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Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
nadoloubb a écrit:Scalp a écrit:Coupe du monde 2023. Maxime Lucu le talisman du XV de France ? Sa stat folle avec les Bleus
https://actu.fr/sports/rugby/xv-de-france/coupe-du-monde-2023-maxime-lucu-le-talisman-du-xv-de-france-sa-stat-folle-avec-les-bleus_60078303.html
Mdr et vu comment les sportifs sont superstitieux on le verra jusqu'à 2027 si ca perd pas![]()
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Il faut le préserver d'une blessure

Bordelais exilé ds le 31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Bordelais exilé ds le 31 a écrit:nadoloubb a écrit:Scalp a écrit:Coupe du monde 2023. Maxime Lucu le talisman du XV de France ? Sa stat folle avec les Bleus
https://actu.fr/sports/rugby/xv-de-france/coupe-du-monde-2023-maxime-lucu-le-talisman-du-xv-de-france-sa-stat-folle-avec-les-bleus_60078303.html
Mdr et vu comment les sportifs sont superstitieux on le verra jusqu'à 2027 si ca perd pas![]()
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Il pourra tirer jusqu'à 34 ans comme ça

Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.rugbyrama.fr/2023/09/13/france-uruguay-des-bleus-detendus-mais-concentres-avant-leur-deuxieme-match-de-la-coupe-du-monde-11450755.php
Je sais pas comment on met le lien
J'avoue que cet article est pas mal non plus...
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J'avoue que cet article est pas mal non plus...
SEB34- J'aime l'Union passionnément
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
SEB34 a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/09/13/france-uruguay-des-bleus-detendus-mais-concentres-avant-leur-deuxieme-match-de-la-coupe-du-monde-11450755.php
Je sais pas comment on met le lien
J'avoue que cet article est pas mal non plus...
Comme tu viens de faire

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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://x.com/rugbyramafr/status/1702033728002728106?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:
https://x.com/rugbyramafr/status/1702033728002728106?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ
Ça doit être la faute de giroud
nadoloubb- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
nadoloubb a écrit:Scalp a écrit:
https://x.com/rugbyramafr/status/1702033728002728106?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ
Ça doit être la faute de giroud


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Re: Coupe du Monde 2023 en France
le radis a écrit:nadoloubb a écrit:Scalp a écrit:
https://x.com/rugbyramafr/status/1702033728002728106?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ
Ça doit être la faute de giroud
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nadoloubb- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
nadoloubb a écrit:le radis a écrit:nadoloubb a écrit:Scalp a écrit:
https://x.com/rugbyramafr/status/1702033728002728106?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ
Ça doit être la faute de giroud
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Moefana-vincent-une-paire-percutante-au-centre-du-xv-de-france/1419689
Moefana-Vincent, une paire percutante au centre du XV de France
Titulaire ce jeudi soir, la paire Yoram Moefana - Arthur Vincent associe deux centres beaucoup plus toniques que passeurs. Une tendance générale autant qu'un choix de la part du staff, qui trouve de la fluidité par d'autres moyens.
Alex Bardot
Ils ne se feront peut-être aucune passe entre eux ce jeudi soir, mais Yoram Moefana et Arthur Vincent forment bien une paire. Un vrai duo, pensé comme tel par le staff de l'équipe de France. À chacun ses qualités et son apport. Moefana est le premier centre, Vincent le deuxième. Moefana (1,83 m ; 95 kg) affronte, Vincent (1,83 m ; 88 kg) louvoie. Moefana est le pur puncheur, Vincent est davantage un « décathlonien ». Mais, entre eux, la complémentarité n'est pas totale, et c'est aussi voulu par le staff.
On a souvent cherché à associer le maximum de qualités possibles sous les numéros 12 et 13 : de la puissance, de la vitesse, des appuis, du pied, des mains pour déplacer le ballon de toutes les manières possibles et de l'intelligence stratégique.
Par manque de profils peut-être, par choix stratégique à coup sûr, la France de Fabien Galthié n'a pas suivi ce chemin. De Vakatawa-Fickou, alignée face à l'Angleterre en février 2022, à Moefana-Vincent, la quasi-totalité des paires alignée est plutôt solide et « puncheuse », mais peu douée au pied et guère passeuse.
En novembre 2021, le staff tricolore est volontairement sorti de ce schéma quand Romain Ntamack a cédé son « 10 » à Matthieu Jalibert et s'est décalé d'un cran pour être associé au centre à Gaël Fickou. « Jusqu'ici, on jouait avec deux meneurs de jeu identifiés qui étaient le 10 et le 15 et aujourd'hui, dans l'idée que Romain (Ntamack) serait en 12, il y en aurait trois : le 10, le 12 et même le 15, expliquait à l'époque Laurent Labit, l'entraîneur de l'attaque. Ça rendrait la tâche du 10 plus facile parce qu'il se sentirait suppléé et serait sûr à tout moment, dans n'importe quelle situation, de trouver un de ces deux joueurs. »
Faire de l'arrière un deuxième numéro 10
Cette association de trois « meneurs » a amené le jeu français vers d'autres horizons, notamment grâce au profil plus « collectif » de Ntamack (20 passes au total face à l'Argentine et la Géorgie, en 2021). Mais l'expérience a été stoppée après deux matches et n'a plus été retentée, même pas en cours de rencontre. Galthié ne s'est pas étendu sur les raisons de cet arrêt, mais les choix de joueurs effectués depuis parlent pour lui : il veut avant tout de la solidité, et si possible de la puissance, au milieu du terrain.
Cela correspond à une tendance globale et à la vision du sélectionneur, qui constate depuis longtemps qu'il est difficile de se faire plus de deux passes de rang sur la largeur face aux défenses qui sprintent, que les Bleus manquent de temps d'entraînement pour établir des systèmes sophistiqués, que la possession n'est pas une garantie de succès, au contraire, et que le centre du terrain est une zone où il faut du répondant, en attaque comme en défense.
La mue ne date pas de ce mandat mais, au pays des frères Boniface, de Didier Codorniou et de Yannick Jauzion, la définition du centre de l'équipe de France a donc changé pour s'apparenter à celle d'un troisième ligne, plus puncheur et combattant que passeur. La paire Moefana-Vincent est dans cette veine, comme Danty-Fickou, même si le Racingman a évolué vers un profil moins tranché, plus hybride que celui de son compère rochelais, un tank en attaque et l'un des meilleurs « centres gratteurs » du monde.
Pour amener des passes (notamment longues) ou du jeu au pied quand il y en a besoin, les Bleus ont copié une formule qui existait déjà chez les All Blacks : faire de l'arrière un deuxième numéro 10. Ce soir, quand le jeu s'accélérera ou qu'il y aura besoin de se dégager, Antoine Hastoy et Melvyn Jaminet seront souvent côte à côte, premier et deuxième attaquants de la ligne, comme cela a parfois été le cas avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos vendredi dernier lors de la victoire face aux All Blacks (27-13). La recherche de complémentarité, désormais, se joue au-delà de la seule paire de centres.
Moefana-Vincent, une paire percutante au centre du XV de France
Titulaire ce jeudi soir, la paire Yoram Moefana - Arthur Vincent associe deux centres beaucoup plus toniques que passeurs. Une tendance générale autant qu'un choix de la part du staff, qui trouve de la fluidité par d'autres moyens.
Alex Bardot
Ils ne se feront peut-être aucune passe entre eux ce jeudi soir, mais Yoram Moefana et Arthur Vincent forment bien une paire. Un vrai duo, pensé comme tel par le staff de l'équipe de France. À chacun ses qualités et son apport. Moefana est le premier centre, Vincent le deuxième. Moefana (1,83 m ; 95 kg) affronte, Vincent (1,83 m ; 88 kg) louvoie. Moefana est le pur puncheur, Vincent est davantage un « décathlonien ». Mais, entre eux, la complémentarité n'est pas totale, et c'est aussi voulu par le staff.
On a souvent cherché à associer le maximum de qualités possibles sous les numéros 12 et 13 : de la puissance, de la vitesse, des appuis, du pied, des mains pour déplacer le ballon de toutes les manières possibles et de l'intelligence stratégique.
Par manque de profils peut-être, par choix stratégique à coup sûr, la France de Fabien Galthié n'a pas suivi ce chemin. De Vakatawa-Fickou, alignée face à l'Angleterre en février 2022, à Moefana-Vincent, la quasi-totalité des paires alignée est plutôt solide et « puncheuse », mais peu douée au pied et guère passeuse.
En novembre 2021, le staff tricolore est volontairement sorti de ce schéma quand Romain Ntamack a cédé son « 10 » à Matthieu Jalibert et s'est décalé d'un cran pour être associé au centre à Gaël Fickou. « Jusqu'ici, on jouait avec deux meneurs de jeu identifiés qui étaient le 10 et le 15 et aujourd'hui, dans l'idée que Romain (Ntamack) serait en 12, il y en aurait trois : le 10, le 12 et même le 15, expliquait à l'époque Laurent Labit, l'entraîneur de l'attaque. Ça rendrait la tâche du 10 plus facile parce qu'il se sentirait suppléé et serait sûr à tout moment, dans n'importe quelle situation, de trouver un de ces deux joueurs. »
Faire de l'arrière un deuxième numéro 10
Cette association de trois « meneurs » a amené le jeu français vers d'autres horizons, notamment grâce au profil plus « collectif » de Ntamack (20 passes au total face à l'Argentine et la Géorgie, en 2021). Mais l'expérience a été stoppée après deux matches et n'a plus été retentée, même pas en cours de rencontre. Galthié ne s'est pas étendu sur les raisons de cet arrêt, mais les choix de joueurs effectués depuis parlent pour lui : il veut avant tout de la solidité, et si possible de la puissance, au milieu du terrain.
Cela correspond à une tendance globale et à la vision du sélectionneur, qui constate depuis longtemps qu'il est difficile de se faire plus de deux passes de rang sur la largeur face aux défenses qui sprintent, que les Bleus manquent de temps d'entraînement pour établir des systèmes sophistiqués, que la possession n'est pas une garantie de succès, au contraire, et que le centre du terrain est une zone où il faut du répondant, en attaque comme en défense.
La mue ne date pas de ce mandat mais, au pays des frères Boniface, de Didier Codorniou et de Yannick Jauzion, la définition du centre de l'équipe de France a donc changé pour s'apparenter à celle d'un troisième ligne, plus puncheur et combattant que passeur. La paire Moefana-Vincent est dans cette veine, comme Danty-Fickou, même si le Racingman a évolué vers un profil moins tranché, plus hybride que celui de son compère rochelais, un tank en attaque et l'un des meilleurs « centres gratteurs » du monde.
Pour amener des passes (notamment longues) ou du jeu au pied quand il y en a besoin, les Bleus ont copié une formule qui existait déjà chez les All Blacks : faire de l'arrière un deuxième numéro 10. Ce soir, quand le jeu s'accélérera ou qu'il y aura besoin de se dégager, Antoine Hastoy et Melvyn Jaminet seront souvent côte à côte, premier et deuxième attaquants de la ligne, comme cela a parfois été le cas avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos vendredi dernier lors de la victoire face aux All Blacks (27-13). La recherche de complémentarité, désormais, se joue au-delà de la seule paire de centres.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-oeil-de-renaud-bourel-france-uruguay-le-choc-de-deux-mondes/1419681
L'oeil de Renaud Bourel : France - Uruguay, le choc de deux mondes
Sur son nuage depuis son succès sur les All Blacks, un XV de France remanié accueille la modeste Uruguay, jeudi à Villeneuve-d'Ascq (21 heures). Objectif : garder le rythme.
Renaud Bourel
Bienvenue dans le tunnel de la Coupe du monde de rugby. Ce multivers pas tout à fait d'équerre où une fois tous les quatre ans les grosses équipes se paient des petites, histoire d'entretenir une illusion d'universalité. Moins d'une semaine après le grand huit émotionnel du match d'ouverture, le retour au stand est brutal. Malheureusement, on n'a rien trouvé de mieux pour concerner à ce jeu des nations davantage ballon rond compatibles. Comme à peu près toute la planète, dites-vous ? Certes. Et puis ces affiches appartiennent au folklore du Tournoi, même si voir la Roumanie prendre 80 points pour commencer contre l'Irlande rappelle comme ce sport a abandonné une grosse partie de sa cargaison dans le virage vers le professionnalisme.
Mettre l'Uruguay en travers de la route des Bleus, c'est filer les clés d'une Formule 1 à l'héritier qui démarre la conduite accompagnée. Il a un poster de Charles Leclerc sur le mur de sa chambre, on se dit que c'est sympa de lui faire plaisir jusqu'à ce qu'il aplatisse le nez du bolide au passage du premier rapport. L'avis général concède quelques inquiétudes à l'égard de l'adversaire du soir. C'est de la condescendance, s'écrieront certains ? Du fioul pour leur orgueil, surtout !
Il n'est pas question, ici, de nier un talent quelconque, la ferveur et la détermination d'un pays d'un peu plus de 3 millions d'habitants, où l'on croise le président de la république le long de la main courante les après-midi de derby. L'Uruguay participe à sa 5e Coupe du monde et a assigné à résidence pour l'automne ses imposants voisins nord-américains (États-Unis, Canada). Rien que pour ça, elle mérite toutes les considérations d'usage. Il s'agit juste de bien mesurer l'écart qui sépare les conditions de travail de la sélection la mieux armée au monde en ressources humaines et en moyens face au 17e du classement World Rugby. Son dernier match contre une nation actuelle du top 10 remonte au Mondial nippon en 2019. Les Teros avaient coché leur entrée dans la compète très en amont et fait sensation en battant les Fidji (30-27), avant de s'incliner devant la Géorgie (7-33), l'Australie (10-45) et le pays de Galles (13-35) avec les honneurs mais sans réel suspense.
Un bon indicateur de la forme et du moral du groupe
Direction le Grand Nord pour un match qui doit valoir son pesant de spectacle. La tournée des rock stars débute jeudi soir, à Lille. Enfin plutôt d'une majorité de leurs doublures. On voit d'ici les plaques de stress apparaître sur les maîtres en sémantique tricolore. Ils se sont donné tant de mal pour faire adopter le terme de « finisseurs » puis abandonner celui « d'équipe premium » du Petit Galthié illustré qu'au bout du compte on s'y perd. Qui démarre finalement jeudi soir ?« La meilleure équipe de France du moment », a dit le sélectionneur, géniteur de sa propre langue vivante. Nous voilà bien renseignés. Le public du coin est donc en droit d'attendre une prestation à la hauteur, à plus forte raison quand le même sélectionneur se dit « endetté » vis-à-vis de la région.
Ce match, s'il ne peut pas inquiéter d'un point de vue comptable, laisse tout de même germer plusieurs sujets de curiosité. Il doit d'abord renseigner sur l'état de forme d'Anthony Jelonch, de retour après sa rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche et après six mois sans jouer. Voir le troisième-ligne gambader sans appréhension, tomber et se remettre sur pied aurait un côté rassurant dans la perspective de croiser l'Irlande ou l'Afrique du Sud en quarts de finale.
Un crash-test in vivo avant le big bang annoncé pour celui qui reprend au passage les galons de son copain Dupont, logiquement mis à l'herbage avec six autres des héros du succès sur la Nouvelle-Zélande (27-13). Selon un roulement prémédité et rendu possible par le superbe succès de vendredi dernier, il doit permettre de relancer au centre Yoram Moefana, et son potentiel indéniable qu'il doit nourrir de plus de confiance, de jeter dans le bain le talonneur Pierre Bourgarit, avant d'avoir le verdict définitif quant à la blessure de Julien Marchand (ischio).
Il est enfin un moyen d'évaluer le moral de ce groupe dont on ne devine aucune fissure même en collant son museau dessus. C'est pourtant le risque inhérent à ces campagnes quadriennales : voir émerger des frustrations à même de troubler sa tranquillité. Cette rencontre, puis celle face à la Namibie, à Marseille dans une semaine, sert autant d'exutoire que de maintien en alerte pour des joueurs forcément bourrés de qualités, mais en situation d'attente. La pire place du compétiteur entre l'infirmerie et le pied du podium. La force de l'encadrement français, même s'il a détourné ses éléments de langage à leur propos, est d'avoir fait accepter ce rôle dès le début du projet à ceux qui devraient le supporter, sans jamais boucher leur horizon.
L'oeil de Renaud Bourel : France - Uruguay, le choc de deux mondes
Sur son nuage depuis son succès sur les All Blacks, un XV de France remanié accueille la modeste Uruguay, jeudi à Villeneuve-d'Ascq (21 heures). Objectif : garder le rythme.
Renaud Bourel
Bienvenue dans le tunnel de la Coupe du monde de rugby. Ce multivers pas tout à fait d'équerre où une fois tous les quatre ans les grosses équipes se paient des petites, histoire d'entretenir une illusion d'universalité. Moins d'une semaine après le grand huit émotionnel du match d'ouverture, le retour au stand est brutal. Malheureusement, on n'a rien trouvé de mieux pour concerner à ce jeu des nations davantage ballon rond compatibles. Comme à peu près toute la planète, dites-vous ? Certes. Et puis ces affiches appartiennent au folklore du Tournoi, même si voir la Roumanie prendre 80 points pour commencer contre l'Irlande rappelle comme ce sport a abandonné une grosse partie de sa cargaison dans le virage vers le professionnalisme.
Mettre l'Uruguay en travers de la route des Bleus, c'est filer les clés d'une Formule 1 à l'héritier qui démarre la conduite accompagnée. Il a un poster de Charles Leclerc sur le mur de sa chambre, on se dit que c'est sympa de lui faire plaisir jusqu'à ce qu'il aplatisse le nez du bolide au passage du premier rapport. L'avis général concède quelques inquiétudes à l'égard de l'adversaire du soir. C'est de la condescendance, s'écrieront certains ? Du fioul pour leur orgueil, surtout !
Il n'est pas question, ici, de nier un talent quelconque, la ferveur et la détermination d'un pays d'un peu plus de 3 millions d'habitants, où l'on croise le président de la république le long de la main courante les après-midi de derby. L'Uruguay participe à sa 5e Coupe du monde et a assigné à résidence pour l'automne ses imposants voisins nord-américains (États-Unis, Canada). Rien que pour ça, elle mérite toutes les considérations d'usage. Il s'agit juste de bien mesurer l'écart qui sépare les conditions de travail de la sélection la mieux armée au monde en ressources humaines et en moyens face au 17e du classement World Rugby. Son dernier match contre une nation actuelle du top 10 remonte au Mondial nippon en 2019. Les Teros avaient coché leur entrée dans la compète très en amont et fait sensation en battant les Fidji (30-27), avant de s'incliner devant la Géorgie (7-33), l'Australie (10-45) et le pays de Galles (13-35) avec les honneurs mais sans réel suspense.
Un bon indicateur de la forme et du moral du groupe
Direction le Grand Nord pour un match qui doit valoir son pesant de spectacle. La tournée des rock stars débute jeudi soir, à Lille. Enfin plutôt d'une majorité de leurs doublures. On voit d'ici les plaques de stress apparaître sur les maîtres en sémantique tricolore. Ils se sont donné tant de mal pour faire adopter le terme de « finisseurs » puis abandonner celui « d'équipe premium » du Petit Galthié illustré qu'au bout du compte on s'y perd. Qui démarre finalement jeudi soir ?« La meilleure équipe de France du moment », a dit le sélectionneur, géniteur de sa propre langue vivante. Nous voilà bien renseignés. Le public du coin est donc en droit d'attendre une prestation à la hauteur, à plus forte raison quand le même sélectionneur se dit « endetté » vis-à-vis de la région.
Ce match, s'il ne peut pas inquiéter d'un point de vue comptable, laisse tout de même germer plusieurs sujets de curiosité. Il doit d'abord renseigner sur l'état de forme d'Anthony Jelonch, de retour après sa rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche et après six mois sans jouer. Voir le troisième-ligne gambader sans appréhension, tomber et se remettre sur pied aurait un côté rassurant dans la perspective de croiser l'Irlande ou l'Afrique du Sud en quarts de finale.
Un crash-test in vivo avant le big bang annoncé pour celui qui reprend au passage les galons de son copain Dupont, logiquement mis à l'herbage avec six autres des héros du succès sur la Nouvelle-Zélande (27-13). Selon un roulement prémédité et rendu possible par le superbe succès de vendredi dernier, il doit permettre de relancer au centre Yoram Moefana, et son potentiel indéniable qu'il doit nourrir de plus de confiance, de jeter dans le bain le talonneur Pierre Bourgarit, avant d'avoir le verdict définitif quant à la blessure de Julien Marchand (ischio).
Il est enfin un moyen d'évaluer le moral de ce groupe dont on ne devine aucune fissure même en collant son museau dessus. C'est pourtant le risque inhérent à ces campagnes quadriennales : voir émerger des frustrations à même de troubler sa tranquillité. Cette rencontre, puis celle face à la Namibie, à Marseille dans une semaine, sert autant d'exutoire que de maintien en alerte pour des joueurs forcément bourrés de qualités, mais en situation d'attente. La pire place du compétiteur entre l'infirmerie et le pied du podium. La force de l'encadrement français, même s'il a détourné ses éléments de langage à leur propos, est d'avoir fait accepter ce rôle dès le début du projet à ceux qui devraient le supporter, sans jamais boucher leur horizon.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Ca parle des croisées pour marx et il n'ont pas la profondeur au talon que nous, dweba est un très bon impact player mais il n'a pas les qualités du poste (notamment lancer) comme bourgarit
nadoloubb- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Ben ilsnadoloubb a écrit:Ca parle des croisées pour marx et il n'ont pas la profondeur au talon que nous, dweba est un très bon impact player mais il n'a pas les qualités du poste (notamment lancer) comme bourgarit
Ont pris 4 demis de mêlée .. de toute façon ils vont embrouiller tout le
Monde . Je vous parie que Polard va revenir aussi.
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
densnewzealand a écrit:Ben ilsnadoloubb a écrit:Ca parle des croisées pour marx et il n'ont pas la profondeur au talon que nous, dweba est un très bon impact player mais il n'a pas les qualités du poste (notamment lancer) comme bourgarit
Ont pris 4 demis de mêlée .. de toute façon ils vont embrouiller tout le
Monde . Je vous parie que Polard va revenir aussi.
Après ce qui me fait peur chez les boks c'est leur pack, derriere je suis moins inquiet
nadoloubb- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
nadoloubb a écrit:Ca parle des croisées pour marx et il n'ont pas la profondeur au talon que nous, dweba est un très bon impact player mais il n'a pas les qualités du poste (notamment lancer) comme bourgarit
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/coupe-du-monde-de-rugby/coupe-du-monde-2023-mondial-termine-pour-le-talonneur-sud-africain-marx-blesse-a-un-genou-16639802.php
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/france-uruguay-entre-maxime-lucu-et-antoine-hastoy-c-est-la-64-connection-16634151.php
France – Uruguay : entre Maxime Lucu et Antoine Hastoy, c’est la « 64 connection »
Par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial
Tous deux originaires des Pyrénées-Atlantiques, le demi de mêlée de l’UBB et l’ouvreur du Stade Rochelais seront associés pour conduire le jeu face à l’Uruguay ce jeudi à Lille (21 heures). L’occasion aussi, pour eux, d’abattre une carte individuelle
« La dernière fois qu’un Basque et un Béarnais ont été associés à la charnière en équipe de France, je pense que c’était David Aucagne et moi lors du dernier match pour le Grand Chelem dans le Tournoi en 1997 (contre l’Écosse, NDLR). » Les titularisations face à l’Uruguay de Maxime Lucu (30 ans, 16 sélections), originaire de Saint-Pée-sur-Nivelle, et Antoine Hastoy (26 ans, 4 sélections), qui a grandi à Pau, poussent Guy Accoceberry à la nostalgie.

Mais l’ancien demi de mêlée international, qui revendique ses ascendances basques en dépit de ses attaches à Tyrosse, estime que ce binôme a tout de même des perspectives d’avenir. Et cela même si, dans l’ombre de celui composé par Antoine Dupont et Matthieu Jalibert, il semble surtout prédestiné à jouer dans l’attente du désormais très probable quart de finale…
« Cette charnière me semble intéressante, pose Guy Accoceberry. Elle est faite pour organiser, pour faire jouer les autres. Ça me semble pertinent, notamment dans le secteur offensif, pour les matchs à venir (contre l’Uruguay puis la Namibie) qui seront disputés par des équipes très remaniés : Maxime et Antoine sont deux vrais patrons de jeu. »
Les deux représentants des Pyrénées-Atlantiques ne seront associés en équipe de France que pour la deuxième fois. La première expérimentation ayant été répertoriée face aux Fidji en août lors des matchs de préparation. « Les automatismes avec Antoine sont plutôt cohérents », avait estimé Maxime Lucu à l’issue de ce test.
Pour se côtoyer régulièrement dans le cadre des listes de 42 instaurées par Fabien Galthié depuis le début de son mandat, ils se connaissent effectivement bien. Ils s’étaient d’ailleurs retrouvés à Biarritz chez Thibault Giroud, manager de la performance tricolore, pour travailler physiquement lors de la semaine de « semi-liberté » accordée par le staff à la mi-juillet.
« Qu’ils jouent leur carte »
Les deux hommes, clairement numéros 2 dans la hiérarchie à leur poste respectif, ne modifieront probablement pas à eux seuls la manière de jouer du XV de France. Mais ils peuvent l’infléchir. « Les bases seront les mêmes, juge Guy Accoceberry. Mais Max et Antoine ne tenteront sans doute pas autant de choses. »
Mais cela ne signifie pas qu’ils soient condamnés à jouer les utilités, insiste l’ancien demi d’ouverture international de Pau, David Aucagne : « Pour Maxime, c’est forcément compliqué en la présence d’Antoine Dupont. Mais il faut tout de même qu’ils jouent leur carte pour mettre un peu de pression sur la concurrence. »
Une injonction plus particulièrement adressée à Antoine Hastoy poursuit le technicien : « Antoine est plus dans le système de Romain Ntamack (forfait pour la compétition, NDLR) : il est là plus pour faire jouer l’équipe que pour jouer lui-même. Il doit faire jouer l’équipe, mettre les joueurs dans les intervalles, mais aussi jouer ses duels ou porter le jeu derrière la défense avec des offloads : il en est capable. »
France – Uruguay : entre Maxime Lucu et Antoine Hastoy, c’est la « 64 connection »
Par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial
Tous deux originaires des Pyrénées-Atlantiques, le demi de mêlée de l’UBB et l’ouvreur du Stade Rochelais seront associés pour conduire le jeu face à l’Uruguay ce jeudi à Lille (21 heures). L’occasion aussi, pour eux, d’abattre une carte individuelle
« La dernière fois qu’un Basque et un Béarnais ont été associés à la charnière en équipe de France, je pense que c’était David Aucagne et moi lors du dernier match pour le Grand Chelem dans le Tournoi en 1997 (contre l’Écosse, NDLR). » Les titularisations face à l’Uruguay de Maxime Lucu (30 ans, 16 sélections), originaire de Saint-Pée-sur-Nivelle, et Antoine Hastoy (26 ans, 4 sélections), qui a grandi à Pau, poussent Guy Accoceberry à la nostalgie.

Mais l’ancien demi de mêlée international, qui revendique ses ascendances basques en dépit de ses attaches à Tyrosse, estime que ce binôme a tout de même des perspectives d’avenir. Et cela même si, dans l’ombre de celui composé par Antoine Dupont et Matthieu Jalibert, il semble surtout prédestiné à jouer dans l’attente du désormais très probable quart de finale…
« Cette charnière me semble intéressante, pose Guy Accoceberry. Elle est faite pour organiser, pour faire jouer les autres. Ça me semble pertinent, notamment dans le secteur offensif, pour les matchs à venir (contre l’Uruguay puis la Namibie) qui seront disputés par des équipes très remaniés : Maxime et Antoine sont deux vrais patrons de jeu. »
Les deux représentants des Pyrénées-Atlantiques ne seront associés en équipe de France que pour la deuxième fois. La première expérimentation ayant été répertoriée face aux Fidji en août lors des matchs de préparation. « Les automatismes avec Antoine sont plutôt cohérents », avait estimé Maxime Lucu à l’issue de ce test.
Pour se côtoyer régulièrement dans le cadre des listes de 42 instaurées par Fabien Galthié depuis le début de son mandat, ils se connaissent effectivement bien. Ils s’étaient d’ailleurs retrouvés à Biarritz chez Thibault Giroud, manager de la performance tricolore, pour travailler physiquement lors de la semaine de « semi-liberté » accordée par le staff à la mi-juillet.
« Qu’ils jouent leur carte »
Les deux hommes, clairement numéros 2 dans la hiérarchie à leur poste respectif, ne modifieront probablement pas à eux seuls la manière de jouer du XV de France. Mais ils peuvent l’infléchir. « Les bases seront les mêmes, juge Guy Accoceberry. Mais Max et Antoine ne tenteront sans doute pas autant de choses. »
Mais cela ne signifie pas qu’ils soient condamnés à jouer les utilités, insiste l’ancien demi d’ouverture international de Pau, David Aucagne : « Pour Maxime, c’est forcément compliqué en la présence d’Antoine Dupont. Mais il faut tout de même qu’ils jouent leur carte pour mettre un peu de pression sur la concurrence. »
Une injonction plus particulièrement adressée à Antoine Hastoy poursuit le technicien : « Antoine est plus dans le système de Romain Ntamack (forfait pour la compétition, NDLR) : il est là plus pour faire jouer l’équipe que pour jouer lui-même. Il doit faire jouer l’équipe, mettre les joueurs dans les intervalles, mais aussi jouer ses duels ou porter le jeu derrière la défense avec des offloads : il en est capable. »
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
connection de club ok...on passe maintenant à la 64 connection, la connection departementale , enfin l'ex-connection departementale
, parce qu'ils ont joué ensemble à Biarritz..euh non à Pau..merde non plus..
bref ils ne se connaissent pas plus que ca en fait.

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grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://x.com/FCGeopolitics/status/1702235189513003269?s=20
Très bon thread sur l'Uruguay

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Re: Coupe du Monde 2023 en France
« Avec Romain Taofifénua, j’ai vu des étoiles, des planètes et même quelques galaxies »
https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/09/14/avec-romain-taofifenua-j-ai-vu-des-etoiles-des-planetes-et-meme-quelques-galaxies_6189329_3242.html
https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/09/14/avec-romain-taofifenua-j-ai-vu-des-etoiles-des-planetes-et-meme-quelques-galaxies_6189329_3242.html
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.courrierinternational.com/article/interview-coupe-du-monde-de-rugby-pour-l-uruguay-affronter-la-france-est-une-chance-unique
Interview. Coupe du monde de rugby : pour l’Uruguay, affronter la France “est une chance unique”
Alors que les Bleus affrontent l’Uruguay ce jeudi 14 septembre, “Courrier international” s’est entretenu avec Ignacio Chans, envoyé spécial du site uruguayen “El Observador”. Selon lui, les Sud-Américains abordent cette rencontre comme un “match de préparation” pour vaincre leurs deux vraies cibles : la Namibie et l’Italie. Et le rugby latino-américain en sortira grandi quoi qu’il arrive.
Courrier international : L’Uruguay monte en puissance avec cette troisième qualification consécutive après 2015 et 2019. Mais joue-t-il de malchance avec le tirage au sort dans cette poule A très relevée ?
Ignacio Chans : Bien au contraire ! C’est une chance unique d’être dans cet excellent groupe ! Pour l’Uruguay, comme pour toutes les “petites” puissances du rugby, c’est en général très difficile de jouer contre des grandes équipes. L’Uruguay n’a jamais joué ni contre la Nouvelle-Zélande ni contre la France dans des matchs officiels. En quatre ans, l’Italie est la seule des grandes puissances [du rugby] contre laquelle l’Uruguay a joué, en 2021 [17 à 10 pour l’Italie]… Alors, au-delà des défaites probables, pouvoir affronter des pays comme la France et la Nouvelle-Zélande, c’est immense et providentiel !
Quel est l’objectif ?
Gagner contre l’Italie et la Namibie. S’il y parvient, l’Uruguay se qualifie automatiquement pour la Coupe du monde de 2027. L’Uruguay est favori contre la Namibie. Contre l’Italie c’est plus difficile, mais qui aurait parié que l’Uruguay allait battre les Fidji en 2019 [30-27 en phase de poule] ? On pourrait donc dire que la France est un match de préparation avant l’Italie, le mercredi 20 septembre. Il faut apprendre, en perdant contre la France, pour tenter de battre l’Italie !
Comment le rugby est-il arrivé en Uruguay ? Que doit-il à l’Argentine ?
Le rugby est arrivé en Uruguay un peu comme le football, avec les Britanniques qui venaient faire des affaires au XIXe siècle, notamment dans les chemins de fer. Hors du Royaume-Uni, le club le plus ancien du monde est uruguayen : le Montevideo Cricket Club, fondé en 1861 et qui a lancé son équipe de rugby. Donc avant même l’arrivée de ce sport en Argentine. Finalement, le football a eu plus de succès, dans les deux pays.
Mais c’est vrai que l’Argentine a finalement été le “grand frère” du rugby de l’Uruguay et qu’elle l’aide encore à se développer. L’actuel entraîneur de la sélection uruguayenne, Esteban Meneses, est argentin. L’équipe contre laquelle l’Uruguay joue le plus souvent est Argentina XV [équipe B de l’Argentine]. Aujourd’hui, il y a une étroite collaboration entre ces pays, mais aussi avec le Chili, qualifié pour la première fois de son histoire.
Le demi de mêlée de l’équipe, Santiago Arata, qui joue à Castres, du Top 14 français, est parfois qualifié d’“Antoine Dupont uruguayen”. Une bonne comparaison ?
J’ai entendu parler de cette comparaison. À 27 ans, Santiago Arata est un diamant brut du rugby uruguayen et il est en train de montrer ses meilleures qualités techniques. Comment serait-il arrivé à Castres sinon ? Ce qui l’a aidé, aussi, c’est la Coupe du monde de 2019, où il avait déjà démontré ses talents, car, je le répète, une compétition de ce niveau permet aux petites équipes de donner le meilleur d’elles-mêmes et de se montrer au monde.
Que manque-t-il encore à l’Uruguay pour être parmi les grandes équipes ?
Récemment, le préparateur physique uruguayen m’a expliqué que ce que nous avons chez nous n’est pas si différent de Marcoussis, le Centre national du rugby français. Que nous faisons tous exactement les mêmes choses, avec la même intensité. Après, la différence est claire sur le vivier des joueurs par rapport à l’Angleterre, à la France, et je ne parle même pas de la Nouvelle-Zélande…
En Uruguay, la fédération ne compte que 7 000 joueurs, dont seulement 1 000 en catégorie senior ! Le sélectionneur doit donc parcourir le pays et faire un choix entre 1 000 joueurs – bon c’est vrai qu’il peut aussi choisir des jeunes de 18-19 ans… Ce qui manque aussi, ce sont des matchs de haut niveau réguliers. C’est ce que répète tout le monde ! La seule solution, pour progresser, c’est de jouer contre les meilleurs. On en revient à ce que je disais au début : jouer aujourd’hui contre la France, c’est le mieux qui puisse arriver à l’Uruguay.
Propos recueillis par José Martín
Interview. Coupe du monde de rugby : pour l’Uruguay, affronter la France “est une chance unique”
Alors que les Bleus affrontent l’Uruguay ce jeudi 14 septembre, “Courrier international” s’est entretenu avec Ignacio Chans, envoyé spécial du site uruguayen “El Observador”. Selon lui, les Sud-Américains abordent cette rencontre comme un “match de préparation” pour vaincre leurs deux vraies cibles : la Namibie et l’Italie. Et le rugby latino-américain en sortira grandi quoi qu’il arrive.
Courrier international : L’Uruguay monte en puissance avec cette troisième qualification consécutive après 2015 et 2019. Mais joue-t-il de malchance avec le tirage au sort dans cette poule A très relevée ?
Ignacio Chans : Bien au contraire ! C’est une chance unique d’être dans cet excellent groupe ! Pour l’Uruguay, comme pour toutes les “petites” puissances du rugby, c’est en général très difficile de jouer contre des grandes équipes. L’Uruguay n’a jamais joué ni contre la Nouvelle-Zélande ni contre la France dans des matchs officiels. En quatre ans, l’Italie est la seule des grandes puissances [du rugby] contre laquelle l’Uruguay a joué, en 2021 [17 à 10 pour l’Italie]… Alors, au-delà des défaites probables, pouvoir affronter des pays comme la France et la Nouvelle-Zélande, c’est immense et providentiel !
Quel est l’objectif ?
Gagner contre l’Italie et la Namibie. S’il y parvient, l’Uruguay se qualifie automatiquement pour la Coupe du monde de 2027. L’Uruguay est favori contre la Namibie. Contre l’Italie c’est plus difficile, mais qui aurait parié que l’Uruguay allait battre les Fidji en 2019 [30-27 en phase de poule] ? On pourrait donc dire que la France est un match de préparation avant l’Italie, le mercredi 20 septembre. Il faut apprendre, en perdant contre la France, pour tenter de battre l’Italie !
Comment le rugby est-il arrivé en Uruguay ? Que doit-il à l’Argentine ?
Le rugby est arrivé en Uruguay un peu comme le football, avec les Britanniques qui venaient faire des affaires au XIXe siècle, notamment dans les chemins de fer. Hors du Royaume-Uni, le club le plus ancien du monde est uruguayen : le Montevideo Cricket Club, fondé en 1861 et qui a lancé son équipe de rugby. Donc avant même l’arrivée de ce sport en Argentine. Finalement, le football a eu plus de succès, dans les deux pays.
Mais c’est vrai que l’Argentine a finalement été le “grand frère” du rugby de l’Uruguay et qu’elle l’aide encore à se développer. L’actuel entraîneur de la sélection uruguayenne, Esteban Meneses, est argentin. L’équipe contre laquelle l’Uruguay joue le plus souvent est Argentina XV [équipe B de l’Argentine]. Aujourd’hui, il y a une étroite collaboration entre ces pays, mais aussi avec le Chili, qualifié pour la première fois de son histoire.
Le demi de mêlée de l’équipe, Santiago Arata, qui joue à Castres, du Top 14 français, est parfois qualifié d’“Antoine Dupont uruguayen”. Une bonne comparaison ?
J’ai entendu parler de cette comparaison. À 27 ans, Santiago Arata est un diamant brut du rugby uruguayen et il est en train de montrer ses meilleures qualités techniques. Comment serait-il arrivé à Castres sinon ? Ce qui l’a aidé, aussi, c’est la Coupe du monde de 2019, où il avait déjà démontré ses talents, car, je le répète, une compétition de ce niveau permet aux petites équipes de donner le meilleur d’elles-mêmes et de se montrer au monde.
Que manque-t-il encore à l’Uruguay pour être parmi les grandes équipes ?
Récemment, le préparateur physique uruguayen m’a expliqué que ce que nous avons chez nous n’est pas si différent de Marcoussis, le Centre national du rugby français. Que nous faisons tous exactement les mêmes choses, avec la même intensité. Après, la différence est claire sur le vivier des joueurs par rapport à l’Angleterre, à la France, et je ne parle même pas de la Nouvelle-Zélande…
En Uruguay, la fédération ne compte que 7 000 joueurs, dont seulement 1 000 en catégorie senior ! Le sélectionneur doit donc parcourir le pays et faire un choix entre 1 000 joueurs – bon c’est vrai qu’il peut aussi choisir des jeunes de 18-19 ans… Ce qui manque aussi, ce sont des matchs de haut niveau réguliers. C’est ce que répète tout le monde ! La seule solution, pour progresser, c’est de jouer contre les meilleurs. On en revient à ce que je disais au début : jouer aujourd’hui contre la France, c’est le mieux qui puisse arriver à l’Uruguay.
Propos recueillis par José Martín
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.courrierinternational.com/article/vu-de-l-etranger-le-rugby-dujardin-et-l-extraordinaire-capacite-francaise-de-polemiquer
Vu de l’étranger. Le rugby, Dujardin et l’extraordinaire capacité française de polémiquer
Les invectives qui ont fusé sur les réseaux sociaux et dans les médias au sujet de la cérémonie d’ouverture de la Coupe du monde de rugby n’ont pas échappé à la presse étrangère, pour qui une chose ne fait pas de doute : les Français sont bel et bien les champions du monde de la polémique.
Dire qu’il y a une polémique sur la polémique serait exagéré. Mais la place que le débat sur la cérémonie d’ouverture de la Coupe du monde de rugby, vendredi 8 septembre, a occupée dans les médias français et les échanges musclés auxquels il a donné lieu ont fini par faire impression dans la presse internationale.
“Et une polémique de plus !” s’exclame Richard Werly dans Blick au sujet des critiques adressées à la mise en scène de Jean Dujardin, “casquette années cinquante vissée sur le crâne, dans le rôle du boulanger heureux”. Pour le journaliste suisse, si polémique il y a eu, une majorité de Français n’aurait sans doute pas rechigné à faire comme les organisateurs de la cérémonie et à “miser sur les clichés pour séduire le monde” qui avait les yeux tournés vers Paris, “rendez-vous sportif mondialisé oblige”.
“En 2001, Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain avait tiré, avec succès, sur cette même corde franchouillarde. Un épicier au généreux sourire et aux fruits mûrs à point. Une Parisienne prête à se laisser séduire. Tout cela dans un Paris souriant de carte postale. Quatre césars, dont celui du meilleur film. Cinq nominations aux Oscars ! Logique nostalgie. Les Français pensent tous, ou presque, que c’était mieux avant.”
Toujours triste et amer
À Madrid, El Mundo met un point d’honneur à défendre l’approche franchouillarde. Le quotidien va jusqu’à revendiquer la même pour l’Espagne, pays qui a importé le concept de parc à thème du Puy du Fou et qui est par ailleurs fier de son jambon, souligne la chroniqueuse Emilia Landaluce.
“C’est qu’il y a en Espagne comme en France ce même côté rance, cette amertume qui empêche de savourer tout ce qui nous définit. […] C’est l’Espagne de toujours, l’Espagne d’une époque (comme la France de la baguette*, du roquefort* et du jambon*), mais enfin pourquoi ne pas revendiquer ce qu’il y a de bon (et seulement ce qu’il y a de bon) dans le passé, dans cette immuabilité ? Qu’il est triste et amer d’être toujours, toujours triste et amer.”
Un sujet accessoire
De nouveau en Suisse, dans Le Temps de Genève, le journaliste Paul Ackermann voit dans cette “nouvelle polémique ultra-polarisante sur un sujet plus ou moins accessoire” l’expression d’un dilemme bien français. À savoir : “Continuer à s’écharper ou bien aller de l’avant.”
“On connaît la musique, l’été nous avait réservé la même chose sur Les Lacs du Connemara de Michel Sardou et, en fait, chaque semaine, pour ne pas dire chaque jour, nous offre son lot de polémiques de ce genre, à diverses échelles. Espérons simplement que le pays ne se laissera pas obnubiler par ces ‘passions tristes’, expression que le président français a régulièrement reprise à Spinoza, et saura aller de l’avant, au moins sur les sujets consensuels comme celui de ‘la France moche’.”
Car au sujet de l’embellissement annoncé par le gouvernement des zones commerciales défigurant la périphérie de nombreuses villes françaises, “fait marquant”, souligne Le Temps, “on ne trouve pratiquement personne pour critiquer l’intention”.
* En français dans le texte.
Courrier internationa
Vu de l’étranger. Le rugby, Dujardin et l’extraordinaire capacité française de polémiquer
Les invectives qui ont fusé sur les réseaux sociaux et dans les médias au sujet de la cérémonie d’ouverture de la Coupe du monde de rugby n’ont pas échappé à la presse étrangère, pour qui une chose ne fait pas de doute : les Français sont bel et bien les champions du monde de la polémique.
Dire qu’il y a une polémique sur la polémique serait exagéré. Mais la place que le débat sur la cérémonie d’ouverture de la Coupe du monde de rugby, vendredi 8 septembre, a occupée dans les médias français et les échanges musclés auxquels il a donné lieu ont fini par faire impression dans la presse internationale.
“Et une polémique de plus !” s’exclame Richard Werly dans Blick au sujet des critiques adressées à la mise en scène de Jean Dujardin, “casquette années cinquante vissée sur le crâne, dans le rôle du boulanger heureux”. Pour le journaliste suisse, si polémique il y a eu, une majorité de Français n’aurait sans doute pas rechigné à faire comme les organisateurs de la cérémonie et à “miser sur les clichés pour séduire le monde” qui avait les yeux tournés vers Paris, “rendez-vous sportif mondialisé oblige”.
“En 2001, Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain avait tiré, avec succès, sur cette même corde franchouillarde. Un épicier au généreux sourire et aux fruits mûrs à point. Une Parisienne prête à se laisser séduire. Tout cela dans un Paris souriant de carte postale. Quatre césars, dont celui du meilleur film. Cinq nominations aux Oscars ! Logique nostalgie. Les Français pensent tous, ou presque, que c’était mieux avant.”
Toujours triste et amer
À Madrid, El Mundo met un point d’honneur à défendre l’approche franchouillarde. Le quotidien va jusqu’à revendiquer la même pour l’Espagne, pays qui a importé le concept de parc à thème du Puy du Fou et qui est par ailleurs fier de son jambon, souligne la chroniqueuse Emilia Landaluce.
“C’est qu’il y a en Espagne comme en France ce même côté rance, cette amertume qui empêche de savourer tout ce qui nous définit. […] C’est l’Espagne de toujours, l’Espagne d’une époque (comme la France de la baguette*, du roquefort* et du jambon*), mais enfin pourquoi ne pas revendiquer ce qu’il y a de bon (et seulement ce qu’il y a de bon) dans le passé, dans cette immuabilité ? Qu’il est triste et amer d’être toujours, toujours triste et amer.”
Un sujet accessoire
De nouveau en Suisse, dans Le Temps de Genève, le journaliste Paul Ackermann voit dans cette “nouvelle polémique ultra-polarisante sur un sujet plus ou moins accessoire” l’expression d’un dilemme bien français. À savoir : “Continuer à s’écharper ou bien aller de l’avant.”
“On connaît la musique, l’été nous avait réservé la même chose sur Les Lacs du Connemara de Michel Sardou et, en fait, chaque semaine, pour ne pas dire chaque jour, nous offre son lot de polémiques de ce genre, à diverses échelles. Espérons simplement que le pays ne se laissera pas obnubiler par ces ‘passions tristes’, expression que le président français a régulièrement reprise à Spinoza, et saura aller de l’avant, au moins sur les sujets consensuels comme celui de ‘la France moche’.”
Car au sujet de l’embellissement annoncé par le gouvernement des zones commerciales défigurant la périphérie de nombreuses villes françaises, “fait marquant”, souligne Le Temps, “on ne trouve pratiquement personne pour critiquer l’intention”.
* En français dans le texte.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
nadoloubb a écrit:Ca parle des croisées pour marx et il n'ont pas la profondeur au talon que nous, dweba est un très bon impact player mais il n'a pas les qualités du poste (notamment lancer) comme bourgarit
Il se murmure fortement, que Fourie reviendrait à ses premières amours. Talonneur.
L' AdS n' a pas demandé le remplacement de Marx pour le moment.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
grospaquet31 a écrit:connection de club ok...on passe maintenant à la 64 connection, la connection departementale , enfin l'ex-connection departementale, parce qu'ils ont joué ensemble à Biarritz..euh non à Pau..merde non plus..
bref ils ne se connaissent pas plus que ca en fait.![]()
Faut vraiment torcher du papier... !

Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Marx forfait...
On parle beaucoup des blessés français titulaires qui vont en grande partie revenir pour les phases finales (peu être même willemse avec une blessure de chalureau...) mais comment vont finir les équipes dans la poule de la mort...
les boks et les irlandais savent maintenant qui ils vont rencontrer en quart suivant le classement de cette poule B.
Et je présume que les les 2 équipes vont vouloir éviter l'EDF en 1/4. Ce qui promet un engagement important jusqu'à la fin des matchs de poule et un risque de blessures d'autant plus important...
je dis ça car je vois les irlandais battre les boks dans un match qui va être à très haute intensité devant.
Les Boks ont des titulaires dans le pack qui ne sont plus de première jeunesse...
On parle beaucoup des blessés français titulaires qui vont en grande partie revenir pour les phases finales (peu être même willemse avec une blessure de chalureau...) mais comment vont finir les équipes dans la poule de la mort...
les boks et les irlandais savent maintenant qui ils vont rencontrer en quart suivant le classement de cette poule B.
Et je présume que les les 2 équipes vont vouloir éviter l'EDF en 1/4. Ce qui promet un engagement important jusqu'à la fin des matchs de poule et un risque de blessures d'autant plus important...
je dis ça car je vois les irlandais battre les boks dans un match qui va être à très haute intensité devant.
Les Boks ont des titulaires dans le pack qui ne sont plus de première jeunesse...
SEB34- J'aime l'Union passionnément
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Dr. Gregory Bouse a écrit:grospaquet31 a écrit:connection de club ok...on passe maintenant à la 64 connection, la connection departementale , enfin l'ex-connection departementale, parce qu'ils ont joué ensemble à Biarritz..euh non à Pau..merde non plus..
bref ils ne se connaissent pas plus que ca en fait.![]()
Faut vraiment torcher du papier... !![]()
Lol! C’est exactement ce que je me suis dit.

grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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