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Tournoi des 6 Nations 2022
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Tournoi des 6 Nations 2022
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
6 Nations 2022. Incroyable succès : France-Irlande et France-Angleterre déjà complets
https://actu.fr/sports/rugby/pro/6-nations-2022-incroyable-succes-france-irlande-et-france-angleterre-deja-complets_46749814.html
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Notre calendrier est plutôt favorable, j'hésite même à dire, particulièrement favorable...
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Equipe de France. Une qualité que Villière possède et pas Penaud
https://www.lerugbynistere.fr/news/equipe-de-france-une-qualite-que-villiere-possede-et-pas-penaud-2611211220.php
On peut rajouter la défense, Villiére défend comme un chien, Penaud, c'est beaucoup plus aléatoire, avec parfois des montées défensives hasardeuses...
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On peut rajouter la défense, Villiére défend comme un chien, Penaud, c'est beaucoup plus aléatoire, avec parfois des montées défensives hasardeuses...
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
les AB likes this !
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
tire-bouchon a écrit:les AB likes this !
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
XV de France: Labit entretient le flou sur la concurrence entre Ntamack et Jalibert
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tests-matchs/xv-de-france-labit-entretient-le-flou-sur-la-concurrence-entre-ntamack-et-jalibert_AV-202111250415.html
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Scalp a écrit:Notre calendrier est plutôt favorable, j'hésite même à dire, particulièrement favorable...
Ah bah difficile de faire plus abordable : 3 réceptions pour 2 déplacements, et tu reçois les 2 gros concurrents que sont l'Irlande et l'Angleterre. Par opposition, celui du Tournoi 2021 était autrement plus compliqué avec 2 réceptions seulement pour 3 déplacements dont l'Angleterre et l'Irlande
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Switch a écrit:Scalp a écrit:Notre calendrier est plutôt favorable, j'hésite même à dire, particulièrement favorable...
Ah bah difficile de faire plus abordable : 3 réceptions pour 2 déplacements, et tu reçois les 2 gros concurrents que sont l'Irlande et l'Angleterre. Par opposition, celui du Tournoi 2021 était autrement plus compliqué avec 2 réceptions seulement pour 3 déplacements dont l'Angleterre et l'Irlande
d'ici à ce que le tournoi, voir le grand chelem !, se joue sur le dernier match face à l'Angleterre, ce serait épique
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
France Rugby. Imanol Harinordoquy : ''être champion du monde des matches amicaux, ça ne sert à rien'
https://www.lerugbynistere.fr/news/france-rugby-imanol-harinordoquy-apres-etre-champion-du-monde-des-matches-amicaux-ca-ne-sert-a-rien-2611211330.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Équipe de France. Laporte pose ses conditions pour une prolongation du staff après 2023 !
https://www.lerugbynistere.fr/news/equipe-de-france-laporte-pose-ses-conditions-pour-une-prolongation-du-staff-apres-2023-3011211543.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Scalp a écrit:Équipe de France. Laporte pose ses conditions pour une prolongation du staff après 2023 !
https://www.lerugbynistere.fr/news/equipe-de-france-laporte-pose-ses-conditions-pour-une-prolongation-du-staff-apres-2023-3011211543.php
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Il est élu jusqu' à quand Laporte ? 2024 ?
Galthié a un contrat jusqu'en 2023.
J' ai l'impression que l' affaire dite "Novès" risque de se renouveler.
Galthié a un contrat jusqu'en 2023.
J' ai l'impression que l' affaire dite "Novès" risque de se renouveler.
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Dés que une affaire se dilue ( rivalité NTN/MJ ) les journaleux en trouve vite une autre pour essayer de faire vendre du papier, on aime ou on n'aime pas le staff actuel, peu importe on leur fout la paix au moins jusqu'à la coupe du monde qui pour moi est la seule échéance à viser.
Après évoquer les hommes du passé, Noves, Brunel, c'est perdre son temps, ces gens là n'ont rien apporté en EDF ou ailleurs pour le rugby français,tout se passe dans les clubs, c'est là que se fait la formation et que se révèlent les talents.
Merdol, Rugbyrama, Rugbynistére, même combat, vendre sa soupe!!!
Après évoquer les hommes du passé, Noves, Brunel, c'est perdre son temps, ces gens là n'ont rien apporté en EDF ou ailleurs pour le rugby français,tout se passe dans les clubs, c'est là que se fait la formation et que se révèlent les talents.
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léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Tu y va fort.
Concernant le rugby français dans les clubs, Novès a sûrement apporté plus que Galthié, qui a vrai dire n' a rien apporté du tout. Ne serait ce qu' en terme de formation pour l' EdF.
Laporte ayant viré Novès, en mettant un sacré coup dans les finances de la FFR, il a ensuite embauché "Moustache"(ce qui a sauvé l' UBB d' ailleurs) puis Galthié. Qui lui, en ponctionnant les clubs comme jamais cela n' a été fait, profite d' une part de l' effet JIFF et de la formation des clubs.
Attendons nous a ce que, lors de la saison CdM en 2023, il ponctionne une soixantaine de joueurs dans les clubs.
Laporte pourra ainsi se projeter sur la Présidence de WR en laissant beaucoup de dettes à son successeur, déja désigné, Simon.
La filière Bordelo-Béglaise tourne à fond. Dommage qu' ils aient perdu Sébastien Conchy en route.
Concernant le rugby français dans les clubs, Novès a sûrement apporté plus que Galthié, qui a vrai dire n' a rien apporté du tout. Ne serait ce qu' en terme de formation pour l' EdF.
Laporte ayant viré Novès, en mettant un sacré coup dans les finances de la FFR, il a ensuite embauché "Moustache"(ce qui a sauvé l' UBB d' ailleurs) puis Galthié. Qui lui, en ponctionnant les clubs comme jamais cela n' a été fait, profite d' une part de l' effet JIFF et de la formation des clubs.
Attendons nous a ce que, lors de la saison CdM en 2023, il ponctionne une soixantaine de joueurs dans les clubs.
Laporte pourra ainsi se projeter sur la Présidence de WR en laissant beaucoup de dettes à son successeur, déja désigné, Simon.
La filière Bordelo-Béglaise tourne à fond. Dommage qu' ils aient perdu Sébastien Conchy en route.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Bleus-melvyn-jaminet-a-pris-la-place-a-l-arriere/1302525
Bleus : Melvyn Jaminet a pris la place à l'arrière
Grâce à ses performances surprenantes et à un talent de buteur au-dessus de la norme, l'arrière de Perpignan a supplanté - pour l'heure - l'expérimenté Brice Dulin chez les Bleus.
Renaud Bourel
Alors que Brice Dulin semblait avoir fait son trou à l'arrière de l'équipe de France, la tournée des Bleus en Australie, en juin, a permis de faire émerger à ce poste clé Melvyn Jaminet (22 ans), buteur métronome de Perpignan.
Révélé par effraction
Nous avions compris qu'un joueur éliminé de la sélection par des circonstances (blessure, convention) retrouverait sa place une fois les contingences dissipées. C'était, en tout cas, le postulat de départ du mandat de Fabien Galthié, érigé dans un souci de cohérence et dans le désir de ne plus multiplier les expériences ni le nombre de sélectionnés. C'était un peu, aussi, le désir de chaque sélectionneur avant lui. Un voeu pieux qui résiste rarement à la tentation de retenir l'homme en forme, de tester la pépite qui émerge.
Jaminet a explosé par effraction, au bout du monde, pendant que Dulin disputait la finale du Top 14 avec le Stade Rochelais, quelques semaines à peine après celle de Coupe d'Europe et n'était donc pas sélectionnable pour la tournée de juillet en Australie. Et, comme la victoire donne logiquement raison à un entraîneur, l'arrière de Perpignan s'est imposé chez les Bleus à la faveur de qualités inattendues pour un joueur passé au travers de nombreux radars jusqu'à l'été dernier, mais bien réelles, spectaculaires, et une corde de plus à son arc que celui en possession de son concurrent rochelais : un pied magique.
Un buteur d'exception
C'est une banalité de le dire, mais dans le rugby international, plus encore qu'aux étages inférieurs, l'efficacité d'un buteur est primordiale. À l'heure où le niveau semble se resserrer tout en haut de la pyramide, les étonnantes difficultés rencontrées par les All Blacks, en quête d'un vrai métronome, illustrent la nécessité d'avoir dans son arsenal un artilleur dépassant les 80-85 % de succès face aux barres.
Avec 34 buts réussis sur 37 tentés depuis qu'il est en équipe de France, dont un 100 % (8/ lors de la victoire du 20 novembre sur la Nouvelle-Zélande (40-25), Jaminet est devenu logiquement incontournable avec l'équipe de France, qui comptait pourtant dans ses rangs quelques buteurs fiables comme Jalibert et Ntamack. S'il est difficile de comparer toutes les statistiques, le Français est actuellement le buteur le plus efficace au niveau mondial avec un taux de réussite de 92 %, devant l'Italien Paolo Garbisi (90 %) et l'Anglais Marcus Smith (89 %).
Relanceur, accélérateur
Relanceur acrobate, doté d'un parfait timing sur les ballons hauts, les qualités de Dulin n'ont bien sûr pas disparu en un été, ni même sous l'effet d'un début de saison mitigé de son club. Jaminet a toutefois démontré les mêmes aptitudes au poste de relanceur et de soutien, comme sur cette sublime relance de Romain Ntamack depuis son en-but.
Si vous ne l'avez pas vue, c'est que vous vivez dans une grotte. Et si vous n'avez pas pisté le flair du Perpignanais sur l'action et son rôle d'accélérateur, filez vite retrouver la vidéo.
Bleus : Melvyn Jaminet a pris la place à l'arrière
Grâce à ses performances surprenantes et à un talent de buteur au-dessus de la norme, l'arrière de Perpignan a supplanté - pour l'heure - l'expérimenté Brice Dulin chez les Bleus.
Renaud Bourel
Alors que Brice Dulin semblait avoir fait son trou à l'arrière de l'équipe de France, la tournée des Bleus en Australie, en juin, a permis de faire émerger à ce poste clé Melvyn Jaminet (22 ans), buteur métronome de Perpignan.
Révélé par effraction
Nous avions compris qu'un joueur éliminé de la sélection par des circonstances (blessure, convention) retrouverait sa place une fois les contingences dissipées. C'était, en tout cas, le postulat de départ du mandat de Fabien Galthié, érigé dans un souci de cohérence et dans le désir de ne plus multiplier les expériences ni le nombre de sélectionnés. C'était un peu, aussi, le désir de chaque sélectionneur avant lui. Un voeu pieux qui résiste rarement à la tentation de retenir l'homme en forme, de tester la pépite qui émerge.
Jaminet a explosé par effraction, au bout du monde, pendant que Dulin disputait la finale du Top 14 avec le Stade Rochelais, quelques semaines à peine après celle de Coupe d'Europe et n'était donc pas sélectionnable pour la tournée de juillet en Australie. Et, comme la victoire donne logiquement raison à un entraîneur, l'arrière de Perpignan s'est imposé chez les Bleus à la faveur de qualités inattendues pour un joueur passé au travers de nombreux radars jusqu'à l'été dernier, mais bien réelles, spectaculaires, et une corde de plus à son arc que celui en possession de son concurrent rochelais : un pied magique.
Un buteur d'exception
C'est une banalité de le dire, mais dans le rugby international, plus encore qu'aux étages inférieurs, l'efficacité d'un buteur est primordiale. À l'heure où le niveau semble se resserrer tout en haut de la pyramide, les étonnantes difficultés rencontrées par les All Blacks, en quête d'un vrai métronome, illustrent la nécessité d'avoir dans son arsenal un artilleur dépassant les 80-85 % de succès face aux barres.
Avec 34 buts réussis sur 37 tentés depuis qu'il est en équipe de France, dont un 100 % (8/ lors de la victoire du 20 novembre sur la Nouvelle-Zélande (40-25), Jaminet est devenu logiquement incontournable avec l'équipe de France, qui comptait pourtant dans ses rangs quelques buteurs fiables comme Jalibert et Ntamack. S'il est difficile de comparer toutes les statistiques, le Français est actuellement le buteur le plus efficace au niveau mondial avec un taux de réussite de 92 %, devant l'Italien Paolo Garbisi (90 %) et l'Anglais Marcus Smith (89 %).
Relanceur, accélérateur
Relanceur acrobate, doté d'un parfait timing sur les ballons hauts, les qualités de Dulin n'ont bien sûr pas disparu en un été, ni même sous l'effet d'un début de saison mitigé de son club. Jaminet a toutefois démontré les mêmes aptitudes au poste de relanceur et de soutien, comme sur cette sublime relance de Romain Ntamack depuis son en-but.
Si vous ne l'avez pas vue, c'est que vous vivez dans une grotte. Et si vous n'avez pas pisté le flair du Perpignanais sur l'action et son rôle d'accélérateur, filez vite retrouver la vidéo.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Brice-dulin-la-rochelle-qui-n-a-pas-joue-avec-l-equipe-de-france-cet-automne-si-ca-peut-s-ouvrir-de-nouveau-je-serai-pret/1302488
Brice Dulin (La Rochelle) qui n'a pas joué avec l'équipe de France cet automne : « Si ça peut s'ouvrir de nouveau, je serai prêt »
Brice Dulin, l'arrière rochelais, reconnaît avoir été frustré par son automne où il n'a pas joué une minute avec l'équipe de France. Mais il a hâte d'enchaîner les matches en club et espère avoir une nouvelle opportunité de se montrer chez les Bleus.
Yann Sternis
Samedi dernier, contre Pau, Brice Dulin (31 ans, 36 sél.) a enfin pu se dégourdir les jambes et les faire parler, de relances saignantes en coups de pied habiles. Dans les semaines précédant cette rencontre, son temps de jeu avait pourtant été famélique.
Appelé en équipe de France mais barré par Melvyn Jaminet, l'arrière, titulaire lors du dernier Tournoi des Six Nations, a été renvoyé à trois reprises dans son club durant la fenêtre internationale, sans avoir pour autant l'occasion de s'exprimer en Top 14 (13 minutes disputées contre l'UBB).
Détendu, pesant ses mots, l'arrière est revenu mardi depuis l'Apivia Parc sur cette période délicate qui, il l'assure, ne l'a pas plombé.
« Avez-vous pris du plaisir à disputer quatre-vingts minutes pleines contre Pau (36-8 ) ?
Ça m'a fait simplement du bien d'être sur le terrain. C'est vrai que ça faisait quelque temps que je n'avais pas joué. Mais physiquement, même en faisant les allers-retours (entre Marcoussis et La Rochelle), je me sentais bien. J'étais prêt alors que mon début de saison avait été haché à cause de ma blessure à la main gauche.
Vous avez mis du temps à vous remettre de cette blessure, contractée lors de la finale de Top 14 contre Toulouse...
Avant de me blesser, j'avais déjà prévu une opération d'un doigt qui était luxé depuis le Tournoi des Six Nations. La fracture de la main s'est ajoutée à ça. Ça m'a valu quelques douleurs sur le début de saison qui ont été difficiles à évacuer. Pour rattraper les ballons, faire des passes, il a fallu aller au-delà. Ça a pris un peu plus de temps que prévu. Mais je suis content, c'est derrière moi, il n'y a que quelques raideurs de temps en temps. En soi, la finale perdue (8-18) avait été plus difficile à digérer que la fracture de la main.
Cet automne, vous n'avez pas joué une minute avec l'équipe de France et vous avez enchaîné les allers-retours entre Marcoussis et La Rochelle. Comment avez-vous vécu cette situation ?
C'était frustrant. Mon début de saison était moyen mais j'arrivais vraiment en forme, j'avais passé le plus dur. Mes sensations sont revenues au fur et à mesure des quatre semaines internationales. Dans la semaine précédant le match contre la Géorgie (14 novembre, 41-15), j'étais redevenu physiquement et mentalement compétitif. J'ai quand même été heureux d'assister à cette fin de tournée exceptionnelle. Mais je n'étais pas sur le terrain, il y a un manque.
« Ce qui a été particulier, c'est qu'à chaque fois que j'étais remis à disposition de mon club, je n'ai pas pu forcément jouer avec La Rochelle. J'ai passé les deux premières semaines - celles contre l'Argentine et la Géorgie - sans jouer »
Brice Dulin
Vous vous attendiez à être autant remis à disposition de votre club durant cette tournée ?
Non, pas forcément. Ce qui est délicat en étant arrière c'est que souvent, soit on joue, soit on n'est pas dans le groupe. C'est normal que le staff garde sur le banc des joueurs capables de couvrir plusieurs postes. Ce n'est pas une question de 6-2 (banc des remplaçants avec six avants et deux arrières). Pour un pur arrière, c'est très rare d'être remplaçant.
Avez-vous discuté de cette situation avec le staff de l'équipe de France ?
Oui, ils m'ont rencontré tout au long de la tournée. Ce qui a été particulier, c'est qu'à chaque fois que j'étais remis à disposition de mon club, je n'ai pas pu forcément jouer avec La Rochelle. J'ai passé les deux premières semaines - celles contre l'Argentine et la Géorgie - sans jouer. Après, ça devenait difficile de postuler en venant de vivre trois semaines sans match. Mais durant cette période, je me suis quand même bien entraîné, ça m'a permis d'atteindre un certain niveau de compétitivité, de réflexes musculaires. Au moins, mon corps et mon rugby sont revenus. Ils restent intacts.
À La Rochelle, avez-vous demandé de jouer davantage les week-ends où vous rentriez de Marcoussis ?
C'était compliqué de jouer contre Perpignan (le 30 octobre, 13-22). J'étais remis à disposition du club le mercredi soir et l'équipe était partie en stage dès le mardi. La semaine suivante, on jouait le vendredi (contre l'UBB le 5 novembre, 26-3), je n'étais revenu que pour la mise en place. C'était embêtant pour moi, je rentrais pour pouvoir jouer et au final, je ne capitalisais pas de minutes pour repostuler pour le week-end suivant. Ne pas avoir assez joué, c'est le point noir de cette tournée.
N'être qu'un partenaire d'entraînement à Marcoussis, n'était-ce pas pesant à la longue ?
On sait très vite qu'on n'est pas dans l'équipe... C'est difficile à expliquer, mais on y trouve quand même son compte parce qu'on continue de bosser. On ne sert pas juste de bouclier à l'équipe en face. C'est peut-être pour ça que la situation était plus facile à vivre, on touche le ballon, on peut garder le rythme. Dans l'absolu, on préfère jouer, mais il faut toujours tirer le positif de ces situations.
« Le plus important est de faire des choses simples. Ça ne sert à rien de surjouer, de vouloir tenter des choses qu'on ne sait pas faire. Là, on pourrait se perdre »
Brice Dulin
Votre carrière en équipe de France a été faite de hauts et de bas...
Il y a deux ans, je n'étais pas dans le groupe, je suis revenu l'année dernière. On sait que tout peut aller très vite. Mon passé le montre. Je sais où j'en suis et où je veux aller. Je sais ce que je peux apporter, individuellement ou collectivement. Je ne me suis donc pas alarmé. Oui, j'étais frustré parce qu'on veut toujours jouer. Mais on sait aussi que tout le monde a le droit à des opportunités. Le but maintenant est de rester concentré sur ce que je suis capable de faire. Si ça peut s'ouvrir de nouveau, je serai prêt.
Comment avez-vous vécu l'exploit face aux All Blacks (le 20 novembre, 40-25), où vous étiez dans le groupe mais pas sur le banc ?
Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu le Stade de France comme ça pour un match de l'équipe de France. La rencontre est partie sur les chapeaux de roues. Mais là aussi, c'était frustrant de ne pas pouvoir y participer. Je sais que je suis plus sur la fin qu'au début de ma carrière, notamment en équipe de France. Il faut pouvoir savourer chaque moment.
L'émergence de Melvyn Jaminet en équipe de France vous inquiète ou vous stimule ?
Ça m'a stimulé. On sait que d'une Tournée à l'autre, des joueurs peuvent vraiment se révéler. La qualité de cette équipe de France vient du fait qu'à chaque poste il y a beaucoup de joueurs de très haut niveau. Même quand il y a des changements, l'équipe reste compétitive. Ça nous oblige à être performant et régulier.
L'idée est maintenant juste d'enchaîner avec votre club ?
Oui, enchaîner un maximum de matches pour reprendre le rythme. Ne pas jouer toutes les rencontres non plus parce qu'on sait que la saison est longue, on entre dans l'hiver, les organismes vont être sollicités. J'en ai discuté avec le staff, le but sera simplement d'être à 100 % à chaque fois que je serai sur le terrain.
Et de montrer votre valeur ?
Le plus important est de faire des choses simples. Ça ne sert à rien de surjouer, de vouloir tenter des choses qu'on ne sait pas faire. Là, on pourrait se perdre. Mais cette situation est plus facile à gérer pour moi maintenant que si je l'avais vécue il y a quelques années. »
Ronan 0'Gara : « Il a pris une claque mais il va rebondir »
Proche de Brice Dulin, qu'il a entraîné au Racing 92 avant de l'attirer à La Rochelle, Ronan O'Gara, le manager de La Rochelle, a analysé la situation de son arrière. « Je pense qu'il a pris une claque, a estimé le manager en évoquant l'automne international de Dulin. C'est un super garçon, un super joueur, un compétiteur, il va rebondir, c'est sûr. Le match de Jaminet contre les Blacks (le 20 novembre, victoire 40-25) complique les choses, avec cette performance aux tirs (8/8 ). Mais est-ce que ça va durer ? Brice a commencé sa réhabilitation contre Pau (victoire 36-8 ), il va avoir l'occasion de faire d'autres matches, il aura une opportunité (en équipe de France). La Coupe du monde est dans deux ans. »
Brice Dulin (La Rochelle) qui n'a pas joué avec l'équipe de France cet automne : « Si ça peut s'ouvrir de nouveau, je serai prêt »
Brice Dulin, l'arrière rochelais, reconnaît avoir été frustré par son automne où il n'a pas joué une minute avec l'équipe de France. Mais il a hâte d'enchaîner les matches en club et espère avoir une nouvelle opportunité de se montrer chez les Bleus.
Yann Sternis
Samedi dernier, contre Pau, Brice Dulin (31 ans, 36 sél.) a enfin pu se dégourdir les jambes et les faire parler, de relances saignantes en coups de pied habiles. Dans les semaines précédant cette rencontre, son temps de jeu avait pourtant été famélique.
Appelé en équipe de France mais barré par Melvyn Jaminet, l'arrière, titulaire lors du dernier Tournoi des Six Nations, a été renvoyé à trois reprises dans son club durant la fenêtre internationale, sans avoir pour autant l'occasion de s'exprimer en Top 14 (13 minutes disputées contre l'UBB).
Détendu, pesant ses mots, l'arrière est revenu mardi depuis l'Apivia Parc sur cette période délicate qui, il l'assure, ne l'a pas plombé.
« Avez-vous pris du plaisir à disputer quatre-vingts minutes pleines contre Pau (36-8 ) ?
Ça m'a fait simplement du bien d'être sur le terrain. C'est vrai que ça faisait quelque temps que je n'avais pas joué. Mais physiquement, même en faisant les allers-retours (entre Marcoussis et La Rochelle), je me sentais bien. J'étais prêt alors que mon début de saison avait été haché à cause de ma blessure à la main gauche.
Vous avez mis du temps à vous remettre de cette blessure, contractée lors de la finale de Top 14 contre Toulouse...
Avant de me blesser, j'avais déjà prévu une opération d'un doigt qui était luxé depuis le Tournoi des Six Nations. La fracture de la main s'est ajoutée à ça. Ça m'a valu quelques douleurs sur le début de saison qui ont été difficiles à évacuer. Pour rattraper les ballons, faire des passes, il a fallu aller au-delà. Ça a pris un peu plus de temps que prévu. Mais je suis content, c'est derrière moi, il n'y a que quelques raideurs de temps en temps. En soi, la finale perdue (8-18) avait été plus difficile à digérer que la fracture de la main.
Cet automne, vous n'avez pas joué une minute avec l'équipe de France et vous avez enchaîné les allers-retours entre Marcoussis et La Rochelle. Comment avez-vous vécu cette situation ?
C'était frustrant. Mon début de saison était moyen mais j'arrivais vraiment en forme, j'avais passé le plus dur. Mes sensations sont revenues au fur et à mesure des quatre semaines internationales. Dans la semaine précédant le match contre la Géorgie (14 novembre, 41-15), j'étais redevenu physiquement et mentalement compétitif. J'ai quand même été heureux d'assister à cette fin de tournée exceptionnelle. Mais je n'étais pas sur le terrain, il y a un manque.
« Ce qui a été particulier, c'est qu'à chaque fois que j'étais remis à disposition de mon club, je n'ai pas pu forcément jouer avec La Rochelle. J'ai passé les deux premières semaines - celles contre l'Argentine et la Géorgie - sans jouer »
Brice Dulin
Vous vous attendiez à être autant remis à disposition de votre club durant cette tournée ?
Non, pas forcément. Ce qui est délicat en étant arrière c'est que souvent, soit on joue, soit on n'est pas dans le groupe. C'est normal que le staff garde sur le banc des joueurs capables de couvrir plusieurs postes. Ce n'est pas une question de 6-2 (banc des remplaçants avec six avants et deux arrières). Pour un pur arrière, c'est très rare d'être remplaçant.
Avez-vous discuté de cette situation avec le staff de l'équipe de France ?
Oui, ils m'ont rencontré tout au long de la tournée. Ce qui a été particulier, c'est qu'à chaque fois que j'étais remis à disposition de mon club, je n'ai pas pu forcément jouer avec La Rochelle. J'ai passé les deux premières semaines - celles contre l'Argentine et la Géorgie - sans jouer. Après, ça devenait difficile de postuler en venant de vivre trois semaines sans match. Mais durant cette période, je me suis quand même bien entraîné, ça m'a permis d'atteindre un certain niveau de compétitivité, de réflexes musculaires. Au moins, mon corps et mon rugby sont revenus. Ils restent intacts.
À La Rochelle, avez-vous demandé de jouer davantage les week-ends où vous rentriez de Marcoussis ?
C'était compliqué de jouer contre Perpignan (le 30 octobre, 13-22). J'étais remis à disposition du club le mercredi soir et l'équipe était partie en stage dès le mardi. La semaine suivante, on jouait le vendredi (contre l'UBB le 5 novembre, 26-3), je n'étais revenu que pour la mise en place. C'était embêtant pour moi, je rentrais pour pouvoir jouer et au final, je ne capitalisais pas de minutes pour repostuler pour le week-end suivant. Ne pas avoir assez joué, c'est le point noir de cette tournée.
N'être qu'un partenaire d'entraînement à Marcoussis, n'était-ce pas pesant à la longue ?
On sait très vite qu'on n'est pas dans l'équipe... C'est difficile à expliquer, mais on y trouve quand même son compte parce qu'on continue de bosser. On ne sert pas juste de bouclier à l'équipe en face. C'est peut-être pour ça que la situation était plus facile à vivre, on touche le ballon, on peut garder le rythme. Dans l'absolu, on préfère jouer, mais il faut toujours tirer le positif de ces situations.
« Le plus important est de faire des choses simples. Ça ne sert à rien de surjouer, de vouloir tenter des choses qu'on ne sait pas faire. Là, on pourrait se perdre »
Brice Dulin
Votre carrière en équipe de France a été faite de hauts et de bas...
Il y a deux ans, je n'étais pas dans le groupe, je suis revenu l'année dernière. On sait que tout peut aller très vite. Mon passé le montre. Je sais où j'en suis et où je veux aller. Je sais ce que je peux apporter, individuellement ou collectivement. Je ne me suis donc pas alarmé. Oui, j'étais frustré parce qu'on veut toujours jouer. Mais on sait aussi que tout le monde a le droit à des opportunités. Le but maintenant est de rester concentré sur ce que je suis capable de faire. Si ça peut s'ouvrir de nouveau, je serai prêt.
Comment avez-vous vécu l'exploit face aux All Blacks (le 20 novembre, 40-25), où vous étiez dans le groupe mais pas sur le banc ?
Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu le Stade de France comme ça pour un match de l'équipe de France. La rencontre est partie sur les chapeaux de roues. Mais là aussi, c'était frustrant de ne pas pouvoir y participer. Je sais que je suis plus sur la fin qu'au début de ma carrière, notamment en équipe de France. Il faut pouvoir savourer chaque moment.
L'émergence de Melvyn Jaminet en équipe de France vous inquiète ou vous stimule ?
Ça m'a stimulé. On sait que d'une Tournée à l'autre, des joueurs peuvent vraiment se révéler. La qualité de cette équipe de France vient du fait qu'à chaque poste il y a beaucoup de joueurs de très haut niveau. Même quand il y a des changements, l'équipe reste compétitive. Ça nous oblige à être performant et régulier.
L'idée est maintenant juste d'enchaîner avec votre club ?
Oui, enchaîner un maximum de matches pour reprendre le rythme. Ne pas jouer toutes les rencontres non plus parce qu'on sait que la saison est longue, on entre dans l'hiver, les organismes vont être sollicités. J'en ai discuté avec le staff, le but sera simplement d'être à 100 % à chaque fois que je serai sur le terrain.
Et de montrer votre valeur ?
Le plus important est de faire des choses simples. Ça ne sert à rien de surjouer, de vouloir tenter des choses qu'on ne sait pas faire. Là, on pourrait se perdre. Mais cette situation est plus facile à gérer pour moi maintenant que si je l'avais vécue il y a quelques années. »
Ronan 0'Gara : « Il a pris une claque mais il va rebondir »
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Un accord FFR-LNR sur la mise à disposition de 42 joueurs pour le Tournoi des Six Nations 2022
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Un-accord-ffr-lnr-sur-la-mise-a-disposition-de-42-joueurs-pour-le-tournoi-des-six-nations-2022/1305480
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Fabien Galthié : « Nous sommes les entraîneurs de tout le rugby français »
https://www.ffr.fr/actualites/xv-de-france/fabien-galthie-nous-sommes-les-entraineurs-de-tout-le-rugby-francais
https://www.ffr.fr/actualites/xv-de-france/fabien-galthie-nous-sommes-les-entraineurs-de-tout-le-rugby-francais
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
RUGBY. 6 Nations 2022. L'équipe de France va-t-elle affronter le Pays de Galles dans un stade vide ?
https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-6-nations-2022-lequipe-de-france-va-t-elle-affronter-le-pays-de-galles-dans-un-stade-vide-221221635.php
https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-6-nations-2022-lequipe-de-france-va-t-elle-affronter-le-pays-de-galles-dans-un-stade-vide-221221635.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Scalp a écrit:Fabien Galthié : « Nous sommes les entraîneurs de tout le rugby français »
https://www.ffr.fr/actualites/xv-de-france/fabien-galthie-nous-sommes-les-entraineurs-de-tout-le-rugby-francais
Je résume.
Tout le rugby français est à ma disposition et donc à celle de mon Président.
chuchotement .... rien à foutre des clubs.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
RUGBY. Le Japon en discussion avec le 6 Nations et le Rugby Championship
https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-le-japon-en-discussion-avec-le-6-nations-et-le-rugby-championship-2812211530.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
alex dombrandt m'a vraiment tapé dans l'oeil lundi (bon je m'étais un peu emmélé les pinceaux en le mettant dans l'équipe de northampton, mais c'est bien de lui que je parlais)
https://www.rugbyrama.fr/rugby/international/2021/international-l-ovni-anglais-alex-dombrandt-bientot-fer-de-lance-du-xv-de-la-rose_sto8686173/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/international/2021/international-l-ovni-anglais-alex-dombrandt-bientot-fer-de-lance-du-xv-de-la-rose_sto8686173/story.shtml
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