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Raphaël Ibanez et le staff
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
C'est le top!!!!! Ces résultats clouent le bec de tous ces impatients qui critiquaient de manière souvent insultante Mr Ibanez...
Justice for all- J'aime l'Union passionnément
- Nombre de messages : 285
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
insultante NON !Justice for all a écrit:C'est le top!!!!! Ces résultats clouent le bec de tous ces impatients qui critiquaient de manière souvent insultante Mr Ibanez...
par contre il as très bien fait de venir nous lire sur le forum , cela la mis devant ses contradictions , et as donc changer pour le résultat que voila
vivement l'année prochaine sans les 6 premiers mois de dur que l'on as connue
DODO974- J'aime l'Union à la folie
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
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Raphaël Ibanez ... inside
http://www.sudouest.fr/2013/05/26/l-homme-de-tous-les-defis-1064630-4571.php
Par Christian Seguin
Raphaël Ibañez, l’homme de tous les défis
Raphaël Ibañez, le manager de Bordeaux-Bègles et consultant de France Télévisions, veut tout vivre
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Raphaël Ibañez : « J’ai mis la barre haut pour voir si j’en étais capable. » (photo Thierry David)
Seules comptent les prophéties familiales. Raphaël Ibañez a 10 ans quand sa mère, Janine, dans son salon de coiffure, voit le phénomène s’interroger sur l’existence considérable, pour ne pas dire prodigieuse, des femmes. « Tu es si jeune… » dit-elle souvent à voix haute. Il a le même âge quand Jacques, son père, talonneur entraîneur de l’US Dax, le regarde jouer au basket, pensif. « Toi, tu n’as pas fini de faire ton sac… » Sa mère dit aussi que les rivières lui font du bien. Ne jamais oublier le rapport fusionnel à l’eau.
Ce sac est un gimmick, au sens de l’accessoire de prestidigitation. Si on fouille dedans, il y a toute sa vie. On le retrouve accroché au dos de l’étudiant en faculté de sports. Totalement perdu sur la rocade toulousaine, Raphaël Ibañez scrute le flot de la circulation. Il cherche un visage connu de sa planète, du village de Saugnac-et-Cambran. Ou un Dacquois, ou, au pire, un Landais. Lui, il est fait pour l’eau, la nature, le cycle des saisons. Esprit trappeur et œil de lynx. Cela viendrait des grands-pères, José Maria, le berger farouche des monts Cantabriques, et Joseph, la bonté même, qui tenait l’épicerie-station essence de Mouscardès. Le rugby l’aimante. Car il est aussi fait pour jouer. Il reste l’inventeur des Jeux olympiques de Saugnac-et-Cambran et des mille et un challenges qui ont épuisé sa génération. C’est une bande dessinée où le héros, que personne n’attend, grille les étapes. Une ivresse de défis le jette dans le tourbillon. Il joue sa peau partout. Pêcheur à 5 ans, basketteur à 8, amoureux à 10, conseiller technique régional de rugby à 25, capitaine de l’équipe de France et marié au même âge, père de 4 enfants à 32, manager en Top 14 à 39.
Un palmarès
Raphaël Ibañez, 40 ans, a passé onze ans en équipe de France, où il compte 96 sélections et 34 capitanats. Outre 2 victoires dans le tournoi et 2 grands chelems, son palmarès s’enrichit d’un titre de vice-champion du monde et de 3 titres en Angleterre avec les London Wasps. Il est aujourd’hui en contrat avec Bordeaux-Bègles pour la saison 2013-2014, contrat qui épouse celui de consultant de France Télévisions pour la même période.
À 17 ans, il découvre que le rugby, en quatre-vingts minutes, donne l’opportunité de décliner son identité. Il l’érige en guide. « C’est l’idée d’honnêteté. Ce sport est une mise à nu de la personnalité. Tu ne peux pas te cacher. » Et à 23 ans, il comprend, en Australie, qu’il peut accéder au cercle de l’élite. Sa vie bascule. Il ferme la boutique festayre, fait ses adieux à Pampelune, et met le sac au pied du lit. Plus personne ne l’entendra chanter « Vino Griego ».
Dans le chaudron
Son physique standard, 1,78 m, 95 kg, l’oblige à puiser très loin dans les tripes. Le rugby de haut niveau devient une obsession, façon commando marine. « Repousser tout le temps mes limites m’a donné une force particulière et une grande richesse pour la vie. » Avec, derrière lui, un pack de fer. Fils de Jacques, élevé dans l’exigence sportive maximale, gendre de Claude Dourthe, neveu du fameux ailier Michel Arrieumerlou, beau-frère de Richard Dourthe et d’Olivier Magne, il naît d’un contexte surchauffé où la messe est en rugby. La vague de sentiments qui le soulève à 17 ans ne le dépose jamais.
Quand il débarque en équipe de France, l’inconnu, baptisé « capitaine de réflexion », soulignant son goût pour la lecture, hérite de la casquette d’intello qui aurait lu Dostoïevski dans la forêt. Il revendique seulement un vif intérêt pour l’orthographe, la construction de la phrase, l’enveloppe musicale. La mêlée, une forme de syntaxe ? « Oui, on n’en parle pas, on la ressent. Les énergies des coéquipiers et des adversaires te traversent. La magie d’une mêlée est réelle, autant que celle d’un texte. »
Dans le chaudron familial dacquois où continue de bouillir l’ovale, on l’imagine demander des temps morts afin que chacun reprenne son souffle. « Concentré sur l’objectif », « bien se tenir », « ne pas faire d’erreurs », « ne laisser aucun malentendu ». Le nez cassé, remué de droite à gauche, fait un bruit de pressoir manuel. Le manager ressemble comme un jumeau au joueur. Ses amis peinent à comprendre pourquoi il s’amidonne, ne donnant de lui que le côté lisse du bon élève appliqué, en formation permanente, disponible, franc, père aimant et mari modèle qui tient le bras de la dame sur le passage protégé. « Tu vas jouer le petit Jésus jusqu’à quand ? » lui demande sa mère.
Mais ce n’est pas si simple un talonneur comme lui. Lorsqu’il décroche le titre de champion d’Angleterre avec les Wasps, en 2008, voilà qu’il veut traverser Londres tout nu. Un programme très serré l’en empêche. La petite fêlure est dans le paquetage, où seule la mort dresse un mur noir. « Je ne peux pas la concevoir. Je la rejette. C’est peut-être pour cela que je me lance des défis à tous les niveaux. C’est ma course. » Chargé de mission au ministère des Sports, qu’a-t-il appris auprès de Roselyne Bachelot ? « À garder le sens de l’humour. »
Ibañeza la coursière
La télévision le touche par l’exercice de précision, de maîtrise du langage, qui lui offre de partager son émotion et son expérience. L’Aquitaine lui parle et c’est certainement pour elle qu’il n’a pas signé dans l’hémisphère Sud au cours des années 2000. Les Landes, habituées aux fils illustres, lui renvoient une puissante affection. Ses yeux s’illuminent quand la ganaderia de Cathy Agruna nomme une vache Ibañeza. Corne d’or pendant plusieurs années, c’est une vache supérieure, impitoyable et noble. Après avoir désossé l’adversaire, elle s’arrête pour le regarder. Le nom conserve son lustre.
Le rugby d’aujourd’hui ? « Devenu médiatique, il est exposé aux déclarations tempétueuses qui fragilisent son unité, mais c’est une aubaine pour les joueurs, plus athlètes, mieux préparés. Le spectacle, plus intense, est suivi par un vrai public, notamment l’extraordinaire public bordelais. » Patron de l’équipe de France ? Si l’on parle d’avenir, à deux pas du sac, il trouve une superbe touche de 50 mètres. L’avenir, c’est la saison 2013-2014, vivre, skier, surfer, programmer un tour du monde en famille avec les enfants.
Sollicité par plusieurs clubs depuis l’arrêt de sa carrière, en 2009, que vient-il faire si jeune à l’Union Bordeaux-Bègles, le gros cœur du Top 14 qui n’a pas de quoi s’habiller et se loger ? « Je me suis mis en danger en toute connaissance de cause. La région a pesé, comme ce président audacieux et ce staff, dont je suis très fier. J’ai mis la barre haut pour voir si j’en étais capable. J’ai beaucoup à apprendre. Je sais que j’allais trop vite et que je n’étais pas dans le ton juste. Je veux devenir un bon, un excellent manager. Pour être le meilleur… »
Aux jours sombres, comme cet hiver où son équipe enchaîne 10défaites d’affilée, Raphaël Ibañez se pose sa vraie question : « Est-ce que c’est plus dur que de se retrouver devant 80 000 personnes, à quatre minutes de la fin, avec une mêlée à 5 mètres de ta ligne, face aux All Black ? »
Après y avoir répondu, il remet la petite musique qui le suit depuis le premier jour. C’est un torrent. Le ciel est pur.
« Je veux devenir un bon, un excellent manager »
Merci Maman Ibanez (et Christian Seguin) pour ce très bel éclairage. Un jour nous verrons l'éternel 1er de la classe péter l'armure et se lâcher, peut-être lors de notre (re)toucherons le bouclier ... quoique, même là il est bien capable de rester propret Ah, sacré Raphaël
Par Christian Seguin
Raphaël Ibañez, l’homme de tous les défis
Raphaël Ibañez, le manager de Bordeaux-Bègles et consultant de France Télévisions, veut tout vivre
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Raphaël Ibañez : « J’ai mis la barre haut pour voir si j’en étais capable. » (photo Thierry David)
Seules comptent les prophéties familiales. Raphaël Ibañez a 10 ans quand sa mère, Janine, dans son salon de coiffure, voit le phénomène s’interroger sur l’existence considérable, pour ne pas dire prodigieuse, des femmes. « Tu es si jeune… » dit-elle souvent à voix haute. Il a le même âge quand Jacques, son père, talonneur entraîneur de l’US Dax, le regarde jouer au basket, pensif. « Toi, tu n’as pas fini de faire ton sac… » Sa mère dit aussi que les rivières lui font du bien. Ne jamais oublier le rapport fusionnel à l’eau.
Ce sac est un gimmick, au sens de l’accessoire de prestidigitation. Si on fouille dedans, il y a toute sa vie. On le retrouve accroché au dos de l’étudiant en faculté de sports. Totalement perdu sur la rocade toulousaine, Raphaël Ibañez scrute le flot de la circulation. Il cherche un visage connu de sa planète, du village de Saugnac-et-Cambran. Ou un Dacquois, ou, au pire, un Landais. Lui, il est fait pour l’eau, la nature, le cycle des saisons. Esprit trappeur et œil de lynx. Cela viendrait des grands-pères, José Maria, le berger farouche des monts Cantabriques, et Joseph, la bonté même, qui tenait l’épicerie-station essence de Mouscardès. Le rugby l’aimante. Car il est aussi fait pour jouer. Il reste l’inventeur des Jeux olympiques de Saugnac-et-Cambran et des mille et un challenges qui ont épuisé sa génération. C’est une bande dessinée où le héros, que personne n’attend, grille les étapes. Une ivresse de défis le jette dans le tourbillon. Il joue sa peau partout. Pêcheur à 5 ans, basketteur à 8, amoureux à 10, conseiller technique régional de rugby à 25, capitaine de l’équipe de France et marié au même âge, père de 4 enfants à 32, manager en Top 14 à 39.
Un palmarès
Raphaël Ibañez, 40 ans, a passé onze ans en équipe de France, où il compte 96 sélections et 34 capitanats. Outre 2 victoires dans le tournoi et 2 grands chelems, son palmarès s’enrichit d’un titre de vice-champion du monde et de 3 titres en Angleterre avec les London Wasps. Il est aujourd’hui en contrat avec Bordeaux-Bègles pour la saison 2013-2014, contrat qui épouse celui de consultant de France Télévisions pour la même période.
À 17 ans, il découvre que le rugby, en quatre-vingts minutes, donne l’opportunité de décliner son identité. Il l’érige en guide. « C’est l’idée d’honnêteté. Ce sport est une mise à nu de la personnalité. Tu ne peux pas te cacher. » Et à 23 ans, il comprend, en Australie, qu’il peut accéder au cercle de l’élite. Sa vie bascule. Il ferme la boutique festayre, fait ses adieux à Pampelune, et met le sac au pied du lit. Plus personne ne l’entendra chanter « Vino Griego ».
Dans le chaudron
Son physique standard, 1,78 m, 95 kg, l’oblige à puiser très loin dans les tripes. Le rugby de haut niveau devient une obsession, façon commando marine. « Repousser tout le temps mes limites m’a donné une force particulière et une grande richesse pour la vie. » Avec, derrière lui, un pack de fer. Fils de Jacques, élevé dans l’exigence sportive maximale, gendre de Claude Dourthe, neveu du fameux ailier Michel Arrieumerlou, beau-frère de Richard Dourthe et d’Olivier Magne, il naît d’un contexte surchauffé où la messe est en rugby. La vague de sentiments qui le soulève à 17 ans ne le dépose jamais.
Quand il débarque en équipe de France, l’inconnu, baptisé « capitaine de réflexion », soulignant son goût pour la lecture, hérite de la casquette d’intello qui aurait lu Dostoïevski dans la forêt. Il revendique seulement un vif intérêt pour l’orthographe, la construction de la phrase, l’enveloppe musicale. La mêlée, une forme de syntaxe ? « Oui, on n’en parle pas, on la ressent. Les énergies des coéquipiers et des adversaires te traversent. La magie d’une mêlée est réelle, autant que celle d’un texte. »
Dans le chaudron familial dacquois où continue de bouillir l’ovale, on l’imagine demander des temps morts afin que chacun reprenne son souffle. « Concentré sur l’objectif », « bien se tenir », « ne pas faire d’erreurs », « ne laisser aucun malentendu ». Le nez cassé, remué de droite à gauche, fait un bruit de pressoir manuel. Le manager ressemble comme un jumeau au joueur. Ses amis peinent à comprendre pourquoi il s’amidonne, ne donnant de lui que le côté lisse du bon élève appliqué, en formation permanente, disponible, franc, père aimant et mari modèle qui tient le bras de la dame sur le passage protégé. « Tu vas jouer le petit Jésus jusqu’à quand ? » lui demande sa mère.
Mais ce n’est pas si simple un talonneur comme lui. Lorsqu’il décroche le titre de champion d’Angleterre avec les Wasps, en 2008, voilà qu’il veut traverser Londres tout nu. Un programme très serré l’en empêche. La petite fêlure est dans le paquetage, où seule la mort dresse un mur noir. « Je ne peux pas la concevoir. Je la rejette. C’est peut-être pour cela que je me lance des défis à tous les niveaux. C’est ma course. » Chargé de mission au ministère des Sports, qu’a-t-il appris auprès de Roselyne Bachelot ? « À garder le sens de l’humour. »
Ibañeza la coursière
La télévision le touche par l’exercice de précision, de maîtrise du langage, qui lui offre de partager son émotion et son expérience. L’Aquitaine lui parle et c’est certainement pour elle qu’il n’a pas signé dans l’hémisphère Sud au cours des années 2000. Les Landes, habituées aux fils illustres, lui renvoient une puissante affection. Ses yeux s’illuminent quand la ganaderia de Cathy Agruna nomme une vache Ibañeza. Corne d’or pendant plusieurs années, c’est une vache supérieure, impitoyable et noble. Après avoir désossé l’adversaire, elle s’arrête pour le regarder. Le nom conserve son lustre.
Le rugby d’aujourd’hui ? « Devenu médiatique, il est exposé aux déclarations tempétueuses qui fragilisent son unité, mais c’est une aubaine pour les joueurs, plus athlètes, mieux préparés. Le spectacle, plus intense, est suivi par un vrai public, notamment l’extraordinaire public bordelais. » Patron de l’équipe de France ? Si l’on parle d’avenir, à deux pas du sac, il trouve une superbe touche de 50 mètres. L’avenir, c’est la saison 2013-2014, vivre, skier, surfer, programmer un tour du monde en famille avec les enfants.
Sollicité par plusieurs clubs depuis l’arrêt de sa carrière, en 2009, que vient-il faire si jeune à l’Union Bordeaux-Bègles, le gros cœur du Top 14 qui n’a pas de quoi s’habiller et se loger ? « Je me suis mis en danger en toute connaissance de cause. La région a pesé, comme ce président audacieux et ce staff, dont je suis très fier. J’ai mis la barre haut pour voir si j’en étais capable. J’ai beaucoup à apprendre. Je sais que j’allais trop vite et que je n’étais pas dans le ton juste. Je veux devenir un bon, un excellent manager. Pour être le meilleur… »
Aux jours sombres, comme cet hiver où son équipe enchaîne 10défaites d’affilée, Raphaël Ibañez se pose sa vraie question : « Est-ce que c’est plus dur que de se retrouver devant 80 000 personnes, à quatre minutes de la fin, avec une mêlée à 5 mètres de ta ligne, face aux All Black ? »
Après y avoir répondu, il remet la petite musique qui le suit depuis le premier jour. C’est un torrent. Le ciel est pur.
« Je veux devenir un bon, un excellent manager »
Merci Maman Ibanez (et Christian Seguin) pour ce très bel éclairage. Un jour nous verrons l'éternel 1er de la classe péter l'armure et se lâcher, peut-être lors de notre (re)toucherons le bouclier ... quoique, même là il est bien capable de rester propret Ah, sacré Raphaël
Dernière édition par patrick le Dim 26 Mai 2013 - 18:51, édité 1 fois
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
patrick a écrit:http://www.sudouest.fr/2013/05/26/l-homme-de-tous-les-defis-1064630-4571.php
[color=darkblue]Par Christian Seguin
l’Union Bordeaux-Bègles, le gros cœur du Top 14 qui n’a pas de quoi s’habiller et se loger ?
Et bien justement, il est à L'UBB parce qu'il a du coeur.
Pas de quoi s'habiller? Kariban c'est quoi? une marque de motos chinoises? et maintenant on a Kappa.
Se loger? bon là, je suis modéré mais nous ne sommes pas à la rue.
continue Raphael, ENZO te fera faire un petit tour de moto, piano, piano!
enzo- Unioniste de la première heure
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Localisation : PESSAC
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Et les autres
Un bien beau diaporama de M. Campistrau sur nos joueurs :
https://youtu.be/5kHk0aW4BrI
Soit dit en passant, pour les aficionados, il est fort dommage que
ce ce jeune montois, par ailleurs colocataire de Julien Tastet,
ait choisi d'honorer la mauvaise forme de ballon...
http://www.thomasdufau.com/thomas-dufau-donne-le-coup-d-envoi-des-girondins-rp-7-64
https://youtu.be/5kHk0aW4BrI
Soit dit en passant, pour les aficionados, il est fort dommage que
ce ce jeune montois, par ailleurs colocataire de Julien Tastet,
ait choisi d'honorer la mauvaise forme de ballon...
http://www.thomasdufau.com/thomas-dufau-donne-le-coup-d-envoi-des-girondins-rp-7-64
salvador- J'aime l'Union à la folie
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
http://www.sudouest.fr/2013/08/12/raphael-ibanez-saison-2-1139123-8.php
Malgré sa belle carrière de joueur, Raphaël était peut-être un peu jeune dans le job. En un an il s'est pragmatisé.
Heureusement tout de même qu'on a Vincent pour mettre un peu de politiquement incorrect dans les interviews
Malgré sa belle carrière de joueur, Raphaël était peut-être un peu jeune dans le job. En un an il s'est pragmatisé.
Heureusement tout de même qu'on a Vincent pour mettre un peu de politiquement incorrect dans les interviews
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
Ibanez a certainement plus de connaissance de ce sport et du haut niveau que la plupart des entraÏneurs de top14.Pour la maturité, ce garçon pige vite au bord du terrain comme ailleurs.
Sinon éternel problème, bien connu de nos jeunes,comment peut on être à la fois jeunes et expérimenté, c'est une autre voie que celle de Vincent qui lui est passé par des clubs de Fédérale.
Et puis le staff, c'est tout,personnalités et compétences différentes et complémentaires.Ibanez est un garçon honnête, bien dans le rôle d'un cadre dirigeant, pas de poudre aux yeux,il valorise et protège le groupe et c'est déja beaucoup.
Allez Union.
Sinon éternel problème, bien connu de nos jeunes,comment peut on être à la fois jeunes et expérimenté, c'est une autre voie que celle de Vincent qui lui est passé par des clubs de Fédérale.
Et puis le staff, c'est tout,personnalités et compétences différentes et complémentaires.Ibanez est un garçon honnête, bien dans le rôle d'un cadre dirigeant, pas de poudre aux yeux,il valorise et protège le groupe et c'est déja beaucoup.
Allez Union.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Raphaël Ibanez et le staff
....et puis où l'on voit que le staff s'adapte à la professionnalisation à grandes en jambées...: ce matin z'ont mis en ligne le programme de la "semaine du 12 janvier" !!!!
(j'espère qu'ils vont pas mettre en vente la collection de l'année prochaine sur la boutique en ligne... )
(j'espère qu'ils vont pas mettre en vente la collection de l'année prochaine sur la boutique en ligne... )
Duracuir- J'aime l'Union à la folie
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Humeur : UNION, quand tu me prends...!!!!
Re: Raphaël Ibanez et le staff
Le staff n'y peut rien, une coquille de la com,et oui ça arrive.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : A Musard derrière les espoirs
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
Une info peut-être pas relevée, mais le nouveau président de Clermont, Eric de Croimières dans le Midol de vendredi dernier s'aventurait à répondre à une question sur l'après Vern Cotter. Il dit être attentif aux situations de deux entraîneurs français (en plus de quelques pointures étrangères) : Fabien Galthié et Raphaël Ibanez. Pour Galthié, il vient de signer un nouveau "long" contrat avec Montpellier ce qui semble donc à ranger au placard, en revanche pour Ibanez il faudra être attentif.
Flow- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 29/09/2012
Re: Raphaël Ibanez et le staff
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
Perso, je veux bien juger de la qualité des réceptions d'après-match à Chaban...
Si ça se trouve, au lieu de me rouler par terre avec Vince33 et 3 grammes dans le sang tout en braillant "Bordeaux et blanc sooont les couleeeurs", je mettrais même une veste propre en citant du Heidegger et du Patrick Sébastien pour me donner un genre et en ponctuant mes phrases de "huhuhu" de bon aloi.
Ceci dit, rien ne nous éclaire quant au répertoire de cette auguste formation musicale dans cet article.
Alors ? Personne pour m'inviter ?
(ah, et "Inspector Cluzo", fervents supporters du Stade Montois, c'est bon, mangez-en. La preuve ? Ben voilà :
d'ailleurs, j'y pense, maintenant que le SM est en D2, voilà un excellent groupe pour mettre le feu à Chaban, avant match ou mi-temps !)
Dernière édition par mon jambon star le Lun 6 Jan 2014 - 17:57, édité 2 fois (Raison : idée géniale)
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hurluberlu- Team modo
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Localisation : "Spectateur, supporter, abandonne aux orages Ceux qui n’ont pas connu l’amertume des mers. Sache borner ton rêve à suivre du rivage L’éphémère sillon que trace Hugh Chalmers."
Date d'inscription : 26/08/2012
Re: Raphaël Ibanez et le staff
Si après le TShirt qu'on lui ai offert, l'Etche ne t'y conviait pas un jour, ce serait à désespérer des traditions basco-gascones
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
Pourquoi Ludo Lousteau n'a pas encore renouvelé??? Vu son importance ces 2 dernières années, je comprends pas... Le perdre serait un coup très dur, SURTOUT si l'année prochaine on joue en parallèle la grande Coupe d'Europe
krahknardz- Team modo
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
krahknardz a écrit:Pourquoi Ludo Lousteau n'a pas encore renouvelé??? Vu son importance ces 2 dernières années, je comprends pas... Le perdre serait un coup très dur, SURTOUT si l'année prochaine on joue en parallèle la grande Coupe d'Europe
Qui dit qu'il ne l'a pas été ???? Il est rare que les contrats des préparateurs physiques soient communiqués ... mais ça viendra tellement ils deviennent importants.
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
Exact. Vu leur importance, je m'étonne que le renouvellement de son contrat n'ait pas été communiqué. Et vu l'état de forme étincelant de nos joueurs depuis 2 ans, je pense que mine de rien il est devenu une pièce majeure dans l'arsenal unioniste...
krahknardz- Team modo
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
RyB sur France 3
L'émission complète là : http://aquitaine.france3.fr/emissions/la-voix-est-libre-aquitaine
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Adrien- J'aime l'Union à la folie
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
Ce qui ressort dans cette émission est la prise en compte par RI de la limite de son expérience "waspienne" quant à la gestion des joueurs.
Il reconnait clairement que mettre les 15 titulaires à plein temps systématiquement est une des raisons de l'essouflement de l'équipe.
Le recrutement visant à instaurer une concurrence parmi les titulaires et une gestion plus pertinente des remplacements pendant les matchs sont donc 2 axes d'amélioration.
:)
Il reconnait clairement que mettre les 15 titulaires à plein temps systématiquement est une des raisons de l'essouflement de l'équipe.
Le recrutement visant à instaurer une concurrence parmi les titulaires et une gestion plus pertinente des remplacements pendant les matchs sont donc 2 axes d'amélioration.
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le radis- Team modo
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Re: Raphaël Ibanez et le staff
SO :
Union Bordeaux-Bègles : Ibanez prend de l'épaisseur
arnaud david
Raphaël Ibanez entame sa 3e saison de manager. Il a pris de l’épaisseur dans la fonction et a su construire un staff uni et performant.
Union Bordeaux-Bègles : Ibanez prend de l'épaisseur Raphaël Ibanez en compagnie de Vincent Etcheto vendredi dernier à Biarritz. Photo
photo jean-daniel chopin
C'était il y a un peu plus d'une semaine au stade André-Moga à la fin de l'entraînement. Comme souvent, Raphaël Ibanez avait réuni l'ensemble de ses troupes autour de lui. Mais plutôt que de commenter la séance qui venait de s'achever, le manager de l'UBB allait la prolonger de quelques minutes de rigolade collective.
Sur un morceau de papier, il avait griffonné quelques phrases, plutôt drôles et décalées. Et puis choisissant un joueur puis un autre, il leur a demandé de hurler la formule qu'il venait de lire. Hilarité et huées garanties quand une nouvelle recrue est sommée de crier « son amour de Laurent Marti. » « J'aime bien les surprendre », sourit-il. « Dans ce club, on a plein de garçons bien élevés. Là, j'avais envie de leur faire comprendre qu'il faut qu'ils parviennent à faire sortir le lion qu'il y a en eux. »
Des surprises, Ibanez en réserve fréquemment à son effectif. Certaines sont agréables. D'autres moins comme lorsqu'il conditionne la fin d'une après-midi de préparation physique éprouvante à la réussite d'un concours de drops entre ses deux buteurs Pierre Bernard et Lionel Beauxis. Une manière de « refamiliariser » ses deux numéros dix avec ce surcroît de pression et de responsabilité qui pèse inévitablement sur un demi d'ouverture.
Le devoir d'être généreux
S'il assure ne rien s'interdire et suivre « au feeling » le fil de ses observations, on sent que chacune de ses interventions est mûrement réfléchie et dictée par une unique préoccupation : faire progresser ses joueurs, les « aider à se construire », optimiser le rendement de son groupe.
Quand nous lui avons soumis, par exemple, l'idée d'évoquer son apprentissage d'une fonction qu'il n'occupe que depuis deux ans, il a d'abord dit « non ». « Qu'est ce que ça va apporter à mon équipe ? », a-t-il demandé. « Faites plutôt parler les joueurs. Je ne revendique rien. Je m'inspire des gens qui m'ont guidé dans ma carrière. Si j'ai compris quelque chose, c'est qu'à ce poste, on a le devoir d'être généreux. »
Ce n'est pas son unique découverte de la profession. « J'ai perdu un peu de ma naïveté et de mes illusions par rapport au milieu, au partage des idées », relève-t-il. « On évolue dans un monde ultra concurrentiel où on ne fait de cadeau à personne. Mais je me suis endurci. Et ça me pousse à être le plus performant possible comme lorsque j'étais joueur. »
« Il a du charisme »
Le talonneur impétueux d'hier n'est pas très loin. Il ne dédaigne pas la confrontation directe avec celui qui s'éloigne du chemin. Le compétiteur ne dort jamais même si Ibanez donne parfois le sentiment de tenir cette partie éruptive de lui-même à distance, dompteur de ses émotions.
« Raphaël, ce n'est pas le meneur d'hommes basique et il ne le sera jamais. Il sait élever le débat », affirme son président Laurent Marti. « Il ne fait pas de bruit mais il a du charisme et il est travailleur. Il avance vite car il est intelligent et n'a pas peur de se remettre en question. »
En deux saisons, Ibanez aura réussi à construire un staff étoffé mais aussi uni et complémentaire, en prenant soin de laisser à chacun un espace d'expression. « On est tous dans une recherche permanente. Et moi, je suis là pour maintenir un cap. »
La huitième place acquise l'an passé lui a laissé un goût d'inachevé. « Oui, la frustration n'est pas encore évacuée. » Mais il sait qu'avec le 12e budget du Top 14, l'envie d'aller voir plus haut peut très vite se heurter au principe de réalité. « Il faut essayer de prolonger le miracle », affirme-t-il.
Mais doit-on parler de miracle ou plutôt de savoir-faire ? Mardi midi, Ibanez a de nouveau rassemblé les joueurs autour de lui. Pas pour rigoler mais pour faire grimper le degré d'exigence.
« J'aime ces semaines où la tension monte d'un cran », reconnaît-il avant de conclure. « Nos résultats seront la conséquence de notre volonté d'avancer ensemble, d'être honnêtes les uns vis-à-vis des autres ».
Et alors, moi aussi je l'aime Laurent Marti ... même si à moi il ne signe aucun chèque
Union Bordeaux-Bègles : Ibanez prend de l'épaisseur
arnaud david
Raphaël Ibanez entame sa 3e saison de manager. Il a pris de l’épaisseur dans la fonction et a su construire un staff uni et performant.
Union Bordeaux-Bègles : Ibanez prend de l'épaisseur Raphaël Ibanez en compagnie de Vincent Etcheto vendredi dernier à Biarritz. Photo
photo jean-daniel chopin
C'était il y a un peu plus d'une semaine au stade André-Moga à la fin de l'entraînement. Comme souvent, Raphaël Ibanez avait réuni l'ensemble de ses troupes autour de lui. Mais plutôt que de commenter la séance qui venait de s'achever, le manager de l'UBB allait la prolonger de quelques minutes de rigolade collective.
Sur un morceau de papier, il avait griffonné quelques phrases, plutôt drôles et décalées. Et puis choisissant un joueur puis un autre, il leur a demandé de hurler la formule qu'il venait de lire. Hilarité et huées garanties quand une nouvelle recrue est sommée de crier « son amour de Laurent Marti. » « J'aime bien les surprendre », sourit-il. « Dans ce club, on a plein de garçons bien élevés. Là, j'avais envie de leur faire comprendre qu'il faut qu'ils parviennent à faire sortir le lion qu'il y a en eux. »
Des surprises, Ibanez en réserve fréquemment à son effectif. Certaines sont agréables. D'autres moins comme lorsqu'il conditionne la fin d'une après-midi de préparation physique éprouvante à la réussite d'un concours de drops entre ses deux buteurs Pierre Bernard et Lionel Beauxis. Une manière de « refamiliariser » ses deux numéros dix avec ce surcroît de pression et de responsabilité qui pèse inévitablement sur un demi d'ouverture.
Le devoir d'être généreux
S'il assure ne rien s'interdire et suivre « au feeling » le fil de ses observations, on sent que chacune de ses interventions est mûrement réfléchie et dictée par une unique préoccupation : faire progresser ses joueurs, les « aider à se construire », optimiser le rendement de son groupe.
Quand nous lui avons soumis, par exemple, l'idée d'évoquer son apprentissage d'une fonction qu'il n'occupe que depuis deux ans, il a d'abord dit « non ». « Qu'est ce que ça va apporter à mon équipe ? », a-t-il demandé. « Faites plutôt parler les joueurs. Je ne revendique rien. Je m'inspire des gens qui m'ont guidé dans ma carrière. Si j'ai compris quelque chose, c'est qu'à ce poste, on a le devoir d'être généreux. »
Ce n'est pas son unique découverte de la profession. « J'ai perdu un peu de ma naïveté et de mes illusions par rapport au milieu, au partage des idées », relève-t-il. « On évolue dans un monde ultra concurrentiel où on ne fait de cadeau à personne. Mais je me suis endurci. Et ça me pousse à être le plus performant possible comme lorsque j'étais joueur. »
« Il a du charisme »
Le talonneur impétueux d'hier n'est pas très loin. Il ne dédaigne pas la confrontation directe avec celui qui s'éloigne du chemin. Le compétiteur ne dort jamais même si Ibanez donne parfois le sentiment de tenir cette partie éruptive de lui-même à distance, dompteur de ses émotions.
« Raphaël, ce n'est pas le meneur d'hommes basique et il ne le sera jamais. Il sait élever le débat », affirme son président Laurent Marti. « Il ne fait pas de bruit mais il a du charisme et il est travailleur. Il avance vite car il est intelligent et n'a pas peur de se remettre en question. »
En deux saisons, Ibanez aura réussi à construire un staff étoffé mais aussi uni et complémentaire, en prenant soin de laisser à chacun un espace d'expression. « On est tous dans une recherche permanente. Et moi, je suis là pour maintenir un cap. »
La huitième place acquise l'an passé lui a laissé un goût d'inachevé. « Oui, la frustration n'est pas encore évacuée. » Mais il sait qu'avec le 12e budget du Top 14, l'envie d'aller voir plus haut peut très vite se heurter au principe de réalité. « Il faut essayer de prolonger le miracle », affirme-t-il.
Mais doit-on parler de miracle ou plutôt de savoir-faire ? Mardi midi, Ibanez a de nouveau rassemblé les joueurs autour de lui. Pas pour rigoler mais pour faire grimper le degré d'exigence.
« J'aime ces semaines où la tension monte d'un cran », reconnaît-il avant de conclure. « Nos résultats seront la conséquence de notre volonté d'avancer ensemble, d'être honnêtes les uns vis-à-vis des autres ».
Et alors, moi aussi je l'aime Laurent Marti ... même si à moi il ne signe aucun chèque
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