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Tournoi des 6 Nations féminin 2022
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
Notre talon n'est pas sur la feuille.
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
léopold a écrit:Notre talon n'est pas sur la feuille.
Oui, j'ai vu ça, je ne sais pas pourquoi
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
Absente du groupe bleu, Sochat est devenue maman
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations-feminin/2022/tournoi-des-6-nations-feminin-absente-du-groupe-bleu-agathe-sochat-est-devenue-maman_sto8867622/story.shtml
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Tournoi-des-six-nations-comment-les-bleues-ont-progresse-au-pied/1325479
Tournoi des Six Nations : comment les Bleues ont progressé au pied
Régulièrement mises en difficulté dans le jeu au pied dans un passé récent, les Bleues affichent leurs progrès dans ce secteur. Le fruit d'un long processus aussi technique que psychologique.
Émilie Boulard, arrière de l'équipe de France, à l'entraînement mercredi à Marcoussis. (F. Faugère/L'Équipe)
Yann Sternis
Mercredi, à la sortie d'un entraînement intense et particulièrement humide, alors que certaines joueuses de l'équipe de France s'essaient à un boueux ventriglisse, elles sont une dizaine à faire du rab sur le terrain d'honneur du CNR à Marcoussis, travaillant méticuleusement leur jeu au pied. « Mais tu n'arrives pas à croiser ou quoi ? », lance à Chloé Jacquet un Romain Loursac chambreur. Le médecin de l'équipe de France et ancien ouvreur du LOU réceptionne et renvoie le ballon à la centre tandis qu'à quelques mètres d'elle, Émilie Boulard, Mélissande Llorens, Caroline Drouin et autre Jessy Trémoulière s'envoient aussi des ogives sur le terrain gorgé d'eau.
La scène est devenue habituelle. « À la fin des entraînements, on travaille souvent pendant dix à quinze minutes des secteurs où on a besoin de progresser, explique Jacquet. Pour les filles de derrière, c'est souvent le jeu au pied. Il y a de plus en plus de profils de joueuses qui peuvent le faire, c'est vraiment cool pour la suite. » Il n'y a pas si longtemps, les Bleues patinaient pourtant dans ce secteur, à l'image de ce dégagement dévissé de Morgane Peyronnet face aux Anglaises en novembre 2019 à Exeter (17-15) qui avait abouti à l'essai de la victoire des Red Roses à la 79e minute. À vrai dire, les partenaires d'Emily Scarratt ont assis en partie leur domination sur les Bleues grâce à une meilleure maîtrise collective du jeu au pied.
« C'est une arme hyper importante dans notre jeu maintenant »
Caroline Drouin, ouvreuse de l'équipe de France
« En 2018, on avait un jeu très rapide qui passait vraiment par la main, les défenses adverses ne nous obligeaient pas à jouer au pied, rappelle l'ouvreuse Caroline Drouin. Les Anglaises étaient, elles, des pionnières dans ce domaine. Sur certains matches, elles nous ont énormément mises en difficulté avec leur jeu au pied. Ça a été le déclic pour nous, on s'est dit qu'il fallait davantage travailler ça. C'est une arme hyper importante dans notre jeu maintenant. Tout le monde a commencé à travailler dans son club, il y a eu une prise de conscience. »
Mais le cheminement a été long. Stéphane Eymard, entraîneur en charge de l'attaque, en est témoin : « Quand je suis arrivé à mon poste (en mai 2019), je m'étais dit qu'il y avait une équipe de France qui jouait déjà bien au rugby, qui battait une fois de temps en temps les Anglaises, mais qui prenait souvent cher contre elles parce qu'on leur tapait systématiquement dans le dos. Des équipes étaient en avance par rapport à nous dans le jeu au pied. Avec les autres membres du staff, on avait cette quête de le développer, mais cela induisait que l'on pouvait perdre un peu de spontanéité dans notre jeu. C'est quelque chose qui a été long à mettre en place, je suis bien placé pour en parler. Il a fallu casser les codes, les représentations, on a débloqué des choses. Avoir une qualité dans son jeu au pied n'est pas quelque chose d'inné, il faut le construire techniquement, il fallait que les filles y croient. Par ailleurs, aujourd'hui, il n'y a pas de jeu au pied développé dans le Championnat (Élite 1), à part pour les internationales et quelques autres joueuses. Mais avec le staff, même s'il y a eu à un moment une part de doute, on n'a pas lâché et aujourd'hui, on rivalise avec tout le monde alors qu'il y a un an et demi, ce n'était pas le cas. »
La montée en puissance de la numéro 10 Caroline Drouin - dominante au pied contre les Black Ferns l'automne dernier - et l'émergence de nouveaux profils ont participé aux progrès des Bleues. « Caro (Drouin) est l'un des éléments qui nous apporte une base très intéressante dans ce secteur, confirme Eymard. En termes de panoplie, elle a tout ce qu'il faut : elle peut aussi bien aller chercher des zones latérales pour les ailières sur le jeu au pied offensif que mettre de la longueur sur un dégagement et nous sortir fort de notre camp. Elle est performante sur le tir au but aussi. Nos trois numéros 9 (Laure Sansus, Alexandra Chambon, Pauline Bourdon) tapent fort elles aussi. Et ce qui est intéressant, c'est qu'on a des profils de gauchères, comme Chloé Jacquet ou Émilie Boulard. Avec elles, on insiste sur ce travail au pied, elles nous offrent d'autres options stratégiques. »
Chloé Jacquet à l'entraînement. (F. Faugère/L'Équipe)
Samedi après-midi, contre l'Irlande, les conditions hivernales annoncées, à la fois froides et humides, devraient conduire les Françaises à utiliser régulièrement leur jeu au pied. « La semaine dernière (contre l'Italie), sous le soleil, elles sont surtout restées sur un jeu à la main, relève Thomas Darracq, responsable du projet sportif. Ce samedi, avec cette météo, l'alternance et l'utilisation du jeu au pied, à la fois dans la récupération mais surtout dans l'occupation et la pression, devraient être des armes à utiliser. » Ça tombe bien, les artilleuses bleues savent désormais mieux les manier.
Tournoi des Six Nations : comment les Bleues ont progressé au pied
Régulièrement mises en difficulté dans le jeu au pied dans un passé récent, les Bleues affichent leurs progrès dans ce secteur. Le fruit d'un long processus aussi technique que psychologique.
Émilie Boulard, arrière de l'équipe de France, à l'entraînement mercredi à Marcoussis. (F. Faugère/L'Équipe)
Yann Sternis
Mercredi, à la sortie d'un entraînement intense et particulièrement humide, alors que certaines joueuses de l'équipe de France s'essaient à un boueux ventriglisse, elles sont une dizaine à faire du rab sur le terrain d'honneur du CNR à Marcoussis, travaillant méticuleusement leur jeu au pied. « Mais tu n'arrives pas à croiser ou quoi ? », lance à Chloé Jacquet un Romain Loursac chambreur. Le médecin de l'équipe de France et ancien ouvreur du LOU réceptionne et renvoie le ballon à la centre tandis qu'à quelques mètres d'elle, Émilie Boulard, Mélissande Llorens, Caroline Drouin et autre Jessy Trémoulière s'envoient aussi des ogives sur le terrain gorgé d'eau.
La scène est devenue habituelle. « À la fin des entraînements, on travaille souvent pendant dix à quinze minutes des secteurs où on a besoin de progresser, explique Jacquet. Pour les filles de derrière, c'est souvent le jeu au pied. Il y a de plus en plus de profils de joueuses qui peuvent le faire, c'est vraiment cool pour la suite. » Il n'y a pas si longtemps, les Bleues patinaient pourtant dans ce secteur, à l'image de ce dégagement dévissé de Morgane Peyronnet face aux Anglaises en novembre 2019 à Exeter (17-15) qui avait abouti à l'essai de la victoire des Red Roses à la 79e minute. À vrai dire, les partenaires d'Emily Scarratt ont assis en partie leur domination sur les Bleues grâce à une meilleure maîtrise collective du jeu au pied.
« C'est une arme hyper importante dans notre jeu maintenant »
Caroline Drouin, ouvreuse de l'équipe de France
« En 2018, on avait un jeu très rapide qui passait vraiment par la main, les défenses adverses ne nous obligeaient pas à jouer au pied, rappelle l'ouvreuse Caroline Drouin. Les Anglaises étaient, elles, des pionnières dans ce domaine. Sur certains matches, elles nous ont énormément mises en difficulté avec leur jeu au pied. Ça a été le déclic pour nous, on s'est dit qu'il fallait davantage travailler ça. C'est une arme hyper importante dans notre jeu maintenant. Tout le monde a commencé à travailler dans son club, il y a eu une prise de conscience. »
Mais le cheminement a été long. Stéphane Eymard, entraîneur en charge de l'attaque, en est témoin : « Quand je suis arrivé à mon poste (en mai 2019), je m'étais dit qu'il y avait une équipe de France qui jouait déjà bien au rugby, qui battait une fois de temps en temps les Anglaises, mais qui prenait souvent cher contre elles parce qu'on leur tapait systématiquement dans le dos. Des équipes étaient en avance par rapport à nous dans le jeu au pied. Avec les autres membres du staff, on avait cette quête de le développer, mais cela induisait que l'on pouvait perdre un peu de spontanéité dans notre jeu. C'est quelque chose qui a été long à mettre en place, je suis bien placé pour en parler. Il a fallu casser les codes, les représentations, on a débloqué des choses. Avoir une qualité dans son jeu au pied n'est pas quelque chose d'inné, il faut le construire techniquement, il fallait que les filles y croient. Par ailleurs, aujourd'hui, il n'y a pas de jeu au pied développé dans le Championnat (Élite 1), à part pour les internationales et quelques autres joueuses. Mais avec le staff, même s'il y a eu à un moment une part de doute, on n'a pas lâché et aujourd'hui, on rivalise avec tout le monde alors qu'il y a un an et demi, ce n'était pas le cas. »
La montée en puissance de la numéro 10 Caroline Drouin - dominante au pied contre les Black Ferns l'automne dernier - et l'émergence de nouveaux profils ont participé aux progrès des Bleues. « Caro (Drouin) est l'un des éléments qui nous apporte une base très intéressante dans ce secteur, confirme Eymard. En termes de panoplie, elle a tout ce qu'il faut : elle peut aussi bien aller chercher des zones latérales pour les ailières sur le jeu au pied offensif que mettre de la longueur sur un dégagement et nous sortir fort de notre camp. Elle est performante sur le tir au but aussi. Nos trois numéros 9 (Laure Sansus, Alexandra Chambon, Pauline Bourdon) tapent fort elles aussi. Et ce qui est intéressant, c'est qu'on a des profils de gauchères, comme Chloé Jacquet ou Émilie Boulard. Avec elles, on insiste sur ce travail au pied, elles nous offrent d'autres options stratégiques. »
Chloé Jacquet à l'entraînement. (F. Faugère/L'Équipe)
Samedi après-midi, contre l'Irlande, les conditions hivernales annoncées, à la fois froides et humides, devraient conduire les Françaises à utiliser régulièrement leur jeu au pied. « La semaine dernière (contre l'Italie), sous le soleil, elles sont surtout restées sur un jeu à la main, relève Thomas Darracq, responsable du projet sportif. Ce samedi, avec cette météo, l'alternance et l'utilisation du jeu au pied, à la fois dans la récupération mais surtout dans l'occupation et la pression, devraient être des armes à utiliser. » Ça tombe bien, les artilleuses bleues savent désormais mieux les manier.
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
Les Bleues disposent sans difficulté de l'Irlande et poursuivent leur chemin vers le grand chelem
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations-feminin/2022/tournoi-des-6-nations-feminin-les-bleues-disposent-sans-difficulte-de-l-irlande_sto8869243/story.shtml
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
Grosse défense, grosse mêlée et puis des lancements de jeu trop lent, des passes approximatives et surtout un 9 foutu comme Dupont qui joue pour elle.
La ça passe contre les anglaises ce sera plus difficile.
5 points bons à prendre, mais pas de réel progrès dans le jeu, qui manque de fluidité et de justesse.
La ça passe contre les anglaises ce sera plus difficile.
5 points bons à prendre, mais pas de réel progrès dans le jeu, qui manque de fluidité et de justesse.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Honteux d'avoir dormi devant le poste toute la 1er mi-temps, la meilleure semble t'il des bleus,après beau retours Ecossais, notre défense tient et conserve l'avance prise.Trop de fautes, un peu de gourmandise aussi certaines voulant aller à dame toute seule, le Rugby c'est collectif.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
Tournoi des six nations féminin : les Bleues continuent leur sans-faute en Écosse
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/tournoi-des-six-nations-feminin-les-bleues-continuent-leur-sans-faute-en-ecosse-10552733.php
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/tournoi-des-six-nations-feminin-les-bleues-continuent-leur-sans-faute-en-ecosse-10552733.php
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
6 Nations 2022. Les notes de Écosse-France (8-28) : Tremoulière et Sansus au-dessus du lot
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/tournoi-des-six-nations-feminin-les-bleues-continuent-leur-sans-faute-en-ecosse-10552733.php
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/tournoi-des-six-nations-feminin-les-bleues-continuent-leur-sans-faute-en-ecosse-10552733.php
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