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XV de France (partie en cours)
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XV de France (partie en cours)
Pensez vous que nos joueurs lucu woki et Moefana seront dans les 23 pour affronter l’Argentine ?
Jean puech- J'aime le rugby
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Re: XV de France (partie en cours)
Visiblement Woki sera titulaire
willoush- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Woki face à petti en touche ça va être un beau duel!
Jean puech- J'aime le rugby
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Re: XV de France (partie en cours)
Crunch, le podcast rugby de L'Équipe : l'évidence Jalibert-Ntamack
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Crunch-le-podcast-rugby-de-l-equipe-l-evidence-jalibert-ntamack/1296143
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Crunch-le-podcast-rugby-de-l-equipe-l-evidence-jalibert-ntamack/1296143
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Re: XV de France (partie en cours)
krahknardz a écrit:Je viens de regarder le résumé de Wales-NZ.... c'est assez effrayant la capacité des Blacks à coller 28 pions aux Galliis dans les 17 dernières minutes....🥶🥶
Leur victoire ne souffre d'aucune contestation, cela va s'en dire. N'empêche que le jour où ils seront arbitrés comme tout le monde ça pourrait leur faire bizarre. Raynal a été nullissime. J'étais gêné pour les gallois ......
zizou46- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Labit justifie le choix d'associer Jalibert et Ntamack
https://www.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2018-2019/xv-de-france-labit-justifie-le-choix-d-associer-matthieu-jalibert-bordeaux-begles-et-romain-ntamack-_sto8612130/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2018-2019/xv-de-france-labit-justifie-le-choix-d-associer-matthieu-jalibert-bordeaux-begles-et-romain-ntamack-_sto8612130/story.shtml
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Scalp- Team modo
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Re: XV de France (partie en cours)
bien compliqué tout ça comme si Matthieu "s'échappait" en défense.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/quinze-de-france-est-ce-une-bonne-idee-d-associer-matthieu-jalibert-en-dix-et-romain-ntamack-au-centre-6786352.php
Quinze de France : est-ce une bonne idée d’associer Matthieu Jalibert en dix et Romain Ntamack au centre ?
Par Arnaud David - a.david@sudouest.fr
Face aux Argentins, Fabien Galthié devrait titulariser Matthieu Jalibert en dix et décaler Romain Ntamack au poste de premier centre. Séduisante sur le papier, l’association de ces deux grands talents offensifs est-elle vraiment judicieuse ?
Leur histoire commune semblait devoir se résumer à une éternelle rivalité. Mais depuis janvier 2020, le hasard des blessures qui les avait frappés tour à tour avait permis d’éviter le débat : à qui confier le poste d’ouvreur du Quinze de France ? Qui sacrifier de Romain Ntamack ou de Matthieu Jalibert ?
Cet automne pourtant, il paraissait difficile d’échapper au dilemme. Comme s’ils voulaient rendre un peu plus cornélien le choix de Fabien Galthié, le Toulousain et le Bordelais ont enchaîné les coups d’éclat depuis le début de la saison et alimenté le récit d’un duel à distance. Et puis les forfaits d’Arthur Vincent mais surtout de Virimi Vakatawa au centre ont redistribué les cartes au sein de la ligne de trois-quarts, faisant resurgir au sein du staff l’envie de tester une idée qui sommeillait, celle d’associer ces deux pépites, avec Jalibert en dix et Ntamack en douze.
Avis partagés
Cette expérience, qui sera testée face aux Argentins ce samedi (21 heures), est-elle purement circonstancielle ou offre-t-elle des avantages qui peuvent l’amener à perdurer ? Sur le papier, le projet fait bien sûr saliver. Offensivement, aligner ce duo avec Antoine Dupont à la mêlée, c’est se doter d’un alliage vitesse + technique sans beaucoup d’équivalent dans le monde. Avec en plus, dans la dimension tactique, une capacité à jouer au pied, à exploiter la nouvelle règle des 50-22 très intéressante. On ajoutera que Romain Ntamack a fait ses armes au poste de premier centre et que l’année du premier sacre mondial des moins de 20 ans en 2018, Sébastien Piqueronies l’avait déplacé de 10 en 12 au profit de Louis Carbonel.
Mais ce qui était valide chez les jeunes il y a trois ans est-il transposable au plus haut niveau international ? En obligeant Romain Ntamack à se décaler, Fabien Galthié ne risque-t-il pas de casser des équilibres dans son système défensif, et de se priver au centre d’un attaquant qui pèse sur la ligne d’avantage ? Si la formule Jalibert - Ntamack ne laisse personne indifférent, les avis sont partagés.
Lagisquet : ” Les Néo-Zélandais le font depuis toujours “
Patrice Lagisquet (ancien ailier et entraîneur du XV de France) : « C’est une bonne idée. C’est intéressant d’avoir deux meneurs de jeu pour partager la distribution, la prise d’informations et les décisions. Les Néo-Zélandais le font depuis toujours avec ce qu’ils appellent le cinq huitième. À eux d’être intelligents, de communiquer dans les systèmes. Ce ne sera pas un problème de talent. Mais il ne faut pas qu’il y ait de problèmes d’ego. Même s’ils ne sont pas dans un jeu direct, Matthieu Jalibert et Romain Ntamack sont deux joueurs qui aiment attaquer la ligne, jouer des duels. Cela peut manquer un peu de puissance. Mais le ballon ira tellement vite grâce à leur technique. Défensivement, Ntamack est solide. On peut déplacer Jalibert en deuxième centre sur certaines situations défensives ou même intervertir avec l’ailier côté fermé sur des touches pour le placer tout de suite dans le troisième rideau. »
Sébastien Piqueronies (ancien entraîneur du XV de France des moins de 20 ans) : « Aligner Matthieu et Romain, c’est avoir deux joueurs qui orientent les décisions et qui sont très bons dans la réalisation à la main comme au pied. Cela peut amener beaucoup plus de danger sur tous les turn overs, la couverture du 3e rideau. Cela n’augmente pas le potentiel puncheur de l’équipe mais si on a un arrière avec le même profil, on a trois joueurs décisionnaires au service des 12 autres. On a à la mêlée un neuf non conventionnel avec Antoine Dupont qui tient la ligne, fait avancer l’équipe. C’est un centre qui joue à la mêlée. Je ne pense pas qu’on casse la relation Dupont - Ntamack. Est-ce que ce n’est pas plus confortable pour Matthieu de le mettre entre ces deux joueurs ? Romain est un compétiteur. C’est un ouvreur brillant, l’un des meilleurs de la planète. On ne le décale pas par manque de compétence mais parce qu’il est tellement dominant qu’il peut se permettre d’occuper un autre poste. C’est un très bon défenseur. Bien défendre, c’est un package. Ce n’est pas seulement dominer la collision mais bien lire, gagner l’espace par la course. »
Saint-André : “C’est le moment”
Philippe Saint-André (ancien ailier et entraîneur du XV de France) : « Avec le forfait de Vakatawa, c’est le moment d’essayer. Ce sont deux super joueurs, qui vont vraiment très vite. Actuellement, Jalibert est vraiment dominant en dix et Ntamack peut être un 12 très technique. Le problème de leur association ne sera pas en attaque mais en défense. Il va falloir peut-être repenser l’organisation collective, sur les touches notamment où cela peut taper très fort dans la zone 10-12 sur les premiers temps de jeu. Offensivement, leur association peut manquer un peu de puissance mais sur des courses rentrantes, Gaël Fickou peut venir attaquer la ligne d’avantage. Comme Damian Penaud. Cela peut être utile d’avoir Jonathan Danty sur le banc, qui est un gros plaqueur et qui conteste pour solidifier le milieu de terrain si nécessaire. »
Christophe Lamaison (ancien ouvreur du XV de France) : « La blessure de Vakatawa a relancé le débat. Voir Jalibert et Ntamack ensemble, c’est le souhait de tous les supporters. On a deux pépites. Jalibert a toutes les cartes en main pour occuper le poste de dix cet automne. Mais il faut se projeter sur France – Nouvelle-Zélande. Pas seulement, celui de novembre mais celui qui ouvrira la Coupe du monde. Qu’on aligne Jalibert sur les deux premiers matches contre l’Argentine et la Géorgie, très bien. Mais si l’on veut mettre en place notre jeu, il faut aligner la charnière toulousaine. Dans l’absolu, la meilleure association au centre reste Vakatawa - Fickou. Cela m’embêterait qu’on juge Romain Ntamack en 12 contre les All Blacks alors qu’il n’a plus les automatismes à ce poste. On ne s’invente pas des combinaisons à ce niveau. Il y a trop de détails à maîtriser, surtout dans le jeu mis en place par Fabien Galthié. »
Dourthe : “Ntamack joue dix tous les week-ends, pas trois-quarts centre”
Richard Dourthe (ancien centre du XV de France) : « « Je ne suis pas sûr de cette association. Il faut voir. C’est le terrain qui la validera ou pas. Ntamack joue dix tous les week-ends, pas trois-quarts centre. Ses automatismes, sa complicité avec Antoine Dupont sont une force. Pourquoi s’en priver ? Si on fait confiance à Matthieu Jalibert en dix, pourquoi le déplacer en deuxième centre sur des phases défensives alors que c’est le poste où il est le plus difficile de défendre ? D’autant qu’on va avoir deux ailiers Mathis Lebel et Damien Penaud qui peuvent avoir des flottements en défense. Le jeu de l’équipe de France, ce n’est pas non plus celui de l’UBB. Est-ce que Jalibert pourra s’exprimer de la même façon qu’à Bordeaux? L’envie d’avoir un ‘pied’ supplémentaire pour occuper le terrain se comprend mais est-ce que le jeu de dépossession sera la meilleure option face aux All Blacks ? »
Quinze de France : est-ce une bonne idée d’associer Matthieu Jalibert en dix et Romain Ntamack au centre ?
Par Arnaud David - a.david@sudouest.fr
Face aux Argentins, Fabien Galthié devrait titulariser Matthieu Jalibert en dix et décaler Romain Ntamack au poste de premier centre. Séduisante sur le papier, l’association de ces deux grands talents offensifs est-elle vraiment judicieuse ?
Leur histoire commune semblait devoir se résumer à une éternelle rivalité. Mais depuis janvier 2020, le hasard des blessures qui les avait frappés tour à tour avait permis d’éviter le débat : à qui confier le poste d’ouvreur du Quinze de France ? Qui sacrifier de Romain Ntamack ou de Matthieu Jalibert ?
Cet automne pourtant, il paraissait difficile d’échapper au dilemme. Comme s’ils voulaient rendre un peu plus cornélien le choix de Fabien Galthié, le Toulousain et le Bordelais ont enchaîné les coups d’éclat depuis le début de la saison et alimenté le récit d’un duel à distance. Et puis les forfaits d’Arthur Vincent mais surtout de Virimi Vakatawa au centre ont redistribué les cartes au sein de la ligne de trois-quarts, faisant resurgir au sein du staff l’envie de tester une idée qui sommeillait, celle d’associer ces deux pépites, avec Jalibert en dix et Ntamack en douze.
Avis partagés
Cette expérience, qui sera testée face aux Argentins ce samedi (21 heures), est-elle purement circonstancielle ou offre-t-elle des avantages qui peuvent l’amener à perdurer ? Sur le papier, le projet fait bien sûr saliver. Offensivement, aligner ce duo avec Antoine Dupont à la mêlée, c’est se doter d’un alliage vitesse + technique sans beaucoup d’équivalent dans le monde. Avec en plus, dans la dimension tactique, une capacité à jouer au pied, à exploiter la nouvelle règle des 50-22 très intéressante. On ajoutera que Romain Ntamack a fait ses armes au poste de premier centre et que l’année du premier sacre mondial des moins de 20 ans en 2018, Sébastien Piqueronies l’avait déplacé de 10 en 12 au profit de Louis Carbonel.
Mais ce qui était valide chez les jeunes il y a trois ans est-il transposable au plus haut niveau international ? En obligeant Romain Ntamack à se décaler, Fabien Galthié ne risque-t-il pas de casser des équilibres dans son système défensif, et de se priver au centre d’un attaquant qui pèse sur la ligne d’avantage ? Si la formule Jalibert - Ntamack ne laisse personne indifférent, les avis sont partagés.
Lagisquet : ” Les Néo-Zélandais le font depuis toujours “
Patrice Lagisquet (ancien ailier et entraîneur du XV de France) : « C’est une bonne idée. C’est intéressant d’avoir deux meneurs de jeu pour partager la distribution, la prise d’informations et les décisions. Les Néo-Zélandais le font depuis toujours avec ce qu’ils appellent le cinq huitième. À eux d’être intelligents, de communiquer dans les systèmes. Ce ne sera pas un problème de talent. Mais il ne faut pas qu’il y ait de problèmes d’ego. Même s’ils ne sont pas dans un jeu direct, Matthieu Jalibert et Romain Ntamack sont deux joueurs qui aiment attaquer la ligne, jouer des duels. Cela peut manquer un peu de puissance. Mais le ballon ira tellement vite grâce à leur technique. Défensivement, Ntamack est solide. On peut déplacer Jalibert en deuxième centre sur certaines situations défensives ou même intervertir avec l’ailier côté fermé sur des touches pour le placer tout de suite dans le troisième rideau. »
Sébastien Piqueronies (ancien entraîneur du XV de France des moins de 20 ans) : « Aligner Matthieu et Romain, c’est avoir deux joueurs qui orientent les décisions et qui sont très bons dans la réalisation à la main comme au pied. Cela peut amener beaucoup plus de danger sur tous les turn overs, la couverture du 3e rideau. Cela n’augmente pas le potentiel puncheur de l’équipe mais si on a un arrière avec le même profil, on a trois joueurs décisionnaires au service des 12 autres. On a à la mêlée un neuf non conventionnel avec Antoine Dupont qui tient la ligne, fait avancer l’équipe. C’est un centre qui joue à la mêlée. Je ne pense pas qu’on casse la relation Dupont - Ntamack. Est-ce que ce n’est pas plus confortable pour Matthieu de le mettre entre ces deux joueurs ? Romain est un compétiteur. C’est un ouvreur brillant, l’un des meilleurs de la planète. On ne le décale pas par manque de compétence mais parce qu’il est tellement dominant qu’il peut se permettre d’occuper un autre poste. C’est un très bon défenseur. Bien défendre, c’est un package. Ce n’est pas seulement dominer la collision mais bien lire, gagner l’espace par la course. »
Saint-André : “C’est le moment”
Philippe Saint-André (ancien ailier et entraîneur du XV de France) : « Avec le forfait de Vakatawa, c’est le moment d’essayer. Ce sont deux super joueurs, qui vont vraiment très vite. Actuellement, Jalibert est vraiment dominant en dix et Ntamack peut être un 12 très technique. Le problème de leur association ne sera pas en attaque mais en défense. Il va falloir peut-être repenser l’organisation collective, sur les touches notamment où cela peut taper très fort dans la zone 10-12 sur les premiers temps de jeu. Offensivement, leur association peut manquer un peu de puissance mais sur des courses rentrantes, Gaël Fickou peut venir attaquer la ligne d’avantage. Comme Damian Penaud. Cela peut être utile d’avoir Jonathan Danty sur le banc, qui est un gros plaqueur et qui conteste pour solidifier le milieu de terrain si nécessaire. »
Christophe Lamaison (ancien ouvreur du XV de France) : « La blessure de Vakatawa a relancé le débat. Voir Jalibert et Ntamack ensemble, c’est le souhait de tous les supporters. On a deux pépites. Jalibert a toutes les cartes en main pour occuper le poste de dix cet automne. Mais il faut se projeter sur France – Nouvelle-Zélande. Pas seulement, celui de novembre mais celui qui ouvrira la Coupe du monde. Qu’on aligne Jalibert sur les deux premiers matches contre l’Argentine et la Géorgie, très bien. Mais si l’on veut mettre en place notre jeu, il faut aligner la charnière toulousaine. Dans l’absolu, la meilleure association au centre reste Vakatawa - Fickou. Cela m’embêterait qu’on juge Romain Ntamack en 12 contre les All Blacks alors qu’il n’a plus les automatismes à ce poste. On ne s’invente pas des combinaisons à ce niveau. Il y a trop de détails à maîtriser, surtout dans le jeu mis en place par Fabien Galthié. »
Dourthe : “Ntamack joue dix tous les week-ends, pas trois-quarts centre”
Richard Dourthe (ancien centre du XV de France) : « « Je ne suis pas sûr de cette association. Il faut voir. C’est le terrain qui la validera ou pas. Ntamack joue dix tous les week-ends, pas trois-quarts centre. Ses automatismes, sa complicité avec Antoine Dupont sont une force. Pourquoi s’en priver ? Si on fait confiance à Matthieu Jalibert en dix, pourquoi le déplacer en deuxième centre sur des phases défensives alors que c’est le poste où il est le plus difficile de défendre ? D’autant qu’on va avoir deux ailiers Mathis Lebel et Damien Penaud qui peuvent avoir des flottements en défense. Le jeu de l’équipe de France, ce n’est pas non plus celui de l’UBB. Est-ce que Jalibert pourra s’exprimer de la même façon qu’à Bordeaux? L’envie d’avoir un ‘pied’ supplémentaire pour occuper le terrain se comprend mais est-ce que le jeu de dépossession sera la meilleure option face aux All Blacks ? »
Dernière édition par Scalp le Mar 2 Nov 2021 - 19:04, édité 1 fois
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Re: XV de France (partie en cours)
léopold a écrit:bien compliqué tout ça comme si Matthieu "s'échappait" en défense.
Je n'ai pas lu qu'il parlait que Mathieu s'échappait en défense, mais il faut être honnête, la défense de Mathieu est plus proche de celle de Garbajosa que de Seuteni
Ntamack est un bien meilleur défenseur que Mathieu. Mathieu étant beaucoup plus imprévisible et meilleur "attaquant".
zizou46- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
zizou46 a écrit:léopold a écrit:bien compliqué tout ça comme si Matthieu "s'échappait" en défense.
Je n'ai pas lu qu'il parlait que Mathieu s'échappait en défense, mais il faut être honnête, la défense de Mathieu est plus proche de celle de Garbajosa que de Seuteni
Ntamack est un bien meilleur défenseur que Mathieu. Mathieu étant beaucoup plus imprévisible et meilleur "attaquant".
La défense de Jaja est parfois plus risquée aussi, quand il fait des montées défensives rapides, pour couper ou gêner les transmissions, mais il a beaucoup de vitesse et de vista...
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:zizou46 a écrit:léopold a écrit:bien compliqué tout ça comme si Matthieu "s'échappait" en défense.
Je n'ai pas lu qu'il parlait que Mathieu s'échappait en défense, mais il faut être honnête, la défense de Mathieu est plus proche de celle de Garbajosa que de Seuteni
Ntamack est un bien meilleur défenseur que Mathieu. Mathieu étant beaucoup plus imprévisible et meilleur "attaquant".
La défense de Jaja est parfois plus risquée aussi, quand il fait des montées défensives rapides, pour couper ou gêner les transmissions, mais il a beaucoup de vitesse et de vista...
Depuis qu'il a pris des kilos il ne s'échappe plus en défense il gagne même des duels. Pour moi c'était un problème l'année dernière maintenant ça ne me fait plus peur
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Matthieu-jalibert-favori-pour-buter-avec-le-quinze-de-france-face-a-l-argentine/1296334
Matthieu Jalibert favori pour buter avec le quinze de France face à l'Argentine
En balance avec Romain Ntamack et Melvyn Jaminet, l'ouvreur bordelais paraît le mieux placé pour prendre la responsabilité des tirs au but face à l'Argentine, samedi.
Laurent Campistron
Le staff tricolore sait. « Le choix du buteur est tranché », a reconnu mardi le responsable de l'attaque tricolore Laurent Labit. Mais il nous reste un jour et demi d'entraînement avant l'annonce de la compo (jeudi), on laisse tous les joueurs travailler de la même façon (face aux perches). C'est important d'avoir plusieurs buteurs, parce qu'une blessure ou un coaching fait que ça peut changer. » Face aux Pumas, samedi, les Bleus n'auront ni un, ni deux, mais trois buteurs en puissance pour se charger des tirs au but, et peut-être même quatre si l'arrière Thomas Ramos venait à s'asseoir sur le banc. D'après les entraînements de la semaine passée, il semblerait que l'ouvreur bordelais Matthieu Jalibert jouisse d'une petite longueur d'avance sur son homologue toulousain Romain Ntamack (qui glissera au poste de premier centre contre l'Argentine) et l'arrière perpignanais Melvyn Jaminet.
C'est lui, en tout cas, lors du traditionnel entraînement à haute intensité du mercredi, qui avait tapé (et raté !) la transformation de l'essai inscrit par les présumés titulaires lors du scénario de fin de match imaginé par le sélectionneur Fabien Galthié en bout de séance.
Rien d'étonnant à ce choix, s'il venait à se confirmer. Jalibert a un peu plus de vécu et de repères que Jaminet en équipe de France, même si ce dernier avait parfaitement assumé son rôle de buteur lors de la dernière Tournée d'été en Australie. Il présente aussi un taux de réussite supérieur à celui de Ntamack en Top 14 depuis janvier 2020 (84 % contre 76 %). Surtout, il est le buteur n°1 de son club de l'UBB (quand Ntamack n'est que la doublure de Ramos à Toulouse), trône actuellement en tête du classement des meilleurs marqueurs du Championnat (95 points en 8 matches) et avait plutôt déjà bien assuré face aux poteaux avec les bleus lors des quatre premiers matches du Tournoi des Six Nations 2021 (15/18, 83 % de réussite), avant de se blesser contre le pays de Galles (choc à la tête).
Le pied, une arme supplémentaire aussi dans le jeu
Revoir Jalibert en buteur n°1 aurait donc du sens, d'autant que ça laisserait Ntamack se concentrer sur son replacement au centre et Jaminet s'installer un peu plus, sans trop de pression, à son poste d'arrière.
Une chose est certaine : une telle abondance d'excellents joueurs au pied ne peut pas nuire à cette équipe France. Et pas seulement dans l'exercice des tirs au but. « Ça amène aussi beaucoup de solutions, notamment dans notre camp, confirme Labit. On sait le problème que peut poser la règle du ''50-22'' à l'adversaire (un joueur qui trouve une touche dans les 22 m adverses en tapant au pied de sa moitié de terrain récupère la touche).
Quand l'équipe d'en face est en phase offensive dans notre camp et qu'elle perd le ballon, on peut très vite se retrouver en bonne position avec des joueurs capables de trouver des espaces au pied. Pareil sur les lancements à partir de mêlées dans notre camp. C'est très difficile pour l'adversaire de couvrir à la fois le fond du terrain et la première ligne de défense. Donc, disposer de quatre joueurs avec cette qualité-là au pied (il inclut Antoine Dupont dans le lot) est une arme supplémentaire qui va peut-être nous aider à avoir un peu plus d'espaces sur le premier rideau. »
Matthieu Jalibert favori pour buter avec le quinze de France face à l'Argentine
En balance avec Romain Ntamack et Melvyn Jaminet, l'ouvreur bordelais paraît le mieux placé pour prendre la responsabilité des tirs au but face à l'Argentine, samedi.
Laurent Campistron
Le staff tricolore sait. « Le choix du buteur est tranché », a reconnu mardi le responsable de l'attaque tricolore Laurent Labit. Mais il nous reste un jour et demi d'entraînement avant l'annonce de la compo (jeudi), on laisse tous les joueurs travailler de la même façon (face aux perches). C'est important d'avoir plusieurs buteurs, parce qu'une blessure ou un coaching fait que ça peut changer. » Face aux Pumas, samedi, les Bleus n'auront ni un, ni deux, mais trois buteurs en puissance pour se charger des tirs au but, et peut-être même quatre si l'arrière Thomas Ramos venait à s'asseoir sur le banc. D'après les entraînements de la semaine passée, il semblerait que l'ouvreur bordelais Matthieu Jalibert jouisse d'une petite longueur d'avance sur son homologue toulousain Romain Ntamack (qui glissera au poste de premier centre contre l'Argentine) et l'arrière perpignanais Melvyn Jaminet.
C'est lui, en tout cas, lors du traditionnel entraînement à haute intensité du mercredi, qui avait tapé (et raté !) la transformation de l'essai inscrit par les présumés titulaires lors du scénario de fin de match imaginé par le sélectionneur Fabien Galthié en bout de séance.
Rien d'étonnant à ce choix, s'il venait à se confirmer. Jalibert a un peu plus de vécu et de repères que Jaminet en équipe de France, même si ce dernier avait parfaitement assumé son rôle de buteur lors de la dernière Tournée d'été en Australie. Il présente aussi un taux de réussite supérieur à celui de Ntamack en Top 14 depuis janvier 2020 (84 % contre 76 %). Surtout, il est le buteur n°1 de son club de l'UBB (quand Ntamack n'est que la doublure de Ramos à Toulouse), trône actuellement en tête du classement des meilleurs marqueurs du Championnat (95 points en 8 matches) et avait plutôt déjà bien assuré face aux poteaux avec les bleus lors des quatre premiers matches du Tournoi des Six Nations 2021 (15/18, 83 % de réussite), avant de se blesser contre le pays de Galles (choc à la tête).
Le pied, une arme supplémentaire aussi dans le jeu
Revoir Jalibert en buteur n°1 aurait donc du sens, d'autant que ça laisserait Ntamack se concentrer sur son replacement au centre et Jaminet s'installer un peu plus, sans trop de pression, à son poste d'arrière.
Une chose est certaine : une telle abondance d'excellents joueurs au pied ne peut pas nuire à cette équipe France. Et pas seulement dans l'exercice des tirs au but. « Ça amène aussi beaucoup de solutions, notamment dans notre camp, confirme Labit. On sait le problème que peut poser la règle du ''50-22'' à l'adversaire (un joueur qui trouve une touche dans les 22 m adverses en tapant au pied de sa moitié de terrain récupère la touche).
Quand l'équipe d'en face est en phase offensive dans notre camp et qu'elle perd le ballon, on peut très vite se retrouver en bonne position avec des joueurs capables de trouver des espaces au pied. Pareil sur les lancements à partir de mêlées dans notre camp. C'est très difficile pour l'adversaire de couvrir à la fois le fond du terrain et la première ligne de défense. Donc, disposer de quatre joueurs avec cette qualité-là au pied (il inclut Antoine Dupont dans le lot) est une arme supplémentaire qui va peut-être nous aider à avoir un peu plus d'espaces sur le premier rideau. »
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
A priori Matthieu ne serait pas premier buteur, on innove,prenons un gamin qui n'a jamais évolué à ce niveau et puis on va jouer avec deux 10, car Matthieu n'est pas bon en défense, bref s'il n'a aucune qualité qu'il reste à l'UBB, là on saura apprécier toutes ses prétendues faiblesse.
Ce staff à surtout la chance de bénéficier d'une génération de joueur que nous n'avions pas eu depuis longtemps, les clubs ont fait du bon boulot et la Fédé joue avec.
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léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Faut pas s’énerver si tôt le matin. J’imagine que si Jaminet est désigné buteur, c’est que c’est lui qui a le meilleur taux de réussite. Et puis répartir les responsabilités, c’est une bonne chose. Décharger Mathieu d’être premier défenseur, j’en suis ravi. Je le souhaitais. Non pas qu’il ne soit pas courageux, mais encore une fois chacun ses qualités et ses spécificités. Si on peut lui épargner de prendre Facundo Isa dans le museau sur chaque mêlée argentine, il n’en sera que plus lucide pour faire ce pour quoi il est le plus doué: attaquer et occuper.
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france-derniers-arrives-premiers-choisis-6808710.php
XV de France : Derniers arrivés, premiers choisis ?
Par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial
Blessés au début du rassemblement, Mohamed Haouas et Gabin Villière postulent pour une place de titulaire samedi face à l’Argentine après avoir rejoint les Bleus dimanche. Fabien Galthié annonce l’équipe appelée à défier les Pumas ce jeudi midi
C’est tout le paradoxe de la transparence. Parfois, elle peut entretenir un certain flou. En distribuant ostensiblement des chasubles bleues agrémentées de numéros sans équivoque aux joueurs promis à une titularisation, Fabien Galthié ne fait jamais réellement mystère de ses choix. Une règle édictée par le sélectionneur depuis le début de son mandat qui ne souffre qu’une seule exception. Lorsqu’en octobre 2020, Arthur Retière avait finalement été relégué sur le banc après avoir pourtant effectué la séance à haute intensité dans l’équipe dite des « titulaires » la veille de l’annonce de la composition officielle.
Un unique précédent qui revient en mémoire à chaque fois qu’un choix détonne… Et c’est exactement ce qui s’est produit ce mercredi à Marcoussis lorsque le pilier droit Mohamed Haouas et l’ailier Gabin Villière sont apparus en bleu lors du dernier entraînement à haute intensité avant le match face à l’Argentine ce samedi au Stade de France (21 h 05). Ce sont le droitier lyonnais Demba Bamba et l’ailier toulousain Matthis Lebel, qui avaient tous deux effectué l’essentiel de la préparation avec les probables titulaires, qui pourraient en faire les frais.
Blessés au début du rassemblement, les deux joueurs n’ont pourtant rallié Marcoussis que dimanche soir après avoir été convoqués au sein de la liste des 14 censée regarnir un groupe France réduit à 28 éléments, conformément aux accords FFR-LNR, depuis mercredi dernier.
Haouas, un mois sans jouer
Victime d’une blessure musculaire, Mohamed Haouas n’a plus joué depuis la 5e journée de Top 14. Le Montpelliérain avait disputé 31 minutes lors de la réception du Stade Rochelais le 2 octobre dernier. Et si le nom de Gabin Villière avait été prononcé par Fabien Galthié lors de l’annonce de la liste des 42 en vue de cette tournée, l’ailier de Toulon avait été contraint de renoncer à sa convocation en raison d’une grosse béquille.
On pourra toujours débattre de la pertinence de ces réintégrations express si Fabien Galthié devait confirmer ces choix ce jeudi midi lors de l’annonce de l’équipe qui affrontera l’Argentine dans le premier des trois tests de la tournée d’automne. En revanche, ces discussions n’écorneront pas le statut de ces deux éléments qui se sont affirmés au rang des premiers choix du sélectionneur. Depuis le Tournoi 2020 pour Mohamed Haouas, qui est loué par le staff pour sa capacité de déplacement et son abattage défensif, et depuis le Tournoi 2021 pour Gabin Villière.
Au-delà de ces deux cas particuliers, le dernier entraînement à haute intensité de la semaine a conforté les tendances apparues depuis deux semaines. Matthieu Jalibert et Romain Ntamack sont toujours associés en tant qu’ouvreur et premier centre. Le deuxième ligne toulousain Thibault Flament est tout proche d’une première cape en tant que titulaire. Anthony Jelonch devrait être préféré à Grégory Alldritt qui avait pourtant fait sien le numéro 8 depuis la Coupe du monde 2019.
L’équipe possible : Jaminet - Penaud, Fickou, Ntamack, Villière - (o) Jalibert, (m) Dupont - Woki, Jelonch, Cros - Willemse, Flament - Haouas, Marchand, Baille.
XV de France : Derniers arrivés, premiers choisis ?
Par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial
Blessés au début du rassemblement, Mohamed Haouas et Gabin Villière postulent pour une place de titulaire samedi face à l’Argentine après avoir rejoint les Bleus dimanche. Fabien Galthié annonce l’équipe appelée à défier les Pumas ce jeudi midi
C’est tout le paradoxe de la transparence. Parfois, elle peut entretenir un certain flou. En distribuant ostensiblement des chasubles bleues agrémentées de numéros sans équivoque aux joueurs promis à une titularisation, Fabien Galthié ne fait jamais réellement mystère de ses choix. Une règle édictée par le sélectionneur depuis le début de son mandat qui ne souffre qu’une seule exception. Lorsqu’en octobre 2020, Arthur Retière avait finalement été relégué sur le banc après avoir pourtant effectué la séance à haute intensité dans l’équipe dite des « titulaires » la veille de l’annonce de la composition officielle.
Un unique précédent qui revient en mémoire à chaque fois qu’un choix détonne… Et c’est exactement ce qui s’est produit ce mercredi à Marcoussis lorsque le pilier droit Mohamed Haouas et l’ailier Gabin Villière sont apparus en bleu lors du dernier entraînement à haute intensité avant le match face à l’Argentine ce samedi au Stade de France (21 h 05). Ce sont le droitier lyonnais Demba Bamba et l’ailier toulousain Matthis Lebel, qui avaient tous deux effectué l’essentiel de la préparation avec les probables titulaires, qui pourraient en faire les frais.
Blessés au début du rassemblement, les deux joueurs n’ont pourtant rallié Marcoussis que dimanche soir après avoir été convoqués au sein de la liste des 14 censée regarnir un groupe France réduit à 28 éléments, conformément aux accords FFR-LNR, depuis mercredi dernier.
Haouas, un mois sans jouer
Victime d’une blessure musculaire, Mohamed Haouas n’a plus joué depuis la 5e journée de Top 14. Le Montpelliérain avait disputé 31 minutes lors de la réception du Stade Rochelais le 2 octobre dernier. Et si le nom de Gabin Villière avait été prononcé par Fabien Galthié lors de l’annonce de la liste des 42 en vue de cette tournée, l’ailier de Toulon avait été contraint de renoncer à sa convocation en raison d’une grosse béquille.
On pourra toujours débattre de la pertinence de ces réintégrations express si Fabien Galthié devait confirmer ces choix ce jeudi midi lors de l’annonce de l’équipe qui affrontera l’Argentine dans le premier des trois tests de la tournée d’automne. En revanche, ces discussions n’écorneront pas le statut de ces deux éléments qui se sont affirmés au rang des premiers choix du sélectionneur. Depuis le Tournoi 2020 pour Mohamed Haouas, qui est loué par le staff pour sa capacité de déplacement et son abattage défensif, et depuis le Tournoi 2021 pour Gabin Villière.
Au-delà de ces deux cas particuliers, le dernier entraînement à haute intensité de la semaine a conforté les tendances apparues depuis deux semaines. Matthieu Jalibert et Romain Ntamack sont toujours associés en tant qu’ouvreur et premier centre. Le deuxième ligne toulousain Thibault Flament est tout proche d’une première cape en tant que titulaire. Anthony Jelonch devrait être préféré à Grégory Alldritt qui avait pourtant fait sien le numéro 8 depuis la Coupe du monde 2019.
L’équipe possible : Jaminet - Penaud, Fickou, Ntamack, Villière - (o) Jalibert, (m) Dupont - Woki, Jelonch, Cros - Willemse, Flament - Haouas, Marchand, Baille.
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/avant-xv-de-france-argentine-entre-argentins-on-forme-une-famille-6781901.php
Avant France – Argentine : « Entre Argentins, on forme une famille »
Santiago Cordero et Guido Petti, le 22 octobre au centre d’entraînement de l’UBB Crédit photo : T. Konczylo / UBB
Par Julien Duby et Yoan Leshauriès - sport@sudouest.fr
Quatorze joueurs argentins parmi ceux qui affronteront la France samedi évoluent en Pro D2 ou Top 14, comme les Bordelais Santiago Cordero et Guido Petti, qui se sentent ici comme chez eux
L’accent est chantant, mais le Français déjà impeccable. Quand Santiago Cordero et Guido Petti s’installent dans la confortable salle de réunion de l’Union Bordeaux-Bègles, les deux Argentins ne regardent pas la montre et affichent une complicité qui en dit long sur l’ambiance qui peut régner chez les Pumas lorsqu’ils enfilent le beau maillot ciel et blanc. « Si on s’entend bien ? Non, je le déteste », branche l’ailier dans un éclat de rire, sans s’inquiéter des 30 kg qu’il rend à son copain deuxième ligne.
En réalité, la complicité est palpable entre les deux hommes, qui vivent à 100 mètres l’un de l’autre dans le centre de Bordeaux. « C’est Santiago qui m’a aidé à m’intégrer au groupe. Pour la traduction, les premiers jours. Puis pour chercher l’appartement. Il n’a pas cherché loin, il voulait que je sois proche de lui, se marre le colosse Petti. Il m’a même aidé pour acheter et transporter mes meubles. Les premiers mois, il était vraiment précieux. Depuis, on passe beaucoup de temps ensemble, même s’il a sa famille et que j’essaie de les laisser un peu tranquille ».
« On est tous Latins »
Cordero est arrivé en éclaireur à l’UBB, dès 2019, après deux saisons à Exeter dans le championnat anglais. Largement le temps pour l’ailier de s’acclimater à la vie européenne, puis aux spécificités bordelaises. Idéal pour Petti qui a débarqué à peine un an plus tard, lorsque la franchise argentine des Jaguares a été privée de Super Rugby en raison de la pandémie de Covid. Un exil qu’il n’avait pas forcément anticipé mais qui s’est fait sans stress. « Quand je suis parti d’Argentine, on m’a beaucoup dit : tu verras, les Français sont froids. Mais quand je suis arrivé ici, je n’ai pas senti ça. J’ai trouvé des gens chaleureux, au club, en ville, le soir. Je me sens vraiment comme chez moi. On est tous latins, c’est peut-être pour ça. Bien sûr, ce n’est pas mon pays, il n’y a pas ma famille, mais je me sens bien. »
« Quitter l’Argentine pour venir jouer ici ? Si tu as l’esprit assez ouvert et que tu es armé mentalement, il n’y a pas d’obstacle »
Une intégration d’autant plus facilitée que la diaspora argentine est toujours bien palpable et qu’elle n’est pas nouvelle dans le rugby français, qui a vu passer les Pichot, Hasan, Ledesma, Dominguez, Albacete, Hernandez, Arbizu etc, bien avant eux. « Quitter l’Argentine pour venir jouer ici ? Ce n’est pas vraiment compliqué, estime Santiago Cordero, rappelé dans le groupe argentin pour cette tournée après la blessure du Toulousain Juan Cruz Mallia. Si tu as l’esprit assez ouvert et que tu es armé mentalement, il n’y a pas d’obstacle. En Argentine, on regarde beaucoup les rugby anglais et français. Moi, j’avais la Coupe du monde 2007 en France pour référence. »
« Quand il a fallu affronter les Blacks, on a utilisé ce feu qui brûlait en nous comme un moteur »
Entre Pro D2 et Top 14, ils sont quatorze à faire partie du groupe retenu pour la tournée d’automne, et bien plus encore à se croiser sur les terrains chaque week-end. « Avant, on était ensemble pendant 5-6 mois par an avec les Jaguares, résume Petti, en évoquant cette franchise qui a permis à l’Argentine de se créer une sorte d’équipe nationale-bis, qui a affronté les meilleures franchises de l’hémisphère Sud, jusqu’à atteindre la finale (face aux Crusaders) en 2019, sous les ordres de Gonzalo Quesada. On forme une famille. On se connaît tous. C’est une relation forte. Même si on ne peut pas facilement se voir, parce qu’on habite tous dans des villes différentes, qu’on joue tous les week-ends. Quand on s’affronte, on essaie de trouver un moment pour se voir et discuter un peu. On a un groupe WhatsApp. Il m’arrive parfois d’aller passer un week-end à Paris et rejoindre Nicolas Sanchez. Ce week-end (l’entretien a été réalisé le 22 octobre), on reçoit Perpignan et vendredi soir j’irai sans doute voir Bautista Delguy à son hôtel. »
À l’heure de partir en tournée et de débuter contre la France samedi au Stade de France, la famille argentine est donc prête à se reformer. Prête à retrouver toute sa grinta, à défaut de s’avancer dans des conditions idéales de préparation. La dynamique Jaguares a été brisée par le Covid et l’Argentine n’a plus joué un match à domicile depuis 2019. « Mais on ne veut pas se servir du manque de moyens comme d’une excuse, interrompt Cordero. Car il y a d’autres équipes qui sont encore moins bien loties que nous. Ce qui nous manque le plus, c’est de jouer devant notre public, de communier avec lui. » Et Petti d’enchaîner : « les obstacles devant nous ne seront jamais des excuses à nos défaites, mais un moteur pour avancer, ça oui. »
Sans doute comme cet exploit sorti de nulle part, il y a un an tout juste, contre les All Blacks. Une victoire 25-15 que personne n’avait vu venir et qui n’a pas eu de lendemain jusque-là. « C’était à la sortie du confinement. On a utilisé tous les sentiments qu’a pu provoquer le fait de rester enfermé pendant 2-3 mois dans un appartement de 40 m². Moi j’avais la chance d’être ici, mais beaucoup de joueurs en Argentine se sont entraînés seuls. Mentalement, ce n’était pas facile, mais quand il a fallu affronter les Blacks, on a utilisé ce feu qui brûlait en nous comme un moteur. »
« Les Français parlent »
Aujourd’hui, les conditions sont évidemment moins compliquées, mais un autre carburant peut nourrir le XV argentin samedi : l’éternelle rivalité avec le XV de France, entre amitié et excès de confiance, complicité et petites provocations. À l’UBB, elles ont gentiment commencé ces dernières semaines et donnent le sourire aux deux Pumas avant ce « match chaud ». Guido Petti semble impatient. « On dit que les Argentins parlent, mais c’est faux, ce sont les Français qui parlent, beaucoup, sourit-il. Ils me disent : tu vas voir, tu vas prendre 40 points. On va voir oui. J’aime bien, ils ont de la confiance… »
Avant France – Argentine : « Entre Argentins, on forme une famille »
Santiago Cordero et Guido Petti, le 22 octobre au centre d’entraînement de l’UBB Crédit photo : T. Konczylo / UBB
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Quatorze joueurs argentins parmi ceux qui affronteront la France samedi évoluent en Pro D2 ou Top 14, comme les Bordelais Santiago Cordero et Guido Petti, qui se sentent ici comme chez eux
L’accent est chantant, mais le Français déjà impeccable. Quand Santiago Cordero et Guido Petti s’installent dans la confortable salle de réunion de l’Union Bordeaux-Bègles, les deux Argentins ne regardent pas la montre et affichent une complicité qui en dit long sur l’ambiance qui peut régner chez les Pumas lorsqu’ils enfilent le beau maillot ciel et blanc. « Si on s’entend bien ? Non, je le déteste », branche l’ailier dans un éclat de rire, sans s’inquiéter des 30 kg qu’il rend à son copain deuxième ligne.
En réalité, la complicité est palpable entre les deux hommes, qui vivent à 100 mètres l’un de l’autre dans le centre de Bordeaux. « C’est Santiago qui m’a aidé à m’intégrer au groupe. Pour la traduction, les premiers jours. Puis pour chercher l’appartement. Il n’a pas cherché loin, il voulait que je sois proche de lui, se marre le colosse Petti. Il m’a même aidé pour acheter et transporter mes meubles. Les premiers mois, il était vraiment précieux. Depuis, on passe beaucoup de temps ensemble, même s’il a sa famille et que j’essaie de les laisser un peu tranquille ».
« On est tous Latins »
Cordero est arrivé en éclaireur à l’UBB, dès 2019, après deux saisons à Exeter dans le championnat anglais. Largement le temps pour l’ailier de s’acclimater à la vie européenne, puis aux spécificités bordelaises. Idéal pour Petti qui a débarqué à peine un an plus tard, lorsque la franchise argentine des Jaguares a été privée de Super Rugby en raison de la pandémie de Covid. Un exil qu’il n’avait pas forcément anticipé mais qui s’est fait sans stress. « Quand je suis parti d’Argentine, on m’a beaucoup dit : tu verras, les Français sont froids. Mais quand je suis arrivé ici, je n’ai pas senti ça. J’ai trouvé des gens chaleureux, au club, en ville, le soir. Je me sens vraiment comme chez moi. On est tous latins, c’est peut-être pour ça. Bien sûr, ce n’est pas mon pays, il n’y a pas ma famille, mais je me sens bien. »
« Quitter l’Argentine pour venir jouer ici ? Si tu as l’esprit assez ouvert et que tu es armé mentalement, il n’y a pas d’obstacle »
Une intégration d’autant plus facilitée que la diaspora argentine est toujours bien palpable et qu’elle n’est pas nouvelle dans le rugby français, qui a vu passer les Pichot, Hasan, Ledesma, Dominguez, Albacete, Hernandez, Arbizu etc, bien avant eux. « Quitter l’Argentine pour venir jouer ici ? Ce n’est pas vraiment compliqué, estime Santiago Cordero, rappelé dans le groupe argentin pour cette tournée après la blessure du Toulousain Juan Cruz Mallia. Si tu as l’esprit assez ouvert et que tu es armé mentalement, il n’y a pas d’obstacle. En Argentine, on regarde beaucoup les rugby anglais et français. Moi, j’avais la Coupe du monde 2007 en France pour référence. »
« Quand il a fallu affronter les Blacks, on a utilisé ce feu qui brûlait en nous comme un moteur »
Entre Pro D2 et Top 14, ils sont quatorze à faire partie du groupe retenu pour la tournée d’automne, et bien plus encore à se croiser sur les terrains chaque week-end. « Avant, on était ensemble pendant 5-6 mois par an avec les Jaguares, résume Petti, en évoquant cette franchise qui a permis à l’Argentine de se créer une sorte d’équipe nationale-bis, qui a affronté les meilleures franchises de l’hémisphère Sud, jusqu’à atteindre la finale (face aux Crusaders) en 2019, sous les ordres de Gonzalo Quesada. On forme une famille. On se connaît tous. C’est une relation forte. Même si on ne peut pas facilement se voir, parce qu’on habite tous dans des villes différentes, qu’on joue tous les week-ends. Quand on s’affronte, on essaie de trouver un moment pour se voir et discuter un peu. On a un groupe WhatsApp. Il m’arrive parfois d’aller passer un week-end à Paris et rejoindre Nicolas Sanchez. Ce week-end (l’entretien a été réalisé le 22 octobre), on reçoit Perpignan et vendredi soir j’irai sans doute voir Bautista Delguy à son hôtel. »
À l’heure de partir en tournée et de débuter contre la France samedi au Stade de France, la famille argentine est donc prête à se reformer. Prête à retrouver toute sa grinta, à défaut de s’avancer dans des conditions idéales de préparation. La dynamique Jaguares a été brisée par le Covid et l’Argentine n’a plus joué un match à domicile depuis 2019. « Mais on ne veut pas se servir du manque de moyens comme d’une excuse, interrompt Cordero. Car il y a d’autres équipes qui sont encore moins bien loties que nous. Ce qui nous manque le plus, c’est de jouer devant notre public, de communier avec lui. » Et Petti d’enchaîner : « les obstacles devant nous ne seront jamais des excuses à nos défaites, mais un moteur pour avancer, ça oui. »
Sans doute comme cet exploit sorti de nulle part, il y a un an tout juste, contre les All Blacks. Une victoire 25-15 que personne n’avait vu venir et qui n’a pas eu de lendemain jusque-là. « C’était à la sortie du confinement. On a utilisé tous les sentiments qu’a pu provoquer le fait de rester enfermé pendant 2-3 mois dans un appartement de 40 m². Moi j’avais la chance d’être ici, mais beaucoup de joueurs en Argentine se sont entraînés seuls. Mentalement, ce n’était pas facile, mais quand il a fallu affronter les Blacks, on a utilisé ce feu qui brûlait en nous comme un moteur. »
« Les Français parlent »
Aujourd’hui, les conditions sont évidemment moins compliquées, mais un autre carburant peut nourrir le XV argentin samedi : l’éternelle rivalité avec le XV de France, entre amitié et excès de confiance, complicité et petites provocations. À l’UBB, elles ont gentiment commencé ces dernières semaines et donnent le sourire aux deux Pumas avant ce « match chaud ». Guido Petti semble impatient. « On dit que les Argentins parlent, mais c’est faux, ce sont les Français qui parlent, beaucoup, sourit-il. Ils me disent : tu vas voir, tu vas prendre 40 points. On va voir oui. J’aime bien, ils ont de la confiance… »
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Re: XV de France (partie en cours)
XV de France: la compo face à l’Argentine avec Jalibert à l’ouverture et Ntamack au centre
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france/xv-de-france-la-compo-face-a-l-argentine-avec-jalibert-a-l-ouverture-et-ntamack-au-centre_AV-202111040204.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france/xv-de-france-la-compo-face-a-l-argentine-avec-jalibert-a-l-ouverture-et-ntamack-au-centre_AV-202111040204.html
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Re: XV de France (partie en cours)
Qui vivra verra,les Argentins ne sont pas des foudres de guerre mais ils connaissent notre rugby par coeur.
Delpoux disait, le Rugby est un sport simple qui doit être pratiqué avec rigueur et maitrise, le reste c'est du cinéma.
Delpoux disait, le Rugby est un sport simple qui doit être pratiqué avec rigueur et maitrise, le reste c'est du cinéma.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
lucu sur le banc grosse surprise
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
nadoloubb a écrit:lucu sur le banc grosse surprise
Pour moi ce n’est pas une surprise ; j’étais persuadé que Galthié avait un plan pour lui et qu’il lui faisait beaucoup confiance. Et les images des oppositions laissaient penser que Lucu allait être soit titulaire, soit remplaçant. En plus, en rentrant ça fera une charnière 100% bordelo-béglaise. C’est bien au niveau de l’entente, des automatismes.
Content que Villière soit de retour, je le préfère à Lebel.
SympathyForTheDevil- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
nadoloubb a écrit:lucu sur le banc grosse surprise
Et Woki titulaire, ce qui n'était pas gagné...
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