrément que les journalistes de Toulouse, Brive et La Rochelle seraient gentils et qu'ils « aideraient » le club de leur ville. C'est faire offense au professionnalisme de nos collègues de La Dépêche du Midi , de La Montagne et de Sud Ouest . Ce serait les réduire à un simple rôle de communicant et, plus grave, de... supporters. On croit rêver. Non, ce ne sont pas des «groupies du pianiste» !

Si dès la deuxième journée, on entend déjà cette rengaine, la saison risque d'être longue... Les péripéties de l'UBB sont loin d'être terminées. Activer la posture de la victime (seule contre le reste du monde) après seulement deux matches perdus, cela semble périlleux. Et cela fait tache pour un club comme l'UBB qui dispose pourtant d'un bon capital sympathie auprès du grand public. N'oublions pas, enfin, que les journalistes servent d'interface entre un club et son public. Que ce soit pour raconter de belles histoires, mais aussi pour dire quand les choses ne vont pas... Chacun son métier - joueurs, présidents, communicants et journalistes - et les vaches seront bien gardées.

le radis a écrit:On dirait bien que sur les photos postées sur l’Instagram du club, il y ait le jeune flanker Romain Gardrat.

sudiste a écrit:Je plaidais pour le passage de la diète au boycott médiatique ...mais j'imagine que celui ci est impossible et que les clubs ont un minimum d'obligation en la matière pour nourrir les supports dédiés au rugby.

Je pense donc que Clément était en mission commandée pour qu'Urios et Jalibert devenus des "proies" sortent un peu du champ des projecteurs trop longtemps braqués sur eux.
Cette attaque est évidemment à double tranchant et l'on voit déjà la réponse très corporatiste de la profession qui se sert les coudes dans un concert de vertu et d'impartialité.

Que le "journaliste" du Figaro ne voit pas que la Dépêche est supportrice du Stade Toulousain (avec chauvinisme et parfois même mauvaise) montre qu'il n'a jamais lu ce journal. Quant à Prévot du RR qui déclare "un media n'a pas à aider un club." autant en rire quant on connait le parti pris du Midol pour le ST dont il est le relais médiatique prioritaire.

La stratégie de la confrontation est évidemment à double tranchant car rien de plus dangereux que d'attiser la susceptibilité de ces scribouillards qui font la pluie et le beau temps et dont l'objectivité est plus que relative. Ils n'ont d'ailleurs pas tardé à dégainer leur plumes acérées Il est donc évident qu'il ne faudra pas prêter de flanc à leurs attaques en adoptant un comportement irréprochable sur mais également en dehors des terrains.

Reconnaissons tout de même que la "micro crise" allumée en interne en fin de saison a entrainé un changement subit et radical de notre traitement médiatique :
- durant les 6 , 7 premières années après notre retour nous avons joui d'un traitement médiatique ultra positif malgré des résultats en dents de scie et quelques ratés. Nous étions ce club familial , cette équipe de quidams se battant vaillamment avec ses armes et qui vit éclore quelques talents de premier ordre devenus des icônes du championnat (Heini, Blair, Met...)...et puis il y avait ce succès populaire inattendu (surtout pour ceux qui ne connaissent pas l'histoire du rugby) qui ne s'est jamais démenti. Nous étions aimés parce que nous étions gentils et surtout parce que nous proposions un jeu flamboyant sans pour autant faire d'ombre aux grosses écuries.
- avec l'arrivée d'Urios nous avons changé de catégorie pour basculer dans les prétendants au titre avec quelques recrues de haut vol (Radradra) plaçant les ambitions du club au niveau longtemps affirmé (sans en avoir les armes). Evidemment nous avons été scruté avec plus d'attention, et les commentaires devenaient de moins en moins conciliant au fur et à mesure que nous apparaissions en mesure de bousculer la hiérarchie. Néanmoins ils étaient encore nombreux  à souhaiter sinon à légitimer notre possibilité à décrocher le Graal.
- et puis depuis 4 mois maintenant toute l'estime, la reconnaissance voire le respect accumulés semble s'être évaporés. Nous sommes le club du clash et du mauvais buzz, avec en point d'orgue la campagne de déstabilisation un peu minable contre Matthieu dont on peut imaginer qu'elle va fragiliser sa place au sein de l'EDF dont l'image est portée par la paire toulousaine "bien sous tous rapports". Nous avons disparu des favoris à la qualification et glissons progressivement vers un traitement médiatique de "ventre mou" comme si les journalistes lassé de notre "non confirmation" cherchaient un angle de traitement du club sous l'angle de la polémique permanente (qui fait aussi vendre). Côté traitement purement sportif LR depuis un moment déjà et maintenant le MHR nous ont évincé.

Ce constat m'attriste mais je ne peux m'empêcher de penser que nous y avons une part de responsabilité. Et elle vient en grande partie dans la faiblesse de notre communication qui, dans le monde professionnel, tient en grande partie à la création de réseaux de relais d'opinion au sein de la communauté journalistique et des instances rugbystiques (l'une des forces indéniables du ST). Oui la communication tient aussi du lobbying et si les journalistes revendiquent leur "indépendance" personne n'est dupe du fait qu'ils sont souvent orientés vers des sujets initiés par les clubs eux mêmes (c'est également le cas des grandes entreprise, ou des partis politiques). Le président a-t-il pris conscience de ce problème lui qui a (étonnement) laissé le champ libre à Urios pour traiter une "crise" qu'il avait lui même en partie initiée ?

densnewzealand a écrit:Je partage mot pour mot l’analyse de Sudiste .