Top14 : autres matchs

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Ubb332006 a écrit:Le racing pau dans 2 semaines ça va vraiment être tendu, celui qui perd dit au revoir au top 6

Le Toulon Clermont aussi vaudra cher. J'espère que le ST mettra une rouste au SR....

Je vois Toulon gagner mais pr racing Pau pr le coup je trouve pas qu il y ait un vainqueur qui se dessine avant le match

J'ai loupé le match, j'étais en terres Toulousaines pendant, j'ai regardé un peu vos commentaires à un moment, et maintenant à mon retour, et je vois que je n'ai rien loupé..., il fallait sauver le soldat Rochelais visiblement.

Vince33 a écrit:Et pour parachever son œuvre il ne donne pas de jaune pour un en avant volontaire similaire à celui de Maddocks. Une honte ce mec j

Je n’ai pas compris non plus pourquoi l’arbitre n’a sifflé qu’une simple pénalité sur cette action, alors que cet en-avant annihilait la belle dynamique offensive de la section paloise.

Par contre sur le résultat final, Pau ne peut s’en prendre qu’à elle-même. Dès qu’elle a accéléré le jeu, elle a trouvé de belles ouvertures. Dommage qu’elle a manqué de précision dans ses gestes (6 points loupés au pied, beaucoup d’en-avant…) et de rapidité de sortie de balle. La Rochelle n’a été ni meilleure dans le jeu proposé, ni plus fraîche physiquement et mentalement que la semaine dernière. La section avait la place pour la faire douter et la mettre dans le rouge.

Top 14 - "Il y a une action qui sème le chaos…", regrette Sébastien Piqueronies après la défaite de Pau à La Rochelle

https://www.rugbyrama.fr/2024/05/19/top-14-il-y-a-une-action-qui-seme-le-chaos-regrette-sebastien-piqueronies-apres-la-defaite-de-pau-a-la-rochelle-11960430.php

VIDÉO. TOP 14. Les boulettes de Pau sécurisent La Rochelle dans la course aux phases finales

https://www.lerugbynistere.fr/videos/video-top-14-les-boulettes-de-pau-securisent-la-rochelle-dans-la-course-aux-phases-finales-1905241109.php

Merci à ces deux équipes pour leur jeu cette saison

Stade Rochelais : Lavault et Boudehent out jusqu'à la fin de saison, Danty et Dulin de retour

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Stade-rochelais-lavault-et-boudehent-out-jusqu-a-la-fin-de-saison-danty-et-dulin-de-retour/1470442

Le Stade Français en stage à Gruissan (Aude)

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Le-stade-francais-en-stage-a-gruissan-aude/1470457

Top 14. Quel Toulouse pour le choc face à La Rochelle : Didier Lacroix donne un indice

https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/top-14-quel-toulouse-pour-le-choc-face-a-la-rochelle-didier-lacroix-donne-un-indice_61117539.html

Scalp a écrit:Top 14. Quel Toulouse pour le choc face à La Rochelle : Didier Lacroix donne un indice

https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/top-14-quel-toulouse-pour-le-choc-face-a-la-rochelle-didier-lacroix-donne-un-indice_61117539.html

C'est dingue comme ça ne joue JAMAIS pour nous. Jamais on ne se retrouve dans la situation de LR. On se tape toujours des adversaires directs au complet (ou presque).

Si LR venait à s'imposer à Toulouse, ça relancerait la course au top 4. Définitivement, rien ne nous sera donné, et on devrait aller chercher notre barrage à domicile nous-mêmes.

A ceux qui en doutaient : il faudrait ramener quelque chose de Perpignan !

C’est certain que s’ils digèrent bien leur titre, qu’ils sont à leur niveau, c’est à dire aussi fort sur les matchs couperets, ils filent vers un doublé…

Guy Novès, à propos de la domination toulousaine : « Qui peut battre le Stade Toulousain aujourd'hui ? »

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Guy-noves-a-propos-de-la-domination-toulousaine-qui-peut-battre-le-stade-toulousain-aujourd-hui/1470643

Ouep, pas grand monde, mais ça, on le savait déjà avant leur victoire contre le Leinster, qui n'est pas vraiment une surprise. On est d'accord qu'ils auraient pu perdre la rencontre sur un drop, prendre un rouge dès le début du match et être privé de Willis. Mais voilà, ils ont eu le coup de pouce du destin, en plus de leur talent et de leur état d'esprit. C'est une équipe qui a tous les voyants au vert, avec la dynamique du vent qui souffle dans son dos, gonflant son immense confiance en elle.

À part un excès de confiance justement, qui pourrait leur être éventuellement préjudiciable, bien que je doute qu'ils tombent dans cet écueil, ça va être dur de les sortir d'une route toute tracée vers un doublé…, si une équipe y arrive, sa victoire n'en serait que plus exceptionnelle !

Switch a écrit:

Scalp a écrit:Top 14. Quel Toulouse pour le choc face à La Rochelle : Didier Lacroix donne un indice

https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/top-14-quel-toulouse-pour-le-choc-face-a-la-rochelle-didier-lacroix-donne-un-indice_61117539.html

C'est dingue comme ça ne joue JAMAIS pour nous. Jamais on ne se retrouve dans la situation de LR. On se tape toujours des adversaires directs au complet (ou presque).

Si LR venait à s'imposer à Toulouse, ça relancerait la course au top 4. Définitivement, rien ne nous sera donné, et on devrait aller chercher notre barrage à domicile nous-mêmes.

A ceux qui en doutaient : il faudrait ramener quelque chose de Perpignan !

Effectivement, on rame souvent le vent de face , mais à notre charge, on a encore loupé le coche contre le SF, il nous manque ce petit plus qui permet de valider notre progression dans les moments décisifs. Ce n'était pas le meilleur moment pour que notre excellente charnière sorte un match médiocre, mais ce fut le cas, du coup, on ne va pas avoir la marge de manœuvre qu'on aurait dû savoir saisir, et là, on en peut s'en prendre qu'à nous-mêmes…

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Cette-generation-du-stade-toulousain-est-elle-la-meilleure-de-l-histoire-du-club/1470632

Cette génération du Stade Toulousain est-elle la meilleure de l'histoire du club ?

Portée par le phénomène Antoine Dupont, la génération actuelle du Stade Toulousain rafle tellement de titres depuis cinq ans que la question mérite d'être posée : et si elle formait la plus grande équipe de l'histoire du club ?

Laurent Campistron (avec M.R. et Y.S.)

Depuis que le Stade Toulousain a recommencé à garnir son armoire à trophées, en 2019, après sept ans de disette, le sujet revient constamment sur le tapis. Après chaque titre gagné, il y a toujours un Didier Lacroix (président), un Jérôme Cazalbou (manager du haut niveau) ou un Ugo Mola (entraîneur en chef) pour dire à ses joueurs : « C'est bien, les gars, ça fait un titre de plus, mais si voulez entrer dans l'histoire de ce club autant que certaines générations qui vous ont précédés, il va falloir que vous en gagniez beaucoup d'autres. »

Évidemment, dans un milieu où le chambrage s'apparente à un art de vivre, ce rappel est toujours donné sur un ton badin, même si on soupçonne les dirigeants toulousains de s'en servir comme levier de motivation pour entretenir l'appétit démesuré de joueurs toujours prompts à se lancer dans une chasse aux records. Factuellement, c'est vrai, ce Toulouse-là n'a pas encore gagné autant que d'autres avant lui. Sans remonter jusqu'au Toulouse des années 1920 (5 titres en six ans entre 1922 et 1927), le Stade Toulousain des années 1990 et celui des années 2000 ont gagné plus de titres que celui de la génération actuelle. Mais pour combien de temps ?
Une adversité en France et en Europe bien plus féroce qu'auparavant

« Regardez la moyenne d'âge des mecs d'aujourd'hui, observe Cédric Heymans, ancien arrière ou ailier de Toulouse (2001-2011), aujourd'hui consultant sur Canal+. À mon avis, ils ne sont qu'à la moitié de leur potentiel de victoires. Là, ils auront bientôt l'occasion de remporter un deuxième doublé en trois ans, c'est énorme. » Christophe Deylaud, l'ouvreur stratège du Stade des années 1990 (1991-1999), approuve :« C'est vrai qu'ils sont en avance par rapport à nous. Eux vont vivre l'aventure européenne pendant dix ans, alors que ma génération ne l'a finalement connue qu'assez tard (à partir de 1995). »

Les chiffres ne disent pas non plus toujours la vérité. Ils ne racontent pas l'adversité rencontrée par chaque équipe dans sa génération. « Le Toulouse des années 1990 a dominé le Championnat pendant longtemps face à de belles équipes, mais ça ne me semblait pas aussi fourni qu'aujourd'hui, dit Heymans. Ma génération, elle, bataillait contre trois ou quatre équipes en Championnat et autant en Coupe d'Europe. Aujourd'hui, la concurrence me paraît beaucoup plus forte. En Top 14, les gars se battent tous les ans contre cinq ou six équipes. Et en Coupe des champions, ils ont les Irlandais, un peu les Anglais, et maintenant les Sud-Africains. »

« Ils ont des joueurs de classe mondiale à tous les postes »
Christophe Deylaud, ouvreur du Stade Toulousain (1991-1999)

La grandeur d'une équipe se mesure aussi au jeu pratiqué, aux émotions qu'elle transmet à ses supporters, à sa façon de dominer ses adversaires sans jamais se renier. Dans ce registre, la formation actuelle, qui fait stade comble à domicile comme à l'extérieur, et qui est de loin la plus sollicitée par le diffuseur Canal+ pour jouer le dimanche soir en prime time à 21 heures, ne semble pas avoir beaucoup d'équivalents dans l'histoire, même s'il est souvent vain et futile de vouloir comparer les époques.

Une équipe toulousaine a-t-elle déjà écrasé tous ses adversaires - Leinster excepté en finale - comme cette saison en Coupe des champions ? « Ce que fait cette génération est exceptionnel, reconnaît Vincent Clerc, ancien ailier international de Toulouse (2002-2016). Par rapport aux précédentes, elle me semble encore plus armée en termes de technique, de puissance, de déplacement, de stratégie, etc. Ce qui la met en position de force, c'est la richesse de son effectif. Même quand ça tourne beaucoup, ça gagne quand même (comme à Montpellier récemment, 22-29). » « Ils ont des joueurs de classe mondiale à tous les postes, ajoute Deylaud. Cette saison, ils ont fait jouer 57 mecs, dont une quarantaine d'internationaux et des jeunes qui sont déjà champions du monde (chez les U20). Nous, on tournait à 23-24 joueurs. Eux ont un groupe tellement large que même s'il y a un ou deux absents à un poste, un troisième peut assumer complètement. »

Chaque génération a aussi ses surdoués. Celle d'il y a trente ans avait Deylaud, Cazalbou ou Émile Ntamack. Celle d'il y a dix ou vingt ans avait Poitrenaud, Michalak, Clerc, Pelous, Dusautoir, Jauzion ou McAlister. Et celle d'aujourd'hui a Baille, Marchand, Mauvaka, Cros, Willis, Jelonch, Romain Ntamack, Ramos, Kinghorn ou Ahki. Surtout, elle a Antoine Dupont, le joueur le plus exaltant de la planète, l'un des meilleurs que ce sport a connus.

« Aujourd'hui, le Stade est un peu le Real du rugby, avec cette même culture de la gagne qui se transmet de génération en génération, analyse Deylaud. En Europe, ils sont aujourd'hui au-dessus du Leinster, donc de l'équipe d'Irlande. Il faudrait voir ce qu'ils valent contre des équipes de l'hémisphère sud. » Bientôt, peut-être, lors d'une future Coupe du monde des clubs...

Top 14 - "Il faudra appréhender le contexte d’un Mayol très chaud, c’est un match de phase finale" annonce Julien Laïrle (Clermont)

https://www.rugbyrama.fr/2024/05/28/top-14-il-faudra-apprehender-le-contexte-dun-mayol-tres-chaud-cest-un-match-de-phase-finale-annonce-julien-lairle-clermont-11979104.php

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/stade-rochelais/stade-rochelais-on-a-envie-de-se-frotter-a-toulouse-qui-est-sur-une-lancee-incroyable-dit-quentin-lespiaucq-19944433.php

Stade Rochelais : « On a envie de se frotter à Toulouse, qui est sur une lancée incroyable », dit Quentin Lespiaucq

Par Benjamin Deudon

Le talonneur des Jaune et Noir connaît la valeur du champion de France et désormais champion d’Europe en titre, mais il n’en oublie pas pour autant les nombreux axes de motivation au sein du groupe avant le choc de dimanche (21 h 05) au Stadium

Si la saison est laborieuse jusqu’à présent, tout peut-il changer en cas de victoires à Toulouse puis contre le Racing ?

Laborieuse… Parce qu’on n’a pas réussi à gagner à l’extérieur, tout simplement. On a laissé échapper des points alors qu’on tenait des victoires, et on a fini avec un point de bonus défensif. C’est sûr que comptablement… j’espère que quand on fera les comptes après le Racing, il ne manquera pas un ou deux points…

Il y a aussi la question du contenu, qui doit être frustrant pour l’équipe ?

Oui, c’est frustrant parce que si on compare aux saisons passées, c’est moins clinquant, moins huilé, mais à la fin ce qu’on veut, c’est gagner. Parfois, ça fait chier de gagner moche mais il faut savoir le faire.

Y a-t-il une crainte dans le groupe de voir Toulouse continuer à surfer sur sa dynamique contre vous, et de ne pas vous qualifier ?

On n’a pas parlé de crainte collectivement ou en petit groupe. Je crois qu’on est tous focalisés sur l’idée de prendre d’abord le match de Toulouse et ensuite la réception du Racing. Je ne dirais pas de la crainte, au contraire. On est on est tous hyper excités, on a envie de se frotter à Toulouse – avec beaucoup d’humilité, bien sûr, parce que c’est le champion d’Europe – qui est sur une lancée incroyable. Quand il fait tourner, même avec des jeunes qui ont très peu d’expérience, ça gagne à l’extérieur. Pour nous, ce sera le moyen de se jauger et, j’espère, de bien nous lancer pour attaquer les phases finales.

« J’espère que c’est le petit coup de fouet qui nous fera avancer encore plus »

Étiez-vous dans votre canapé pour regarder la finale de Champions Cup entre Toulouse et le Leinster ?

Je n’étais pas dans mon canapé… C’est une grosse frustration parce que j’ai vécu des sensations indescriptibles la saison dernière, et voir d’autres les vivre, je ne vais pas dire que c’est blessant, mais on a tous pris un coup. De la même manière que c’était le cas pour les Toulousains la saison dernière, quand on a gagné. C’est humain, j’espère que c’est le petit coup de fouet qui nous fera avancer encore plus.

En parlant de frustration, comment vivez-vous le fait de ne pas réussir à marquer à la suite de grandes courses de plusieurs dizaines de mètres ballon en main, ces dernières semaines ?

À partir du moment où quelqu’un d’autre le fait derrière, ça me va très bien. Je crois que depuis le début de la saison, je suis le meilleur marqueur d’essais à un mètre de la ligne (rires). Je préfère le prendre en rigolant mais à la fin, il me semble qu’on a marqué à chaque fois derrière, donc ça va. C’est frustrant, oui, mais je ne vais pas ramper, sinon c’est pénalisé, et en plus de ça, je vais me faire lyncher le lundi qui suit. Si ça ne s’ouvre pas, c’est que ça ne devait pas s’ouvrir et quand ça sera le cas, ce sera avec plaisir que je marquerai.

Quelques joueurs clés font leur retour, cela se ressent-il à l’entraînement ?

Oui, bien sûr. Déjà, ce sont des mecs qui apportent énormément à l’équipe, que ce soit par leur expérience ou par la confiance qu’ils dégagent. Et puis, en enlevant des mecs indéboulonnables de l’ossature de l’équipe, c’était aux autres de faire au mieux pour les faire « oublier ». Maintenant, c’est aux entraîneurs d’arriver à composer au mieux avec ces retours pour qu’ils puissent attaquer les matchs et être performants.

En parlant de cadres, le 300e match de Uini Atonio peut-il servir de levier, dimanche ?

La motivation pour l’homme qu’il est est toute trouvée. Si on n’arrive pas à être motivé pour ce genre d’événements et l’importance qu’il a dans le groupe, je ne sais pas si on arriverait à l’être un jour. Il faudra bien commencer le match, lui faire honneur pour que sa 300e soit belle.

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le-racing-92-et-la-rochelle-deux-poids-lourds-en-danger/1471600

Le Racing 92 et La Rochelle, deux poids lourds en danger

À deux journées de la fin de la saison régulière, La Rochelle (5e) et le Racing 92 (6e) n'ont plus le droit à l'erreur s'ils veulent participer à la phase finale du Top 14.

Frédéric Bernès

Il y a près d'un an, les Rochelais étaient à un coup de reins près de Romain Ntamack de parachever un sensationnel doublé Coupe des champions-Brennus. Onze mois plus tard, les Maritimes tirent la langue et se demandent si un second souffle est possible à la fin d'une vraie saison de traînards. Douze victoires-douze défaites, leur bilan est identique à celui de l'USAP (les bonus défensifs font toute la différence), et très éloigné des 78 points de la saison dernière. Même s'il n'a mis un pied dans le top 6 qu'au soir de la 18e journée, le Stade Rochelais n'a chuté qu'une fois à Marcel-Deflandre (contre Castres lors de la 4e journée), possède la meilleure défense et entrevoit des retours importants (Seuteni, Dulin, Danty...).

Traînard, le Racing ne l'était pas. Il l'est devenu. Leaders pendant six journées entre la huitième et la treizième journée - hormis le Stade Français, personne n'a occupé ce fauteuil plus longtemps -, les Ciel et Blanc sont les seuls, avec leurs voisins préférés de la capitale, à n'avoir jamais quitté le wagon première classe des qualifiables. Stuart Lancaster pouvait difficilement espérer meilleurs débuts.

Il n'y a pas si longtemps, les Racingmen pouvaient même envisager une demi-finale directe. C'était avant les trois derniers matches à zéro point (à Toulouse, contre Bayonne à Auxerre et à Lyon), avant de se retrouver dans l'obligation de battre Pau, ce samedi à l'Abbé-Deschamps, si possible sans laisser un seul point à la Section. C'est le meilleur scénario pour ne pas avoir à tout jouer le dernier jour à La Rochelle.

Les Six Nations ont fait mal

« Contre Pau, c'est quasiment un match éliminatoire, pose le centre Henry Chavancy. On a encore notre destin en main, on ne s'affole pas mais on est conscients de la situation. En quinze ans, je me suis toujours qualifié en phase finale mais la moitié des fois, ç'a été tendu jusqu'au bout. On a déjà été dans ces situations, on sait les appréhender. »

Champion d'hiver à mi-Championnat, le Racing a vu son bas de laine se vider à partir de fin janvier, ce qui coïncidait avec le départ pour le Tournoi de Fickou, Woki, Laclayat, Rowlands et de sa charnière Le Garrec-Gibert, virevoltante jusque-là. Que le Racing ait mal amorti ce moment et c'est peu de le dire (5 défaites de suite dont trois à l'Arena), cela pouvait s'entendre. C'est plutôt le contenu de ses matches depuis mars-avril, notamment le crash à Auxerre contre Bayonne (28-37, le 11 mai), qui interpelle. Sur la phase retour, seul Oyonnax s'est incliné plus souvent (9 fois) que le Racing (7). Et pourtant, les internationaux sont tous là. Même Josua Tuisova.

« Nos deux derniers matches sont décevants, convient Lancaster. On a manqué de précision, nos prises de décision sous pression n'ont pas été assez bonnes, mais bon, à Lyon (20-14, il y a deux semaines), on peut gagner sur la dernière action (le staff avait d'ailleurs réclamé les trois points pour assurer un bonus défensif mais les joueurs ont préféré chercher la victoire, en vain). Avant cela, on avait eu suffisamment d'occasions dans la zone de marque mais on les a mal négociées. On doit mieux faire. »

Top 14 – Comment Toulon a perçu la communication offensive de Clermont avant le choc décisif

https://www.rugbyrama.fr/2024/06/01/top-14-comment-toulon-a-percu-la-communication-offensive-de-clermont-avant-le-choc-decisif-11986104.php

Pas trop de suspens on dirait... Pau n'ira pas chercher son billet au Racing à moins d'un sursaut d'orgueil... Mais j'y crois pas du tout. À nous de faire le job pour pas que le Racing revienne trop sur nous ainsi que la Rochelle et Toulon.

Fickou a fait une passe

Big'Ben a écrit:Fickou a fait une passe

Et si Toulon grillait tout le monde sur les deux derniers matchs ? Victoire bonifiée ce soir et victoire à Paris, et hop second.

Ça ferait 1 Toulouse 2 Toulon 3 SF 4 ubb 5 LR
Et donc un tableau potentiel LR puis toulouse puis Toulon (à Marseille)
Allez Clermont donc !

Top 14. Toulouse – La Rochelle : la bête blessée rochelaise veut lancer sa fin de saison et gâcher la fête toulousaine

https://www.rugbyrama.fr/2024/06/02/top-14-toulouse-la-rochelle-la-bete-blessee-rochelaise-veut-lancer-sa-fin-de-saison-et-gacher-la-fete-toulousaine-11989485.php

Allez Toulouse !, et ce n'est pas qu'une histoire de calcul, c'est aussi philosophique