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Re: Ben Tameifuna
Si vous souhaitez effectuer un don pour les Tonga et vous associer à celui que feront les UBBFanes (l'association et ses membres), n'hésitez pas à passez par Helloasso : https://www.helloasso.com/associations/ubb-fanes/formulaires/1
A la fin du week-end, nous effectuerons alors un don commun sur le site utilisé par Ben.
Merci par avance
A la fin du week-end, nous effectuerons alors un don commun sur le site utilisé par Ben.
Merci par avance

Re: Ben Tameifuna
patrick a écrit:Si vous souhaitez effectuer un don pour les Tonga et vous associer à celui que feront les UBBFanes (l'association et ses membres), n'hésitez pas à passez par Helloasso : https://www.helloasso.com/associations/ubb-fanes/formulaires/1
A la fin du week-end, nous effectuerons alors un don commun sur le site utilisé par Ben.
Merci par avance
Comme tout le week-end, on remontera le sujet

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Re: Ben Tameifuna
patrick a écrit:Si vous souhaitez effectuer un don pour les Tonga et vous associer à celui que feront les UBBFanes (l'association et ses membres), n'hésitez pas à passez par Helloasso : https://www.helloasso.com/associations/ubb-fanes/formulaires/1
A la fin du week-end, nous effectuerons alors un don commun sur le site utilisé par Ben.
Merci par avance
Bon Dimanche

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Re: Ben Tameifuna
255€ déjà récoltés auxquels s'ajouteront 100€ donnés par l'Association des UBB Fanes.
Allez, on ne s’arrête pas là, si vous le pouvez, lancez vous, nous transmettrons le don demain
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Re: Ben Tameifuna
Nous sommes à 10 contributeurs pour 385€ de dons, donc 485€ avec la contribution de l'association!
Merci à vous tous!
Nous verserons l'argent demain dans la journée sur la campagne de Big Ben, mais la page de dons ne sera pas clôturée tout de suite. Si d'autres dons étaient effectués par la suite, nous procéderions à un autre versement.


Merci à vous tous!
Nous verserons l'argent demain dans la journée sur la campagne de Big Ben, mais la page de dons ne sera pas clôturée tout de suite. Si d'autres dons étaient effectués par la suite, nous procéderions à un autre versement.
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Re: Ben Tameifuna
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Re: Ben Tameifuna
L’éruption volcanique aux îles Tonga était des centaines de fois plus puissante que la bombe atomique larguée sur Hiroshima, selon la NASA
https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/24/la-france-envoie-du-fret-a-destination-des-iles-tonga-frappees-par-l-eruption-volcanique_6110709_3244.html
https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/24/la-france-envoie-du-fret-a-destination-des-iles-tonga-frappees-par-l-eruption-volcanique_6110709_3244.html
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Re: Ben Tameifuna
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Re: Ben Tameifuna
Merci à tous, un don de 615€ a pu être effectué
https://www.gofundme.com/f/help-the-kingdom?member=16809933&sharetype=teams&utm_campaign=p_na+share-sheet&utm_medium=sms&utm_source=customer
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Re: Ben Tameifuna
https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/27/c-etait-apocalyptique-douze-jours-apres-l-eruption-volcanique-des-habitants-des-iles-tonga-temoignent_6111184_3244.html
« C’était apocalyptique » : douze jours après l’éruption volcanique, des habitants des îles Tonga témoignent
Au total, selon les autorités, 85 % de la population de ce pays d’un peu plus de 100 000 personnes aurait été affectée par l’éruption volcanique ou par le tsunami qui a suivi.
Par Isabelle Dellerba (Sydney, Australie, correspondance)
Il faut parfois composer leur numéro plus d’une dizaine de fois avant d’enfin entendre leurs voix. Hachées. Sourdes. Lointaines. Le 15 janvier, quand la violente éruption du volcan Hunga Tonga-Hunga Ha’apai a provoqué un tsunami sur les îles Tonga, le câble sous-marin reliant l’archipel polynésien au reste du monde a été endommagé, interrompant instantanément toutes les communications téléphoniques et Internet. Après cinq jours d’un silence quasi total, l’opérateur Digicel a pu rétablir partiellement son réseau téléphonique. Depuis, les connexions restent fragiles, erratiques, mais elles permettent à de plus en plus de Tongiens de témoigner du drame qu’ils ont vécu.
Toutes leurs histoires commencent par le bruit, terrifiant, des explosions. « Il y en a eu plusieurs, de plus en plus fortes, au point de nous laisser à moitié sourds, raconte Marian Kupu, journaliste. Nous avons immédiatement compris qu’il était en train de se passer quelque chose de grave, qu’il fallait courir, se mettre à l’abri. » Dehors, des rouleaux se forment déjà sur l’océan, qui change brutalement d’aspect. La jeune femme, qui habite un village du front de mer à quelques kilomètres de la capitale, Nuku’alofa, saute dans une voiture pour s’éloigner au plus vite de la côte avec sa famille. Comme elle, tout un pays fait mouvement vers l’intérieur des terres dans un gigantesque embouteillage.
Eau polluée, cultures détruites
« C’est alors que le ciel est devenu noir et qu’il s’est mis à pleuvoir. Non pas de l’eau, mais des cendres, des cailloux. C’était apocalyptique. On ne voyait plus rien à travers notre pare-brise », raconte à son tour Tulutulu Mafuaiolotele, un ancien policier. Avec son épouse, son fils, ses cousins, neveux et nièces, il parvient à trouver refuge chez sa belle-famille. Là, sans électricité, sans téléphone, il s’accroche comme à une bouée de sauvetage à la radio 90FM, qui ne cessera jamais d’émettre. « Ce sont les seules informations qui nous parvenaient. Heureusement qu’ils étaient là. Ce sont eux qui nous ont immédiatement prévenus du risque de tsunami. » Au bord de mer, tout le monde n’a pas eu le temps de fuir. Certains n’ont eu d’autres choix que de grimper aux arbres pour échapper aux vagues qui ont atteint jusqu’à 15 mètres de haut. Par miracle, il n’y a eu que trois morts.
« Nous ne nous sommes pas rendu compte tout de suite de l’ampleur des dégâts. Ce n’est que le surlendemain, quand nous nous sommes finalement décidés à rentrer chez nous que nous avons réalisé. Tout était recouvert d’un épais manteau de cendres, même les animaux. Et surtout, le paysage était sens dessus dessous : il y avait des poteaux électriques par terre, des cocotiers déracinés, des maisons du mauvais côté de la route. Depuis, nous passons notre temps à nettoyer », témoigne encore Marian Kupu, qui, pendant plus de vingt-quatre heures, est restée calfeutrée chez son beau-frère, n’osant pas sortir, terrorisée à l’idée d’inhaler cette pluie grise qui n’en finissait plus de tomber.
Sur son île de Tongatapu, à 65 km au sud du volcan, une cinquantaine d’habitations ont été emportées par les flots. Dans la région d’Ha’apai, plus au nord, deux îles de faible altitude ont été intégralement balayées par les vagues. Plus d’une centaine de villageois ont tout perdu. Après plusieurs jours passés sur une île voisine, ils ont finalement été évacués vers la capitale dimanche 23 janvier. Au total, selon les autorités, 85 % de la population de ce pays d’un peu plus de 100 000 âmes aurait été affectée.
Aide de l’étranger
Tulutulu Mafuaiolotele n’a pas perdu sa maison mais la moitié de ses poules et de ses cochons et une bonne partie de son jardin potager. Toutes ses réserves d’eau potable – de l’eau de pluie qu’il collectait dans des cuves – ont été contaminées par les cendres. Il a également arrêté de pêcher ; les autorités ont déconseillé la consommation des poissons. « Nous nous sommes toujours nourris de ce que nous récoltions et pêchions. Aujourd’hui, nous tenons avec du pain et du riz. Heureusement que nous recevons de l’aide de l’étranger. »
A quelques milliers de kilomètres, son ami Koniseti Liutai, expatrié à Sydney et vice-président de la chambre de commerce Tonga Australie, se démène pour récupérer les dons de ses concitoyens installés sur l’île-continent. En raison d’un taux de chômage élevé dans le royaume polynésien, beaucoup de Tongiens sont expatriés. « Cette catastrophe nous a encore davantage rapprochés. Nous avons déjà récolté de quoi remplir trois containers, surtout de l’eau et de la nourriture », détaille l’entrepreneur.
La Nouvelle-Zélande, l’Australie, le Japon, la Chine ou encore la France ont également entrepris d’acheminer de l’aide. Les premiers avions et navires militaires sont arrivés dans l’archipel quelques jours après la catastrophe. A leur bord, des centaines de milliers de litres d’eau potable, des unités de dessalement, des rations alimentaires, des kits d’hygiène, des abris temporaires, des générateurs ou encore des équipements de communication. « Maintenant, la plupart des habitants ont de quoi faire face à leurs besoins les plus immédiats, mais nous devons aussi travailler sur le long terme. Par exemple, il faut trouver des alternatives à l’eau en bouteille, qui crée un problème supplémentaire à gérer, celui des déchets plastiques », explique Jonathan Veitch, représentant de l’Unicef pour les îles du Pacifique.
Le pays, qui a fermé ses frontières aux étrangers en mars 2020 pour se protéger – avec succès – de la pandémie, tente aussi d’empêcher le Covid-19 de s’inviter sur l’archipel en interdisant tout contact humain lors des livraisons des cargaisons d’aide étrangère. Si cela complique le processus, les opérations de nettoyage, coordonnées par le gouvernement, secondé par l’armée, avancent relativement rapidement grâce aussi à la mobilisation de la population et du personnel local des organisations humanitaires. Toutes les écoles publiques devraient rouvrir lundi.
Isabelle Dellerba
« C’était apocalyptique » : douze jours après l’éruption volcanique, des habitants des îles Tonga témoignent
Au total, selon les autorités, 85 % de la population de ce pays d’un peu plus de 100 000 personnes aurait été affectée par l’éruption volcanique ou par le tsunami qui a suivi.
Par Isabelle Dellerba (Sydney, Australie, correspondance)
Il faut parfois composer leur numéro plus d’une dizaine de fois avant d’enfin entendre leurs voix. Hachées. Sourdes. Lointaines. Le 15 janvier, quand la violente éruption du volcan Hunga Tonga-Hunga Ha’apai a provoqué un tsunami sur les îles Tonga, le câble sous-marin reliant l’archipel polynésien au reste du monde a été endommagé, interrompant instantanément toutes les communications téléphoniques et Internet. Après cinq jours d’un silence quasi total, l’opérateur Digicel a pu rétablir partiellement son réseau téléphonique. Depuis, les connexions restent fragiles, erratiques, mais elles permettent à de plus en plus de Tongiens de témoigner du drame qu’ils ont vécu.
Toutes leurs histoires commencent par le bruit, terrifiant, des explosions. « Il y en a eu plusieurs, de plus en plus fortes, au point de nous laisser à moitié sourds, raconte Marian Kupu, journaliste. Nous avons immédiatement compris qu’il était en train de se passer quelque chose de grave, qu’il fallait courir, se mettre à l’abri. » Dehors, des rouleaux se forment déjà sur l’océan, qui change brutalement d’aspect. La jeune femme, qui habite un village du front de mer à quelques kilomètres de la capitale, Nuku’alofa, saute dans une voiture pour s’éloigner au plus vite de la côte avec sa famille. Comme elle, tout un pays fait mouvement vers l’intérieur des terres dans un gigantesque embouteillage.
Eau polluée, cultures détruites
« C’est alors que le ciel est devenu noir et qu’il s’est mis à pleuvoir. Non pas de l’eau, mais des cendres, des cailloux. C’était apocalyptique. On ne voyait plus rien à travers notre pare-brise », raconte à son tour Tulutulu Mafuaiolotele, un ancien policier. Avec son épouse, son fils, ses cousins, neveux et nièces, il parvient à trouver refuge chez sa belle-famille. Là, sans électricité, sans téléphone, il s’accroche comme à une bouée de sauvetage à la radio 90FM, qui ne cessera jamais d’émettre. « Ce sont les seules informations qui nous parvenaient. Heureusement qu’ils étaient là. Ce sont eux qui nous ont immédiatement prévenus du risque de tsunami. » Au bord de mer, tout le monde n’a pas eu le temps de fuir. Certains n’ont eu d’autres choix que de grimper aux arbres pour échapper aux vagues qui ont atteint jusqu’à 15 mètres de haut. Par miracle, il n’y a eu que trois morts.
« Nous ne nous sommes pas rendu compte tout de suite de l’ampleur des dégâts. Ce n’est que le surlendemain, quand nous nous sommes finalement décidés à rentrer chez nous que nous avons réalisé. Tout était recouvert d’un épais manteau de cendres, même les animaux. Et surtout, le paysage était sens dessus dessous : il y avait des poteaux électriques par terre, des cocotiers déracinés, des maisons du mauvais côté de la route. Depuis, nous passons notre temps à nettoyer », témoigne encore Marian Kupu, qui, pendant plus de vingt-quatre heures, est restée calfeutrée chez son beau-frère, n’osant pas sortir, terrorisée à l’idée d’inhaler cette pluie grise qui n’en finissait plus de tomber.
Sur son île de Tongatapu, à 65 km au sud du volcan, une cinquantaine d’habitations ont été emportées par les flots. Dans la région d’Ha’apai, plus au nord, deux îles de faible altitude ont été intégralement balayées par les vagues. Plus d’une centaine de villageois ont tout perdu. Après plusieurs jours passés sur une île voisine, ils ont finalement été évacués vers la capitale dimanche 23 janvier. Au total, selon les autorités, 85 % de la population de ce pays d’un peu plus de 100 000 âmes aurait été affectée.
Aide de l’étranger
Tulutulu Mafuaiolotele n’a pas perdu sa maison mais la moitié de ses poules et de ses cochons et une bonne partie de son jardin potager. Toutes ses réserves d’eau potable – de l’eau de pluie qu’il collectait dans des cuves – ont été contaminées par les cendres. Il a également arrêté de pêcher ; les autorités ont déconseillé la consommation des poissons. « Nous nous sommes toujours nourris de ce que nous récoltions et pêchions. Aujourd’hui, nous tenons avec du pain et du riz. Heureusement que nous recevons de l’aide de l’étranger. »
A quelques milliers de kilomètres, son ami Koniseti Liutai, expatrié à Sydney et vice-président de la chambre de commerce Tonga Australie, se démène pour récupérer les dons de ses concitoyens installés sur l’île-continent. En raison d’un taux de chômage élevé dans le royaume polynésien, beaucoup de Tongiens sont expatriés. « Cette catastrophe nous a encore davantage rapprochés. Nous avons déjà récolté de quoi remplir trois containers, surtout de l’eau et de la nourriture », détaille l’entrepreneur.
La Nouvelle-Zélande, l’Australie, le Japon, la Chine ou encore la France ont également entrepris d’acheminer de l’aide. Les premiers avions et navires militaires sont arrivés dans l’archipel quelques jours après la catastrophe. A leur bord, des centaines de milliers de litres d’eau potable, des unités de dessalement, des rations alimentaires, des kits d’hygiène, des abris temporaires, des générateurs ou encore des équipements de communication. « Maintenant, la plupart des habitants ont de quoi faire face à leurs besoins les plus immédiats, mais nous devons aussi travailler sur le long terme. Par exemple, il faut trouver des alternatives à l’eau en bouteille, qui crée un problème supplémentaire à gérer, celui des déchets plastiques », explique Jonathan Veitch, représentant de l’Unicef pour les îles du Pacifique.
Le pays, qui a fermé ses frontières aux étrangers en mars 2020 pour se protéger – avec succès – de la pandémie, tente aussi d’empêcher le Covid-19 de s’inviter sur l’archipel en interdisant tout contact humain lors des livraisons des cargaisons d’aide étrangère. Si cela complique le processus, les opérations de nettoyage, coordonnées par le gouvernement, secondé par l’armée, avancent relativement rapidement grâce aussi à la mobilisation de la population et du personnel local des organisations humanitaires. Toutes les écoles publiques devraient rouvrir lundi.
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Re: Ben Tameifuna
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Re: Ben Tameifuna
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Re: Ben Tameifuna
Corporate jusqu’au bout du slip !
N’empêche qu’il prend des vacances aérées et sportives !

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Re: Ben Tameifuna
le radis a écrit:Corporate jusqu’au bout du slip !![]()
N’empêche qu’il prend des vacances aérées et sportives !

Mais pas que, je n'ai pas posté les fois où il boit deux bières en même temps

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Re: Ben Tameifuna
Big Ben est sur le retour après son trip Nord/Sud!! Il a l’air épanoui et en pleine forme!!
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Re: Ben Tameifuna
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Re: Ben Tameifuna
merde..je croyais qu'il avait prolongé son contrat..
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Re: Ben Tameifuna
Quand un joueur se fait photographier en slip de bain à l’effigie du club, aucun doute n’est permis .


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Re: Ben Tameifuna
En tout cas d'après son Insta, il est bien rentré à Bordeaux !
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Re: Ben Tameifuna
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Re: Ben Tameifuna
C'est la présentation de son menu d'anniversaire ?

sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Ben Tameifuna
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Re: Ben Tameifuna
Il a l'air en forme et toujours aussi épanouis. Espérons une grande saison de sa part ! Mine de rien, l'un des meilleurs recrutements de ces dernières années, et pourtant on y croyait moyen, au départ

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