Président, Président, Président ... Président, Président, Président

Union Bordeaux-Bègles (UBB) : « Ça montre tous les progrès accomplis », dit Laurent Marti
l.sudouest.fr/BS

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/union-bordeaux-begles-ubb-ca-montre-tous-les-progres-accomplis-dit-laurent-marti-18233886.php

Union Bordeaux-Bègles (UBB) : « Ça montre tous les progrès accomplis », dit Laurent Marti

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Laurent Marti : « C’est une très bonne campagne européenne dans une poule difficile ». Crédit photo : Laurent Theillet/Sud Ouest

Satisfait de la phase de poule de l’UBB en Champions Cup, Laurent Marti, le président du club girondin, se méfie du 8e de finale face aux Saracens, et craint la période du Six-Nations qui approche

Quel bilan tirez-vous de la phase de poule de l’UBB ?

C’est une très bonne campagne européenne dans une poule difficile. C’est à l’image de ce que souhaitait Yannick (Bru, le manager) et son staff qui ont tout de suite sensibilisé l’équipe et le club sur la Champions Cup. Ils étaient déterminés à la jouer à fond. Ils ont joint les actes aux paroles. On n’a jamais fait aussi bien dans cette compétition sur cette première phase. C’est une satisfaction, ça montre tous les progrès accomplis.

   « On n’a jamais rien gagné. On ne peut pas se permettre de choisir entre le Top 14 et la Champions Cup »

En 8e de finale à Chaban-Delmas, vous retrouverez les Saracens que vous avez battus 55-15 il y a une semaine, avant de recevoir le vainqueur de Harlequins – Glasgow pour un éventuel quart… Que vous inspire ce tableau ?

Ce n’est jamais le plus sexy d’affronter une équipe à deux reprises la même année. Mais on sait pertinemment qu’on a pris les Saracens à un moment qui n’était pas très bon pour eux, ils avaient quelques absents. En les recevant en avril, vu ce qui s’est passé sur le premier match, il est facile de deviner que le scénario ne sera pas le même. Je me méfie car ils ont toujours un noyau dur de grands joueurs. Si on bat les Saracens, on devrait retrouver les Harlequins qui montent en puissance et qui sont armés. La route sera difficile.

L’UBB a fait ce qu’il fallait pour recevoir jusqu’en quart de finale. Cet avantage du terrain est primordial ?

Yannick a beaucoup d’expérience dans cette Champions Cup en tant que joueur et en tant qu’entraîneur. Il sait qu’il est préférable de recevoir le plus longtemps possible. On a accompli les deux tiers du chemin en recevant en 8e et sur un éventuel quart. Mais pas en demie si on a le bonheur d’y aller. Et ce serait face au Stade Toulousain qui jouerait dans son deuxième jardin qu’est le Stadium. Même si c’est en terrain neutre, on serait en terre hostile malgré tout.

Quel est l’objectif à ce stade ?

Il est simple. Le staff et le groupe ont annoncé vouloir jouer les deux compétitions à fond. On n’a jamais rien gagné. On ne peut pas se permettre de choisir entre le Top 14 et la Champions Cup. On espère aller le plus loin possible.

Après trois victoires bonifiées, l’UBB pouvait perdre sa 1re place sur la dernière journée. Que pensez-vous de cette formule ?

C’est la Coupe d’Europe, un format très réduit. Vous pouvez perdre la 1re place après avoir fait un super parcours. Et vous pouvez vous qualifier en gagnant juste un match. Les formules ont beau évoluer, c’est grosso modo toujours ce qui se passe. À l’arrivée, on finit toujours par retrouver les plus grosses équipes mais rien n’est fait pour que les plus grosses ne puissent pas y arriver avec ce système qui permet de recevoir longtemps en phases finales. C’est un peu discutable.

L’UBB a su aller chercher deux points en Afrique du Sud chez les Bulls (46-40) pour rester en tête de sa poule, et ce, malgré l’absence de quatre internationaux (Jalibert, Lucu, Penaud, Moefana). Est-ce rassurant avant la période du Tournoi qui approche ?

C’est un peu à l’image de ce qui se passe dans le club depuis le début de la saison. Yannick et son staff ont emmené deux choses essentielles. D’abord une énergie et une atmosphère positive. Et une amélioration de tout ce qui concerne le rugby. On voit bien que cette équipe a franchi un cap, elle est en progression dans le jeu, sur les bases, et l’organisation offensive. Derrière, ce sont les mêmes joueurs que la saison dernière. Il n’y a que Damian Penaud qui est en plus et c’est un finisseur, ce n’est pas celui qui organise le jeu. Ce résultat en Afrique du Sud est à l’image de ce que le groupe montre depuis le début.

   « Le Tournoi est une période pendant laquelle on va être en danger. C’est pour ça que je répète qu’il ne faut surtout pas s’enflammer »

Cette période internationale, durant laquelle l’UBB sera fortement impactée sur ses lignes arrière, vous fait-elle peur ?

Oui, ça m’inquiète beaucoup. Nous sommes le deuxième contributeur d’internationaux pour l’équipe de France. Quand vous avez trois avants et trois arrières, vous pouvez vous organiser. Mais quand on vous en prend six derrière… Forcément, c’est inquiétant. C’est une période pendant laquelle on va être en danger. C’est pour ça que je répète qu’il ne faut surtout pas s’enflammer. En Top 14, nous n’en sommes pas encore à la moitié de la phase aller. Et nous serons en danger dès samedi. Nos joueurs se sont épuisés à se déplacer à Pretoria, ils ont joué un match dans des conditions très difficiles. Pendant ce temps, le Stade Français jouait à domicile et n’aura pas d’internationaux retenus pour ce match. Même si on a réalisé un très beau parcours jusqu’à présent, au moindre faux pas à domicile, vous vous retrouvez dans une situation inquiétante.

Que pensez-vous de l’accord LNR-XV de France, qui a fait passer la liste de 42 à 34 joueurs appelés chez les Bleus ?

La priorité est de continuer à aider l’équipe de France. Mais on ne pouvait pas le faire dans n’importe quelle condition, surtout en cette année de Coupe du monde, où les clubs ont déjà fait de gros sacrifices. Il y a eu un effort de fait de la part de Fabien Galthié. Mais cela porte finalement plus sur les joueurs qui n’étaient pas concernés par la sélection mais qui étaient davantage des partenaires d’entraînement. Après, quand vous avez la chance d’avoir beaucoup d’internationaux, cela a des conséquences sur le club. C’est ainsi.

XV de France - Le président de Bordeaux-Bègles Laurent Marti satisfait mais inquiet pour le futur

https://www.rugbyrama.fr/2024/01/22/xv-de-france-le-president-de-lubb-laurent-marti-satisfait-mais-inquiet-pour-le-futur-11712098.php

pour ceux intéréssés et qui peuvent y aller
https://www.sudouest.fr/gironde/lormont/rugby-le-president-de-l-ubb-laurent-marti-en-conference-ce-vendredi-a-lormont-19912304.php

Merci Monsieur Marti

LAURENTT3 a écrit:Merci Monsieur Marti

D’après le Midol et un agent financier de la LNR , le Stade Toulousain et l’UBB font parti des seuls clubs en positif financièrement en fin de saison avec La Rochelle. Le résultat d’exploitation des deux clubs serait même sensiblement équivalent avec environ 1 millions d’euros de différence.
« Ils  sont obligés de faire des résultats économiques de part leur structure , et leurs dirigeants sont ultra compétents dans ce domaine ».

La performance est remarquable ( je pense qu’on parle en plus de la saison précédente) !

le radis a écrit:D’après le Midol et un agent financier de la LNR , le Stade Toulousain et l’UBB font parti des seuls clubs en positif financièrement en fin de saison avec La Rochelle. Le résultat d’exploitation des deux clubs serait même sensiblement équivalent avec environ 1 millions d’euros de différence.
« Ils  sont obligés de faire des résultats économiques de part leur structure , et leurs dirigeants sont ultra compétents dans ce domaine ».

La performance est remarquable ( je pense qu’on parle en plus de la saison précédente) !  

Je suis admiratif de notre président. On commente et portons en gloire certains de nos joueurs et le staff, mais le premier méritant c'est bien lui.

🫶

le radis a écrit:D’après le Midol et un agent financier de la LNR , le Stade Toulousain et l’UBB font parti des seuls clubs en positif financièrement en fin de saison avec La Rochelle. Le résultat d’exploitation des deux clubs serait même sensiblement équivalent avec environ 1 millions d’euros de différence.
« Ils  sont obligés de faire des résultats économiques de part leur structure , et leurs dirigeants sont ultra compétents dans ce domaine ».

La performance est remarquable ( je pense qu’on parle en plus de la saison précédente) !  

Je suis admiratif de notre président. On commente et portons en gloire certains de nos joueurs et le staff, mais le premier méritant c'est bien lui.

🫶

Je suis tellement FAN de Monsieur MARTI...Merci Président

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/entretien-laurent-marti-president-de-l-ubb-depuis-la-nuit-de-la-defaite-je-suis-au-travail-20355327.php

Laurent Marti, le président de l’UBB, assure ne pas avoir ruminé très longtemps après la défaite en finale face à Toulouse (59-3). Il travaille à combler cet écart dans les prochaines années

L’abattement est-il toujours présent après cette lourde défaite de l’UBB en finale face à Toulouse (59-3) ?

Je ne vais pas vous dire que je suis heureux mais je ne suis jamais abattu très longtemps. Vendredi soir, j’étais malheureux et triste. Mais mon tempérament, c’est de m’accrocher. Je sais que le sport de haut niveau est encore plus difficile que le business. On a pris un paquet de coups depuis seize ans, on a toujours encaissé. Ma nature, c’est de me dire : « On en est là. Quelle analyse fait-on de la situation ? Que doit-on améliorer ? Et comment fait-on ? » En général, on trouve beaucoup de motivation dans les échecs. Depuis la nuit de la défaite, je suis au travail, au moins dans ma tête, pour qu’on trouve des sources d’amélioration avec Yannick (Bru, le manager).

Sonnée par le Stade Toulousain (59-3) lors de sa première finale à Marseille vendredi, l’UBB tentera de s’en relever pour revenir plus forte la saison prochaine
Que ressort-il de tout ça ?

Le constat, et tout le rugby français le partage, c’est que nous sommes face à un Stade Toulousain qui est fort depuis 40 ans. C’est comme une entreprise qui tourne bien, au fur et à mesure, elle améliore les petits détails et elle devient un rouleau compresseur. En plus de ça, ils ont une génération exceptionnelle, sûrement la meilleure équipe que la France n’ait jamais eue, et le meilleur joueur du monde de tous les temps, qui en plus est arrivé frais comme un gardon sur cette finale.

Cela n’a pas été le cas de l’UBB...

Il y a eu la Coupe du monde, le Tournoi… Le nombre de joueurs sollicités à l’UBB est anormal. En plus de ça, on a joué la Champions Cup à fond, le Top 14 est plus dur chaque année. Arriver malgré tout à jouer un quart de finale de Champions Cup et une finale de Top 14 en passant par les barrages, je me dis que c’est une sacrée saison. Après, sur la finale, il n’y avait plus d’essence dans le moteur…


Le score de cette finale ne ternit pas tout ?

Bien sûr que ça nous gâche un peu le truc. Mais on ne peut pas s’arrêter à ça. Je vois bien le fair-play des Toulousains et les nombreux messages qu’on peut recevoir. Oui, le score est lourd. Mais tout le monde nous dit qu’on a fait une super saison, qu’on est en progression. Il ne faut pas s’attarder sur cette finale, il faut passer à autre chose.


L’écart par rapport au Stade Toulousain n’est-il pas trop grand à combler ?

Il n’est pas si grand que ça. On est en finale contre eux, ils ont le premier centre de formation, on a le deuxième… On les talonne un peu partout. Ils ont pris beaucoup d’avance car ils ont démarré il y a longtemps. Il faut qu’on travaille de manière acharnée. Plus qu’eux. Je ne les jalouse pas. Les gens qui réussissent m’ont toujours inspiré.

L’UBB a réussi à franchir le cap des demi-finales. La prochaine étape pour espérer aller au bout, c’est décrocher une qualification en évitant un barrage ?

Oui, on voit bien que pour essayer gagner un titre, il vaut mieux éviter un barrage. Cette saison, on nous a fait jouer trois matchs de phases finales en douze jours. Rien que ça, ça ne met pas en position favorable pour aller au bout. Alors il faut espérer finir dans le top 2. Mais avant de démarrer la prochaine saison, on essaiera surtout de finir dans le top 6 car ça risque d’être encore une guerre nucléaire (rires).


L’UBB avait un meilleur effectif que la saison dernière mais pour décrocher un Brennus, n’en faut-il pas deux comme ça ?

Je ne suis pas persuadé que l’effectif était bien meilleur que celui de l’année dernière. Il s’est un peu amélioré. Mais je crois que nos jeunes ont confirmé et le staff a fait un excellent travail, il a fait progresser ce groupe. L’effectif sera encore un peu meilleur l’année prochaine, mais il faudra encore travailler pour se dire qu’on est armés pour aller au bout. Sans faire injure à nos avants, il faut ajouter de la qualité au niveau du pack. Mais avec les Bochaton, Gazzotti, Depoortere, Bielle-Biarrey… nous avons une belle génération que tous les présidents rêvent d’avoir. Ils ont de la qualité, un état d’esprit irréprochable. Ca donne beaucoup de confiance. Mais il faut continuer à être pertinents dans le recrutement. Ce n’est ni un bon président, ni un bon manager, ni un bon directeur commercial qui font la différence dans un club. Le recrutement, c’est la clé.

Allez-vous passer un vrai cap à ce niveau pour la saison 2025-2026 ?

Prenez ce groupe de qualité tel qu’il est aujourd’hui, il sera encore en amélioration la saison prochaine mais pas encore de manière très importante. Est-ce que ça suffit pour gagner ? Peut-être pas. Donc on cible. Je sais par expérience qu’il faut anticiper le plus possible.

Où en sont les discussions pour prolonger Matthieu Jalibert (en fin de contrat en juin 2025) ?

Matthieu a une proposition à laquelle il n’a pas donné suite pour l’instant. La balle est dans son camp.


Qu’a apporté le nouveau staff de Yannick Bru cette saison ?

Beaucoup de choses. Il y a d’abord un état d’esprit, tout le monde est sur la même longueur d’onde. Il y a de la bienveillance, de l’humilité, de la solidarité. Et il y a de l’expérience. Plus on avançait dans la saison, et plus je trouvais Yannick bon, surtout lorsqu’on a attaqué les phases finales. Tous ses discours et ses décisions étaient pleins d’à-propos. J’ai senti le vécu. Et sur un plan plus technique, ce staff nous a permis de progresser sur certaines phases de jeu, notamment au niveau de l’organisation offensive.

« L’idée, c’est de se dire qu’on va se donner encore plus de moyens progressivement »
Qu’attendez-vous de la saison prochaine ?

Vous avez toujours envie de faire aussi bien. Mais on ne fera pas des finales tous les ans, il ne faut pas rêver, c’est impossible. Il n’y a que Toulouse qui peut prétendre à ça. Aujourd’hui, on ne peut que parler du top 6. Après, on verra comment la saison se déroule mais on va être encore onze ou douze clubs avec des arguments pour entrer dans les six. Ça va encore demander beaucoup d’énergie. L’idée, c’est de se dire qu’on va se donner encore plus de moyens progressivement. Et il faut que nos résultats s’améliorent par rapport à nos précédents cycles. Je veux être ambitieux mais pas prétentieux.


L’UBB est un des rares clubs avec Toulouse et La Rochelle à ne pas finir dans le rouge sur le plan financier. Qu’est-ce que ça vous inspire ?

C’est intéressant de voir que ce sont trois clubs très ancrés dans leur ville et leur département, qui sont sur de l’économie réelle, même si des fois, j’ai pu être un président mécène. Les trois dernières années ont été bonnes pour l’UBB car il y a eu beaucoup d’aide et de solidarité des partenaires. Le vrai budget, sans aides exceptionnelles, c’est celui de la saison prochaine. Et on a bon espoir d’arriver à l’équilibre. Et là, on sera sur une économie réelle sans élément extérieur. C’est une grande satisfaction car si on arrive enfin à mettre l’UBB à l’équilibre, c’est une vraie marche en avant pour stabiliser le club sur le long terme. Mais tout cela n’est possible qu’en maintenant le niveau des résultats sportifs. On lance notre campagne d’abonnements, on a le sentiment qu’on va pulvériser notre record. On a besoin de tout ça pour pérenniser le club.

On a un président exceptionnel, on a une immense chance de l’avoir. Entre les résultats financiers et sportifs, Marti est entrain d’installer l’UBB durablement à la table des grands du top 14 !

Scalp a écrit:On a un président exceptionnel, on a une immense chance de l’avoir. Entre les résultats financiers et sportifs, Marti est entrain d’installer l’UBB durablement à la table des grands du top 14 !

Dans les deux articles, surtout l'interview dans SO on peut ressentir un Laurent Marti déterminé à voir encore plus loin, plus grand pour l'UBB et ca déjà c'est super.

Je pense que la relation avec CU l'avait un peu usé. On connait CU, ca marche beaucoup à l'échange conflictuel, enfin je pense. On avait eu d'ailleurs un retour de LM disant que sa relation avec YB était plus naturelle, plus fluide.

L'UBB arrive en finale mais ce n'est pas la conclusion d'une histoire, simplement un point de passage important pour valider le travail et se dire que l'UBB peut viser un titre.

Mais oui nous avons la chance d'avoir un Président exceptionnel, connaissant le rugby, sachant gérer un club de rugby dans ses temps faibles (covid) comme dans les forts (finale de Top 14).
Le financier est lié au sportif et l'inverse également.

Nous avons de bons joueurs on le sait, même si perfectible dans certains secteurs de jeu. Ca va bosser dessus j'en suis convaincu.

Yatangaki a écrit:

Scalp a écrit:On a un président exceptionnel, on a une immense chance de l’avoir. Entre les résultats financiers et sportifs, Marti est entrain d’installer l’UBB durablement à la table des grands du top 14 !

Dans les deux articles, surtout l'interview dans SO on peut ressentir un Laurent Marti déterminé à voir encore plus loin, plus grand pour l'UBB et ca déjà c'est super.

Je pense que la relation avec CU l'avait un peu usé. On connait CU, ca marche beaucoup à l'échange conflictuel, enfin je pense. On avait eu d'ailleurs un retour de LM disant que sa relation avec YB était plus naturelle, plus fluide.

L'UBB arrive en finale mais ce n'est pas la conclusion d'une histoire, simplement un point de passage important pour valider le travail et se dire que l'UBB peut viser un titre.

Mais oui nous avons la chance d'avoir un Président exceptionnel, connaissant le rugby, sachant gérer un club de rugby dans ses temps faibles (covid) comme dans les forts (finale de Top 14).
Le financier est lié au sportif et l'inverse également.

Nous avons de bons joueurs on le sait, même si perfectible dans certains secteurs de jeu. Ca va bosser dessus j'en suis convaincu.

Je l'ai déjà dit et re-dit et je vais ré-itérer mes propos, plus que la perte d'un excellent élément comme MJ, la plus grosse perte de l'UBB sera le jour où L. Marti quittera le navire pour le laisser à un autre.

Big'Ben a écrit:

Yatangaki a écrit:

Scalp a écrit:On a un président exceptionnel, on a une immense chance de l’avoir. Entre les résultats financiers et sportifs, Marti est entrain d’installer l’UBB durablement à la table des grands du top 14 !

Dans les deux articles, surtout l'interview dans SO on peut ressentir un Laurent Marti déterminé à voir encore plus loin, plus grand pour l'UBB et ca déjà c'est super.

Je pense que la relation avec CU l'avait un peu usé. On connait CU, ca marche beaucoup à l'échange conflictuel, enfin je pense. On avait eu d'ailleurs un retour de LM disant que sa relation avec YB était plus naturelle, plus fluide.

L'UBB arrive en finale mais ce n'est pas la conclusion d'une histoire, simplement un point de passage important pour valider le travail et se dire que l'UBB peut viser un titre.

Mais oui nous avons la chance d'avoir un Président exceptionnel, connaissant le rugby, sachant gérer un club de rugby dans ses temps faibles (covid) comme dans les forts (finale de Top 14).
Le financier est lié au sportif et l'inverse également.

Nous avons de bons joueurs on le sait, même si perfectible dans certains secteurs de jeu. Ca va bosser dessus j'en suis convaincu.

Je l'ai déjà dit et re-dit et je vais ré-itérer mes propos, plus que la perte d'un excellent élément comme MJ, la plus grosse perte de l'UBB sera le jour où L. Marti quittera le navire pour le laisser à un autre.

Il est là encore pour un bon moment, je préfère ne pas penser à la suite pour l’instant…

Big'Ben a écrit:

Yatangaki a écrit:

Scalp a écrit:On a un président exceptionnel, on a une immense chance de l’avoir. Entre les résultats financiers et sportifs, Marti est entrain d’installer l’UBB durablement à la table des grands du top 14 !

Dans les deux articles, surtout l'interview dans SO on peut ressentir un Laurent Marti déterminé à voir encore plus loin, plus grand pour l'UBB et ca déjà c'est super.

Je pense que la relation avec CU l'avait un peu usé. On connait CU, ca marche beaucoup à l'échange conflictuel, enfin je pense. On avait eu d'ailleurs un retour de LM disant que sa relation avec YB était plus naturelle, plus fluide.

L'UBB arrive en finale mais ce n'est pas la conclusion d'une histoire, simplement un point de passage important pour valider le travail et se dire que l'UBB peut viser un titre.

Mais oui nous avons la chance d'avoir un Président exceptionnel, connaissant le rugby, sachant gérer un club de rugby dans ses temps faibles (covid) comme dans les forts (finale de Top 14).
Le financier est lié au sportif et l'inverse également.

Nous avons de bons joueurs on le sait, même si perfectible dans certains secteurs de jeu. Ca va bosser dessus j'en suis convaincu.

Je l'ai déjà dit et re-dit et je vais ré-itérer mes propos, plus que la perte d'un excellent élément comme MJ, la plus grosse perte de l'UBB sera le jour où L. Marti quittera le navire pour le laisser à un autre.

Heureusement,il est encore jeune

Scalp a écrit:

https://x.com/tv7_sudouest/status/1807711777494388911

Merci Président pour la présence à l'émission Top Rugby qui va aider les supporters de l'UBB à voir du positif dans notre situation.

Où en sont les discussions pour prolonger Matthieu Jalibert (en fin de contrat en juin 2025) ?

Matthieu a une proposition à laquelle il n’a pas donné suite pour l’instant. La balle est dans son camp.