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Re: Président, Président, Président ... Président, Président, Président
Elle en est à un peu plus de 12 200 signatures, ça stagne vachement. L. Marti a dit qu'il déposerait le dossier fin Juin, on est début Juillet, ça discute déjà et les décisions vont devoir être prise rapidement, je ne me fais pas d'illusion, je veux bien être conservateur sur certains, mais là c'est être tête de bosch. Que ceux qui soient contre apportent une réelle solution concrète dans ces cas-là plutôt que de balancer un "démerdez-vous autrement".
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Re: Président, Président, Président ... Président, Président, Président
Scalp a écrit:Marti va essayer de prolonger Urios, discussion à partir de cet automne
QQun aurait-il l'amabilité de fournir la source exacte, ou les mots exacts employés ?
le radis- Centre de presse
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Président, Président, Président ... Président, Président, Président
le radis a écrit:Scalp a écrit:Marti va essayer de prolonger Urios, discussion à partir de cet automne
QQun aurait-il l'amabilité de fournir la source exacte, ou les mots exacts employés ?
ITW sur TV7 remonte un peu dans le topic pour en voir l’annonce

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Re: Président, Président, Président ... Président, Président, Président
OK c'est assez clair : en octobre, discussion avec CU, et pour cette saison pas de renforts notoires... c'est exactement le sens des recherches de joueurs "temporaires" d'un 3ème ligne et d'un centre polyvalent en sus des recrutements actés...
le radis- Centre de presse
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Président, Président, Président ... Président, Président, Président
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— Placéco (@Placeco_Bdx) August 17, 2021️ Laurent Marti, président de l'Union Bordeaux Bègles, répondra à nos questions mais aussi vos questions le mardi 31 août à 9 heures
, lors d'un nouveau Live #Placéco - @BP_ACA
Lien de l'événementhttps://t.co/u11WFrUUFc#ubb #bordeaux #rugby #interview #live pic.twitter.com/M3sD74usZy
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Re: Président, Président, Président ... Président, Président, Président
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Re: Président, Président, Président ... Président, Président, Président
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/ubb-il-y-a-l-envie-de-vite-repartir-pour-faire-encore-mieux-dit-laurent-marti-5677998.php
UBB : « Il y a l’envie de vite repartir pour faire encore mieux », dit Laurent Marti
Par Propos recueillis par Yoan Leshauriès - y.leshauries@sudouest.fr
Alors qu’il entame sa 15e saison à la tête de l’Union Bordeaux-Bègles, le président Laurent Marti est fier du chemin parcouru. Après la demi-finale de l’an dernier, il veut aller plus haut. Interview avant la reprise du Top 14
Après trois demi-finales la saison dernière (Top 14, Champions Cup, Challenge Cup), l’Union Bordeaux-Bègles a placé la barre haut. Comment faire mieux ?
Ça sera la vérité du terrain. On a l’équipe, le staff, la continuité. On a recruté de manière assez discrète mais je pense que ça peut amener des renforts à des postes. Pourquoi faire moins bien ? On sait tous la même chose : il y a 10 ou 11 équipes qui ne sont pas très éloignées les unes des autres. On n’est pas moins bien lotis, on a engrangé de la confiance, de l’expérience. Je suis confiant dans notre capacité à reproduire le même genre de saison. Sur la demi-finale de Top 14, mon sentiment à froid, ce n’est pas Toulouse qui l’a gagnée, c’est nous qui l’avons perdue. C’est typiquement le genre de match que tu as en main, tu sens que tu vas faire craquer l’adversaire, mais à cause d’un manque de maîtrise, une mauvaise décision à la fin, on laisse filer la victoire. Sur ces matchs, il faut se contrôler un peu plus, dans la discipline, la maîtrise. Il faut prendre rapidement les bonnes décisions. On va se nourrir de tout ça.
Avec le recul, que vous inspire le parcours de l’UBB la saison dernière ?
Je n’ai jamais réussi à me dire : « On est qualifiés, c’est bien. Ou on est en demi-finale, c’est bien ». On ne va pas se taper sur le ventre. Pour moi, c’est une suite logique pour le club qui a évolué dans ses infrastructures, la qualité de son effectif et de son staff. Mais je reconnais qu’atteindre le dernier carré, ce n’est pas gagné d’avance. C’est très bien de l’avoir fait. Et les phases finales, ce sont des moments agréables à vivre. Quand tu perds, c’est la frustration qui l’emporte. Mais après la demie, il y avait aussi de l’espoir car on sentait qu’on était invités à ce niveau. Mais il y a l’envie de vite repartir pour faire encore mieux.
Désormais, le regard des autres va changer ?
Oui. Il ne faut pas perdre de vue que ce n’est pas une année mais deux années. Sur la saison précédente, quand le Covid arrive, on est largement premiers. On ne dira pas qu’on aurait été champions, on ne peut pas le savoir, même si personnellement, je pense qu’on l’aurait été. Mais qu’on le veuille ou non, virtuellement, cela fait deux saisons où l’UBB aurait au moins été en demies. Ça prouve qu’on a franchi un palier et qu’on s’inscrit dans les équipes qui prétendent au top 6 de manière sérieuse, mais pas acquise.
Avez-vous mis du temps à digérer le fait d’être passé si près d’une finale ?
J’ai ressassé le truc pendant une ou deux semaines en me disant : « Putain, on aurait pu y être ». Mais ensuite, on a vite enclenché la campagne de partenariats. Je me suis remis à fond dans le boulot. Et après, j’ai vu les vacances arriver et je mourrais d’envie de couper pour être d’attaque pour la reprise.
L’UBB a-t-elle encore plus faim ?
Oui car elle y a goûté, elle sent que c’est bon mais elle n’a pas fini le repas alors elle a envie d’aller jusqu’au dessert (rires).
Le président que vous êtes est-il encore plus motivé ?
J’entame ma 15e saison mais franchement, je ne suis pas plus boosté qu’avant. Il y a l’excitation des phases finales, du fait qu’on sent qu’on commence à toucher du doigt le haut niveau. Mais il y a quand même le poids des années à porter tout ça et ça fatigue un petit peu. L’un compense l’autre et du coup, tout est comme avant.
En ce début de saison, l’objectif affiché est-il de faire mieux ou s’arrête-t-il au top 6 ?
On ne peut pas dire en début de saison qu’on veut être champions. On est trop nombreux à vouloir l’être. L’afficher d’entrée, ce serait un manque de lucidité et d’humilité.
“On a mis deux ans pour construire ce groupe. Il faut optimiser ce qu’il est capable de donner »
L’UBB repart avec un effectif stable, qui a connu peu de changements à l’inter-saison. C’est une force ?
C’est une force et un gain de temps pour la cohésion et le travail du staff. Il fallait absolument recruter Jiff et réduire la voilure pour répondre aux critères économiques. Dans ce groupe, il y a de la qualité. On avait mis deux ans pour le construire, il a au moins un cycle de trois ans, il faut optimiser ce qu’il est capable de donner. Et en fonction de ce qui va se passer cette année, la saison prochaine, il faudra peut-être le réoxygéner avec deux ou trois talents supplémentaires.
Les signatures de Louis Picamoles et François Trinh-Duc ont pu interroger certains…
Pour nous, c’est la volonté d’avoir deux mecs d’expérience, qui ont montré beaucoup d’envie à venir finir leur carrière à l’UBB et de sortir par le haut. Ils accompagnent de plus jeunes joueurs. Mais il y a aussi un recrutement qui a fait moins parler : Vergnes-Taillefer, Roussel, Bochaton, Bielle-Biarrey, de jeunes talents en devenir qui vont s’imposer en Top 14.
La star de l’UBB, c’est Matthieu Jalibert, sous contrat jusqu’en 2023. Avez-vous d’ores et déjà la volonté de verrouiller votre international qui sera sans aucun doute sollicité ?
On parlera avec Matthieu de l’ambition du club, de la manière dont on veut qu’il s’inscrive avec nous. C’est son club, c’est sa ville. Matthieu est un joueur talentueux et ambitieux. Il regardera son contrat mais aussi l’ambition du club. Et le club a envie d’avancer.
« Avec Christophe (Urios), on se mettra certainement autour d’une table dans l’année qui vient »
Également sous contrat jusqu’en 2023, Christophe Urios arrive quant à lui à mi-mandat. C’est aussi la priorité ?
Avec Christophe, ça se passe très bien. Il a amené à l’UBB ce que j’attendais : de l’organisation, de la rigueur, du travail, des résultats. On se mettra certainement autour d’une table dans l’année qui vient pour voir si toutes les parties ont intérêt à continuer ensemble.
Cette saison verra le retour du public dans les stades, la fin des tests-PCR pour les joueurs qui sont désormais vaccinés… Avez-vous le sentiment d’un retour à la normale ?
Oui et ça nous manque vraiment. L’un des éléments essentiels, c’est Chaban et son public. Tout le monde est impatient de retrouver un stade plein. Les abonnements sont en hausse (+15%), les partenariats aussi (+15%).
Le Covid a eu un impact sur les finances du club avec un déficit annoncé de 10 millions d’euros. Où en êtes-vous à ce niveau ?
Le PGE (prêt garanti par l’État) est notre bouée de sauvetage. La première aide de l’État est payée à 70 %. La deuxième aide devrait avoir lieu, elle est indispensable à la survie du club. Les abonnés et les partenaires ont été dans l’ensemble très solidaires. On arrivera à tout boucher en étalant une partie de la dette sur 5 ans. Il faudra soit réduire un peu la voilure, soit augmenter les ressources. Mais je crois en l’augmentation des ressources car on sent un nouvel engouement.
UBB : « Il y a l’envie de vite repartir pour faire encore mieux », dit Laurent Marti
Par Propos recueillis par Yoan Leshauriès - y.leshauries@sudouest.fr
Alors qu’il entame sa 15e saison à la tête de l’Union Bordeaux-Bègles, le président Laurent Marti est fier du chemin parcouru. Après la demi-finale de l’an dernier, il veut aller plus haut. Interview avant la reprise du Top 14
Après trois demi-finales la saison dernière (Top 14, Champions Cup, Challenge Cup), l’Union Bordeaux-Bègles a placé la barre haut. Comment faire mieux ?
Ça sera la vérité du terrain. On a l’équipe, le staff, la continuité. On a recruté de manière assez discrète mais je pense que ça peut amener des renforts à des postes. Pourquoi faire moins bien ? On sait tous la même chose : il y a 10 ou 11 équipes qui ne sont pas très éloignées les unes des autres. On n’est pas moins bien lotis, on a engrangé de la confiance, de l’expérience. Je suis confiant dans notre capacité à reproduire le même genre de saison. Sur la demi-finale de Top 14, mon sentiment à froid, ce n’est pas Toulouse qui l’a gagnée, c’est nous qui l’avons perdue. C’est typiquement le genre de match que tu as en main, tu sens que tu vas faire craquer l’adversaire, mais à cause d’un manque de maîtrise, une mauvaise décision à la fin, on laisse filer la victoire. Sur ces matchs, il faut se contrôler un peu plus, dans la discipline, la maîtrise. Il faut prendre rapidement les bonnes décisions. On va se nourrir de tout ça.
Avec le recul, que vous inspire le parcours de l’UBB la saison dernière ?
Je n’ai jamais réussi à me dire : « On est qualifiés, c’est bien. Ou on est en demi-finale, c’est bien ». On ne va pas se taper sur le ventre. Pour moi, c’est une suite logique pour le club qui a évolué dans ses infrastructures, la qualité de son effectif et de son staff. Mais je reconnais qu’atteindre le dernier carré, ce n’est pas gagné d’avance. C’est très bien de l’avoir fait. Et les phases finales, ce sont des moments agréables à vivre. Quand tu perds, c’est la frustration qui l’emporte. Mais après la demie, il y avait aussi de l’espoir car on sentait qu’on était invités à ce niveau. Mais il y a l’envie de vite repartir pour faire encore mieux.
Désormais, le regard des autres va changer ?
Oui. Il ne faut pas perdre de vue que ce n’est pas une année mais deux années. Sur la saison précédente, quand le Covid arrive, on est largement premiers. On ne dira pas qu’on aurait été champions, on ne peut pas le savoir, même si personnellement, je pense qu’on l’aurait été. Mais qu’on le veuille ou non, virtuellement, cela fait deux saisons où l’UBB aurait au moins été en demies. Ça prouve qu’on a franchi un palier et qu’on s’inscrit dans les équipes qui prétendent au top 6 de manière sérieuse, mais pas acquise.
Avez-vous mis du temps à digérer le fait d’être passé si près d’une finale ?
J’ai ressassé le truc pendant une ou deux semaines en me disant : « Putain, on aurait pu y être ». Mais ensuite, on a vite enclenché la campagne de partenariats. Je me suis remis à fond dans le boulot. Et après, j’ai vu les vacances arriver et je mourrais d’envie de couper pour être d’attaque pour la reprise.
L’UBB a-t-elle encore plus faim ?
Oui car elle y a goûté, elle sent que c’est bon mais elle n’a pas fini le repas alors elle a envie d’aller jusqu’au dessert (rires).
Le président que vous êtes est-il encore plus motivé ?
J’entame ma 15e saison mais franchement, je ne suis pas plus boosté qu’avant. Il y a l’excitation des phases finales, du fait qu’on sent qu’on commence à toucher du doigt le haut niveau. Mais il y a quand même le poids des années à porter tout ça et ça fatigue un petit peu. L’un compense l’autre et du coup, tout est comme avant.
En ce début de saison, l’objectif affiché est-il de faire mieux ou s’arrête-t-il au top 6 ?
On ne peut pas dire en début de saison qu’on veut être champions. On est trop nombreux à vouloir l’être. L’afficher d’entrée, ce serait un manque de lucidité et d’humilité.
“On a mis deux ans pour construire ce groupe. Il faut optimiser ce qu’il est capable de donner »
L’UBB repart avec un effectif stable, qui a connu peu de changements à l’inter-saison. C’est une force ?
C’est une force et un gain de temps pour la cohésion et le travail du staff. Il fallait absolument recruter Jiff et réduire la voilure pour répondre aux critères économiques. Dans ce groupe, il y a de la qualité. On avait mis deux ans pour le construire, il a au moins un cycle de trois ans, il faut optimiser ce qu’il est capable de donner. Et en fonction de ce qui va se passer cette année, la saison prochaine, il faudra peut-être le réoxygéner avec deux ou trois talents supplémentaires.
Les signatures de Louis Picamoles et François Trinh-Duc ont pu interroger certains…
Pour nous, c’est la volonté d’avoir deux mecs d’expérience, qui ont montré beaucoup d’envie à venir finir leur carrière à l’UBB et de sortir par le haut. Ils accompagnent de plus jeunes joueurs. Mais il y a aussi un recrutement qui a fait moins parler : Vergnes-Taillefer, Roussel, Bochaton, Bielle-Biarrey, de jeunes talents en devenir qui vont s’imposer en Top 14.
La star de l’UBB, c’est Matthieu Jalibert, sous contrat jusqu’en 2023. Avez-vous d’ores et déjà la volonté de verrouiller votre international qui sera sans aucun doute sollicité ?
On parlera avec Matthieu de l’ambition du club, de la manière dont on veut qu’il s’inscrive avec nous. C’est son club, c’est sa ville. Matthieu est un joueur talentueux et ambitieux. Il regardera son contrat mais aussi l’ambition du club. Et le club a envie d’avancer.
« Avec Christophe (Urios), on se mettra certainement autour d’une table dans l’année qui vient »
Également sous contrat jusqu’en 2023, Christophe Urios arrive quant à lui à mi-mandat. C’est aussi la priorité ?
Avec Christophe, ça se passe très bien. Il a amené à l’UBB ce que j’attendais : de l’organisation, de la rigueur, du travail, des résultats. On se mettra certainement autour d’une table dans l’année qui vient pour voir si toutes les parties ont intérêt à continuer ensemble.
Cette saison verra le retour du public dans les stades, la fin des tests-PCR pour les joueurs qui sont désormais vaccinés… Avez-vous le sentiment d’un retour à la normale ?
Oui et ça nous manque vraiment. L’un des éléments essentiels, c’est Chaban et son public. Tout le monde est impatient de retrouver un stade plein. Les abonnements sont en hausse (+15%), les partenariats aussi (+15%).
Le Covid a eu un impact sur les finances du club avec un déficit annoncé de 10 millions d’euros. Où en êtes-vous à ce niveau ?
Le PGE (prêt garanti par l’État) est notre bouée de sauvetage. La première aide de l’État est payée à 70 %. La deuxième aide devrait avoir lieu, elle est indispensable à la survie du club. Les abonnés et les partenaires ont été dans l’ensemble très solidaires. On arrivera à tout boucher en étalant une partie de la dette sur 5 ans. Il faudra soit réduire un peu la voilure, soit augmenter les ressources. Mais je crois en l’augmentation des ressources car on sent un nouvel engouement.
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« Le rugby c'est ma vie et ma vie c'est le rugby » Christophe Urios
Scalp- Centre de presse
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Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 54
Re: Président, Président, Président ... Président, Président, Président
Intéressant, +15% sur les abonnements ce n'est pas négligeable, ça représente bien 500 personnes de plus.
krahknardz- Team
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Localisation : Bègles
Date d'inscription : 07/07/2013
Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 49
Re: Président, Président, Président ... Président, Président, Président
Par rapport à la saison 2019/2020 je suppose ?

le radis- Centre de presse
- Nombre de messages : 9952
Localisation : talence
Date d'inscription : 12/10/2012
Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Président, Président, Président ... Président, Président, Président
.le radis a écrit:Par rapport à la saison 2019/2020 je suppose ?![]()
Qui était à un niveau plutôt bas déjà, au vu de la déliquescence de la saison précédente
krahknardz- Team
- Nombre de messages : 5822
Localisation : Bègles
Date d'inscription : 07/07/2013
Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 49
Re: Président, Président, Président ... Président, Président, Président
Laurent Marti : «Les bons résultats de l'UBB, c'est un travail de longue haleine»
https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/coupe-d-europe/laurent-marti-les-bons-resultats-de-l-ubb-c-est-un-travail-de-longue-haleine-20211209
Patrick, quand tu passes par là, merci de mettre en clair l'article
Laurent Marti : « Les bons résultats de l'UBB, c'est un travail de longue haleine »
À la veille de défier Leicester en Champions Cup, son président, Laurent Marti, revient sur la « saine et solide » ascension du club bordelais vers les sommets. Sportifs, mais aussi de popularité.
Coudry, Arnaud
Un succès de haute volée sur le Stade Toulousain et l'Union Bordeaux-Bègles s'est emparé des commandes du Top 14. La confirmation que le club girondin a franchi un cap. Déjà, la saison dernière, l'UBB avait disputé les deux premières demi-finales de son histoire - en championnat et en Coupe d'Europe - mais s'était inclinée à chaque fois face à... Toulouse. De l'histoire ancienne au moment de retrouver la Champions Cup pour un choc au sommet, samedi (16 h 15) face à Leicester, leader invaincu de la Premiership anglaise. Pour Le Figaro, le président bordelais, Laurent Marti, fait le point sur le nouveau statut de son club, désormais dans la cour des grands.
LE FIGARO. - Quel regard portez-vous sur le bon début de saison de l'UBB ?
Laurent MARTI. - On reste calme, la tête froide, mais on savoure. Il faut savoir apprécier les bonnes périodes comme celle que l'on vit maintenant. Il y a deux sentiments. Le premier, c'est de se dire que c'est sympa à vivre, parce que ça fait des années que l'on travaille pour construire ce club. On est heureux de voir que l'on franchit des paliers. L'autre sentiment : je me dis que la dernière fois que l'on a été premier, ça s'est fini avec un confinement, en 2019-2020... ( Rires ) Plus sérieusement, on a disputé 12 journées sur 26 en Top 14. Être premier à cette époque de l'année, ça ne veut rien dire. On reste humbles...
L'an dernier, vous avez disputé deux demi-finales. Un verrou a-t-il sauté ?
Je vois deux explications. Bien évidemment, il y a l'arrivée de Christophe (Urios) et de son staff, qui font un excellent travail. Cela explique nos bons résultats. Mais c'est aussi ce travail de longue haleine qui paye, avec un club qui est aujourd'hui structuré, qui est sain, qui est solide, qui a des infrastructures assez remarquables. Et, depuis deux ans, on aligne un effectif comme nous n'en avons jamais eu. Il y a la qualité et la quantité. Ce Top 14 est tellement dur que si vous n'avez qu'un bon staff, vous ne pouvez pas y arriver. Et si vous n'avez qu'un bon effectif, vous ne pouvez pas y arriver...
Qu'a apporté Christophe Urios à l'UBB ?
Du caractère. C'est souvent le coach qui donne le caractère à son équipe. Il a apporté de la rigueur, du travail et de l'organisation. Non pas que ses prédécesseurs aient fait du mauvais boulot, mais il a amené un vrai truc en plus.
L'UBB est également devenu fournisseur de joueurs pour le XV de France, signe que vous avez changé de dimension...
Oui. Et quand on regarde nos 5-6 internationaux, ce sont des joueurs que l'on a fait éclore. Matthieu Jalibert sort complètement de notre formation. Cameron Woki et Cyril Cazeaux sont arrivés en catégorie Espoirs à l'UBB. Maxime Lucu, je suis allé le chercher en Pro D2 ( à Biarritz ). Yoram Moefana, arrivé en Espoirs, j'étais allé le chercher à Colomiers. Ce ne sont pas des internationaux « achetés » . On les a formés ou repérés en Pro D2.
Longtemps, l'UBB a eu l'image du club sympa, où on se laisse un peu vivre...
Il y a eu deux époques à Bordeaux. La génération qui nous a fait monter et rester en Top 14. Elle était sympa, cette génération - celle des Matthew Clarkin, Ole Avei, Heini Adams, Hugh Chalmers ou Blair Connor - et avait la culture de la gagne. Il n'y avait pas des moyens énormes, mais ils s'envoyaient comme des fous sur le terrain. Après ça, c'est vrai que l'on a eu des effectifs un peu plus dilettantes. Je me suis trompé sur quelques mecs qui n'ont pas apporté ce que l'on espérait. On était tombés dans une forme de laisser-aller qui me dérangeait, mais que je n'arrivais pas à changer. Et Christophe ( Urios ) a remis les choses sur les rails.
Vous êtes demi-finaliste de la dernière Champions Cup. Comment vous abordez cette nouvelle campagne européenne ?
On ne pouvait pas mieux la commencer puisqu'on affronte Leicester, le leader invaincu du championnat anglais ( 8 victoires en 8 journées ), un club historique de la Coupe d'Europe. Cette confrontation fait qu'on est immédiatement motivés ! Après, si on me demande de choisir, je préfère gagner le Top 14, c'est culturel. Mais la Champions Cup est une compétition très prestigieuse. Et puis l'UBB n'a pas le luxe de choisir. On est à fond sur les deux tableaux. Si on en gagne un des deux, on sera les plus heureux.
Après Leicester, vous devez affronter les Scarlets gallois qui ont vu leur premier match contre Bristol annulé pour cause de quarantaine. La situation est floue...
On ne sait pas, oui. Ça doit être très dur pour eux. Ils étaient en quarantaine et n'ont pas pu s'entraîner. Ils vont être libérés ce vendredi et auront une dizaine de jours pour se préparer. Mais méfions-nous, cela peut être une source de motivation...
Vous êtes le club de rugby qui rassemble le plus de public au monde (24 500 en moyenne en 2019-2020). Quelle force en tirez-vous ?
D'un point de vue pragmatique, cela nous aide dans nos finances. Même si cela pourrait nous apporter beaucoup plus parce qu'on n'est pas cher en prix des places. On a des places à 5 euros, qui passent à 7-8 euros pour les matchs de gala. Mais j'y tiens, je veux que l'UBB ait une politique sociale. Je veux qu'une famille avec deux enfants puisse venir au stade pour 20 euros. On donne du rêve à ces gamins, je trouve ça génial et ça fait partie de nos obligations. Au-delà de l'aspect financier, cela amène de la force aux joueurs, mais aussi à moi, président, parce que c'est dur de tenir un club pro. Je le fais sur mes deniers personnels. Alors, quand je vois Chaban-Delmas plein, qui chante, qui vibre depuis plus de dix ans et notre retour en Top 14, ça nous donne une source de motivation énorme. Ça nous réchauffe le coeur.
À Bordeaux, l'UBB est devenue plus populaire que les Girondins du foot...
Ça n'a pas toujours été comme ça... Il y a un sentiment de fierté, mais je ne me réjouis pas de la passe difficile que traversent les Girondins. J'ai moi-même « badé » cette équipe, et j'ai envie qu'ils tournent bien parce qu'il y a la place pour les deux sports dans cette ville. On est content de faire du monde, mais pas de voir que c'est plus difficile pour les Girondins actuellement.
Vous avez longtemps déploré des déficits chroniques au sein de votre club. Où en êtes-vous ?
Cela fait trois ans que nous sommes sur des déficits. Mais les bons résultats faisant, je pense que l'on reviendra à l'équilibre.
LAURENT MARTI
https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/coupe-d-europe/laurent-marti-les-bons-resultats-de-l-ubb-c-est-un-travail-de-longue-haleine-20211209
Patrick, quand tu passes par là, merci de mettre en clair l'article

Laurent Marti : « Les bons résultats de l'UBB, c'est un travail de longue haleine »
À la veille de défier Leicester en Champions Cup, son président, Laurent Marti, revient sur la « saine et solide » ascension du club bordelais vers les sommets. Sportifs, mais aussi de popularité.
Coudry, Arnaud
Un succès de haute volée sur le Stade Toulousain et l'Union Bordeaux-Bègles s'est emparé des commandes du Top 14. La confirmation que le club girondin a franchi un cap. Déjà, la saison dernière, l'UBB avait disputé les deux premières demi-finales de son histoire - en championnat et en Coupe d'Europe - mais s'était inclinée à chaque fois face à... Toulouse. De l'histoire ancienne au moment de retrouver la Champions Cup pour un choc au sommet, samedi (16 h 15) face à Leicester, leader invaincu de la Premiership anglaise. Pour Le Figaro, le président bordelais, Laurent Marti, fait le point sur le nouveau statut de son club, désormais dans la cour des grands.
LE FIGARO. - Quel regard portez-vous sur le bon début de saison de l'UBB ?
Laurent MARTI. - On reste calme, la tête froide, mais on savoure. Il faut savoir apprécier les bonnes périodes comme celle que l'on vit maintenant. Il y a deux sentiments. Le premier, c'est de se dire que c'est sympa à vivre, parce que ça fait des années que l'on travaille pour construire ce club. On est heureux de voir que l'on franchit des paliers. L'autre sentiment : je me dis que la dernière fois que l'on a été premier, ça s'est fini avec un confinement, en 2019-2020... ( Rires ) Plus sérieusement, on a disputé 12 journées sur 26 en Top 14. Être premier à cette époque de l'année, ça ne veut rien dire. On reste humbles...
L'an dernier, vous avez disputé deux demi-finales. Un verrou a-t-il sauté ?
Je vois deux explications. Bien évidemment, il y a l'arrivée de Christophe (Urios) et de son staff, qui font un excellent travail. Cela explique nos bons résultats. Mais c'est aussi ce travail de longue haleine qui paye, avec un club qui est aujourd'hui structuré, qui est sain, qui est solide, qui a des infrastructures assez remarquables. Et, depuis deux ans, on aligne un effectif comme nous n'en avons jamais eu. Il y a la qualité et la quantité. Ce Top 14 est tellement dur que si vous n'avez qu'un bon staff, vous ne pouvez pas y arriver. Et si vous n'avez qu'un bon effectif, vous ne pouvez pas y arriver...
Qu'a apporté Christophe Urios à l'UBB ?
Du caractère. C'est souvent le coach qui donne le caractère à son équipe. Il a apporté de la rigueur, du travail et de l'organisation. Non pas que ses prédécesseurs aient fait du mauvais boulot, mais il a amené un vrai truc en plus.
L'UBB est également devenu fournisseur de joueurs pour le XV de France, signe que vous avez changé de dimension...
Oui. Et quand on regarde nos 5-6 internationaux, ce sont des joueurs que l'on a fait éclore. Matthieu Jalibert sort complètement de notre formation. Cameron Woki et Cyril Cazeaux sont arrivés en catégorie Espoirs à l'UBB. Maxime Lucu, je suis allé le chercher en Pro D2 ( à Biarritz ). Yoram Moefana, arrivé en Espoirs, j'étais allé le chercher à Colomiers. Ce ne sont pas des internationaux « achetés » . On les a formés ou repérés en Pro D2.
Longtemps, l'UBB a eu l'image du club sympa, où on se laisse un peu vivre...
Il y a eu deux époques à Bordeaux. La génération qui nous a fait monter et rester en Top 14. Elle était sympa, cette génération - celle des Matthew Clarkin, Ole Avei, Heini Adams, Hugh Chalmers ou Blair Connor - et avait la culture de la gagne. Il n'y avait pas des moyens énormes, mais ils s'envoyaient comme des fous sur le terrain. Après ça, c'est vrai que l'on a eu des effectifs un peu plus dilettantes. Je me suis trompé sur quelques mecs qui n'ont pas apporté ce que l'on espérait. On était tombés dans une forme de laisser-aller qui me dérangeait, mais que je n'arrivais pas à changer. Et Christophe ( Urios ) a remis les choses sur les rails.
Vous êtes demi-finaliste de la dernière Champions Cup. Comment vous abordez cette nouvelle campagne européenne ?
On ne pouvait pas mieux la commencer puisqu'on affronte Leicester, le leader invaincu du championnat anglais ( 8 victoires en 8 journées ), un club historique de la Coupe d'Europe. Cette confrontation fait qu'on est immédiatement motivés ! Après, si on me demande de choisir, je préfère gagner le Top 14, c'est culturel. Mais la Champions Cup est une compétition très prestigieuse. Et puis l'UBB n'a pas le luxe de choisir. On est à fond sur les deux tableaux. Si on en gagne un des deux, on sera les plus heureux.
Après Leicester, vous devez affronter les Scarlets gallois qui ont vu leur premier match contre Bristol annulé pour cause de quarantaine. La situation est floue...
On ne sait pas, oui. Ça doit être très dur pour eux. Ils étaient en quarantaine et n'ont pas pu s'entraîner. Ils vont être libérés ce vendredi et auront une dizaine de jours pour se préparer. Mais méfions-nous, cela peut être une source de motivation...
Vous êtes le club de rugby qui rassemble le plus de public au monde (24 500 en moyenne en 2019-2020). Quelle force en tirez-vous ?
D'un point de vue pragmatique, cela nous aide dans nos finances. Même si cela pourrait nous apporter beaucoup plus parce qu'on n'est pas cher en prix des places. On a des places à 5 euros, qui passent à 7-8 euros pour les matchs de gala. Mais j'y tiens, je veux que l'UBB ait une politique sociale. Je veux qu'une famille avec deux enfants puisse venir au stade pour 20 euros. On donne du rêve à ces gamins, je trouve ça génial et ça fait partie de nos obligations. Au-delà de l'aspect financier, cela amène de la force aux joueurs, mais aussi à moi, président, parce que c'est dur de tenir un club pro. Je le fais sur mes deniers personnels. Alors, quand je vois Chaban-Delmas plein, qui chante, qui vibre depuis plus de dix ans et notre retour en Top 14, ça nous donne une source de motivation énorme. Ça nous réchauffe le coeur.
À Bordeaux, l'UBB est devenue plus populaire que les Girondins du foot...
Ça n'a pas toujours été comme ça... Il y a un sentiment de fierté, mais je ne me réjouis pas de la passe difficile que traversent les Girondins. J'ai moi-même « badé » cette équipe, et j'ai envie qu'ils tournent bien parce qu'il y a la place pour les deux sports dans cette ville. On est content de faire du monde, mais pas de voir que c'est plus difficile pour les Girondins actuellement.
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Cela fait trois ans que nous sommes sur des déficits. Mais les bons résultats faisant, je pense que l'on reviendra à l'équilibre.
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Dernière édition par Scalp le Sam 11 Déc 2021 - 10:34, édité 1 fois
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Merci Patrick
je fais remonter l'article dans la file en même temps


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Un grand club, il ne sera qu'après avoir remporté plusieurs titres.

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le radis a écrit:Un grand club, il ne sera qu'après avoir remporté plusieurs titres.![]()
Bon ok, j'anticipe un peu, on verra ça à l'été 2022

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