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Ben Tapuai
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grospaquet31
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le radis
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Re: Ben Tapuai
Scalp a écrit:biscouette a écrit:Scalp a écrit:nadoloubb a écrit:Scalp a écrit:
Je commence à comprendre son recrutement, franchement heureux de mettre trompé sur lui
On était tous dubitatifs, mais c'est bon signe, ça veut dire que notre coach sait ce qu'il fait.
Heureux de ne pas m'être trompé sur lui.
Bien vu Biscouette
Oue chapeau
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: Ben Tapuai
Haha, merci les gars, mais en fait quand on a joué 3/4 centre ça permet de voir des petites choses auxquelles peut-être on ne prête pas attention autrement… (sans que ce soit une condition exclusive, hein… la preuve Noel McNamara n’a jamais joué au rugby !).nadoloubb a écrit:Scalp a écrit:biscouette a écrit:Scalp a écrit:nadoloubb a écrit:Scalp a écrit:
Je commence à comprendre son recrutement, franchement heureux de mettre trompé sur lui
On était tous dubitatifs, mais c'est bon signe, ça veut dire que notre coach sait ce qu'il fait.
Heureux de ne pas m'être trompé sur lui.
Bien vu Biscouette
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biscouette- Centre de presse
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Re: Ben Tapuai
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Re: Ben Tapuai
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Re: Ben Tapuai
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/ubb-ben-tapuai-une-experience-solide-dans-les-bagages-19925080.php
Union Bordeaux-Bègles (UBB) : Ben Tapuai, une expérience solide dans les bagages
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Par Yoan Leshauriès
Le trois-quart centre de l’UBB s’est construit aux quatre coins de la planète rugby : de l’Australie à la France, en passant par l’Angleterre et l’Afrique du Sud. Il ouvre son carnet de voyages
A 35 ans, Ben Tapuai est toujours aussi précieux dans un collectif. Et ça, Yannick Bru, le manager de l’Union Bordeaux-Bègles, ne cesse de le répéter quand il parle du trois-quart centre australien (7 sélections) qu’il a entraîné chez les Sharks en Afrique du Sud. Le « papa » des lignes arrière girondines, qui est en passe de prolonger pour une saison supplémentaire, revient sur sa carrière aux quatre coins du monde.
Australie : l’accent sur les skills
« En Australie, j’ai appris à devenir pro, à prendre soin de mon corps, à mettre l’accent sur tout ce travail de l’ombre en dehors du terrain. J’ai aussi passé beaucoup de temps sur les skills basiques durant mes premières années chez les Queensland Reds (2009-2015). À l’époque, le rugby australien privilégiait le jeu rapide, basé sur la circulation du ballon. Les gabarits des joueurs n’étaient pas aussi imposants qu’en France ou en Afrique du Sud (il mesure 1,77 m pour 95 kg), on devait donc trouver des moyens de battre l’adversaire. Mon modèle était Matt Giteau, il jouait centre chez les Brumbies. Je l’ai beaucoup observé, je me suis inspiré de son jeu. En 2011, j’ai remporté le Super Rugby avec les Reds. Jouer devant 50 000 personnes pour la première fois de ma vie a été quelque chose de très impressionnant. Je n’ai pas été prolongé chez les Reds, j’ai signé pour la Western Force pour une saison (2016), avant de quitter l’Australie. »
« Quand les gens me demandent si mon fils est Sud-Africain, je leur réponds : non, il est Australien mais il est né à Londres »
Angleterre : l’apprentissage de la patience
« Tabai Matson m’a proposé de rejoindre Bath dont il était l’entraîneur. Je comptais 7 sélections avec les Wallabies mais la porte était désormais fermée pour moi en sélection. Il était temps de changer d’horizon. Avec ma fiancée, on adore voyager, on a donc rejoint l’Angleterre. En Premiership, j’ai découvert la pluie et un autre rugby basé sur les avants. J’ai dû apprendre un nouveau style de jeu, c’était comme si je retournais à l’école. La première année a été compliquée, je ressentais pas mal de frustration, j’étais toujours le mec qui faisait la passe de trop. J’ai dû changer ma manière de penser et m’adapter à une nouvelle équipe. Le championnat anglais m’a appris la patience. Après deux ans sous les couleurs de Bath (2016-2018), j’ai signé pour trois ans chez les Harlequins (2018-2021) et nous sommes devenus champions lors de ma dernière année. J’ai vraiment été chanceux de terminer mon aventure anglaise sur un titre. »
Afrique du Sud : le combat
« L’Afrique du Sud a été une opportunité que je ne pouvais pas refuser, surtout chez les Sharks (2021-2023). J’ai découvert un jeu vraiment très physique avec des poids lourds. Même les entraînements étaient très musclés. Là-bas, tout le monde est animé par l’esprit de compétition, joue pour une nation entière, il y a ce poids des responsabilités. Si tu n’es pas au niveau, il y a un mort de faim qui prendra ta place. Là-bas, je suis vraiment devenu un joueur plus compétitif et physique. La préparation des matchs, elle, est quasi militaire, très stricte. Quand le coach veut quelque chose, c’est « Yes Sir ! ». Il est au tableau dans le rôle du prof, les joueurs sont les étudiants. Et il n’y a pas de place au débat comme en Australie ou en France, si tu n’es pas d’accord avec le boss, c’est pareil (rires). C’est leur manière de fonctionner. En tant qu’Australien, j’ai dû m’adapter aux différentes langues : les entraînements se déroulent en Afrikaans, Zulu ou Xhosa… Mon fils a même l’accent afrikaans. Quand les gens me demandent s’il est Sud-Africain, je leur réponds : non, il est Australien mais il est né à Londres (rires). »
France : le leadership
« Je commençais à avoir des problèmes de visa en Afrique du Sud. Par chance, Yannick (Bru) m’a donné l’opportunité de venir à l’UBB. J’ai découvert le Top 14, le championnat le plus relevé au monde à mes yeux : c’est physique, beaucoup plus ouvert au classement. Tu n’as pas le droit de te relâcher, tu dois te tenir prêt quand on fait appel à toi car vu la longueur des saisons, tu ne peux pas jouer tous les matchs. Tu ne dois pas voir tes coéquipiers comme des concurrents à ton poste, tout le monde doit s’entraider. À mon âge, c’est plus facile à comprendre. Yannick compte sur mon leadership pour encadrer les jeunes. Ça n’a pas toujours été quelque chose de naturel chez moi, je l’ai développé au fil des années. On m’appelle « papa », je le suis d’ailleurs devenu une troisième fois en France (rires). Aujourd’hui, j’ai envie de remporter un dernier trophée. C’est parfois difficile d’être loin de sa famille depuis tant d’années mais avec ma femme, on adore voyager et on ne veut rien regretter. »
Union Bordeaux-Bègles (UBB) : Ben Tapuai, une expérience solide dans les bagages
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Par Yoan Leshauriès
Le trois-quart centre de l’UBB s’est construit aux quatre coins de la planète rugby : de l’Australie à la France, en passant par l’Angleterre et l’Afrique du Sud. Il ouvre son carnet de voyages
A 35 ans, Ben Tapuai est toujours aussi précieux dans un collectif. Et ça, Yannick Bru, le manager de l’Union Bordeaux-Bègles, ne cesse de le répéter quand il parle du trois-quart centre australien (7 sélections) qu’il a entraîné chez les Sharks en Afrique du Sud. Le « papa » des lignes arrière girondines, qui est en passe de prolonger pour une saison supplémentaire, revient sur sa carrière aux quatre coins du monde.
Australie : l’accent sur les skills
« En Australie, j’ai appris à devenir pro, à prendre soin de mon corps, à mettre l’accent sur tout ce travail de l’ombre en dehors du terrain. J’ai aussi passé beaucoup de temps sur les skills basiques durant mes premières années chez les Queensland Reds (2009-2015). À l’époque, le rugby australien privilégiait le jeu rapide, basé sur la circulation du ballon. Les gabarits des joueurs n’étaient pas aussi imposants qu’en France ou en Afrique du Sud (il mesure 1,77 m pour 95 kg), on devait donc trouver des moyens de battre l’adversaire. Mon modèle était Matt Giteau, il jouait centre chez les Brumbies. Je l’ai beaucoup observé, je me suis inspiré de son jeu. En 2011, j’ai remporté le Super Rugby avec les Reds. Jouer devant 50 000 personnes pour la première fois de ma vie a été quelque chose de très impressionnant. Je n’ai pas été prolongé chez les Reds, j’ai signé pour la Western Force pour une saison (2016), avant de quitter l’Australie. »
« Quand les gens me demandent si mon fils est Sud-Africain, je leur réponds : non, il est Australien mais il est né à Londres »
Angleterre : l’apprentissage de la patience
« Tabai Matson m’a proposé de rejoindre Bath dont il était l’entraîneur. Je comptais 7 sélections avec les Wallabies mais la porte était désormais fermée pour moi en sélection. Il était temps de changer d’horizon. Avec ma fiancée, on adore voyager, on a donc rejoint l’Angleterre. En Premiership, j’ai découvert la pluie et un autre rugby basé sur les avants. J’ai dû apprendre un nouveau style de jeu, c’était comme si je retournais à l’école. La première année a été compliquée, je ressentais pas mal de frustration, j’étais toujours le mec qui faisait la passe de trop. J’ai dû changer ma manière de penser et m’adapter à une nouvelle équipe. Le championnat anglais m’a appris la patience. Après deux ans sous les couleurs de Bath (2016-2018), j’ai signé pour trois ans chez les Harlequins (2018-2021) et nous sommes devenus champions lors de ma dernière année. J’ai vraiment été chanceux de terminer mon aventure anglaise sur un titre. »
Afrique du Sud : le combat
« L’Afrique du Sud a été une opportunité que je ne pouvais pas refuser, surtout chez les Sharks (2021-2023). J’ai découvert un jeu vraiment très physique avec des poids lourds. Même les entraînements étaient très musclés. Là-bas, tout le monde est animé par l’esprit de compétition, joue pour une nation entière, il y a ce poids des responsabilités. Si tu n’es pas au niveau, il y a un mort de faim qui prendra ta place. Là-bas, je suis vraiment devenu un joueur plus compétitif et physique. La préparation des matchs, elle, est quasi militaire, très stricte. Quand le coach veut quelque chose, c’est « Yes Sir ! ». Il est au tableau dans le rôle du prof, les joueurs sont les étudiants. Et il n’y a pas de place au débat comme en Australie ou en France, si tu n’es pas d’accord avec le boss, c’est pareil (rires). C’est leur manière de fonctionner. En tant qu’Australien, j’ai dû m’adapter aux différentes langues : les entraînements se déroulent en Afrikaans, Zulu ou Xhosa… Mon fils a même l’accent afrikaans. Quand les gens me demandent s’il est Sud-Africain, je leur réponds : non, il est Australien mais il est né à Londres (rires). »
France : le leadership
« Je commençais à avoir des problèmes de visa en Afrique du Sud. Par chance, Yannick (Bru) m’a donné l’opportunité de venir à l’UBB. J’ai découvert le Top 14, le championnat le plus relevé au monde à mes yeux : c’est physique, beaucoup plus ouvert au classement. Tu n’as pas le droit de te relâcher, tu dois te tenir prêt quand on fait appel à toi car vu la longueur des saisons, tu ne peux pas jouer tous les matchs. Tu ne dois pas voir tes coéquipiers comme des concurrents à ton poste, tout le monde doit s’entraider. À mon âge, c’est plus facile à comprendre. Yannick compte sur mon leadership pour encadrer les jeunes. Ça n’a pas toujours été quelque chose de naturel chez moi, je l’ai développé au fil des années. On m’appelle « papa », je le suis d’ailleurs devenu une troisième fois en France (rires). Aujourd’hui, j’ai envie de remporter un dernier trophée. C’est parfois difficile d’être loin de sa famille depuis tant d’années mais avec ma femme, on adore voyager et on ne veut rien regretter. »
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Re: Ben Tapuai
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