Top 14 - 5ᵉ journée : UBB / Stade Français

Si Holmes n’était pas sur la feuille de match a Bayonne, c’est donc a priori a cause d’un soucis aux adducteurs. Il est forfait pour samedi.

On devrait avoir comme equipe

Poirot lamothe Cobilas
Jolmes Douglas
BVT Miquel Diaby
Lucu jalibert
Cordero vili moefana Cros
Buros

Remp: Kaulashvili Maynadier Falatea cazeaux Timu Lesgourgues garcia Uberti

Je pense que VAOTOA sera sur la feuille de match compte tenu de son « passif » avec le SF.

le radis a écrit:Je pense que VAOTOA sera sur la feuille de match compte tenu de son « passif » avec le SF.

Tu as sûrement raison, je ne me rappelle pas exactement comment s'était passé son départ du SF ?...

Scalp a écrit:

le radis a écrit:Je pense que VAOTOA sera sur la feuille de match compte tenu de son « passif » avec le SF.

Tu as sûrement raison, je ne me rappelle pas exactement comment s'était passé son départ du SF ?...

Je connais pas trop les détails... Mais signer un contrat de 3 saisons au SF, partir de Sapiac et faire 3 pauvres matchs en tant que remplaçant avant d'y retourner en prêt 2 saisons de suite... Et je pense d'ailleurs qu'on a dû lui racheter sa dernière de contrat ou alors y a eu un autre couac car il avait signé 3 ans en 2019. Du coup... Bof... Me doute que ça a pas dû trop trop lui plaire l'histoire.

grospaquet31 a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

C’est pour bonne sortie médiatique . Enfin !

le radis a écrit:

grospaquet31 a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

C’est pour bonne sortie médiatique . Enfin !

Être meilleur ne s'arrête jamais      

J'ai qu'une chose à dire, y a que la vérité qui blesse messieurs les "journalistes".

Scalp a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Cette semaine dans la tendance du Midol, Marc Duzan revient sur le récent éclat de voix de Clément Maynadier, talonneur de l'UBB en conférence de presse...

Je ne sais si vous êtes oui ou non tombés sur le récent éclat de voix de Clément Maynadier et de l’émoi qu’il suscita à l’intérieur de nos frontières. Début septembre, et après le début de saison un rien poussif de l’Union Bordeaux-Bègles, le talonneur lançait donc à une poignée de confrères, dont la mission quotidienne consiste en fait à relater l’actualité de l’UBB : « Je ne vous demande pas de mentir mais je vous demande juste d’être des journalistes de club, de ne pas faire du Voici ou de Gala ! À Toulouse, ils aident Toulouse ; à Brive, ils aident Brive ; à La Rochelle, ils aident La Rochelle. Ici, on vous ouvre les portes et vous nous saccagez. » La saillie est honorable. On la prend aujourd’hui pour ce qu’elle est, soit la réaction d’un homme blessé, le prolongement naturel de ce qui est communément appelé « l’orgueil du champion »…

Ne vous déplaise, M. Maynadier, et comme l’écrivit si bien Beaumarchais, « sans liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur ». Et sans les recadrages du café du Commerce de la place des Quinconces, les coups de semonce du fromager du marché des Capucins ou le jugement des médias, le talonneur de l’Union Bordeaux-Bègles et certains de ses compatriotes pourraient très bien se complaire à terme dans une forme d’autosatisfaction qui ne servirait ni leurs intérêts personnels, ni ceux de leurs coachs.
Maynadier, rugbyman professionnel et international à huit reprises, n’est ni Charles III, ni Clint Eastwood. En devenant rugbyman professionnel, il a néanmoins accepté de basculer dans le domaine public et, de façon tacite, choisi d’embrasser les aspects de sa profession qui lui semblent aujourd’hui les plus désagréables, étant ici entendu qu’il est a priori moins pénible de répondre à une interview d’avant-match que de bâfrer du charbon dans le Nord Pas-de-Calais.

Au bout du bout, on dira donc à Clément Maynadier que si la marge de progression des journalistes qui l’entourent, lui et le reste du Top 14, est probablement considérable, le talonneur de l’UBB aurait aussi pu tomber sur plus mauvais camarades, notre corporation ayant par exemple eu l’élégance, parmi tant d’autres, de n’évoquer l’histoire de famille d’Alexandre Dumoulin qu’au jour où celui-ci voulut briser l’omerta quand, sauf erreur de notre part, la vie privée des rugbymen français et les jouissances diverses qu’on leur prête en troisième mi-temps, en Coupe du monde ou en tournée n’ont jusqu’ici jamais été l’objet central de nos publications… quand bien même tout se sache un jour, dans notre petit univers. « Voici ? » « Gala ? » Z’êtes sérieux, ou quoi ?

Marc Duzan

Un article qui vient apres la bataille.
on aurait pu penser que le midol ne revienne pas mettre le couvert par pure élégance surtout 2 semaines apres les faits, mais l'elegance est une vertue inconnue chez ces journalistes de club du midol.

Scalp a écrit:"Avec un peu plus de réussite contre Toulouse, on est 4èmes et personne ne nous casse les bonbons"

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blablabla !!!

Cristo Furios, tu sais très bien que c' est ta triplette 10/12/13 qui couine.

grospaquet31 a écrit:

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Cette semaine dans la tendance du Midol, Marc Duzan revient sur le récent éclat de voix de Clément Maynadier, talonneur de l'UBB en conférence de presse...

Je ne sais si vous êtes oui ou non tombés sur le récent éclat de voix de Clément Maynadier et de l’émoi qu’il suscita à l’intérieur de nos frontières. Début septembre, et après le début de saison un rien poussif de l’Union Bordeaux-Bègles, le talonneur lançait donc à une poignée de confrères, dont la mission quotidienne consiste en fait à relater l’actualité de l’UBB : « Je ne vous demande pas de mentir mais je vous demande juste d’être des journalistes de club, de ne pas faire du Voici ou de Gala ! À Toulouse, ils aident Toulouse ; à Brive, ils aident Brive ; à La Rochelle, ils aident La Rochelle. Ici, on vous ouvre les portes et vous nous saccagez. » La saillie est honorable. On la prend aujourd’hui pour ce qu’elle est, soit la réaction d’un homme blessé, le prolongement naturel de ce qui est communément appelé « l’orgueil du champion »…

Ne vous déplaise, M. Maynadier, et comme l’écrivit si bien Beaumarchais, « sans liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur ». Et sans les recadrages du café du Commerce de la place des Quinconces, les coups de semonce du fromager du marché des Capucins ou le jugement des médias, le talonneur de l’Union Bordeaux-Bègles et certains de ses compatriotes pourraient très bien se complaire à terme dans une forme d’autosatisfaction qui ne servirait ni leurs intérêts personnels, ni ceux de leurs coachs.
Maynadier, rugbyman professionnel et international à huit reprises, n’est ni Charles III, ni Clint Eastwood. En devenant rugbyman professionnel, il a néanmoins accepté de basculer dans le domaine public et, de façon tacite, choisi d’embrasser les aspects de sa profession qui lui semblent aujourd’hui les plus désagréables, étant ici entendu qu’il est a priori moins pénible de répondre à une interview d’avant-match que de bâfrer du charbon dans le Nord Pas-de-Calais.

Au bout du bout, on dira donc à Clément Maynadier que si la marge de progression des journalistes qui l’entourent, lui et le reste du Top 14, est probablement considérable, le talonneur de l’UBB aurait aussi pu tomber sur plus mauvais camarades, notre corporation ayant par exemple eu l’élégance, parmi tant d’autres, de n’évoquer l’histoire de famille d’Alexandre Dumoulin qu’au jour où celui-ci voulut briser l’omerta quand, sauf erreur de notre part, la vie privée des rugbymen français et les jouissances diverses qu’on leur prête en troisième mi-temps, en Coupe du monde ou en tournée n’ont jusqu’ici jamais été l’objet central de nos publications… quand bien même tout se sache un jour, dans notre petit univers. « Voici ? » « Gala ? » Z’êtes sérieux, ou quoi ?

Marc Duzan

Un article qui vient apres la bataille.
on aurait pu penser que le midol ne revienne pas mettre le couvert par pure élégance surtout 2 semaines apres les faits, mais l'elegance est une vertue inconnue chez ces journalistes de club du midol.

Ce petit journaliste qui ne trouve rien de mieux que jeter de l'huile sur le feu ne fait que donner raison à Clément. Quel rapport entre les bruits de couloir, les rumeurs déstabilisatrices à l'égard de notre club et l'histoire de Dumoulin ?
Le corporatisme de cette profession est d'autant plus détestable que d'un côté Maynadier n'a fait q'un petit commentaire au hasard d'une conférence de presse quand eux disposent et usent du support d'"information" à discrétion pour se justifier, se blanchir et exposer leur point de vue (subjectif) sans contradiction. Ce Monsieur nous ressort la phrase de Beaumarchais mais devrait se l'appliquer puisqu'a priori il n'y a pour lui aucune "liberté de blâmer" les journalistes sans que, ceux qui en usent , soit discrédités, rappelés à l'ordre ou priés de rentrer dans le rang par ces parangons de vertu !!!

sudiste a écrit:

grospaquet31 a écrit:

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Cette semaine dans la tendance du Midol, Marc Duzan revient sur le récent éclat de voix de Clément Maynadier, talonneur de l'UBB en conférence de presse...

Je ne sais si vous êtes oui ou non tombés sur le récent éclat de voix de Clément Maynadier et de l’émoi qu’il suscita à l’intérieur de nos frontières. Début septembre, et après le début de saison un rien poussif de l’Union Bordeaux-Bègles, le talonneur lançait donc à une poignée de confrères, dont la mission quotidienne consiste en fait à relater l’actualité de l’UBB : « Je ne vous demande pas de mentir mais je vous demande juste d’être des journalistes de club, de ne pas faire du Voici ou de Gala ! À Toulouse, ils aident Toulouse ; à Brive, ils aident Brive ; à La Rochelle, ils aident La Rochelle. Ici, on vous ouvre les portes et vous nous saccagez. » La saillie est honorable. On la prend aujourd’hui pour ce qu’elle est, soit la réaction d’un homme blessé, le prolongement naturel de ce qui est communément appelé « l’orgueil du champion »…

Ne vous déplaise, M. Maynadier, et comme l’écrivit si bien Beaumarchais, « sans liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur ». Et sans les recadrages du café du Commerce de la place des Quinconces, les coups de semonce du fromager du marché des Capucins ou le jugement des médias, le talonneur de l’Union Bordeaux-Bègles et certains de ses compatriotes pourraient très bien se complaire à terme dans une forme d’autosatisfaction qui ne servirait ni leurs intérêts personnels, ni ceux de leurs coachs.
Maynadier, rugbyman professionnel et international à huit reprises, n’est ni Charles III, ni Clint Eastwood. En devenant rugbyman professionnel, il a néanmoins accepté de basculer dans le domaine public et, de façon tacite, choisi d’embrasser les aspects de sa profession qui lui semblent aujourd’hui les plus désagréables, étant ici entendu qu’il est a priori moins pénible de répondre à une interview d’avant-match que de bâfrer du charbon dans le Nord Pas-de-Calais.

Au bout du bout, on dira donc à Clément Maynadier que si la marge de progression des journalistes qui l’entourent, lui et le reste du Top 14, est probablement considérable, le talonneur de l’UBB aurait aussi pu tomber sur plus mauvais camarades, notre corporation ayant par exemple eu l’élégance, parmi tant d’autres, de n’évoquer l’histoire de famille d’Alexandre Dumoulin qu’au jour où celui-ci voulut briser l’omerta quand, sauf erreur de notre part, la vie privée des rugbymen français et les jouissances diverses qu’on leur prête en troisième mi-temps, en Coupe du monde ou en tournée n’ont jusqu’ici jamais été l’objet central de nos publications… quand bien même tout se sache un jour, dans notre petit univers. « Voici ? » « Gala ? » Z’êtes sérieux, ou quoi ?

Marc Duzan

Un article qui vient apres la bataille.
on aurait pu penser que le midol ne revienne pas mettre le couvert par pure élégance surtout 2 semaines apres les faits, mais l'elegance est une vertue inconnue chez ces journalistes de club du midol.

Ce petit journaliste qui ne trouve rien de mieux que jeter de l'huile sur le feu ne fait que donner raison à Clément. Quel rapport entre les bruits de couloir, les rumeurs déstabilisatrices à l'égard de notre club et l'histoire de Dumoulin ?
Le corporatisme de cette profession est d'autant plus détestable que d'un côté Maynadier n'a fait q'un petit commentaire au hasard d'une conférence de presse quand eux disposent et usent du support d'"information" à discrétion pour se justifier, se blanchir et exposer leur point de vue (subjectif) sans contradiction. Ce Monsieur nous ressort la phrase de Beaumarchais mais devrait se l'appliquer puisqu'a priori il n'y a pour lui aucune "liberté de blâmer" les journalistes sans que, ceux qui en usent , soit discrédités, rappelés à l'ordre ou priés de rentrer dans le rang par ces parangons de vertu !!!

C'est tellement vrai que c'en est cruel

Scalp a écrit:

sudiste a écrit:

grospaquet31 a écrit:

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Cette semaine dans la tendance du Midol, Marc Duzan revient sur le récent éclat de voix de Clément Maynadier, talonneur de l'UBB en conférence de presse...

Je ne sais si vous êtes oui ou non tombés sur le récent éclat de voix de Clément Maynadier et de l’émoi qu’il suscita à l’intérieur de nos frontières. Début septembre, et après le début de saison un rien poussif de l’Union Bordeaux-Bègles, le talonneur lançait donc à une poignée de confrères, dont la mission quotidienne consiste en fait à relater l’actualité de l’UBB : « Je ne vous demande pas de mentir mais je vous demande juste d’être des journalistes de club, de ne pas faire du Voici ou de Gala ! À Toulouse, ils aident Toulouse ; à Brive, ils aident Brive ; à La Rochelle, ils aident La Rochelle. Ici, on vous ouvre les portes et vous nous saccagez. » La saillie est honorable. On la prend aujourd’hui pour ce qu’elle est, soit la réaction d’un homme blessé, le prolongement naturel de ce qui est communément appelé « l’orgueil du champion »…

Ne vous déplaise, M. Maynadier, et comme l’écrivit si bien Beaumarchais, « sans liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur ». Et sans les recadrages du café du Commerce de la place des Quinconces, les coups de semonce du fromager du marché des Capucins ou le jugement des médias, le talonneur de l’Union Bordeaux-Bègles et certains de ses compatriotes pourraient très bien se complaire à terme dans une forme d’autosatisfaction qui ne servirait ni leurs intérêts personnels, ni ceux de leurs coachs.
Maynadier, rugbyman professionnel et international à huit reprises, n’est ni Charles III, ni Clint Eastwood. En devenant rugbyman professionnel, il a néanmoins accepté de basculer dans le domaine public et, de façon tacite, choisi d’embrasser les aspects de sa profession qui lui semblent aujourd’hui les plus désagréables, étant ici entendu qu’il est a priori moins pénible de répondre à une interview d’avant-match que de bâfrer du charbon dans le Nord Pas-de-Calais.

Au bout du bout, on dira donc à Clément Maynadier que si la marge de progression des journalistes qui l’entourent, lui et le reste du Top 14, est probablement considérable, le talonneur de l’UBB aurait aussi pu tomber sur plus mauvais camarades, notre corporation ayant par exemple eu l’élégance, parmi tant d’autres, de n’évoquer l’histoire de famille d’Alexandre Dumoulin qu’au jour où celui-ci voulut briser l’omerta quand, sauf erreur de notre part, la vie privée des rugbymen français et les jouissances diverses qu’on leur prête en troisième mi-temps, en Coupe du monde ou en tournée n’ont jusqu’ici jamais été l’objet central de nos publications… quand bien même tout se sache un jour, dans notre petit univers. « Voici ? » « Gala ? » Z’êtes sérieux, ou quoi ?

Marc Duzan

Un article qui vient apres la bataille.
on aurait pu penser que le midol ne revienne pas mettre le couvert par pure élégance surtout 2 semaines apres les faits, mais l'elegance est une vertue inconnue chez ces journalistes de club du midol.

Ce petit journaliste qui ne trouve rien de mieux que jeter de l'huile sur le feu ne fait que donner raison à Clément. Quel rapport entre les bruits de couloir, les rumeurs déstabilisatrices à l'égard de notre club et l'histoire de Dumoulin ?
Le corporatisme de cette profession est d'autant plus détestable que d'un côté Maynadier n'a fait q'un petit commentaire au hasard d'une conférence de presse quand eux disposent et usent du support d'"information" à discrétion pour se justifier, se blanchir et exposer leur point de vue (subjectif) sans contradiction. Ce Monsieur nous ressort la phrase de Beaumarchais mais devrait se l'appliquer puisqu'a priori il n'y a pour lui aucune "liberté de blâmer" les journalistes sans que, ceux qui en usent , soit discrédités, rappelés à l'ordre ou priés de rentrer dans le rang par ces parangons de vertu !!!

C'est tellement vrai que c'en est cruel

Du temps où j'étais cheminot, on m'a souvent rabattu les oreilles du lobby SNCF, du privilège cheminot ou du corporatisme incroyable de ce secteur (certes réel mais aussi exagéré), mais alors à ce niveau, les journalistes sont de sacrés concurrents. Ces gens, dont on peut d'ailleurs douter de leurs compétences tant est aujourd'hui journaliste qui veut (sans diplôme ou formation précis ni officiel), ont le pouvoir de critiquer à tout va dans l'espace publique quand l'inverse n'est que difficilement possible.

A l'heure où l'on voudrait mettre un surveillant doublé d'un juge derrière chaque policier, chaque prof ou même chaque salarié du privé, qui contrôle (sérieusement) les journalistes ? Qui les encadre ? Les recadre ? Les évalue ? Ces commentateurs, dont une partie tient d'ailleurs plus du militant engagé, peuvent baver des conneries à longueur de journée sans rendre de compte ou presque. Et je ne parle d'ailleurs pas que de la dite "sportive" mais de toute la corporation, à commencer par les plateaux TV !

Scalp a écrit:"Avec un peu plus de réussite contre Toulouse, on est 4èmes et personne ne nous casse les bonbons"

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J'entends certains arguments d'Urios comme le retard de la préparation ou le manque de joueurs dès cet été. Mais sur d'autres aspects, je ne peux m'empêcher de croire qu'on devrait avoir mieux. Par exemple les touches, ratées en pagaille samedi. D'où vient de problème, si ce n'est du travail effectué en semaine ?! Idem pour les tirs au but. Ce sont des aspects du jeu qui nécessitent avoir tout du travail et de la précision en semaine, à l'entraînement, et nullement d'une préparation estivale. Donc oui, Christophe, il y a des raisons de dédouaner l'équipe pour ses prestations actuelles, mais pas que, et il faut aussi reconnaître ses erreurs.

En revanche sur les paragraphes concernant l'état d'esprit et l'implication, j'apprécie les petits piques. Celle sur les joueurs qui se "pensent au-dessus de tout le monde" est tout à fait pertinente

Switch a écrit:

Scalp a écrit:"Avec un peu plus de réussite contre Toulouse, on est 4èmes et personne ne nous casse les bonbons"

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J'entends certains arguments d'Urios comme le retard de la préparation ou le manque de joueurs dès cet été. Mais sur d'autres aspects, je ne peux m'empêcher de croire qu'on devrait avoir mieux. Par exemple les touches, ratées en pagaille samedi. D'où vient de problème, si ce n'est du travail effectué en semaine ?! Idem pour les tirs au but. Ce sont des aspects du jeu qui nécessitent avoir tout du travail et de la précision en semaine, à l'entraînement, et nullement d'une préparation estivale. Donc oui, Christophe, il y a des raisons de dédouaner l'équipe pour ses prestations actuelles, mais pas que, et il faut aussi reconnaître ses erreurs.

En revanche sur les paragraphes concernant l'état d'esprit et l'implication, j'apprécie les petits piques. Celle sur les joueurs qui se "pensent au-dessus de tout le monde" est tout à fait pertinente

et celle là:
c'est qu'on a un groupe avec une bien meilleure qualité humaine. L'état d'esprit est meilleur cette année

je trouve dommage encore une fois ce genre de reflexion. Car, on a compris qui il visait une nouvelle fois. J'imagine qu'on aura une encore meilleure qualite humaine quand Jalibert aura fait ses valises.

grospaquet31 a écrit:

Switch a écrit:

Scalp a écrit:"Avec un peu plus de réussite contre Toulouse, on est 4èmes et personne ne nous casse les bonbons"

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J'entends certains arguments d'Urios comme le retard de la préparation ou le manque de joueurs dès cet été. Mais sur d'autres aspects, je ne peux m'empêcher de croire qu'on devrait avoir mieux. Par exemple les touches, ratées en pagaille samedi. D'où vient de problème, si ce n'est du travail effectué en semaine ?! Idem pour les tirs au but. Ce sont des aspects du jeu qui nécessitent avoir tout du travail et de la précision en semaine, à l'entraînement, et nullement d'une préparation estivale. Donc oui, Christophe, il y a des raisons de dédouaner l'équipe pour ses prestations actuelles, mais pas que, et il faut aussi reconnaître ses erreurs.

En revanche sur les paragraphes concernant l'état d'esprit et l'implication, j'apprécie les petits piques. Celle sur les joueurs qui se "pensent au-dessus de tout le monde" est tout à fait pertinente

et celle là:
c'est qu'on a un groupe avec une bien meilleure qualité humaine. L'état d'esprit est meilleur cette année

je trouve dommage encore une fois ce genre de reflexion. Car, on a compris qui il visait une nouvelle fois. J'imagine qu'on aura une encore meilleure qualite humaine quand Jalibert aura fait ses valises.

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Ça a l'air de ne pas trop mal se passer, nul doute que les petits nouveaux amènent un vent de fraicheur

Entre joueurs y a aucune raison que ca se passe mal.
J’aimerais qu’on arrête ces petites phrases dans les medias. Si CU a envie de dire que Woki, Paiva ou un autre est un petit con, il prend son téléphone, je pense quil doit encore les avoir.

grospaquet31 a écrit:Entre joueurs y a aucune raison que ca se passe mal.
J’aimerais qu’on arrête ces petites phrases dans les medias. Si CU a envie de dire que Woki, Paiva ou un autre est un petit con, il prend son téléphone, je pense quil doit encore les avoir.

Ça, c'est ton interprétation , mais s'il ne disait rien sur l'évolution positive du groupe par rapport à l'année dernière, on pourrait aussi le critiquer, on peut toujours trouver un angle d'attaque...

Scalp a écrit:

grospaquet31 a écrit:Entre joueurs y a aucune raison que ca se passe mal.
J’aimerais qu’on arrête ces petites phrases dans les medias. Si CU a envie de dire que Woki, Paiva ou un autre est un petit con, il prend son téléphone, je pense quil doit encore les avoir.

Ça, c'est ton interprétation   , mais s'il ne disait rien sur l'évolution positive du groupe par rapport à l'année dernière, on pourrait aussi le critiquer, on peut toujours trouver un angle d'attaque...

si c'est pour dire ca, c'est bon pour moi, je lui pardonne volontiers

grospaquet31 a écrit:

Scalp a écrit:

grospaquet31 a écrit:Entre joueurs y a aucune raison que ca se passe mal.
J’aimerais qu’on arrête ces petites phrases dans les medias. Si CU a envie de dire que Woki, Paiva ou un autre est un petit con, il prend son téléphone, je pense quil doit encore les avoir.

Ça, c'est ton interprétation   , mais s'il ne disait rien sur l'évolution positive du groupe par rapport à l'année dernière, on pourrait aussi le critiquer, on peut toujours trouver un angle d'attaque...

si c'est pour dire ca, c'est bon pour moi, je lui pardonne volontiers

Vivement qu'on passe au rugby, qu'on oublie la saison passée et qu'on arrive à enchaîner au moins deux victoires

Je suis entièrement d'accord avec Urios et confirme avec lui "IL N'Y A PAS LE FEU AU LAC!!".

Vous êtes nombreux sur ce forum à prendre depuis quelque temps notre équipe pour une équipe tout juste bonne pour la proD2 et ça commence à m'énerver. Il a raison de dire que contre Toulouse, nous aurions pu et du gagner et que les commentaires ne seraient plus les mêmes. Et je vais plus loin que lui:
Lors de nos trois défaites, on nous refuse un essai qui change le résultat des matchs et qui, validés, nous auraient permis d'en gagner deux et récupérer un bonus défensif, soit plus 7 points....et l'UBB serait sur le podium.
Alors, je vous entends déjà: "si ma tante en avait..."; soit mais, même si je ne remets pas en cause les décisions arbitrales (quoique, dans deux cas sur trois....), ni les résultats, il n'empêche que ce n'est pas la qualité de notre jeu et de nos joueurs qui ont fait que ces matchs ont basculé du mauvais côté mais seulement une interprétation arbitrale ou un petit en avant.

En conclusion, le résultat des matchs se joue souvent à rien! alors patience et modération!