Staff 2018-2019

Teague aura (peut-être un peu violemment) secoué le cocotier à l'UBB où beaucoup jouissaient d'une position confortable bien que les résultats aient été bien loin de rester enthousiasmants. Pour Marti, il aura donc été le nettoyeur et aura contribué à l'installation d'une nouvelle organisation ... et peut-être était-ce le deal initial dans le contexte du nouveau centre d'entrainement et du recrutement ambitieux. Par contre, les résultats n'ayant pas été immédiats, il a du dire au revoir ... là où d'autres auraient clairement attendu d'être virés pour obtenir un maximum de dédommagement. A court terme, Worsley arrivera t'il à insuffler un état d'esprit de tueurs durable dans cette équipe Sans grand chef "tyrannique", les joueurs vont ils enfin se prendre en main et montré qu'ils ne sont pas que des enfants. Si un nouveau manager arrivait, viendrait il seul, avec un staff partiel ou complet ? En tout cas, la touche a sérieusement intérêt de s'améliorer dare-dare

patrick a écrit:Teague aura (peut-être un peu violemment) secoué le cocotier à l'UBB où beaucoup jouissaient d'une position confortable bien que les résultats aient été bien loin de rester enthousiasmants. Pour Marti, il aura donc été le nettoyeur et aura contribué à l'installation d'une nouvelle organisation ... et peut-être était-ce le deal initial dans le contexte du nouveau centre d'entrainement et du recrutement ambitieux. Par contre, les résultats n'ayant pas été immédiats, il a du dire au revoir ... là où d'autres auraient clairement attendu d'être virés pour obtenir un maximum de dédommagement. A court terme, Worsley arrivera t'il à insuffler un état d'esprit de tueurs durable dans cette équipe Sans grand chef "tyrannique", les joueurs vont ils enfin se prendre en main et montré qu'ils ne sont pas que des enfants. Si un nouveau manager arrivait, viendrait il seul, avec un staff partiel ou complet ? En tout cas, la touche a sérieusement intérêt de s'améliorer dare-dare

Oui, c'est la seule chose que je lui reconnais. Et pour le coup c'était nécessaire !

Maintenant il faut savoir si ont fini avec Worsley jus qu à la fin de la saison et essaye de faire venir Urios pour la saison prochaine

Marti a t-il utilisé Teague comme un nettoyeur ? Le départ de RT était -il inéluctable ? Pourquoi avoir prolongé son contrat ?
Mème si le "commun accord " est difficile à croire , on peut noter que Teague n'a pas souhaité monnayer son contrat contrairement à beaucoup comme Galthié ou Novès pour ne citer que les plus connus . Reconnaissons lui cette élégance et souhaitons lui bonne chance pour la suite de carrière.

Maintenant que va t-il se passer à ma connaissance le seul à ètre venu du fait de Teague est Narraway , quel sera son avenir ?
Joe Worsley est il un intérimaire ou finira t-il la saison ?
Marti va certainement opter pour un entraineur confirmé , lancer un nouveau jeune coach me semble peu probable.

Et puis cela a été dit les joueurs ( et en particulier Radradra ) vont devoir se sortir les doigts

J'ai du mal à bien saisir les raisons et le timing de cette décision. Difficile de savoir s'il y a un plan à court, moyen ou long terme dans la constitution d'un nouveau staff.

Switch a écrit:

patrick a écrit:Teague aura (peut-être un peu violemment) secoué le cocotier à l'UBB où beaucoup jouissaient d'une position confortable bien que les résultats aient été bien loin de rester enthousiasmants. Pour Marti, il aura donc été le nettoyeur et aura contribué à l'installation d'une nouvelle organisation ... et peut-être était-ce le deal initial dans le contexte du nouveau centre d'entrainement et du recrutement ambitieux. Par contre, les résultats n'ayant pas été immédiats, il a du dire au revoir ... là où d'autres auraient clairement attendu d'être virés pour obtenir un maximum de dédommagement. A court terme, Worsley arrivera t'il à insuffler un état d'esprit de tueurs durable dans cette équipe Sans grand chef "tyrannique", les joueurs vont ils enfin se prendre en main et montré qu'ils ne sont pas que des enfants. Si un nouveau manager arrivait, viendrait il seul, avec un staff partiel ou complet ? En tout cas, la touche a sérieusement intérêt de s'améliorer dare-dare

Oui, c'est la seule chose que je lui reconnais. Et pour le coup c'était nécessaire !

Compte tenu de son CV un peu mince, il est sûr que Rory aurait du avoir un peu plus de modestie et de diplomatie ... mais c'est justement souvent les lacunes des plus jeunes sont pleins de fougue et pensent tout savoir car n'ayant jamais eu l'occasion de se confronter à de vrais problèmes. Sans l'apprentissage de ses échecs, point d'expérience et de sagesse Après, il y a aussi des jeunes qui vivent d'emblée sur leurs lauriers ... et on en a eu l'expérience à l'UBB

le radis a écrit:J'ai du mal à bien saisir les raisons et le timing de cette décision. Difficile de savoir s'il y a un plan à court, moyen ou long terme dans la constitution d'un nouveau staff.  

Entre une belle défaite et un prochain match délicat à la maison, lors de cette coupure de 3 semaines, c'était peut-être le moment idéal pour procéder à des changements.

C'est possible… mais j'avoue que je suis plongé dans un abîme de perplexité (heureusement que mes fanes sont là pour me retenir ! ).
Déjà je ne sais pas si la décision a été sciemment prise ou tout simplement subie par L Marti. A partir de là je suis complétement pommé ! Du coup cela m'empêche de conjecturer à plein tube !

Le coach idéal est compétent techniquement et humainement entraînant. C'est donc un oiseau rare, car entre les professeurs de rugby antipathiques, et les bons gars qui n'ont pas suivi les évolutions du jeu, les candidats ne sont pas nombreux. Comme on ne va pas pouvoir, je pense, finir la saison avec Joe Worsley aux manettes, on va se retrouver avec un entraîneur sans club. Hormis mon poulain Lievremont, plus qu'improbable, je mettrais plus sérieusement une petite pièce sur Fabrice Landreau.

Blin aussi est dispo et surement pas très loin Mais j'avoue avoir un peu de mal avec lui. Par contre pourquoi pas Landreau qui a l'avantage d'une bonne expérience et d'être à la fois libre et probablement avec un objectif Média pour 2019 avec la CDM au Japon qui nous permettrait de récupérer un autre entraineur de 1er choix avec un projet sur le long terme. Entre Landreau et Blin, je voterais donc plutôt Landreau ... mais on ne me demandera pas mon avis

Switch a écrit:

patrick a écrit:Teague aura (peut-être un peu violemment) secoué le cocotier à l'UBB où beaucoup jouissaient d'une position confortable bien que les résultats aient été bien loin de rester enthousiasmants. Pour Marti, il aura donc été le nettoyeur et aura contribué à l'installation d'une nouvelle organisation ... et peut-être était-ce le deal initial dans le contexte du nouveau centre d'entrainement et du recrutement ambitieux. Par contre, les résultats n'ayant pas été immédiats, il a du dire au revoir ... là où d'autres auraient clairement attendu d'être virés pour obtenir un maximum de dédommagement. A court terme, Worsley arrivera t'il à insuffler un état d'esprit de tueurs durable dans cette équipe Sans grand chef "tyrannique", les joueurs vont ils enfin se prendre en main et montré qu'ils ne sont pas que des enfants. Si un nouveau manager arrivait, viendrait il seul, avec un staff partiel ou complet ? En tout cas, la touche a sérieusement intérêt de s'améliorer dare-dare

Oui, c'est la seule chose que je lui reconnais. Et pour le coup c'était nécessaire !

Euh...
Je comprends pas !
Vous parlez de secouer le cocotier et faire le ménage....
Vous voulez dire quoi?
Virez deux trois joueurs , Lousteau?
Je comprends absolument rien à ce que vous dites .
Qui avait une position confortable en ne rien faisant au club?
Vous dites beaucoup. Moi je ne vois pas .....
Quelle nouvelle organisation il a mis en place Rory?
Je comprend pas ce que vous dites , désolé. Il faut m'expliquer.

le radis a écrit:C'est possible… mais j'avoue que je suis plongé dans un abîme de perplexité (heureusement que mes fanes sont là pour me retenir ! ).
Déjà je ne sais pas si la décision a été sciemment prise ou tout simplement subie par L Marti. A partir de là je suis complétement pommé !  Du coup cela m'empêche de conjecturer à plein tube !

Qui sait...peut être Jacques Brunel      

Après que notre condition physique (et le travail de l'équipe de Lousteau) a longtemps été encensée et nous permettait de gagner des matchs sur le gong, on s'est régulièrement retrouvé mis en difficulté lors de ces dernières années. Peut-être pour plaire au patron, mais pas mal de joueurs ont dit qu'enfin on se mettait à travailler sérieusement cette année. C'est souvent dans la tête qu'on a perdu nos matchs cette année (manque de motivation/organisation) et même ces matchs, on les termine en général mieux que nos adversaires.
D'un point de vue uniquement rugby, je ne regrette pas les joueurs que Teague a fait partir (sauf peut-être Alliouat), voire même aurait voulu faire partir, et aucun de ce qui sont arrivés ne m'a encore vraiment déçu. S'il y a une chose qu'on ne peut reprocher à Teague c'est son implication dans le club et son envie de réussir. Par exemple et pour faire plaisir à Léo, quel manager a fréquemment suivi les matchs des espoirs ? Je ne suis pas sûr que beaucoup se soient autant investis dans le club ... et même s'y investissent autant pour ceux qui sont encore accrochés aux branches.

Gahet a écrit:

le radis a écrit:C'est possible… mais j'avoue que je suis plongé dans un abîme de perplexité (heureusement que mes fanes sont là pour me retenir ! ).
Déjà je ne sais pas si la décision a été sciemment prise ou tout simplement subie par L Marti. A partir de là je suis complétement pommé !  Du coup cela m'empêche de conjecturer à plein tube !

Qui sait...peut être Jacques Brunel      

Après le spectaculaire redressement du XV de France grâce à tous les moyens qui lui ont été donnés ... , en voilà une bonne idée

Ah ouais entre Landreau et Blin vous envoyez du rêve en palette !
Je vais prendre un peu de mescaline, ça faisait longtemps, qui sait j'aurais moi aussi des noms à proposer !

le radis a écrit:Ah ouais entre Landreau et Blin vous envoyez du rêve en palette !    
Je vais prendre un peu de mescaline, ça faisait longtemps, qui sait j'aurais moi aussi des noms à proposer  !

J'ai bien peu qu'en la circonstance il faille modérer l’ampleur de nos rêves

C'est pour ça que j'ai besoin de prendre du carburant ! Parce que la réalité n'est pas funky !

Garbajosa

Envoyé depuis l'appli Topic'it

Heu, z'êtes sûrs que Garbajosa est compatible avec James

C'est quand même le gros bordel à l'UBB, on va continuer avec un staff composé par Teague, sans Teague, qu'est ce qu'on va faire maintenant, du Teague sans Teague, autre chose, une expérience d'auto gestion...

Je ne vois pas de bonnes solutions, soit on se précipite pour trouver un manager avec tous les aléas que cela suppose, ou on prend le temps pour ne pas se tromper et on risque de laisser filer cette année en grillant une cartouche.
Peut être que Worsley sera à la hauteur, personne n'a de boule de cristal, mais disons qu'on a le droit d'être un peu dubitatif.

L'autre point d'interrogation, c'est comment vont réagir et que vont donner les joueurs face à cet énième chamboulement en cours de saison, un renouveau, un lâchage collectif, le minimum syndical...

Teague s'en va, ça c'est fait, je ne pense malheureusement pas que tous les problèmes du club vont se faire la malle avec lui. Faire une équipe c'est long, c'est complexe, mais quand on n'a aucune stabilité dans le temps,
qu'on repart perpétuellement à zéro, on ne construit rien de solide, c'est plus qu’évident. C'est ça le vrai visage de notre club aujourd'hui, velléitaire, immature et même plus séduisant.

Je préviens, je crois que je vais dire une connerie, mais pour redonner un esprit de corps à ce groupe je n'en vois qu'un, le roi de la Air Corrida : Fonfon

Après, il y a des noms plus clinquants, mais moi qui ne me font pas rêver : Galthié ou Novès.

Un manager correct a tout pour réussir :
Des joueurs d’un niveau correct de top 14 avec quelques stars
Un socle de joueurs au club depuis longtemps et se connaissant bien
Un centre d’entraînement au top
Un public nombreux et fidèle
Un stade vieillissant mais capable d’accueillir le public sus-cité

Bref, y’a de quoi faire quelques choses de pas mal à condition de ne pas se mettre une partie du vestiaire et la moitié des supporters à dos dès son arrivée...

Pour ma part, je laisse sa chance à Worsley, il arrive souvent que la solution soit sous nos yeux sans qu’on la voit

Dans Sud-Ouest ce matin.

SUCCESSION

Landreau, Urios, Garbajosa…

La liste des entraîneurs en quête d’un poste est longue et, dès hier, le téléphone de Laurent Marti a sonné.
D’autant plus vite qu’il y a quelques semaines déjà, certains agents avaient anticipé une possible éviction du manager anglais. Après cette parenthèse
anglo-saxonne prolongée par Joe Worsley, Laurent Marti privilégierait un entraîneur français. Fabrice Landreau, ancien coach de Toulon, est sur le marché et son nom a été avancé au président de l’UBB. Christophe Urios, l’entraîneur de Castres, sera libre à la fin de la saison mais il faudrait alors prolonger l’intérim de Worsley jusqu’en juin. Le nom de Xavier Garbajosa revient aussi. Le coach rochelais est sous contrat mais il a clairement exprimé son désir de devenir numéro 1. Comment travaillerat-il avec Jonno Gibbes qui arrive ? Il semblerait que le président de l’UBB ait choisi de ne pas se presser

Des entraineurs français libres c'est pas ce qui manque : Galthié , Novés , Landreau , Delmas , Dal Maso , Lievremont X 2 , Magne , Berbizier etc...


Si on devait finir la saison avec Joe (encore un anglais ! lol) , Urios serait le top même si je pense qu'il va priviligier à juste titre l'équipe de France. Je tenterais le coup avec un Christian Labit de Carcassonne qui est un vrai meneur d'homme et qui fait un super boulot à Carca avec peu de moyens !

Sud-Ouest : https://www.sudouest.fr/2018/11/13/le-choc-d-un-divorce-5561783-8.php

UBB / Teague : le choc d’un divorce

Publié le 13/11/2018 à 6h53. Mis à jour à 8h28 par Arnaud David.

Laurent Marti a décidé de se séparer de son manager Rory Teague moins d’un an après lui avoir donné les pleins pouvoirs. Explications.

« Je ne sais pas si la carrière de Rory Teague sera un succès brillant ou un échec », avait confié Laurent Marti il y a un peu moins d’un an, alors qu’il réfléchissait à la succession de Jacques Brunel tout juste appelé au chevet du Quinze de France.

Malgré ses doutes, le président de l’Union Bordeaux-Bègles avait choisi de confier les rênes de son équipe à ce jeune entraîneur anglais débordant d’énergie mais dont l’intransigeance, le management autoritaire et parfois brutal divisait une partie de son effectif.
Il avait même prolongé son contrat jusqu’en 2021.

Dix mois plus tard, c’est donc fini. Hier matin, dans un communiqué lapidaire, le club a annoncé que « l’UBB et Rory Teague avaient mis fin à leur collaboration », et que Joe Worsley, le plus ancien du staff technique, assurerait l’intérim. Cette décision, personne ne l’avait vue venir.
Le capitaine Jefferson Poirot, actuellement avec le Quinze de France à Marcoussis, l’a apprise par un sms présidentiel trente minutes avant la publication du communiqué. Les joueurs, qui reprenaient l’entraînement après quelques jours de congés, en ont été informés en suivant.


« Tout blanc ou tout noir »

Qu’est ce qui a précipité le départ de Teague ? Faute d’explications de Laurent Marti qui a choisi de garder le silence, il faut dérouler le film de ce début de saison. La lourde défaite concédée à Toulouse (40–0) lors de la dernière journée de Top 14 a été l’élément déclenchant. Au-delà de la blessure à l’ego, cette claque a sans doute réveillé chez le président de l’UBB des interrogations sur la capacité de Teague à fédérer un groupe.

Si le club girondin, huitième, a réalisé un parcours convenable après neuf journées, avec des succès à domicile convaincants face à Clermont, La Rochelle ou Lyon, il n’a toujours pas réussi à s’imposer en déplacement, s’inclinant notamment à Agen et Grenoble après des performances décevantes malgré un recrutement haut de gamme.

« Notre équipe a de la gueule », estimait Laurent Marti avant le coup d’envoi de la saison. « Mais elle va passer par une période de rodage. Il faudra rester calme. » Trois mois plus tard, le président de l’UBB a perdu patience et a choisi de couper dans le vif.

Pourquoi ? On en revient à la question de la relation de Teague avec ses joueurs. « Avec Rory, ce sera tout blanc ou tout noir. Il n’y aura pas de gris », avait pronostiqué Marti, en soulignant les qualités professionnelles de son coach. « Son bon côté, c’est que c’est un bourreau de travail. Il met un point d’honneur à faire tout avancer. J’ai un vrai soutien. Et puis, je n’ai jamais entendu un joueur remettre en cause ses compétences rugbystiques. Même ceux avec lesquels cela s’est mal passé. » Seulement, il y avait d’autres facettes à ce personnage complexe et sous certains aspects attachant, mais « capable aussi de péter un câble à tout moment » et de s’aliéner l’adhésion du vestiaire.

Lui jugeait qu’il était nécessaire de remettre de la rigueur dans « un club où les joueurs avaient plus de pouvoir que l’encadrement », ainsi qu’il l’avait déclaré à « Sud Ouest » dans une première interview décapante.

Teague n’avait pas su non plus conquérir le public girondin en faisant prendre au jeu de l’UBB un virage beaucoup plus austère que ses prédécesseurs, en privilégiant l’efficacité au spectacle. Quant au premier cercle de dirigeants, partenaires, anciens joueurs qui gravite autour de Laurent Marti, il était majoritairement hostile à l’Anglais. En milieu de semaine dernière, profitant de la trêve, le président de l’UBB a donc signifié à son entraîneur que l’heure de se séparer était venue. Ces derniers temps, leurs relations n’étaient plus tout à fait aussi fluides.

Quelles répercussions ce divorce aura-t-il sur les performances de l’équipe girondine ? Gardera-t-elle avec Joe Worsley le même cadre de jeu ? Les deux prochaines journées, avec la réception de Toulon puis le déplacement à Perpignan, offriront une première indication. Pour l’heure, elle n’est pas décrochée de la course à la qualification.

Qui pour lui succéder ?

La liste des entraîneurs en quête d’un poste est longue et, dès hier,
le téléphone de Laurent Marti a sonné. D’autant plus vite qu’il y a quelques semaines déjà, certains agents avaient anticipé une possible éviction du manager anglais. Après cette parenthèse anglo-saxonne prolongée par Joe Worsley, Laurent Marti privilégierait un entraîneur français. Fabrice Landreau, ancien coach de Toulon, est sur le marché et son nom a été avancé au président de l’UBB. Christophe Urios, l’entraîneur de Castres, sera libre à la fin de la saison mais il faudrait alors prolonger l’intérim de Worsley jusqu’en juin. Le nom de Xavier Garbajosa revient aussi.Le coach rochelais est sous contrat mais il a clairement exprimé son désir de devenir numéro 1. Comment travaillera-t-il avec Jonno Gibbes qui arrive ? Il semblerait que le président de l’UBB ait choisi de ne pas se presser