Derniers sujets
» UBB: Prolongations signatures Départs Saison 2025/2026par Kerquillas Hier à 23:09
» Adam Coleman
par Bordelais exilé ds le 31 Hier à 22:46
» 5ᵉ journée : UBB / Bayonne
par Scalp Hier à 20:44
» Matthieu Jalibert
par Scalp Hier à 20:36
» 6ᵉ journée : UBB / Perpignan
par Scalp Hier à 20:33
» Bourse des places des matchs de l'UBB
par krahknardz Hier à 19:44
» Que deviennent nos anciens joueurs ?
par Scalp Hier à 17:34
» Top14 : autres matchs
par Scalp Hier à 17:23
» Musique !!!
par Scalp Hier à 17:07
» Ligue pronostic top 14 [All rugby]
par Big'Ben Hier à 10:53
» Fédération Française de Rugby
par Scalp Hier à 9:27
» Demandes de billets et déplacements saison 24/25
par krahknardz Hier à 1:54
» Top Rugby sur TV7
par le radis Dim 6 Oct 2024 - 19:07
» Les Lionnes 2024-2025
par marchal Dim 6 Oct 2024 - 17:30
» Transferts (Autres clubs)
par Scalp Dim 6 Oct 2024 - 17:30
» Mateo GARCIA
par Scalp Dim 6 Oct 2024 - 16:14
» XV de France (partie en cours)
par Lawrence the Hammer Dim 6 Oct 2024 - 16:10
» Jonny Gray
par Dr. Gregory Bouse Dim 6 Oct 2024 - 14:44
» Autres joueurs
par Scalp Sam 5 Oct 2024 - 20:37
» Président, Président, Président ... Président, Président, Président
par Yatangaki Sam 5 Oct 2024 - 20:37
» Mahamadou Diaby
par Scalp Sam 5 Oct 2024 - 14:51
» Podcast de l'UBB : En Bord Terrain
par Scalp Ven 4 Oct 2024 - 20:55
» 4ᵉ journée : Stade Toulousain / UBB
par Scalp Ven 4 Oct 2024 - 19:05
» Louis Bielle-Biarrey
par Scalp Ven 4 Oct 2024 - 18:31
» Romain Gardrat
par Scalp Ven 4 Oct 2024 - 17:27
» Autres Clubs
par Scalp Ven 4 Oct 2024 - 17:19
» WXV Féminin
par Scalp Ven 4 Oct 2024 - 16:29
» C'est beau, c'est Bordeaux !
par densnewzealand Ven 4 Oct 2024 - 10:32
» Lachlan Swinton
par Scalp Jeu 3 Oct 2024 - 23:04
» Nans Ducuing
par marchal Jeu 3 Oct 2024 - 19:11
La reinette dans SO
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté tribune ... des sélectionneurs
Page 1 sur 1
La reinette dans SO
http://www.sudouest.fr/2010/06/29/de-la-sueur-et-de-l-efficacite-127864-4565.php
Par nicolas le gardien
« De la sueur et de l'efficacité »
L'ancien talonneur Laurent Armand a endossé le costume d'entraîneurs des avants. Impressions.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Laurent Armand, la semaine dernière à Cenon. PHOTO Laurent theillet
Son dernier match dans les lieux datait de septembre 2007. Victime d'une rupture des ligaments du genou, Laurent Armand mettait alors fin à dix ans de carrière au haut niveau (Stade Bordelais, Bègles, Montpellier, Union). Moins de trois ans et une première expérience de coach au RC Bassind'Arcachon (Fédérale 3) plus tard, l'ancien talonneur, 40 ans, a fait son retour au Stade André-Moga début juin dans la peau d'entraîneur des avants. Surtout observateur des séances physiques pour l'instant, mais déjà au travail sur les lancers en touche avec Frédéric Montagnat et Boris Bethery.
Vous avez ressenti du stress au moment de reprendre ?
Non, pas particulièrement. L'avantage de la formule que l'on a choisie _ trois semaines de préparation physique avant de reprendre avec le ballon à la mi-juillet _ est que ça permet de prendre tranquillement ses marques. Je fais connaissance avec les garçons, je les regarde en course, je fais attention à leur attitude. Ca se met en place en douceur.
Vous auriez envie de courir avec eux ?
Non, ça ne me démange plus du tout. J'ai tourné la page même si, comme tous les anciens joueurs, quand on arrive au jeu, ça donne quelques fourmis dans les jambes.
Entraîneur, c'était une suite logique pour vous ?
Oui, j'en avais le souhait. Lorsque j'étais à Montpellier, j'intervenais déjà auprès du pôle espoirs de Béziers, j'ai aussi encadré deux ou trois ans les cadets du Stade Bordelais, j'ai obtenu mon brevet d'État avant la fin de ma carrière de joueur. Après, le RCBA et maintenant l'Union ont été des opportunités : il n'y avait rien de prémédité.
Que vous ont apporté ces deux saisons en Fédérale 3 ?
J'ai découvert le rugby amateur dans son terme le plus noble : les repas du vendredi soir, l'affectif qui est la base de tout. Le club, c'est la famille, la deuxième maison. Même si aujourd'hui avec les mouvements, les joueurs professionnels n'ont plus d'identification aussi forte, c'est indispensable : en rugby, on a besoin les uns des autres.
Le saut jusqu'à la Pro D2 vous inquiète ?
Non pas forcément : je connais ce niveau, j'ai été pro pendant 10 ans, j'ai l'avantage d'avoir déjà fréquenté la maison, de prendre la suite de Fredo Garcia avec qui j'ai travaillé. Maintenant, bien sûr qu'il faudra que je sache adapter mes séances au besoin des joueurs, du club.
Quelle est votre philosophie d'entraîneur ?
De la sueur, de la sueur ! (Il sourit) Plus généralement, être efficace : donner un sens à tout ce que l'on fait, ne pas agir pour faire plaisir mais pour gagner.
Et que vous a demandé Marc Delpoux ?
Une bonne mêlée ! Et la touche aussi. Cela restera toujours le socle de ce sport.
Sur le papier, le pack paraît armé…
On a en tout cas essayé de faire un recrutement pour franchir un palier sachant que toutes les équipes se sont armées. Personnellement, j'ai regardé des vidéos, donné mon avis sur certains joueurs. Et globalement, je vois que le niveau s'est élevé partout en deux ans.
L'internationalisation de l'effectif peut-il être un frein pour faire prendre la mayonnaise ?
Non, je ne pense pas. Aujourd'hui, tous les joueurs sont habitués à bouger. On n'est jamais à l'abri de la déprime ou d'un problème d'adaptation de l'un d'entre eux, mais sur ce que j'ai vu, je ne suis pas inquiet.
Le club a-t-il changé depuis votre départ ?
Oui, il suffit de regarder (il montre la Bodega partenaires construites il y a un an, NDLR). Peut-être que cela ne saute pas aux yeux du spectateur, mais de l'intérieur, on mesure les évolutions. Déjà, lors de la première année de l'Union, nous étions arrivés à la fin du mois de juin sans président, sans recrue.. Aujourd'hui, au 14 juin, nous reprenions l'entraînement, le recrutement était clos depuis un mois. La première année de l'Union, également, il y avait beaucoup de joueurs pluri-actifs. Aujourd'hui, presque tous sont professionnels, il y a trois entraîneurs pour le rugby, deux préparateurs physiques.. Une fusion n'est jamais facile à mener et le club avance pas à pas.
Quel est l'objectif sportif ?
Franchir un nouveau cap pour continuer à faire évoluer le rugby à Bordeaux. Le club en a passé un l'an dernier en passant la barre des 70 points. Il faut faire encore mieux pour tenter d'accrocher une place de demi-finaliste. La locomotive d'un club, c'est le sportif.
Pro D2 · Sports · rugby · Arcachon · Gironde · Fédérale 3
Bel interview. Reste plus qu'à être au point sur les mots clefs
Par nicolas le gardien
« De la sueur et de l'efficacité »
L'ancien talonneur Laurent Armand a endossé le costume d'entraîneurs des avants. Impressions.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Laurent Armand, la semaine dernière à Cenon. PHOTO Laurent theillet
Son dernier match dans les lieux datait de septembre 2007. Victime d'une rupture des ligaments du genou, Laurent Armand mettait alors fin à dix ans de carrière au haut niveau (Stade Bordelais, Bègles, Montpellier, Union). Moins de trois ans et une première expérience de coach au RC Bassind'Arcachon (Fédérale 3) plus tard, l'ancien talonneur, 40 ans, a fait son retour au Stade André-Moga début juin dans la peau d'entraîneur des avants. Surtout observateur des séances physiques pour l'instant, mais déjà au travail sur les lancers en touche avec Frédéric Montagnat et Boris Bethery.
Vous avez ressenti du stress au moment de reprendre ?
Non, pas particulièrement. L'avantage de la formule que l'on a choisie _ trois semaines de préparation physique avant de reprendre avec le ballon à la mi-juillet _ est que ça permet de prendre tranquillement ses marques. Je fais connaissance avec les garçons, je les regarde en course, je fais attention à leur attitude. Ca se met en place en douceur.
Vous auriez envie de courir avec eux ?
Non, ça ne me démange plus du tout. J'ai tourné la page même si, comme tous les anciens joueurs, quand on arrive au jeu, ça donne quelques fourmis dans les jambes.
Entraîneur, c'était une suite logique pour vous ?
Oui, j'en avais le souhait. Lorsque j'étais à Montpellier, j'intervenais déjà auprès du pôle espoirs de Béziers, j'ai aussi encadré deux ou trois ans les cadets du Stade Bordelais, j'ai obtenu mon brevet d'État avant la fin de ma carrière de joueur. Après, le RCBA et maintenant l'Union ont été des opportunités : il n'y avait rien de prémédité.
Que vous ont apporté ces deux saisons en Fédérale 3 ?
J'ai découvert le rugby amateur dans son terme le plus noble : les repas du vendredi soir, l'affectif qui est la base de tout. Le club, c'est la famille, la deuxième maison. Même si aujourd'hui avec les mouvements, les joueurs professionnels n'ont plus d'identification aussi forte, c'est indispensable : en rugby, on a besoin les uns des autres.
Le saut jusqu'à la Pro D2 vous inquiète ?
Non pas forcément : je connais ce niveau, j'ai été pro pendant 10 ans, j'ai l'avantage d'avoir déjà fréquenté la maison, de prendre la suite de Fredo Garcia avec qui j'ai travaillé. Maintenant, bien sûr qu'il faudra que je sache adapter mes séances au besoin des joueurs, du club.
Quelle est votre philosophie d'entraîneur ?
De la sueur, de la sueur ! (Il sourit) Plus généralement, être efficace : donner un sens à tout ce que l'on fait, ne pas agir pour faire plaisir mais pour gagner.
Et que vous a demandé Marc Delpoux ?
Une bonne mêlée ! Et la touche aussi. Cela restera toujours le socle de ce sport.
Sur le papier, le pack paraît armé…
On a en tout cas essayé de faire un recrutement pour franchir un palier sachant que toutes les équipes se sont armées. Personnellement, j'ai regardé des vidéos, donné mon avis sur certains joueurs. Et globalement, je vois que le niveau s'est élevé partout en deux ans.
L'internationalisation de l'effectif peut-il être un frein pour faire prendre la mayonnaise ?
Non, je ne pense pas. Aujourd'hui, tous les joueurs sont habitués à bouger. On n'est jamais à l'abri de la déprime ou d'un problème d'adaptation de l'un d'entre eux, mais sur ce que j'ai vu, je ne suis pas inquiet.
Le club a-t-il changé depuis votre départ ?
Oui, il suffit de regarder (il montre la Bodega partenaires construites il y a un an, NDLR). Peut-être que cela ne saute pas aux yeux du spectateur, mais de l'intérieur, on mesure les évolutions. Déjà, lors de la première année de l'Union, nous étions arrivés à la fin du mois de juin sans président, sans recrue.. Aujourd'hui, au 14 juin, nous reprenions l'entraînement, le recrutement était clos depuis un mois. La première année de l'Union, également, il y avait beaucoup de joueurs pluri-actifs. Aujourd'hui, presque tous sont professionnels, il y a trois entraîneurs pour le rugby, deux préparateurs physiques.. Une fusion n'est jamais facile à mener et le club avance pas à pas.
Quel est l'objectif sportif ?
Franchir un nouveau cap pour continuer à faire évoluer le rugby à Bordeaux. Le club en a passé un l'an dernier en passant la barre des 70 points. Il faut faire encore mieux pour tenter d'accrocher une place de demi-finaliste. La locomotive d'un club, c'est le sportif.
Pro D2 · Sports · rugby · Arcachon · Gironde · Fédérale 3
Bel interview. Reste plus qu'à être au point sur les mots clefs
_________________
Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Sujets similaires
» ITW de LF et PR dans SO du 26/08/09
» M. Jagr dans le SO du 09/10/09
» Rafael Carballo
» Franck Labbé
» Max et Raph dans SO du 14/09
» M. Jagr dans le SO du 09/10/09
» Rafael Carballo
» Franck Labbé
» Max et Raph dans SO du 14/09
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté tribune ... des sélectionneurs
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|