Marc Delpoux et le staff

Ne plus voir la course aérienne de Titou va être une révolution. D'ici à ce qu'il nous le remplace par un 4x4 radio-commandé Et alors c'est qui qu'on chambrerait ?
Allez, que Loustau mette rapidement aux fractionnés un volontaire qui reprendrait le poste, la barre est haute

Bonne retraite Titou

PS. Si on nous mettait un véhicule, qu'en hommage on le surnomme "Titou".

Excellente idée: pérénnisons vite la TITOUCAR !

Allez l'Union, courage contre le grenoblois ! et finale à Agen !

Pour la barre 1m60 pas guère plus, non il faut un gorille, le pendant du "Gégé"
Allez Titou.

http://www.sudouest.fr/2011/05/15/la-marque-delpoux-398740-8.php

15 mai 2011 15h30 | Par nicolas le gardien

Union Bordeaux-Bègles : La marque Delpoux

Dix-neuf mois après son arrivée, le manager a mené le club girondin vers sa première demi-finale de Pro D2. Avec son exigence, sa verve et des résultats.


« Je pourrais travailler à Bordeaux-Bègles dix ans », dit le Narbonnais Marc Delpoux. photo e.drouinaud

Il a couvert pour la première fois les 400 kilomètres entre Narbonne et Bordeaux un dimanche d'octobre 2009. Parce que, sans club depuis son départ de Calvisano cinq mois plus tôt, son envie de revenir était forte. Et parce que Laurent Marti, président de l'Union Bordeaux-Bègles, avec qui il avait sympathisé par hasard la saison précédente, l'a appelé au lendemain d'une défaite face à Agen à Chaban-Delmas. Six mois pour aider à « stabiliser » le club et pour voir. Dix-huit mois plus tard, Marc Delpoux dirigera cet après-midi l'équipe pour la demi-finale de Pro D2, à deux matches de l'ambition partagée lorsqu'il s'est réengagé en avril 2010 pour deux ans : le Top 14. Entre-temps, l'Audois a posé sa patte sur le sportif girondin et ajouté sa pierre à l'avancée de la jeune Union. Avec réussite : 31 victoires et 2 nuls pour 20 défaites.

Sa patte ? Une organisation rodée _ et sacrée (2008) _ en Italie, basée sur une touche et un milieu du terrain forts, un axe 9-10 direct, la mobilité des avants, la volonté de créer le danger partout, et venant renforcer l'évolution lancée par Vincent Etcheto et Frédéric Garcia l'été précédent. « On me disait que la Pro D2, c'était une grosse mêlée, un buteur. Aujourd'hui, je constate que quatre des cinq demi-finalistes ont un jeu ambitieux. » Sa patte ? Une envie de réussir et une exigence chevillées au corps. Sa patte ? Un relooking de l'effectif effectué avec l'aval de son président, convaincu de passer un stade supérieur dans le recrutement.

Le choix de l'international

Sept joueurs seulement engagés avant son arrivée seront présents sur la feuille de match aujourd'hui. En deux étés, 26 joueurs seront partis, seulement trois qu'il aurait voulu conserver. L'an prochain, tous les contrats en cours de l'effectif auront été signés avec son son aval. « Avec le staff nous avons mis en place un plan de jeu et nous avons voulu des joueurs au profil pour y rentrer. Si j'ai apporté quelque chose, répond-il, c'est peut-être d'avoir fait comprendre que cela pouvait passer aussi par le recrutement d'étrangers et que ceux-ci ne venaient pas simplement pour toucher un chèque » ,pointe l'ancien troisième ligne, fort d'un melting-pot qui a pris cette saison, pestant ouvertement contre les effets pervers du JIFF _ « les meilleurs jeunes de Pro D2 sont recrutés par des clubs de Top 14 d'abord pour rentrer dans le quota » _ et convaincu que l'internationalisation tire les joueurs locaux vers le haut. Au quotidien, Marc Delpoux a amené au stade André-Moga sa verve méridionale. Ouvert, au livre d'anecdotes et à la bonhomie contagieuse hors contexte ; fonceur, soucieux de chaque détail et sans concession dans le travail. « Il s'emporte, mais n'est pas rancunier : cinq minutes après, c'est fini, pointe Laurent Armand, entraîneur des avants. C'est mieux parfois que les choses soient dites entre quatre yeux. »

« Je suis parfois excessif avec ceux qui m'entourent. Je le sais mais c'est aussi parce que je le suis avec moi-même » répond l'intéressé. « C'est son métier, il veut le faire parfaitement. Et vit à 200 % pour », dit un membre du groupe. Au point de passer nombre de ses soirées bordelaises devant la vidéo, filant en revanche après chaque match à son domicile narbonnais, « soupape » qu'il n'a pas souhaité quitter complètement « parce que je considère que ma famille n'a pas à tout à sacrifier pour mon travail. »

« C'est le patron »

On le dit directif. Convictions très affirmées, mais protégeant aussi son groupe et prenant pour lui la contre-performance devant Aix face aux médias. L'ancien capitaine perpignanais a aussi supprimé, sauf exception, les briefings d'avant-match ; fait une pause dans l'évolution du projet pour revoir les gammes, après les entretiens individuels effectués durant la période difficile traversée en mars ; revu certains points en début d'année. Et délègue volontiers à un staff (Vincent Etcheto, Laurent Armand, Ludovic Loustau) complémentaire, avec qui les liens de confiance _ ne coulant pas de source avec le premier au départ _ se sont tissés, dont il salue « l'énorme travail effectué cette saison » et qui pèse sur le coaching avant et pendant les matches. Lui tranche. « J'essaie d'écouter tout ce qu'on me dit, je ne peux tout prendre en compte mais je retiens et j'utilise. Après, oui, sur le collectif, je suis directif. Mais ce sont aussi seulement des cadres que l'on donne et dans lesquels les joueurs ont entière liberté. La remise en question, elle est perpétuelle. »

Ses hommes de confiance d'Italie (Fraser, Purll, Treloar) ont répondu à son appel, le groupe a adhéré au projet proposé, il n'est pas rare de le voir déjeuner avec ses joueurs en ville. Les joueurs les moins utilisés, dont il a souligné publiquement le rôle après la qualification, regrettent eux une gestion humaine clinique. « L'affectif ? Évidemment qu'il y en a. Mais mon métier est de prendre des décisions, même si c'est parfois très difficile humainement. » « Chacun manage à sa façon, il n'y a pas de vérité, dit Laurent Armand. C'est le patron, c'est tout. »

En début d'année, le bruit d'un intérêt de Perpignan, à la recherche d'un successeur à Jacques Brunel, a rappelé que le mariage entre Marc Delpoux et l'Unionne serait pas forcément éternel. Et si le club ne montait ni cette année, ni la prochaine ? « Là, on vit un sprint final fantastique et ce n'est pas quelque chose auquel j'ai réfléchi. Parfois, quand je fais les trajets de Narbonne, j'ai des coups de fatigue. Mais quand je vois le staff avec lequel je travaille ici, les joueurs qu'on nous permet d'avoir, je pourrais y travailler dix ans. »

Pro D2 · Sports · rugby · Union Bordeaux-Bègles

A noter une très bonne gestion de l'effectif aujourd'hui.

Six mois sans rien à son sujet.

On est monté dans le Top14, avec comme tout promus l'étiquette dans le dos "équipe à taper, 4 points minimum, voir Bonus offensif"
Il a rapidement dit à juste titre qu'on allait devoir gagner le respect de nos 13 concurrents.

Non seulement notre équipe a un jeu super agréable à regarder,
mais en plus on a tapé Bayonne, le Racing, Montpellier et Castres.
Sans une première ligne HS, on aurait tapé le BO.
Sans doute qu'avec un arbitre plus inspiré on aurait aussi tapé le RCT.

Et tout ça sans se réfugier dans un jeu stéréotypé super chiant à voir, et avec un super groupe de joueurs.
Or l'état d'esprit d'un groupe de joueurs, ça se crée, ça s'entretient, et sans minimiser la qualité de nos joueurs, c'est aussi le fait d'un ou plusieurs hommes qui ne sont pas sur le terrain. Ces hommes qui laissent les victoires à leurs joueurs, qui assument pour eux une partie des défaites et qui ne font pas parler d'eux.


Merci Marc.
On te veut encore longtemps en Gironde.
Et merci à tous ceux qui entourent l'équipe.

Olivier a écrit:Six mois sans rien à son sujet.

On est monté dans le Top14, avec comme tout promus l'étiquette dans le dos "équipe à taper, 4 points minimum, voir Bonus offensif"
Il a rapidement dit à juste titre qu'on allait devoir gagner le respect de nos 13 concurrents.

Non seulement notre équipe a un jeu super agréable à regarder,
mais en plus on a tapé Bayonne, le Racing, Montpellier et Castres.
Sans une première ligne HS, on aurait tapé le BO.
Sans doute qu'avec un arbitre plus inspiré on aurait aussi tapé le RCT.

Et tout ça sans se réfugier dans un jeu stéréotypé super chiant à voir, et avec un super groupe de joueurs.
Or l'état d'esprit d'un groupe de joueurs, ça se crée, ça s'entretient, et sans minimiser la qualité de nos joueurs, c'est aussi le fait d'un ou plusieurs hommes qui ne sont pas sur le terrain. Ces hommes qui laissent les victoires à leurs joueurs, qui assument pour eux une partie des défaites et qui ne font pas parler d'eux.


Merci Marc.
On te veut encore longtemps en Gironde.
Et merci à tous ceux qui entourent l'équipe.

Excellente intiative et excellent post Olivier.

Je ne connais pas personellement Marc Delpoux ; il me semble qu'il allie la justesse d'analyse et la capacité à motiver ses troupes tout en maintenant a cohésion de l'ensemble du groupe.
Il avait par exemple bien vu les clés de la victoire face à Castres.
J'ajoute que Vincent Etcheto a lui aussi horreur de la défaite et nous a permis d'avoir un jeu derrière mieux huilé que des équipes comme Biarritz ou Castres.
Enfin un mot sur Laurent Armand car si nous avons dominé le CO en mèlée et touche c'est qu'il fait bien bosser ses avants .
Un dernier mot pour dire que malgré les points pris à Charléty à Clermont ou Toulouse, nous avons une défense à domicile particuièrement hermétique.
Aucun essai encaissé à domicile dans le jeu face à des adversaires réputés comme Biarritz, Bayonne,Toulon,le RM92 ou Castres.

Bravo au staff et aux joueurs pour ce superbe début de saison.



Bravo au staff et aux

Le travail du staff commence dés le recrutement, qui doit être équilibré avec des joueurs aux qualités humaines certaines, des gars sérieux, de véritable pros qui se sentent concernés par le devenir du club.
C'est marrant nous avons à l'effectif beaucoup d'étrangers mais aucun mercenaire.
Après la cohésion entre le staff, le président et les autres composantes du club est fondamentale.
Une gestion intelligente,focalisée sur les priorités sans pour autant négliger l'humain, une leçon pour certaines cylindrées aux moyens pléthoriques, qui dépensent beaucoup pour obtenir peu.
L'UBB est exemplaire également en terme de préparation physique,du suivi médical, des prises vidéo et de la saisie des paramètres clés des matchs où les uns et les autres intervenant au quotidien en coulisse, sont parmi les meilleurs de notre championnat.
Pour que cela fonctionne, il faut que "l'intendance suive", au moindre coût et au maximum d'efficacité et c'est grâce à tout cela, et a la volonté de tous de bien faire que la performance est de qualité.
Aussi, gardons nous d'être trop critique sur des points de détail, le bateau avance sur son erre et peu de choses peuvent le perturber, le port est en vue, le chenal qui y parvient est étroit et bien pourvu en danger.
Allez Union.

En cours de saison dernière, j'avais eu l'occasion de dire à Marc Delpoux que le jeu de l'Union avait évolué depuis son arrivée et je l'avais senti alors très touché car il est vrai qu'on est toujours plus enclin à féliciter les joueurs que l'encadrement technique.
Il est assisté par 2 hommes qui ont joué ici, ce qui n'est pas sans doute pas neutre au niveau de l'état d'esprit que manifeste l'équipe.
Après la finale d'Agen, quand je suis allé féliciter Vincent Etcheto pour nos 2 essais d'école par la ligne de trois quarts, il m'a répondu qu'ils avaient en fait surtout beaucoup travaillé en défense !!
Quant à Laurent Armand, il a porté les couleurs de l'Union et a toujours donné le maximum de lui-même , à une époque où le club jouait le maintien avec des matches au couteau. Sur ce point finalement, rien de bien nouveau car l'Union a toujours joué le maintien sauf la saison dernière.
Et si Guy Roux avait raison ? Commencer par se maintenir avant de rêver plus haut.

D'accord avec tout ce qui a été dit. Une équipe c'est un groupe qui doit avoir du respect. Respect du jeu, de l'arbitre, de l'adversaire, des spectateurs (tout de même :=)) et contrairement à ce que l'on a vu en EDF, respect envers l'encadrement. Ce respect il est le résultat d'un équilibre. Le grand mérite de tout le staff, c'est que leurs conseils sont judicieux. En suivant les consignes, les gars progressent et... gagnent ! Le tout est fait dans une ambiance plus que bonne. Discuter et savoir un moment donné dire "il faut faire comme cela..." C'est certainement de cette manière que le groupe entier (et nous avec ) va encore progresser jusqu'à un certain niveau (la comparaison avec Auxerre au foot me semble assez juste). Jusqau'à présent, la montée de certains a compensé la baisse physique d'autres et ...l'effet de l'age. C'est vraiment bien vu au niveau recrutement et gestion du groupe. Cela n'est pas du au hasard, mais à une qualité venant de la nature humaine et c'est ça qui est bon.

Chut Gérard, faudrait pas qu'on nous copie

http://www.sudouest.fr/2011/12/03/laurent-marti-va-voir-marc-delpoux-570375-8.php

Laurent Marti va voir Marc Delpoux

Le contrat du manager de l'Union se termine en juin prochain

La date exacte n'a pas encore été fixée, mais les deux hommes avaient prévu d'aborder le sujet après ce match face à Brive : le président de l'UBB et son manager vont se rencontrer dans les prochains jours pour étudier une prolongation de contrat de ce dernier, au club depuis octobre 2009, et dont l'engagement actuel se termine en juin.

Les deux parties sont plutôt favorables à l'idée de poursuivre l'aventure commune. Mais le nom de l'Audois circule aussi, comme l'an passé, du côté de Perpignan, où il a été capitaine, et plus proche de son domicile familial (dans l'Aude). Une hypothèse dont il n'a jamais caché qu'elle pouvait l'intéresser, mais soulignant que cette saison comme la dernière, il n'a jamais été contacté.

Le président de l'UBB souhaite une décision avant la fin de l'année.


Le début d'année devrait être déterminant pour notre avenir. Staff à nommer, plan de développement à dévoiler, joueurs à prolonger, stade, etc.
Si on prend des points contre le SF et qu'on enchaine bien avec Clermont et Lyon tous ces points pourraient être plus facilement traitables pour Laurent

patrick a écrit:http://www.sudouest.fr/2011/12/03/laurent-marti-va-voir-marc-delpoux-570375-8.php

Laurent Marti va voir Marc Delpoux

Le contrat du manager de l'Union se termine en juin prochain

La date exacte n'a pas encore été fixée, mais les deux hommes avaient prévu d'aborder le sujet après ce match face à Brive : le président de l'UBB et son manager vont se rencontrer dans les prochains jours pour étudier une prolongation de contrat de ce dernier, au club depuis octobre 2009, et dont l'engagement actuel se termine en juin.

Les deux parties sont plutôt favorables à l'idée de poursuivre l'aventure commune. Mais le nom de l'Audois circule aussi, comme l'an passé, du côté de Perpignan, où il a été capitaine, et plus proche de son domicile familial (dans l'Aude). Une hypothèse dont il n'a jamais caché qu'elle pouvait l'intéresser, mais soulignant que cette saison comme la dernière, il n'a jamais été contacté.

Le président de l'UBB souhaite une décision avant la fin de l'année.


Le début d'année devrait être déterminant pour notre avenir. Staff à nommer, plan de développement à dévoiler, joueurs à prolonger, stade, etc.
Si on prend des points contre le SF et qu'on enchaine bien avec Clermont et Lyon tous ces points pourraient être plus facilement traitables pour Laurent

Très juste, mais c'est un sujet qui va fâcher et au vu de la valeur de certains joueurs, je ne suis pas certain que l'on puisse s'aligner. Affaire à suivre donc....les résultats à venir seront cruciaux.

Sur Canal la tribune des cadors animée par François Trillo valait son pesant de Châtaigne, hormis Arnaud Costes et Trillo, le reste des participants est acquis aux Corréziens en fin de première mi-temps Villepreux, Dourthe et Elissalde y vont de leur couplet, le groupe de l'Union joue de façon stéréotypée, ne prend pas les initiatives sur le terrain en fonction des difficultés rencontrées, manque cruellement d'expérience et de puissance et en corollaire un avis très tranché, le groupe n'est pas à la maille du Top 14, faute de délai pour effectuer des recrutement de qualité.
Bien sur pas d'état sur l'excellent rapport qualité prix du groupe, sachant que les 3 gourous ont toujours gaillardement dépensé amplement l'argent des autres pour des résultats bien minces.
Le final va les laisser sans voix, la parole étant donnée aux footeux.
Dommage, il aurait été très marrant d'entendre ces gars là se déjuger.
Pour le recrutement entre Reihana qui mouille le maillot et Rokocoko qui joue les touriste il n'y a pas photo, voilà de quoi faire réfléchir les président de clubs.
Le Rugby décidement, il y a ceux qui le jouent, ceux qui payent pour le voir et ceux qui en vivent!!!
Puissions nous encore longtemps faire se tromper nos détracteurs.
Allez Union.

léopold a écrit:Sur Canal la tribune des cadors animée par François Trillo valait son pesant de Châtaigne, hormis Arnaud Costes et Trillo, le reste des participants est acquis aux Corréziens en fin de première mi-temps Villepreux, Dourthe et Elissalde y vont de leur couplet, le groupe de l'Union joue de façon stéréotypée, ne prend pas les initiatives sur le terrain en fonction des difficultés rencontrées, manque cruellement d'expérience et de puissance et en corollaire un avis très tranché, le groupe n'est pas à la maille du Top 14, faute de délai pour effectuer des recrutement de qualité.
Bien sur pas d'état sur l'excellent rapport qualité prix du groupe, sachant que les 3 gourous ont toujours gaillardement dépensé amplement l'argent des autres pour des résultats bien minces.
Le final va les laisser sans voix, la parole étant donnée aux footeux.
Dommage, il aurait été très marrant d'entendre ces gars là se déjuger.
Pour le recrutement entre Reihana qui mouille le maillot et Rokocoko qui joue les touriste il n'y a pas photo, voilà de quoi faire réfléchir les président de clubs.Le Rugby décidement, il y a ceux qui le jouent, ceux qui payent pour le voir et ceux qui en vivent!!!
Puissions nous encore longtemps faire se tromper nos détracteurs.
Allez Union.

Je suis 100% en phase avec toi et encore davantage, si possible avec la phrase en gras.
On peut aussi évoquer Lauaki que nous avons vu à Chaban peu concerné par le match ou encore hier soir Claassen qui a visiblement déja la tète à son futur contrat ....

Par ailleurs Brive a certes très bien défendu avec en effet des placages offensifs destructeurs, mais n'a rien proposé en attaque.
Est ce le rugby que préconise Villepreux ?

Villepreux est un caméléon ou comme un singe, il retombe toujours sur ses pattes,grand donneur de leçon devant l'éternel,il occupe à vie avec quelques anciennes gloires une place au panthéon du Rugby Hexagonal.
Initiateur de grandes théories sur le jeu, qui reste à l'état de réflexion personnelle, sachant que contrairement à son ami "Novés" il n'a pas cherché à les mettre en pratique. Situation confortable assez courante dans un pays qui détient en son sein les meilleurs économiste du monde et s'ingénie depuis des décennies à rechercher la faillite d'un système afin de démontrer ce qu'il convient de ne pas faire pour réussir.Ils sont un certains nombre à vivre du système et à cracher dans la soupe à la moindre occasion, peut être en pensant lui donner du goût.
Bref pour tout ces gars même combat celui du fric et des dorures, la sueur des vestiaires ce n'est plus pour eux.

Le débat portait sur comment passer une défense qui défend en avançant, tout en consommant très peu de joueurs, ce qui complique le passage sur l'aile avec une ligne de défense qui reste dense sur presque toute la largeur du terrain, tout en avançant vivement.
C'est vrai que ça semblait mission impossible avec ces brivistes très difficiles à consommer en jouant au ras. Les ballons ouverts venant se heurter aux brivistes même sur les ailes, tant il restait à chaque regroupement au moins 12 ou 13 brivistes sur leurs pieds pour défendre.

Mais Leopold, je n'ai pas eu tout à fait la même écoute. Il ne me semble pas qu'ils aient dénigré Marc Delpoux. Car ils ont été les premiers à dire que c'est aux joueurs de savoir changer les bases de leur jeu avant même la mi-temps si la tactique travaillée pendant toute la semaine ne fonctionnait pas.
Et ils ont aussi admis que la problèmatique rencontrée par l'UBB sur la 1ère mi-temps était super difficile à régler. J'ai entendu des "mais c'est très compliqué à faire" etc...

Pour Villepreux qui prônait un rugby en perpétuel mouvement si je me rappelle bien de l'unique livre écrit par lui que j'ai pu lire, il a dû apprécier notre final en tout cas
Concernant l'homme, je ne peux trop rien dire en revanche. Peut-être as-tu raison, je ne peux en juger.

En tout cas, dans Jour de Rugby sur C+, le père Elissalde a tenu à faire l'éloge de Laurent Marti, de son staff et de ses joueurs.

Alors ? Versatile le Elissalde ?

La nuit a peut-être porté conseil
En tout cas super hommage au staff bordelais et à son président en particulier.

Un entrainement avait sauté après la réception du prix. Faudra recommencer plus souvent

Marc dans un journal ... de Perpignan :) :) :)

http://www.lindependant.fr/2011/11/30/delpoux-j-ai-su-faire-ma-valise,90107.php


Rugby à XV
Delpoux : "J'ai su faire ma valise"
Le 30/11/2011 à 06h00 par Vincent Couture


Marc Delpoux et les Bordelais affronteront l'USAP le 23 décembre à Aimé-Giral.

Une distinction en forme de reconnaissance
"A travers ce trophée (partagé avec les entraîneurs Vincent Etcheto et Laurent Armand), c'est surtout le club qui est félicité. Être récompensé par ses pairs est encore plus valorisant, ça veut dire que Bordeaux commence à être pris en considération. Après Narbonne (2003-06), Calvisano (2006-09) et ici, où ça se passe très bien, je dirais qu'il y a une progression dans mon plan de carrière. J'aurais pu rester à Narbonne et en Italie, mais à un moment donné, j'ai su faire ma valise. Calvisano, un pari risqué ? (Ferme.) Pas du tout ! A cette époque, je suis persuadé que le championnat d'Italie était plus haut de gamme que la Pro D2. Je suis allé là-bas pour appliquer mes idées et occuper un rôle de manager que je n'avais pas à Narbonne.
A Bordeaux, le projet du président (Laurent Marti) était d'accéder au Top 14 en trois ans, on l'a fait en deux. On doit se rencontrer prochainement pour évoquer l'avenir (Delpoux est en fin de contrat, ndlr). Je vais voir ce qu'il va me proposer pour que le club prenne une dimension supplémentaire. Si chaque année tu dois te battre pour le maintien - j'ai connu ça à Narbonne -, ça devient lassant."

Examen réussi en Top14
"Aujourd'hui, le staff bordelais fait partie des quatorze meilleurs staffs français. Je pense que notre début de saison a fortement aidé à ce qu'on soit élu meilleur staff de Pro D2. Ça veut dire que les idées mises en place depuis deux ans sont a priori transférables au haut niveau. On nous avait dit : 'Votre jeu, il marche en Pro D2, mais en Top14, ça ne fonctionnera pas. 'Globalement, je dirais que ça donne satisfaction. On n'est pas déçu, le niveau est conforme à ce qu'on attendait. On savait que tous les matches seraient compliqués, mais qu'on ne serait pas plus largués que ça. On progresse partout, on fait évoluer notre projet de jeu. En Pro D2, par exemple, comme il y a une incroyable bagarre dans les rucks, on mettait quatre joueurs au déblayage, alors que deux suffisent en Top 14. Tous ces petits détails font qu'on a su s'adapter, avec un effectif complètement formaté Top 14, composé de nombreux joueurs venant de l'hémisphère sud."

Objectif maintien
"On a fixé le maintien à dix victoires, c'est notre objectif (Bordeaux en compte quatre actuellement). Si on y arrive, il faudra ensuite être plus ambitieux. On est à la fois confiant et inquiet. Confiant, parce qu'on s'aperçoit qu'on rivalise avec à peu près tout le monde et qu'on est capable de gagner le Racing-Métro (22-18) ou Castres (24-9). Mais inquiet parce qu'on va rentrer dans le dur. Pour la première fois, les deux promus (Bordeaux et Lyon) ne sont pas pris à la légère, ça met une énorme pression sur tout le monde. Le Top 14 va se refermer sur lui-même, dans le sens où de grandes équipes comme Biarritz ou Montpellier vont subir la pression du résultat. Quand tu te bats pour sauver ta peau, ce n'est pas pareil. Chaque point va peser son pesant de cacahuètes."

Et Lyon dans tout ça ?
(Adversaire de l'USAP dimanche à 15 heures.)
"Les Lyonnais sont comme nous, ça fait un moment qu'ils ont préparé la montée. Lyon, c'est très solide, très dense et compact. Leur avantage, c'est d'avoir un groupe qui se connaît bien avec un recrutement ciblé : Januarie (demi de mêlée), le Fidjien Koyamaibole (N. ou Léguizamon (3e ligne). Attention... Je suis persuadé que Lyon fera partie des heureux bénéficiaires du Top 14 l'an prochain."

Oulà, c'est sérieux tout ce remue-ménage :
http://www.rugbyunit.com/2011/12/transferts-bordeaux-va-t-il-perdre-son-manager/

Interview de Vincent Etcheto sur sportmag.fr http://www.sportmag.fr/default/index/article/id/1308/tag/TOP_14_Bordeaux-B%C3%A8gles_Etcheto

Top 14 : La culture rugby de l'Union Bordeaux - Bègles



Vincent le confirme, nous avons une équipe d'entraineurs intelligents

Bonjour à tous,

Quelqu'un à des infos sur les discussions entre Laurent Marti et Marc Delpoux ?

Il me semble que la réponse doit être donnée rapidement maintenant.

De mon coté j'espère vraiment que le staff actuel repartira en 2012/2013.

J'ai lu que le RDV était fixé au 31/12. Peut être lors du réveillon

patrick a écrit:J'ai lu que le RDV était fixé au 31/12. Peut être lors du réveillon

Avant ou après le match ?

Vaut mieux après, car avant quelle que soit la direction que prendrait la discussion, il risquerait y avoir relâchement.