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Barrage Biarritz-Bayonne
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Biarritz-Bayonne : l’œil de David Roumieu
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2020-2021/top-14-biarritz-bayonne-loeil-de-david-roumieu_sto8367216/story.shtml
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Yannick Bru (Bayonne), avant le barrage contre Biarritz : « Ce serait une erreur d'aborder ce match sur le plan de l'émotion »
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Yannick-bru-bayonne-avant-le-barrage-contre-biarritz-ce-serait-une-erreur-d-aborder-ce-match-sur-le-plan-de-l-emotion/1261022
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Barrage d'accession ─ Top 14 : "L'enjeu de ce derby dépasse l'historique des derniers", pour Peyo Muscarditz
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/barrage-d-accession-top-14-se-rendra-compte-de-la-portee-historique-de-ce-derby-une-fois-passe-1623342589
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/barrage-d-accession-top-14-se-rendra-compte-de-la-portee-historique-de-ce-derby-une-fois-passe-1623342589
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/aviron-bayonnais/barrage-d-accession-en-top-14-biarrots-et-bayonnais-intimement-lies-3701133.php
Barrage d’accession en Top 14 : Biarrots et Bayonnais, intimement liés
Par Laurent Zègre - l.zegre@sudouest.fr
La joie du Top 14 pour l’un, les larmes de la Pro D2 pour l’autre. Du résultat du derby de samedi dépend l’avenir sportif des deux clubs. Il n’empêche, ensemble ou séparés, le BO et l’Aviron n’arrêteront jamais de se regarder
Privez-les de Fêtes de Bayonne, les Basques les organisent quand même. A Biarritz. Et partout autour, ce samedi à 17h30, d’Hendaye à Mauléon, d’Estérençuby à Lille. Ils sont coquins. Le scénario aussi. Relégué en 13e position du Top 14 à la dernière minute de l’ultime journée de la phase régulière, l’Aviron Bayonnais jouera sa survie dans l’élite du rugby français chez son voisin du BO, finaliste malheureux de Pro D2 qui a l’occasion de changer de standing. Le 113e derby des frères ennemis sera l’un des plus importants de l’histoire. Du résultat découlera la future division des deux équipes à la rentrée.
Hormis une finale de championnat (1934), un quart (1992) et un match décisif pour le maintien (1995), jamais l’enjeu n’a été tel dans un duel direct entre bleu et rouge. Pour la troisième édition de son match d’accession, la Ligue nationale de rugby ne pouvait rêver meilleure affiche. En sommeil depuis plus de deux ans, la rivalité basque est ressuscitée. Pour la première fois depuis 2014, elle concernera l’élite du rugby français.
Fierté commune
Un simple folklore local ? Ce serait insulter l’identité basque. Et méconnaître la résonance de la chamaillerie. « C’est LE derby le plus important de France », posait Gonzalo Quesada, samedi dernier, en réclamant une boîte de chocolats pour avoir contribué, avec le Stade Français, à l’alignement des planètes (lire ci-dessous). L’ex-entraîneur argentin du BO disputera lui aussi un derby face au Racing, ce vendredi, au premier échelon national. « Incomparable », tranche-t-il. International néo-zélandais à 68 reprises, le légendaire ailier Joe Rokocoko ne dit pas autre chose : « En tant qu’All Black, j’ai appris à gérer la pression, le poids des attentes du public, mais c’était plus fort au Pays basque. Ce derby signifie plus encore au sein de cette communauté fière de son histoire. »
Eric se revendique bleu et blanc jusqu’à la couleur de l’urine. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir du coeur : “J’aurais préféré retrouver les Biarrots en Top 14.”
Évidemment, les sentiments sont décuplés des bords de Nive au Rocher de la Vierge. Dès samedi soir, tout autre sujet a été banni des conversations du « BAB ». De vieux copains de la cour de récré ont resurgi par SMS. Des entreprises se sont gentiment scindées en deux à la cantine. Le derby produit des anecdotes savoureuses. Les cafetiers les ont servies toute la semaine. Comme cette fois où le BO avait battu l’Aviron grâce à la présence de 16 hommes sur le terrain, dont deux Harinordoquy. Ou ce “Y” chapardé sur la façade d’Aguilera par deux Bayonnais coquins qui voulaient expatrier le voisin : “Biarritz Olympique Pas Basque”.
Ne pas “tuer” l’autre
Le Basque est complexe. Quand il n’affronte pas son voisin, il ne parle que de lui. Depuis samedi, les deux rechignent pourtant à se satisfaire de ce derby. Car la perspective de “tuer” l’autre les affecte. Attablé au Bar du Marché (de Bayonne), Eric se revendique bleu et blanc jusqu’à la couleur de l’urine. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir du coeur : “J’aurais préféré retrouver les Biarrots en Top 14.”
A 4,769 km de là - soit la distance entre Jean-Dauger et Aguilera - même son de cloche. Au Bar du Marché (de Biarritz), Hervé regrette la peine qu’il va infliger à ses amis bayonnais. Son ami Fabien acquiesce, journal à la main. “Sud Ouest” s’est mis au diapason en adaptant le logo de son édition locale aux couleurs des deux clubs. Grincement de dents : “Ah, ils affichent enfin leurs vrais couleurs. ” Depuis le début ! “Ils peuvent, ils sont rouge le reste de l’année”, sourit un voisin, visiblement en villégiature depuis la ville voisine.
Espiègle
Non loin de là, l’Indien du BO, mascotte déclassée depuis quelques années, savoure son café. Privé de stade par Jean-Baptiste Aldigé, il tient sa revanche : “Vous savez qui m’a invité ? Le président bayonnais !” Espiègle, Philippe Tayeb a proposé deux places de son quota pour Geronimo et Maider Arosteguy, la maire de Biarritz en froid avec le boss de son club. L’information révélée n’est pas du goût des supporters bayonnais, limités à 700 places sur 5000. Rétropédalage immédiat, via les réseaux sociaux de l’Aviron : “C’était bien sûr une note d’humour de la part de notre président.” Qui poussera la blague jusqu’à la salle de presse de Jean-Dauger, ce vendredi : “Si l’un de vous n’a pas d’accréditation, je peux vous dépanner”, en référence à la guerre menée par son homologue aux questions dérangeantes.
C’est aussi ça, le derby. Des piques et escarmouches, “des sentiments particuliers et quelques frissons” (Peyo Muscarditz), au milieu d’une fierté commune, celle d’appartenir à quelque chose de rare, d’unique. Samedi, il n’en restera qu’un en Top 14, mais toujours deux dans le coeur de l’autre.
Planètes alignées
Le derby basque obéit souvent à des règles irrationnelles. Il a quand même fallu un alignement de planètes assez inimaginable pour que ce 113e duel fratricide se dessine. L’Aviron aurait pu (dû ?) ne jamais finir 13e. Une victoire à Montpellier lors de l’avant-dernier match (défaite 23-19), qui lui tendait les bras, aurait mis Pau à sa place. Le scénario de l’ultime journée a aussi été fou. L’un des cas d’égalité, favorable aux Béarnais, consistait en un succès de la Section avec le bonus offensif contre le MHR, doublé d’une prime défensive pour Bayonne contre le Stade Français. Bingo et dans les toutes dernières secondes des deux rencontres, avec un coup de pied raté de Gaetan Germain à Jean-Dauger (9-12) et un essai du bonus au Hameau juste avant la sirène (41-25). Quant au BO, sans des ressources morales étonnantes, son parcours se serait normalement arrêté en demi-finale à Vannes. Mais Gavin Stark a surgi, pour arracher la qualification des siens après le gong (33-34).
Barrage d’accession en Top 14 : Biarrots et Bayonnais, intimement liés
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La joie du Top 14 pour l’un, les larmes de la Pro D2 pour l’autre. Du résultat du derby de samedi dépend l’avenir sportif des deux clubs. Il n’empêche, ensemble ou séparés, le BO et l’Aviron n’arrêteront jamais de se regarder
Privez-les de Fêtes de Bayonne, les Basques les organisent quand même. A Biarritz. Et partout autour, ce samedi à 17h30, d’Hendaye à Mauléon, d’Estérençuby à Lille. Ils sont coquins. Le scénario aussi. Relégué en 13e position du Top 14 à la dernière minute de l’ultime journée de la phase régulière, l’Aviron Bayonnais jouera sa survie dans l’élite du rugby français chez son voisin du BO, finaliste malheureux de Pro D2 qui a l’occasion de changer de standing. Le 113e derby des frères ennemis sera l’un des plus importants de l’histoire. Du résultat découlera la future division des deux équipes à la rentrée.
Hormis une finale de championnat (1934), un quart (1992) et un match décisif pour le maintien (1995), jamais l’enjeu n’a été tel dans un duel direct entre bleu et rouge. Pour la troisième édition de son match d’accession, la Ligue nationale de rugby ne pouvait rêver meilleure affiche. En sommeil depuis plus de deux ans, la rivalité basque est ressuscitée. Pour la première fois depuis 2014, elle concernera l’élite du rugby français.
Fierté commune
Un simple folklore local ? Ce serait insulter l’identité basque. Et méconnaître la résonance de la chamaillerie. « C’est LE derby le plus important de France », posait Gonzalo Quesada, samedi dernier, en réclamant une boîte de chocolats pour avoir contribué, avec le Stade Français, à l’alignement des planètes (lire ci-dessous). L’ex-entraîneur argentin du BO disputera lui aussi un derby face au Racing, ce vendredi, au premier échelon national. « Incomparable », tranche-t-il. International néo-zélandais à 68 reprises, le légendaire ailier Joe Rokocoko ne dit pas autre chose : « En tant qu’All Black, j’ai appris à gérer la pression, le poids des attentes du public, mais c’était plus fort au Pays basque. Ce derby signifie plus encore au sein de cette communauté fière de son histoire. »
Eric se revendique bleu et blanc jusqu’à la couleur de l’urine. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir du coeur : “J’aurais préféré retrouver les Biarrots en Top 14.”
Évidemment, les sentiments sont décuplés des bords de Nive au Rocher de la Vierge. Dès samedi soir, tout autre sujet a été banni des conversations du « BAB ». De vieux copains de la cour de récré ont resurgi par SMS. Des entreprises se sont gentiment scindées en deux à la cantine. Le derby produit des anecdotes savoureuses. Les cafetiers les ont servies toute la semaine. Comme cette fois où le BO avait battu l’Aviron grâce à la présence de 16 hommes sur le terrain, dont deux Harinordoquy. Ou ce “Y” chapardé sur la façade d’Aguilera par deux Bayonnais coquins qui voulaient expatrier le voisin : “Biarritz Olympique Pas Basque”.
Ne pas “tuer” l’autre
Le Basque est complexe. Quand il n’affronte pas son voisin, il ne parle que de lui. Depuis samedi, les deux rechignent pourtant à se satisfaire de ce derby. Car la perspective de “tuer” l’autre les affecte. Attablé au Bar du Marché (de Bayonne), Eric se revendique bleu et blanc jusqu’à la couleur de l’urine. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir du coeur : “J’aurais préféré retrouver les Biarrots en Top 14.”
A 4,769 km de là - soit la distance entre Jean-Dauger et Aguilera - même son de cloche. Au Bar du Marché (de Biarritz), Hervé regrette la peine qu’il va infliger à ses amis bayonnais. Son ami Fabien acquiesce, journal à la main. “Sud Ouest” s’est mis au diapason en adaptant le logo de son édition locale aux couleurs des deux clubs. Grincement de dents : “Ah, ils affichent enfin leurs vrais couleurs. ” Depuis le début ! “Ils peuvent, ils sont rouge le reste de l’année”, sourit un voisin, visiblement en villégiature depuis la ville voisine.
Espiègle
Non loin de là, l’Indien du BO, mascotte déclassée depuis quelques années, savoure son café. Privé de stade par Jean-Baptiste Aldigé, il tient sa revanche : “Vous savez qui m’a invité ? Le président bayonnais !” Espiègle, Philippe Tayeb a proposé deux places de son quota pour Geronimo et Maider Arosteguy, la maire de Biarritz en froid avec le boss de son club. L’information révélée n’est pas du goût des supporters bayonnais, limités à 700 places sur 5000. Rétropédalage immédiat, via les réseaux sociaux de l’Aviron : “C’était bien sûr une note d’humour de la part de notre président.” Qui poussera la blague jusqu’à la salle de presse de Jean-Dauger, ce vendredi : “Si l’un de vous n’a pas d’accréditation, je peux vous dépanner”, en référence à la guerre menée par son homologue aux questions dérangeantes.
C’est aussi ça, le derby. Des piques et escarmouches, “des sentiments particuliers et quelques frissons” (Peyo Muscarditz), au milieu d’une fierté commune, celle d’appartenir à quelque chose de rare, d’unique. Samedi, il n’en restera qu’un en Top 14, mais toujours deux dans le coeur de l’autre.
Planètes alignées
Le derby basque obéit souvent à des règles irrationnelles. Il a quand même fallu un alignement de planètes assez inimaginable pour que ce 113e duel fratricide se dessine. L’Aviron aurait pu (dû ?) ne jamais finir 13e. Une victoire à Montpellier lors de l’avant-dernier match (défaite 23-19), qui lui tendait les bras, aurait mis Pau à sa place. Le scénario de l’ultime journée a aussi été fou. L’un des cas d’égalité, favorable aux Béarnais, consistait en un succès de la Section avec le bonus offensif contre le MHR, doublé d’une prime défensive pour Bayonne contre le Stade Français. Bingo et dans les toutes dernières secondes des deux rencontres, avec un coup de pied raté de Gaetan Germain à Jean-Dauger (9-12) et un essai du bonus au Hameau juste avant la sirène (41-25). Quant au BO, sans des ressources morales étonnantes, son parcours se serait normalement arrêté en demi-finale à Vannes. Mais Gavin Stark a surgi, pour arracher la qualification des siens après le gong (33-34).
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Biarritz - Bayonne : "L'opportunité de vivre un grand moment de notre sport" se réjouit Bru
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/top-14/biarritz-bayonne-l-opportunite-de-vivre-un-grand-moment-de-notre-sport-se-rejouit-bru_VN-202106110120.html
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Derby basque : en 1995, la botte de Lamaison pour un pied dans l’élite
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/biarritz-olympique/derby-basque-en-1995-la-botte-
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Barrage d’accession au Top 14 : « On l’évoquait il y a deux ans, c’est arrivé », la prémonition de Julien Tisseron, le plus Bayonnais des Montpelliérains
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/aviron-bayonnais/barrage-d-accession-au-top-14-on-l-evoquait-il-y-a-deux-ans-c-est-arrive-la-premonition-de-julien-tisseron-le-plus-bayonnais-des-montpellierains-3671462.php
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Barrage Biarritz/Bayonne : dispositif spécial pour le derby de la décennie sur France Bleu Pays Basque
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/barrage-biarritz-bayonne-vivez-le-derby-de-la-decennie-sur-france-bleu-pays-basque-1623350437
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/barrage-biarritz-bayonne-vivez-le-derby-de-la-decennie-sur-france-bleu-pays-basque-1623350437
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Biarritz-bayonne-un-derby-basque-a-gros-enjeu/1261132
Biarritz-Bayonne, un derby basque à gros enjeu
Nourrie par un siècle de batailles, la rivalité basque va connaître un nouveau sommet dramatique demain avec ce barrage d'accession entre Biarritz et Bayonne. La pression sera énorme.
Adrien Corée, à Bayonne et Biarritz
Pas besoin de William Shakespeare ou George Lucas pour s'émouvoir devant des histoires de famille légèrement complexes et cruelles. Parfois, le sport suffit, et lui, au moins, sait se renouveler pour éviter toute lassitude d'un public habité par ses récits déchirants. Ce week-end, il n'y aura qu'à jeter un oeil sur la Côte basque pour observer tous les éléments de la parfaite tragédie.
Objectif élite
Le 112e épisode du feuilleton basque qui oppose depuis plus de cent ans les deux frères ennemis de l'Aviron Bayonnais et du Biarritz Olympique aura lieu samedi. Mais celui-là aura une dimension toute particulière. Contrairement aux affrontements qui rythmèrent le quotidien de la première division, puis plus récemment de la deuxième, le derby de demain revêtira un enjeu plus brûlant : le vainqueur respirera l'air pur du Top 14 la saison prochaine, tandis que le perdant végétera à l'étage inférieur, loin du glamour et des lumières de l'élite. Un match à la vie à la mort, en somme.
L'Histoire, taquine, a déjà réservé à ce duel une ampleur sportive de premier ordre. Dès 1934, Bayonne-Biarritz fut l'affiche de la finale du Championnat de France, remportée par l'Aviron au stade des Pont-Jumeaux de Toulouse ( 13-8 ). Un gros demi-siècle plus tard, au printemps naissant de 1995, les deux voisins s'étaient déjà affrontés pour se maintenir en première division, dans une formule aller-retour de feu la Coupe André Moga. Vainqueur d'un point au retour à Aguiléra ( 8-9 ) après le nul de Jean-Dauger ( 16-16 ), les Bayonnais avaient connu le double plaisir du maintien, assaisonné d'une cruelle relégation pour l'ennemi juré.
Le souvenir de 1992
Mais le match qui ravive toutes les mémoires basques, c'est celui du 16 mai 1992 au stade Maurice-Trélut de Tarbes. Chaque acteur de ce quart de finale bouillant se souvient des odeurs, des cris, des larmes et de l'excitation générale. « C'était le derby ultime, plante David Arrieta, ouvreur du BO ce jour-là. C'était déjà de la folie. On se côtoyait régulièrement avec les Bayonnais, j'avais des potes en face. »
La partie, au-delà d'offrir un billet pour le dernier carré du championnat, est peut-être la dernière de Serge Blanco. Le génie du rugby français tire ses derniers feux sous le maillot biarrot et a déjà annoncé que la saison 1992 serait son ultime campagne. Impossible dès lors, pour le BO, de terminer la légende de son arrière par un coup de rame avironnais. « On n'a pas joué tous les matches pour lui, il n'y avait pas le sentiment que c'était sa dernière, tempère Arrieta. Après inconsciemment c'est peut-être ça qui nous a fait gagner. »
« Avant un derby, tu passes une semaine assez étrange »
Titou Lamaison, jeune arrière bayonnais
« Serge, c'était l'idole, se remémore Titou Lamaison, tout jeune arrière bayonnais. Mais je n'y faisais pas trop attention sur le moment. » Après une mémorable guerre de conquête, sublimée par des avants au sommet (Condom, Ondarts, Gonzalez), la partie bascule finalement sur un drop de mammouth grenoblois, qu'il n'est pas encore, signé Franck Corrihons, ailier biarrot de 21 printemps. « C'était mon premier derby, raconte-t-il simplement. C'était du n'importe quoi (rire). Déjà qu'un derby classique déchaîne les passions... Aujourd'hui, je redescends souvent dans le Sud-Ouest, et je ne peux pas y retourner sans qu'on me parle de ce match et de ce drop. Ça a marqué les gens. »
Bayonnais en 1992, Patrice Lagisquet se souvient avoir regardé le ballon frappé par Corrihons à plus de 50 mètres passer entre les poteaux. Mais il se rappelle surtout des semaines qui sont suivies : « L'été d'après, je suis arrivé à Biarritz. Et pendant toutes mes années au BO, tous les six mois j'entendais parler de ce match. C'était leur grand plaisir de me rappeler ce quart de finale. Ce match nous avait tous marqué. »
Un contexte étouffant
Vingt-neuf ans après ce « derby des derbys », la passion n'a pas bougé, les habitudes non plus. Les joueurs vont encore au café pour entendre les histoires des grands anciens qui continuent de faire vivre la rivalité. « Avant un derby, tu passes une semaine assez étrange, les supporters sont de plus en plus nombreux aux entraînements, ça devient le sujet principal dans la ville à Biarritz comme à Bayonne, témoigne Lamaison, habitué des passages par « Chez Achille », ancien bar-poumon de l'Aviron. Il était bon pour chaque joueur d'y faire un tour pour prendre la température et accepter une forme de transmission. »
« Les joueurs savent que le match va impacter plus que leur propre vie, mais toute une population »
David Arrieta
D'autres préfèrent se tenir à l'écart de cette effervescence, génératrice de pression. « Pour bien préparer un moment comme ça, franchement il faudrait presque s'isoler, rigole Corrihons. Partir loin, couper les portables... Parce que les gens ne peuvent pas dire que c'est un match comme un autre. » « Il faut vraiment réussir à faire abstraction du contexte », poursuit Lagisquet, conscient du piège de la peur paralysante.
« Les joueurs savent que le match va impacter plus que leur propre vie, mais toute une population, insiste le Biarrot Arrieta. Il faut qu'ils se préparent à ça. S'ils perdent, c'est tout un pan de la région qui sera malheureux. Certains supporters peuvent mal le vivre (rire). Parce qu'ils risquent de se faire chambrer par leurs voisins pendant X années. » Face à cette responsabilité terrifiante, sans doute que la meilleure façon de l'aborder est de prendre conscience que le derby, comme toute série à succès, connaîtra de nouveaux épisodes.
Biarritz-Bayonne, un derby basque à gros enjeu
Nourrie par un siècle de batailles, la rivalité basque va connaître un nouveau sommet dramatique demain avec ce barrage d'accession entre Biarritz et Bayonne. La pression sera énorme.
Adrien Corée, à Bayonne et Biarritz
Pas besoin de William Shakespeare ou George Lucas pour s'émouvoir devant des histoires de famille légèrement complexes et cruelles. Parfois, le sport suffit, et lui, au moins, sait se renouveler pour éviter toute lassitude d'un public habité par ses récits déchirants. Ce week-end, il n'y aura qu'à jeter un oeil sur la Côte basque pour observer tous les éléments de la parfaite tragédie.
Objectif élite
Le 112e épisode du feuilleton basque qui oppose depuis plus de cent ans les deux frères ennemis de l'Aviron Bayonnais et du Biarritz Olympique aura lieu samedi. Mais celui-là aura une dimension toute particulière. Contrairement aux affrontements qui rythmèrent le quotidien de la première division, puis plus récemment de la deuxième, le derby de demain revêtira un enjeu plus brûlant : le vainqueur respirera l'air pur du Top 14 la saison prochaine, tandis que le perdant végétera à l'étage inférieur, loin du glamour et des lumières de l'élite. Un match à la vie à la mort, en somme.
L'Histoire, taquine, a déjà réservé à ce duel une ampleur sportive de premier ordre. Dès 1934, Bayonne-Biarritz fut l'affiche de la finale du Championnat de France, remportée par l'Aviron au stade des Pont-Jumeaux de Toulouse ( 13-8 ). Un gros demi-siècle plus tard, au printemps naissant de 1995, les deux voisins s'étaient déjà affrontés pour se maintenir en première division, dans une formule aller-retour de feu la Coupe André Moga. Vainqueur d'un point au retour à Aguiléra ( 8-9 ) après le nul de Jean-Dauger ( 16-16 ), les Bayonnais avaient connu le double plaisir du maintien, assaisonné d'une cruelle relégation pour l'ennemi juré.
Le souvenir de 1992
Mais le match qui ravive toutes les mémoires basques, c'est celui du 16 mai 1992 au stade Maurice-Trélut de Tarbes. Chaque acteur de ce quart de finale bouillant se souvient des odeurs, des cris, des larmes et de l'excitation générale. « C'était le derby ultime, plante David Arrieta, ouvreur du BO ce jour-là. C'était déjà de la folie. On se côtoyait régulièrement avec les Bayonnais, j'avais des potes en face. »
La partie, au-delà d'offrir un billet pour le dernier carré du championnat, est peut-être la dernière de Serge Blanco. Le génie du rugby français tire ses derniers feux sous le maillot biarrot et a déjà annoncé que la saison 1992 serait son ultime campagne. Impossible dès lors, pour le BO, de terminer la légende de son arrière par un coup de rame avironnais. « On n'a pas joué tous les matches pour lui, il n'y avait pas le sentiment que c'était sa dernière, tempère Arrieta. Après inconsciemment c'est peut-être ça qui nous a fait gagner. »
« Avant un derby, tu passes une semaine assez étrange »
Titou Lamaison, jeune arrière bayonnais
« Serge, c'était l'idole, se remémore Titou Lamaison, tout jeune arrière bayonnais. Mais je n'y faisais pas trop attention sur le moment. » Après une mémorable guerre de conquête, sublimée par des avants au sommet (Condom, Ondarts, Gonzalez), la partie bascule finalement sur un drop de mammouth grenoblois, qu'il n'est pas encore, signé Franck Corrihons, ailier biarrot de 21 printemps. « C'était mon premier derby, raconte-t-il simplement. C'était du n'importe quoi (rire). Déjà qu'un derby classique déchaîne les passions... Aujourd'hui, je redescends souvent dans le Sud-Ouest, et je ne peux pas y retourner sans qu'on me parle de ce match et de ce drop. Ça a marqué les gens. »
Bayonnais en 1992, Patrice Lagisquet se souvient avoir regardé le ballon frappé par Corrihons à plus de 50 mètres passer entre les poteaux. Mais il se rappelle surtout des semaines qui sont suivies : « L'été d'après, je suis arrivé à Biarritz. Et pendant toutes mes années au BO, tous les six mois j'entendais parler de ce match. C'était leur grand plaisir de me rappeler ce quart de finale. Ce match nous avait tous marqué. »
Un contexte étouffant
Vingt-neuf ans après ce « derby des derbys », la passion n'a pas bougé, les habitudes non plus. Les joueurs vont encore au café pour entendre les histoires des grands anciens qui continuent de faire vivre la rivalité. « Avant un derby, tu passes une semaine assez étrange, les supporters sont de plus en plus nombreux aux entraînements, ça devient le sujet principal dans la ville à Biarritz comme à Bayonne, témoigne Lamaison, habitué des passages par « Chez Achille », ancien bar-poumon de l'Aviron. Il était bon pour chaque joueur d'y faire un tour pour prendre la température et accepter une forme de transmission. »
« Les joueurs savent que le match va impacter plus que leur propre vie, mais toute une population »
David Arrieta
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Top 14. Barrages. Arnaud Héguy : ''Bayonne-Biarritz reste LE derby au niveau national''
https://www.lerugbynistere.fr/news/barrage-arnaud-heguy-bayonne-biarritz-reste-le-derby-au-niveau-national-1006212253.php
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Barrage d'accession en Top 14 : les compositions de Biarritz et Bayonne pour ce derby
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/barrage-biarritz-bayonne-les-composition-pour-ce-derby-d-accession-1623420057
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
A vouloir trop faire monter la mayonnaise les médias veulent nous persuader que cette confrontation va au delà d'un simple match de rugby.
Où est le Rugby Basque, à voir la compo des deux équipes on a des doutes.
Bien sur les gens du pays ne sont pas indifférents mais là comme ailleurs c'est avant tout une minorité qui veut nous faire croire qu'il est question de vie ou de mort.
Après ce folklore passons enfin au jeu, l'un ou l'autre sera déçu.
Où est le Rugby Basque, à voir la compo des deux équipes on a des doutes.
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Top 14 : Barrage Biarritz-Bayonne : “Ce derby, les gens en parleront dans 20 ans”, pour Jean Monribot
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/aviron-bayonnais/barrage-d-accession-au-top-14-entre-biarritz-et-bayonne-ce-derby-les-gens-en-parleront-dans-20-ans-pour-jean-monribot-3715568.php
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/aviron-bayonnais/barrage-d-accession-au-top-14-entre-biarritz-et-bayonne-ce-derby-les-gens-en-parleront-dans-20-ans-pour-jean-monribot-3715568.php
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/aviron-bayonnais/rugby-les-cinq-clefs-du-derby-basque-3716208.php
Rugby : les cinq clefs du derby basque
Par Pierre Mailharin et Laurent Zègre
Une place dans l’élite à décrocher au bout d’un derby. L’affrontement entre le BO et l’Aviron a souvent été serré. Il l’est plus que jamais. Voici dans quels secteurs il pourrait basculer
1 La réussite au pied : avantage Bayonne
C’est sans doute le plus gros point faible du Biarritz Olympique. Les trois principaux buteurs sont en mal de réussite, avec une moyenne générale en dessous des 70 % (69). Sans la fulgurance de Gavin Stark sur le gong en demi-finale, le XV rouge et blanc aurait même été sorti par Vannes en raison de son déchet face aux perches (3 échecs, 7 points égarés). James Hart (75,5 %) et Gilles Bosch (67,4 %) remplaçants, c’est Ilian Perraux (71,7 %) qui aura la lourde charge de ne pas trembler lors de ses tentatives.
Gaëtan Germain a raté sa dernière pénalité, de 40 m sur la gauche, samedi dernier face au Stade Français (9-12). Elle aurait évité à l’Aviron ce dernier court déplacement. Mais comment lui en vouloir, tant sa réussite au pied a été exceptionnelle cette saison. L’arrière tourne à 89 % de réussite (87/98). Et derrière, ce n’est pas si mal car Maxime Lafage n’en a pas manqué une, même s’il a peu buté (14/14). La troisième option, Manuel Ordas, tourne à 76 % (16/21). Des stats intéressantes quand on sait que le derby tourne parfois sur une histoire de coup de pied (lire page suivante).
2 La bataille du sol : avantage Biarritz
Deux gratteurs dans le top 10 de la division, les clones Steffon Armitage (2e/42 contests gagnants) et Johnny Dyer (7e/25), escortés d’une armada de cueilleurs à gros bras (Peyresblanques, Olmstead….) : le BO a fait régner la terreur dans les regroupements en Pro D2. Il affiche le meilleur total cumulé (221) et s’appuie sur cette arme pour freiner ou contrecarrer les offensives adverses. La bataille tourne parfois à l’écœurement, comme en barrage pour Grenoble, laminé dans ce secteur.
Asier Usarraga et Arnaud Duputs : hors groupe. Yannick Bru a pris le pari de se passer de ses deux gratteurs de la 3e ligne, titulaires les dernières semaines. Culotté, quand on sait le niveau du BO dans les rucks. Jean Monribot sera principalement préposé à l’exercice. « On a accentué le travail là-dessus », reconnaissait-il jeudi. Le capitaine bayonnais a arraché dix ballons cette saison. C’est le meilleur total des 23 bleu et blanc alignés face au BO, à égalité avec Peyo Muscarditz. Deux autres pièces maîtresses dans le domaine ne seront pas là : Michael Ruru (12 ballons grattés, blessé) et le centre Yan Lestrade (13, choix).
3 La fraîcheur physique : avantage Bayonne
La Pro D2 est un marathon, dont la distance s’allonge en apercevant l’arrivée. Aux 30 journées de la saison régulière, sont venues s’ajouter trois rencontres couperets en phases finales. Le BO disputera donc ce samedi son 34e match, le 6e d’affilée sans coupure. Les organismes sont usés, la finale perdue contre Perpignan l’a montré. Mais le capitaine Steffon Armitage l’assure, ses partenaires trouveront les ressources : « On a eu quelques jours de repos, on est prêt. On sait que c’est le dernier match. C’est le moment de tout lâcher. »
Les Bayonnais sortent de 26 matches, 28 si l’on ajoute les deux de Challenge européen. Certains joueurs ont tiré sur la corde, à l’image du pilier droit Sam Nixon, ou du polyvalent trois-quarts Aymeric Luc (10 essais). Petit avantage néanmoins : l’ailier Joe Ravouvou (7 essais) revient après un mois de blessure. Il sera frais, tout comme le centre Malietoa Hingano, préféré à Yan Lestrade, ou l’ouvreur Maxime Lafage, tous deux rétablis.
4 L’aspect mental : avantage Biarritz
Les deux dernières finales d’accession (et les deux seules) ont été remportées par l’équipe de Pro D2 face à celle de Top 14. Le BO retrouve son public d’Aguilera, avec une jauge de 5 000 spectateurs en très grande partie acquise à sa cause. Et les quatre derniers derbies ont été remportés par le XV biarrot. Autant de facteurs qui confèrent un avantage psychologique aux hommes du duo Nicolas Nadau-Shaun Sowerby.
« Le derby est un truc de Basques », disait cette semaine un observateur chagrin. L’engouement suscité par ce 113e opus balaie l’argument. La querelle de voisinage est commentée dans tout l’Hexagone au vu de l’enjeu. Elle relègue même les barrages de Top 14 du week-end dans la hiérarchie des matches à regarder. L’aspect mental jouera donc à plein. Les locaux ou assimilés seront-ils transcendés ? A l’Aviron, Jean Monribot le pense. Ces produits AOC (Luc, Muscarditz, Rouet, puis Ordas, Zabalza et Costossèque) sont concernés côté bayonnais (contre Peyresblanques, Watremez et Lonca au BO). « Il aura plus de saveur car sa finalité sera cruelle ou magique, enfonce Muscarditz. On s’en rendra compte après, mais c’est exceptionnel à vivre. » Attention toutefois à ne pas être plus inhibés que les Biarrots, dont l’effectif est moins marqué par la rivalité. Et par l’enjeu, les Bayonnais ont tout à perdre, surtout leur place en Top 14.
5 Individualités versus collectif : match nul
Steffon Armitage devant, Francis Saili derrière : le BO possède dans ses rangs ce qui s’est fait de mieux en Pro D2 cette année. Le duo n’était pas seul, puisque c’est une constellation d’individualités potentiellement décisives qui compose cette équipe, avec le fracassant talonneur Lucas Peyresblanques, le deuxième ligne déménageur Johnny Dyer ou encore l’ailier finisseur Gavin Stark. Pour ne citer qu’eux.
Amosa vs Armitage. Muscarditz face à Saili. Les matches dans le match ne manquent pas. Le trois-quarts centre de l’Aviron le sait, mais refuse de le voir ainsi. « J’ai regardé jouer Saili, je m’en suis servi d’exemple aussi pendant l’année, dit-il. Mais je ne suis pas sûr que tout se jouera là-dessus. Notre équipe ne fonctionne que si, collectivement, tout va. On n’a pas une équipe avec des individualités qui sortent de l’ordinaire. » Le salut de l’Aviron passera par le groupe. « Si collectivement, ça va, c’est que le match ira bien. Si on délaisse cet esprit et tombe dans l’excès, ce sera plus difficile. »
« J’ai regardé jouer Saili, je m’en suis servi d’exemple » (Peyo Muscarditz)
Rugby : les cinq clefs du derby basque
Par Pierre Mailharin et Laurent Zègre
Une place dans l’élite à décrocher au bout d’un derby. L’affrontement entre le BO et l’Aviron a souvent été serré. Il l’est plus que jamais. Voici dans quels secteurs il pourrait basculer
1 La réussite au pied : avantage Bayonne
C’est sans doute le plus gros point faible du Biarritz Olympique. Les trois principaux buteurs sont en mal de réussite, avec une moyenne générale en dessous des 70 % (69). Sans la fulgurance de Gavin Stark sur le gong en demi-finale, le XV rouge et blanc aurait même été sorti par Vannes en raison de son déchet face aux perches (3 échecs, 7 points égarés). James Hart (75,5 %) et Gilles Bosch (67,4 %) remplaçants, c’est Ilian Perraux (71,7 %) qui aura la lourde charge de ne pas trembler lors de ses tentatives.
Gaëtan Germain a raté sa dernière pénalité, de 40 m sur la gauche, samedi dernier face au Stade Français (9-12). Elle aurait évité à l’Aviron ce dernier court déplacement. Mais comment lui en vouloir, tant sa réussite au pied a été exceptionnelle cette saison. L’arrière tourne à 89 % de réussite (87/98). Et derrière, ce n’est pas si mal car Maxime Lafage n’en a pas manqué une, même s’il a peu buté (14/14). La troisième option, Manuel Ordas, tourne à 76 % (16/21). Des stats intéressantes quand on sait que le derby tourne parfois sur une histoire de coup de pied (lire page suivante).
2 La bataille du sol : avantage Biarritz
Deux gratteurs dans le top 10 de la division, les clones Steffon Armitage (2e/42 contests gagnants) et Johnny Dyer (7e/25), escortés d’une armada de cueilleurs à gros bras (Peyresblanques, Olmstead….) : le BO a fait régner la terreur dans les regroupements en Pro D2. Il affiche le meilleur total cumulé (221) et s’appuie sur cette arme pour freiner ou contrecarrer les offensives adverses. La bataille tourne parfois à l’écœurement, comme en barrage pour Grenoble, laminé dans ce secteur.
Asier Usarraga et Arnaud Duputs : hors groupe. Yannick Bru a pris le pari de se passer de ses deux gratteurs de la 3e ligne, titulaires les dernières semaines. Culotté, quand on sait le niveau du BO dans les rucks. Jean Monribot sera principalement préposé à l’exercice. « On a accentué le travail là-dessus », reconnaissait-il jeudi. Le capitaine bayonnais a arraché dix ballons cette saison. C’est le meilleur total des 23 bleu et blanc alignés face au BO, à égalité avec Peyo Muscarditz. Deux autres pièces maîtresses dans le domaine ne seront pas là : Michael Ruru (12 ballons grattés, blessé) et le centre Yan Lestrade (13, choix).
3 La fraîcheur physique : avantage Bayonne
La Pro D2 est un marathon, dont la distance s’allonge en apercevant l’arrivée. Aux 30 journées de la saison régulière, sont venues s’ajouter trois rencontres couperets en phases finales. Le BO disputera donc ce samedi son 34e match, le 6e d’affilée sans coupure. Les organismes sont usés, la finale perdue contre Perpignan l’a montré. Mais le capitaine Steffon Armitage l’assure, ses partenaires trouveront les ressources : « On a eu quelques jours de repos, on est prêt. On sait que c’est le dernier match. C’est le moment de tout lâcher. »
Les Bayonnais sortent de 26 matches, 28 si l’on ajoute les deux de Challenge européen. Certains joueurs ont tiré sur la corde, à l’image du pilier droit Sam Nixon, ou du polyvalent trois-quarts Aymeric Luc (10 essais). Petit avantage néanmoins : l’ailier Joe Ravouvou (7 essais) revient après un mois de blessure. Il sera frais, tout comme le centre Malietoa Hingano, préféré à Yan Lestrade, ou l’ouvreur Maxime Lafage, tous deux rétablis.
4 L’aspect mental : avantage Biarritz
Les deux dernières finales d’accession (et les deux seules) ont été remportées par l’équipe de Pro D2 face à celle de Top 14. Le BO retrouve son public d’Aguilera, avec une jauge de 5 000 spectateurs en très grande partie acquise à sa cause. Et les quatre derniers derbies ont été remportés par le XV biarrot. Autant de facteurs qui confèrent un avantage psychologique aux hommes du duo Nicolas Nadau-Shaun Sowerby.
« Le derby est un truc de Basques », disait cette semaine un observateur chagrin. L’engouement suscité par ce 113e opus balaie l’argument. La querelle de voisinage est commentée dans tout l’Hexagone au vu de l’enjeu. Elle relègue même les barrages de Top 14 du week-end dans la hiérarchie des matches à regarder. L’aspect mental jouera donc à plein. Les locaux ou assimilés seront-ils transcendés ? A l’Aviron, Jean Monribot le pense. Ces produits AOC (Luc, Muscarditz, Rouet, puis Ordas, Zabalza et Costossèque) sont concernés côté bayonnais (contre Peyresblanques, Watremez et Lonca au BO). « Il aura plus de saveur car sa finalité sera cruelle ou magique, enfonce Muscarditz. On s’en rendra compte après, mais c’est exceptionnel à vivre. » Attention toutefois à ne pas être plus inhibés que les Biarrots, dont l’effectif est moins marqué par la rivalité. Et par l’enjeu, les Bayonnais ont tout à perdre, surtout leur place en Top 14.
5 Individualités versus collectif : match nul
Steffon Armitage devant, Francis Saili derrière : le BO possède dans ses rangs ce qui s’est fait de mieux en Pro D2 cette année. Le duo n’était pas seul, puisque c’est une constellation d’individualités potentiellement décisives qui compose cette équipe, avec le fracassant talonneur Lucas Peyresblanques, le deuxième ligne déménageur Johnny Dyer ou encore l’ailier finisseur Gavin Stark. Pour ne citer qu’eux.
Amosa vs Armitage. Muscarditz face à Saili. Les matches dans le match ne manquent pas. Le trois-quarts centre de l’Aviron le sait, mais refuse de le voir ainsi. « J’ai regardé jouer Saili, je m’en suis servi d’exemple aussi pendant l’année, dit-il. Mais je ne suis pas sûr que tout se jouera là-dessus. Notre équipe ne fonctionne que si, collectivement, tout va. On n’a pas une équipe avec des individualités qui sortent de l’ordinaire. » Le salut de l’Aviron passera par le groupe. « Si collectivement, ça va, c’est que le match ira bien. Si on délaisse cet esprit et tombe dans l’excès, ce sera plus difficile. »
« J’ai regardé jouer Saili, je m’en suis servi d’exemple » (Peyo Muscarditz)
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
léopold a écrit:A vouloir trop faire monter la mayonnaise les médias veulent nous persuader que cette confrontation va au delà d'un simple match de rugby.
Où est le Rugby Basque, à voir la compo des deux équipes on a des doutes.
Bien sur les gens du pays ne sont pas indifférents mais là comme ailleurs c'est avant tout une minorité qui veut nous faire croire qu'il est question de vie ou de mort.
Après ce folklore passons enfin au jeu, l'un ou l'autre sera déçu.
Elle est collector celle là.
Est ce valable pour tout les clubs ?
that is the question !
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
tire-bouchon a écrit:léopold a écrit:A vouloir trop faire monter la mayonnaise les médias veulent nous persuader que cette confrontation va au delà d'un simple match de rugby.
Où est le Rugby Basque, à voir la compo des deux équipes on a des doutes.
Bien sur les gens du pays ne sont pas indifférents mais là comme ailleurs c'est avant tout une minorité qui veut nous faire croire qu'il est question de vie ou de mort.
Après ce folklore passons enfin au jeu, l'un ou l'autre sera déçu.
Elle est collector celle là.
Est ce valable pour tout les clubs ?
that is the question !
C'est valable partout ! Je ne sais pas si tu interprètes correctement la remarque de Léopold ?
La notion de derby n'a plus la même saveur depuis que le rugby est devenu professionnel, il revêtait toute sa signification à l'époque du rugby de clocher (en ce qui concerne le rugby pro).
Les gens du pays n'ont plus un fils, un frère ou un cousin, un voisin, dans leur équipe, enfin plus comme avant. Les équipes sont constituées pour une grande partie d'étrangers qui vont d'un club à l'autre et ne s'ancrent pas dans le terroir. Sauf à Bordeaux peut-être où pas mal de joueurs sont restés
Et donc la minorité qui fait du battage c'est toute la clique des journalistes de presse ou de télévision, par intérêt financier !
Et ne nous leurrons pas, en même temps, donnons des jeux au peuple pour qu'il s'occupe l'esprit !
Panem et circenses
LaRuine33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
sans oublier le pain (ou la bière).
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Disons qu'entre les derby d'il y a 50 ans où 80% de l'équipe était native du village, et les derby d'aujourd'hui où un tiers des joueurs n'est même pas français et les deux autres tiers sont d'ailleurs en France et ne sont que de passage pour 2, 3 ou 4 ans, oui il y a moins d'enjeux et de rivalité. Ce n'est plus le rugby de clocher. Même chez les amateurs, je le constate.
On aime à surfer sur cet aspect "derby" mais c'est de moins en moins réel. Il n'y a guère plus qu'en tribune que subsiste un vrai esprit derby
On aime à surfer sur cet aspect "derby" mais c'est de moins en moins réel. Il n'y a guère plus qu'en tribune que subsiste un vrai esprit derby
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Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Bon, ben pour l’instant, les deux équipes méritent la D2
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Pour le moment Bayonne ne mérite pas de rester en Top14, conquête très faible, un peu mieux en mêlée, un Germain qui a 100 ans,comment ose t'il une relance,un jeu de ligne minable avec un ailier fidjien qui se fait reprendre à la course.
Si ils tiennent devant le BO a des chances.
Tribune bien pleine pour 5000 personnes, aucun geste barrière, les uns contre les autres sans masque.
Le public des 2 cotés pourrait faire un stage de correction à Vannes,sifflets honteux.
Enfin un commentateur surexité qui se croit à Rio,et qui en croque pour l'AB, attitude minable d'un autre temps.
Ruiz, heureusement qu'il y a une vidéo, les fautes devant lui il ne les voit pas, vivement qu'il change de métier.
Si ils tiennent devant le BO a des chances.
Tribune bien pleine pour 5000 personnes, aucun geste barrière, les uns contre les autres sans masque.
Le public des 2 cotés pourrait faire un stage de correction à Vannes,sifflets honteux.
Enfin un commentateur surexité qui se croit à Rio,et qui en croque pour l'AB, attitude minable d'un autre temps.
Ruiz, heureusement qu'il y a une vidéo, les fautes devant lui il ne les voit pas, vivement qu'il change de métier.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Roberto Miopalmo a écrit:Bon, ben pour l’instant, les deux équipes méritent la D2
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Re: Barrage Biarritz-Bayonne
Ouais, match haché, beaucoup de fautes techniques, de maladresses, bon il fait 36° sur le pré, ça use et ça ramollit ...
En tous cas, certainement pas un match dont on se souviendra dans 20 ans !
En tous cas, certainement pas un match dont on se souviendra dans 20 ans !
LaRuine33- J'aime l'Union à la folie
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