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Nans Ducuing
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Re: Nans Ducuing
https://www.sudouest.fr/2020/01/16/ubb-j-etais-plus-pret-qu-en-2017-dit-nans-ducuing-7068789-773.php
UBB : « J’étais plus prêt qu’en 2017 », dit Nans Ducuing
par Yoan Leshauriès.
Déçu de ne pas avoir été appelé par le XV de France avec qui il a connu 4 sélections en 2017, Nans Ducuing, l’arrière de l’Union Bordeaux-Bègles, regarde devant.
Il n’a pas été étranger à la qualification de l’Union Bordeaux-Bègles. Samedi dernier sur la pelouse de Chaban-Delmas, Nans Ducuing (28 ans) a livré une grosse prestation face à Édimbourg (32–17). « Sur ce match-là, il a dû donner des regrets au sélectionneur », glissait le président Laurent Marti. Comptant 4 sélections avec les Bleus en 2017 (Tournée de novembre face aux All Blacks, tournée de juin en Afrique du Sud), l’arrière girondin n’a pas été retenu dans la liste des 42 du XV de France pour préparer le début du Tournoi des 6-Nations. Un peu déçu, il regarde devant et se concentre sur sa saison avec l’UBB.
« Sud Ouest ». La qualification en poche en Challenge Cup, l’UBB a atteint son premier objectif. Qu’est ce que ça vous inspire ?
Nans Ducuing. En début d’année, on s’est tous dit qu’on voulait écrire l’histoire de l’UBB. Ça commence par là, c’est un premier petit pas, on a qualifié le club. On est très contents mais on n’a encore rien gagné. Il ne faut pas s’arrêter en si bon chemin.
Comment abordez-vous ce dernier match de poule chez les Wasps ?
Même si la qualification à domicile est acquise, on rêve tous d’un quart de finale à domicile. Ça serait fabuleux. On a envie de garder cette confiance et cette dynamique. On prend ce match très au sérieux.
Êtes-vous déçu de ne pas avoir été appelé par le XV de France ?
Je suis content pour mes coéquipiers (Poirot, Cazeaux, Woki, Jalibert, Lucu), ils le méritent. Je l’ai vécu en 2017, je sais l’émotion et la fierté qu’on peut avoir. Et à titre personnel, je suis déçu, je ne vais pas le cacher. Je sens que j’ai progressé, je me sens surtout mieux dans ma tête. J’étais plus prêt maintenant qu’en 2017. Ce sont des choix, c’est comme ça, il faut l’accepter. Il faut continuer à travailler pour accrocher le bon wagon. On avait été reçus au sein d’une liste un peu élargie par l’encadrement su staff du XV de France, je sais que Laurent Labit était revenu la semaine suivante pour en revoir certains. Pas moi. Donc j’avais commencé un peu mon deuil. Je m’attendais à ne pas y être. Quand ça tombe, le jour-J, tu es toujours un peu déçu, tu as du mal à l’avaler. Mais dès le lendemain, je me suis promis de laisser ça de côté. Si ça doit venir, ça viendra, mais je ne me prends pas la tête avec ça.
Ça ne fait pas se poser des questions ?
Ce n’est pas parce que tu n’es pas appelé que tu dois te remettre en question complètement. Je sais ce qu’il me reste à travailler. Je sais ce qu’il faut que j’accomplisse pour pouvoir prétendre et être légitime pour être appelé par le XV de France. La remise en question est permanente. Toutes les semaines. Il ne faut pas se mettre la tête au fond du seau mais être conscient de ses lacunes, savoir pourquoi on n’y est pas pour progresser.
Vous avez réalisé un gros match face à Édimbourg. Il y a une relation de cause à effet ?
Peut-être. Quand la liste est tombée, ça m’a un peu piqué. Après, il ne faut pas non plus être à réaction. Des matchs comme ça, je dois les sortir peut-être bien avant pour espérer mieux. Mais je ne choisis pas mes matchs, je les joue tous à fond pour essayer d’être le meilleur possible. J’ai fait le deuil, j’avance, j’ai envie d’être performant avec l’UBB. On est sur une super dynamique, il y a une bonne saison à faire. Je continue sur ce chemin-là.
Le match. Wasps – Bordeaux-Bègles, ce samedi (16 heures, heure française).
UBB : « J’étais plus prêt qu’en 2017 », dit Nans Ducuing
par Yoan Leshauriès.
Déçu de ne pas avoir été appelé par le XV de France avec qui il a connu 4 sélections en 2017, Nans Ducuing, l’arrière de l’Union Bordeaux-Bègles, regarde devant.
Il n’a pas été étranger à la qualification de l’Union Bordeaux-Bègles. Samedi dernier sur la pelouse de Chaban-Delmas, Nans Ducuing (28 ans) a livré une grosse prestation face à Édimbourg (32–17). « Sur ce match-là, il a dû donner des regrets au sélectionneur », glissait le président Laurent Marti. Comptant 4 sélections avec les Bleus en 2017 (Tournée de novembre face aux All Blacks, tournée de juin en Afrique du Sud), l’arrière girondin n’a pas été retenu dans la liste des 42 du XV de France pour préparer le début du Tournoi des 6-Nations. Un peu déçu, il regarde devant et se concentre sur sa saison avec l’UBB.
« Sud Ouest ». La qualification en poche en Challenge Cup, l’UBB a atteint son premier objectif. Qu’est ce que ça vous inspire ?
Nans Ducuing. En début d’année, on s’est tous dit qu’on voulait écrire l’histoire de l’UBB. Ça commence par là, c’est un premier petit pas, on a qualifié le club. On est très contents mais on n’a encore rien gagné. Il ne faut pas s’arrêter en si bon chemin.
Comment abordez-vous ce dernier match de poule chez les Wasps ?
Même si la qualification à domicile est acquise, on rêve tous d’un quart de finale à domicile. Ça serait fabuleux. On a envie de garder cette confiance et cette dynamique. On prend ce match très au sérieux.
Êtes-vous déçu de ne pas avoir été appelé par le XV de France ?
Je suis content pour mes coéquipiers (Poirot, Cazeaux, Woki, Jalibert, Lucu), ils le méritent. Je l’ai vécu en 2017, je sais l’émotion et la fierté qu’on peut avoir. Et à titre personnel, je suis déçu, je ne vais pas le cacher. Je sens que j’ai progressé, je me sens surtout mieux dans ma tête. J’étais plus prêt maintenant qu’en 2017. Ce sont des choix, c’est comme ça, il faut l’accepter. Il faut continuer à travailler pour accrocher le bon wagon. On avait été reçus au sein d’une liste un peu élargie par l’encadrement su staff du XV de France, je sais que Laurent Labit était revenu la semaine suivante pour en revoir certains. Pas moi. Donc j’avais commencé un peu mon deuil. Je m’attendais à ne pas y être. Quand ça tombe, le jour-J, tu es toujours un peu déçu, tu as du mal à l’avaler. Mais dès le lendemain, je me suis promis de laisser ça de côté. Si ça doit venir, ça viendra, mais je ne me prends pas la tête avec ça.
Ça ne fait pas se poser des questions ?
Ce n’est pas parce que tu n’es pas appelé que tu dois te remettre en question complètement. Je sais ce qu’il me reste à travailler. Je sais ce qu’il faut que j’accomplisse pour pouvoir prétendre et être légitime pour être appelé par le XV de France. La remise en question est permanente. Toutes les semaines. Il ne faut pas se mettre la tête au fond du seau mais être conscient de ses lacunes, savoir pourquoi on n’y est pas pour progresser.
Vous avez réalisé un gros match face à Édimbourg. Il y a une relation de cause à effet ?
Peut-être. Quand la liste est tombée, ça m’a un peu piqué. Après, il ne faut pas non plus être à réaction. Des matchs comme ça, je dois les sortir peut-être bien avant pour espérer mieux. Mais je ne choisis pas mes matchs, je les joue tous à fond pour essayer d’être le meilleur possible. J’ai fait le deuil, j’avance, j’ai envie d’être performant avec l’UBB. On est sur une super dynamique, il y a une bonne saison à faire. Je continue sur ce chemin-là.
Le match. Wasps – Bordeaux-Bègles, ce samedi (16 heures, heure française).
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 48369
Date d'inscription : 11/09/2018
Re: Nans Ducuing
Sur que Nans aurait mérité d'être appelé,même si un gars de plus mobilisé ne nous aurait pas rendu service.
léopold- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 9910
Localisation : A Musard derrière les espoirs
Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Nans Ducuing
Les Dudu, sur la durée parmi les meilleurs recrutements que Marti a pu faire.
krahknardz- Team modo
- Nombre de messages : 7441
Localisation : Bègles
Date d'inscription : 07/07/2013
Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Nans Ducuing
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 48369
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Nans Ducuing
https://instagram.com/nansducuing?igshid=q6nt76dnle1y
https://twitter.com/i/status/1230528517043097602
Encore une pépite de Nans dans sa story instagram !
https://twitter.com/i/status/1230528517043097602
Encore une pépite de Nans dans sa story instagram !
FrenchKick- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 2826
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 07/07/2015
Humeur : Tant que l'ubb gagne tout va bien :)
Re: Nans Ducuing
Excellent !
La présence de nos 2 fidjiens dans ce style de vidéo en dit long sur l'état de nos troupes !
La présence de nos 2 fidjiens dans ce style de vidéo en dit long sur l'état de nos troupes !
le radis- Team modo
- Nombre de messages : 13065
Localisation : talence
Date d'inscription : 12/10/2012
Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Nans Ducuing
Il est con ce Nans
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 48369
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Nans Ducuing
ah ouais excellent trop fort ce nans
marchal- Centre de presse
- Nombre de messages : 6194
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 12/06/2013
Re: Nans Ducuing
Le groupe vit bien, et là c'est vrai ! Ca fait plaisir
_________________
Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
- Nombre de messages : 11239
Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 34
Re: Nans Ducuing
Je vais finir par mourir de rire à cause de ce type
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 5719
Localisation : Angoulême
Date d'inscription : 21/11/2018
Humeur : Merde
Age : 33
Re: Nans Ducuing
C'est vrai que voir Peni et Semi en bambins, ça montre que le groupe vit bien
FrenchKick- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 2826
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 07/07/2015
Humeur : Tant que l'ubb gagne tout va bien :)
Re: Nans Ducuing
Jolis pyjamas ! Nouvelle stratégie pour déstabiliser l'adversaire… Le contraste quand on va voir ensuite Peni et Semi sur le terrain !
_________________
« Si le seul outil que vous avez est un marteau, vous tendez à voir tout problème comme un clou. » Abraham Maslow
« You can't kill what you can't see. » The Last Poets
« Il est plus facile de tromper les gens, que de les convaincre qu’ils ont été trompés. » Mark Twain
biscouette- Centre de presse
- Nombre de messages : 2991
Localisation : Paris (et Bordeaux)
Date d'inscription : 08/01/2016
Humeur : « En ce moment, quand je vois les solutions aux problèmes, je me dis que juste le problème, c’est mieux. » Grégoire Quartier
Re: Nans Ducuing
Ca fait 5 minutes que je rigole tout seul après avoir vu la vidéo.
TOTOUBB- J'aime l'Union beaucoup
- Nombre de messages : 44
Localisation : Merignac
Date d'inscription : 05/06/2018
Humeur : Bonne
Age : 62
Re: Nans Ducuing
SO : https://www.sudouest.fr/2020/03/27/videos-ubb-nans-ducuing-l-esprit-rugby-7367056-773.php
UBB : Nans Ducuing, l'esprit rugby
Par Yoan Leshauriès
L'arrière de l'Union Bordeaux-Bègles, leader du Top 14, n'est pas du genre à se prendre au sérieux. Blagueur invétéré, il s'illustre aussi sur les réseaux sociaux.
C'est l'histoire d'un mec qui « n'arrive pas à concevoir une journée sans rire ». Ce mec, c'est Nans Ducuing (28 ans), arrière de l'Union Bordeaux-Bègles. Un Ovni dans le monde du rugby pro de plus en plus aseptisé. Beaucoup de joueurs multiplient les posts sur les réseaux sociaux pour remercier un équipementier, une marque de produit de nutrition ou les supporters... Le Girondin, lui, n'hésite pas à ouvrir les vannes. « Il y a vingt ans, tout le monde faisait ça mais les mecs étaient moins médiatisés, rappelle-t-il. Aujourd'hui, c'est très cadré. Quand tu sors un peu des sentiers battus, tu peux te faire taper dessus. Mais j'ai la faiblesse de penser que si tu es bon sur le terrain, tu peux faire ce que tu veux en termes de conneries. Il faut juste que ça reste bon enfant. »
Sur le terrain de la déconne, Nans Ducuing repousse ses limites et commence à avoir son petit succès. On l'a vu récemment dans le rôle de Bernard, casquette sur la tête, short en jean, chaussettes remontées jusqu'aux genoux, torchon à la ceinture... Un personnage des Deschiens version Sud-Ouest.
On l'a aussi vu improviser un tour de chant habillé en rockeur fan de Johnny sur la place du Palais à Bordeaux, devant des terrasses aussi bondées que médusées.
Ou encore souhaiter un joyeux anniversaire à son coéquipier Clément Maynadier dans un style bien particulier.
En pleine crise des Gilets jaunes, on l'a vu faire semblant de s'énerver au volant après une pauvre dame portant la tunique au bord de la route, capot ouvert, tout simplement en train de réparer sa voiture... Hilarant.
Ses vidéos font le buzz sur les réseaux sociaux et sont même reprises par Canal +. « C'est chaud l'ampleur que ça prend, rigole Ducuing. Mes parents sont toujours les premiers étonnés : "Mon Titi, tu as vu où c'est passé, mais tu es fou, arrête, calme-toi?!" Mais au final, ça les fait rire quand même ».
Folie communicative
L'arrière de l'UBB entraîne tout le monde dans sa folie, y compris ceux qu'on n'attend pas dans ce registre. Dans la parodie d'une pub pour une voiture, les Fidjiens Semi Radradra et Peni Ravai apparaissent en bébés barbus et jouent le jeu à fond.
« Nans n'a pas besoin de trop batailler pour faire faire des trucs aux mecs, témoigne Jean-Baptiste Dubié, l'inséparable (voir ci-dessous). Sur ce coup-là, Semi et Peni étaient vraiment les plus heureux, ils étaient comme des gosses. Nans a quand même une aura de la connerie qui est très puissante. »
Au contact de Ducuing, l'humour devient contagieux, jusqu'à toucher le président Laurent Marti. « Il inspire la connerie, c'est le problème », confirme le dirigeant girondin, qui se rappelle de la signature de prolongation de contrat de son arrière : « Je passe à côté de la salle de kiné, il se faisait masser. On devait signer le lendemain. Il me dit : "Une tenue spéciale pour demain??" Je lui réponds : "Si tu arrives en costume, je me mettrai en maillot". » Photo à l'appui, postée sur les réseaux sociaux. « C'est parce que c'est Nans, si c'est un autre, la connerie ne vient pas ».
La part des choses
Par sa bonne humeur, Nans Ducuing est un maillon essentiel dans le vestiaire girondin. « Il est important parce qu'il est aussi exemplaire sur le terrain, souligne Laurent Marti. Sinon, tu embauches un G. O. et ça revient au même. Mais lui est très sérieux ». Le joueur sait faire la part des choses, il a le sens des priorités. « Mon objectif premier, c'est d'être performant sur le terrain. Parfois, j'ai peur que les gens l'oublient ».
Nans Ducuing reste avant tout un joueur de rugby. Originaire de Bazus-Aure, près de Saint-Lary (65), il a débuté à Lannemezan, est passé par Bayonne et Perpignan, avant de rejoindre le Top 14 et l'UBB en 2015, avec seulement 11 matchs de Pro D2 dans les jambes. En cinq saisons, il s'est imposé à son poste et compte 74 matchs de Top 14 (68 titularisations), ainsi que 2 sélections en équipe de France lors de la Tournée de novembre 2017. Depuis, les Bleus n'ont plus fait appel à lui. Le staff tricolore l'a reçu avant le Tournoi 2020 mais ne l'a pas retenu.
"Le problème de ma vie"
Son image de « gai luron » serait-elle un frein?? « C'est une question que je me pose et que j'aimerais poser au staff du XV de France, confie Frédéric Charrier, l'entraîneur des trois-quarts de l'UBB. Les gens qui ne connaissent pas Nans peuvent se dire que c'est quelqu'un qui passe son temps à déconner. Mais ce n'est pas du tout ça. Il s'entraîne très bien. Quand il est dans la partie rugby, il bosse dur, il est concentré. »
« C'est un peu le problème de ma vie, poursuit Ducuing. À l'école, c'était pareil. Des fois, mes proches me disent que trop faire le con peut me desservir. Ça a peut-être été le cas dans ma carrière. Mais je me refuse d'y croire. De toute façon, on ne me changera pas, je suis comme ça. Je n'ai pas envie d'être quelqu'un d'autre. Et qui vous dit qu'en étant ultra sérieux je serais ultra performant?? » Le terrain. La déconne. Pour lui, l'un ne va pas sans l'autre.
Dans les pas de Moscato??
Au regard de ses vidéos et de sa personnalité, Nans Ducuing n'aurait-il pas manqué une vocation?? Quand on lui pose la question, l'arrière de l'Union Bordeaux-Bègles répond avec humour évidemment : « Je ne suis pas en fin de vie ». Avant de s'expliquer plus sérieusement.
« Mon rêve premier était de devenir sportif professionnel depuis tout petit, assure-t-il. Je me suis retrouvé à la croisée des chemins entre le ski et le rugby, j'ai choisi le rugby et je n'ai vraiment aucun regret là dessus. Mais il n'y a pas de vocation ratée. On verra l'après-carrière s'il n'y a pas quelque chose à creuser ».
"A voir pour plus tard"
Nans Ducuing marchera-t-il dans les pas des Vincent Moscato et Philippe Guillard, qui avant lui sont passés du rugby au théâtre, au cinéma ou à la radio?? « J'y pense », répond le Girondin qui est fan de Jean Dujardin et a été bercé par les sketchs des Inconnus ou des Nuls. « Je ne parle pas de faire du stand-up ou du one-man-show... Je n'en sais rien, je n'ai pas d'idée précise : faire un peu de radio, essayer de toucher au théâtre, au cinéma... Ce sont des milieux qui m'attirent. Je parle un peu avec des gens du métier, je me renseigne, voir comment ça se passe... Parce que c'est bien beau de faire le malin tout seul devant une caméra, il faut voir la réalité de tous ces métiers. Donc à voir pour plus tard. »
Dubié n'est jamais loin
Derrière les frasques de Nans Ducuing, Jean-Baptiste Dubié (30 ans), le trois-quart centre de l'Union Bordeaux-Bègles, n'est jamais loin. Ces deux-là sont inséparables depuis leur arrivée en Gironde en 2015. En point commun, le rugby bien entendu, des origines (le premier est de Bazus-Aure, le second d'Argelès-Gazost, avant de rejoindre Mont-de-Marsan)... Et un sens de l'humour qui fait mouche. « Pour la bêtise, c'est vrai qu'on arrive à se tirer vers le haut ou vers le bas, sourit Ducuing. On est tout le temps sur la même longueur d'onde. » Et ça fait cinq ans que ça dure.
« Il m'a pris pour un blaireau »
Peu après la reprise en 2015, le capitaine de l'époque Matthew Clarkin invite tous les joueurs de l'UBB chez lui pour un repas. Dubié débarque alors en marcel et chaussures fluos. « Nans m'a pris pour un gros blaireau, se souvient-il. C'est parti comme ça. Lui était encore sur la retenue, personne ne le connaissait, il avait 10 matchs de Pro D2 dans la raquette avec Perpignan... Mais il s'est vite révélé au grand public. »
Dubié se souvient du jour de la révélation. « Nans avait été sanctionné d'un gage : prononcer un discours romantique à Mimi, la cuisinière du club. Ça faisait un mois qu'il était là, le mec ne connaissait personne. Il est arrivé en salle vidéo devant tout le monde, en chemise, noeud papillon, raie sur le côté... Il croise Émile Ntamack (entraîneur des arrières) qui lui dit : "Mais qu'est ce que tu fous??" Il a fait un discours incroyable. Ça a été le déclic. Je me suis dit : ce mec, il n'est pas comme les autres. »
C'est travaillé
Derrière Omar, il y a Fred, derrière Laspalès, il y a Chevalier et derrière Ducuing, il y a Dubié. Le trois-quart centre participe à de nombreuses vidéos postées sur les réseaux sociaux et travaille en étroite collaboration avec son pote. « On réfléchit ensemble aux vannes, explique Dubié. Nans est bon en impro, il a ce truc qui fait la différence. C'est inné chez lui. De temps en temps, je le pousse à faire des trucs et il part au quart de tour, c'est génial... Le concert de Johnny sur la place du Palais, en totale impro, il y avait des personnes aux terrasses qui n'ont pas compris ce qui se passait ».
« Avant de réaliser les vidéos, on a les idées directrices, les grandes lignes, explique Ducuing. Mais sur la vidéo de la voiture ou celle avec « JB » durant son footing, à chaque fois, c'est première prise. C'est le plus spontané, le plus authentique... On n'apprend jamais nos textes parce que c'est le meilleur moyen de l'oublier ou alors, que ça sonne faux. » Jusqu'ici, la collaboration est réussie.
UBB : Nans Ducuing, l'esprit rugby
Par Yoan Leshauriès
L'arrière de l'Union Bordeaux-Bègles, leader du Top 14, n'est pas du genre à se prendre au sérieux. Blagueur invétéré, il s'illustre aussi sur les réseaux sociaux.
C'est l'histoire d'un mec qui « n'arrive pas à concevoir une journée sans rire ». Ce mec, c'est Nans Ducuing (28 ans), arrière de l'Union Bordeaux-Bègles. Un Ovni dans le monde du rugby pro de plus en plus aseptisé. Beaucoup de joueurs multiplient les posts sur les réseaux sociaux pour remercier un équipementier, une marque de produit de nutrition ou les supporters... Le Girondin, lui, n'hésite pas à ouvrir les vannes. « Il y a vingt ans, tout le monde faisait ça mais les mecs étaient moins médiatisés, rappelle-t-il. Aujourd'hui, c'est très cadré. Quand tu sors un peu des sentiers battus, tu peux te faire taper dessus. Mais j'ai la faiblesse de penser que si tu es bon sur le terrain, tu peux faire ce que tu veux en termes de conneries. Il faut juste que ça reste bon enfant. »
Sur le terrain de la déconne, Nans Ducuing repousse ses limites et commence à avoir son petit succès. On l'a vu récemment dans le rôle de Bernard, casquette sur la tête, short en jean, chaussettes remontées jusqu'aux genoux, torchon à la ceinture... Un personnage des Deschiens version Sud-Ouest.
On l'a aussi vu improviser un tour de chant habillé en rockeur fan de Johnny sur la place du Palais à Bordeaux, devant des terrasses aussi bondées que médusées.
Ou encore souhaiter un joyeux anniversaire à son coéquipier Clément Maynadier dans un style bien particulier.
En pleine crise des Gilets jaunes, on l'a vu faire semblant de s'énerver au volant après une pauvre dame portant la tunique au bord de la route, capot ouvert, tout simplement en train de réparer sa voiture... Hilarant.
Ses vidéos font le buzz sur les réseaux sociaux et sont même reprises par Canal +. « C'est chaud l'ampleur que ça prend, rigole Ducuing. Mes parents sont toujours les premiers étonnés : "Mon Titi, tu as vu où c'est passé, mais tu es fou, arrête, calme-toi?!" Mais au final, ça les fait rire quand même ».
Folie communicative
L'arrière de l'UBB entraîne tout le monde dans sa folie, y compris ceux qu'on n'attend pas dans ce registre. Dans la parodie d'une pub pour une voiture, les Fidjiens Semi Radradra et Peni Ravai apparaissent en bébés barbus et jouent le jeu à fond.
« Nans n'a pas besoin de trop batailler pour faire faire des trucs aux mecs, témoigne Jean-Baptiste Dubié, l'inséparable (voir ci-dessous). Sur ce coup-là, Semi et Peni étaient vraiment les plus heureux, ils étaient comme des gosses. Nans a quand même une aura de la connerie qui est très puissante. »
Au contact de Ducuing, l'humour devient contagieux, jusqu'à toucher le président Laurent Marti. « Il inspire la connerie, c'est le problème », confirme le dirigeant girondin, qui se rappelle de la signature de prolongation de contrat de son arrière : « Je passe à côté de la salle de kiné, il se faisait masser. On devait signer le lendemain. Il me dit : "Une tenue spéciale pour demain??" Je lui réponds : "Si tu arrives en costume, je me mettrai en maillot". » Photo à l'appui, postée sur les réseaux sociaux. « C'est parce que c'est Nans, si c'est un autre, la connerie ne vient pas ».
La part des choses
Par sa bonne humeur, Nans Ducuing est un maillon essentiel dans le vestiaire girondin. « Il est important parce qu'il est aussi exemplaire sur le terrain, souligne Laurent Marti. Sinon, tu embauches un G. O. et ça revient au même. Mais lui est très sérieux ». Le joueur sait faire la part des choses, il a le sens des priorités. « Mon objectif premier, c'est d'être performant sur le terrain. Parfois, j'ai peur que les gens l'oublient ».
Nans Ducuing reste avant tout un joueur de rugby. Originaire de Bazus-Aure, près de Saint-Lary (65), il a débuté à Lannemezan, est passé par Bayonne et Perpignan, avant de rejoindre le Top 14 et l'UBB en 2015, avec seulement 11 matchs de Pro D2 dans les jambes. En cinq saisons, il s'est imposé à son poste et compte 74 matchs de Top 14 (68 titularisations), ainsi que 2 sélections en équipe de France lors de la Tournée de novembre 2017. Depuis, les Bleus n'ont plus fait appel à lui. Le staff tricolore l'a reçu avant le Tournoi 2020 mais ne l'a pas retenu.
"Le problème de ma vie"
Son image de « gai luron » serait-elle un frein?? « C'est une question que je me pose et que j'aimerais poser au staff du XV de France, confie Frédéric Charrier, l'entraîneur des trois-quarts de l'UBB. Les gens qui ne connaissent pas Nans peuvent se dire que c'est quelqu'un qui passe son temps à déconner. Mais ce n'est pas du tout ça. Il s'entraîne très bien. Quand il est dans la partie rugby, il bosse dur, il est concentré. »
« C'est un peu le problème de ma vie, poursuit Ducuing. À l'école, c'était pareil. Des fois, mes proches me disent que trop faire le con peut me desservir. Ça a peut-être été le cas dans ma carrière. Mais je me refuse d'y croire. De toute façon, on ne me changera pas, je suis comme ça. Je n'ai pas envie d'être quelqu'un d'autre. Et qui vous dit qu'en étant ultra sérieux je serais ultra performant?? » Le terrain. La déconne. Pour lui, l'un ne va pas sans l'autre.
Dans les pas de Moscato??
Au regard de ses vidéos et de sa personnalité, Nans Ducuing n'aurait-il pas manqué une vocation?? Quand on lui pose la question, l'arrière de l'Union Bordeaux-Bègles répond avec humour évidemment : « Je ne suis pas en fin de vie ». Avant de s'expliquer plus sérieusement.
« Mon rêve premier était de devenir sportif professionnel depuis tout petit, assure-t-il. Je me suis retrouvé à la croisée des chemins entre le ski et le rugby, j'ai choisi le rugby et je n'ai vraiment aucun regret là dessus. Mais il n'y a pas de vocation ratée. On verra l'après-carrière s'il n'y a pas quelque chose à creuser ».
"A voir pour plus tard"
Nans Ducuing marchera-t-il dans les pas des Vincent Moscato et Philippe Guillard, qui avant lui sont passés du rugby au théâtre, au cinéma ou à la radio?? « J'y pense », répond le Girondin qui est fan de Jean Dujardin et a été bercé par les sketchs des Inconnus ou des Nuls. « Je ne parle pas de faire du stand-up ou du one-man-show... Je n'en sais rien, je n'ai pas d'idée précise : faire un peu de radio, essayer de toucher au théâtre, au cinéma... Ce sont des milieux qui m'attirent. Je parle un peu avec des gens du métier, je me renseigne, voir comment ça se passe... Parce que c'est bien beau de faire le malin tout seul devant une caméra, il faut voir la réalité de tous ces métiers. Donc à voir pour plus tard. »
Dubié n'est jamais loin
Derrière les frasques de Nans Ducuing, Jean-Baptiste Dubié (30 ans), le trois-quart centre de l'Union Bordeaux-Bègles, n'est jamais loin. Ces deux-là sont inséparables depuis leur arrivée en Gironde en 2015. En point commun, le rugby bien entendu, des origines (le premier est de Bazus-Aure, le second d'Argelès-Gazost, avant de rejoindre Mont-de-Marsan)... Et un sens de l'humour qui fait mouche. « Pour la bêtise, c'est vrai qu'on arrive à se tirer vers le haut ou vers le bas, sourit Ducuing. On est tout le temps sur la même longueur d'onde. » Et ça fait cinq ans que ça dure.
« Il m'a pris pour un blaireau »
Peu après la reprise en 2015, le capitaine de l'époque Matthew Clarkin invite tous les joueurs de l'UBB chez lui pour un repas. Dubié débarque alors en marcel et chaussures fluos. « Nans m'a pris pour un gros blaireau, se souvient-il. C'est parti comme ça. Lui était encore sur la retenue, personne ne le connaissait, il avait 10 matchs de Pro D2 dans la raquette avec Perpignan... Mais il s'est vite révélé au grand public. »
Dubié se souvient du jour de la révélation. « Nans avait été sanctionné d'un gage : prononcer un discours romantique à Mimi, la cuisinière du club. Ça faisait un mois qu'il était là, le mec ne connaissait personne. Il est arrivé en salle vidéo devant tout le monde, en chemise, noeud papillon, raie sur le côté... Il croise Émile Ntamack (entraîneur des arrières) qui lui dit : "Mais qu'est ce que tu fous??" Il a fait un discours incroyable. Ça a été le déclic. Je me suis dit : ce mec, il n'est pas comme les autres. »
C'est travaillé
Derrière Omar, il y a Fred, derrière Laspalès, il y a Chevalier et derrière Ducuing, il y a Dubié. Le trois-quart centre participe à de nombreuses vidéos postées sur les réseaux sociaux et travaille en étroite collaboration avec son pote. « On réfléchit ensemble aux vannes, explique Dubié. Nans est bon en impro, il a ce truc qui fait la différence. C'est inné chez lui. De temps en temps, je le pousse à faire des trucs et il part au quart de tour, c'est génial... Le concert de Johnny sur la place du Palais, en totale impro, il y avait des personnes aux terrasses qui n'ont pas compris ce qui se passait ».
« Avant de réaliser les vidéos, on a les idées directrices, les grandes lignes, explique Ducuing. Mais sur la vidéo de la voiture ou celle avec « JB » durant son footing, à chaque fois, c'est première prise. C'est le plus spontané, le plus authentique... On n'apprend jamais nos textes parce que c'est le meilleur moyen de l'oublier ou alors, que ça sonne faux. » Jusqu'ici, la collaboration est réussie.
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Re: Nans Ducuing
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Re: Nans Ducuing
https://www.ladepeche.fr/2020/04/09/nans-le-gars-du-coin-qui-fait-rire-hors-des-terrains,8840002.php
https://www.midi-olympique.fr/2020/04/09/ducuing-je-ne-concois-pas-une-journee-sans-rire,8839816.php
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Re: Nans Ducuing
petite vidéo : https://www.besport.com/post/15504353?__nl_n_bs-og.lang=en
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Re: Nans Ducuing
encore une vidéo culte de notre trublion
https://www.lerugbynistere.fr/videos/ducuing-sinvite-dans-le-live-de-guitoune-et-cest-deja-culte-video-1804201128.php
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Re: Nans Ducuing
nouvelle vidéo hilarante de ducuing/guitoune
https://www.lerugbynistere.fr/videos/nans-peate-ducuing-decouvre-am-stram-gram-et-il-ny-pompe-rien-video-2504201100.php
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Re: Nans Ducuing
Après sa vidéo reussie sur le che-urios avec son compère jb dubie, nans vient encore de frapper.
Sur son Instagram il diffuse une vidéo ou munie d'un masque il demande à des beglais sa route car il est perdu et recherche la rue du bal masqué
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Re: Nans Ducuing
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2018-2019/finir-en-biais-ou-avec-dubie-perdre-au-golf-contre-serin-ou-roumat-le-tac-au-tac-de-nans-ducuing_sto7765831/story.shtml
Un bon moment de rigolade avec un habitué du genre. A consommer sans modération !
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Re: Nans Ducuing
L'Équipe
Nans Ducuing « Une brosse à dents et une perruque » Ce 26 juin aurait dû être un jour de finale. L'arrière de l'UBB, leader du Top 14 au moment de l'arrêt de la saison, évoque ce qu'aurait pu être ce moment et la fête post-titre.
RENAUD BOUREL
Aujourd'hui devrait être le jour le plus long de la saison de Top 14. Mais le Covid-19 a fauché la saison 2019-2020 en plein vol, et il n'y aura pas de finale pour la première fois depuis 1942. Pour tenter de compenser ce manque, nous avons demandé à Nans Ducuing son rapport à ce moment si particulier dans la vie d'un joueur de rugby, ce que représente le Bouclier de Brennus pour quelqu'un qui ne l'a jamais encore approché. Il y avait du sens à demander à un joueur de l'UBB, leader incontestable du Championnat jusqu'à son arrêt, de se plier à un exercice d'équilibriste entre fiction imposée et rêve assumé. L'arrière girondin s'y est prêté avec sa sensibilité et son humour naturels.
« Vous souveniez-vous qu'aujourd'hui aurait dû se tenir la finale du Top 14 ?
J'avais bien noté la date durant la saison, mais avec l'arrêt de la compétition, le confinement et la reprise en juin de la prochaine, on avait un peu tous décroché.
L'UBB était un leader solide du Top 14, cela vous laisse-t-il des regrets ?
On n'avait pas du tout le sentiment d'être invincibles, mais on se sentait forts adossés à notre projet de jeu. Il restait quelques journées à jouer, mais plus on avançait, plus on parvenait à creuser l'écart. On avait quelques certitudes. Il est forcément difficile de dire que l'on rêvait du titre, mais nous avions des raisons de croire à cette qualification après laquelle l'UBB courait depuis longtemps. C'est vrai que, maintenant que vous m'en parlez, c'est difficile d'avaler la pilule (rires) . Pendant un petit mois, on a été persuadés que le Championnat allait reprendre et en voyant certains gros événements reportés ou annulés, on se disait que ça commençait à devenir coquin. Le rugby a tenté de résister un peu, mais il est quand même passé à la trappe. Après, du point de vue de l'UBB, j'espère que cette frustration nourrira un sentiment de revanche vis-à-vis du Covid-19 et que l'on aura encore plus la dalle la saison prochaine.
Une finale est un jour à part. Avez-vous déjà imaginé à quoi cela aurait ressemblé pour l'UBB ?
C'est difficile d'en parler quand on ne l'a jamais vécu, mais c'est un rêve absolu. C'est l'objet de notre motivation, tu y penses parfois avant de t'endormir. On a un public fabuleux et nombreux, donc j'imagine tout le peuple bordelais derrière nous. Ç'aurait été quelque chose d'extraordinaire de voir l'UBB monter au Stade de France, chercher à faire quelque chose pour rendre toute une ville et un département fiers. Et puis, moi, les seuls bouts de bois que j'ai touchés, ce sont les bûches pour la cheminée chez moi. Donc j'aimerais un jour avoir celui-là (le Bouclier de Brennus) . Mais j'éviterai quand même de le mettre au feu.
Vous pensez que le contexte vous ferait changer vos habitudes de préparation dans le vestiaire ?
Il existe certainement une pression supplémentaire quand tu sens toute une ville derrière toi et que tu es à Paris, mais j'essaierais quand même de me dire que cela reste un match de rugby parce que tu es toujours meilleur quand tu joues relâché. Après, je ne suis pas superstitieux. J'ai mes petites routines de préparation, j'embrasse simplement mon maillot, comme un gosse, en pensant que ça va m'aider à être meilleur.
Auriez-vous une demande à formuler au président de la République ?
Alors je n'y penserais sans doute pas en amont mais, me connaissant, avec le niveau d'excitation, surtout sur une finale, je crois sincèrement que je pourrais lui glisser une connerie. C'est dans mes cordes. Histoire de désacraliser un peu l'événement. Ou lui claquer une petite bisette après le match, ce serait parfait. L'an dernier un joueur toulousain avait demandé son passeport français à Emmanuel Macron. C'était vraiment très drôle. Bon, derrière, il ne faut pas se trouer non plus.
Le connaissant bien, arrivez-vous à deviner ce que vous aurait dit Christophe Urios dans le vestiaire ?
Ce n'est pas quelqu'un qui s'affole. Il sait où il va. Jusqu'au bout, il aurait su mener sa barque et je pense qu'il avait déjà quelques axes de travail en tête grâce auxquels nous aurions pu aller jusqu'au bout. Ou pas d'ailleurs. Mais Christophe travaille beaucoup en amont et il ne se serait pas laissé emporter par l'événement. Il nous aurait rassurés, mis en confiance et je n'aurais eu aucun doute sur sa capacité à nous transcender avec son discours.
Sur quoi a-t-il fait le plus progresser l'UBB ?
Il faut bien admettre qu'on n'y arrivait pas et il a apporté sa patte, son tempérament très humain, entier, et une méthode très cadrée. Mais, avant tout, il nous a inculqué à tous une culture de la gagne indéniable. Nous jouons chaque match, à domicile comme à l'extérieur, pour le gagner. Il a aussi eu la finesse de s'adapter au matériel qu'il avait sous la main et dès les premiers matches, on a proposé un rugby qui nous correspondait. Il mettait en place des stratégies que je n'avais jamais vraiment connues et on avait l'impression de savoir ce qui allait se passer avant de jouer. Si ça n'allait pas, eh bien on avait un plan B ou C. Cela nous offrait une vision, l'idée de pouvoir parer à tout. Je crois tous les joueurs unanimes : on a pris pas mal de plaisir dans le museau cette saison.
Vous êtes d'ailleurs toujours engagés
en Challenge européen, dont les phases finales devraient avoir lieu en septembre-octobre...
Et nous pourrions affronter Semi Radradra en demi-finales avec Bristol ! Mais je l'ai d'ores et déjà prévenu : "Semi, calme-toi, je commence déjà à m'échauffer les épaules. Si je te prends en travers mon coco..."
Vous l'avez déguisé en bébé pour le mettre à l'arrière de votre voiture (dans une vidéo sur son compte Instagram), il aurait été pas mal comme second rôle en cas de Brennus.
C'était fou. Il était ultra bien intégré, heureux et il avait envie de marquer l'histoire du club. Au club, on a découvert un mec respectueux, généreux, adorable et en dehors, un agneau. On a tissé une relation particulière, d'ailleurs, pour l'anecdote, il a appelé son dernier fils (3 mois) Nans. Je n'en revenais pas. Il a eu des mots vraiment touchants pour moi quand il me l'a présenté, je ne savais pas quoi dire, j'étais ému, j'ai failli en chialer. En tout cas, il va nous manquer. Semi n'est pas fait comme les autres. Il veut marquer son temps. Il est programmé pour ça. Il quitte Bordeaux vendredi (aujourd'hui) . On doit aller le voir avant le départ avec JB (Jean-Baptiste) Dubié et on se présentera en chemise fidjienne pour que les photos du dernier jour soient bien marquantes. Et puis, comme je viens des Hautes-Pyrénées, je vais offrir au petit un béret avec Nans marqué dessus. Ça leur fera un petit souvenir.
Si par bonheur vous gagnez le Brennus
un jour, vous annoncez combien de jours de bringues ?
A minima, une semaine. Je mets ma vie entre parenthèses. Tout le monde est au courant : ma copine, ma famille... Je prendrai avec moi une brosse à dents et une perruque et j'irai sillonner la ville avec les copains. Au coup de sifflet final, quand vous voyez la liesse, ces grands noms qui pleurent, c'est franchement fort. Ces images me mettent à chaque fois le poil au zénith, ça donne envie de se lever du canapé et de traverser l'écran pour se joindre à eux. Cette montée des marches où j'ai l'impression qu'on ne répond plus de rien, c'est une consécration.
L'année dernière, l'arrière des Saracens, Alex Goode, a placé la barre très haut en restant dans sa tenue de match pendant deux jours après le titre européen.
J'ai trouvé ça exceptionnel. Comment ça n'a pas été fait avant ? Quelle idée de génie ! Avec l'achat du petit sac banane en prime pour le portable et la carte bleue, non mais rien à redire. Il est rentré dans mon coeur.
Et le Brennus, avez-vous une idée du sort qui lui serait réservé ?
Là encore, c'est difficile à anticiper, mais on a une belle bande de pingouins pour réfléchir à ça.
Finalement, vous avez prévu quoi pour cette soirée de non-finale ?
Très bonne question à laquelle je n'ai pas réfléchi... (Rires.) Est-ce qu'on ne ferait pas quand même une petite soirée, pas pour fêter le titre, hein, mais pour enterrer définitivement cette saison ? À voir, des idées commencent à me venir. Bon, sachant qu'on a quand même entraînement samedi matin et que j'en connais un qui pourrait faire la grimace. »
Nans Ducuing « Une brosse à dents et une perruque » Ce 26 juin aurait dû être un jour de finale. L'arrière de l'UBB, leader du Top 14 au moment de l'arrêt de la saison, évoque ce qu'aurait pu être ce moment et la fête post-titre.
RENAUD BOUREL
Aujourd'hui devrait être le jour le plus long de la saison de Top 14. Mais le Covid-19 a fauché la saison 2019-2020 en plein vol, et il n'y aura pas de finale pour la première fois depuis 1942. Pour tenter de compenser ce manque, nous avons demandé à Nans Ducuing son rapport à ce moment si particulier dans la vie d'un joueur de rugby, ce que représente le Bouclier de Brennus pour quelqu'un qui ne l'a jamais encore approché. Il y avait du sens à demander à un joueur de l'UBB, leader incontestable du Championnat jusqu'à son arrêt, de se plier à un exercice d'équilibriste entre fiction imposée et rêve assumé. L'arrière girondin s'y est prêté avec sa sensibilité et son humour naturels.
« Vous souveniez-vous qu'aujourd'hui aurait dû se tenir la finale du Top 14 ?
J'avais bien noté la date durant la saison, mais avec l'arrêt de la compétition, le confinement et la reprise en juin de la prochaine, on avait un peu tous décroché.
L'UBB était un leader solide du Top 14, cela vous laisse-t-il des regrets ?
On n'avait pas du tout le sentiment d'être invincibles, mais on se sentait forts adossés à notre projet de jeu. Il restait quelques journées à jouer, mais plus on avançait, plus on parvenait à creuser l'écart. On avait quelques certitudes. Il est forcément difficile de dire que l'on rêvait du titre, mais nous avions des raisons de croire à cette qualification après laquelle l'UBB courait depuis longtemps. C'est vrai que, maintenant que vous m'en parlez, c'est difficile d'avaler la pilule (rires) . Pendant un petit mois, on a été persuadés que le Championnat allait reprendre et en voyant certains gros événements reportés ou annulés, on se disait que ça commençait à devenir coquin. Le rugby a tenté de résister un peu, mais il est quand même passé à la trappe. Après, du point de vue de l'UBB, j'espère que cette frustration nourrira un sentiment de revanche vis-à-vis du Covid-19 et que l'on aura encore plus la dalle la saison prochaine.
Une finale est un jour à part. Avez-vous déjà imaginé à quoi cela aurait ressemblé pour l'UBB ?
C'est difficile d'en parler quand on ne l'a jamais vécu, mais c'est un rêve absolu. C'est l'objet de notre motivation, tu y penses parfois avant de t'endormir. On a un public fabuleux et nombreux, donc j'imagine tout le peuple bordelais derrière nous. Ç'aurait été quelque chose d'extraordinaire de voir l'UBB monter au Stade de France, chercher à faire quelque chose pour rendre toute une ville et un département fiers. Et puis, moi, les seuls bouts de bois que j'ai touchés, ce sont les bûches pour la cheminée chez moi. Donc j'aimerais un jour avoir celui-là (le Bouclier de Brennus) . Mais j'éviterai quand même de le mettre au feu.
Vous pensez que le contexte vous ferait changer vos habitudes de préparation dans le vestiaire ?
Il existe certainement une pression supplémentaire quand tu sens toute une ville derrière toi et que tu es à Paris, mais j'essaierais quand même de me dire que cela reste un match de rugby parce que tu es toujours meilleur quand tu joues relâché. Après, je ne suis pas superstitieux. J'ai mes petites routines de préparation, j'embrasse simplement mon maillot, comme un gosse, en pensant que ça va m'aider à être meilleur.
Auriez-vous une demande à formuler au président de la République ?
Alors je n'y penserais sans doute pas en amont mais, me connaissant, avec le niveau d'excitation, surtout sur une finale, je crois sincèrement que je pourrais lui glisser une connerie. C'est dans mes cordes. Histoire de désacraliser un peu l'événement. Ou lui claquer une petite bisette après le match, ce serait parfait. L'an dernier un joueur toulousain avait demandé son passeport français à Emmanuel Macron. C'était vraiment très drôle. Bon, derrière, il ne faut pas se trouer non plus.
Le connaissant bien, arrivez-vous à deviner ce que vous aurait dit Christophe Urios dans le vestiaire ?
Ce n'est pas quelqu'un qui s'affole. Il sait où il va. Jusqu'au bout, il aurait su mener sa barque et je pense qu'il avait déjà quelques axes de travail en tête grâce auxquels nous aurions pu aller jusqu'au bout. Ou pas d'ailleurs. Mais Christophe travaille beaucoup en amont et il ne se serait pas laissé emporter par l'événement. Il nous aurait rassurés, mis en confiance et je n'aurais eu aucun doute sur sa capacité à nous transcender avec son discours.
Sur quoi a-t-il fait le plus progresser l'UBB ?
Il faut bien admettre qu'on n'y arrivait pas et il a apporté sa patte, son tempérament très humain, entier, et une méthode très cadrée. Mais, avant tout, il nous a inculqué à tous une culture de la gagne indéniable. Nous jouons chaque match, à domicile comme à l'extérieur, pour le gagner. Il a aussi eu la finesse de s'adapter au matériel qu'il avait sous la main et dès les premiers matches, on a proposé un rugby qui nous correspondait. Il mettait en place des stratégies que je n'avais jamais vraiment connues et on avait l'impression de savoir ce qui allait se passer avant de jouer. Si ça n'allait pas, eh bien on avait un plan B ou C. Cela nous offrait une vision, l'idée de pouvoir parer à tout. Je crois tous les joueurs unanimes : on a pris pas mal de plaisir dans le museau cette saison.
Vous êtes d'ailleurs toujours engagés
en Challenge européen, dont les phases finales devraient avoir lieu en septembre-octobre...
Et nous pourrions affronter Semi Radradra en demi-finales avec Bristol ! Mais je l'ai d'ores et déjà prévenu : "Semi, calme-toi, je commence déjà à m'échauffer les épaules. Si je te prends en travers mon coco..."
Vous l'avez déguisé en bébé pour le mettre à l'arrière de votre voiture (dans une vidéo sur son compte Instagram), il aurait été pas mal comme second rôle en cas de Brennus.
C'était fou. Il était ultra bien intégré, heureux et il avait envie de marquer l'histoire du club. Au club, on a découvert un mec respectueux, généreux, adorable et en dehors, un agneau. On a tissé une relation particulière, d'ailleurs, pour l'anecdote, il a appelé son dernier fils (3 mois) Nans. Je n'en revenais pas. Il a eu des mots vraiment touchants pour moi quand il me l'a présenté, je ne savais pas quoi dire, j'étais ému, j'ai failli en chialer. En tout cas, il va nous manquer. Semi n'est pas fait comme les autres. Il veut marquer son temps. Il est programmé pour ça. Il quitte Bordeaux vendredi (aujourd'hui) . On doit aller le voir avant le départ avec JB (Jean-Baptiste) Dubié et on se présentera en chemise fidjienne pour que les photos du dernier jour soient bien marquantes. Et puis, comme je viens des Hautes-Pyrénées, je vais offrir au petit un béret avec Nans marqué dessus. Ça leur fera un petit souvenir.
Si par bonheur vous gagnez le Brennus
un jour, vous annoncez combien de jours de bringues ?
A minima, une semaine. Je mets ma vie entre parenthèses. Tout le monde est au courant : ma copine, ma famille... Je prendrai avec moi une brosse à dents et une perruque et j'irai sillonner la ville avec les copains. Au coup de sifflet final, quand vous voyez la liesse, ces grands noms qui pleurent, c'est franchement fort. Ces images me mettent à chaque fois le poil au zénith, ça donne envie de se lever du canapé et de traverser l'écran pour se joindre à eux. Cette montée des marches où j'ai l'impression qu'on ne répond plus de rien, c'est une consécration.
L'année dernière, l'arrière des Saracens, Alex Goode, a placé la barre très haut en restant dans sa tenue de match pendant deux jours après le titre européen.
J'ai trouvé ça exceptionnel. Comment ça n'a pas été fait avant ? Quelle idée de génie ! Avec l'achat du petit sac banane en prime pour le portable et la carte bleue, non mais rien à redire. Il est rentré dans mon coeur.
Et le Brennus, avez-vous une idée du sort qui lui serait réservé ?
Là encore, c'est difficile à anticiper, mais on a une belle bande de pingouins pour réfléchir à ça.
Finalement, vous avez prévu quoi pour cette soirée de non-finale ?
Très bonne question à laquelle je n'ai pas réfléchi... (Rires.) Est-ce qu'on ne ferait pas quand même une petite soirée, pas pour fêter le titre, hein, mais pour enterrer définitivement cette saison ? À voir, des idées commencent à me venir. Bon, sachant qu'on a quand même entraînement samedi matin et que j'en connais un qui pourrait faire la grimace. »
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krahknardz- Team modo
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Re: Nans Ducuing
Je vous conseille de regarder cà, ca vaut son pesant de cacahuète ! 1h20 de rire !
L'anecdote de la surprise à Urios, chez lui, à 1h30 du mat' est géniale ! Par contre Urios qui s'endort à 1h devant sa TV en regardant un match de Super Rugby, c'est quand même dingue Le mec n'arrête jamais !
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Switch- Centre de presse
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Re: Nans Ducuing
Excellent !! L'anecdote et l'imitation de Brunel vaut aussi le détour
willoush- J'aime l'Union à la folie
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Re: Nans Ducuing
Switch a écrit:
Je vous conseille de regarder cà, ca vaut son pesant de cacahuète ! 1h20 de rire !
L'anecdote de la surprise à Urios, chez lui, à 1h30 du mat' est géniale ! Par contre Urios qui s'endort à 1h devant sa TV en regardant un match de Super Rugby, c'est quand même dingue Le mec n'arrête jamais !
Excellent en effet ! Merci pour le partage
Vince33- J'aime l'Union à la folie
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