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ITW de LF et PR dans SO du 26/08/09
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté tribune officielle
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ITW de LF et PR dans SO du 26/08/09
http://www.sudouest.com/gironde/sports/rugby/article/687837/mil/5024603.html
RUGBY PRO D2 : L'UNION BORDEAUX-BÈGLES REPREND SA SAISON SAMEDI À LYON 18 H 30, TÉMOINS. Leaders du groupe de l'Union, Laurent Ferrères et Peyo Roussarie ne cachent pas l'importance de leurs performances cette saison
« Créer l'engouement »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
À 29 ans, Ferrères (à gauche) et Roussarie, les doyens du groupe bordelais. (photos laurent theillet)
Dimanche pour le premier, dans douze jours pour le second, Laurent Ferrères et Peyo Roussarie fêteront leurs 29 ans et rentreront dans la catégorie des doyens de l'Union Bordeaux-Bègles (lire par ailleurs). Joueurs et personnages de caractère ils seront parmi les leaders d'un groupe ambitieux. Mais n'en rajoutent pas.
« Sud Ouest ».
Le débat sur la renaissance du rugby à Bordeaux n'a jamais été aussi présent. Comment le ressentez-vous ?
Laurent Ferrères. Personnellement, je ne m'en occupe pas trop. On sait que le président (Laurent Marti) se bat pour le club et que ce n'est pas facile. Après, nous, nous essayons de faire du mieux possible avec ce qu'on a.
Peyo Roussarie. Pour avoir joué ici en première division dans un stade plein, je suis, moi, sensible au sujet. J'aime ce club et j'aimerais participer à reconstruire quelque chose de bien. On l'oublie souvent mais cela passe d'abord par nous, les joueurs. Je suis allé voir le match des Girondins dimanche, et j'y allais aussi il y a cinq ans lorsque je jouais pour Bègles. Beaucoup de choses y ont changé mais leur révolution est passée par les résultats. On peut être ambitieux avec le groupe que l'on a et si on atteint notre but, il n'y a pas de raison que le club ne se construise pas comme les dirigeants le veulent.
Vous ressentez une pression supplémentaire ?
L. F. Non. Le club a envie d'évoluer vers le haut. Et s'il ne le fait pas avec nous, il le fera avec d'autres. Alors autant qu'on en soit le moteur ! Déjà, sur le plan des structures, les dernières années sont très positives : au début, après la fusion, on alternait continuellement entre Saint-Germaine et ici (NDLR : le stade André-Moga). Désormais, il y a une unité de lieu (à Bègles), avec la nouvelle salle de musculation qui est un super outil.
Sentez-vous le public derrière vous ?
L. F. Il n'est pas mal, oui... Mais si on joue en même temps que les Girondins, on perd tout de suite 1 500 personnes. C'est toujours pareil : si on gagne, si on plaît, les gens viendront nous voir. C'est à nous de créer l'engouement or, l'année dernière, on a perdu cinq fois à domicile. C'est dommage car ona vu contre Toulon en 2008 ou contre Agen l'an passé que l'ambiance pouvait être chaude.
P. R. Moi je retiens que les statistiques disent qu'il y a toujours plus de monde au stade. Alors si nous poursuivons notre ascension, la courbe grimpera encore.
Avec le recul, qu'est-ce qui a manqué les dernières saisons ?
L. F. Pas mal de choses... Nous n'avions sans doute pas un assez gros effectif pour figurer sur la durée. Il y a deux ans, nous étions réguliers mais nous avions perdu contre tous les gros. La saison dernière, nous les avons battus mais nous n'avons jamais été capables d'enchaîner deux victoires. Je trouve, et je m'inclus dedans, qu'on a manqué de maturité. Face aux formations plus fortes, on a su les contenir dans notre camp et contrer mais quand on devait avoir la main sur le match, on avait du mal.
P. R. Je pense que c'est aussi une question d'état d'esprit : on n'a pas abordé les gros matches et les autres de la même façon. Cette fois, il y a 30 rencontres, il faut qu'avant chacun d'entre elles on remette tout à zéro.
Vous avez terminé avec la 14e défense...
F. L. C'est clair qu'il y avait un problème sur ce secteur. Pour moi, c'est pourtant simple : si vous avez la hargne, une organisation, vous avez une bonne défense.
P. R. C'est vrai qu'on amis l'accent sur ce domaine cet été. Par rapport à l'an passé mais aussi parce qu'en début de saison, où les jeux ne sont pas encore rôdés, ceux qui ont des défenses agressives et hermétiques gagnent.
Avec 10 arrivées et 16 départs, le groupe a changé.
Avez-vous l'impression de changer de cycle ?
L. F. C'est vrai que beaucoup de joueurs arrivés en même temps que moi en 2007 sont partis cet été. Mais entre-temps, d'autres étaient arrivés il y a un an et ça se passe très bien : on est professionnel, on sait que ça change.
P. R. C'est plus un renouvellement dans la continuité. Car le noyau dur, celui qui a disputé le plus de matches la saison passée, est resté.
Et par rapport au staff (arrivées de Vincent Etcheto comme entraîneur des arrières, du Ludovic Loustau en préparateur physique) ?
L. F. Le contact avec les joueurs est différent. En ce qui concerne le discours, il se rapproche pour tous les entraîneurs. On veut envoyer du jeu mais cela demande d'abord d'être solide sur les bases. Je pense aussi que Ludovic Loustau a beaucoup apporté car c'est un vrai préparateur physique de rugby. Il ne s'agit pas de remettre en cause le travail de Christophe (Zapata, son prédécesseur), très bon dans son métier, mais celui de cette année convient plus à nos spécificités. En tout cas, on s'est sacrément « filé » et personne n'a triché, preuve de l'envie du groupe.
Sa cohésion revient souvent dans les discours...
L. F. Oui, car c'est le cas. Mais c'est vrai dans toutes les équipes du monde avant le premier match. Il faut maintenant que cela dure et cela passe aussi par les entraîneurs qui devront garder tout le monde concerné.
P. R. De toute façon, on n'y arrivera pas si on n'est pas soudés. Regardez Albi et Oyonnax l'an passé, Montauban, Auch ou Mont-de-Marsan par le passé : c'était des équipes de copains.
Personnellement, par vos expériences, sentez-vous que vous devez jouer un rôle de cadre ?
L. F. Disons que nous sommes quelques-uns à avoir 29 ans et peut-être un peu plus d'influence. Maintenant, l'important c'est qu'on est la même envie : Peyo comme moi ou « HP » (Vermis), on crie parfois sur le terrain mais c'est parce que c'est notre caractère. C'est de l'énergie positive.
Vous vous sentez plus prêts qu'il y a an ?
L. F. Honnêtement, je n'ai pas la réponse. Je ne vais pas dire oui car si jamais dans un mois... On va se fixer des objectifs par bloc de cinq matches et on verra au fil de la saison où se situe notre ambition.
P. R. Ce que je sais, c'est que physiquement, on est mieux. Après, sur 16 équipes au départ, il y en a 14 qui disent vouloir terminer dans les 5 premiers et jouer les demi-finales. Pourquoi pas nous ? Honnêtement, je suis confiant.
Auteur : nicolas le gardien
n.legardien@sudouest.com
Comme on le sentait, il semble qu'il y ait en effet du nouveau du côté de la préparation physique et de l'état d'esprit. Si on commence par jouer TOUS les matchs avec la même motivation, peut être en effet parviendra t'on à faire quelque chose
RUGBY PRO D2 : L'UNION BORDEAUX-BÈGLES REPREND SA SAISON SAMEDI À LYON 18 H 30, TÉMOINS. Leaders du groupe de l'Union, Laurent Ferrères et Peyo Roussarie ne cachent pas l'importance de leurs performances cette saison
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À 29 ans, Ferrères (à gauche) et Roussarie, les doyens du groupe bordelais. (photos laurent theillet)
Dimanche pour le premier, dans douze jours pour le second, Laurent Ferrères et Peyo Roussarie fêteront leurs 29 ans et rentreront dans la catégorie des doyens de l'Union Bordeaux-Bègles (lire par ailleurs). Joueurs et personnages de caractère ils seront parmi les leaders d'un groupe ambitieux. Mais n'en rajoutent pas.
« Sud Ouest ».
Le débat sur la renaissance du rugby à Bordeaux n'a jamais été aussi présent. Comment le ressentez-vous ?
Laurent Ferrères. Personnellement, je ne m'en occupe pas trop. On sait que le président (Laurent Marti) se bat pour le club et que ce n'est pas facile. Après, nous, nous essayons de faire du mieux possible avec ce qu'on a.
Peyo Roussarie. Pour avoir joué ici en première division dans un stade plein, je suis, moi, sensible au sujet. J'aime ce club et j'aimerais participer à reconstruire quelque chose de bien. On l'oublie souvent mais cela passe d'abord par nous, les joueurs. Je suis allé voir le match des Girondins dimanche, et j'y allais aussi il y a cinq ans lorsque je jouais pour Bègles. Beaucoup de choses y ont changé mais leur révolution est passée par les résultats. On peut être ambitieux avec le groupe que l'on a et si on atteint notre but, il n'y a pas de raison que le club ne se construise pas comme les dirigeants le veulent.
Vous ressentez une pression supplémentaire ?
L. F. Non. Le club a envie d'évoluer vers le haut. Et s'il ne le fait pas avec nous, il le fera avec d'autres. Alors autant qu'on en soit le moteur ! Déjà, sur le plan des structures, les dernières années sont très positives : au début, après la fusion, on alternait continuellement entre Saint-Germaine et ici (NDLR : le stade André-Moga). Désormais, il y a une unité de lieu (à Bègles), avec la nouvelle salle de musculation qui est un super outil.
Sentez-vous le public derrière vous ?
L. F. Il n'est pas mal, oui... Mais si on joue en même temps que les Girondins, on perd tout de suite 1 500 personnes. C'est toujours pareil : si on gagne, si on plaît, les gens viendront nous voir. C'est à nous de créer l'engouement or, l'année dernière, on a perdu cinq fois à domicile. C'est dommage car ona vu contre Toulon en 2008 ou contre Agen l'an passé que l'ambiance pouvait être chaude.
P. R. Moi je retiens que les statistiques disent qu'il y a toujours plus de monde au stade. Alors si nous poursuivons notre ascension, la courbe grimpera encore.
Avec le recul, qu'est-ce qui a manqué les dernières saisons ?
L. F. Pas mal de choses... Nous n'avions sans doute pas un assez gros effectif pour figurer sur la durée. Il y a deux ans, nous étions réguliers mais nous avions perdu contre tous les gros. La saison dernière, nous les avons battus mais nous n'avons jamais été capables d'enchaîner deux victoires. Je trouve, et je m'inclus dedans, qu'on a manqué de maturité. Face aux formations plus fortes, on a su les contenir dans notre camp et contrer mais quand on devait avoir la main sur le match, on avait du mal.
P. R. Je pense que c'est aussi une question d'état d'esprit : on n'a pas abordé les gros matches et les autres de la même façon. Cette fois, il y a 30 rencontres, il faut qu'avant chacun d'entre elles on remette tout à zéro.
Vous avez terminé avec la 14e défense...
F. L. C'est clair qu'il y avait un problème sur ce secteur. Pour moi, c'est pourtant simple : si vous avez la hargne, une organisation, vous avez une bonne défense.
P. R. C'est vrai qu'on amis l'accent sur ce domaine cet été. Par rapport à l'an passé mais aussi parce qu'en début de saison, où les jeux ne sont pas encore rôdés, ceux qui ont des défenses agressives et hermétiques gagnent.
Avec 10 arrivées et 16 départs, le groupe a changé.
Avez-vous l'impression de changer de cycle ?
L. F. C'est vrai que beaucoup de joueurs arrivés en même temps que moi en 2007 sont partis cet été. Mais entre-temps, d'autres étaient arrivés il y a un an et ça se passe très bien : on est professionnel, on sait que ça change.
P. R. C'est plus un renouvellement dans la continuité. Car le noyau dur, celui qui a disputé le plus de matches la saison passée, est resté.
Et par rapport au staff (arrivées de Vincent Etcheto comme entraîneur des arrières, du Ludovic Loustau en préparateur physique) ?
L. F. Le contact avec les joueurs est différent. En ce qui concerne le discours, il se rapproche pour tous les entraîneurs. On veut envoyer du jeu mais cela demande d'abord d'être solide sur les bases. Je pense aussi que Ludovic Loustau a beaucoup apporté car c'est un vrai préparateur physique de rugby. Il ne s'agit pas de remettre en cause le travail de Christophe (Zapata, son prédécesseur), très bon dans son métier, mais celui de cette année convient plus à nos spécificités. En tout cas, on s'est sacrément « filé » et personne n'a triché, preuve de l'envie du groupe.
Sa cohésion revient souvent dans les discours...
L. F. Oui, car c'est le cas. Mais c'est vrai dans toutes les équipes du monde avant le premier match. Il faut maintenant que cela dure et cela passe aussi par les entraîneurs qui devront garder tout le monde concerné.
P. R. De toute façon, on n'y arrivera pas si on n'est pas soudés. Regardez Albi et Oyonnax l'an passé, Montauban, Auch ou Mont-de-Marsan par le passé : c'était des équipes de copains.
Personnellement, par vos expériences, sentez-vous que vous devez jouer un rôle de cadre ?
L. F. Disons que nous sommes quelques-uns à avoir 29 ans et peut-être un peu plus d'influence. Maintenant, l'important c'est qu'on est la même envie : Peyo comme moi ou « HP » (Vermis), on crie parfois sur le terrain mais c'est parce que c'est notre caractère. C'est de l'énergie positive.
Vous vous sentez plus prêts qu'il y a an ?
L. F. Honnêtement, je n'ai pas la réponse. Je ne vais pas dire oui car si jamais dans un mois... On va se fixer des objectifs par bloc de cinq matches et on verra au fil de la saison où se situe notre ambition.
P. R. Ce que je sais, c'est que physiquement, on est mieux. Après, sur 16 équipes au départ, il y en a 14 qui disent vouloir terminer dans les 5 premiers et jouer les demi-finales. Pourquoi pas nous ? Honnêtement, je suis confiant.
Auteur : nicolas le gardien
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