Aménagement de Chaban-Delmas, stade de l'UBB

patrick a écrit:

biscouette a écrit:Avec des lobbies derrière nombreux projets de rénovation (et uniformisation).

Bon sinon, mon amusement en forme de langue de bois (plus haut) c’était juste pour surenchérir à la suite de Sudiste sans réel lien aux circonstances je l’avoue   mais cependant ça correspond bien au langage institutionnel.

Alors en tant qu’usager de l’espace sportif attenant au stade Chaban, usager certes occasionnel mais néanmoins suffisamment dans le sport et la santé pour avoir un avis, je trouverais bienvenu de faire une piste en tartan !

Tu ne proposerais tout de même pas d’artificialiser des sols

Haha, juste de remplacer la piste actuelle qui est en dur…

Bon, l’athlé c’est pas une priorité, hein… D’ailleurs on le constatera au vu des résultats… Mais on peut penser aussi en termes d'activités physiques de tous.

patrick a écrit:

le radis a écrit:Il n’existe aucune grosse ville en France qui n’ait pas été « embellie » . Aucune . Je mets  l’adjectif « embellie »  pour que cela soit compréhensible. Parce qu’on pourrait y dire beaucoup beaucoup de choses fortement négatives .
Donc le fameux couplet de la belle endormie qui s’est réveillée grâce à la venue d’un édile empli d’une vision ... Toutes les grosses villes de quelques obédiences ont subi ce « lifting » . Et la régression fondamentale qui va avec .

C'est assez vrai même si on peut trouver des exceptions. Je ne connais pas toutes les villes de France mais je ne trouve pas que Grenoble ait beaucoup changé

Moi qui vais bon an mal an 2 fois par an sur la presqu'île de Grenoble pour faire des mesures ou discuter avec les gens, au moins cette partie-là de Grenoble a ÉNORMÉMENT changé sur les 20 dernières années. J'aurais tendance à dire au moins autant que Bordeaux sur la zone du campus voire plus. Vu que ça draine une grosse partie de la main-d'oeuvre intellectuelle de la ville, impossible que ça n'ait pas eu des conséquences profondes sur l'ensemble du fonctionnement des infrastructures.

sudiste a écrit:Je ne sais si nous restons dans le thème mais le début de la fin de cette métropole a été cette volonté commune aux politiques de tous bords (petits barons locaux en leur "fief" ) d'en faire une agglomération millionaire. Entasser les habitants (dans quel but?) c'était inévitablement grignoter les espaces verts, étendre les banlieues et augmenter la congestion générale(combien de  nouvelles voies crées au regard des besoins nouveaux ?). Au final les déplacements sont devenus un enfer (et qu'on arrête de me gonfler avec le vélo quand tu dois faire 20/30 kms par jour en plusieurs déplacements sous la pluie ou le cagnard ) la gestion des déchets un échec, la sécurité un problème grandissant. Nos dirigeants qui se déplacent de capitales en capitales ne jurent que par la "métropolisation" mais Paris ne sera jamais New York ni Bordeaux , Los Angeles. Cette vision d'entassement d'êtres dont on sait que leur instinct grégaire dégénère à partir d'un e notion d'espace vital est une hérésie à l'heure de la désertification des campagnes dans lesquelles dépérit un habitat disponible alors qu'il manque soit disant de logements (qui ne seront jamais que des cages à poules vite fait mal fait).
J'étouffe dans cette ville où je ne me sens plus en phase avec ses nouveaux habitants tendance vélo-cargo-végi-moralisateurs dont la culture du lien ville-campagne est totalement inexistante. J'étouffe à avoir envie chaque jour un peu plus de la fuir en y gardant le souvenir d'une jeune heureuse et festive aux antipodes du marronnier journalistique qui n'en voyait que la surface.

Hm, c'est ce qu'on appelle les lois de la physique. Il est plus économique énergétiquement, sans aucune contestation possible, d'avoir une grande métropole qu'un habitat peu dense. Si tout le monde vit à la campagne, c'est juste pas possible. Tout le monde avec son pavillon avec jardin et surtout la connerie récurrente ici (la piscine) itou. C'est aussi simple que ça. Mais ça dépasse de très loin le cadre du forum.

krahknardz a écrit:

patrick a écrit:

le radis a écrit:Il n’existe aucune grosse ville en France qui n’ait pas été « embellie » . Aucune . Je mets  l’adjectif « embellie »  pour que cela soit compréhensible. Parce qu’on pourrait y dire beaucoup beaucoup de choses fortement négatives .
Donc le fameux couplet de la belle endormie qui s’est réveillée grâce à la venue d’un édile empli d’une vision ... Toutes les grosses villes de quelques obédiences ont subi ce « lifting » . Et la régression fondamentale qui va avec .

C'est assez vrai même si on peut trouver des exceptions. Je ne connais pas toutes les villes de France mais je ne trouve pas que Grenoble ait beaucoup changé

Moi qui vais bon an mal an 2 fois par an sur la presqu'île de Grenoble pour faire des mesures ou discuter avec les gens, au moins cette partie-là de Grenoble a ÉNORMÉMENT changé sur les 20 dernières années. J'aurais tendance à dire au moins autant que Bordeaux sur la zone du campus voire plus. Vu que ça draine une grosse partie de la main-d'oeuvre intellectuelle de la ville, impossible que ça n'ait pas eu des conséquences profondes sur l'ensemble du fonctionnement des infrastructures.

Ce qui me semble avoir changé à Grenoble c'est en effet le quartier derrière la gare autour du CEA. Ca ressemble d'ailleurs un peu à Belcier Le reste de la ville est toujours assez triste. Est ce seulement parce que très enclavé il est irrespirable en été et donc que beaucoup ne souhaitent pas y vivre et/ou les autorités ont elles leur part de responsabilité ?

Pour en revenir à l'Arlésienne de Chaban, où en sont (notamment) les projets de salles de réception / restauration et de véritable Bodéga ?

Des travaux sont en cours sur le parvis devant le virage nord

zizou46 a écrit:Des travaux sont en cours sur le parvis devant le virage nord

Il me semble que c'est pour changer la pelouse.

C'est pas pour faire la fête alors
Il me semblait en effet que s'il y avait un projet d’emménagement et de Bodéga, c'était plutôt du côté Sud que ça devait avoir lieu.

krahknardz a écrit:

sudiste a écrit:Je ne sais si nous restons dans le thème mais le début de la fin de cette métropole a été cette volonté commune aux politiques de tous bords (petits barons locaux en leur "fief" ) d'en faire une agglomération millionaire. Entasser les habitants (dans quel but?) c'était inévitablement grignoter les espaces verts, étendre les banlieues et augmenter la congestion générale(combien de  nouvelles voies crées au regard des besoins nouveaux ?). Au final les déplacements sont devenus un enfer (et qu'on arrête de me gonfler avec le vélo quand tu dois faire 20/30 kms par jour en plusieurs déplacements sous la pluie ou le cagnard ) la gestion des déchets un échec, la sécurité un problème grandissant. Nos dirigeants qui se déplacent de capitales en capitales ne jurent que par la "métropolisation" mais Paris ne sera jamais New York ni Bordeaux , Los Angeles. Cette vision d'entassement d'êtres dont on sait que leur instinct grégaire dégénère à partir d'un e notion d'espace vital est une hérésie à l'heure de la désertification des campagnes dans lesquelles dépérit un habitat disponible alors qu'il manque soit disant de logements (qui ne seront jamais que des cages à poules vite fait mal fait).
J'étouffe dans cette ville où je ne me sens plus en phase avec ses nouveaux habitants tendance vélo-cargo-végi-moralisateurs dont la culture du lien ville-campagne est totalement inexistante. J'étouffe à avoir envie chaque jour un peu plus de la fuir en y gardant le souvenir d'une jeune heureuse et festive aux antipodes du marronnier journalistique qui n'en voyait que la surface.

Hm, c'est ce qu'on appelle les lois de la physique. Il est plus économique énergétiquement, sans aucune contestation possible, d'avoir une grande métropole qu'un habitat peu dense. Si tout le monde vit à la campagne, c'est juste pas possible. Tout le monde avec son pavillon avec jardin et surtout la connerie récurrente ici (la piscine) itou. C'est aussi simple que ça. Mais ça dépasse de très loin le cadre du forum.

Alors Krahk la première chose c'est que je refuse d'être dirigé (uniquement) par les lois de la physique et par des prévisions apocalyptiques dont les solutions à très court terme sont de toutes les façons illusoires.
La question n'est pas d'envoyer "tout le monde à la campagne" (la rééducation maoïste par les travaux agricoles a vécue) mais de stopper la folle concentration de plus de 80 % de la population dans les aires urbaines avec pour résultat que 60% de la population vit sur 8% du territoire !!! Le modèle pavillon avec jardin et piscine est le modèle typique des aires périurbaines devenues des banlieues dortoirs et la cause de l'étalement urbain. A contrario dans nombre de villages et de villes moyennes tout un patrimoine immobilier est en train de dépérir pour ne pas dire de tomber en ruine avec l'aberration économique qu'il est moins onéreux de construire (sur des terres "vierges") que de rénover cet existant. Le seul effet positif de la crise Covid aura été d'ouvrir de nouvelles envies de reconquérir des villes moyennes et des espaces ruraux. La problématique est qu'en une génération les urbains ses sont ,pour la plupart, coupés de leurs racines rurales (pour ceux qui en avaient) et ont beaucoup de mal à s'adapter à leur nouvel environnement y important souvent un discours moralisateurs issu de leur idéalisation de la vie rurale. En ce sens les écolos politiques très majoritairement citadins ont participé à cette division au lieu de tenter de retisser ce lien. Quant à ceux qui prônent l'empilement dans des grands ensembles (où les habitants trouveront à se rafraichir sous des ombrières en aluminium ) où vivent-ils eux mêmes ?
Bref si le bonheur est bien dans le Gers n'est-ce pas en grande partie parce que seul 36% de sa population se retrouve dans une aire urbaine contre plus de 86 % en Gironde ?
Faut bien s'occuper mais putain que c'est long une vie sans rugby ....

sudiste a écrit:

krahknardz a écrit:

sudiste a écrit:Je ne sais si nous restons dans le thème mais le début de la fin de cette métropole a été cette volonté commune aux politiques de tous bords (petits barons locaux en leur "fief" ) d'en faire une agglomération millionaire. Entasser les habitants (dans quel but?) c'était inévitablement grignoter les espaces verts, étendre les banlieues et augmenter la congestion générale(combien de  nouvelles voies crées au regard des besoins nouveaux ?). Au final les déplacements sont devenus un enfer (et qu'on arrête de me gonfler avec le vélo quand tu dois faire 20/30 kms par jour en plusieurs déplacements sous la pluie ou le cagnard ) la gestion des déchets un échec, la sécurité un problème grandissant. Nos dirigeants qui se déplacent de capitales en capitales ne jurent que par la "métropolisation" mais Paris ne sera jamais New York ni Bordeaux , Los Angeles. Cette vision d'entassement d'êtres dont on sait que leur instinct grégaire dégénère à partir d'un e notion d'espace vital est une hérésie à l'heure de la désertification des campagnes dans lesquelles dépérit un habitat disponible alors qu'il manque soit disant de logements (qui ne seront jamais que des cages à poules vite fait mal fait).
J'étouffe dans cette ville où je ne me sens plus en phase avec ses nouveaux habitants tendance vélo-cargo-végi-moralisateurs dont la culture du lien ville-campagne est totalement inexistante. J'étouffe à avoir envie chaque jour un peu plus de la fuir en y gardant le souvenir d'une jeune heureuse et festive aux antipodes du marronnier journalistique qui n'en voyait que la surface.

Hm, c'est ce qu'on appelle les lois de la physique. Il est plus économique énergétiquement, sans aucune contestation possible, d'avoir une grande métropole qu'un habitat peu dense. Si tout le monde vit à la campagne, c'est juste pas possible. Tout le monde avec son pavillon avec jardin et surtout la connerie récurrente ici (la piscine) itou. C'est aussi simple que ça. Mais ça dépasse de très loin le cadre du forum.

Alors Krahk la première chose c'est que je refuse d'être dirigé (uniquement) par les lois de la physique et par des prévisions apocalyptiques dont les solutions à très court terme sont de toutes les façons illusoires.
La question n'est pas d'envoyer "tout le monde à la campagne" (la rééducation maoïste par les travaux agricoles a vécue) mais de stopper la folle concentration de plus de 80 % de la population dans les aires urbaines avec pour résultat que 60% de la population vit sur 8% du territoire !!! Le modèle pavillon avec jardin et piscine est le modèle typique des aires périurbaines devenues des banlieues dortoirs et la cause de l'étalement urbain. A contrario dans nombre de villages et de villes moyennes tout un patrimoine immobilier est en train de dépérir pour ne pas dire de tomber en ruine avec l'aberration économique qu'il est moins onéreux de construire (sur des terres "vierges") que de rénover cet existant. Le seul effet positif de la crise Covid aura été d'ouvrir de nouvelles envies de reconquérir des villes moyennes et des espaces ruraux. La problématique est qu'en une génération les urbains ses sont ,pour la plupart, coupés de leurs racines rurales (pour ceux qui en avaient) et ont beaucoup de mal à s'adapter à leur nouvel environnement y important souvent un discours moralisateurs issu de leur idéalisation de la vie rurale. En ce sens les écolos politiques très majoritairement citadins ont participé à cette division au lieu de tenter de retisser ce lien. Quant à ceux qui prônent l'empilement dans des grands ensembles (où les habitants trouveront à se rafraichir sous des ombrières en aluminium ) où vivent-ils eux mêmes ?
Bref si le bonheur est bien dans le Gers n'est-ce pas en grande partie parce que seul 36% de sa population se retrouve dans une aire urbaine contre plus de 86 % en Gironde ?
Faut bien s'occuper mais putain que c'est long une vie sans rugby ....

Sujet passionnant. Et oui il y a un entre deux entre la métropole millionnaire et le village de 300 âmes. Toutes ces villes de 5 000, 10 000, 20 000 habitants. Ce sont ces villes, poumons de territoires ruraux qui ont été abandonnées pendant 60 ans. Et une bonne logique d’aménagement du territoire consisterait à les re dynamiser elles, ce qui permettrait de remettre aussi de la vie dans les campagnes alentours.

sudiste a écrit:
Alors Krahk la première chose c'est que je refuse d'être dirigé (uniquement) par les lois de la physique et par des prévisions apocalyptiques dont les solutions à très court terme sont de toutes les façons illusoires.

hm, moi de la même manière je refuserais bien de mourir, mais bizarrement ça ne marche pas. La physique c'est pareil, il n'y a que les économistes et les hommes politiques qui croient qu'ils peuvent aller contre les lois de la physique et de la chimie...

Roberto Miopalmo a écrit:

sudiste a écrit:

krahknardz a écrit:

sudiste a écrit:Je ne sais si nous restons dans le thème mais le début de la fin de cette métropole a été cette volonté commune aux politiques de tous bords (petits barons locaux en leur "fief" ) d'en faire une agglomération millionaire. Entasser les habitants (dans quel but?) c'était inévitablement grignoter les espaces verts, étendre les banlieues et augmenter la congestion générale(combien de  nouvelles voies crées au regard des besoins nouveaux ?). Au final les déplacements sont devenus un enfer (et qu'on arrête de me gonfler avec le vélo quand tu dois faire 20/30 kms par jour en plusieurs déplacements sous la pluie ou le cagnard ) la gestion des déchets un échec, la sécurité un problème grandissant. Nos dirigeants qui se déplacent de capitales en capitales ne jurent que par la "métropolisation" mais Paris ne sera jamais New York ni Bordeaux , Los Angeles. Cette vision d'entassement d'êtres dont on sait que leur instinct grégaire dégénère à partir d'un e notion d'espace vital est une hérésie à l'heure de la désertification des campagnes dans lesquelles dépérit un habitat disponible alors qu'il manque soit disant de logements (qui ne seront jamais que des cages à poules vite fait mal fait).
J'étouffe dans cette ville où je ne me sens plus en phase avec ses nouveaux habitants tendance vélo-cargo-végi-moralisateurs dont la culture du lien ville-campagne est totalement inexistante. J'étouffe à avoir envie chaque jour un peu plus de la fuir en y gardant le souvenir d'une jeune heureuse et festive aux antipodes du marronnier journalistique qui n'en voyait que la surface.

Hm, c'est ce qu'on appelle les lois de la physique. Il est plus économique énergétiquement, sans aucune contestation possible, d'avoir une grande métropole qu'un habitat peu dense. Si tout le monde vit à la campagne, c'est juste pas possible. Tout le monde avec son pavillon avec jardin et surtout la connerie récurrente ici (la piscine) itou. C'est aussi simple que ça. Mais ça dépasse de très loin le cadre du forum.

Alors Krahk la première chose c'est que je refuse d'être dirigé (uniquement) par les lois de la physique et par des prévisions apocalyptiques dont les solutions à très court terme sont de toutes les façons illusoires.
La question n'est pas d'envoyer "tout le monde à la campagne" (la rééducation maoïste par les travaux agricoles a vécue) mais de stopper la folle concentration de plus de 80 % de la population dans les aires urbaines avec pour résultat que 60% de la population vit sur 8% du territoire !!! Le modèle pavillon avec jardin et piscine est le modèle typique des aires périurbaines devenues des banlieues dortoirs et la cause de l'étalement urbain. A contrario dans nombre de villages et de villes moyennes tout un patrimoine immobilier est en train de dépérir pour ne pas dire de tomber en ruine avec l'aberration économique qu'il est moins onéreux de construire (sur des terres "vierges") que de rénover cet existant. Le seul effet positif de la crise Covid aura été d'ouvrir de nouvelles envies de reconquérir des villes moyennes et des espaces ruraux. La problématique est qu'en une génération les urbains ses sont ,pour la plupart, coupés de leurs racines rurales (pour ceux qui en avaient) et ont beaucoup de mal à s'adapter à leur nouvel environnement y important souvent un discours moralisateurs issu de leur idéalisation de la vie rurale. En ce sens les écolos politiques très majoritairement citadins ont participé à cette division au lieu de tenter de retisser ce lien. Quant à ceux qui prônent l'empilement dans des grands ensembles (où les habitants trouveront à se rafraichir sous des ombrières en aluminium ) où vivent-ils eux mêmes ?
Bref si le bonheur est bien dans le Gers n'est-ce pas en grande partie parce que seul 36% de sa population se retrouve dans une aire urbaine contre plus de 86 % en Gironde ?
Faut bien s'occuper mais putain que c'est long une vie sans rugby ....

Sujet passionnant. Et oui il y a un entre deux entre la métropole millionnaire et le village de 300 âmes. Toutes ces villes de 5 000, 10 000, 20 000 habitants. Ce sont ces villes, poumons de territoires ruraux qui ont été abandonnées pendant 60 ans. Et une bonne logique d’aménagement du territoire consisterait à les re dynamiser elles, ce qui permettrait de remettre aussi de la vie dans les campagnes alentours.

Redynamiser des villes de 5000, 10000 habitants? Celles qui n'ont pas la taille critique pour avoir un hôpital et une maternité dignes de ce nom? Pour quoi faire exactement?
L'avantage de l'urbanisation, au-delà de la vision de la banlieue pavillonnaire qui n'a pas grand chose à voir avec le concept (à part de le dévoyer), est d'offrir une densité bien supérieure de services publics indispensables à des coûts pour la collectivité franchement inférieurs. C'est pour ça, et pas pour une quelconque volonté politique imaginée, que les petites villes dépérissent partout (et ça dépasse TRÈS LARGEMENT le cadre français): elles n'ont tout simplement pas cette masse critique.

Quant au rôle des écolos là-dedans, bizarrement tout le monde leur tape dessus, mais ils étaient bien les seuls à dire il y a 50 ans qu'on allait dans le mur. Le mur est à 2cm de notre nez, mais on préfère taper sur le thermomètre que d'appuyer sur le frein...

Krahk j'ai envie de te répondre mais nous risquons d'être en total désaccord notamment sur les écolos politiques qui pour moi sont des escrocs finis notamment sur le plan scientifique.
Bref restons sur ce qui nous rassemble et il n'y a rien de mieux pour cela que le rugby !

D'accord totalement avec toi, Sudiste.