Derniers sujets
» Musique !!!par Dr. Gregory Bouse Aujourd'hui à 21:55
» Transferts (Autres clubs)
par Dr. Gregory Bouse Aujourd'hui à 21:49
» 9ème journée : Oyonnax / UBB
par grospaquet31 Aujourd'hui à 21:42
» On va reprendre les bonnes habitudes: un peu de nétiquette
par S.K.I.T.O.c.m.f Aujourd'hui à 20:31
» Espoirs 2023-2024
par Scalp Aujourd'hui à 20:14
» Que deviennent nos anciens joueurs ?
par marchal Aujourd'hui à 17:56
» 8ème journée : UBB / USAP
par Scalp Aujourd'hui à 17:53
» 1ère journée CC : Connacht / UBB
par Dr. Gregory Bouse Aujourd'hui à 17:29
» Autres joueurs
par nadoloubb Aujourd'hui à 15:54
» Damian Penaud
par Scalp Aujourd'hui à 12:25
» Aménagement de Chaban-Delmas, stade de l'UBB
par le radis Aujourd'hui à 11:15
» Autres Clubs
par densnewzealand Aujourd'hui à 11:06
» Top Rugby sur TV7
par Scalp Aujourd'hui à 10:42
» Les règles du Ruby
par krahknardz Hier à 23:55
» UBB : Prolongations, Signatures, Départs pour 2024/2025
par Yatangaki Hier à 21:17
» Top14 : autres matchs
par densnewzealand Hier à 17:16
» Affluence au stade et popularité du Top14
par marchal Hier à 17:00
» Rugby et démence sénile
par marchal Hier à 16:58
» C'est beau, c'est Bordeaux !
par Scalp Lun 27 Nov 2023 - 20:10
» Super Rugby 2024
par patrick Lun 27 Nov 2023 - 18:36
» Tournoi des 6 Nations 2024
par Scalp Lun 27 Nov 2023 - 18:18
» Yann Lesgourgues
par biscouette Dim 26 Nov 2023 - 17:52
» Le Pognon et le Rugby
par marchal Dim 26 Nov 2023 - 17:48
» Lionnes 2023-2024
par marchal Dim 26 Nov 2023 - 17:41
» Sponsors de l'Union
par Scalp Sam 25 Nov 2023 - 15:53
» Mafia Cassoulet - Publireportages
par biscouette Ven 24 Nov 2023 - 21:48
» Tournoi des 6 Nations U20 2024
par Scalp Ven 24 Nov 2023 - 21:47
» Champions Cup 2023-2024
par Scalp Ven 24 Nov 2023 - 20:39
» Nicolas Depoortere
par Scalp Ven 24 Nov 2023 - 20:36
» Guido Petti
par Dr. Gregory Bouse Ven 24 Nov 2023 - 17:38
Election LNR 2021
+6
sudiste
Switch
tire-bouchon
grospaquet31
Scalp
bleu et blanc
10 participants
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté tribune officielle
Page 2 sur 2
Page 2 sur 2 • 1, 2
Re: Election LNR 2021
le premier parpaing est lancé.
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/sports/jean-michel-guillon-asm-apres-les-elections-a-la-lnr-il-y-avait-en-face-une-machine-de-guerre_13931258/
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/sports/jean-michel-guillon-asm-apres-les-elections-a-la-lnr-il-y-avait-en-face-une-machine-de-guerre_13931258/
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 1592
Date d'inscription : 06/06/2011
Re: Election LNR 2021
Ce qui est surtout dommage c'est que l'UBB ne soit pas représenté au sein de la Ligue !
Pour ce qui est de Bouscatel ou de Merling l'avenir nous dira....
Pour ce qui est de Bouscatel ou de Merling l'avenir nous dira....
bleu et blanc- J'aime l'Union passionnément
- Nombre de messages : 197
Localisation : Gironde
Date d'inscription : 02/07/2011
Re: Election LNR 2021
bleu et blanc a écrit:Ce qui est surtout dommage c'est que l'UBB ne soit pas représenté au sein de la Ligue !
Pour ce qui est de Bouscatel ou de Merling l'avenir nous dira....
C'est vrai, mais Marti l'avais évoqué il me semble, toute son énergie est focus sur , sauver le club, sa boite, et lui faire passer le cap de la crise.
Si c'est pour aller se fatiguer inutilement, il peux passer son tour....
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 3534
Localisation : sud langonnais
Date d'inscription : 14/01/2017
Humeur : variable
Age : 60
Re: Election LNR 2021
Un avocat de formation
Salarié pendant une décennie du ST, et viré car il avait trop l'habitude de privilégier ses potes plutôt que les intêrets du club.
En face un entrepreneur et ancien joueur comme Marti, un gars qui a fait grandir son entreprise et son club pour le plus grand plaisir de sa région.
On verra à l'usage mais j'avoue que j'aurai préféré le Charentais.
On ne va pas tarder à revoir le gars Peloux dans le circuit.




En face un entrepreneur et ancien joueur comme Marti, un gars qui a fait grandir son entreprise et son club pour le plus grand plaisir de sa région.
On verra à l'usage mais j'avoue que j'aurai préféré le Charentais.
On ne va pas tarder à revoir le gars Peloux dans le circuit.

léopold- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 9509
Localisation : A Musard derrière les espoirs
Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Election LNR 2021
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Coup gagnant et coups tordus : les leçons d’une élection
Le coup a été magistralement exécuté. Mardi matin à Paris, l’Assemblée générale de la Ligue nationale de rugby a porté à la présidence René Bouscatel, l’ancien président du Stade Toulousain, mais surtout elle a installé au comité directeur, en quasi exclusivité, les partisans d’un rapprochement avec la fédération éjectant du poste de pilotage toute une génération de dirigeants.
La prise de pouvoir des « réformateurs » a été spectaculaire. Elle a laissé sur le carreau dès le le 1er tour Vincent Merling qui briguait la présidence et Alain Tingaud, vice-président de la LNR depuis 8 ans qui s’était rallié au président du Stade Rochelais.
Dans les couloirs du Pullman de Bercy, on a croisé des présidents, proches de la vieille garde, sidérés par ce raz-de-marée. Et on les a entendus désigner le responsable de ce grand ménage d’un prudent « Tu sais qui ».
Un personnage à la Vautrin
Celui dont on ne prononce pas le nom, comme Voldemort, le Prince des Ténèbres dans Harry Potter, c’est Serge Simon. On a vu effectivement le vice-président de la FFR converser ou déjeuner après coup avec quelques uns des membres du nouveau comité directeur : Didier Lacroix (Stade Toulousain), Bernard Lemaître (Toulon), Jean-François Fonteneau (Agen), Yann Roubert (Lyon), Frédéric Calamel (Carcassonne).
Est-ce lui prêter trop de pouvoir que de l’imaginer en planificateur de la stratégie de vote des « réformateurs » ? Non, bien sûr. C’est lui qui en 2016 a ouvert les portes de la fédération à Bernard Laporte, en axant sa campagne sur le ralliement des clubs et non sur celui des comités régionaux. De la même façon, il a sans doute modifié l’approche de l’élection en focalisant les énergies sur la conquête du comité directeur.
Il est commode de voir en Serge Simon, un personnage à la Vautrin, celui qui, dans les romans de Balzac, tire dans l’ombre les ficelles de la Comédie humaine avec ses jeux de pouvoir et d’argent. Mais il faut abandonner tout regard manichéen sur ce qui s’est tramé dans les coulisses de cette élection. On s’est beaucoup agité aussi dans le camp adverse. On a promis, on a tenté de faire pression.
L’agacement de Merling
Il n’est pas certain, par exemple, que la manière dont Jacky Lorenzetti, le président du Racing 92, a essayé d’imposer la candidature de Vincent Merling ait été bien perçu par ses pairs.
De la même façon, les efforts d’Alain Carré, le président de l’Union des Clubs Professionnels, pour « shunter » l’Assemblée générale en procédant lundi soir à un vote préliminaire, n’ont pas aidé le président de La Rochelle. Vincent Merling espérait être intronisé lors de cette pré-élection. Son agacement en constatant qu’il était à égalité de voix avec René Bouscatel à l’issue de cette répétition générale, l’a desservi auprès des hésitants.
En suivant, on s’est beaucoup agité dans les couloirs du Pullman. On a même suggéré à René Bouscatel de se retirer pour éviter la division. « Cela a été un peu la nuit des longs couteaux », convient un participant.
Au milieu de cette pantomime pas très glorieuse mais très rugby, le seul geste de classe aura été celui de Pierre-Yves Revol, plaidant avec force la cause de Paul Goze. Sans l’intervention du Castrais, le président sortant n’aurait pas été élu au sein du collège des personnalités qualifiées, trusté par les « réformateurs ».
Au final, quelles leçons tirer de ces élections très mouvementées? Vont-elles changer fondamentalement la nature des relations entre les instances? La LNR est-elle menacée d’être assujettie à la Fédération ? La réponse est non.
Primo, comme le faisait remarquer un président hors des chapelles, « ceux qui pensent que René Bouscatel sera la marionnette des Didier Lacroix (Toulouse), Thomas Lombard (Stade Français), Bernard Lemaître (Toulon), le connaisse mal. » On peut même avancer que l’avocat toulousain (74 ans) sera plus indépendant que le Catalan (NDLR : Goze). Quant au front uni présenté par les “réformateurs”, on doute qu’il fasse long feu.
Ensuite, un certain de nombres de dossiers importants sont figés pour un bon moment. Le Top 14 ? René Bouscatel a indiqué qu’il n’y toucherait pas et le contrat fraîchement signé entre la Ligue et Canal +, court jusqu’en 2027. La convention LNR-FFR ? Elle va jusqu’en 2023. Le calendrier international ? World Rugby ne le modifiera pas avant la prochaine Coupe du monde. Et après ? Bernard Laporte devra quitter Marcoussis. Qui prendra la tête de la Fédération?
Arnaud David
a.david@sudouest.fr
Coup gagnant et coups tordus : les leçons d’une élection
Le coup a été magistralement exécuté. Mardi matin à Paris, l’Assemblée générale de la Ligue nationale de rugby a porté à la présidence René Bouscatel, l’ancien président du Stade Toulousain, mais surtout elle a installé au comité directeur, en quasi exclusivité, les partisans d’un rapprochement avec la fédération éjectant du poste de pilotage toute une génération de dirigeants.
La prise de pouvoir des « réformateurs » a été spectaculaire. Elle a laissé sur le carreau dès le le 1er tour Vincent Merling qui briguait la présidence et Alain Tingaud, vice-président de la LNR depuis 8 ans qui s’était rallié au président du Stade Rochelais.
Dans les couloirs du Pullman de Bercy, on a croisé des présidents, proches de la vieille garde, sidérés par ce raz-de-marée. Et on les a entendus désigner le responsable de ce grand ménage d’un prudent « Tu sais qui ».
Un personnage à la Vautrin
Celui dont on ne prononce pas le nom, comme Voldemort, le Prince des Ténèbres dans Harry Potter, c’est Serge Simon. On a vu effectivement le vice-président de la FFR converser ou déjeuner après coup avec quelques uns des membres du nouveau comité directeur : Didier Lacroix (Stade Toulousain), Bernard Lemaître (Toulon), Jean-François Fonteneau (Agen), Yann Roubert (Lyon), Frédéric Calamel (Carcassonne).
Est-ce lui prêter trop de pouvoir que de l’imaginer en planificateur de la stratégie de vote des « réformateurs » ? Non, bien sûr. C’est lui qui en 2016 a ouvert les portes de la fédération à Bernard Laporte, en axant sa campagne sur le ralliement des clubs et non sur celui des comités régionaux. De la même façon, il a sans doute modifié l’approche de l’élection en focalisant les énergies sur la conquête du comité directeur.
Il est commode de voir en Serge Simon, un personnage à la Vautrin, celui qui, dans les romans de Balzac, tire dans l’ombre les ficelles de la Comédie humaine avec ses jeux de pouvoir et d’argent. Mais il faut abandonner tout regard manichéen sur ce qui s’est tramé dans les coulisses de cette élection. On s’est beaucoup agité aussi dans le camp adverse. On a promis, on a tenté de faire pression.
L’agacement de Merling
Il n’est pas certain, par exemple, que la manière dont Jacky Lorenzetti, le président du Racing 92, a essayé d’imposer la candidature de Vincent Merling ait été bien perçu par ses pairs.
De la même façon, les efforts d’Alain Carré, le président de l’Union des Clubs Professionnels, pour « shunter » l’Assemblée générale en procédant lundi soir à un vote préliminaire, n’ont pas aidé le président de La Rochelle. Vincent Merling espérait être intronisé lors de cette pré-élection. Son agacement en constatant qu’il était à égalité de voix avec René Bouscatel à l’issue de cette répétition générale, l’a desservi auprès des hésitants.
En suivant, on s’est beaucoup agité dans les couloirs du Pullman. On a même suggéré à René Bouscatel de se retirer pour éviter la division. « Cela a été un peu la nuit des longs couteaux », convient un participant.
Au milieu de cette pantomime pas très glorieuse mais très rugby, le seul geste de classe aura été celui de Pierre-Yves Revol, plaidant avec force la cause de Paul Goze. Sans l’intervention du Castrais, le président sortant n’aurait pas été élu au sein du collège des personnalités qualifiées, trusté par les « réformateurs ».
Au final, quelles leçons tirer de ces élections très mouvementées? Vont-elles changer fondamentalement la nature des relations entre les instances? La LNR est-elle menacée d’être assujettie à la Fédération ? La réponse est non.
Primo, comme le faisait remarquer un président hors des chapelles, « ceux qui pensent que René Bouscatel sera la marionnette des Didier Lacroix (Toulouse), Thomas Lombard (Stade Français), Bernard Lemaître (Toulon), le connaisse mal. » On peut même avancer que l’avocat toulousain (74 ans) sera plus indépendant que le Catalan (NDLR : Goze). Quant au front uni présenté par les “réformateurs”, on doute qu’il fasse long feu.
Ensuite, un certain de nombres de dossiers importants sont figés pour un bon moment. Le Top 14 ? René Bouscatel a indiqué qu’il n’y toucherait pas et le contrat fraîchement signé entre la Ligue et Canal +, court jusqu’en 2027. La convention LNR-FFR ? Elle va jusqu’en 2023. Le calendrier international ? World Rugby ne le modifiera pas avant la prochaine Coupe du monde. Et après ? Bernard Laporte devra quitter Marcoussis. Qui prendra la tête de la Fédération?
Arnaud David
a.david@sudouest.fr
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 37724
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 56
Re: Election LNR 2021
https://www.midi-olympique.fr/2021/04/11/bouscatel-tient-son-gouvernement-9482215.php
Bouscatel tient son gouvernement
La LNR a tenu jeudi son premier Comité directeur depuis l’élection de René Bouscatel à sa tête. Le président sortant, Paul Goze, élu au Comité directeur, pouvait prétendre à une place au Bureau en tant que vice-président. Il n’en est rien.
Le premier comité directeur de la Ligue nationale de rugby sous l’égide du nouveau président René Bouscatel s’est déroulé jeudi dernier à Paris. L’occasion pour le successeur de Paul Goze de composer l’équipe avec laquelle il va présider aux destinées du rugby professionnel, durant les quatre prochaines années.[...]
Article réservé aux abonné(e)s.
Bouscatel tient son gouvernement
La LNR a tenu jeudi son premier Comité directeur depuis l’élection de René Bouscatel à sa tête. Le président sortant, Paul Goze, élu au Comité directeur, pouvait prétendre à une place au Bureau en tant que vice-président. Il n’en est rien.
Le premier comité directeur de la Ligue nationale de rugby sous l’égide du nouveau président René Bouscatel s’est déroulé jeudi dernier à Paris. L’occasion pour le successeur de Paul Goze de composer l’équipe avec laquelle il va présider aux destinées du rugby professionnel, durant les quatre prochaines années.[...]
Article réservé aux abonné(e)s.
_________________
Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
- Nombre de messages : 9880
Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 33
Page 2 sur 2 • 1, 2

» Election au CABBG
» Supersevens LNR 2021
» 6 Nations 2021
» espoirs 2020/2021
» Champions Cup 2021-2022
» Supersevens LNR 2021
» 6 Nations 2021
» espoirs 2020/2021
» Champions Cup 2021-2022
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté tribune officielle
Page 2 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|