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Message  Scalp Ven 9 Avr 2021 - 10:45

https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/08/covid-19-les-tests-naso-pharynges-ne-sont-pas-sans-risque-previent-l-academie-de-medecine_6076072_3244.html

Covid-19 : les tests naso-pharyngés « ne sont pas sans risque », prévient l’Académie de médecine

Si la plupart des prélèvements sont bénins, « de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines », rapporte le collège scientifique.

Quand il est mal manipulé, ce drôle de coton-tige qui est introduit dans vos narines depuis plus d’un an pourrait s’avérer dangereux. Le prélèvement naso-pharyngé, procédé utilisé pour détecter les malades du Covid-19, n’est « pas sans risque », a averti jeudi 8 avril l’Académie de médecine. Ce type de prélèvement, opéré grâce à un écouvillon, est devenu « la méthode de référence », que ce soit pour les tests PCR ou les tests antigéniques, dont le résultat est plus rapide, souligne l’Académie dans un communiqué.

Face à « la multiplication et la répétition des prélèvements, parfois effectués dans des conditions inadaptées », l’Académie de médecine rappelle « les précautions à observer et les risques encourus ».

Car, si la plupart des prélèvements sont bénins, « désagrément, douleur ou saignement, de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite », poursuit le collège scientifique, en citant plusieurs études récemment parues.

L’Académie préconise donc de réserver la réalisation de ces tests « aux professionnels de santé formés » et leur recommande de s’enquérir d’éventuels antécédents ORL avant d’y procéder. Elle préconise également de privilégier des prélèvements salivaires pour les enfants.

Mise en garde contre les futurs autotests

Quelque 70 millions de tests ont été réalisés entre le 1er mars 2020 et le 4 avril 2021 (57,7 millions de PCR et 12,4 antigéniques), selon une estimation de la DREES, la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques. Et les chiffres s’envolent. Pour la seule semaine du 29 mars au 4 avril 2021, 3,8 millions de résultats de tests PCR et antigéniques ont été validés.

Elle met également en garde contre l’utilisation des autotests, qui doivent arriver en pharmacie à partir du 12 avril. Ceux-ci ne nécessitent pas un prélèvement aussi profond que les autres, mais l’Académie recommande d’alerter les utilisateurs sur le fait que « l’autoprélèvement peut exposer à de faux négatifs lorsque l’écouvillonnage est trop timide et superficiel, mais peut aussi devenir dangereux lorsque l’écouvillonnage est trop profond et dirigé dans la mauvaise direction. »

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Message  Scalp Dim 11 Avr 2021 - 11:22

https://www.sudouest.fr/gironde/la-reole/vaccination-en-sud-gironde-des-dizaines-de-rendez-vous-pas-honores-l-hopital-mecontent-2105775.php

Vaccination en Sud-Gironde : des dizaines de rendez-vous pas honorés, l’hôpital mécontent

Par Sudouest.fr

L’hôpital a fait savoir sur Facebook son mécontentement après que plusieurs dizaines de candidats à la vaccination ne se sont pas présentés à leur rendez-vous et surtout n’ont pas prévenu

Le centre hospitalier du Sud-Gironde se fait poser des lapins et il n’apprécie pas. Depuis le 3 avril, 73 personnes ne se sont pas présentées au rendez-vous fixé pour se faire vacciner sans prévenir. « Si tu as pris un rdv dans un centre de vaccination et que finalement tu ne viens pas et bien annule ton rdv ! Merci », écrit sur sa page Facebook l’établissement hospitalier dont le centre de vaccination se situe à la salle Claude-Nougaro de Langon.

« Même quelques heures avant, annuler son rendez-vous, c’est permettre à une autre personne d’en profiter », souligne encore l’hôpital dans son post publié jeudi 8 avril, jour où 35 rendez-vous n’ont pas été honorés sans prévenir.

Aucune dose n’a cependant été perdue car les personnels ont fait des heures supplémentaires en rappelant des listes de volontaires le soir. Pour optimiser les stocks de doses, la direction travaille à une nouvelle organisation de liste d’attente et un partenariat avec Covidliste.com.

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Message  Scalp Dim 11 Avr 2021 - 11:26

Si vous n'êtes pas encore éligible, que vous voulez vous faire vacciner, en évitant que des doses se perdent, inscrivez-vous sur Covidliste Wink

https://www.covidliste.com/

Covid-19 : Covidliste, l'application qui vous alerte s'il reste des doses de vaccin près de chez vous

https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/covid-19-covidliste-l-application-qui-vous-alerte-s-il-reste-des-doses-de-vaccins-pres-de-chez-vous-20210406

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Message  tonysoprano Dim 11 Avr 2021 - 11:51

Gironde : à Arès, des bénévoles sont aux commandes du centre de vaccination

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Sous la direction du docteur Pillon, 21 médecins retraités et 17 personnes de tous horizons font bénévolement fonctionner le centre de vaccination d’Arès (33). :copyright: Crédit photo : P. R.

Par Pascal Rabiller - p.rabiller@sudouest.fr
Publié le 09/04/2021 à 13h17  


Depuis un mois, le centre de vaccinations du nord bassin, situé à Arès (33) vaccine à tour de bras. Son originalité : il a été créé et est géré quasi uniquement par des bénévoles, médecins ou non.
Des hommes et femmes qui attendent leur tour sous un préau à l’extérieur. À l’intérieur un accueil, où l’on distribue un questionnaire en attendant, plus loin, un entretien avec un médecin. Tout à côté, des box, des infirmiers ou infirmières qui piquent, une zone de repos et un service administratif qui enregistre l’acte.

Le centre de vaccination contre le coronavirus d’Arès (33) ressemble à s’y méprendre à tous les autres centres de vaccination. À ceci près que c’est sans doute un de ceux qui, en France, coûtent le moins d’argent à la sécurité sociale.

Un acte civique désintéressé

En effet, ce centre de vaccination installé depuis un mois dans les murs du Domaine des Lugées à Arès est géré au quotidien par des médecins ou professionnels de santé à la retraite et 17 citoyens de tous profils. Leur point commun ? Être totalement bénévoles.

En ce qui me concerne, j’estime que le système de santé nous a beaucoup donnés, nous avons la mission désormais, dans cette période de course contre la montre d’utilité publique, de rendre une partie de ce qu’il nous a apporté », explique le docteur Hervé Pillon, expert de la biologie médicale et retraité depuis le 15 janvier dernier.

Après que la commune d’Arès a été retenue par la préfecture pour accueillir le centre de vaccinations, j’ai décidé de proposer mes services ainsi que ceux d’une dizaine de médecins pour le créer et l’animer. La règle était claire pour moi, elle devait l’être pour mes collègues : nous réalisons un acte civique totalement désintéressé. »


Prêts pour une guerre longue

Le message a été reçu 5/5 par la profession. Si le 5 mars, le centre de vaccination totalisait 100 injections par jour la « petite » équipe des débuts a su rapidement trouver des renforts pour assurer une permanence six jours sur sept, de 9 à 12 h 30 et de 14 à 17 h 30 pour vacciner 400 personnes par jour.

Ce centre ne serait rien sans les 21 médecins et les 17 bénévoles issus de tous les horizons. Ainsi que les employés municipaux volontaires issus des villes d’Arès, Lège et Andernos qui veillent tous au bon fonctionnement du centre », précise Hervé Pillon.

Ici, seuls les infirmiers et infirmières libérales sont indemnisés par l’assurance maladie. « C’est logique, ces personnels sont en activité, prennent sur leur temps de repos, organisent leurs plannings, réalisent un acte médical… », considèrent les médecins Jean-Michel Bruno, Guy Lacave, Gérard Élie qui s’occupent, ce matin-là, des entretiens de pré-vaccination.

Cette organisation atypique fonctionne et pourrait prochainement monter en cadence de vaccinations. « C’est faisable mais nous devons surtout prendre garde à ne pas épuiser nos troupes de bénévoles car il nous faut mobiliser pour une bataille qui sera longue », confie Hervé Pillon.

Les « troupes » qui gèrent les rendez-vous et acheminement des doses du CHU chaque matin veillent aussi, le cas échéant, à utiliser les doses restantes en mobilisant par téléphone les publics identifiés comme prioritaires ou oubliés. « À ce jour, nous n’avons jeté aucune dose de vaccin », se félicite le Dr Pillon.
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Message  Scalp Dim 11 Avr 2021 - 11:54

Hello tonysoprano, merci pour l'article, n'oublie pas de mettre le lien Wink

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Message  tonysoprano Dim 11 Avr 2021 - 12:05

OK désolé.

https://www.sudouest.fr/tourisme/gironde/bassin-arcachon/gironde-a-ares-des-benevoles-sont-aux-commandes-du-centre-de-vaccination-2035527.php
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Message  krahknardz Dim 11 Avr 2021 - 12:12

Quel manque d'esprit civique... Des personnes vraiment à baffer.

Scalp a écrit:https://www.sudouest.fr/gironde/la-reole/vaccination-en-sud-gironde-des-dizaines-de-rendez-vous-pas-honores-l-hopital-mecontent-2105775.php

Vaccination en Sud-Gironde : des dizaines de rendez-vous pas honorés, l’hôpital mécontent

Par Sudouest.fr

L’hôpital a fait savoir sur Facebook son mécontentement après que plusieurs dizaines de candidats à la vaccination ne se sont pas présentés à leur rendez-vous et surtout n’ont pas prévenu

Le centre hospitalier du Sud-Gironde se fait poser des lapins et il n’apprécie pas. Depuis le 3 avril, 73 personnes ne se sont pas présentées au rendez-vous fixé pour se faire vacciner sans prévenir. « Si tu as pris un rdv dans un centre de vaccination et que finalement tu ne viens pas et bien annule ton rdv ! Merci », écrit sur sa page Facebook l’établissement hospitalier dont le centre de vaccination se situe à la salle Claude-Nougaro de Langon.

« Même quelques heures avant, annuler son rendez-vous, c’est permettre à une autre personne d’en profiter », souligne encore l’hôpital dans son post publié jeudi 8 avril, jour où 35 rendez-vous n’ont pas été honorés sans prévenir.

Aucune dose n’a cependant été perdue car les personnels ont fait des heures supplémentaires en rappelant des listes de volontaires le soir. Pour optimiser les stocks de doses, la direction travaille à une nouvelle organisation de liste d’attente et un partenariat avec Covidliste.com.

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Message  Scalp Lun 12 Avr 2021 - 11:45

Je mets cet artcile ici, mais son objet et bien sur beaucoup plus large...

https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/04/09/l-avenement-de-la-societe-du-commentaire_6076109_3232.html

Le commentariat étend son influence, des réseaux sociaux aux chaînes d’info en continu

Par Nicolas Truong

Enquête - A coups de polémiques et d’analyses « à chaud », experts et essayistes, journalistes et communicants sont invités à commenter en permanence l’actualité. Progrès démocratique ou régression idéologique ?


C’est un bruit de fond persistant. Un brouhaha permanent. Une entêtante musique d’ambiance qui semble placer l’information et l’opinion, les raisons et les passions, les connaissances et les expériences sous le signe de l’équivalence. Des réseaux sociaux aux chaînes d’information en continu, la société du commentaire étend son influence dans l’espace public, à coups de polémiques et d’analyses « à chaud ». Son déploiement marque-t-il une avancée de la démocratie qui pourrait être définie, avec le philosophe Jacques Rancière, comme le pouvoir de « n’importe qui », ou témoigne-t-il au contraire de la puissance despotique de l’individu roi de dire « n’importe quoi » ? Est-ce une manifestation de l’égalitarisme des positions ou bien celle du relativisme des opinions ? S’agit-il d’une demande sociale toujours plus grande de participation, de parler-vrai et « cash » ou d’une injonction technico-commerciale à exposer ses pulsions, fabriquer du faux et du clash ? L’importance prise par le commentariat, en tout cas, inquiète jusqu’au sommet de l’Etat.

Au point que le président de la République lui-même s’en soit ému : « Le problème-clé pour moi, c’est l’écrasement des hiérarchies induit par la société du commentaire permanent : le sentiment que tout se vaut, que toutes les paroles sont égales, celle de quelqu’un qui n’est pas spécialiste mais a un avis sur le virus vaut la voix d’un scientifique », a-t-il déclaré avec insistance lors d’un entretien accordé à L’Express le 22 décembre 2020. La crise sanitaire a sans doute accentué ce travers. Effet de nivellement et d’aplanissement du petit écran : sur les plateaux de télévision ou de radio désormais filmés, la parole d’un éditorialiste et celle d’un épidémiologiste sont mises sur le même plan. « Le commentaire autoproclamé délégitime tout ce qui était légitime, et chacun se sent autorisé à mettre en doute les discours autorisés », observe l’essayiste Christian Salmon, auteur de L’Ere du clash (Fayard, 2019). « A tel point qu’on doute de tout », poursuit-il. « Les conséquences psychologiques et sociales sont terribles, s’inquiétait de son côté Emmanuel Macron, car on finit par ne plus croire en rien. »

Mais les paroles autorisées se sont elles-mêmes corrodées à mesure qu’elles se sont immergées dans ces arènes de la parole débridée. « La parole politique s’est laissé aller au commentaire, au formatage des réseaux sociaux sur lesquels l’on doit penser en 280 caractères », remarque l’essayiste Agathe Cagé, autrice de Respect ! (Equateur, 170 pages, 15 euros). Et leur premier contempteur, Emmanuel Macron, n’aurait pas été le dernier à s’y livrer : « Une large partie du discours d’Emmanuel Macron, le 13 avril 2020, a été dédiée à commenter, à la manière d’un journaliste, sa propre action, remarquait la cofondatrice et présidente du cabinet de conseil Compass Label sur le site AOC, en avril 2020. Président commentateur de ses déplacements à travers une piqûre de rappel de sa visite dûment mise en scène au professeur Raoult à Marseille (“J’ai tenu moi-même à comprendre chacune des options possibles”). Président commentateur de ses précédents discours, président commentateur de ses impuissances, sans plus avoir, face à la pandémie, la possibilité de les masquer par l’excuse des carences de “l’ancien monde”. »

« Nous sommes devenus une nation de 66 millions de procureurs », s’agaçait le chef de l’Etat, le 21 janvier, courroucé par la défiance d’un pays de commentateurs qui ne lui laisseraient pas le droit à l’erreur. « Emmanuel Macron récolte ce qu’il mérite », réplique William Dab, professeur titulaire de la chaire « hygiène et sécurité » du Conservatoire national des arts et métiers. « S’il y avait eu un véritable débat public sur ces questions, je ne serais sans doute jamais allé sur les plateaux de télé, poursuit l’ancien directeur général de la santé et auteur, avec Danielle Salomon, d’Agir face aux risques sanitaire (PUF, 2013). Prenez les nouvelles mesures de confinement que nous préconisions depuis janvier. Durant le mois de mars, le gouvernement ne jurait que par l’adaptation de la politique sanitaire à la situation spécifique des territoires. Or, aujourd’hui, la ville de Dax est confinée comme Paris. Cela nécessite une explication. Mais il n’y en a pas. Du coup, le débat se passe dans les médias. Et heureusement qu’ils sont là car, sinon, on ne nous entendrait pas. »

« Il y a un côté notes de patinage artistique »

Ainsi, le manque d’espaces de délibération favoriserait la centralité de la médiatisation. « Pourquoi les débats se passent sur les chaînes info ou sur les réseaux sociaux ? Parce qu’ils n’ont pas lieu à La République en marche ! », ironise Jean-Sébastien Ferjou, directeur de la publication du site Atlantico, qui souligne « l’hypocrisie » d’Emmanuel Macron : « Le président de la République a écrasé les partis et court-circuité les corps intermédiaires, et voilà qu’il se plaint à présent de l’avènement de la société du commentaire. » C’est l’histoire de l’arroseur arrosé qui aurait lui-même délégitimé sa propre verticalité. « J’aurais dit exactement l’inverse du président : les commentaires m’aident à réfléchir, prolonge William Dab. Et quand on gère l’incertitude, on doit se nourrir des contradictions. »

Le règne du commentariat est une manifestation de l’importance ou de l’emprise toujours plus croissante des médias qui occuperaient souvent l’espace déserté par les places publiques, les partis politiques ou les syndicats. En 1988, pourtant, Guy Debord, le cofondateur de l’Internationale situationniste et auteur de La Société du spectacle (Buchet-Chastel, 1967), estimait quant à lui que c’était le médiatique qui avait colonisé et vidé de sa substance l’ancien espace public : « Il n’existe plus d’agora, de communauté générale ; ni même de communautés restreintes à des corps intermédiaires ou à des institutions autonomes, à des salons ou des cafés, aux travailleurs d’une seule entreprise ; nulle place où le débat sur les vérités qui concernent ceux qui sont là puisse s’affranchir durablement de l’écrasante présence du discours médiatique, et des différentes forces organisées pour le relayer », écrivait-il dans ses Commentaires sur la société du spectacle (Gérard Lebovici, 1988). Or, aujourd’hui, c’est précisément le commentaire qui est devenu un spectacle. Et l’information un divertissement.

« On s’informe aussi pour passer le temps », reconnaît Jean-Sébastien Ferjou, invité régulier des talk-shows, des « Informés » (sur Franceinfo, une émission animée par Jean-François Achilli) à « Face à l’info » (sur CNews, dont Eric Zemmour est la figure centrale). Sans doute est-ce une des raisons pour lesquelles le modèle des émissions de commentaires sportifs – lancé par le journaliste Eugène Saccomano avec « On refait le match » sur RTL, en 2001 – s’est étendu à la sphère politique et intellectuelle. D’où l’importance prise également par l’analyse de la communication politique avec l’arrivée massive des communicants sur les plateaux. « Il y a un côté notes de patinage artistique dans le commentaire politique, remarque Jean-Sébastien Ferjou, où l’on donne une note technique et une note artistique. » Les joutes sont des jeux de rôle, les débats sont des combats ou des duels souvent artificiels. « C’est une des raisons pour lesquelles je ne vais plus sur CNews, explique William Dab, non seulement parce que je trouve sa ligne éditoriale détestable, mais surtout parce qu’on y refuse le point de vue mesuré, et qu’on ne vous invite que si vous avez un point de vue clivant, polémique et tranché. »

Une économie de la palabre


Les boucles des chaînes d’information sont regardées de manière discontinue. C’est « un bruit de fond », relève Valérie Jeanne-Perrier, professeure en sciences de l’information et de la communication à la Sorbonne et responsable de l’école de journalisme du Celsa. D’où la volonté permanente de capter l’attention. « Ce sont les dispositifs médiatiques, et notamment numériques, qui poussent au commentaire », précise-t-elle. Sur les réseaux sociaux, les émoticônes proposent en permanence toute une palette d’humeurs, de ressentis et de réactions. « La société numérisée est gouvernée par les algorithmes et revêt une forme binaire, poursuit Pierre Musso, professeur honoraire de sciences de l’information et de la communication à l’université de Rennes-II et professeur associé à l’école Télécom ParisTech. C’est le règne du feed-back, où triomphe le binôme action-réaction, comme l’illustre l’alternative entre “like” (“j’aime”) et “no like” (“j’aime pas”) sur Facebook. »

La technologie médiatique informe l’espace public. Et le recours incessant au registre émotionnel et la mise en sommeil de la raison engendrent parfois des « monstres 2.0 », comme les « fake news », les insultes, les campagnes de harcèlement et l’inflation des contenus violents car « il y a des choses que l’on peut se permettre dans l’espace virtuel qui seraient inadmissibles dans le monde réel », abonde Pauline Escande-Gauquié, maîtresse de conférences à Paris-Sorbonne-Celsa et autrice, avec Bertrand Naivin, de Monstres 2.0. L’autre visage des réseaux sociaux (François Bourin, 2018). « C’est pourquoi, poursuit la sémiologue, dans cet univers sans surmoi où les individus réagissent aux stimuli, l’espace de la disputatio, qui oblige à argumenter face à un adversaire, est souvent aboli. »

   « L’inflation du commentaire est une bénédiction pour les gouvernants, qui peuvent plus aisément manipuler le cycle d’information. » Cécile Alduy, sémiologue


Avec l’avènement du paradigme cybernétique, « l’émotion s’est confondue avec la représentation et aboutit à une dilapidation du symbolique », analyse Pierre Musso, auteur de Critique des réseaux (PUF, 2003). Assignée par la technologie au langage binaire, la société de commentaire esquiverait l’argumentaire et serait devenue spéculaire. « Les chaînes d’information en continu, dont la logique repose sur ce qu’on pourrait appeler “une économie de la palabre”, obéissent aux mêmes principes que les réseaux sociaux, explique l’historien Gérard Noiriel, auteur de Le Venin dans la plume. Edouard Drumont, Eric Zemmour et la part sombre de la République (La Découverte, 2019). Il faut mobiliser les émotions des téléspectateurs pour booster les audiences, et donc les recettes publicitaires. Voilà pourquoi ces chaînes accordent une place essentielle aux polémiques, aux clashs, aux insultes qui sont immédiatement relayés sur les réseaux sociaux. »

La pensée désinformée

Gouvernée par les nombres, la société de la calculabilité produirait également un monde littéralement sans modération. « Les réseaux sociaux n’ont pas intérêt à modérer leurs contenus parce que l’outrance et la polémique engrangent du trafic », explique Pauline Escande-Gauquié. « La présence des réactions animées par le ressentiment ne doit pas conduire à une vision unitaire des commentaires, tempère Valérie Jeanne-Perrier, on se focalise souvent sur leurs dérives. Mais beaucoup d’entre eux appellent au contraire à la solidarité et à l’entraide, et dessinent même, en cette période difficile, une éthique du soin. »

Il n’empêche. De nombreux intellectuels considèrent, comme Christian Salmon, que, dans la société du commentaire, « la délibération raisonnée laisse place à une libération de la transgression ». Et se demandent comment se comporter dans un espace public qui ne ressemble plus guère à celui que le philosophe Jürgen Habermas avait étudié, né dans les salons bourgeois européens du XVIIIe siècle, au sein desquels des citoyens et des intellectuels adressaient à la société, par la publicité qu’elle leur donnait, des idées progressistes opposées à l’absolutisme. Une vision idéal-typique bien éloignée des réseaux sociaux et chaînes d’info où les opinions sont souvent réduites à l’exposition des humeurs et à la mise en forme de simples pulsions. Car « l’opinion d’un public qui fait usage de sa raison n’est plus simple opinion, ne résulte pas de la simple inclination, analysait Habermas, mais de la réflexion en privé et de la discussion publique sur des affaires d’intérêt général » (L’Espace public. Archéologie de la publicité comme dimension constitutive de la société bourgeoise, 1962, traduit de l’allemand par M. B. de Launay, Payot, 1993).

« Il est vrai que, dans le champ intellectuel, les débats externes ont pris le pas sur les débats internes qui se déroulaient dans les petites arènes universitaires ou dans les revues », relève le sociologue Luc Boltanski. L’entrée des intellectuels dans la joute médiatique, attisés par les réseaux sociaux et sollicités par les chaînes d’information, a « fortement aggravé la confusion du savant et du politique », constate Gérard Noiriel. « Les intellectuels de gouvernement et les intellectuels critiques se sont facilement adaptés à cette nouvelle situation, étant donné qu’ils ne séparent pas strictement les deux sphères, poursuit-il sur son blog (« Les intellectuels à l’heure des réseaux sociaux », 14 janvier 2021). En revanche, la position déjà fragile des intellectuels spécifiques s’en est trouvée très affaiblie. »

La figure de l’« intellectuel spécifique » a été forgée par Michel Foucault pour désigner la fonction du chercheur qui intervient dans l’espace public à partir d’un savoir déterminé mais sans prétendre dire « le juste-et-le-vrai pour tous » (« La fonction politique de l’intellectuel », Dits et Ecrits, n° 184, 1976, Gallimard, 1994). C’est pourquoi, selon Gérard Noiriel, « il ne peut intervenir dans l’espace public que sur des questions qu’il a lui-même étudiées pendant de longues années ». Mais cette figure semble aujourd’hui prise en étau dans le flot de paroles incessant au sein duquel il faut donner son avis à tout bout de champ. Que faire alors ? Le silence radio conduirait mécaniquement à laisser le champ libre à la pensée désinformée. Peut-être conviendrait-il alors d’« inventer de nouveaux espaces d’intervention médiatique », poursuit-il, et de solliciter aussi des « youtubeurs critiques » devant cette atrophie de l’espace public.

Formules-clés et oppositions binaires

La situation des intellectuels et des journalistes n’est pas si éloignée. A quoi bon se réclamer d’une légitimité nourrie d’une déontologie et d’un métier si la figure du journaliste est réduite à celle du commentateur qui donne son avis « au doigt mouillé » sur les plateaux de télévision ? « Le risque est grand en effet de discréditer toute une profession, notamment lorsque des chroniqueurs négligent les vérités factuelles, comme on le voit hélas trop souvent », prévient l’historien de la presse Alexis Lévrier. « D’autant que les chaînes d’info qualifient bien souvent d’“éditorialistes” des gens qui n’ont rien à voir avec le journalisme », regrette-t-il. Le mot, le titre et le statut ont une histoire. Aujourd’hui, l’éditorialiste est le plus souvent un journaliste, membre d’une rédaction, dont il rédige l’éditorial à travers un point de vue singulier, mais qui engage l’ensemble du journal.

En général, on ne devient pas éditorialiste sans avoir été reporter et mené une carrière qui permet d’élargir sa focale. Mais, à force de s’affranchir du terrain, certains éditorialistes ont sombré dans « une vision déréalisée de l’actualité », explique Alexis Lévrier, surtout lorsqu’un de ses principaux représentants, Christophe Barbier, affirme que « se confronter au terrain pollue l’esprit de l’éditorialiste » (le JDD, 14 avril 2017). D’où le recours récurrent à des formules-clés (comme « l’archipel français » ou « la France périphérique ») ou bien à des oppositions binaires (« somewhere » versus « anywhere », « bloc élitaire » contre « bloc populaire ») élaborées par des sondeurs et des essayistes afin de décrire les fractures de nos sociétés. Des idées d’autant plus aisément utilisables sur le marché du commentaire que les éditorialistes peuvent éviter d’en éprouver la solidité.

Le vase clos intellectuel et l’entre-soi social accentuent également les impositions de problématiques. « Il est évident que, de moi-même, je ne passerais pas trois jours à discuter de la mosquée de Strasbourg comme beaucoup l’ont fait », reconnaît Jean-Sébastien Ferjou, chroniqueur sur CNews, la chaîne d’information en continu du groupe Bolloré. « Ces émissions ont une large influence. Bien que leur audience soit relative, elles dictent l’agenda », indique Samuel Gontier, chroniqueur télé à Télérama. Ainsi en va-t-il notamment de la polémique sur « l’islamo-gauchisme » qui « gangrène la société dans son ensemble », d’après les mots de Frédérique Vidal, la ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, sur le plateau de CNews, lors d’une interview menée par Jean-Pierre Elkabbach, assurant qu’« il y a une sorte d’alliance entre Mao Zedong et l’ayatollah Khomeyni ».

Vertus démocratiques


Risque de détournement de la fonction journalistique, mais aussi art de la diversion politique. « L’inflation du commentaire est une bénédiction pour les gouvernants, qui peuvent plus aisément manipuler le cycle d’information en lançant des sujets pour détourner l’attention ou l’orienter vers des points qu’ils contrôlent, explique la sémiologue Cécile Alduy, professeure de littérature française à l’université Stanford et chercheuse associée au Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof). Lorsque l’information suit davantage les commentaires que les actions, réagir à une petite phrase ou à un sujet lancés par le président ou un ministre, comme Frédérique Vidal, va faire tourner les journaux et les adversaires politiques pendant quelques jours, au détriment de l’investigation, du recueil de propositions alternatives sur des sujets définis comme importants par les rédactions. »

Ces impositions de problématiques sont aussi le signe d’une guerre idéologique. Car de nombreux observateurs des médias se déclarent « sidérés » par « le flot de violence verbale et d’extrémisme droitier », dixit Samuel Gontier, qui se libère dans certaines émissions de commentaires au sein desquelles « il y a systématiquement au moins un ou deux invités d’extrême droite », s’inquiète Alexis Lévrier. Et pas uniquement sur les chaînes privées, s’alarme la philosophe Sandra Laugier, « frappée » par « la rhétorique réactionnaire qui gagne une large partie des émissions du service public, avec des animateurs souvent complaisants ». « De Franceinfo à France Inter, il y a de nombreux médias où l’on entend régulièrement des mots et un discours woke [sensible aux injustices à l’égard des minorités] », rétorque Jean-Sébastien Ferjou. « Chaque chaîne à sa posture énonciative », tempère Valérie Jeanne-Perrier, autrice de Les Journalistes face aux réseaux sociaux ? Une nouvelle relation entre médias et politiques (MKF, 2018).

De la manipulation idéologique à la logique du discrédit, la société du commentaire serait une menace pour la démocratie. Et si c’était tout le contraire ? « La société du commentaire, c’est la société démocratique », avance le sociologue Arnaud Esquerre, qui mène, avec Luc Boltanski, une grande enquête sur la formation de l’opinion publique. « Les réseaux sociaux ont rendu publiques des conversations qui restaient jusqu’alors cantonnées à la sphère privée », font-ils tous deux observer. D’où cette impression de café du commerce et de conversations amicales ou familiales soudainement médiatisées qui fait sans doute une partie de leur succès. « L’avènement de la société du commentaire, c’est la mort de la délibération démocratique », rétorque Christian Salmon, auteur de La Tyrannie des bouffons (Les Liens qui libèrent, 2020). « Dans les sociétés totalitaires, il n’y a pas d’espace pour les commentaires, poursuivent Luc Boltanski et Arnaud Esquerre. Ce qui rend nécessaire le commentaire, c’est qu’il oblige la décision à être justifiée. » Mais gare à l’illusion égalitaire : « L’horizontalité apparente des réseaux masque d’importantes hiérarchies, celle des réputations et des followers », rappelle Pierre Musso qui, plutôt qu’une société du commentaire, préfère évoquer une « société du comment » (instrumentale, algorithmique et technicienne), éloignée de la « société du pourquoi » et du sens retrouvé.

Il est possible de reconnaître les vertus démocratiques du commentaire sans tomber dans le piège du commentariat. Et d’échapper à ce flot de paroles et d’images qui peut s’apparenter à la comédie du « je sais rien mais je dirai tout » dont s’amusait Pierre Richard (1973). D’autant que parfois « les forces de répression n’empêchent pas les gens de s’exprimer, elles les forcent au contraire à s’exprimer », écrivait le philosophe Gilles Deleuze, qui louait la « douceur » et le « droit de n’avoir rien à dire » (« Les intercesseurs », 1985, Pourparlers, Minuit, 1990). « Si bien que le problème n’est plus de faire que les gens s’expriment, mais de leur ménager des vacuoles de solitude et de silence à partir desquelles ils auraient enfin quelque chose à dire », poursuivait-il. Et si la prégnance de la société du commentaire nous invitait à apprendre l’importance du comment (se) taire ?

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Message  Switch Mar 13 Avr 2021 - 12:09

https://www.rugbyrama.fr/rugby/premiership-angleterre/2020-2021/premiership-angleterre-une-elite-elargie-et-fermee-pour-quatre-ans_sto8239201/story.shtml

Angleterre : une élite élargie et fermée pour quatre ans ?

Selon la presse anglaise, le championnat de Premiership devrait passer à treize ou quatorze équipes et les relégations être gelées pour les quatre prochaines années, afin de mieux protéger les clubs de la crise financière actuellement traversée.

C'est une information de nos confrères du Daily Mail, généralement bien au fait de l'actualité outre-Manche, qui ne va pas passer inaperçue : selon eux, les instances du rugby professionnel anglais ont décidé de geler le système de relégation en Premiership (première division anglaise) pour les quatre prochaines saisons, soit jusqu'au terme de l'exercice 2024-2024. Une nouvelle qui devrait ainsi chambouler l'écosystème du rugby en Angleterre, surtout que ce choix va s'accompagner de plusieurs autres mesures marquantes. En effet, pour renforcer sa compétitivité et laisser moins de monde sur le bord de la route, l'élite devrait être élargie. Alors qu'elle est aujourd'hui composée de douze équipes, elle devrait être portée à treize, voire même quatorze clubs. Ceci à condition évidemment de présenter des garanties financières suffisantes. L'idée est justement de faire en sorte que la crise actuelle ait le moins d'impact possible d'un point de vue économique et surtout qu'elle n'amène à ne faire disparaître aucun club.

Avec les Saracens et les Ealing Trailfinders ?

Toujours selon le Daily Mail, la Fédération anglaise (RFU) a approuvé en février dernier un moratoire sur la suspension du système de relégation pour l'édition 2020-2021 de Premiership, en raison de toutes perturbations liées à l'épidémie de Covid-19, et a accepté l'idée d'étendre cet accord sur plusieurs années, à condition de négociations supplémentaires avec les diverses parties prenantes du dossier. En clair, les Saracens (champions d'Angleterre en 2015, 2016, 2018 et 2019, puis champions d'Europe en 2016, 2017 et 2019), qui avaient été relégués administrativement cette saison à cause d'un dépassement du Salary Cap, pourraient être réintégrés au championnat de Premiership.

Mais l'extension à un quatorzième club est aussi clairement une porte ouverte aux Ealing Trailfinders, qui ne cachent pas leurs grandes ambitions ces dernières années. En contrepartie, et en plus de remporter le championship (deuxième division anglaise), ces derniers devraient - toujours selon la presse britannique - accepter d'investir et donc de devenir actionnaires à part entière de cette nouvelle élite pour y participer. Le conseil de la RFU doit désormais examiner cette formule étendue à plusieurs saisons lors d'une réunion en juin prochain.


Encore une fois, les anglais innovent et prennent le taureau par les cornes, qui à bousculer l'ordre établi. Inimaginable en France ? Rolling Eyes

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Message  Scalp Mer 14 Avr 2021 - 17:23

https://www.courrierinternational.com/article/video-au-bresil-plus-de-la-moitie-des-patients-covid-19-en-soins-intensifs-ont-moins-de-40

Au Brésil, plus de la moitié des patients Covid-19 en soins intensifs ont moins de 40 ans

Un reportage de la BBC dévoile la situation sanitaire alarmante du Brésil, où des patients de plus en plus jeunes sont atteints de formes graves du SARS-CoV-2. Plus de 350 000 personnes en sont mortes, pour l’heure, dans le pays.

C’est une situation que cette femme médecin à l’hôpital de campagne Dell’Antonia, à São Paulo (Brésil), n’aurait jamais pensé connaître dans sa carrière : placer en même temps en soins intensifs plusieurs générations d’une même famille. C’est pourtant devenu une chose ordinaire, désormais, pour le Dr Lara Ogawa. Interrogée par la BBC, elle décrit une situation dramatique, avec “beaucoup de morts au sein de la même famille”.

   Par exemple, nous accueillons une mère, un père et leur fils. Le fils meurt. Et on ne peut pas le dire au père ni à la mère parce qu’ils risquent d’aller plus mal.”

Sur place, le journaliste Mark Lowen est allé à la rencontre de patients jeunes et sans antécédents de santé hospitalisés à São Paulo. L’un d’entre eux a seulement 28 ans.

   Oui, je suis jeune. […] Quand ils n’ont plus pu trouver de veine dans mon bras pour me donner mon traitement et qu’ils m’ont dit qu’ils allaient devoir me poser une voie centrale dans une grosse artère, je me suis dit qu’ils aillaient peut-être devoir m’intuber, que je ne pourrais plus respirer. Malheureusement, j’ai cru que c’était la fin.”

52 % des patients se trouvant en unité de soins intensifs ont moins de 40 ans


Selon une nouvelle étude de la Brazilian Association of Intensive Medicine, publiée le week-end passé, 52 % des patients admis à l’hôpital en soins intensifs le mois dernier avaient moins de 40 ans. Une hausse notoire de 16,5 % par rapport aux données compilées de la période allant de décembre 2020 à février 2021.

Ce rajeunissement de l’âge des malades pourrait s’expliquer par la prédominance du variant P.1, dit “brésilien”, et jugé plus contagieux, mais aussi par une vaccination croissante des personnes âgées. Les jeunes patients sont un poids pour le système hospitalier brésilien, déjà mis à mal par la crise sanitaire. Ils mettraient en moyenne plus de temps à récupérer en unité de soins intensifs, selon l’agence de presse Reuters.

Une situation sanitaire chaotique


Aujourd’hui, ainsi qu’en fait état le New York Times, le Brésil comptabilise plus de 13,5 millions de cas de Covid-19 depuis le début de la pandémie, et plus de 350 000 décès dus à cette maladie.

Mardi 13 avril, le gouvernement français a décidé de suspendre les vols en provenance et à destination du Brésil. Le Portugal, qui avait suspendu ces vols depuis janvier et jusqu’au 15 avril, pourrait prolonger la mesure.

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Message  Martin33 Mer 14 Avr 2021 - 18:39

Bonjour, je participe très peu mais vous lis (très) régulièrement et profite souvent des contenus / articles partagés sur le forum. A mon tour avec cet article intéressant du Monde :

Rugby : à l’image de l’Union Bordeaux-Bègles, le huis clos pèse sur les clubs français, sans toutefois les couler
A l’UBB, le manque à gagner causé par les matchs sans public a creusé le déficit. Mais, à l’image de ses homologues du Top 14, le club survit grâce aux aides de l’Etat.

Par Claire Mayer(Bordeaux, correspondante)


L’Union Bordeaux-Bègles s’est qualifiée, dimanche 11 avril 2021, pour les demi-finales de la Champions Cup, la coupe d’Europe de rugby, en battant le Racing 92 au cœur d’un stade vide.

Aux abords du stade Chaban-Delmas, à Bordeaux, dimanche 11 avril en fin d’après-midi, l’ambiance était calme. Très calme. L’Union Bordeaux-Bègles (UBB) venait pourtant d’arracher la victoire (24 à 21) face au Racing 92, et de se qualifier pour les demi-finales de la Champions Cup, la coupe d’Europe de rugby. En temps habituel, une énorme clameur aurait retenti pour saluer cette première dans l’histoire d’un club né en 2006 de la fusion du Stade bordelais université club et du Club athlétique béglais.

Mais, dimanche, seules les acclamations de quelques représentants de sponsors sont venues ponctuer cette victoire. Dans le reste des gradins, à même d’accueillir plus de 30 000 personnes, aucun supporteur n’était là pour applaudir l’équipe locale. Depuis plusieurs mois maintenant, compte tenu de la situation sanitaire, le huis clos est le lot quotidien de l’UBB, tout autant que des autres clubs du Top 14, première division du rugby professionnel français.

Même si les supporteurs continuent d’accrocher des mots d’encouragement sur les grilles du centre d’entraînement, à Bègles (« UBB, on t’aime », peut-on lire notamment), même si une poignée d’admirateurs viennent assister aux entraînements, et même si, sur les réseaux sociaux, des messages redonnent du baume au cœur à l’équipe, être privé de public reste difficile à vivre pour les joueurs.

« C’est horrible de vivre un match historique sans public. Qu’est-ce que ça aurait été avec 30 000, 35 000 personnes ? Il restera toujours un peu d’inachevé », déplorait le capitaine de l’UBB, Jefferson Poirot, à l’issue du match contre le Racing 92. « D’un côté, on se sent privilégié car on peut continuer de faire notre travail, d’être sur le terrain. Mais avec le fait de jouer à huis clos, on n’y prend pas de plaisir », renchérit Clément Maynadier, talonneur de l’UBB.

Le contrecoup est rude
Au-delà du fait qu’il pèse sur le moral des joueurs, c’est surtout sur la situation financière du club que le huis clos se fait ressentir. Le contrecoup est rude. Le dernier budget prévisionnel fait état d’un déficit de 10 millions d’euros, d’après le président de l’UBB, Laurent Marti. Comme dans la plupart des autres clubs du Top 14, la billetterie, les hospitalités partenariales et la restauration des jours de match pèsent entre 50 % et 60 % des recettes.

S’y ajoutent l’inactivité de la buvette et la non-reconduction de certains abonnements, ce qui représente 5 millions d’euros de manque à gagner. Sans oublier qu’il va falloir aussi rembourser 50 % des abonnements qui avaient été maintenus.

Lire aussi Covid-19 : selon une étude, pour un quart des clubs de sport, la trésorerie ne permet de tenir que trois mois ou moins
La situation du club est d’autant plus délicate qu’il n’avait pas débuté sa saison avec une trésorerie suffisante. « On avait reconstitué des fonds propres, qu’on a redépensés en partie pour passer les deux dernières années, qui avaient été déficitaires, et on a attaqué la saison 2020-2021 pas hyper gaillards », reconnaît Laurent Marti.

Certains apports de sponsors se sont aussi évanouis. Laurent Marti cite « l’association UBB Grands Crus, fondée par des amoureux de rugby et de l’UBB », qui prenait « des places aux matchs » et faisait « des dons au profit de notre centre de formation ». Cela « rapportait entre 200 000 et 300 000 euros et permettait d’équilibrer les comptes du centre de formation ».

La compensation des pertes de recettes de billetterie prolongée
Pour autant, l’UBB, comme la plupart des autres clubs du Top 14, a réussi à survivre et à poursuivre son activité. Certains dirigeants français avaient pourtant été très alarmistes à l’automne 2020, évoquant des cessations de paiement à venir en janvier. Ces dernières n’ont pas eu lieu. Le rugby professionnel a pu compter sur les différentes aides de l’Etat pour se maintenir à flot.

En ce qui la concerne, l’UBB a eu recours au prêt garanti par l’Etat, pour un montant de 5 millions d’euros. Elle a aussi bénéficié du fonds de compensation des pertes de billetterie : ces aides, d’un montant de 40 millions d’euros pour le rugby professionnel (sur une enveloppe totale de 107 millions pour le sport professionnel) couvrent environ 50 % des pertes pour les clubs les plus dépendants, rappelle Emmanuel Eschalier, directeur général de la Ligue nationale de rugby (LNR).

Lire aussi Huis clos dans les stades : football et rugby, les grands gagnants du fonds de compensation
Des aides ont été versées en novembre (30 % du montant), puis en février (70 %). Pour l’UBB, elles ne comblent toutefois pas la moitié des pertes de recettes, selon Laurent Marti. Et si le rugby espérait que « le public serait de retour dans les stades juste avant ou juste après les fêtes de fin d’année », le huis clos « risque de se prolonger jusqu’à la fin de la saison régulière », se désole Emmanuel Eschalier.

La demande de la LNR que « ce dispositif soit reconduit sur la deuxième partie de la saison » a été entendue : le fonds de compensation va être prolongé, a annoncé, mardi 13 avril, le ministère délégué aux sports. Son montant exact n’a pas encore été fixé. L’aide sera « au moins aussi conséquente que la première », a toutefois affirmé ministère.

Une autre mesure, mise en place pour l’ensemble des secteurs qui vivent de l’accueil du public, a aussi contribué à la survie des clubs de rugby : l’exonération des cotisations sociales, mise en place dès le premier confinement au printemps 2020 puis reconduite depuis l’automne. « Cela a été d’une grande utilité pour soulager les clubs », explique Emmanuel Eschalier.

A l’UBB, baisse du salaire des joueurs de 20 %
Cette aide ne peut cependant excéder un plafond qui vient d’être relevé, le 13 avril, de 800 000 à 1,8 million d’euros. « Tous les clubs du Top 14, sauf un, ont atteint ce plafond avant le 31 décembre. Les clubs n’en bénéficient plus depuis le début de l’année civile 2021, à part certains clubs de Pro D2, qui ont une masse salariale moins importante », poursuit le directeur général de la LNR, qui ajoute que, compte tenu de la persistance du huis clos, les clubs demandent que « le plafond d’exonération soit relevé ».

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Il y a un an, l’étrange semaine d’un monde du sport bientôt rattrapé par le Covid-19
En attendant, les clubs du Top 14 ont aussi mis à contribution leurs joueurs : la plupart d’entre eux ont accepté de baisser leur salaire. Pour l’UBB, cette baisse a été de 20 %, la plus importante de toutes. « Forcément, on s’y attendait, on savait qu’il fallait qu’on fasse un effort financier, on est dans le même bateau. On a beaucoup discuté entre nous, avec le staff, on a voulu faire un effort et marquer le coup », explique Jean-Baptiste Dubié, qui occupe le poste de centre à l’UBB.

Aujourd’hui, Laurent Marti, « qui n’a pas envie de faire de la sinistrose tous les jours », se raccroche aux bons résultats sportifs de son club. « La seule chose qui compte, c’est de ne pas le faire couler », ajoute-t-il. Et il se projette : « Lorsque ça va reprendre, les restaurants, les bars, les stades, tout va être plein, car les gens veulent vivre. »

Lire aussi Covid-19 : « en mode survie », les sports de salle lancent un SOS au gouvernement
Claire Mayer(Bordeaux, correspondante
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Message  SympathyForTheDevil Mer 14 Avr 2021 - 18:49

Ce ne sont pas des « aides d’État » ce sont des aides du contribuable. Si les clubs survivent, c’est grâce au contribuable français (puis la baisse des salaires des joueurs + le soutien des sponsors).

Le gouvernement a intérêt à réouvrir les stades au public dès le début de la saison prochaine. Ils parlent de vacciner tous les adultes d’ici juillet (ou fin d’été je ne sais plus). Je suis quasi sûr et certain que l’objectif ne va pas être atteint. Le retour à la vie normale n’aura pas lieu avant la fin de cette année. C’est interminable. Ça me fatigue.
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Message  le radis Mer 14 Avr 2021 - 18:49

Merci Martin33 !
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Message  densnewzealand Mer 14 Avr 2021 - 18:53

MrScots a écrit:Ce ne sont pas des « aides d’État » ce sont des aides du contribuable. Si les clubs survivent, c’est grâce au contribuable français (puis la baisse des salaires des joueurs + le soutien des sponsors).

Le gouvernement a intérêt à réouvrir les stades au public dès le début de la saison prochaine. Ils parlent de vacciner tous les adultes d’ici juillet (ou fin d’été je ne sais plus). Je suis quasi sûr et certain que l’objectif ne va pas être atteint. Le retour à la vie normale n’aura pas lieu avant la fin de cette année. C’est interminable. Ça me fatigue.

Je suis assez d'accord avec toi, tu vois tout arrive, au rythme ou çà va, on va redémarrer avec une jauge style premier match contre Brive. mad2 mad2 mad2
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Message  le radis Mer 14 Avr 2021 - 18:56

MrScots a écrit:Ce ne sont pas des « aides d’État » ce sont des aides du contribuable.

Sans déconner ! :chambreur: rire
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Message  Scalp Mer 14 Avr 2021 - 19:13

le radis a écrit:
MrScots a écrit:Ce ne sont pas des « aides d’État » ce sont des aides du contribuable.

Sans déconner ! :chambreur: rire

On pourrait en faire une chanson à quatre sous..., l'état c'est toi, c'est moi, c'est nous quoi :chambreur:

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Message  Scalp Mer 14 Avr 2021 - 19:16

le radis a écrit:Merci Martin33 !

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Message  Scalp Mer 14 Avr 2021 - 19:27

https://www.courrierinternational.com/article/sante-quoi-sont-dues-les-rares-thromboses-liees-certains-vaccins-contre-le-covid-19

À quoi sont dues les rares thromboses liées à certains vaccins contre le Covid-19 ?

New Scientist - Londres

Les chercheurs commencent à décrypter ce qui provoque les rares cas de thrombose veineuse cérébrale liés aux vaccins des laboratoires Oxford-AstraZeneca et Johnson & Johnson. Mais aucune piste ne permet d’expliquer pourquoi les plus jeunes semblent plus à risque.

La suspension de la vaccination avec le produit de l’entreprise Johnson & Johnson a été recommandée aux États-Unis hier, mardi 13 avril, après que six cas de thrombose veineuse cérébrale ont été rapportés parmi les 6,8 millions de personnes qui ont reçu une dose. “Ces cas semblent analogues aux rares caillots constatés chez des personnes ayant reçu le vaccin d’Oxford-AstraZeneca et qui ont poussé certains pays à limiter l’administration de ce vaccin”, rapporte le New Scientist.

Ce type de caillot sanguin qui se forme au niveau d’un ou de plusieurs sinus veineux cérébraux (qui drainent le sang du cerveau) est très inhabituel. Les cas rapportés à la suite de l’administration du vaccin d’AstraZeneca sont associés à de faibles taux de plaquettes – ces petites cellules qui circulent dans le sang et se collent pour empêcher les saignements. En outre, ils concernent essentiellement des personnes de moins de 60 ans, et surtout des femmes. Les six personnes – dont une est morte – chez qui ces thromboses ont été déclenchées après la monodose du vaccin de Johnson & Johnson sont des femmes entre 18 et 48 ans.

Néanmoins, fait remarquer l’hebdomadaire :

   Cette différence entre les sexes s’explique peut-être par le fait que les femmes sont plus nombreuses à avoir été vaccinées, car elles sont nombreuses parmi le personnel de santé et celui des maisons de retraite.”

En revanche, la raison pour laquelle ce sont les plus jeunes qui semblent le plus à risque est encore parfaitement inconnue.

Mais qu’est qui provoque ces rares thromboses ? Plusieurs personnes qui en ont développé après s’être fait administrer le vaccin d’AstraZeneca ont été testées positives à des anticorps qui se lient à une molécule appelée “facteur plaquettaire 4” (noté PF4), libérée par les plaquettes.

Un syndrome qui ressemble à un effet secondaire rare de l’héparine


“Il est possible que le vaccin active la production de ces anticorps. Cela provoque la formation de nombreux petits caillots et peut épuiser les plaquettes”, analyse Andreas Greinacher, biologiste à l’université de Greifswald, en Allemagne, spécialisé dans les effets secondaires de l’héparine, un traitement anticoagulant. Selon lui, le syndrome postvaccinal observé dans ces cas rares ressemble à celui qui peut être déclenché par l’héparine, où une réaction immunitaire anormale se produit (là encore, il s’agit d’un effet secondaire rare).

Andreas Greinacher et ses collègues proposent ce mécanisme à partir de l’analyse des caractéristiques cliniques et de laboratoire de neuf patients ayant développé ce type de thrombose. Ils le décrivent dans une publication qui n’a pas encore été soumise à relecture par des pairs. Et, dans une précédente étude sur des souris, le chercheur a mis en évidence que l’ADN peut se lier au PF4, déclenchant la formation d’anticorps et favorisant la formation de caillots sanguins.

Le biologiste suppose que c’est ce qui pourrait expliquer pourquoi cet effet n’a été observé qu’avec les vaccins à base d’adénovirus contenant de l’ADN, comme ceux développés par Oxford-AstraZeneca et Johnson & Johnson. Pour autant, ce syndrome de thrombose cérébrale est si rare que cela laisse penser que ceux qui en souffrent possèdent des caractéristiques qui les y rendent sensibles. Pour Andreas Greinacher :

   Il doit y avoir des facteurs déclencheurs individuels. Sinon, on constaterait ce problème chez bien plus de personnes, ce qui n’est heureusement pas le cas.”

Pour le moment, certains pays recommandent que les personnes présentant des symptômes ressemblant à ceux d’une thrombose dans les deux semaines suivant un vaccin anti-Covid-19 effectuent un test d’anticorps antiplaquettaires. S’il est positif, ces personnes pourraient recevoir le même traitement que celui donné aux patients qui subissent le rare effet secondaire lié à l’héparine, et qui est différent de celui donné pour des caillots sanguins ordinaires.

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Message  Scalp Mer 14 Avr 2021 - 19:31

Covid-19 : la France administrera le vaccin de Johnson & Johnson aux plus de 55 ans

https://www.lemonde.fr/sante/article/2021/04/14/covid-19-des-etalements-ou-annulations-partielles-de-dette-d-entreprise-a-l-etude_6076738_1651302.html

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Message  krahknardz Mer 14 Avr 2021 - 20:14

le radis a écrit:
MrScots a écrit:Ce ne sont pas des « aides d’État » ce sont des aides du contribuable.

Sans déconner ! :chambreur: rire

Faut qu'on m'explique la différence.... aux dernières nouvelles l'état c'est la collectivité nationale, qui est composée des personnes physiques et morales. Dont font donc partie les clubs, qui sont des entreprises contribuables. Donc quel est le sens de la remarque??
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Message  Scalp Jeu 15 Avr 2021 - 10:18

Racing 92 - Stade français menacé

https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2020-2021/top-14-racing-92-stade-francais-menace_sto8271274/story.shtml

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Message  SympathyForTheDevil Jeu 15 Avr 2021 - 10:40

krahknardz a écrit:
le radis a écrit:
MrScots a écrit:Ce ne sont pas des « aides d’État » ce sont des aides du contribuable.

Sans déconner ! :chambreur: rire

Faut qu'on m'explique la différence.... aux dernières nouvelles l'état c'est la collectivité nationale,  qui est composée des personnes physiques et morales. Dont font donc partie les clubs, qui sont des entreprises contribuables.  Donc quel est le sens de la remarque??

Tu m’as compris. Je parlais surtout des personnes physiques, même si les sociétés sont aussi des contribuables.

Il y a une différence parce que les aides d’État laissent entendre que le pouvoir exécutif vient à la rescousse des clubs en difficulté, sauf qu’ils viennent à la rescousse avec l’argent de toi et moi, donc c’est différent. Et ces aides d’État ne sont que la contrepartie des restrictions sanitaires imposées par le pouvoir exécutif. Ce terme donne une impression de générosité, unilatérale, alors que ce n’est qu’une contrepartie. Et le pouvoir exécutif est détenu par qui ? Par le gouvernement et le Président de la République qui souhaite être réélu, donc qui sort le chèque (du contribuable) de partout (regardez notamment les 10 séances de psy « gratuites » offerts par le généreux pouvoir exécutif aux enfants de 3 (je crois) à 17 ans), pour obtenir le plus d’adhésion possible pour 2022.
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Message  Scalp Jeu 15 Avr 2021 - 11:43

https://www.courrierinternational.com/article/revirement-lunion-europeenne-mise-tout-sur-le-vaccin-de-pfizer

Revirement. L’Union européenne mise tout sur le vaccin de Pfizer

La Commission européenne a annoncé qu’elle recevrait 50 millions de doses supplémentaires du produit américano-allemand ce trimestre. Confrontée aux problèmes rencontrés par les vaccins à adénovirus comme ceux d’AstraZeneca et de Johnson & Johnson, l’UE semble miser sur la technologie à ARN messager, constate le quotidien espagnol El País.


Comme l’indique ironiquement El País, du côté de Bruxelles les péripéties concernant les vaccins font penser de plus en plus à des montagnes russes. Mardi 13 avril, en effet, les autorités de santé américaines ont demandé une pause dans l’administration du vaccin de Johnson & Johnson, et par conséquent, l’entreprise a annoncé un retard dans les livraisons de son produit à l’Union européenne. Ce 14 avril, encore du nouveau, puisque le Danemark a de son côté annoncé la suspension de l’administration du vaccin d’AstraZeneca pour une durée indéterminée.

Mais toutes les nouveautés ne sont pas mauvaises, puisque comme nous l’apprend le journal espagnol, aujourd’hui, “la Commission européenne a annoncé qu’elle recevrait 50 millions de doses supplémentaires du vaccin de Pfizer-BioNtech”. Ainsi, au total, “ce sont 250 millions de doses de ce produit qui arriveront en Europe entre avril et juin, suffisantes pour immuniser 125 millions de personnes”, précise encore le média madrilène, qui voit une tendance claire se dessiner :

La nouvelle annoncée par Ursula von der Leyen confirme le grand pari européen en faveur des vaccins fondés sur la technologie à ARN messager. Une technologie qui n’avait jusqu’au moment de la pandémie jamais été utilisée sur l’homme. Désormais, Bruxelles concentre sa stratégie sur le court, moyen et long terme, sur ce type de vaccins.”

Un succès lié à la très bonne fiabilité de ces produits, mais aussi aux déboires de leur grand “rival” AstraZeneca, dont la réputation a été minée par les nombreux retards de livraisons d’un côté et les suspects de lien avec de très rares cas de thromboses de l’autre.

Ces problèmes de livraison et d’effets secondaires qu’a connus aussi dans une moindre mesure Johnson & Johnson, n’ont pas affecté les deux producteurs de vaccins à ARN Messager : Pfizer-BioNTech et Moderna.

“Nous devons nous concentrer sur les technologies qui ont fait leurs preuves et les vaccins à ARN messager en sont un clair exemple”, a ainsi déclaré Ursula von der Leyen. Les actes ont suivi les paroles, puisque outre l’annonce des 50 millions de doses supplémentaires au troisième semestre, la chef de l’exécutif communautaire a aussi déclaré que la Commission négociait déjà un troisième contrat avec Pfizer-BioNTech. L’objectif, conclut El País, est de “recevoir 1,8 milliard de doses entre 2021 et 2023, afin d’exploiter également la capacité de ce vaccin de s’adapter aux nouveaux variants du coronavirus”.

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Message  Scalp Jeu 15 Avr 2021 - 17:36

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Message  Scalp Ven 16 Avr 2021 - 10:11

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le-covid-a-l-origine-du-report-de-quatre-rencontres-de-top-14-dont-racing-92-stade-francais/1243009

Le Covid à l'origine du report de quatre rencontres de Top 14 dont Racing 92-Stade Français

Quatre matches de la 21e journée, dont le derby francilien, ont été reportés cette semaine, obligeant à quelques adaptations du calendrier.

Clément Dossin

C'est une plaie dont le Top 14 était parvenu à se débarrasser tant bien que mal : les matches en retard, ces « trous » dans le programme qui faussent la lecture du classement et causent des maux de crâne à la cellule « compétition » de la Ligue en charge de la bonne tenue du calendrier. Depuis mi-mars et le rattrapage du dernier match en retard entre Bayonne et Agen, celui-ci était à jour, lisible et on était tout disposé à en oublier que le Covid-19 représentait encore une menace sur cette saison 2020-2021 de toutes les adaptations.

Et puis, coup sur coup, quatre matches ont été reportés cette semaine : Montpellier-Toulon d'abord (cas positifs au RCT), Agen-Bordeaux-Bègles ensuite (deux joueurs contaminés à l'UBB) et, jeudi, Clermont-Brive (six cas au CAB) et le plus emblématique derby francilien entre le Racing 92 et le Stade Français. À qui les cas ? Personne ! Pour la première fois cette saison, une rencontre est reportée alors qu'aucun joueur des deux équipes n'était, au moment de la décision prise par la LNR, atteint par la maladie.

Le derby Racing-Stade Français décalé au 1er mai


L'explication est plus subtile et pas moins compréhensible : dimanche dernier, le Racing était opposé à l'UBB en quarts de finale de Coupe d'Europe (défaite 24-21). Or, les deux joueurs contaminés de l'effectif girondin sont positifs au variant anglais, réputé plus contagieux, et évoluent en première ligne, où la promiscuité des corps favorise le partage des petites goutelettes. En prime, comme l'a précisé la LNR dans un communiqué jeudi, l'un des deux présentait de légers symptômes avant le match.

Dans ce contexte, la commission d'expertise médicale de la Ligue a préconisé le risque zéro en décidant le report du derby francilien et en imposant la mise à l'isolement de l'effectif du Racing 92 jusqu'à lundi inclus. Les joueurs et l'encadrement ciel et blanc seront aussi testés samedi et lundi. Un temps envisagée, l'hypothèse d'un décalage de la rencontre en début de semaine prochaine a été abandonnée et le match aura donc lieu à la première date disponible pour les deux clubs, c'est à dire le week-end du 1er mai, consacré aux demi-finales européennes.

Or, et c'est là que l'équation se complexifie pour la Ligue, Montpellier et l'UBB, concernés par les deux autres matches reportés, sont encore en lice sur la scène continentale, respectivement en Challenge et en Champions Cup. Et s'ils devaient se qualifier pour leurs finales respectives, le week-end du 22 mai, ils n'offriraient pas d'autres choix à la LNR de programmer leur match en retard en semaine, probablement le mardi 11 mai. Bref, on n'a pas fini de jongler...

Fickou va finir la saison au Racing


Selon nos informations, confirmant celles de RMC Sport, Gaël Fickou ne finira pas la saison au Stade Français. Le centre international (27 ans, 63 sél.) va en effet quitter le club parisien pour rejoindre prématurément le Racing 92 avec lequel il s'était engagé le mois dernier pour les quatre prochaines saisons.
Fickou a annoncé lui-même la nouvelle à ses désormais futurs ex-coéquipiers du Stade Français avec lesquels il aurait dû disputer le derby francilien face au Racing si le match n'avait pas été reporté. Son arrivée au Racing devrait être effective la semaine prochaine.

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Message  grospaquet31 Ven 16 Avr 2021 - 10:34

du coup Fickou jouera bien ce derby...mais contre le SF Rolling Eyes

dommage ce report, il aurait pu faire une mitemps avec le SF et l'autre avec le Racing :chambreur:
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