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XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
FRANCE. RUGBY. Après la Nouvelle-Zélande, les Bleues entrent dans une nouvelle dimension
https://www.lerugbynistere.fr/news/france-rugby-apres-la-nouvelle-zelande-les-bleues-entrent-dans-une-nouvelle-dimension-2111211636.php
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
les nullos de la FFR ont encore frappé.
https://www.quinzemondial.com/xv-de-france/xv-de-france--periode-de-crise-pour-les-bleues-sous-contrat-avec-la-ffr-762988
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
https://dicodusport.fr/blog/xv-de-france-feminin-thomas-darracq-nest-plus-selectionneur-un-duo-pour-le-remplacer/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=xv-de-france-feminin-thomas-darracq-nest-plus-selectionneur-un-duo-pour-le-remplacer
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Re: XV de France féminin
https://twitter.com/yoanleshauries/status/1604848904066973696?s=20&t=4PqswYsWtb2yfHlt_U00qg
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Re: XV de France féminin
https://www.rugbyrama.fr/2023/01/05/xv-de-france-feminin-annick-hayraud-un-depart-avec-fracas-10906064.php
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Re: XV de France féminin
https://actu.fr/sports/rugby/pro/rugby-nouveau-staff-32-joueuses-sous-contrat-ffr-le-xv-de-france-feminin-lance-sa-saison-2023_56477625.html
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Re: XV de France féminin
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/David-ortiz-et-gaelle-mignot-selectionneurs-du-quinze-de-france-on-arrivera-toujours-a-s-entendre/1374096
David Ortiz et Gaëlle Mignot, sélectionneurs du quinze de France : « On arrivera toujours à s'entendre »
Nommés sélectionneurs-entraîneurs des Bleues après le départ de Thomas Darracq, Gaëlle Mignot et David Ortiz entendent poser de solides fondations avec la Coupe du monde 2025 en Angleterre comme objectif à l'horizon.
Adrien Corée
Réunies en séminaire en début de semaine au nord de Toulouse, les 32 joueuses sous contrat avec la Fédération jusqu'en 2024 (voir ci-dessous) ont laissé les ballons et les crampons aux vestiaires. Avant de réellement retrouver les terrains d'entraînement lors d'un premier stage à Capbreton (Landes) en février pour préparer le Tournoi des Six Nations (21 mars - 30 avril), elles ont pu se retrouver pour la première fois depuis la troisième place au Mondial en Nouvelle-Zélande en novembre dernier et découvrir le plan de bataille des nouveaux sélectionneurs-entraîneurs.
Après le départ de Thomas Darracq en décembre, ses anciens adjoints, Gaëlle Mignot et David Ortiz, ont pris le temps d'expliquer à L'Équipe les bases d'un nouveau projet, qui doit mener les Bleues vers le sacre mondial en Angleterre, en 2025.
« Comment avez-vous appris votre nomination commune au poste de sélectionneur-entraîneur des Bleues ?
David Ortiz : Ça s'est fait à l'issue de la Coupe du monde et des débriefings qu'on a enclenchés. La Fédération nous a proposé de prendre la suite. Tout était réuni pour que l'on accepte cette mission : nous avons pris du plaisir lors de l'aventure vécue en Nouvelle-Zélande, et pris conscience du potentiel de ce groupe. Et avec Gaëlle, on accrochait sur pas mal de points concernant nos méthodes de travail. On sait déjà comment on fonctionne tous les deux. Il y a beaucoup de fierté,
de l'impatience et de l'excitation.
Comment ce binôme va-t-il fonctionner ?
Gaëlle Mignot : Notre rôle est bien clair et défini. On est un duo, tous les deux à la tête du projet sportif du quinze de France. Avec David, on a appris à se découvrir à la Coupe du monde. On a les mêmes valeurs et la même façon de travailler. On va se répartir tous les sujets à titre égalitaire. Forcément, il y a des moments où on ne sera pas d'accord. Mais notre objectif est de faire performer l'équipe et de trouver ce qui est le mieux pour elle. Donc on arrivera toujours à s'entendre. On va chacun garder les prérogatives que l'on avait en tant qu'adjoint : David va rester sur la partie défensive et la touche et je vais garder la mêlée et rajouter le projet de jeu offensif. Et on va construire avec l'entraîneur des trois-quarts qui nous rejoint, Sylvain Mirande. On souhaite prendre le temps de construire notre staff. On veut apprendre à connaître les personnes avec qui l'on va travailler, pour voir si tout colle. Nous n'annoncerons un staff officiel et définitif que début juillet, après le Tournoi.
« Gaëlle n'est plus la capitaine, à l'instant T. On a pris cette décision parce qu'on souhaite construire une nouvelle identité avec un peu de renouveau »
Gaëlle Mignot
Gaëlle Hermet restera-t-elle capitaine ?
G. M. : Non, Gaëlle n'est plus la capitaine, à l'instant T. On l'a annoncé lundi à l'ensemble du groupe mais on l'avait évidemment dit à Gaëlle bien en amont. On a pris cette décision parce qu'on souhaite construire une nouvelle identité avec un peu de renouveau, dans le staff ou au niveau du capitanat. Cette personne serait un bras droit pour nous, quelqu'un de confiance, qu'on aurait choisi nous ainsi que le groupe. Il n'y a rien contre la personne de Gaëlle.
Quel style de jeu souhaitez-vous donner à l'équipe ?
G. M. : On souhaite inscrire la France au rang de numéro 1 et que ça dure. On va faire des essais, se baser sur un jeu d'initiatives en se servant des qualités de nos joueuses. On va surtout insister sur l'initiative, le mouvement, laisser un peu de liberté aux joueuses dans un cadre de fonctionnement.
D. O. : On veut avoir une défense forte, une conquête solide et s'exprimer avec une identité française sur le plan offensif. L'idée, c'est que les joueuses puissent s'exprimer sur le terrain, développer tout leur caractère, leur créativité, leur altruisme. Mais en répondant à un certain nombre de bases qu'on estime être nécessaires pour pouvoir être championnes du monde en 2025.
« Maintenant on veut faire repartir les filles du bon pied, avec la rage. Il ne faut pas griller les étapes, prendre le temps de construire, se servir de ce qui s'est passé sur cette Coupe du monde »
David Ortiz
L'actualité judiciaire de la FFR (le président Bernard Laporte a été condamné à deux ans de prison avec sursis, 75 000 euros d'amende et deux ans d'interdiction d'exercer toute fonction en lien avec le rugby, pour corruption passive, trafic d'influence, prise illégale d'intérêts, recel d'abus de biens sociaux et abus de biens sociaux. Il a fait appel.) vous affecte-t-elle ?
D. O. : On est un peu à l'écart de tout ça, on est vraiment focalisés sur notre mission et notre aventure. Tout ce qui se passe à côté...
G. M. : On arrive à faire abstraction de tout ça. On nous fait confiance. On nous a donné les clés du camion, donc on travaille à fond pour trouver les réponses à nos questions. Il n'y a pas de soucis.
Comment s'est passée la collaboration avec Thomas Darracq lors de vos mois en tant qu'adjoints ?
G. M. : C'est lui qui a fait appel à nous. On est arrivé avec beaucoup d'enthousiasme et d'envie. Il nous a laissés mettre en place des choses sur nos prérogatives. Il n'y a pas eu de soucis avec lui, on est très contents d'avoir vécu cette aventure avec Thomas. Sur le plan sportif on revient du Mondial avec une médaille de bronze, ce n'est pas rien. Mais, bien évidemment, ce n'était pas l'objectif fixé. Maintenant on veut faire repartir les filles du bon pied, avec la rage. Il ne faut pas griller les étapes, prendre le temps de construire, se servir de ce qui s'est passé sur cette Coupe du monde.
Comment avez-vous réagi quand les joueuses sont montées au front contre son projet de jeu avant et pendant le Mondial ? Votre situation devait être délicate, tiraillés entre le groupe et le sélectionneur...
D. O. : On a des valeurs de loyauté envers les personnes avec lesquelles on travaille, que ce soit le staff ou les joueuses. L'intérêt, c'était celui de l'équipe. Donc on a fait en sorte de mettre en place toutes les choses possibles pour que l'équipe puisse avancer. Ç'a été une expérience riche à tous les niveaux. On en est tous sortis grandis. Les soubresauts font partie de la vie d'un groupe. Avoir vécu cela juste en amont de notre prise de fonction, cela va nous permettre d'aller encore plus vite dans notre projet.
Comment avez-vous encaissé les critiques de Jessy Trémoulière, qui reprochait au staff une forme de "malhonnêteté" la concernant durant le Mondial ?
D. O. : Forcément, ce n'est pas neutre. Maintenant, on avait le souhait de pouvoir rencontrer Jessy dans le cadre de nos débriefs. Cela nous a permis de mettre à plat un petit peu tout ça. On repart avec de nouvelles missions et cet échange-là nous a permis de se projeter vers l'avenir. On a tiré beaucoup de conclusions de notre vécu personnel de la Coupe du monde. Maintenant, on a posé un cadre à toutes les joueuses et tous les membres du staff. Aujourd'hui, personne n'a refusé d'entrer dans ce cadre. »
Les 32 Bleues sous contrat jusqu'en 2024
Talonneuse : Célia Domain (Blagnac), Elisa Riffoneau (Rennes), Agathe Sochat (Stade Bordelais), Laure Touyé (Montpellier).
Pilier : Rose Bernadou (Montpellier), Yllana Brosseau (Stade Bordelais), Annaëlle Deshaye (Stade Bordelais), Clara Joyeux (Blagnac), Assia Khalfaoui (Stade Bordelais), Coco Lindelauf (Blagnac).
Deuxième-ligne : Madoussou Fall (Stade Bordelais), Manae Feleu (Grenoble), Audrey Forlani (Blagnac).
Troisième-ligne : Julie Annery (Stade Bordelais), Axelle Berthoumieu (Blagnac), Charlotte Escudero (Blagnac), Emeline Gros (Grenoble), Gaëlle Hermet (Toulouse), Romane Ménager (Montpellier).
Demie de mêlée : Pauline Bourdon (Toulouse), Alexandra Chambon (Grenoble).
Demie d'ouverture : Morgane Bourgeois (Stade Bordelais), Lina Queyroi (Blagnac).
Centre : Marie Dupouy (Blagnac), Maëlle Filopon (Toulouse), Gabrielle Vernier (Blagnac).
Ailière : Cyrielle Banet (Montpellier), Caroline Boujard (Montpellier), Mélissande Llorens (Blagnac), Marine Ménager (Montpellier).
Arrière : Émilie Boulard (Blagnac), Jessy Trémoulière (Romagnat).
David Ortiz et Gaëlle Mignot, sélectionneurs du quinze de France : « On arrivera toujours à s'entendre »
Nommés sélectionneurs-entraîneurs des Bleues après le départ de Thomas Darracq, Gaëlle Mignot et David Ortiz entendent poser de solides fondations avec la Coupe du monde 2025 en Angleterre comme objectif à l'horizon.
Adrien Corée
Réunies en séminaire en début de semaine au nord de Toulouse, les 32 joueuses sous contrat avec la Fédération jusqu'en 2024 (voir ci-dessous) ont laissé les ballons et les crampons aux vestiaires. Avant de réellement retrouver les terrains d'entraînement lors d'un premier stage à Capbreton (Landes) en février pour préparer le Tournoi des Six Nations (21 mars - 30 avril), elles ont pu se retrouver pour la première fois depuis la troisième place au Mondial en Nouvelle-Zélande en novembre dernier et découvrir le plan de bataille des nouveaux sélectionneurs-entraîneurs.
Après le départ de Thomas Darracq en décembre, ses anciens adjoints, Gaëlle Mignot et David Ortiz, ont pris le temps d'expliquer à L'Équipe les bases d'un nouveau projet, qui doit mener les Bleues vers le sacre mondial en Angleterre, en 2025.
« Comment avez-vous appris votre nomination commune au poste de sélectionneur-entraîneur des Bleues ?
David Ortiz : Ça s'est fait à l'issue de la Coupe du monde et des débriefings qu'on a enclenchés. La Fédération nous a proposé de prendre la suite. Tout était réuni pour que l'on accepte cette mission : nous avons pris du plaisir lors de l'aventure vécue en Nouvelle-Zélande, et pris conscience du potentiel de ce groupe. Et avec Gaëlle, on accrochait sur pas mal de points concernant nos méthodes de travail. On sait déjà comment on fonctionne tous les deux. Il y a beaucoup de fierté,
de l'impatience et de l'excitation.
Comment ce binôme va-t-il fonctionner ?
Gaëlle Mignot : Notre rôle est bien clair et défini. On est un duo, tous les deux à la tête du projet sportif du quinze de France. Avec David, on a appris à se découvrir à la Coupe du monde. On a les mêmes valeurs et la même façon de travailler. On va se répartir tous les sujets à titre égalitaire. Forcément, il y a des moments où on ne sera pas d'accord. Mais notre objectif est de faire performer l'équipe et de trouver ce qui est le mieux pour elle. Donc on arrivera toujours à s'entendre. On va chacun garder les prérogatives que l'on avait en tant qu'adjoint : David va rester sur la partie défensive et la touche et je vais garder la mêlée et rajouter le projet de jeu offensif. Et on va construire avec l'entraîneur des trois-quarts qui nous rejoint, Sylvain Mirande. On souhaite prendre le temps de construire notre staff. On veut apprendre à connaître les personnes avec qui l'on va travailler, pour voir si tout colle. Nous n'annoncerons un staff officiel et définitif que début juillet, après le Tournoi.
« Gaëlle n'est plus la capitaine, à l'instant T. On a pris cette décision parce qu'on souhaite construire une nouvelle identité avec un peu de renouveau »
Gaëlle Mignot
Gaëlle Hermet restera-t-elle capitaine ?
G. M. : Non, Gaëlle n'est plus la capitaine, à l'instant T. On l'a annoncé lundi à l'ensemble du groupe mais on l'avait évidemment dit à Gaëlle bien en amont. On a pris cette décision parce qu'on souhaite construire une nouvelle identité avec un peu de renouveau, dans le staff ou au niveau du capitanat. Cette personne serait un bras droit pour nous, quelqu'un de confiance, qu'on aurait choisi nous ainsi que le groupe. Il n'y a rien contre la personne de Gaëlle.
Quel style de jeu souhaitez-vous donner à l'équipe ?
G. M. : On souhaite inscrire la France au rang de numéro 1 et que ça dure. On va faire des essais, se baser sur un jeu d'initiatives en se servant des qualités de nos joueuses. On va surtout insister sur l'initiative, le mouvement, laisser un peu de liberté aux joueuses dans un cadre de fonctionnement.
D. O. : On veut avoir une défense forte, une conquête solide et s'exprimer avec une identité française sur le plan offensif. L'idée, c'est que les joueuses puissent s'exprimer sur le terrain, développer tout leur caractère, leur créativité, leur altruisme. Mais en répondant à un certain nombre de bases qu'on estime être nécessaires pour pouvoir être championnes du monde en 2025.
« Maintenant on veut faire repartir les filles du bon pied, avec la rage. Il ne faut pas griller les étapes, prendre le temps de construire, se servir de ce qui s'est passé sur cette Coupe du monde »
David Ortiz
L'actualité judiciaire de la FFR (le président Bernard Laporte a été condamné à deux ans de prison avec sursis, 75 000 euros d'amende et deux ans d'interdiction d'exercer toute fonction en lien avec le rugby, pour corruption passive, trafic d'influence, prise illégale d'intérêts, recel d'abus de biens sociaux et abus de biens sociaux. Il a fait appel.) vous affecte-t-elle ?
D. O. : On est un peu à l'écart de tout ça, on est vraiment focalisés sur notre mission et notre aventure. Tout ce qui se passe à côté...
G. M. : On arrive à faire abstraction de tout ça. On nous fait confiance. On nous a donné les clés du camion, donc on travaille à fond pour trouver les réponses à nos questions. Il n'y a pas de soucis.
Comment s'est passée la collaboration avec Thomas Darracq lors de vos mois en tant qu'adjoints ?
G. M. : C'est lui qui a fait appel à nous. On est arrivé avec beaucoup d'enthousiasme et d'envie. Il nous a laissés mettre en place des choses sur nos prérogatives. Il n'y a pas eu de soucis avec lui, on est très contents d'avoir vécu cette aventure avec Thomas. Sur le plan sportif on revient du Mondial avec une médaille de bronze, ce n'est pas rien. Mais, bien évidemment, ce n'était pas l'objectif fixé. Maintenant on veut faire repartir les filles du bon pied, avec la rage. Il ne faut pas griller les étapes, prendre le temps de construire, se servir de ce qui s'est passé sur cette Coupe du monde.
Comment avez-vous réagi quand les joueuses sont montées au front contre son projet de jeu avant et pendant le Mondial ? Votre situation devait être délicate, tiraillés entre le groupe et le sélectionneur...
D. O. : On a des valeurs de loyauté envers les personnes avec lesquelles on travaille, que ce soit le staff ou les joueuses. L'intérêt, c'était celui de l'équipe. Donc on a fait en sorte de mettre en place toutes les choses possibles pour que l'équipe puisse avancer. Ç'a été une expérience riche à tous les niveaux. On en est tous sortis grandis. Les soubresauts font partie de la vie d'un groupe. Avoir vécu cela juste en amont de notre prise de fonction, cela va nous permettre d'aller encore plus vite dans notre projet.
Comment avez-vous encaissé les critiques de Jessy Trémoulière, qui reprochait au staff une forme de "malhonnêteté" la concernant durant le Mondial ?
D. O. : Forcément, ce n'est pas neutre. Maintenant, on avait le souhait de pouvoir rencontrer Jessy dans le cadre de nos débriefs. Cela nous a permis de mettre à plat un petit peu tout ça. On repart avec de nouvelles missions et cet échange-là nous a permis de se projeter vers l'avenir. On a tiré beaucoup de conclusions de notre vécu personnel de la Coupe du monde. Maintenant, on a posé un cadre à toutes les joueuses et tous les membres du staff. Aujourd'hui, personne n'a refusé d'entrer dans ce cadre. »
Les 32 Bleues sous contrat jusqu'en 2024
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Deuxième-ligne : Madoussou Fall (Stade Bordelais), Manae Feleu (Grenoble), Audrey Forlani (Blagnac).
Troisième-ligne : Julie Annery (Stade Bordelais), Axelle Berthoumieu (Blagnac), Charlotte Escudero (Blagnac), Emeline Gros (Grenoble), Gaëlle Hermet (Toulouse), Romane Ménager (Montpellier).
Demie de mêlée : Pauline Bourdon (Toulouse), Alexandra Chambon (Grenoble).
Demie d'ouverture : Morgane Bourgeois (Stade Bordelais), Lina Queyroi (Blagnac).
Centre : Marie Dupouy (Blagnac), Maëlle Filopon (Toulouse), Gabrielle Vernier (Blagnac).
Ailière : Cyrielle Banet (Montpellier), Caroline Boujard (Montpellier), Mélissande Llorens (Blagnac), Marine Ménager (Montpellier).
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Re: XV de France féminin
Trés belle langue de bois.
Pas de bulles, pas de vagues.
C' est bien !
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Re: XV de France féminin
https://www.ffr.fr/actualites/xv-de-france-feminin/stage-de-preparation-le-groupe-pour-capbreton
40 joueuses en stage à capbreton dont 8 du stade bordelais
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Re: XV de France féminin
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Re: XV de France féminin
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/xv-de-france-feminin-les-bleues-sans-madoussou-fall-blessee-pour-le-tournoi-des-six-nations-14327921.php
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Re: XV de France féminin
XV de France Féminin. Audrey Forlani désignée nouvelle capitaine des Bleues
https://actu.fr/sports/rugby/xv-de-france/xv-de-france-feminin-audrey-forlani-designee-nouvelle-capitaine-des-bleues_58045221.html
https://actu.fr/sports/rugby/xv-de-france/xv-de-france-feminin-audrey-forlani-designee-nouvelle-capitaine-des-bleues_58045221.html
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Re: XV de France féminin
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le-grand-rebond-d-audrey-forlani-nouvelle-capitaine-des-bleues/1385897
Le grand rebond d'Audrey Forlani, nouvelle capitaine des Bleues
Non retenue pour la Coupe du monde l'automne dernier en Nouvelle-Zélande, Audrey Forlani a été désignée capitaine des Bleues pour entamer le nouveau cycle de la sélection sous les ordres du duo Mignot-Ortiz.
Adrien Corée
Elle n'est pas vraiment du genre à se laisser abattre, sur le terrain comme en dehors. À 31 ans, Audrey Forlani a connu quelques douloureux coups d'arrêt, mais a su revenir à chaque fois un peu plus forte. Son dernier échec ? Sa non-sélection pour la Coupe du monde, organisée l'automne dernier en Nouvelle-Zélande, conclue sur une énième troisième place par l'équipe de France.
« Bien sûr, j'ai été très déçue de ne pas en être, mais c'est derrière moi, assure posément la deuxième-ligne. J'ai continué à travailler pour revenir à mon meilleur niveau et maintenant j'en suis récompensée. »
Et quelle récompense ! Lundi, les co-sélectionneurs Gaëlle Mignot et David Ortiz ont officialisé Forlani dans ses nouvelles fonctions de capitaine des Bleues. Une façon de tourner définitivement la page Thomas Darracq, qui a lâché les commandes de la sélection en décembre dernier« pour raisons familiales » après un Mondial agité en coulisses, tout en assurant une certaine forme de continuité, puisque Forlani, avec ses 57 sélections au compteur depuis 2011, est un visage récurrent de l'équipe de France ces dernières saisons.
« Il n'y a pas d'ambiguïté entre elle et moi. Je sais qu'elle va m'aider et qu'ensemble, on va faire avancer cette équipe »
Audrey Forlani, à propos de l'ancienne capitaine Gaëlle Hermet
« Quand Gaëlle et David m'ont appelé pour me proposer le rôle de capitaine, j'ai été un peu surprise, reconnaît-elle. Mais je suis très contente, c'est un bel aboutissement. J'ai engrangé beaucoup d'expérience et je veux la faire rejaillir sur le groupe. »
Capitaine de son club de Blagnac depuis quatre ans, Forlani prend donc le relais de la troisième-ligne Gaëlle Hermet, leader naturelle des Bleues lors des six dernières années. « On a une très bonne relation avec Gaëlle, ça fait un petit moment que je la connais. Il n'y a pas d'ambiguïté entre elle et moi, rassure Forlani. Je sais qu'elle va m'aider et qu'ensemble, on va faire avancer cette équipe. »
Leader de combat, la Blagnacaise s'exprime davantage par le geste que via de longs discours. Dans cet exercice, elle pourra compter sur une flopée de lieutenantes qui ont émergé, avant ou pendant la dernière Coupe du monde à l'autre bout du monde. Hermet, bien sûr, sera toujours là pour l'épauler, tout comme la talonneuse Agathe Sochat, longtemps pressentie pour reprendre le brassard, la numéro 8 Romane Ménager, la demie de mêlée Pauline Bourdon ou la centre Gabrielle Vernier, elle aussi licenciée à Blagnac.
Une fracture du nez il y a près de dix ans
Les Bleues ne seront donc pas démunies de patronnes lors du Tournoi des Six Nations qui débutera pour elles le 26 mars en Italie, avant le choc final à Twickenham le 29 avril face à des Red Roses vice-championnes du monde. Les Tricolores, qui restent sur onze défaites de suite contre l'Angleterre, pourraient alors être attentives au discours de leur nouvelle capitaine qui en connaît un rayon en matière de persévérance.
Il y a près de dix ans, à la suite d'une fracture du nez, Forlani a dû subir une importante opération au cerveau autour duquel les médecins avaient décelé une fissure. « À ce moment-là, j'ai été arrêté un an et les docteurs ne savaient pas si j'allais pouvoir reprendre le rugby, se souvient-elle. Finalement, ma rééducation s'est plutôt bien passée. Au bout d'un an, j'ai remis les pieds sur un terrain de rugby et on m'a donné le feu vert. Ç'a vraiment été un soulagement. »
C'est aussi cette histoire de résilience que l'encadrement des Bleues a décidé de mettre en avant, comme un exemple, en choisissant Forlani. Même si, comme pour les autres difficultés qui ont accompagné son chemin jusque-là, elle jure ne plus y prêter attention : « Aujourd'hui, j'avance et je regarde vers l'avenir. Ce qui ne me tue pas me rend plus forte. »
Le grand rebond d'Audrey Forlani, nouvelle capitaine des Bleues
Non retenue pour la Coupe du monde l'automne dernier en Nouvelle-Zélande, Audrey Forlani a été désignée capitaine des Bleues pour entamer le nouveau cycle de la sélection sous les ordres du duo Mignot-Ortiz.
Adrien Corée
Elle n'est pas vraiment du genre à se laisser abattre, sur le terrain comme en dehors. À 31 ans, Audrey Forlani a connu quelques douloureux coups d'arrêt, mais a su revenir à chaque fois un peu plus forte. Son dernier échec ? Sa non-sélection pour la Coupe du monde, organisée l'automne dernier en Nouvelle-Zélande, conclue sur une énième troisième place par l'équipe de France.
« Bien sûr, j'ai été très déçue de ne pas en être, mais c'est derrière moi, assure posément la deuxième-ligne. J'ai continué à travailler pour revenir à mon meilleur niveau et maintenant j'en suis récompensée. »
Et quelle récompense ! Lundi, les co-sélectionneurs Gaëlle Mignot et David Ortiz ont officialisé Forlani dans ses nouvelles fonctions de capitaine des Bleues. Une façon de tourner définitivement la page Thomas Darracq, qui a lâché les commandes de la sélection en décembre dernier« pour raisons familiales » après un Mondial agité en coulisses, tout en assurant une certaine forme de continuité, puisque Forlani, avec ses 57 sélections au compteur depuis 2011, est un visage récurrent de l'équipe de France ces dernières saisons.
« Il n'y a pas d'ambiguïté entre elle et moi. Je sais qu'elle va m'aider et qu'ensemble, on va faire avancer cette équipe »
Audrey Forlani, à propos de l'ancienne capitaine Gaëlle Hermet
« Quand Gaëlle et David m'ont appelé pour me proposer le rôle de capitaine, j'ai été un peu surprise, reconnaît-elle. Mais je suis très contente, c'est un bel aboutissement. J'ai engrangé beaucoup d'expérience et je veux la faire rejaillir sur le groupe. »
Capitaine de son club de Blagnac depuis quatre ans, Forlani prend donc le relais de la troisième-ligne Gaëlle Hermet, leader naturelle des Bleues lors des six dernières années. « On a une très bonne relation avec Gaëlle, ça fait un petit moment que je la connais. Il n'y a pas d'ambiguïté entre elle et moi, rassure Forlani. Je sais qu'elle va m'aider et qu'ensemble, on va faire avancer cette équipe. »
Leader de combat, la Blagnacaise s'exprime davantage par le geste que via de longs discours. Dans cet exercice, elle pourra compter sur une flopée de lieutenantes qui ont émergé, avant ou pendant la dernière Coupe du monde à l'autre bout du monde. Hermet, bien sûr, sera toujours là pour l'épauler, tout comme la talonneuse Agathe Sochat, longtemps pressentie pour reprendre le brassard, la numéro 8 Romane Ménager, la demie de mêlée Pauline Bourdon ou la centre Gabrielle Vernier, elle aussi licenciée à Blagnac.
Une fracture du nez il y a près de dix ans
Les Bleues ne seront donc pas démunies de patronnes lors du Tournoi des Six Nations qui débutera pour elles le 26 mars en Italie, avant le choc final à Twickenham le 29 avril face à des Red Roses vice-championnes du monde. Les Tricolores, qui restent sur onze défaites de suite contre l'Angleterre, pourraient alors être attentives au discours de leur nouvelle capitaine qui en connaît un rayon en matière de persévérance.
Il y a près de dix ans, à la suite d'une fracture du nez, Forlani a dû subir une importante opération au cerveau autour duquel les médecins avaient décelé une fissure. « À ce moment-là, j'ai été arrêté un an et les docteurs ne savaient pas si j'allais pouvoir reprendre le rugby, se souvient-elle. Finalement, ma rééducation s'est plutôt bien passée. Au bout d'un an, j'ai remis les pieds sur un terrain de rugby et on m'a donné le feu vert. Ç'a vraiment été un soulagement. »
C'est aussi cette histoire de résilience que l'encadrement des Bleues a décidé de mettre en avant, comme un exemple, en choisissant Forlani. Même si, comme pour les autres difficultés qui ont accompagné son chemin jusque-là, elle jure ne plus y prêter attention : « Aujourd'hui, j'avance et je regarde vers l'avenir. Ce qui ne me tue pas me rend plus forte. »
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Re: XV de France féminin
https://twitter.com/FranceRugby/status/1635992086070583298?s=20
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Re: XV de France féminin
6 Nations féminin - Romane Ménager (Montpellier) déclare forfait
https://www.rugbyrama.fr/2023/03/16/6-nations-feminin-romane-menager-montpellier-declare-forfait-11065637.php
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Re: XV de France féminin
Romane Ménager forfait pour le rassemblement des Bleues, Téani Feleu appelée
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Romane-menager-forfait-pour-le-rassemblement-des-bleues-teani-feleu-appelee/1386138
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